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AGRICULTURE | Céréales : «L’autosuffisance céréalière n’est pas un slogan, c’est un plan de survie» Estime Fethi Ben Khlifa – UTAP

Fethi Ben KhelifaLa campagne céréalière 2024-2025 a été saluée comme « exceptionnelle ». Pourtant, derrière les chiffres, la Tunisie reste dépendante des importations de blé tendre et vulnérable aux aléas climatiques. Dans cet entretien, Fethi Ben Khalifa, conseiller économique (UTAP) rappelle que la souveraineté alimentaire ne peut se réduire à des slogans : elle exige une stratégie nationale, l’exploitation des terres domaniales, des centres de stockage efficaces et un accompagnement réel des agriculteurs.

On a parlé d’une saison exceptionnelle, certains ont même évoqué 20 millions de quintaux. Qu’en est-il réellement ?

La collecte a atteint environ 12 millions de quintaux, dont 90 % de blé dur. Mais nous continuons à importer du blé tendre pour la consommation humaine – pain, pâtes, farine. Ce n’est donc pas une campagne exceptionnelle, mais une campagne correcte après deux années de sécheresse. En 2019, nous avions fait mieux.

« La collecte atteint 12 millions de quintaux, mais ce niveau n’a rien d’exceptionnel. Après deux années de sécheresse, nous revenons à une récolte correcte, loin de celle de 2019. »

Comment expliquer cette dépendance persistante au blé tendre ?

La Tunisie produit surtout du blé dur. Pour le blé tendre, indispensable à notre alimentation, nous importons près de 75 % de nos besoins. C’est une vulnérabilité majeure.

La solution passe par une meilleure valorisation des terres domaniales : l’État doit via une stratégie nationale pouvoir réserver une partie importante de ses terres aux céréales et aussi faciliter aux agriculteurs l’exploitation de périmètres irrigués aux céréales plutôt que de les laisser à des cultures de confort comme les pastèques ou les tomates.

La souveraineté alimentaire exige des choix clairs et assumés.

Certains agriculteurs ont été sanctionnés pour avoir stocké leurs semences. Est-ce un problème de cadre légal ?

Oui. Aujourd’hui, il est urgent d’autoriser légalement les agriculteurs à conserver une partie de leur production pour la saison suivante. Sinon, nous restons dépendants des appels d’offres internationaux – 200.000, 300.000 tonnes – et exposés aux aléas du marché mondial.

La guerre en Ukraine nous a montré qu’on peut avoir de l’argent, mais ne pas pouvoir importer. Le stockage doit être une stratégie nationale, pas un slogan destiné à calmer l’opinion publique.

« La Tunisie produit surtout du blé dur et importe près de 75 % du blé tendre indispensable à son alimentation. C’est une vulnérabilité structurelle. »

Justement, que devraient être ces centres de stockage ?

Ils doivent garantir la sécurité alimentaire. Aujourd’hui, les annonces de « centres de stockage » sont souvent des effets d’annonce. Or, il faut des infrastructures modernes, capables de conserver les céréales dans de bonnes conditions, avec une gestion transparente. Sans cela, nous risquons de perdre une partie de la récolte et de continuer à importer.

Le stockage est un pilier de la souveraineté, au même titre que la production.

Le financement agricole est-il adapté à ces enjeux ?

Non. Les crédits de campagne sont instables, parfois sans garantie, et les taux atteignent 12 % pour un secteur fragile.

En 2024-2025, seulement 3,4 % des crédits économiques ont été alloués à l’agriculture.

Les offices de l’État absorbent la majorité des financements, laissant les agriculteurs marginalisés. Pourtant, ce sont eux qui prennent les risques, face aux sécheresses et aux aléas climatiques. Il faut un accompagnement réel, avec des crédits accessibles et des indemnisations rapides en cas de pertes.

Il convient de rappeler que les agriculteurs contribuent, de leurs propres ressources, à un Fonds censé les protéger contre les aléas climatiques. Pourtant, la promesse d’accompagnement reste largement théorique : les indemnisations tardent, parfois ne viennent jamais, et ceux qui devraient être soutenus se retrouvent seuls face aux pertes.

Autrement dit, un mécanisme pensé comme un filet de sécurité s’est transformé en mirage, laissant les producteurs dans une vulnérabilité accrue.

« Sans centres modernes et transparents, le stockage reste un slogan. C’est pourtant un pilier de la souveraineté alimentaire, au même titre que la production. »

Qu’en est-il des semences locales et de la recherche scientifique ?

