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La Tunisie parmi les pays bénéficiaires du programme régional Digital Trade and E‑Commerce MENA

Le 4 décembre 2025, la Tunisie a officiellement lancé le programme “Digital Trade and E-Commerce in the MENA Region“, destiné à stimuler le commerce numérique et à renforcer l’intégration économique régionale. La cérémonie s’est tenue à l’hôtel Mövenpick du Lac, sous l’égide du ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid.

À cette occasion, Giuseppe Perrone, ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, a souligné l’importance du partenariat tuniso-européen. Selon lui, l’accord d’association signé il y a 30 ans a soutenu la croissance économique du pays, multiplié par quatre les exportations tunisiennes vers l’UE et attiré près de 48% des investissements étrangers, avec environ 3 400 entreprises européennes employant plus de 400 000 personnes. 

Aujourd’hui, le commerce numérique devient un levier stratégique. “Moderniser les outils numériques, généraliser la signature et la facturation électroniques, renforcer les solutions de paiement transfrontalières et établir un cadre réglementaire incluant la protection des données et des consommateurs sont autant d’étapes nécessaires”, explique-t-il. Il ajoute, au fil de ses propos, que le programme entend accompagner l’administration dans la modernisation réglementaire et soutenir le secteur privé via le dialogue public-privé. “Il cible particulièrement les jeunes, offrant de nouvelles opportunités d’emploi et permettant aux petites et moyennes entreprises tunisiennes de se projeter sur les marchés internationaux avec davantage d’agilité et de rapidité”, déclare Giuseppe Perrone.

Pour sa part, Jacqueline Groth, cheffe de la Coopération au sein de l‘ambassade d’Allemagne à Tunis, a souligné que cette initiative s’inscrit dans la stratégie tunisienne de transformation numérique, visant à moderniser les échanges commerciaux transfrontaliers et à renforcer la compétitivité des entreprises sur les marchés internationaux.

Elle a salué les efforts de la Tunisie, engagée depuis plusieurs années dans une dynamique numérique ambitieuse: «La Tunisie dispose aujourd’hui de tous les atouts: une position géographique stratégique, un écosystème numérique dynamique, un haut niveau de connectivité et la capacité de s’aligner rapidement sur les standards internationaux grâce aux nombreux projets de digitalisation en cours».

Le programme apportera un soutien technique et des outils digitaux pour lever les obstacles au commerce transfrontalier. Jacqueline Groth a également rappelé la solidité du partenariat tuniso-allemand, qui fêtera son 70ᵉ anniversaire l’an prochain.

 Le programme s’articule autour de 5 axes:

  1. Harmonisation des cadres juridiques entre les pays de la région. 

  2. Développement d’outils numériques: solutions de paiement, signature électronique, plateformes dédiées. 

  3. Modernisation des procédures douanières et logistiques.

  4. Renforcement des capacités des PME et BSOs, grâce au dialogue public-privé. 

  5. Promotion de la coopération régionale, notamment à travers l’Union pour la Méditerranée.  

Plusieurs témoignages d’entreprises tunisiennes, déjà engagées dans l’internationalisation via le e-commerce, ont illustré le potentiel considérable du pays: un écosystème numérique en croissance, des solutions logistiques adaptées et un cadre réglementaire en cours de modernisation.

Selon les organisateurs, il contribuera à fluidifier les échanges transfrontaliers, à soutenir l’innovation, à créer des emplois et à positionner la Tunisie comme un acteur clé du commerce digital dans la région MENA.

Doté d’un budget de près de 12 millions d’euros et cofinancé  par l’Union européenne en Tunisie et le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), le programme est mis en œuvre par la GIZ et le Centre du commerce international (ITC) en collaboration avec le ministère tunisien du Commerce et du Développement des exportations. Il couvre 8 pays de la région MENA: Tunisie, Algérie, Égypte, Jordanie, Liban, Libye, Maroc et Palestine

L’initiative vise à renforcer le commerce numérique, l’intégration économique régionale et à favoriser l’accès des PME tunisiennes aux marchés internationaux.

 

 

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La Chine a renforcé le soutien financier aux petites entreprises

Au cours du 14e Plan quinquennal (2021-2025), Pékin a continuellement renforcé ses politiques globales de soutien financier aux particuliers et aux petites entreprises, avec un taux de croissance moyen des prêts totaux ayant dépassé 20%.

