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Transition durable : le Cepex arme 40 entreprises pour changer d’échelle

Plus d’une quarantaine d’entreprises tunisiennes opérant dans l’agroalimentaire ont participé à un séminaire sur «Les nouvelles exigences de transition vers des modèles durables et leurs impacts sur la performance de l’export de produits agroalimentaires» organisé vendredi 5 décembre par le Centre de promotion des exportations (Cepex).

Cette journée s’inscrit dans une logique d’Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies et d’évolution dans le cadre de la double transition; à savoir écologique et digitale, qui imposent aux entreprises tunisiennes de se positionner sur de nouveaux marchés et d’être en adéquation avec les nouvelles exigences, a affirmé Mourad Ben Hassine, PDG du Cepex.

Ces exigences, a-t-il rappelé, s’imposent notamment sur des secteurs clés pour la Tunisie, notamment l’huile d’olive et les dattes, d’où la nécessité de répondre présent et d’adapter leurs stratégies aux nouvelles exigences pour surmonter les barrières techniques.

De son côté, Najoua Riri, directrice au Cepex, a souligné que ce séminaire vise à informer et outiller les exportateurs pour se positionner à l’international en termes de durabilité afin de favoriser l’équilibre entre l’économie et la durabilité.

Il se veut une occasion pour présenter certaines réglementations et bonnes pratiques liées à la durabilité dans l’agroalimentaire, un secteur phare pour les exportations tunisiennes, a-t-elle précisé.

Pour la consultante en environnement et changement climatique, Amel Jrad, les entreprises tunisiennes disposant de relations avec le marché européen doivent respecter les normes et les règles européennes, d’autant plus que l’espace économique mondial a montré ses limites en termes de résilience. Et d’ajouter que la transition écologique permettra de transformer les sociétés non durables en des sociétés plus durables.

Elle a rappelé, dans ce cadre, que l’élaboration de la Stratégie nationale de transition Ecologique (SNTE) à l’horizon 2035, qui est déclinée en plusieurs stratégies, démontre que le pays est en marche vers une transition écologique.

Cette stratégie, a-t-elle ajouté, devrait être adoptée et appliquée par l’ensemble des acteurs nationaux, dont les ministères et les administrations, dans l’ensemble de leurs projets et plans de financement et non seulement par le ministère de l’Environnement afin de favoriser sa concrétisation.

 Jrad a souligné, par ailleurs, que la stratégie fait face à quelques difficultés, citant à titre d’exemple la création de la Haute instance de transition écologique qui n’a pas encore vu le jour, en dépit de son rôle primordial en matière de suivi et d’évaluation de la réalisation des objectifs.

Elle a mis l’accent sur la disponibilité des mécanismes de financement pour intégrer la durabilité en faveur des industriels mais qui doivent être revus à travers la restructuration des fonds environnementaux.

Elle a souligné que la SNTE, qui offre un nouveau cadre de compréhension et d’action et une transformation systémique en termes de développement neutre en carbone, de résilience climatique et sociale, de transformation culturelle et sociétale et d’économie sobre en ressources, donnera à l’environnement sa place en tant que levier de développement.

De son côté, la représentante de l’APIA, Kaouthar Kouki, a souligné que son institution offre plusieurs avantages financiers spécifiques dans le cadre de la transition écologique, citant notamment la prime de développement durable qui peut atteindre jusqu’à 50% des composantes de l’investissement.

Cette prime cible les projets de traitement de la pollution de l’eau et de l’air générée par l’activité de l’entreprise et les projets d’adoption de technologies propres et non polluantes visant à réduire la pollution.

Elle est accordée pour financer l’agriculture biologique, les travaux de conservation des sols et des eaux, la plantation d’espèces adaptées au changement climatique et les équipements d’économie d’eau et d’énergie solaire.

Elle a fait savoir dans ce sens que les investissements durables (économie d’eau, énergie solaire pour les exploitations agricoles, agriculture biologique et plantations adaptées au changement climatique) ont crû de 125% (115 MDT) entre 2020 et 2024.

Avec TAP

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Tunisie-Algérie : un forum économique sous haute intensité pour booster les partenariats

Le Centre de promotion des exportations (CEPEX) appelle les entreprises voulant participer aux rencontres professionnelles bilatérales tuniso-algériennes, qui seront organisées en marge du Forum économique tuniso-algérien (du 9 au 12 décembre 2025) à Tunis, à remplir le formulaire de participation sur son site web.

Cet événement économique est organisé à l’initiative du CEPEX, en coopération avec l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), sous la présidence de la cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri, et le Premier ministre algérien, indique le CEPEX.