Nous avons un Institut national des grandes cultures, financé par les taxes des agriculteurs. Il faut valoriser les semences sélectionnées – cette année, 517.000 quintaux – et investir dans la recherche pour améliorer la productivité. Sans OGM, mais avec des variétés adaptées à notre climat.

Si nous passons de 14 à 20 quintaux en moyenne sur un million d’hectares, nous atteignons déjà 6 millions de quintaux supplémentaires. C’est une équation simple : améliorer les rendements, c’est réduire les importations.

« Les producteurs financent un fonds censé les protéger contre les aléas climatiques, mais les compensations annoncées n’arrivent pas. Ce décalage détruit la confiance. »

Les agriculteurs réclament aussi des indemnisations pour les aléas climatiques…

C’est un droit. Ils cotisent à un fonds, mais les compensations annoncées pour 2023-2024 n’ont pas été versées. L’État doit respecter ses engagements, sinon la confiance s’effondre.

Les agriculteurs sont les premières victimes des sécheresses et des aléas climatiques. Sans accompagnement, ils ne peuvent pas investir ni améliorer leurs rendements. La souveraineté alimentaire passe par eux.

« Passer de 14 à 20 quintaux par hectare permettrait de gagner 6 millions de quintaux. L’amélioration des rendements reste la voie la plus rapide pour réduire la dépendance. »

En résumé, quelles sont les priorités pour la Tunisie ?

Il faut axer sur volets :

  • Exploiter les terres domaniales pour produire du blé tendre et réduire notre dépendance.
  • Construire de vrais centres de stockage, modernes et transparents, pour sécuriser les récoltes.
  • Accompagner les agriculteurs, avec des financements accessibles, des indemnisations rapides et une recherche scientifique adaptée.

La sécurité alimentaire n’est pas un luxe pour la Tunisie, c’est une condition de stabilité nationale. Dans un pays exposé aux aléas climatiques et dépendant des marchés internationaux, garantir l’accès régulier à des céréales de qualité relève autant de la souveraineté que de la dignité.

Les crises récentes – pandémie, guerre en Ukraine, sécheresses – ont montré que l’argent seul ne suffit pas : sans production locale, sans centres de stockage fiables et sans stratégie claire, le pays reste vulnérable.

Assurer la sécurité alimentaire, c’est protéger la population contre les ruptures, préserver l’équilibre social et donner aux agriculteurs la place qu’ils méritent dans le projet national.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • La campagne 2024-2025 atteint 12 millions de quintaux, mais reste loin de l’autosuffisance.
  • La Tunisie importe 75 % du blé tendre et demeure vulnérable aux crises internationales.
  • Le stockage, encore limité, doit devenir un axe stratégique pour sécuriser la récolte.
  • Les agriculteurs manquent d’un financement accessible et d’indemnisations rapides.
  • La recherche et l’augmentation des rendements sont essentielles pour réduire les importations.

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Résolution 1325 : un forum africain à Tunis pour renforcer l’agenda Femme-Paix-Sécurité

Les travaux de la 6ème session du Forum Africain de haut niveau sur la femme, la paix et la sécurité, placée sous le thème “25 ans après la résolution 1325 du conseil de sécurité : mobilisation de la diplomatie multipartite pour renforcer l’agenda de la femme, de la paix et de la sécurité en Afrique dans un système mondial en mutation” ont démarré, mardi, au siège de l’académie diplomatique internationale à Tunis.

La ministre de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées Asma Jebri, a souligné dans son allocution d’ouverture de cette rencontre qui se tient durant deux jours, que ce forum africain constitue une plateforme importante pour mettre en valeur l’héritage commun et les efforts déployés au cours des deux dernières décennies en faveur des femmes africaines et pour évaluer et développer les différentes approches à l’aide de mécanismes innovants permettant de promouvoir les conditions des femmes et des filles face aux nouveaux défis à l’échelle mondiale, tels que la transformation numérique, les changements climatiques et la recrudescence de la violence et de l’extrémisme.

Elle a indiqué que la Tunisie a adopté le premier plan national de mise en œuvre de la résolution 1325 pour la période 2018-2022, selon une approche participative qui a réuni les différentes structures gouvernementales et les associations concernées, ajoutant qu’à la lumière des résultats d’évaluation du premier plan, le ministère de la famille a entamé l’élaboration du deuxième plan national basée sur une méthodologie participative avec les différentes structures gouvernementales et les associations concernées.

Le deuxième plan national vise à renforcer la participation active des femmes tunisiennes dans les domaines de la sécurité, de l’armée, de la diplomatie et des douanes et à appuyer la participation politique et publique des femmes, à promouvoir leur capacités et leurs rôles dans le maintien de la paix et à mettre en place des mécanismes institutionnels en faveur de l’égalité, de la lutte contre la violence et la discrimination et l’accès à la justice.

