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Plus de 55 700 voitures électriques vendues en Allemagne, un record

Le nombre de voitures entièrement électriques immatriculées pour la première fois en Allemagne en novembre dernier a dépassé les 55 700, a annoncé mercredi 3 décembre, l’Autorité fédérale des transports automobiles.

Ce chiffre représente une augmentation de 58,5% par rapport au même mois de l’année dernière, explique l’autorité. La part des voitures électriques a ainsi atteint plus de 22% du total des nouvelles voitures particulières immatriculées pour la première fois, selon l’agence de presse allemande DPA.

Cependant, cette augmentation significative s’explique notamment par le faible niveau enregistré l’année dernière ; la demande de voitures électriques a diminué en 2024 après que le gouvernement allemand a annulé de manière inattendue la prime à l’achat d’une voiture électrique, en raison de la crise budgétaire.

Alors que la société américaine Tesla continuait de perdre des parts de marché en Allemagne, les ventes de la société chinoise BYD ont augmenté dans le pays, avec 4 000 nouvelles voitures électriques…, soit une augmentation de plus de 830% par rapport au même mois de l’année précédente.

À l’inverse, Tesla, propriété du milliardaire américain Elon Musk, n’a vendu qu’environ 1 800 unités le mois dernier, soit une baisse de plus de 20% par rapport aux ventes de l’année précédente.

Au total, 250 000 voitures neuves ont été immatriculées pour la première fois en Allemagne le mois dernier, soit une augmentation de 2,5% par rapport à novembre 2024.

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Algérie : achat massif de 870 000 tonnes de blé

Des négociants européens ont indiqué que l’acheteur public de céréales de l’Algérie avait acquis entre 810 000 et 870 000 tonnes de blé meunier lors d’un appel d’offres international qui s’est clôturé mercredi 3 décembre.

Les estimations des quantités restent variables, mais les négociants ont indiqué qu’une dizaine de sociétés commerciales ont réalisé des ventes lors de l’appel d’offres. Ce qui laisse présager des achats importants dépassant les estimations initiales pour l’Algérie.

Ils ont ajouté que tous les achats ont été effectués à environ 256 dollars la tonne, frais et transport compris. C’est ce que révèle Reuters.

Le blé devrait être expédié en deux périodes en 2026 depuis les principales zones d’approvisionnement, notamment l’Europe, du 1er au 15 février et du 16 au 28 février. Si la source des expéditions est l’Amérique du Sud ou l’Australie, l’expédition aura lieu un mois avant cette date.

L’Algérie achète du blé meunier en provenance de diverses origines. Mais les négociants estiment qu’il est possible qu’une partie de ce blé provienne de la région de la mer Noire ou d’Argentine.

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Made in Europe : Bruxelles vise 70 % pour couper sa dépendance à la Chine

Bruxelles envisage de fixer des objectifs de « fabrication en Europe » pouvant atteindre 70 % pour certains produits, notamment les voitures. Et ce, dans le cadre de sa volonté de privilégier la production locale et de réduire sa dépendance à l’égard de la Chine, indique le Financial Times.

Cette politique pourrait coûter aux entreprises de l’UE plus de 10 milliards d’euros par an. Car cela les obligerait à acheter des composants européens plus chers. C’est ce que des responsables au courant du projet de loi révèlent. Ledit projet devrait être présenté le 10 décembre.

Dans ce cadre, le commissaire européen, le français Stéphane Séjourné, supervise cette proposition. Laquelle marque l’aboutissement des efforts de la France pour privilégier la production nationale. Alors que l’industrie européenne, en difficulté, peine à concurrencer les importations bon marché en provenance d’Asie.

« Ce que nous essayons de proposer, c’est un équilibre délicat entre la protection nécessaire de notre industrie et l’ouverture, qui est précieuse pour l’ADN de l’Europe », a déclaré un responsable de l’UE.

De leur côté, trois responsables de l’UE ont indiqué que cette idée était à l’étude dans le cadre du plan de politique industrielle. Mais que les objectifs varieraient en fonction de l’importance de chaque secteur et du degré de dépendance.

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Lagarde : la BCE ne violera pas le Traité de l’UE concernant les actifs russes

La Banque centrale européenne (BCE) ne violera pas les règles de l’Union européenne pour soutenir un prêt à l’Ukraine garanti par des avoirs russes gelés. C’est ce qu’a déclaré sa présidente, Christine Lagarde.