La Tunisie et l’Algérie œuvrent à développer la coopération économique bilatérale, à la lumière de la croissance des échanges commerciaux entre les deux pays, dont le taux a atteint 11,4% au cours des dix dernières années, contre 8,9% avec les autres partenaires, selon les données du CEPEX.

Le volume total des échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Algérie s’est élevé, au cours des neuf premiers mois de l’année 2025, à 5 810 millions de dinars tunisiens (MDT).

Les acteurs économiques des deux pays s’accordent sur le fait qu’en dépit de l’importance de cette valeur, les échanges restent concentrés sur un nombre limité de secteurs, ce qui nécessite une restructuration et une diversification des processus de coopération.

Des opportunités prometteuses s’offrent à la Tunisie, notamment en renforçant sa position dans les industries manufacturières, en développant ses exportations dans le secteur agroalimentaire, notamment les produits de la pêche et les préparations alimentaires, et en tirant profit de la demande croissante en produits mécaniques et en composants automobiles.

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L’UGTT appelle à une grève générale le 21 janvier 2026

Une grève générale aura lieu le 21 janvier 2026, à l’appel de l’UGTT (Union générale tunisienne du travail). L’annonce a été faite vendredi 5 décembre 2025.

Décidé par l’Instance administrative nationale de l’organisation ouvrière, cet appel s’inscrit dans un mouvement de « défense des droits fondamentaux et des libertés », y compris « la liberté syndicale et le droit à la négociation concernant les augmentations salariales et le maintien du dialogue social ».

Cité dans un communiqué publié jeudi, Sami Tahri, le secrétaire général adjoint de l’UGTT, a indiqué que cette grève vise à répondre à trois revendications: l’instauration effective du dialogue social, la défense du droit à la négociation et des droits syndicaux, ainsi que le rejet de l’augmentation salariale intégrée dans le projet de loi de finances 2026 pour les secteurs public et privé, proposée par le gouvernement sans négociations préalables.

Au passage, Tahri n’a pas manqué de critiquer le refus du pouvoir d’engager le dialogue et la dissolution de toutes les instances civiles, sociales et syndicales, et de noter que cette situation reflète une crise profonde dans les relations entre le gouvernement, la société civile et les acteurs du monde syndical.

Le syndicaliste rappelle d’ailleurs que l’UGTT a adressé pas moins de 17 courriers aux différents gouvernements successifs, depuis Najla Bouden jusqu’à aujourd’hui, mais sans suite.

Maintenant, reste à savoir si cet appel de la centrale syndicale sera massivement suivi par les employés des secteurs public et privé. Et ce n’est pas gagné.

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Grands engagements financiers : une nouvelle plateforme de notation entre en action en Tunisie

A l’occasion du lancement de la plateforme de notation et de suivi des grands engagements et engagements à risques, le Conseil bancaire et financier (CBF) a récemment organisé une réunion de kick-off (ou coup d’envoi, en français) en présence des directeurs généraux des banques et des établissements financiers et des responsables métiers des risques, des engagements et de crédit.

Ce kick-off vient couronner un programme entamé en avril 2021 et effectif depuis trente mois, sous l’égide du CBF en partenariat avec l’agence de notation nationale “PBR Rating“ ; et l’entame de la Phase II, consacrée au partage, au développement et à la consolidation de ce programme.

Ce programme de notation mis en place spécifiquement pour accompagner le secteur financier tunisien dans la prévention et la détection des engagements à risque et leur suivi minutieux, sur la base des choix stratégiques de chaque établissement, a permis de mettre en conformité les établissements financiers et de noter des entreprises ayant des engagements auprès du système financier tunisien qui dépassent les 25 millions de dinars ; une réussite pour la Tunisie, le secteur financier et le tissu économique national, avec plus de 2,5 milliards de dinars d’actifs notés, correspondant à 63 notes et rapports de notation, avec  plus de 21 dossiers en cours de traitement à court terme. Un démarrage qui met en exergue l’importance de la notation pour les établissements financiers et l’adhésion des entreprises tunisiennes pour l’amélioration de leur situation financière.

Photo de groupe CBF-PBR Rating

 

La notation, telle que prévue par la réglementation prudentielle en vigueur, permet aux banques et aux établissements financiers de se doter d’une meilleure visibilité sur le degré de stabilité et de pérennité de leur clientèle corporate.

Parallèlement au processus du scoring interne (SNI), les missions de notation externe d’engagement évolutifs donnent accès au secteur bancaire et financier, de manière générale, à un meilleur pilotage des  risques financiers, une consolidation des indicateurs de gestion des risques, une cartographie des risques sectoriels, une plus grande visibilité sur l’environnement économique et financier et des outils d’aide à la décision et de perfectionnement des politiques commerciales et stratégiques.

