Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

La télévision nationale propulse « La Tunisie communautaire », polémique déclenchée !

L’annonce par la télévision nationale du lancement d’une nouvelle émission intitulée La Tunisie communautaire a rapidement enflammé les réseaux sociaux. Le programme, qui entend mettre en avant le projet des entreprises communautaires porté par le président de la République, a suscité des réactions contrastées, révélant une sensibilité croissante autour de ce dispositif encore difficile à déployer sur le terrain.

Pour ses détracteurs, ce lancement traduit un choix éditorial orienté. Certains internautes estiment que la télévision publique chercherait ainsi à s’aligner sur les priorités du Palais de Carthage, notamment en donnant davantage de visibilité à l’un des projets phares du chef de l’État.

Les critiques évoquent un risque de dérapage vers une communication institutionnelle plus qu’un traitement journalistique indépendant.

À l’inverse, d’autres voix considèrent que l’émission répond à un besoin réel d’explication et de pédagogie. Le concept d’entreprise communautaire, censé encourager des modèles économiques locaux, participatifs et solidaires, continue de susciter des interrogations, d’autant que sa mise en œuvre demeure complexe malgré les incitations annoncées.

Plusieurs projets peinent à démarrer, notamment en raison d’un manque de cadre opérationnel clair, de difficultés de financement ou d’un accompagnement insuffisant des porteurs d’initiatives.

Eclairer le public

L’émission, selon ses promoteurs, vise à éclairer le public sur les objectifs, les mécanismes et les défis du dispositif, en donnant la parole à ses acteurs. Reste à voir si elle parviendra à s’imposer comme un espace d’information pluraliste ou si elle sera perçue comme un outil de promotion politique, dans un contexte où le rôle des médias publics fait l’objet d’une attention accrue.

Lire aussi : Tunisie : Une plateforme numérique pour accompagner les entreprises communautaires

L’article La télévision nationale propulse « La Tunisie communautaire », polémique déclenchée ! est apparu en premier sur webdo.

Des élus de Kasserine réclament la révocation du gouverneur

Une vive tension secoue de nouveau la scène locale à Kasserine. Dans un communiqué rendu public lundi 20 octobre 2025, plusieurs députés du Conseil national des régions et des districts représentant la région, rejoints par des membres du conseil régional et des conseils locaux, ont appelé à la révocation immédiate du gouverneur de Kasserine.

Dans un communiqué les élus affirment que « le travail avec le gouverneur est devenu impossible en raison de son attitude d’exclusion et de marginalisation à leur égard ».

Cette prise de position met en lumière un nouveau bras de fer entre les représentants élus et l’autorité régionale, dans un contexte marqué par des tensions récurrentes autour de la gouvernance locale et du partage des compétences entre institutions.

Selon plusieurs sources locales, les tensions entre les élus et le gouverneur ne datent pas d’hier. Des désaccords sur la gestion des projets de développement et la répartition des ressources auraient progressivement détérioré les relations entre les deux parties. Certains élus dénoncent notamment un manque de transparence et de concertation dans la prise de décision, estimant que le gouverneur « agit de manière unilatérale, sans tenir compte des instances représentatives issues des élections locales ».

Aucune réaction officielle du gouverneur n’a encore été publiée. Mais cette nouvelle fronde des élus locaux met en évidence un climat de méfiance grandissant entre l’administration régionale et les représentants du peuple, dans une région déjà marquée par des retards de développement et un fort sentiment de marginalisation.

L’article Des élus de Kasserine réclament la révocation du gouverneur est apparu en premier sur webdo.

Crise politique en France : A peine nommé, Sébastien Lecornu démissionne

Moins de 24 heures après avoir dévoilé la composition de son gouvernement, le Premier ministre français Sébastien Lecornu a remis sa démission au président Emmanuel Macron, qui l’a immédiatement acceptée. Cet événement marque un tournant majeur dans la crise politique que traverse la France.

Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre il y a quelques jours seulement, détient désormais le record de la plus courte durée à la tête du gouvernement sous la Ve République. La décision de démissionner intervient après de vives critiques concernant la composition de son équipe.

Dimanche 5 octobre, Lecornu avait présenté un gouvernement de 18 ministres, dont 13 reconduits de l’administration précédente. Cette annonce a suscité un tollé politique :

  • À droite, le parti Les Républicains, par la voix de Bruno Retailleau, a jugé que la nouvelle équipe ne respectait pas la « rupture promise ».
  • À gauche, certaines formations politiques ont évoqué des motions de censure, tandis que le Rassemblement national a appelé à la dissolution de l’Assemblée nationale.

Les coulisses d’une crise

La démission exprime la fragilité du gouvernement actuel et la difficulté pour Emmanuel Macron de composer avec une majorité éclatée et une opposition déterminée. La rapidité de ce départ souligne également les tensions internes au sein de l’exécutif et le poids des critiques dès l’annonce de la nouvelle équipe gouvernementale.

Les discussions sur une éventuelle dissolution de l’Assemblée nationale sont désormais au cœur des débats politiques, et la scène politique française reste en alerte.

Avec cette démission, le président Macron doit rapidement nommer un nouveau Premier ministre capable de stabiliser la situation et de négocier avec une majorité parlementaire fragmentée. La communauté politique et les citoyens attendent désormais des annonces sur la composition d’un gouvernement capable de répondre aux attentes et de relancer l’action gouvernementale.

L’article Crise politique en France : A peine nommé, Sébastien Lecornu démissionne est apparu en premier sur webdo.

❌