La ministre a affirmé que la durabilité réelle de la résolution 1325 ne peut être concrétisée qu’à travers la solidarité entre les pays africains et l’échange d’expériences, notant que la mise en œuvre de cette résolution constitue un choix stratégique qui reflète une vision participative pour l’édification d’une société plus inclusive et équitable.

A noter que le forum africain de haut niveau sur la femme, la paix et la sécurité vise à renforcer la volonté politique commune et à mobiliser les partenariats, pour préparer la prochaine décennie de mise en œuvre de l’agenda 2026-2035 et atteindre les objectifs de l’agenda africain 2063, dans le cadre d’une dynamique visant à soutenir l’action commune et renforcer les opportunités de partenariat, de coopération et d’échange d’expériences entre les différents pays du continent Africain.

Participent à ce forum, le ministre des Affaires étrangères, de la migration et des tunisiens à l’étranger, la ministre de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées, des représentants de plusieurs gouvernements, de l’ONU Femmes, de l’Union africaine, ainsi qu’un certain nombre d’organisations internationales et régionales et des experts dans le domaine du leadership féminin et de la jeunesse.

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La TGM Gallery célèbre l’École de Tunis avec une exposition inédite

Le vernissage de l’exposition sur “Les peintres de l’Ecole de Tunis” aura lieu à la TGM Gallery à la Marsa dès 17h, avec la présentation au public de plus de 40 œuvres, dont certaines puisées de collections privées, qui soulignent le parcours artistique d’un courant qui a marqué les arts-plastiques en Tunisie et mettre en relief ce riche patrimoine pictural.

Le public passionné pourra découvrir des œuvres des fondateurs et des membres de l’Ecole de Tunis avec Pierre Boucherle (1894-1988), Antonio Corpora (1909-2004), Moses Levy (1885/1968), Jules Lellouche (1903/1963), Aly Bellagha (1924-2006), Jallel Ben Abdallah (1921-2017), Fethi Ben Zakour (1947), Brahim Dhahak (1931-2004), Amar Farhat (1911-1987), Abdelaziz Gorgi (1908/1928), Hassen Soufy (1937), Hedi Turki (1922/2019), Zoubeir Turki (1924 /2006) et YahiaTurki (1903/1969).
Cette exposition se poursuivra jusqu’au 18 janvier 2026.

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HR Awards Tunisie 2025 : quand l’excellence RH rencontre l’éthique et la durabilité

Les HR Awards Tunisie reviennent pour leur 12ᵉ édition et s’imposent comme le rendez-vous incontournable des professionnels des ressources humaines. Organisés par l’Association des Responsables de Formation et de Gestion Humaine dans les Entreprises (ARFORGHE), ces prix récompensent les entreprises tunisiennes qui innovent et s’engagent pour un management responsable, performant et durable.

Un prix au service de la transformation RH

Depuis leur lancement en 2013, les HR Awards ont pour objectif de valoriser les meilleures pratiques de gestion des talents et de promouvoir une culture managériale moderne. Chaque édition met en avant une thématique clé : après l’excellence managériale et la créativité RH, l’édition 2024 – baptisée HR Awards HREDD – a marqué une étape décisive en plaçant au cœur du débat les droits humains et la diligence environnementale.

En partenariat avec la GIZ Tunisie, cette édition a récompensé les entreprises publiques et privées qui placent l’éthique, la transparence et la responsabilité sociale au centre de leur stratégie RH.

Des voix fortes pour porter la vision

« Le manager de demain sera hybride, technophile mais profondément humain », affirme Mounira Bouzouita, Présidente de l’ARFORGHE, rappelant que l’exemplarité, l’intelligence collective et l’engagement humain restent les piliers d’un management performant.

De son côté, Michel Bauer, représentant résident de la Fondation Konrad Adenauer (KAS), insiste sur la portée internationale de l’événement :

« L’innovation doit être mise au service de l’humain. Les HR Awards rapprochent la Tunisie des standards internationaux tout en consolidant une gouvernance responsable et transparente. »

Un processus rigoureux et crédible

Les entreprises participantes sont évaluées par un comité d’experts à travers un audit approfondi de leurs pratiques. Ce processus garantit la crédibilité des distinctions attribuées et permet de mettre en lumière des success stories locales qui deviennent des modèles reproductibles pour l’ensemble du tissu économique tunisien.