Les rapports de notation permettent aux clients des banques et des établissements financiers d’accéder à un diagnostic de rating complet, de leur solvabilité et de la qualité de leur situation financière ainsi que leurs capacités réelles d’endettement et de remboursement, bénéficiant ainsi d’un support évolutif de suivi en matière d’efficacité opérationnelle et de gestion financière.

Il est aussi à noter, comme partout ailleurs, que la notation sert, pour l’emprunteur comme pour le prêteur, de support argumenté de négociation, pour le pricing et les conditions de financement.

Le renforcement et le déploiement de ce programme, à plus grande échelle, vise à assurer la fiabilité des opérations en cours et potentiellement à venir, pour la sécurité du système financier et la prévention des risques systémiques auxquels il fait face.

La concrétisation de cette nouvelle phase du programme à travers le partage, sous l’égide du CBF, de la plateforme de notation et de suivi des grands engagements, vise la centralisation des notes et des rapports de notation, relatifs aux grands engagements du secteur, dans une base de données actualisée, au profit de l’ensemble des membres du CBF.

En sa qualité de parrain de l’agence de notation nationale, le CBF contribue aux côtés de PBR Rating à promouvoir et à renforcer la transparence et la qualité de l’information financière, son appréciation ainsi que le traitement des risques des contreparties au sein du secteur bancaire et financier, pour une gouvernance saine en application des bonnes pratiques et des réglementations en vigueur.

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Kaïs Saïed : la jeunesse tunisienne est prête à porter l’avenir du pays

Kaïs Saïed et Zaâfrani Zenzri, respectivement président de la République et cheffe du gouvernement, se sont entretenus, jeudi 4 décembre 2025, au palais de Carthage, en présence du ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, et le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fethi Zouhair Nouri.

A l’ordre du jour: discuter des questions liées aux équilibres financiers de l’Etat, au projet du Plan de développement et au rôle de la Banque centrale dans le soutien à l’économie nationale.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’Etat a souligné que la Tunisie a emprunté la voie irréversible de la révolution et de la promotion des conditions de vie de ses citoyens dans les différentes régions du pays, et ce, malgré le lourd tribut à payer à cause des choix erronés ayant mené droit à la destruction systématique des services publics.

Le chef de l’Etat a, à ce propos, fustigé les pratiques de ceux qui ont pris le pouvoir comme un butin à partager et ont grevé le pays de dettes dont le peuple tunisien paie aujourd’hui un lourd tribut sans pour autant en tirer nul bénéfice.

Il a, en outre, vilipendé ceux qui font encore de fausses illusions à faire remonter le temps en s’évertuant à injecter leurs relais dans les différents postes, rappelant que ceux-ci sont bien connus de tous et que nul n’est au-dessus de la loi.

Le président de la République a, par ailleurs, réaffirmé sa profonde conviction que la Tunisie est un pays qui regorge d’importantes ressources et potentialités et dispose d’un grand potentiel humain, notamment une jeunesse bien prête à  prendre « bientôt » le relais. Une jeunesse, a-t-il encore renchéri, qui fera table rase du passé et s’imposera désormais en tant que force vive au service du processus d’édification et de construction du pays.

Ripostant aux incessantes tentatives visant à imposer des agendas étrangers à la Tunisie, le chef de l’Etat a tenu à souligner que le grief porté à la Tunisie par ceux qui affichent encore une nostalgie au protectorat et au colonialisme, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, est que le peuple tunisien a choisi souverainement d’être libre. « Si telle est l’accusation portée à notre endroit, elle serait certes vivement applaudie et favorablement accueillie et sera considérée un grand honneur pour nous », a fait savoir le président Saïed.

Le président Saïed a conclu ses propos en citant les paroles résonnantes du grand leader syndicaliste feu Farhat Hached à travers lesquelles, s’adressant aux autorités coloniales, il a assuré que les autorités coloniales « ne peuvent plus faire taire la vérité » et que le gage de la liberté du militant patriote est « d’œuvrer énergiquement à offrir à ses concitoyens une vie digne et d’être fidèle à la mémoire des martyrs de la patrie ».

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ARP: allègement majeur des dettes des PME

Le Parlement a approuvé ce jeudi 4 décembre 2025 un projet d’article additionnel au sein du projet de loi de finances pour 2026, visant à alléger le poids des dettes des petites et moyennes entreprises (PME), par 70 voix pour, 6 abstentions et 12 contre.

