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L’allocation touristique algérienne finit-elle sur le marché noir en Tunisie ?

Depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle allocation touristique de 750 €, adoptée par l’instruction N° 05‑2025 du 17 juillet 2025 signée par le gouverneur de la Banque d’Algérie, des signaux d’alarme ont été tirés quant à des pratiques détournées visant à exploiter légalement ce droit de change pour des activités financières paravent. Cette allocation doit être utilisée pour couvrir les dépenses personnelles de voyage à l’étranger et n’est attribuée qu’une fois par an à chaque citoyen résident.

La réglementation stipule clairement que le droit de change est strictement personnel, destiné à être utilisé par le bénéficiaire effectif lors d’un séjour à l’étranger d’au moins sept jours. Toute tentative de transfert, de cession ou de détournement est interdite et passible de sanctions, y compris pénales.

Mais au lieu d’encourager un tourisme durable et légitime, certaines pratiques commercialisent ce dispositif comme une opportunité spéculative.

En fait, selon plusieurs sources, pour contourner cette règle, certains intermédiaires organisent des voyages vers la Tunisie, en recrutant surtout des jeunes chômeurs. Ils avancent parfois les frais de passeport et récupèrent les passeports pour déposer les demandes de change. Les participants touchent les 750 € à la frontière, restent près de la frontière pour limiter leurs dépenses, puis revendent le reste au marché noir, où le taux est presque deux fois plus avantageux qu’à la banque.

Face à l’ampleur de ces pratiques, les autorités ont commencé à durcir les contrôles :

Depuis le 7 décembre 2025, les bus transportant des touristes vers la Tunisie doivent disposer d’une autorisation internationale de transport plutôt que de se contenter d’une simple licence touristique. Cette mesure vise à réduire les abus liés aux voyages organisés pour l’allocation.

Des blocages de bus aux frontières ont été observés, conséquence directe de ce nouveau dispositif.

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Tunisie: le kohl arabe inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco

La Tunisie vient de marquer une nouvelle étape dans la valorisation de son patrimoine culturel. Le 11 décembre 2025, le pays a officiellement inscrit le «kohl arabe» sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, aux côtés de huit autres pays arabes. L’annonce a été faite à l’occasion de la 20ᵉ session de la Commission intergouvernementale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, qui se tient du 8 au 13 décembre à New Delhi, en Inde.

 

 

 

 

 

 

Avec cette inscription, la Tunisie compte désormais dix éléments culturels reconnus par l’Unesco.

Le «kohl arabe», traditionnellement utilisé pour souligner le contour des yeux, est bien plus qu’un simple produit de beauté. Il occupe une place importante dans l’histoire et les traditions du Maghreb et du monde arabe. Depuis des siècles, il est reconnu pour ses vertus protectrices contre le mauvais œil et pour ses usages médicinaux, tout en restant un symbole d’élégance et d’identité culturelle.

 

Historiquement, le kohl a été largement utilisé en Tunisie depuis l’époque antique, notamment par les civilisations berbère et arabe, et a traversé les âges comme un élément central des rituels et des pratiques quotidiennes. Dans les pays arabes, il conserve encore aujourd’hui une valeur culturelle et esthétique, transmis de génération en génération.

Cette reconnaissance par l’Unesco souligne l’importance de préserver et de transmettre ces savoir-faire traditionnels, tout en renforçant la visibilité de la culture tunisienne sur la scène internationale.

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Classement Forbes 2025: de quels pays viennent la majorité des femmes les plus puissantes du monde?

Chaque année, Forbes publie son classement des 100 femmes les plus puissantes au monde, une liste qui met en lumière celles qui dominent les sphères politique, économique, culturelle et médiatique à l’échelle internationale. 

Dans ce classement, 25 pays sont représentés, mais certains se détachent nettement. L’Amérique du Nord, et en particulier les États‑Unis, arrive largement en tête, avec une forte présence de PDG, dirigeantes financières, philanthropes et personnalités médiatiques. L’Europe suit de près, avec des leaders politiques et économiques de premier plan comme Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne. Le Japon, le Mexique, le Brésil, l’Inde et la Chine complètent le top 20, incarnant la montée en puissance de certaines économies émergentes dans le domaine du leadership féminin.