Une portée nationale et internationale

Les HR Awards contribuent à renforcer la confiance des acteurs économiques, à diffuser des standards internationaux et à inscrire la Tunisie dans une dynamique de convergence avec les pratiques européennes et mondiales. Ils créent une émulation positive et participent à la modernisation de la fonction RH, essentielle au développement économique et social du pays.

“Les ressources humaines sont les architectes d’un environnement où le talent s’épanouit” disent les experts, le RH “est un chef d’orchestre qui harmonise les talents pour créer une symphonie de réussite, un moteur de performance qui génère de la valeur ajoutée”.

 

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Bourse Tunis : BIAT la valeur la plus dynamique malgré une séance stable

Le marché boursier a terminé la séance proche de l’équilibre à 13223 points, dans un volume relativement soutenu de 10,4 MD. Les échanges ont notamment profité de la réalisation d’une transaction de bloc sur le titre POULINA GROUP HOLDING, portant sur une enveloppe de 1 MD, rapporte l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre TELNET HOLDING s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du spécialiste de l’ingénierie et du conseil en technologies a signé une progression de 4,8 % à 6,600 D, dans un flux réduit de 95 mille dinars. Le titre UNIMED a également figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du fleuron national des produits stériles a inscrit une avancée de 3% à 8,860 D. La valeur a animé la séance avec des échanges de 828 mille dinars.

BIAT a été la valeur la plus dynamique de la séance. L’action de la banque a terminé la séance inchangée à 109,000 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 1,6 milliard de dinars.

En revanche, le titre BTE s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action de l’ancienne banque de développement s’est repliée de 3,4 % à 3,400 D. La valeur a été échangée à hauteur de 34 mille dinars seulement sur la séance. Le titre STAR a aussi été mal orienté sur la séance. Son action a baissé de 3 % à 211 D. La valeur a amassé un volume de plus de 600 mille dinars sur la séance.

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Tunis élue Capitale du tourisme arabe 2027 : un honneur pour la Tunisie

Tunis a été élue capitale du tourisme arabe pour l’année 2027, à l’occasion de la 28e session ordinaire du Conseil ministériel arabe du tourisme, tenue à Bagdad, en Irak, les 8 et 9 décembre 2025.

Cette distinction reflète une reconnaissance arabe des atouts touristiques, culturels et archéologiques de la capitale de la Tunisie et met en valeur ses spécificités dans les domaines des arts, de l’artisanat, du patrimoine et de la créativité urbaine et architecturale, outre son adhésion au Réseau des Villes créatives de l’UNESCO pour l’année 2026.

Lors de cet évènement, la Tunisie a, par ailleurs, été élue membre du bureau exécutif et vice-présidente du Conseil ministériel arabe du tourisme.

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Soufiane Tekaya, qui prenait part aux travaux de cette session, a déclaré que la réunion ministérielle se tient dans un contexte marqué par des changements rapides au niveau mondial qui font du tourisme un secteur vital, où se croisent les enjeux économiques, sociaux et culturels, et dont la gestion exige une vision prospective fondée sur la flexibilité, l’innovation et la durabilité.

Cité dans un communiqué du département du Tourisme, le ministre a ajouté “qu’il est aujourd’hui clair que l’avenir du tourisme arabe dépendra du niveau de coopération entre les pays arabes et leur capacité à construire un système régional intégré qui dépasse les initiatives isolées pour aboutir à des projets concrets communs”.

Il a, par ailleurs, évoqué les efforts déployés par la Tunisie, ces dernières années, pour développer son infrastructure touristique en misant sur la numérisation, la promotion via le recours aux technologies modernes, à l’intelligence artificielle et à la création de contenu.

La Tunisie travaille également, selon le ministre, à stimuler l’investissement touristique, à renforcer la qualité des services, à évoluer vers un tourisme haut de gamme, à soutenir les startups, tout en accordant un intérêt particulier aux produits touristiques porteurs tels que le tourisme culturel, le tourisme de santé, le tourisme de congrès, le tourisme saharien et oasien, devenus des atouts principaux de l’offre touristique tunisienne.

Tekaya a, en outre, réaffirmé “la position inébranlable de la Tunisie en faveur du peuple palestinien frère et son engagement à protéger son patrimoine touristique et à le promouvoir en tant que partie intégrante de l’identité culturelle arabe commune”.

À l’occasion de cette participation, le ministre s’est entretenu avec les ministres du Tourisme libyen, jordanien, omanais et irakien, ainsi qu’avec la ministre du Tourisme bahreïnienne.