Cet article permet aux PME confrontées à des difficultés conjoncturelles ou ayant temporairement cessé leur activité, ainsi qu’aux artisans accumulant des dettes classées en catégories 4 et 5 auprès des banques pour financer les PME, de bénéficier de mesures d’allègement pour faciliter le règlement de leurs créances.

Les bénéficiaires sont totalement exonérés des intérêts de retard une fois le principal de la dette et les surplus contractuels intégralement remboursés, sous réserve du paiement des frais, honoraires et pénalités judiciaires éventuels.

En cas de restructuration du solde restant, une réduction de 50% des intérêts de retard est accordée, avec obligation de régler les frais judiciaires. Le rééchelonnement du principal, des surplus contractuels et du reliquat des intérêts de retard s’étend sur sept ans au taux d’intérêt initial, avec un délai de grâce de deux ans.

Ces mesures concernent les dettes des artisans de la banque accumulées jusqu’à fin 2025, les demandes devant être soumises au plus tard en décembre 2026.

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ARP: avantages fiscaux pour les TRE

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté jeudi en séance plénière au Bardo la proposition de l’article 123 (nouveau) portant sur la révision des avantages fiscaux accordés aux Tunisiens résidant à l’étranger, avec 103 voix favorables, 5 abstentions et 3 voix contre.

Cet article prévoit un avantage fiscal pour l’importation ou l’acquisition d’équipements, de matériel, ainsi que d’un unique camion relevant de la position tarifaire 8704, destinés à des projets d’investissement ou à une participation dans ces projets, conformément à la législation en vigueur sur les incitations à l’investissement. Les bénéficiaires sont exonérés des droits et taxes à l’importation, avec suspension de la TVA, et, le cas échéant, des droits de consommation ainsi que des taxes sur le chiffre d’affaires pour les acquisitions sur le marché local. Pour les camions, un paiement de 10% des taxes exigibles est toutefois requis.

Ces avantages fiscaux sont accordés une fois tous les cinq ans sauf pour les camions. Le régime d’exonération s’applique aux camions et équipements automobiles catégorisés entre 8701 et 8705, âgés de moins de 5 ans à compter de leur première autorisation de circulation, à l’exception des tracteurs agricoles (8701) dont l’âge maximal autorisé est de 10 ans. Les dispositions de la loi n°101 restent en vigueur jusqu’à ce que les conditions précisées dans cet article soient fixées par décret.

Avec TAP

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BCT-Déficit courant resserré : -1,6% du PIB, soit -2,6 milliards de dinars en 2024

Le déficit courant s’est resserré à -1,6% du PIB (-2,6 milliards de dinars) en 2024, contre -2,3% (-3,5 milliards) en 2023, selon le rapport de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) sur la balance des paiements et la position extérieure globale.

Cette amélioration résulte principalement de l’excédent record de la balance des services (+22,7 milliards de dinars, en hausse grâce à une progression de 9,8% des recettes touristiques et de 12,7% des revenus du travail), malgré un creusement du déficit commercial à -30,4 milliards de dinars (importations +3,6%, exportations -1%). Le ratio de couverture du déficit commercial par le tourisme et les revenus du travail s’améliore légèrement à 57,7% (contre 56% en 2023), tandis que la stabilité du dinar (-0,2% face à l’euro et au dollar) soutient les réserves en devises.

La demande intérieure, moteur clé de la croissance 2024, a crû de 4,3% (prix constants), tirée par une consommation nationale en hausse de 1,2% : consommation publique +1,4% (contre -0,2%) et privée +1,1% (contre +0,9%), soutenues par une inflation contenue et des hausses salariales. Sur le plan financier, le compte affiche un besoin de financement réduit à 251 millions de dinars (contre 1 296 millions en 2023), grâce au rebond des investissements de portefeuille et autres (+690 millions), malgré une baisse des emprunts extérieurs à long terme (-9,4%) et une hausse des remboursements (+27,3%).

Avec TAP

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Cinq récompenses internationales majeures en 2025 pour la BIAT

La Banque internationale arabe de Tunisie (BIAT) annonce avoir obtenu cinq distinctions internationales majeures en 2025. Ces reconnaissances, émanant de références mondiales du secteur financier, confirment une nouvelle fois la solidité du modèle de la banque, son leadership sur la scène nationale et régionale ainsi que son engagement constant en faveur de l’innovation, de l’excellence opérationnelle et du service client. C’est ce qu’informe la banque dans un communiqué.