« Ce que j’ai très clairement affirmé, et ce que mon équipe a également déclaré, c’est que nous ferons tout notre possible, mais que nous ne violerons pas le traité ». Ainsi s’exprimait Mme Lagarde devant les eurodéputés réunis à Bruxelles, mercredi 3 décembre. « Je n’ai pas été nommée présidente de la BCE par votre Assemblée pour violer le traité », a-t-elle ajouté.

A cet égard, Christine Lagarde affirme qu’ « il ne s’agit pas de nier la réalité, mais simplement de rappeler l’importance du respect du Traité européen concernant le fonctionnement de la Banque centrale européenne. J’espère sincèrement que les excellents rédacteurs et communicateurs de ce projet ont su appeler un chat un chat. C’est une obligation budgétaire qui nous incombe à tous. Par conséquent, en l’absence de marge de manœuvre budgétaire, nous devons trouver une solution ».

Elle poursuit en disant : « Ce n’est pas à moi d’en décider, mais aux dirigeants qui décideront s’il existe un risque d’instabilité financière. Car un maillon essentiel du réseau financier dans lequel nous opérons, à savoir Euroclear, est menacé. Il est de notre devoir de le signaler. Notre second devoir est de veiller au respect du droit international, car il en va de la confiance dans notre zone économique et dans notre monnaie. »

Lire aussi – UE : la saisie de l’argent russe pourrait « dévaster » Euroclear

Elle a également déclaré : « Mon plus grand espoir est que nous puissions aider l’Ukraine, que nous puissions l’aider financièrement; mais sans contourner le Traité et sans faire abstraction de l’impératif de stabilité financière. »

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L’or recule dans un contexte de prudence avant la réunion de la Fed 

Les cours de l’or ont chuté jeudi 4 décembre, les investisseurs prenant leurs bénéfices et adoptant une attitude prudente. Et ce, avant la réunion de la Réserve fédérale la semaine prochaine. Et dans l’attente de données économiques clés qui pourraient donner des indications sur l’évolution des taux d’intérêt américains.

Le cours de l’or au comptant a reculé de 0,2 % à 4 196,96 dollars l’once. Les contrats à terme sur l’or américain pour livraison en décembre ont également baissé de 0,2 % à 4 225,90 dollars l’once, selon Reuters.

Soni Kumari, experte en matières premières chez ANZ, a déclaré : « Le marché s’attend fortement à ce que la Réserve fédérale réduise ses taux d’intérêt de 25 points de base […] Ce dont le marché a besoin maintenant, c’est d’un nouveau catalyseur pour que les prix (de l’or) augmentent ».

Elle a noté que les prises de bénéfices se poursuivaient et que toute baisse significative vers les 4 000 $ attirerait probablement davantage d’acheteurs.

Quant à l’outil FedWatch du CME, il révèle que les marchés sont sûrs à 89 % d’une baisse des taux d’intérêt la semaine prochaine. Les taux d’intérêt bas soutiennent généralement les actifs non rémunérateurs comme l’or.

Par ailleurs, les investisseurs attendent donc la publication, retardée, de l’indice des dépenses de consommation personnelle (PCE) de septembre. A savoir, l’indicateur d’inflation privilégié par la Réserve fédérale, qui sera publié vendredi 5 décembre.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent a reculé de 0,4 % à 58,26 dollars; après avoir atteint un record de 58,98 dollars mercredi. Le platine a reculé de 0,9 % à 1 656,15 $; tandis que le palladium a baissé de 1,3 % à 1 441,75 $.

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Rebond historique du privé non pétrolier en Égypte, au plus haut depuis 2019

Une enquête, publiée mercredi 3 décembre, montre que le secteur privé non pétrolier égyptien a enregistré en novembre sa croissance la plus rapide en cinq ans, grâce à une forte augmentation de la production et des nouvelles commandes.

L’indice PMI S&P Global de l’Égypte a progressé à 51,1 le mois dernier, contre 49,2 en octobre, franchissant ainsi pour la première fois depuis février le seuil des 50 points qui sépare la croissance de la contraction. Il s’agit du niveau le plus élevé de l’indice depuis octobre 2020.

La production a progressé pour la première fois depuis janvier et la plupart des secteurs d’activité étudiés ont enregistré une amélioration. Seul le secteur du commerce de gros et de détail a connu un recul d’activité, selon Reuters.

Les prix pratiqués par les entreprises non pétrolières ont augmenté, mais légèrement.