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Zaghouan : la campagne oléicole progresse à 40 % avec 29 000 tonnes d’olives transformées

La compagne de récolte des olives se poursuit à un rythme soutenu dans le gouvernorat de Zaghouan, enregistrant un avancement d’environ 40%, selon le chef du département de la production végétale au commissariat régional au développement agricole (CRDA).

Il a souligné à l’Agence TAP, que le taux de couverture en main-d’œuvre dans les oliveraies s’élève à près de 80%, principalement dans les grandes exploitations, privilégiées par les ouvriers en raison de la durée plus longue des journées de travail.

Depuis le lancement de la campagne le 27 octobre dernier, environ 29 mille tonnes d’olives ont été transformés, sur un total estimé à 80 mille tonnes réparties sur 63 mille hectares d’oliveraies.

Le nombre d’huileries en activité cette saison s’élève à 32 unités, avec une capacité de transformation d’environ 2 650 tonnes/ jour.

Le rendement en huile oscille entre 18 et 26 litre/quintal, un taux susceptible d’augmenter dans les prochains jours, dans l’éventualité d’une baisse de température, a précisé la même source.

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Gabès : 110 microprojets financés pour l’autonomisation économique des familles vulnérables

Quelque 110 demandes de financement de microprojets au profit des familles vulnérables au gouvernorat de Gabès ont été examinées, mardi, par la commission régionale chargée de la mise en œuvre du programme d’autonomisation économique.

Les projets retenus bénéficieront d’un financement dans le cadre du programme d’autonomisation économique et d’appui à l’entreprenariat vert. Ils touchent aux secteurs de l’artisanat, des services, du transport des marchandises, de la coiffure, de la couture et de ramendage des filets de pêche notamment dans les régions de Gabès-ouest, Nouvelle Matmata, Menzel Habib et Gabès-ville.

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Sécurité routière : le ministère de l’Intérieur dévoile une plateforme numérique de suivi 2025-2034

Le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, a annoncé, mardi, le lancement d’une plateforme de « suivi et d’évaluation des activités relatives à la stratégie nationale de la sécurité routière ».

Lors de l’ouverture, mardi, à Tunis, de la 16e session des activités du conseil national de la sécurité routière, le ministre a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la détermination à renforcer la gouvernance et unifier les efforts afin d’améliorer le rendement et garantir la sécurité des usagers de la route.

La sécurité routière, a-t-il dit, constitue un défi national au vu des importantes pertes humaines et matérielles générées par les accidents de la route malgré tous les efforts déployés.

« La situation nécessite de développer davantage les mécanismes de prévention, le suivi et l’évaluation à tous les niveaux et passer enfin d’une approche réactive à une approche d’anticipation et d’identification des facteurs de risque », a-t-il souligné.

Selon le ministre, le système de sécurité routière requiert de coordonner entre les différents intervenants, suivre et exploiter les développements technologiques et alterner de manière équilibrée entre sensibilisation, surveillance et dissuasion.

Il est important aussi, a-t-il poursuivi, d’appuyer l’action régionale, notamment en mettant en application les résultats des commissions régionales de la sécurité routière, et de développer les bases de données.

Le ministère de l’Intérieur et ses partenaires ont procédé à l’élaboration d’une stratégie nationale de sécurité routière multisectorielle afin de faire face à tous les défis dans le domaine, a-t-il encore affirmé.

Pour sa part, Aymen Ben Brahim, président de la section régionale du nord-est et rapporteur du comité directeur de la stratégie nationale multisectorielle pour la sécurité routière, a indiqué qu’une plateforme numérique chargée du suivi de la mise en œuvre des activités de la stratégie nationale multisectorielle vient d’être approuvée.

Il s’agit d’exploiter la numérisation du travail administratif qui se chargera de suivre les activités de la stratégie (de 2025 à 2034) et de garantir un bon suivi de la mise en œuvre des activités auxquelles participent de nombreuses structures ministérielles, des composantes de la société civile et le secteur privé.

Cette plateforme va permettre l’interaction entre les différents intervenants dans le secteur routier et, par conséquent, « l’amélioration des indicateurs relatifs à l’infrastructure et aux routes du pays de manière à garantir une réduction du nombre de décès et de blessés et ce, dans le cadre de l’objectif stratégique visant à atteindre une baisse de 50 % du nombre de morts et de blessés d’ici 2034 ».

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Tunis accueille FITA 2026 : le Canada au cœur de la nouvelle dynamique d’investissement Afrique

La 9ᵉ édition de la conférence internationale Financing Investment and Trade in Africa (FITA 2026), se tiendra les 28 et 29 avril 2026 à Tunis, a indiqué Tunisia Africa Business Council (TABC), dans un communiqué publié mardi.