 

Distinction de la meilleure banque en Tunisie par Euromoney Awards for Excellence 2025

Le magazine Euromoney a décerné, à son tour, à la BIAT le titre de «Meilleure Banque en Tunisie» dans le cadre de son programme «Euromoney Awards for Excellence 2025».

Cette distinction prestigieuse vient couronner les efforts continus de la banque en matière d’innovation financière, de qualité de service et de performance opérationnelle. Elle salue également l’engagement des équipes Biat, mobilisées au quotidien pour répondre aux attentes d’une clientèle diversifiée et en constante évolution.

A rappeler que la BIAT a déjà été récompensée par Euromoney à quatre reprises, en 2019, 2023 et 2024 ; elle confirme de ce fait son positionnement d’acteur bancaire incontournable en Tunisie.

 

Prix de la meilleure banque sur le marché de change en Tunisie par Global Finance

Pour la cinquième année consécutive, Global Finance a élu la BIAT «Meilleure Banque sur le marché de change en Tunisie» dans le cadre des Gordon Platt Foreign Exchange Awards 2025.

Cette distinction met en avant la maîtrise de la BIAT sur le marché de change, portée par des solutions innovantes, une expertise reconnue et un service client performant. Grâce à ces atouts, la banque rejoint le cercle restreint des institutions africaines les plus performantes sur ce segment stratégique.

 

Trois prix décernés par CFI en 2025

Le magazine britannique Capital Finance International (CFI) a attribué à la BIAT trois distinctions majeures en 2025, à savoir : «Meilleure Gouvernance Bancaire en Tunisie», «Meilleure stratégie de digitalisation en Afrique du nord» et «Contribution exceptionnelle au développement de la jeunesse en Tunisie». Qui dit mieux ?

In fine, ces différentes récompenses montrent si besoin est la solidité de la gouvernance de la Biat, son engagement en matière de transformation digitale ainsi que l’impact durable de ses actions sociétales, notamment à travers la Fondation BIAT. D’ailleurs, la banque est distinguée par CFI pour la sixième année consécutive, preuve de la constance de sa performance et de sa vision durable.

Banque solide, la BIAT réaffirme sa volonté d’offrir à ses clients un accompagnement de haut niveau, basé sur la confiance, la proximité et l’excellence. Ces reconnaissances internationales renforcent la détermination de la banque à poursuivre son développement et à contribuer activement à la dynamique économique et sociale du pays.

Sans doute on en parlera encore.

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Affaire BFT : report du procès au mois de janvier 2026

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière au Tribunal de première instance de Tunis a décidé de reporter au mois de janvier prochain le procès d’un ancien conseiller rapporteur au ministère des Biens de l’État. Il est poursuivi pour des soupçons de corruption financière et administrative dans le dossier Banque Française Tunisienne (BFT). Ce report a été demandé par son avocat.

L’accusé est également concerné par le dossier de la BFT. Condamné à six ans de prison, il est reproché d’avoir exercé sa fonction de conseiller rapporteur dans les conflits opposant l’État tunisien à l’ABCI. Un dossier suivi depuis 1982. Il aurait signé un accord jugé préjudiciable à l’État, entraînant des pertes financières.

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Arrestation d’Ahmed Néjib Chebbi

Le président du Front du salut national (FSN) Ahmed Néjib Chebbi a été arrêté jeudi 4 décembre 2025 à son domicile, selon plusieurs médias.

Ahmed Néjib Chebbi faisait l’objet d’une procédure judiciaire liée à l’affaire dite du « complot contre la sûreté de l’État », impliquant plusieurs figures de l’opposition.

Lire aussi : Affaire du Complot contre la sûreté de l’Etat: l’audience reportée au 27 novembre

Figure emblématique de l’opposition, fondateur du PDP et président du Front de salut national, Ahmed Néjib Chebbi demeure un acteur clé de la scène politique.

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Bourse Fulbright 2026-27 : opportunités et exigences pour les bourses d’enseignement et d’échange universitaire

L’ ambassade des États-Unis à Tunis recherche des candidats pour le programme Fulbright Visiting Scholar 2026. Le programme accorde des bourses de six à neuf mois à des professionnels tunisiens expérimentés, des membres du corps professoral universitaire et des chercheurs issus de groupes de réflexion, d’organisations gouvernementales et non gouvernementales pour mener des recherches, et potentiellement, pour donner des conférences aux États-Unis, à partir de septembre 2026.

Des bourses d’enseignement d’un ou de deux semestres sont également disponibles, ainsi que des bourses de courte durée (trois mois) destinées à des chercheurs. Ces bourses serviront à évaluer les besoins et les recherches liés au développement institutionnel ou programmatique, de mener des consultations avec les administrateurs et les enseignants des établissements d’enseignement supérieur en matière de développement du corps enseignant, et d’élaborer et évaluer des programmes d’études ou du matériel pédagogique.