David Owen, économiste en chef chez Standard & Poor’s Global Market Intelligence, a déclaré : «Le secteur privé non pétrolier égyptien a enregistré en novembre sa meilleure amélioration des conditions commerciales depuis plus de cinq ans, ce qui laisse présager une fin d’année 2025 prometteuse».

Il a ajouté : «La dernière lecture de l’indice des directeurs d’achat suggère que la croissance du PIB en glissement annuel pourrait dépasser les 5% au quatrième trimestre».

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L’UE accepte de mettre fin aux importations de gaz russe en 2027

L’Union européenne entend mettre fin à toutes ses importations de gaz en provenance de Russie d’ici fin 2027, sur la base d’un accord conclu à Bruxelles entre les représentants des gouvernements de ses 27 États membres et le Parlement européen.

Selon ce plan, pour les contrats à court terme signés avant le 17 juin 2025, l’interdiction entrera en vigueur à compter du 25 avril 2026 pour le gaz naturel liquéfié (GNL) et à compter du 17 juin 2026 pour le gaz transporté par pipeline.

Pour les contrats d’approvisionnement en GNL à long terme, l’interdiction entrera en vigueur le 1er janvier 2027, conformément au 19e train de sanctions européennes contre la Russie. Pour les contrats d’importation de gaz par gazoduc à long terme, les importations seront interdites à compter du 30 septembre 2027, sous réserve du respect des objectifs de réserves de gaz, et au plus tard le 1er novembre 2027.

En octobre, la Russie fournissait environ 12% des importations de gaz de l’UE. À titre de comparaison, les États membres importaient environ 45% du gaz qu’ils consommaient avant l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022. La Hongrie, la France et la Belgique figurent parmi les États membres qui importent encore du gaz russe…

Les dirigeants de l’UE ont accepté de couvrir les «besoins financiers urgents» de l’Ukraine au cours des deux prochaines années, mais se sont abstenus d’approuver un plan visant à utiliser 140 milliards d’euros de fonds russes gelés en Europe pour accorder un prêt à Kiev, notamment en raison des inquiétudes concernant les risques juridiques soulevés par la Belgique.

L’essentiel des fonds russes gelés en Europe sont détenus par le dépositaire central de titres belge Euroclear.

Selon la proposition de la Commission, l’Ukraine ne remboursera le prêt que si la Russie verse des indemnités pour les dommages de guerre. Le texte devrait être approuvé aujourd’hui, selon des sources de Reuters.

Interrogé par l’agence sur le fond du texte, un porte-parole de la Commission européenne n’a pas commenté ce dernier, se contentant de déclarer que les commissaires «examineront les options» de financement de l’Ukraine et devraient «approuver» la proposition en ce sens.

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Les prix du pétrole augmentent, le Brent proche des 63 dollars

Les prix du pétrole ont augmenté lors des échanges de ce mercredi 3 décembre 2025, dans une tentative de récupérer une partie des pertes subies lors de la séance précédente alors que les attaques ukrainiennes contre les infrastructures énergétiques en Russie s’intensifient. Ils ont clôturé la séance du mardi 2 décembre en baisse de plus de 1%, effaçant la majeure partie des gains enregistrés lors de la séance de lundi.

Cette situation survient alors que les négociants attendent l’issue des pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine, qui pourraient stimuler l’offre, au moment même où les inquiétudes grandissent quant à un potentiel excédent…

L’Ukraine a continué de cibler les infrastructures énergétiques russes, tandis que Moscou a averti qu’elle pourrait commencer à frapper les navires des pays soutenant l’Ukraine.

Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent pour livraison en février 2026 avaient augmenté de 0,16% pour atteindre 62,54 dollars le baril.

Parallèlement, les prix à terme du pétrole brut américain West Texas Intermediate, pour livraison en janvier 2026, ont augmenté de 0,20% pour atteindre 58,77 dollars le baril, selon les chiffres suivis en temps réel par la plateforme énergétique spécialisée (basée à Washington).

Les deux pétroles bruts de référence (Brent et West Texas Intermediate) ont chuté de 1,1% et 1,15% lors de la dernière séance, après que l’Association des oléoducs de la Caspienne a annoncé la reprise des expéditions de pétrole à partir d’un point de débarquement de son terminal de la mer Noire suite à une importante attaque de drone ukrainienne le 29 novembre.