Le classement Forbes ne se limite pas à la notoriété. Il repose sur quatre grands piliers de pouvoir: l’argent, la visibilité dans les médias, l’impact réel et les cercles d’influence. Pour les dirigeantes politiques, Forbes prend également en compte le PIB et la population du pays dirigé, tandis que pour les PDG et entrepreneurs, c’est la taille de l’entreprise et ses résultats économiques qui sont évalués. Les personnalités culturelles sont jugées sur leur portée médiatique et leur influence sociétale. Cette méthodologie permet de dresser un panorama global du pouvoir féminin, au-delà des frontières et des secteurs.

L’Afrique, bien que largement sous-représentée, compte dans ce classement deux femmes remarquables. Mary Vilakazi, CEO du FirstRand Group en Afrique du Sud, a pris les commandes de l’une des plus grandes banques du continent en avril 2024, supervisant près de 2,5 trillions de rands d’actifs, soit environ 150 milliards de dollars. Mo Abudu, entrepreneure médiatique et philanthrope nigériane, fondatrice d’EbonyLife Media, s’est imposée comme une figure incontournable des médias globaux. Depuis 2006, son réseau Ebonylife TV diffuse dans plus de 49 pays à travers l’Afrique, ainsi qu’au Royaume-Uni et dans les Caraïbes.

Ce classement montre que le pouvoir économique et médiatique reste concentré en Amérique du Nord et en Europe, avec une progression notable de certaines économies émergentes d’Asie et d’Amérique latine. L’Afrique gagne du terrain, mais reste encore sous‑représentée au sommet. Pourtant, les figures africaines présentes témoignent d’une influence considérable et annoncent une évolution possible dans les prochaines années. Le classement Forbes 2025 rappelle que le pouvoir féminin se diversifie et que la prochaine génération pourrait voir davantage de femmes africaines atteindre les plus hautes sphères de décision mondiale.

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Ces pays africains veulent enfin encadrer Facebook, TikTok, Netflix…: voici ce qui pourrait changer!

Les ministres africains chargés des Télécommunications, des Technologies de l’information et de l’Économie numérique ont adopté, le 7 décembre 2025 à Alger, la «Déclaration d’Alger sur des plateformes numériques équitables, sûres et responsables en Afrique». Cette déclaration, qui doit être soumise à l’Union africaine pour adoption politique début 2026, vise à poser les bases d’un cadre réglementaire continental commun pour encadrer les géants numériques mondiaux et les plateformes OTT (services en ligne de communication et de contenu).

La Déclaration d’Alger marque une volonté collective de parler d’une seule voix face aux géants du numérique (réseaux sociaux, messageries, plateformes de streaming et services d’intelligence artificielle), afin de renforcer l’influence du continent dans la gouvernance numérique mondiale. En l’état actuel, ces acteurs opèrent selon les lois de leurs pays d’origine, ce qui limite la capacité des pays africains à obtenir des retombées économiques et à protéger leurs utilisateurs.

Des engagements concrets pour l’Afrique

La déclaration fixe plusieurs orientations pratiques et ambitieuses:

  • Négociation unifiée avec les plateformes mondiales
    Les États africains s’engagent à coordonner leurs exigences et leurs négociations avec les plateformes numériques afin d’éviter une approche éclatée par pays. Cette démarche vise à renforcer le pouvoir de négociation collectif du continent.
  • Contribution économique locale
    Les plateformes mondiales opérant en Afrique seraient encouragées — voire contraintes à l’avenir — à contribuer au financement des infrastructures locales, à soutenir le développement des talents numériques et à réinvestir une part significative de leurs revenus sur le continent. Cela devrait permettre aux économies africaines de mieux capter les bénéfices générés par leur marché numérique.
  • Protection des données et souveraineté numérique
    Un mécanisme renforcé de protection des données personnelles est prévu pour garantir que les données des citoyens africains soient gérées de manière transparente et sécurisée, avec une orientation vers une localisation des données sur le continent.
  • Normes pour l’intelligence artificielle
    Des standards «responsabilisants» pour l’usage de l’intelligence artificielle figurent dans le texte. L’objectif est de réduire les risques de discrimination algorithmique, de surveillance abusive, et d’assurer la transparence dans les systèmes automatisés.
  • Encadrement des contenus
    La Déclaration appelle à un contrôle des contenus circulant sur les plateformes, notamment pour lutter contre la désinformation et les discours de haine, tout en respectant la liberté d’expression.

Un cadre inspiré des modèles internationaux

Le texte s’inscrit dans une dynamique plus large de stratégies africaines pour la transformation numérique (2020-2030). Il s’inspire de cadres internationaux comme le Digital Services Act (DSA) européen, tout en adaptant ses principes à la réalité africaine, notamment en termes de contribution économique locale et de protection des données.