Les avantages de cette bourse comprennent toutes les dépenses liées à la recherche, une allocation, le coût des billets d’avion aller-retour du bénéficiaire, ainsi qu’une allocation mensuelle pour un membre à charge. Les candidats potentiels doivent soumettre une candidature via le système de candidature en ligne : apply.iie.org/fvsp2026. La date limite de candidature pour le programme d’automne 2026 est fixée au dimanche 28 décembre 2025.

Le programme Fulbright Visiting Scholar s’adresse aux universitaires hautement motivés titulaires d’un diplôme avancé (doctorat) ainsi qu’aux professionnels disposant d’une expérience équivalente, souhaitant mener des activités de recherche et/ou d’enseignement dans leur domaine de spécialisation au sein d’un établissement d’enseignement supérieur américain.

Les candidats sélectionnés travailleront en étroite collaboration avec des enseignants- chercheurs au sein de leur institution d’accueil aux États-Unis durant toute la période de l’échange, et auront l’opportunité de participer à de nombreuses activités académiques et professionnelles.

Les candidats à une bourse d’enseignement doivent justifier d’une solide expérience pédagogique. Une expérience d’enseignement à l’étranger sera considérée comme un atout supplémentaire. Les candidats doivent soumettre les plans de cours accompagnés de leur curriculum vitae ainsi qu’une invitation confirmée à dispenser des enseignements dans l’établissement d’accueil pour que leur dossier soit pris en considération dans le cadre d’une bourse Fulbright.

Pour les bourses de courte durée, si aucune lettre d’invitation n’a encore été obtenue, il est vivement recommandé aux candidats d’identifier trois établissements disposant des infrastructures adaptées au projet qu’ils souhaitent mener. Les noms des universités ou collèges préférés doivent être indiqués dans la candidature, classés par ordre de priorité, accompagnés d’une justification appropriée.

Le programme est extrêmement compétitif, et le comité de sélection accorde une attention particulière à la qualité de la proposition écrite. Les candidatures sont vérifiées afin de détecter tout plagiat et tout recours à des outils d’intelligence artificielle.

Pour être éligible au programme, vous devez :

• Être titulaire d’un doctorat ou disposer d’une formation professionnelle ou d’une expérience équivalente (au moins dix ans d’expérience professionnelle) au moment de la
candidature.
• Démontrer une maîtrise suffisante de la langue anglaise pour évoluer dans un environnement universitaire américain et mener à bien le projet.
• Être de nationalité tunisienne et résider en Tunisie au moment de la candidature. (Les candidats possédant la résidence permanente ou la citoyenneté américaine, ou étant en cours d’obtention de la résidence permanente aux États-Unis, ne sont pas éligibles.)

Comment postuler pour le programme 2026-27 :

• Rendez-vous sur le lien de candidature suivant : apply.iie.org/fvsp2026 avant le 28 décembre 2025

D’après communiqué

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PLF 2026 : Feu vert au Fonds de la santé animale

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, mercredi 3 décembre, l’article additionnel n°119 portant création d’un Fonds de la santé animale, dans le cadre du projet de loi de finances 2026. Le texte a été approuvé par 62 voix pour, 25 contre et 8 abstentions.

Adopté lors d’une séance plénière conjointe entre les deux chambres législatives, tenue au palais du Bardo, cet article prévoit la création d’un fonds de trésorerie destiné à soutenir le système de santé vétérinaire et à réduire les risques liés aux maladies et épidémies animales.

Ce fonds sera dédié à l’indemnisation des agriculteurs pour les dommages causés par les maladies animales. Ses domaines d’intervention ainsi que ses modalités de gestion seront fixés ultérieurement.

Le financement du fonds proviendra de plusieurs sources, notamment l’enveloppe destinée à l’achat de vaccins, à la réalisation d’analyses et au financement des campagnes nationales de vaccination, dans le budget des services vétérinaires.

Il proviendra aussi des contributions des établissements de traitement et de transformation des produits d’origine animale et des aliments pour animaux en contrepartie des inspections officielles.

Le Fonds de santé animale sera, également, financé par 1 % du total des 12 % de bénéfices de la Pharmacie centrale dans le domaine des vaccins, sérums et médicaments vétérinaires, ainsi que par 1 % du chiffre d’affaires des entreprises importatrices d’équipements, de matériels et de produits de laboratoire destinés à la production animale.