Les acteurs du marché évaluent également les risques liés aux frappes de drones ukrainiens sur des sites énergétiques russes, à l’escalade des tensions entre les États-Unis et le Venezuela et aux prévisions mitigées concernant les stocks de carburant américains.

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Trump a déjà en tête le nom du futur président de la Fed 

Donald Trump a déclaré mardi 2 décembre qu’il comptait annoncer son choix pour la direction de la Réserve fédérale américaine début 2026. Il a laissé entendre que Kevin Hassett, conseiller économique de la Maison Blanche, était un candidat possible. Alimentant ainsi les spéculations quant à la prochaine nomination à la tête de la Banque centrale américaine.

« Je suppose qu’un potentiel président de la Réserve fédérale est également présent », affirme Trump. « Je ne sais pas qui a le droit de dire cela, un potentiel. C’est une personne respectée, je peux vous l’assurer. Merci, Kevin », poursuit-il.

A noter que la personne choisie par Trump devra obtenir l’approbation du Sénat pour devenir président.

D’après Bloomberg, qui cite des personnes bien informées, M. Hassett est ainsi considéré comme le successeur le plus probable de Jerome Powell.

 

Lire aussi: Les jours de Powell à la tête de la Fed sont-ils comptés?

 

Ainsi, Trump envisagerait une dizaine de candidats pour le poste, en consultation avec M. Bessent et le secrétaire au Commerce, Howard Latnick. Cependant, le président américain est connu pour ses décisions surprises en matière de personnel et de politique. Ce qui signifie qu’aucune nomination n’est définitive tant qu’elle n’est pas rendue publique.

A cet égard, notons au passage que le président américain fait pression depuis des mois sur la Réserve fédérale pour qu’elle baisse les taux d’intérêt. La nomination d’un successeur à Powell, dont le mandat s’achève en mai 2026, lui offrirait une occasion sans précédent de remodeler la Banque centrale. Mais ce dernier pourrait rester au conseil d’administration pendant deux années supplémentaires

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Rencontre Poutine-Witkoff : « Pas de compromis » sur les territoires occupés par la Russie

« Aucun compromis n’a été trouvé » concernant la question épineuse des zones du territoire ukrainien occupées par l’armée russe. C’est ce qui a été déclaré lors de la rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l’envoyé américain Steve Witkoff. Ce dernier étant venu présenter le plan de Washington pour mettre fin à une guerre qui dure depuis bientôt quatre ans.

Steve Witkoff, accompagné du gendre et conseiller du président américain Donald Trump, Jared Kushner, a passé, mardi 2 décembre, près de cinq heures au Kremlin à discuter du plan de Washington avec le dirigeant russe Poutine. Un plan présenté il y a deux semaines et affiné lors de consultations avec des représentants ukrainiens et européens.

« Nous avons pu nous entendre sur certains points (…), d’autres ont suscité des critiques. Mais l’essentiel est qu’une discussion constructive a eu lieu et que les parties ont exprimé leur volonté de poursuivre leurs efforts ». Ainsi a résumé le conseiller du Kremlin pour les questions diplomatiques, Iouri Ouchakov.

Concernant la question des territoires ukrainiens occupés — l’armée russe occupe environ 19 % du territoire ukrainien —, « aucun compromis n’a encore été trouvé ». « Certaines propositions américaines pourraient être discutées », a ajouté M. Ouchakov.

Après leur rencontre avec les dirigeants russes à Moscou, Steve Witkoff et Jared Kushner devraient rencontrer ce mercredi une délégation ukrainienne en Europe. C’est ce qu’indique l’AFP, citant une source au sein du gouvernement de Kiev.

Les Européens soulignent qu’ils espèrent que l’administration du président Trump, qu’ils accusent de faire preuve d’une flatterie excessive envers son homologue Poutine, ne sacrifiera pas l’Ukraine qui, estiment-ils, résiste à l’agression russe.

Poutine : « Nous sommes prêts »

De son côté, quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine avait menacé les Européens. Et ce, en les accusant de chercher à « entraver» les efforts de Washington pour mettre fin à la guerre.

« Nous n’avons aucune intention de nous impliquer dans une guerre avec l’Europe. Mais si l’Europe le souhaite et la déclenche, nous sommes prêts », a-t-il déclaré aux journalistes en marge d’un forum économique.

Pour sa part, Donald Trump a reconnu que le règlement du conflit russo-ukrainien était une affaire complexe. « Croyez-moi, la situation est loin d’être simple. Quel gâchis ! », a-t-il déclaré.