Depuis le début de l’élaboration du cadre financier global en 2013, les efforts continus des dirigeants chinois ont considérablement amélioré l’accès des particuliers et des petites entreprises aux outils financiers disponibles.

Les données officielles publiées vendredi 5 décembre montrent que le solde des prêts aux particuliers et aux petites entreprises s’élevait à 35,77 billions de yuans (environ 4,35 billions d’euros) à la fin du mois d’octobre de cette année.

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Diaspora tunisienne : Comment accéder à la ligne de crédit italienne ?

Une session d’information en ligne se tiendra le 10 décembre 2025. Elle s’adresse aux Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) et porte sur les dispositifs de financement destinés aux petites et moyennes entreprises. L’Organisation internationale pour les migrations en Tunisie organise cette rencontre en coopération avec l’Agence italienne pour la coopération au développement et l’Office des Tunisiens à l’Étranger. Elle s’inscrit dans la deuxième phase du projet Mobi-TRE « Hajti Bik ».

Présentation de la ligne de crédit italienne

La session mettra en avant la ligne de crédit italienne dotée d’une enveloppe de 55 millions d’euros. Les organisateurs expliqueront les démarches administratives nécessaires pour accéder à ce financement. Ils rappellent que ce mécanisme vise les TRE souhaitant investir en Tunisie. Les participants pourront poser des questions et identifier les conditions proposées, dont des taux d’intérêt réduits.

Un espace d’échanges pour la diaspora

Selon la page Facebook du projet, la rencontre offrira un espace de dialogue entre des TRE établis dans différents pays. Les échanges permettront de partager des expériences et de présenter des parcours entrepreneuriaux liés à la création ou au développement d’entreprises. Les organisateurs souhaitent encourager une meilleure compréhension des opportunités ouvertes à la diaspora tunisienne.

Renforcer l’implication économique de la diaspora

L’initiative vise à renforcer la participation des TRE dans l’écosystème entrepreneurial tunisien. Les organisateurs invitent les intéressés à prendre part à la session afin d’accéder aux informations utiles et de s’insérer dans les mécanismes d’accompagnement existants. La rencontre se positionne comme un outil de mise en relation et d’orientation pour les membres de la diaspora souhaitant contribuer au développement économique national.

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Session d’information pour les Tunisiens à l’étranger : focus sur les mécanismes de financement des PME

Une session d’information en ligne se tiendra le 10 décembre 2025, destinée aux Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) et axée sur les mécanismes de financement pour les petites et moyennes entreprises (PME).

Initiée par l’Organisation Internationale pour les Migrations en Tunisie (OIM-Tunisie), en collaboration avec l’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS-Tunisie) et l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTE), cet événement s’inscrit dans le cadre de la deuxième phase du projet Mobi-TRE “Hajti Bik”. Il vise notamment à présenter la « ligne de crédit italienne » d’une enveloppe de 55 millions d’euros, à faciliter l’accès au financement pour les TRE souhaitant investir en Tunisie et à expliciter les démarches administratives pour en bénéficier.

Selon la page Facebook dédiée au projet Mobi-TRE “Hajti Bik”, les participants pourront découvrir les conditions avantageuses proposées, telles que des taux d’intérêt réduits, et échanger avec des experts sur les opportunités concrètes offertes à la diaspora tunisienne. Cette session se veut un espace de dialogue et de partage d’expériences entre TRE résidant dans divers pays, contribuant ainsi au développement économique national.

Les organisateurs appellent les Tunisiens résidant à l’étranger à participer activement à cette initiative, afin de renforcer leur implication dans l’écosystème entrepreneurial tunisien.

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Fonds de 55 M€ : Tunis mobilise sa diaspora pour booster les PME

Une session d’information en ligne se tiendra le 10 décembre 2025, destinée aux Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) et axée sur les mécanismes de financement pour les petites et moyennes entreprises (PME).

Initiée par l’Organisation internationale pour les migrations en Tunisie (OIM-Tunisie), en collaboration avec l’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS-Tunisie) et l’Office des Tunisiens à l’étranger (OTE), cet événement s’inscrit dans le cadre de la deuxième phase du projet Mobi-TRE « Hajti Bik ». Il vise notamment à présenter la «ligne de crédit italienne» d’une enveloppe de 55 millions d’euros, à faciliter l’accès au financement pour les TRE souhaitant investir en Tunisie et à expliciter les démarches administratives pour en bénéficier.