“Il s’agit de l’une des plateformes économiques les plus influentes en Afrique, rassemblant décideurs publics et privés, institutions financières internationales, experts de haut niveau et entreprises opérant dans des secteurs clés”.

Le Canada sera l’Invité d’Honneur de cette édition. Ce choix illustre la volonté commune de renforcer la coopération économique entre la Tunisie et le Canada, tout en ouvrant de nouvelles perspectives de partenariat à l’échelle du continent africain, précise le TABC.

L’édition 2026 sera marquée par une présence institutionnelle et privée canadienne de haut niveau, avec la collaboration étroite de l’ambassade du Canada en Tunisie et l’ambassade de la Tunisie au Canada, qui joueront un rôle central dans la coordination et l’accompagnement des entreprises canadiennes participantes.

Cette mobilisation ouvre la voie à un approfondissement des échanges économiques, commerciaux et technologiques entre les deux pays et leurs partenaires africains..

Le programme de FITA 2026 proposera deux journées d’échanges intensifs, articulés autour de panels thématiques d’envergure, de présentations d’experts internationaux, de sessions de networking stratégique, ainsi que de rencontres B2B et B2G destinées à favoriser des partenariats concrets et durables. Un événement parallèle, Canada – Afrique, sera organisé en marge de la conférence.

En plaçant le Canada au cœur de cette neuvième édition, le TABC ambitionne de renforcer la triangulation Canada – Tunisie – Afrique et de soutenir une dynamique renouvelée d’investissement, de commerce et de coopération multisectorielle.

Cette édition vise à catalyser de nouvelles opportunités et à contribuer à l’émergence d’une vision commune fondée sur une croissance durable, inclusive et mutuellement bénéfique.

La participation du Canada en tant qu’invité d’honneur traduit une ambition partagée de consolider les relations économiques, stimuler l’innovation et promouvoir des projets structurants à fort impact pour le développement du continent africain.

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OIM 2025 : la Tunisie obtient l’appui du Groupe africain pour sa première vice-présidence

La Tunisie a été soutenue à l’unanimité par le Groupe africain, le 8 décembre 2025, pour la candidature de sa première vice-présidente au Conseil de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Selon la page Facebook de la Mission permanente de la Tunisie à Genève, cette initiative a eu lieu lors de la séance inaugurale de la 116ᵉ session du Conseil de l’OIM, qui se tient du 8 au 10 décembre 2025 au Centre des congrès de Genève.

Ce soutien unanime des États membres du Groupe africain témoigne de la reconnaissance internationale du rôle actif de la Tunisie dans les questions migratoires et de sa contribution aux travaux de l’OIM.

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Siliana se prépare aux pluies : collecte des déchets, nettoyage des routes et curage des oueds

Les équipes de la direction régionale de l’équipement à Siliana ont mené une série d’interventions dans le cadre des préparatifs pour la saison des pluies.

Les travaux réalisés concernent en particulier le curage des cours d’eau et des oueds, en plus du nettoyage des canalisations d’évacuation des eaux pluviales, a indiqué à l’Agence TAP, le directeur régional de l’équipement, Mehdi El Ouni.

D’autres actions ont porté notamment sur le soutien des municipalités locales dans la collecte des déchets de construction et le nettoyage des routes (balayage des débris, lavage des chaussées, entretien des marquages au sol,..).

Il a ajouté qu’une autre opération de curage de 25 km de cours d’eau sera effectuée, prochainement, dans la région.

Par ailleurs, une machine de déneigement a été mobilisée pour intervenir rapidement en cas de changements météorologiques, selon la même source.

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RNE tunisien : contributions à la lutte contre l’évasion fiscale lors du Forum mondial à New Delhi

Le Registre National des Entreprises (RNE), représenté par son Directeur Général, Mohamed Adel Chouari, a pris part à la 18ᵉ réunion plénière du Forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des fins fiscales sous le thème « Transparence fiscale : concrétiser une vision commune grâce à la coopération internationale », organisée récemment, à New Delhi , en Inde.

Organisée, du 1 er au 5 décembre 2025, par le gouvernement Indien sous l’égide de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), cette édition a rassemblé plus de 400 participants, a rapporté un communiqué du RNE publié, mardi.

Y ont pris part des représentants de gouvernements, des commissaires fiscaux, des autorités nationales ainsi que des experts issus de 120 juridictions membres et non membres du Forum mondial, en plus de diverses organisations internationales.