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PLF 2026 : Adoption de l’article additionnel n°117

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, mercredi 3 décembre, en plénière, une proposition d’article additionnel n° 117, dans le cadre du projet de loi de finances pour l’année 2026, relatif à la régularisation de la situation des personnes concernées par des dettes non fiscales classées, avec 73 voix pour, 6 refus et 6 abstentions.

Cet article prévoit la suppression des frais de poursuite et des pénalités de retard et le recouvrement du principal de la dette selon un calendrier fixé à cet effet.

Il concerne les dettes envers les différents ministères, les dettes liées à l’exploitation du domaine public maritime, les redevances au titre des établissements classés dangereux ou classés, ainsi que les loyers et autres redevances non fiscales classées.

Ces mesures concernent les dettes non fiscales classées consignées par le receveur des finances avant le 1er janvier 2026.

Avec TAP

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Election de Halima Khouaja, DG de Tunisair, comme vice-présidente de l’Association des compagnies aériennes africaines

La directrice générale (DG) de la compagnie aérienne « Tunisair », Halima Ibrahim Khouaja, a été élue première vice-présidente de l’Association des compagnies aériennes africaines (AFRAA). C’était lors de la 57ème Assemblée générale annuelle de l’organisation, tenue à Luanda (Angola) du 30 novembre au 2 décembre 2025.

Cette élection renforce la présence de Tunisair aux niveaux régional, continental et international, lit-on dans un communiqué de la compagnie publié mardi 2 décembre.

Organisée par la compagnie aérienne nationale d’Angola (TAAG), l’assemblée a réuni un large éventail de décideurs du secteur, dont des responsables gouvernementaux et diplomatiques, des dirigeants d’autorités de l’aviation civile, des organismes de régulation ainsi que des partenaires industriels venus de toute l’Afrique et d’autres régions du monde.

Fondée en 1968 à Accra, l’AFRAA fédère aujourd’hui 50 compagnies aériennes, représentant plus de 85 % du trafic aérien international du continent.

L’association compte, également, 35 partenaires issus des secteurs de la fabrication, de la fourniture, des technologies et d’autres institutions non aéronautiques.

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PLF 2026 — Slama Khaldi : Nous agissons pour chaque Tunisien, sans exception

La ministre des Finances, Michket Salma Khaldi, qui s’exprimait lors de la séance plénière consacrée à l’examen du Projet de loi de finances (PLF) 2026, a souligné la volonté de trouver des solutions pour toutes les couches de la société tunisienne, stimuler l’emploi et de soutenir la Caisse générale de compensation (CGC).

Réagissant à une proposition d’ajout d’un article supplémentaire dans le cadre du PLF relatif à l’exclusion des industries des boissons gazeuses de l’application d’une redevance de 3 % sur le chiffre d’affaires, la ministre a précisé : « Nous n’exerçons pas de pression sur les entreprises, mais une société réalisant de bons revenus et chiffres d’affaires pourquoi ne contribuerait-elle pas au financement de l’économie, que ce soit à travers des redevances ou des taxes, ainsi qu’au financement du budget de l’État ».

Dans ce cadre, elle a rappelé l’article 69 de la Constitution, qui stipule que les projets de loi et les propositions de révision soumis par les représentants du peuple ne sont pas acceptables s’ils risquent de perturber les équilibres financiers de l’État.

Ainsi, la proposition de supprimer les redevances affecte les équilibres de la Caisse, explique-t-elle, étant donné que les boissons alcoolisées et gazeuses bénéficient indirectement des subventions qui concernent le sucre. Et d’ajouter que les ressources de la Caisse ne peuvent pas être réduites après l’approbation du budget du ministère du Commerce et de tous les fonds qui y sont attachés, y compris la Caisse de compensation.

Elle a ajouté que la question de l’institution d’une redevance a une dimension sociale et sanitaire, et presque tous les pays ont suivi cette approche, en particulier en ce qui concerne les boissons alcoolisées ou gazeuses…

La ministre a souligné l’impact financier négatif de la proposition qui dépasse 20 millions de dinars, notant qu’il y a une seule entreprise dans le secteur qui bénéficiera de cette réduction de 7 millions de dinars.

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Le groupe turc TURKAL s’intéresse à l’huile d’olive tunisienne 

Les opportunités de partenariat et d’investissement dans le domaine de la valorisation de l’huile d’olive, ont été au centre d’une rencontre, le 1er décembre 2025, entre le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, et des responsables du groupe turc TURKAL, actif dans de nombreux domaines, dont celui de l’huile d’olive.