Selon la page Facebook dédiée au projet Mobi-TRE « Hajti Bik », les participants pourront découvrir les conditions avantageuses proposées, telles que des taux d’intérêt réduits, et échanger avec des experts sur les opportunités concrètes offertes à la diaspora tunisienne. Cette session se veut un espace de dialogue et de partage d’expériences entre TRE résidant dans divers pays, contribuant ainsi au développement économique national.

Les organisateurs appellent les Tunisiens résidant à l’étranger à participer activement à cette initiative, afin de renforcer leur implication dans l’écosystème entrepreneurial tunisien.

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PLF 2026 : Allègement des dettes des PME auprès de la BFPME

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté, lors d’une séance plénière tenue, jeudi, au palais de Bardo, la proposition du ministère des Finances relative à la régularisation de la situation financière et des dettes des petites et moyennes entreprises (PME) auprès de la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME).

Le texte a été approuvé avec 70 voix pour, 12 contre et 6 abstentions.

Cette mesure concerne les entreprises qui rencontrent des difficultés conjoncturelles ou celles dont les dettes auprès de cette banque sont classées en catégories 4 et 5, à condition de régler intégralement les pénalités de retard et les intérêts contractuels, et ce, en cas de remboursement du principal de la dette.

L’article 23 (nouveau) instaure l’obligation de rembourser le principal de la dette ainsi que les frais, honoraires et pénalités judiciaires dus à la BFPME.

Il prévoit une réduction de 50% des pénalités de retard en cas de rééchelonnement de la dette restante, avec remboursement des frais et honoraires dus à la banque. S’ajoute à cela, un rééchelonnement du principal de la dette et des excédents contractuels sur une période de 7 ans, tout en conservant le taux d’intérêt initial avec un délai de grâce de deux ans.

Cette mesure s’applique aux créances classées jusqu’en 2025. Les demandes pour bénéficier de cette mesure doivent être présentées au plus tard, fin décembre 2026.

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PLF 2026 : l’ARP adopte un article sur la régularisation des promoteurs de PME

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté, mercredi, l’article additionnel n°115 portant régularisation de la situation des promoteurs de petites et moyennes entreprises. Le texte a été approuvé avec 55 voix pour, 29 voix contre, et 12 abstentions.

Adopté lors d’une séance plénière conjointe entre les deux chambres législatives, tenue au palais du Bardo, cet article instaure un mécanisme de régularisation au profit des nouveaux promoteurs ainsi que des promoteurs de petites et moyennes entreprises ayant auparavant bénéficié des ressources du Fonds de développement et de décentralisation industrielle, et pour lesquels plus de 15 ans se sont écoulés depuis la libération des contributions du fonds dans leurs entreprises, sans cession totale ou partielle de ces dernières.

Selon cet article, les promoteurs concernés seront exemptés du paiement des majorations accumulées depuis la libération de la contribution du fonds, à condition que toutes les tentatives légales de cession de cette contribution aient été épuisées par les sociétés d’investissement chargées de la gestion.

Le texte prévoit également l’étalement du remboursement du capital de la contribution sur une durée maximale de sept ans, avec un taux d’intérêt de 3% pour les nouveaux promoteurs, et un taux équivalent à celui des appels d’offres de la Banque centrale pour les promoteurs de petites et moyennes entreprises.

Les sociétés d’investissement peuvent appliquer la même procédure à leurs propres participations, sur la base d’un examen au cas par cas. La cession de la participation du fonds et de la participation propre s’effectuera parallèlement et proportionnellement pour chaque partie.

L’article fixe enfin le 31 décembre 2026 comme dernier délai pour déposer les demandes de régularisation.

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PLF 2026 : L’ARP adopte 12 articles et avance sur les mesures fiscales

L’Assemblée des Représentants du Peuple a repris, mardi, la séance plénière conjointe pour poursuivre l’examen des articles supplémentaires proposés dans le cadre du projet de loi de finances 2026 (PLF2026), présidée  par Ibrahim Bouderbala, président du parlement, et en présence de la ministre des Finances, Mechket Salama Khaldi et la délégation qui l’accompagne.

La séance plénière conjointe a approuvé lundi 12 articles supplémentaires, rejeté 19 articles proposés et retiré 14 autres.