Cette rencontre a offert une plateforme d’échanges de haut niveau permettant aux délégations de réfléchir aux dernières réalisations collectives, de discuter des nouveaux défis et de stimuler les progrès mondiaux dans la lutte contre l’évasion fiscale transfrontalière.

La participation du RNE était l’occasion d’exposer l’expérience tunisienne en matière de mise en place d’un registre centralisé des bénéficiaires effectifs.

Intervenant lors d’un atelier consacré au sujet :« Les registres centraux : une voie vers la transparence des bénéficiaires effectifs », Chouari est revenu sur le modèle tunisien et le processus d’implémentation du registre, les défis rencontrés et les progrès réalisés en la matière.

Et de rappeler l’engagement du RNE et son rôle dans le renforcement de la transparence économique et la lutte contre les flux financiers illicites, outre la contribution active de la Tunisie aux travaux menés par l’OCDE pour l’élaboration d’un cadre législatif type dédié aux registres centraux des bénéficiaires effectifs.

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Couverture santé universelle : état des lieux et propositions pour la réforme du système tunisien

L’Association tunisienne de défense du droit à la santé (ATDDS) organise une conférence, jeudi 11 décembre à Tunis, pour dresser le bilan de la couverture santé en Tunisie et formuler des propositions en vue d’atteindre la couverture santé universelle (CSU).

Cet événement s’inscrit dans le cadre de la Journée mondiale de la couverture de la santé universelle, célébrée cette année sous le thème : « Soins trop chers ? On en est malades ! ».

La rencontre vise à établir un état des lieux du système de santé tunisien, à évaluer les progrès accomplis dans la mise en œuvre de la CSU, à identifier les obstacles structurels entravant l’accès universel aux soins et à formuler des propositions concrètes pour une réforme du système, en faveur d’un accès équitable, universel et financièrement protégé.

Selon un communiqué de l’ATDDS, dont une copie est parvenue à l’agence TAP, la conférence intervient dans un contexte marqué par des dysfonctionnements croissants du secteur public, notamment après le décès tragique d’une jeune femme à Gafsa en juillet 2025, et face aux lacunes persistantes dans la protection sociale des catégories vulnérables, telles que les ouvrières agricoles.

Les débats porteront sur les principes de la CSU, le bilan de la couverture santé en Tunisie, les difficultés du système public, des cas concrets de défaillances, ainsi que des pistes pour aligner les politiques nationales sur les engagements internationaux, en particulier les Objectifs de développement durable (ODD).

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la CSU repose sur trois piliers : un accès équitable aux services de santé essentiels, une qualité garantie des soins et une protection financière évitant que les dépenses de santé ne plongent les ménages dans la pauvreté. Elle couvre un large spectre d’interventions, de la prévention aux soins palliatifs, et constitue un levier essentiel de justice sociale et de développement économique.

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CEPEX accompagne les entreprises tunisiennes au salon international In Cosmetics Global

Le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) organise la participation des entreprises tunisiennes au salon « In Cosmetics Global » qui se tiendra du 14 au 16 Avril 2026, à Paris, en France.

Avec plus de 1030 exposants et près de 12 000 participants, le salon InCosmetics est considéré comme une plateforme qui regroupe tous les professionnels de l’amont de l’industrie cosmétique notamment les fournisseurs de matières premières, les distributeurs d’ingrédients, les fabricants et les formateurs de produits cosmétiques, indique le Cepex.

Ce salon offre l’occasion aux entreprises tunisiennes de découvrir les dernières innovations en matière d’ingrédients cosmétiques, de formulations et de technologies, ainsi que les solutions innovantes, en vue de maintenir leur compétitivité sur le marché.

Il leur permettra aussi de renforcer leur visibilité à l’international, d’établir des contacts avec des experts du secteur et de créer des opportunités de collaboration avec des opérateurs internationaux.

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Transport maritime : la Compagnie tunisienne de navigation lance les réservations pour la saison 2026

La Compagnie tunisienne de navigation (CTN) a annoncé, mardi, l’ouverture, à partir du 16 décembre 2025, des réservations sur les lignes Marseille et Gênes pour la saison 2026.

La compagnie a précisé dans un communiqué que les réservations sont possibles dans les agences CTN et les agences de voyage partenaires en Tunisie et en Europe, ainsi que sur son site web : www.ctn.com.tn.

 

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Médina de Tunis : colloque international explore le rôle des patios dans l’habitat durable et culturel

La première édition du colloque international « Cours et Patios en Méditerranée » se tiendra du 12 au 14 février 2026 dans la Médina de Tunis, placée sous l’égide de l’École Nationale d’Architecture et d’Urbanisme (ENAU). La rencontre est organisée en partenariat avec plusieurs laboratoires de recherche tunisiens, l’Association de Sauvegarde de la Médina de Tunis (ASM) et l’Association Villes Historiques de la Tunisie et de la Méditerranée (AVHTM).