Enfin, sous une forte pression politique et diplomatique, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie d’instrumentaliser les pourparlers pour « affaiblir les sanctions » imposées à Moscou.

D’ailleurs, une conversation téléphonique a été révélée fin septembre par l’agence de presse Bloomberg. Steve Witkoff y donnait des conseils au conseiller diplomatique du Kremlin, Ouchakov, sur la manière de présenter au président Trump un plan pour résoudre la guerre en Ukraine.

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Le Bitcoin enregistre sa pire performance quotidienne depuis mars 2025

Le Bitcoin et l’Ethereum ont tous deux fortement chuté lundi 1er décembre. Alors que la dernière vague de ventes massives de cryptomonnaies a repris.

Le prix du Bitcoin est tombé sous la barre des 86 000 $, soit une baisse de 6 %. L’Ethereum a également chuté de 8,4 % pour s’établir à 2 776,39 $.

Idem pour la cryptomonnaie Solana qui laissé plus de 9 % sur le carreau, passant dernièrement sous la barre des 125 dollars. Tandis que d’autres cryptomonnaies étroitement réglementées ont également reculé.

En Asie, un communiqué publié samedi par la Banque populaire de Chine, mettant en garde contre les activités illégales liées aux monnaies numériques, a accru la pression sur les actions des sociétés liées aux actifs numériques cotées à la Bourse de Hong Kong, qui ont reculé lundi, relève CNBC.

Le nouveau repli des actifs numériques s’inscrit dans une tendance générale à l’aversion au risque en ce début de mois.

Ben Emmons, fondateur et directeur des systèmes d’information de Fedwatch Advisors, a déclaré que les gens étaient encore « nerveux » après la récente vague de ventes massives de Bitcoin. Il a ajouté que la baisse de lundi était généralement attribuée à la liquidation de 400 millions de dollars de plateformes d’échange…

Toujours selon la même source : «Le Bitcoin présente encore un fort effet de levier. On peut s’attendre à davantage de liquidations de ce type si son cours ne remonte pas depuis ses plus bas niveaux ».

Le repli de lundi faisait suite à une forte vague de ventes en octobre, qui avait également affecté le marché boursier. Le Bitcoin montrant une corrélation plus forte avec certains indices, notamment le Nasdaq, explique M. Emmons. « Ce sont principalement les investisseurs particuliers qui en sont à l’origine. Et c’est ce qui est inquiétant, car ils réagissent très différemment des investisseurs institutionnels. Il faudra en tenir compte à l’avenir, car l’effet de levier se généralise dans ce secteur ».

Par ailleurs, les préoccupations macroéconomiques – notamment l’incertitude quant à la probabilité d’une baisse des taux d’intérêt américains – continuent de peser sur les investisseurs. Tandis que les doutes persistants concernant les valorisations excessives des entreprises liées à l’IA ont contribué aux turbulences des marchés en novembre. Et ce, dans un contexte de volatilité accrue des cryptomonnaies.

Enfin, sur les marchés des cryptomonnaies, plusieurs indicateurs laissent présager une faiblesse accrue à court terme des actifs numériques. L’intérêt ouvert sur les contrats à terme perpétuels a diminué, signe d’une réduction des positions spéculatives et à effet de levier sur le marché. C’est ce que constate Zach Bandle, responsable de la recherche chez Grayscale, société de gestion d’actifs spécialisée dans les cryptomonnaies.

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Les États-Unis réduisent leurs droits de douane sur les voitures sud-coréennes à 15 %…

L’adoption par le Parlement de la Corée du Sud de la législation sur les investissements stratégiques a été annoncée lundi 1er décembre par le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, dans un message publié sur X.

« Les États-Unis réduiront certains droits de douane dans le cadre de cet accord, notamment ceux sur les voitures à 15 %, à compter du 1er novembre. Nous supprimons également les droits de douane sur les pièces d’aéronefs et nous « décompresserons » le taux d’intérêt réciproque de la Corée pour l’aligner sur celui du Japon et de l’UE». C’est ce qu’indique en substance le communiqué.

« La République de Corée a officiellement franchi, au Parlement, une nouvelle étape dans la mise en œuvre de la loi sur les investissements stratégiques. Cette mesure importante garantit que l’industrie et les travailleurs américains bénéficieront pleinement de l’accord commercial conclu par le président des États-Unis avec la Corée », précise encore l’annonce.