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Le projet de loi de finances 2026 transmis officiellement à Kaïs Saïed

La procédure d’adoption du projet de loi de finances (PLF) pour 2026 est officiellement terminée. Hier, 10 décembre 2025, le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Brahim Bouderbala, a annoncé la transmission du texte au président de la République, Kaïs Saïed, après l’achèvement des travaux parlementaires.

En fait, ce PLF 2026 a été discuté pendant plusieurs semaines dans les deux chambres du Parlement tunisien:

  • d’abord adopté par l’ARP le 4 décembre 2025,
  • puis examiné et amendé par le Conseil national des régions et des districts (CNRD).

Une commission paritaire composée de membres des deux chambres a tenté de concilier les différences entre les deux versions du texte du 7 au 9 décembre. Mais elle n’a pas réussi à trouver un accord sur certains articles sensibles du projet de loi, notamment sur des points techniques comme la retraite des parlementaires ou des aspects fiscaux précis.

Selon la procédure prévue par la loi (décret-loi n° 1 de 2024), en l’absence de compromis, c’est la version adoptée par l’ARP qui est désormais transmise au président de la République.

Ce que contient le budget 2026

Le texte du projet de loi de finances présente plusieurs orientations budgétaires importantes:

  • un budget de l’État pour 2026 fixé à environ 79,6 milliards de dinars, en hausse par rapport à 2025, avec une forte part dédiée aux dépenses courantes et sociales.
  • une prévision de diminution du service de la dette publique en 2026, permettant une respiration budgétaire.

De plus, le débat budgétaire a intégré des discussions sur des enjeux sociaux comme l’augmentation des salaires et des pensions, qui ont été inscrits dans le cadre légal du PLF.                                

La transmission du PLF 2026 au chef de l’État ouvre la dernière étape institutionnelle: le président de la République pourra le promulguer ou demander des ajustements constitutionnels avant sa publication dans le JORT.

 

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Quels sont les secteurs les plus endettés à long terme en Tunisie en 2024 ?

En 2024, l’encours de la dette extérieure à long terme (LT) de la Tunisie s’est établi à 75.966 millions de dinars (MDT), enregistrant une baisse de 7,1% par rapport à 2023, soit 5.763 MDT de moins, selon le rapport statistique publié par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Les administrations publiques restent le secteur le plus endetté, représentant 82,3% du total de la dette LT, soit 62.537 MDT, en recul de 6,5% par rapport à l’année précédente. Cette diminution résulte d’un repli des emprunts extérieurs combiné à un accroissement des remboursements du principal. La dette de la Banque centrale a légèrement diminué pour atteindre 1.088 MDT, tandis que celle des institutions de dépôt et des autres secteurs a également baissé.

Les entreprises privées, l’encours de la dette extérieure a chuté de 16,6% pour se situer à 1.907 MDT. Les entreprises publiques restent majoritaires dans ce stock, représentant 85,7% du total des dettes du secteur privé.

Du côté des créanciers, la dette multilatérale domine toujours avec 64,9% du total. La Banque mondiale est le principal prêteur, avec un encours de 14.140 MDT, suivie par la Banque africaine de développement (BAD) à 8.090 MDT. Le FMI a réduit son encours à 5.339 MDT, tandis que l’AFREXIMBANK a renforcé sa part à 5.011 MDT après un nouveau prêt de 500 millions USD. La part des engagements envers l’Union européenne a légèrement diminué à 4.655 MDT.

Les créanciers bilatéraux officiels représentent 91,8% de la coopération bilatérale, tandis que la dette sur les marchés financiers internationaux a fortement diminué à 7.947 MDT, reflétant le remboursement d’emprunts obligataires sans nouvelles sorties depuis 2019.

 

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Hajj 2026: voici les nouvelles règles concernant l’allocation touristique

La Banque centrale de Tunisie a publié une nouvelle circulaire encadrant l’allocation touristique destinée aux pèlerins tunisiens inscrits pour la campagne de pèlerinage 1447 Hijri correspondant à l’année 2026. Cette circulaire, adressée aux intermédiaires agréés, entre en vigueur dès sa publication.

À partir du 10 décembre 2025, les banques et établissements agréés sont autorisés à délivrer l’allocation touristique à travers les guichets uniques dédiés à l’organisation des voyages. Pour ce faire, ils utiliseront leurs soldes disponibles et pourront s’approvisionner en billets de riyals saoudiens auprès des succursales de la Banque centrale. Chaque intermédiaire devra fixer son cours de vente des devises et l’afficher clairement au public.