Les articles concernent la Banque Nationale Agricole qui alloue des enveloppes  annuelles de financement des investissements au profit des filières de production agricole, outre le recrutement de 16 agents non actifs dans le cadre du mécanisme 16. Il s’agit également de l’annulation des avantages  lors de l’importation des panneaux solaires.

Le Conseil a, en outre, approuvé un article relatif à l’impôt sur le revenu des personnes physiques et à l’impôt sur les sociétés, et au recrutement de tous les fonctionnaires inscrits dans les listes d’attente dans le cadre de la fonction des assistants de santé relevant du ministère de la Santé, outre la régularisation du  statut des petites et moyennes entreprises auprès de la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME), et l’exonération des droits de douane pour la société nationale de cellulose et du papier Alfa.

Le projet de loi de finances 2026 comprend également une proposition d’exemption exceptionnelle des dettes des “détenteurs de carte de soin et une  autre pour accorder aux employés un congé pour créer une entreprise, et un article pour créer r un fonds de l’eau.

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L’ARP adopte un important dispositif de soutien aux PME en difficulté

L’Assemblée des représentants du peuple a approuvé aujourd’hui l’article additionnel 23 du projet de loi de finances pour 2026, visant à régulariser la situation des petites et moyennes entreprises (PME) auprès du Banque de financement des petites et moyennes entreprises. Le texte a été adopté par 60 voix pour, 12 abstentions et 51 contre.

Ce nouvel article instaure une mesure exceptionnelle destinée aux entreprises confrontées à des difficultés temporaires ou ayant interrompu leur activité, à condition que leur modèle économique reste viable.

Les entreprises faisant l’objet de litiges judiciaires peuvent également en bénéficier, à l’exception de celles placées sous procédures de règlement ou de liquidation judiciaire.

Les mesures prévues

  • Exonération des pénalités de retard lors du paiement du capital et des intérêts contractuels ;
  • Restructuration de la dette sur 10 ans, avec maintien du taux d’intérêt initial et un délai de grâce de 3 ans ;
  • Allocation de crédits publics pour financer la restructuration, renforcer le capital et améliorer les fonds propres.

Les demandes d’accès à ce programme doivent être déposées avant le 30 juin 2026, et toutes les démarches administratives doivent être finalisées avant le 31 décembre 2026.

Cette initiative vise à soutenir la reprise des PME, moteur essentiel de l’emploi et de la croissance en Tunisie, en leur offrant un cadre de soutien financier et de réorganisation adapté aux circonstances exceptionnelles qu’elles traversent.

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Tunisie : Les petites entreprises étranglées fiscalement ?

La Fédération tunisienne des artisans et des petites et moyennes entreprises a lancé un appel urgent à la présidence de la République et au ministère des Finances pour mettre fin aux procès-verbaux fiscaux à caractère pénal dressés contre des sociétés traversant de graves difficultés financières.

Selon la Fédération, l’article 92 du Code des droits et procédures fiscaux prévoit des peines de prison et des amendes pour défaut de paiement des impôts dus. Toutefois, son application suppose la preuve d’une intention délibérée, comme stipulé à l’article 37 du Code pénal. Or, dans la pratique, des procès-verbaux seraient établis contre des entreprises en détresse économique, sans démonstration de ce caractère intentionnel. Une situation qualifiée de « harcèlement injustifié » mettant en péril l’investissement et la pérennité du tissu économique.

Le communiqué rappelle que ces pratiques se sont poursuivies même en 2021, en pleine pandémie de Covid-19, alors que le gouvernement appelait à soutenir les entreprises et préserver les emplois. La Fédération parle d’une « politique dangereuse » visant à « briser les entrepreneurs et les pousser vers la faillite ou l’exil économique ».

Elle dénonce également les poursuites engagées contre des sociétés ayant adhéré à l’amnistie fiscale, les jugeant contraires à l’article 74 du même code. D’où son appel à l’ouverture d’une enquête urgente, à l’annulation des procès-verbaux litigieux et à la mise en place d’un mécanisme permettant aux entreprises en difficulté de déposer leurs déclarations fiscales et sociales en reconnaissance de dette, plutôt que de les accabler de pénalités jugées « mortelles ».

Enfin, les signataires du communiqué exhortent l’État à concentrer ses efforts sur la lutte contre la contrebande et l’évasion fiscale, au lieu d’« étrangler » des entreprises légalement constituées qui évoluent déjà dans un environnement d’affaires dégradé et sous une pression fiscale qualifiée d’« injuste ».

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