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Contraction de l’activité manufacturière aux Etats-Unis en novembre

L’activité manufacturière américaine s’est contractée pour le neuvième mois consécutif en novembre aux Etats-Unis. Les usines étant confrontées à une baisse des commandes et à une hausse des prix des intrants. Tandis que l’impact des droits de douane sur les importations a continué de peser sur le secteur.

L’Institute for Supply Chain Management (ISM) a annoncé, lundi 1er décembre 2025, que son indice PMI manufacturier a reculé à 48,2 le mois dernier, contre 48,7 en octobre. A noter qu’un chiffre inférieur à 50 indique une contraction de l’activité manufacturière, qui représente 10,1 % de l’économie.

L’indice PMI est toutefois resté supérieur à 42,3. Un niveau que l’ISM juge compatible avec une expansion de l’économie dans son ensemble. Sachant que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient une hausse du PMI à 49,0…

L’indice ISM des nouvelles commandes futures a reculé à 47,4 le mois dernier, contre 49,4 en octobre. Cet indice s’est contracté au cours de neuf des dix derniers mois. Les droits de douane ont fait grimper les prix de certains biens aux Etats-Unis, freinant ainsi la demande. Les carnets de commandes ont continué de diminuer, malgré une légère amélioration des exportations.

La faiblesse de la demande a donc entraîné une moindre pression sur les chaînes d’approvisionnement. L’indice des commandes fournisseurs de l’enquête ISM a reculé à 49,3, contre 54,2 en octobre. Un indice inférieur à 50 indique des délais de livraison plus courts.

Malgré une baisse des commandes de biens industriels, les fabricants ont payé plus cher leurs matières premières le mois dernier. C’est un signe que l’inflation restera élevée pendant un certain temps. L’indice des prix de l’enquête est passé de 58,0 à 58,5.

Enfin, l’emploi dans le secteur manufacturier a diminué. Probablement en raison de ce que l’ISM avait précédemment décrit comme « une accélération des licenciements due à une demande incertaine à court et moyen terme ».

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Le commerce extérieur de biens et de services chinois s’est élevé à 520 milliards d’euros en octobre

La valeur économique des biens et services dans le commerce extérieur de la Chine a été enregistrée à environ 4,29 billions de yuans en octobre 2025. Soit près de 520 milliards d’euros.

Globalement, les exportations de biens ont été enregistrées à environ 2,16 billions de yuans (environ 260 milliards d’euros). Tandis que les importations ont dépassé 1,52 billion de yuans (190 milliards d’euros). Ce qui a entraîné un excédent de 641,3 milliards de yuans (environ 78,19 milliards d’euros). C’est ce qu’il ressort des données officielles de l’Administration d’État des changes (SAFE), présentées ce mardi 2 décembre, en Chine.

De leur côté, les exportations de services ont atteint 260,7 milliards de yuans (environ 31,78 milliards d’euros). Alors que les importations de services se sont élevées à 340,4 milliards de yuans (environ 41,50 milliards d’euros). Ce qui correspond à un déficit de 79,7 milliards de yuans (environ 9,72 milliards d’euros).

A cet égard, notons qu’en particulier les services de voyage ont enregistré une valeur commerciale de 175,1 milliards de yuans (environ 21,35 milliards d’euros) en octobre. Quant aux services de transport, ils représentant une valeur commerciale de 170,5 milliards de yuans (environ 20,79 milliards d’euros). Tandis que les services de télécommunications, d’informatique et d’information ont enregistré une valeur commerciale de 65,8 milliards de yuans (environ 8,02 milliards d’euros), comme le montrent les mêmes données.

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La BCE bloque le plan de prêt de 140 milliards d’euros de l’UE à l’Ukraine

La Banque centrale européenne (BCE) a refusé de soutenir le versement de 140 milliards d’euros (162,53 milliards de dollars) à l’Ukraine. Compromettant ainsi le plan de l’UE visant à lever un « prêt de compensation » garanti par des avoirs russes gelés, selon le Financial Times.

La BCE a estimé que la proposition de la Commission européenne violait son mandat, rapporte le journal, citant plusieurs responsables. Ce qui complique encore la tâche de Bruxelles pour obtenir le prêt garanti par les actifs de la Banque centrale russe qui sont « gelés » chez Euroclear.