La circulaire précise que les allocations touristiques octroyées aux pèlerins lors du dépôt de leurs dossiers seront imputées sur les droits à transfert de l’année 2026. Lors de l’émargement des passeports, les banques devront obligatoirement inscrire l’année 2026 dans la zone réservée à l’allocation. Ces montants ne pourront en aucun cas être utilisés au cours de l’année en cours.

La Banque centrale introduit également une dérogation concernant l’autorisation d’exportation de devises en billets: pour cette campagne de pèlerinage, elle restera valable six mois à partir de sa date de délivrance. Cette mesure s’applique uniquement aux pèlerins figurant sur les listes officielles ainsi qu’aux membres de la délégation tunisienne désignée.

Enfin, les intermédiaires agréés devront transmettre quotidiennement, en double exemplaire, un rapport sur les allocations touristiques délivrées. Ce rapport devra suivre le modèle annexé à la circulaire.

La circulaire n°2025-16 confirme ainsi le cadre opérationnel de l’allocation touristique dédiée aux pèlerins, en rappelant les obligations des intermédiaires agréés et les règles applicables pour l’année 2026.

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La Tunisie officiellement capitale du tourisme arabe en 2027

La Tunisie élue capitale du tourisme arabe 2027 lors de la 28ᵉ session du Conseil ministériel arabe du tourisme à Bagdad.

 

La Tunisie a enregistré ce 9 décembre 2025 une double consécration au niveau régional. Lors de la 28ᵉ session du Conseil ministériel arabe du tourisme, organisée les 8 et 9 décembre à Bagdad, le ministère du Tourisme a annoncé que la Tunisie a été officiellement élue capitale arabe du tourisme pour l’année 2027, tout en obtenant parallèlement un siège au bureau exécutif et la vice-présidence du Conseil arabe du tourisme.

La désignation de la Tunisie comme capitale du tourisme arabe constitue une reconnaissance majeure pour le pays. Le ministère souligne que ce titre vient également couronner «l’intégration de la capitale tunisienne au réseau des villes créatives de l’Unesco en 2026», confirmant son statut croissant sur la scène culturelle et touristique régionale.

Lors de la session ministérielle à Bagdad, le ministre du Tourisme Sofiane Tekaya a prononcé l’allocution officielle de la Tunisie. Il y a rappelé que les transformations mondiales rapides imposent une vision plus agile du secteur: «Le tourisme est désormais au croisement des enjeux économiques, sociaux et culturels, et sa gestion exige innovation, flexibilité et durabilité», a-t-il déclaré. 

Il a également souligné les efforts récents de la Tunisie pour moderniser et diversifier son offre touristique, notamment grâce à la numérisation, à l’usage de l’intelligence artificielle dans la promotion, au soutien des startups, à l’amélioration de la qualité des services et à l’essor du tourisme culturel, saharien, oasien, sanitaire et de congrès.

 

Le ministre a insisté sur une évidence: «L’avenir du tourisme arabe se construira par une coopération solide entre nos pays et une capacité réelle à bâtir un système régional intégré reposant sur des projets communs».

La participation tunisienne a également été marquée par une série de rencontres bilatérales avec les ministres du Tourisme de Libye, de Jordanie, d’Oman, d’Irak et du Bahreïn, en présence de l’ambassadeur de Tunisie à Bagdad, Chokri Latif. 

Enfin, dans le cadre du renouvellement des structures du Conseil ministériel arabe du tourisme, la Tunisie a été élue membre du bureau exécutif et vice-présidente du Conseil, consolidant son rôle stratégique dans les décisions régionales visant le développement d’une vision arabe commune pour le tourisme.

 

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Guérir le cancer par le charlatanisme: le Conseil des médecins porte plainte contre un programme télé

Le Conseil national de l’Ordre des médecins de Tunisie a annoncé qu’il déposera officiellement une plainte contre un programme télévisé diffusant des contenus relatifs au traitement du cancer par des méthodes non médicales. L’émission mettait en avant une personne sans formation médicale, proposant des traitements à base de “plantes” ou de pratiques non reconnues par la science.

Au cours de l’émission, cette personne a affirmé pouvoir soigner tous les types de cancer, le sida et d’autres maladies graves. Elle a également déclaré avoir reçu l’ancien président français François Mitterrand, plusieurs ministres de plusieurs pays, invitée par des princes, et elle a assuré que même certains médecins consultaient ses méthodes.