M. Abdelhafidh a saisi cette occasion pour évoquer l’ancrage historique du secteur de l’huile d’olive en Tunisie et son importance dans l’économie nationale. Tout en mettant en avant la qualité supérieure de l’huile tunisienne, sa compétitivité et la place de choix qu’elle occupe aujourd’hui sur les marchés internationaux.

Il a également salué l’intérêt manifesté par le groupe TURKAL à la Tunisie, tant pour l’acquisition de quantités d’huile que pour l’investissement dans ce secteur prometteur. Il a souligné au passage la volonté de la Tunisie de diversifier ses partenaires dans ce domaine.

Par ailleurs, Samir Abdelhafidh a exprimé la disposition de son département et de ses structures chargées de l’investissement à apporter le soutien et l’accompagnement nécessaires pour aider ledit groupe à concrétiser ses programmes de coopération et ses investissements en Tunisie.

Pour sa part, le président du conseil d’administration du groupe turc, Murat TURKAL, a indiqué que cette visite vise à explorer les opportunités d’investissement et de partenariats dans le domaine de l’huile d’olive. Et ce, à travers la création de projets intégrés à forte valeur ajoutée; en plus de concrétiser l’acquisition d’importantes quantités d’huile tunisienne.

Avec TAP

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Béchir Salem Belkhiria, de la vision à l’action : hommage à un précurseur de l’économie tunisienne

À l’occasion du 40ᵉ anniversaire du décès de Bechir Salem Belkhiria, figure majeure de l’économie tunisienne moderne, une cérémonie commémorative s’est tenue le vendredi 28 novembre, en présence de personnalités du monde économique, universitaire et institutionnel.

L’événement a été marqué par la projection d’un film inédit retraçant son parcours, ses valeurs et les principaux jalons de son action au service du développement national. Un visionnaire qui a façonné une nouvelle approche du développement en Tunisie.

Homme d’action, entrepreneur précurseur et promoteur infatigable du développement intégré, Béchir Salem Belkhiria a laissé une empreinte durable grâce à une vision résolument moderne et inclusive.

Ses engagements se structuraient autour d’axes majeurs :
-La communication et la promotion d’une nouvelle culture économique.
-La création d’entreprises pilotes dans des secteurs stratégiques.
-Le lancement de projets modèles pour diffuser l’innovation dans les régions.

Bechir Salem Belkhiria est également reconnu pour avoir plaidé très tôt pour une ouverture économique de la Tunisie vers l’Asie du Sud-Est, une diversification des partenariats et une approche libérale éclairée. Visionnaire et passionné de sport, il a introduit officiellement le rugby en Tunisie au début des années 1970.

Son engagement déterminant a permis d’implanter ce sport, d’en structurer les premières pratiques et d’en favoriser l’essor au niveau national et international et la Tunisie a joué dans la cours des grands.

Un événement pour transmettre et inspirer 

Cette commémoration a visé à:
-Rappeler la contribution d’un bâtisseur engagé pour le progrès social et économique
-Mettre en lumière les valeurs qui ont guidé son action : innovation, exemplarité,
modernité et humanisme
-Offrir aux nouvelles générations un modèle inspirant d’intégrité et de vision
stratégique.

La projection du film-hommage a été suivie d’une discussion ouverte avec des témoins, experts et anciens collaborateurs, qui a permis d’enrichir la perspective historique et d’actualiser les enjeux portés par son œuvre.

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Le marché finit en vert, porté par des valeurs clés

Le marché boursier a clôturé la séance sur une légère hausse. Le TUNINDEX a progressé de 0,04% pour atteindre 13 177,2 points, avec un volume d’échanges de 10,7 millions de dinars, soutenu par deux transactions de bloc totalisant 2,6 millions de dinars sur le titre POULINA GROUP HOLDING, selon Tunisie Valeurs.

L’action BNA ASSURANCES a enregistré la meilleure performance de la journée, gagnant 6% à 3,390 dinars, pour un volume de 85 000 dinars.

Le titre ASSAD a également terminé la séance en hausse, avec un gain de 4,4% à 3,290 dinars, et un volume de transactions de 92 000 dinars.

POULINA GROUP HOLDING a dominé en termes de volumes échangés. Son action a progressé de 0,1% à 18,000 dinars, représentant 3,4 millions de dinars, soit 31% du volume total sur la cote.

À l’inverse, UBCI a subi la plus forte baisse, reculant de 4,4% à 30,500 dinars, avec un volume d’un million de dinars.
MAGASIN GENERAL a également enregistré une baisse notable de 4% à 8,800 dinars, bien que les échanges aient été très faibles, atteignant seulement mille dinars.
Avec TAP

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