Ce rendez-vous scientifique et culturel, annoncé sur une page Facebook dédiée, réunira chercheurs, architectes, artistes et praticiens autour de l’archétype méditerranéen de la maison à cour ou à patio, abordé sous ses multiples dimensions : historique, bioclimatique, sociale, philosophique et artistique.

Le colloque adopte une approche pluridisciplinaire articulée autour de quatre axes : le rôle structurant de la cour et du patio dans l’habitat méditerranéen et leurs qualités bioclimatiques et environnementales, les expériences sensibles et phénoménologiques qu’ils suscitent, et leur réinvention à travers les expérimentations architecturales, du XXᵉ siècle à leurs résonances contemporaines.

Face aux défis climatiques, sociaux et culturels actuels, le patio est réinterrogé en tant que modèle de durabilité environnementale et espace de reconnexion à soi, aux autres et à la nature.

Le programme comprendra des contributions scientifiques, des retours d’expérience et des installations artistiques.

Des invités représentant plusieurs pays méditerranéens, dont le Maroc, l’Égypte, l’Espagne, l’Italie, le Portugal et la France, prendront part à ce dialogue autour d’un patrimoine architectural partagé et vivant. Une visite guidée des patios emblématiques de la Médina de Tunis clôturera les trois jours de débats.

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Tunisie : colloque sur l’histoire de l’esclavage et son actualité au XXIe siècle à Beït al-Hikma

L’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts, Beït al-Hikma organise un colloque sur le thème “De l’esclavage en Tunisie à son abolition et à son actualité aujourd’hui” au Palais Ennejma Ezzahra le 11 décembre et au siège de l’Académie Beït al-Hikma le 12 décembre. Le programme de cette rencontre, qui comporte des communications en arabe et en français, démarre le jeudi à 10 h.

L’ouverture de cette manifestation sera effectuée par le Président de l’Académie Beït al-Hikma, Mahmoud Ben Romdhane et la première séance sera consacrée à “L’histoire de la présence des noirs africains en Tunisie. Un film documentaire de Hichem Ben Ammar sera ensuite présenté.

La seconde séance, portera sur les “origines du décret de l’abolition de l’esclavage par Ahmed Bey”.

Les travaux du colloque se poursuivent le vendredi 12 décembre au Palais Ennejma Ezzahra avec la troisième séance qui abordera le thème de “L’esclavage en Tunisie entre abolition et pratiques sociales” alors que la quatrième séance, présidée par Mr M’hamed Oualdi, sera consacrée à l” Actualité de l’esclavage en Tunisie de nos jours”.

Parmi les thèmes abordés figurent ceux portant sur « Des premiers siècles de l’islam à l’abolition de l’esclavage en Tunisie au XIXe siècle », « Aux origines du décret de l’abolition de l’esclavage par Ahmed Bey » « Processus d’abolition et de racialisation de l’esclavage en Tunisie et dans le Maghreb », « L’abolition de l’esclavage en Tunisie est-elle le produit de <pressions>> étrangères ? » et « Au-delà de 1846 repenser l’abolition de l’esclavage en Tunisie dans le contexte des longues transformations du XIXe siècle dans la région MEΝΑ”.

« L’esclavage en Tunisie entre abolition et pratiques sociales », « Tunis, au carrefour des traites aux XVIlle et XIXe siècles », « Les revers d’une abolition représailles et violences au lendemain de janvier 1846 », « La périodisation de l’histoire moderne et contemporaine occidentale: un périlleux défi analytique pour les chercheurs/euses africain(e)s des sciences sociales et humaines » et « De l’abolition de l’esclavage à la loi numéro 2018-50: les héritages de la traite dans la société tunisienne » seront également débattus.

Les intervenants du colloque sont Jaafar Bennasr, Taoufik Ben Ameur, Hayet Mejri, Salah Trabelsi, Abdelhamid Henia, Moncef Ben Abdeljalil, Ismael Musah Montana, Jaafar Bennasr et Marwa Marnaoui, Taoufik Ben Ameur, Hayet Mejri, Inès Mrad Dali, Yamina Ouni, Leila Zaghdoud, Alain Pascal Kaly, Inès Reguiga, Mohamed Jouili, Rebah Argoubi, et Anis Ben Amor qui présenteront des communications liées à ce thème.

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