Dans son communiqué, le Conseil rappelle que de telles pratiques représentent un risque majeur pour la santé des citoyens tunisiens. Il insiste sur le fait que le traitement du cancer repose sur des médicaments spécifiques et des protocoles thérapeutiques stricts, prescrits uniquement par des médecins spécialisés et dont l’efficacité est scientifiquement démontrée.

Cette action vise à protéger le public contre les informations médicales trompeuses et les pratiques dangereuses, tout en soulignant l’importance de recourir à des professionnels qualifiés pour le traitement de maladies graves telles que le cancer.

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La Tunisie désormais reconnue «pays d’origine sûr» par l’Union européenne

 

L’Union européenne a officiellement inscrit la Tunisie sur sa première «liste commune des pays d’origine sûrs», adoptée le 8 décembre 2025.

Désormais, les demandes d’asile présentées par des ressortissants tunisiens seront soumises à des procédures accélérées, dans l’hypothèse — présumée — qu’elles sont «manifestement infondées» sauf si des éléments spécifiques exposent un risque individuel.

Le classement résulte de l’accord du Conseil sur deux volets majeurs: la révision du concept de «pays tiers sûrs» et l’instauration d’une liste unique au niveau européen de «pays d’origine sûrs», dans le cadre du pacte migratoire adopté par l’UE.

Selon le communiqué officiel, la Tunisie figure aux côtés de pays tels que l’Égypte, le Maroc, le Bangladesh, la Colombie, l’Inde et le Kosovo.

Pour l’Union, un pays d’origine peut être qualifié de «sûr» s’il assure un niveau suffisant de protection des droits fondamentaux, de l’État de droit et de l’égalité devant la loi pour ses habitants, ce qui, selon l’analyse des institutions européennes, semble réuni en Tunisie en l’absence de conflit armé ou de persécutions généralisées.

Au-delà de la Tunisie, la décision illustre le virage de l’UE vers un traitement plus rapide des demandes d’asile jugées «manifestement infondées», et un durcissement global de sa politique migratoire.

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La CTN ouvre les réservations pour la haute saison 2026

La Compagnie Tunisienne de navigation (CTN) annonce l’ouverture officielle des réservations pour la haute saison 2026. À partir du 16 décembre 2025 à 10h00, les voyageurs pourront réserver leurs billets via les agences CTN, sur le site officiel de la compagnie www.ctn.com.tn, ainsi que dans les agences partenaires situées en Tunisie et à l’étranger.

Cette annonce concerne les trajets maritimes desservant les principales lignes de la compagnie, permettant aux clients de planifier à l’avance leurs voyages pour la saison estivale 2026. La CTN invite ses clients à réserver tôt pour garantir leurs places, notamment sur les lignes les plus fréquentées.

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Quels sont les meilleurs pays africains en matière d’intelligence artificielle?

L’Égypte, l’Afrique du Sud et le Ghana se positionnent comme les leaders africains dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), selon le «Global AI Index» publié par l’hebdomadaire britannique The Observer le 4 décembre 2025. Ce classement, qui évalue 93 pays, repose sur 108 indicateurs répartis en trois piliers — investissement, innovation et mise en œuvre — et sept sous-piliers: talents, infrastructures, environnement opérationnel, recherche, développement, écosystème d’affaires et stratégie gouvernementale.

L’Égypte arrive en tête du continent africain avec un score global de 13 points, grâce à sa forte stratégie gouvernementale (56 points) et à un environnement opérationnel favorable (38 points). L’Afrique du Sud et le Ghana suivent avec respectivement les 54e et 61e rangs mondiaux. À l’autre bout du classement africain, la Tunisie occupe le 85e rang mondial, derrière la Côte d’Ivoire (84e), un score reflétant des performances faibles dans les domaines du développement, de la recherche, des infrastructures, des talents et de l’écosystème d’affaires.

Le rapport souligne que la majorité des pays africains restent en bas du classement mondial, pénalisés par un manque d’investissements soutenus en IA, une faible capacité en semi-conducteurs et en calcul haute performance, ainsi que par un nombre limité de startups spécialisées et de développeurs qualifiés. Les pays africains disposent néanmoins d’atouts à exploiter: une population jeune, un marché numérique en expansion et des secteurs publics et privés de plus en plus ouverts aux technologies innovantes.

Pour accélérer leur progression, ces nations doivent renforcer leurs infrastructures, investir dans la formation et la recherche, et développer des politiques publiques favorisant l’innovation et l’adoption de l’IA. Le continent pourrait ainsi transformer ses forces en opportunités et mieux se positionner dans la course mondiale, dominée pour l’instant par les États-Unis, la Chine et Singapour.

Voici le top 10 africain dans la course mondiale à l’IA:

  1. Égypte (47e rang mondial)
  2. Afrique du Sud (54e)
  3. Ghana (61e)
  4. Algérie (65e)
  5. Maroc (68e)
  6. Nigeria (69e)
  7. Maurice (70e)
  8. Kenya (74e)
  9. Sénégal (75e)
  10. Côte d’Ivoire (84e)
  11. Tunisie (85e)

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Bill Gates veut soutenir la Fondation Ons Jabeur

Lors du rassemblement Goalkeepers, Bill Gates a exprimé son intention de soutenir la Fondation Ons Jabeur, ouvrant ainsi la voie à une collaboration prometteuse pour offrir de nouvelles opportunités aux jeunes générations.

Cet échange entre le coprésident de la Bill & Melinda Gates Foundation et la championne tunisienne de tennis Ons Jabeur a permis de discuter des synergies possibles entre leurs fondations respectives. L’objectif est de travailler ensemble pour promouvoir l’éducation et l’empowerment des jeunes, particulièrement dans les régions d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

Bill Gates et Ons Jabeur lors du rassemblement Goalkeepers, discutant de la manière dont leurs fondations respectives peuvent collaborer pour créer de meilleures opportunités éducatives et sportives pour les jeunes générations.

La Fondation Ons Jabeur

La Fondation Ons Jabeur, fondée par la première femme arabe à atteindre le sommet du tennis mondial, se consacre à la promotion de l’éducation, à l’égalité des genres, et à l’empowerment des jeunes, notamment dans les zones défavorisées. En utilisant son influence, Ons Jabeur soutient des programmes d’éducation et des initiatives sportives pour permettre aux jeunes, et en particulier aux filles, d’accéder à des opportunités qui leur sont souvent fermées.

En apportant son soutien, la Bill & Melinda Gates Foundation pourrait aider à financer les centres d’éducation et de sport et à mettre en place des bourses pour les jeunes talents sportifs, facilitant ainsi leur accès à des formations de qualité. 

La collaboration entre Bill Gates et Ons Jabeur pourrait marquer un tournant dans la vie de milliers de jeunes, en leur offrant l’accès à une éducation de qualité et à des opportunités sportives exceptionnelles. Grâce à cette synergie, les deux fondations pourraient accélérer la création de centres d’excellence pour les jeunes dans des régions en développement.

Le soutien de Bill Gates pourrait ainsi amplifier l’impact de la Fondation Ons Jabeur, en permettant à celle-ci de se développer et de toucher davantage de jeunes à travers des programmes d’éducation, des infrastructures sportives, et des opportunités d’accompagnement professionnel.

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Grève de 24 heures: seuls ces secteurs sont concernés

La Fédération générale de l’alimentation, du tourisme, du commerce et de l’artisanat (FGAT), relevant de l’UGTT, a confirmé l’organisation d’une grève sectorielle de 24 heures après l’impasse des discussions avec le gouvernement.

Selon le communiqué adressé aux syndicats régionaux, le mouvement de grève commencera dans la nuit du mardi 9 décembre 2025 et se poursuivra jusqu’au mercredi 10 décembre à minuit. Tous les établissements et entreprises relevant des secteurs concernés sont appelés à y participer. Les travailleurs devront se rendre à leurs postes le matin, avant de rejoindre les sièges des unions régionales du travail pour des rassemblements.

La FGAT justifie cette décision par le «refus des autorités administratives sectorielles» et par «le rejet de la négociation» du côté du ministère des Affaires sociales. Le communiqué souligne également l’absence de nouvelles tentatives de dialogue malgré les demandes répétées du syndicat, ce qui a précipité l’appel à la mobilisation. La fédération tient le gouvernement pour responsable de ce blocage et appelle les travailleurs à maintenir leur unité.

Derrière cette grève, les syndicats réclament depuis des mois une révision des conditions de travail dans les secteurs de l’alimentation, du commerce et du tourisme, largement touchés par l’inflation, la précarité et la stagnation salariale. Les organisations professionnelles pointent également la détérioration du climat social dans les entreprises, l’augmentation du coût de la vie et la pression croissante sur les travailleurs, notamment dans les activités saisonnières.

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Gaz: la Tunisie de plus en plus dépendante ! Voici le plan prévu pour cet hiver

L’approvisionnement en gaz naturel en Tunisie traverse une phase délicate marquée par un recul clair de la production nationale et une hausse significative des importations. Les données publiées en 2025 par l’Observatoire national de l’énergie et des mines montrent que les ressources locales, comprenant la production nationale et les redevances du gaz transitant par le territoire, diminuent d’année en année. À fin mai 2025, ces ressources ont chuté de 11% pour atteindre environ 809 kilotonnes équivalent pétrole. À fin juin, elles étaient de l’ordre de 1000 ktep, soit une baisse d’environ 9% par rapport à l’année précédente.

La Tunisie s’appuie davantage sur les importations, principalement en provenance d’Algérie. Les quantités de gaz algérien achetées par la Tunisie ont progressé de plus de 20% à plusieurs reprises au cours de 2025. À fin avril, les importations ont atteint environ 824 ktep, contribuant à porter l’approvisionnement global à 1426 ktep. À fin juin, les achats ont dépassé 1290 ktep, permettant à l’approvisionnement total de franchir les 2300 ktep, soit une hausse d’environ 10% en une année. Cette évolution confirme un basculement structurel: la part du gaz national diminue alors que la dépendance vis-à-vis du gaz importé devient essentielle pour couvrir les besoins du pays.

La demande intérieure continue pour sa part d’augmenter. Elle progresse d’environ 10% en 2025 et demeure fortement liée à la production d’électricité qui repose à plus de 90% sur le gaz naturel. L’évolution de la consommation domestique, la montée des besoins industriels et l’usage énergétique général accentuent la pression sur le système d’approvisionnement, rendant l’équilibre national de plus en plus fragile.

Face à cette situation structurelle, les autorités tunisiennes ont décidé de prendre les devants pour l’hiver 2025-2026. Ainsi, lors d’un large comité tenu le 8 décembre 2025 sous la conduite du ministre du Commerce et du Développement des exportations, les responsables sectoriels — ministères concernés, sociétés publiques et privées — se sont engagés à garantir l’approvisionnement en gaz domestique.

Le communiqué officiel issu de cette réunion précise que les unités de remplissage de bouteilles de gaz localisées à Ben Arous, Bizerte et Gabès fonctionnent actuellement à pleine capacité, sans interruption ni problème technique. Contrairement aux années précédentes, les préparatifs ont commencé bien en amont de l’hiver, ce qui a permis d’anticiper l’augmentation de la demande saisonnière. Les acteurs du secteur ont planifié des programmes d’importation anticipée, accru les volumes stockés, renforcé les capacités de stockage, et mis en place les opérations de maintenance nécessaires dans les unités de remplissage.

Un stock de sécurité sera constitué pour garantir la continuité de l’approvisionnement, même en cas de pic de demande ou de perturbation. Une coordination renforcée entre les acteurs publics et privés, à l’échelle nationale et régionale, a été décidée, avec des mécanismes de veille et d’intervention rapide. L’accent a été mis sur l’aspect social: la distribution priorisera les zones intérieures, souvent soumises à des conditions climatiques difficiles, pour assurer un accès équitable au gaz domestique.

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Tunisie–États-Unis: aucune suspension des demandes de visa

La décision annoncée le 5 décembre 2025 par l’ambassade des États-Unis à Tunis, prévoyant un passage à des opérations limitées à partir du 8 décembre, n’est finalement plus en vigueur. Cette mise à jour intervient grâce à une coopération étroite entre les autorités américaines et tunisiennes, selon le communiqué officiel publié par l’ambassade.

L’ensemble des services consulaires reprend normalement. Les entretiens de visa, qu’ils soient touristiques, étudiants ou professionnels, continueront d’être assurés, tout comme les services de routine et d’urgence destinés aux ressortissants américains. Les rendez-vous annulés durant la période d’incertitude seront automatiquement reprogrammés, précise la représentation diplomatique, qui appelle les personnes concernées à attendre d’être contactées.

L’ambassade recommande aussi aux citoyens américains présents en Tunisie ou en déplacement à l’étranger de s’inscrire au Smart Traveler Enrollment Program (STEP), un système d’alertes permettant de recevoir des mises à jour de sécurité et des informations consulaires en temps réel. L’inscription se fait en ligne via la plateforme officielle du Département d’État :
https://mytravel.state.gov/s/step.

Cette annonce marque un retour à une pleine capacité opérationnelle et vise à rassurer les voyageurs ainsi que les demandeurs de visa, après un avis initial qui avait suscité de multiples interrogations.

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Nouvelle amnistie douanière: ASSAD réduit son amende de 49,9 Mtnd à 2,85 Mtnd

 

 
 

La société L’Accumulateur Tunisien ASSAD annonce avoir adhéré à l’offre d’amnistie concernant une infraction douanière constatée par un procès-verbal daté du 9 octobre 2023, mentionné au paragraphe VIII des notes aux états financiers 2024.

Pour rappel, l’entreprise avait été condamnée par contumace, le 9 juillet 2025, par le tribunal de première instance de Kasserine, à une amende de 49 898 835 dinars dans le cadre de cette affaire douanière. Cette décision avait lourdement pesé sur la situation juridique et financière de la société, tout en suscitant des interrogations sur l’impact potentiel sur sa trésorerie et ses perspectives.

Grâce à l’adhésion à l’amnistie, le montant de l’amende est désormais ramené à 2 851 400 dinars, à payer en 20 trimestrialités de 142 570 dinars. ASSAD précise avoir déjà réglé les deux premières échéances.

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La Banque centrale fixe les règles pour les cartes et les missions de ses inspecteurs

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a publié la circulaire n°2025-15, qui définit officiellement les modalités d’attribution de l’ordre de mission et de la carte professionnelle pour ses agents chargés du contrôle sur place.

Selon cette circulaire, chaque agent de la BCT chargé des inspections doit disposer d’un ordre de mission et d’une carte professionnelle conformes aux modèles officiels précisés dans les annexes de la circulaire. Ces documents permettent d’identifier clairement les inspecteurs et de garantir la légitimité de leurs missions sur le terrain.

La circulaire précise également que tout agent ayant quitté le corps d’inspection de la Banque centrale doit restituer sa carte professionnelle. Cette mesure vise à renforcer le contrôle et la sécurité autour des missions de vérification.

La circulaire entrera en vigueur à partir du 2 mars 2026. Elle s’inscrit dans le cadre des lois tunisiennes relatives aux changes, au statut de la Banque centrale, aux banques et établissements financiers, ainsi qu’aux nouvelles réglementations telles que le crowdfunding et le renseignement de crédit.

En clarifiant les spécifications des documents officiels des inspecteurs, la Banque centrale de Tunisie renforce la transparence et la conformité dans ses activités de contrôle sur place, garantissant ainsi un suivi rigoureux des établissements financiers et des opérations de change sur le territoire.

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Tunisie: l’inflation se stabilise à 4,9% en novembre 2025

En novembre 2025, le taux d’inflation en Tunisie s’est maintenu à 4,9 %, selon les chiffres publiés par l’Institut National de la Statistique (INS). Cette stabilité résulte d’un équilibre entre certaines hausses et baisses de prix dans différents secteurs.

Les prix des produits alimentaires ont continué de progresser, avec une hausse de 5,8 % sur un an. Cette augmentation est principalement due à la flambée des prix de la viande d’agneau (+18,5 %), des légumes frais (+15,9 %), des fruits frais (+11,5 %), de la viande bovine (+10,4 %) et du poisson frais (+10 %). À l’inverse, les prix des huiles alimentaires ont chuté de 17,3 %.

Pour les produits manufacturés, l’augmentation annuelle atteint 5 %, tirée par les vêtements et chaussures (+9,2 %) et les produits d’entretien (+5 %). Les services ont vu leurs prix augmenter de 4 %, principalement à cause des restaurants, cafés et hôtels (+6,2 %).

L’inflation sous-jacente, qui exclut les produits alimentaires et l’énergie, a légèrement baissé pour s’établir à 5 %, tandis que les produits non encadrés augmentent de 6 % et les produits encadrés de 0,7 %.

Sur un mois, les prix à la consommation ont augmenté de 0,1 % par rapport à octobre 2025. Cette légère hausse est portée par l’habillement et les chaussures (+0,4 %) et les loisirs et culture (+0,3 %), alors que les produits alimentaires ont légèrement reculé (-0,3 %). Cette baisse concerne notamment les huiles alimentaires (-3,2 %), la volaille (-2,3 %) et la viande ovine (-0,1 %), alors que les fruits frais et les œufs ont augmenté légèrement (+0,4 % chacun).

En termes de contribution à l’inflation globale, les produits manufacturés et les services restent les principaux moteurs, avec respectivement 1,9 % et 1,3 %. Pour les régimes de prix, les produits non alimentaires libres et les produits alimentaires libres sont les plus impactants, contribuant à hauteur de 3,1 % et 1,6 % à l’inflation.

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