En effet, le plan de la Commission européenne prévoyait que les pays de l’UE fourniraient des garanties d’État afin de garantir que le risque de non-remboursement du prêt de 140 milliards d’euros à l’Ukraine soit partagé entre les gouvernements européens.

Toutefois, des responsables de la Commission ont averti que les pays ne seraient pas en mesure de mobiliser rapidement ces fonds en cas d’urgence. Ce qui pourrait exercer une pression sur les marchés.

Toujours selon le Financial Times, les responsables ont demandé à la BCE si elle pouvait intervenir en tant que prêteur en dernier ressort auprès d’Euroclear Bank. A savoir, la branche crédit de l’institution belge, afin d’éviter une crise de liquidités.

Alors, l’analyse interne de la BCE a conclu que la proposition du comité équivalait à fournir un financement direct aux gouvernements, puisque la Banque centrale couvrirait les obligations financières des États membres.

Or, cette pratique, appelée « financement monétaire » par les économistes, est interdite par les traités de l’UE.

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Les Suisses rejettent majoritairement la taxe carbone sur les plus riches

Les Suisses ont rejeté massivement dimanche 30 novembre une proposition visant à imposer une taxe de 50 % sur les successions supérieures à 50 millions de francs suisses (53,5 millions d’euros). C’est ce que rapporte la chaîne de télévision publique suisse SRF dans une estimation préliminaire des résultats, avec 79 % de « non ».

La proposition, émanant de l’aile jeunesse du Parti social-démocrate (JUSO), visant à financer des programmes pour atténuer les effets du changement climatique, était vouée au rejet. Puisque plus des deux tiers des personnes interrogées s’opposaient à la taxe proposée lors de récents sondages en Suisse.

Les dirigeants du puissant secteur financier du pays ont suivi de près le vote, le qualifiant de test crucial de la volonté de la Suisse de redistribuer les richesses. Alors que d’autres pays, comme la Norvège, ont augmenté les impôts sur la fortune ou discutent publiquement de mesures similaires.

A cet égard, notons que la Suisse abrite certaines des villes les plus chères du monde. Et la question du coût de la vie est une préoccupation croissante en politique intérieure.

Sachant que les détracteurs de l’initiative craignaient qu’elle n’entraîne un exode des plus fortunés hors de Suisse. Réduisant ainsi les recettes fiscales globales. D’ailleurs, le gouvernement suisse avait appelé les électeurs à la rejeter.

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L’UE peine à mettre en place des régimes de retraite viables

L’Union européenne prévoit que la population de ses États membres passera de 451 millions d’habitants aujourd’hui à environ 432 millions d’ici 2070. Parallèlement, la proportion de personnes âgées va augmenter rapidement ainsi que la pression sur les régimes de retraite. 

Pour assurer le versement des pensions aux retraités actuels, les gouvernements européens comblent les déficits de financement grâce aux budgets des États, rapporte Deutsche Welle. En Allemagne, par exemple, ce soutien a dépassé 100 milliards d’euros cette année et devrait s’élever à plus de 150 milliards d’euros d’ici 2040.

Le rapport du media allemand présente quelques exemples indicatifs de pays de l’UE. Ainsi, l’Italie consacre actuellement le plus de ressources aux retraites en Europe, soit 16 % de son PIB. Cependant, les retraites constituent souvent un véritable filet de sécurité sociale pour des familles entières, rendant toute réduction budgétaire quasi impossible.

En outre, les rapports de la Commission européenne sur le vieillissement de la population indiquent que la Grèce a alloué 14,5 % de son PIB aux retraites en 2022.

L’Espagne, qui affiche l’un des taux de natalité les plus bas d’Europe, augmentera, comme tout porte à croire, de manière significative le financement public des retraites dans les années à venir pour cette raison.

Moins de cotisations, une pension plus faible

D’un autre côté, la Suède et les pays baltes ont délibérément opté pour une voie différente. Le système de retraite suit généralement une règle simple : seules les cotisations versées peuvent être versées aux retraités.

Autrement dit, si les revenus diminuent en raison de l’évolution démographique, les pensions sont revues à la baisse. Ce système présente un inconvénient majeur : dans les pays baltes, les taux de pauvreté relative chez les personnes âgées figurent parmi les plus élevés d’Europe, car les pensions ne suivent pas l’évolution des salaires et des prix.

Les systèmes de retraite en Europe sont donc complexes. De nombreux pays ont des systèmes hybrides qui combinent redistribution, financement et/ou revenu de base. Neuf États membres de l’UE lient l’âge de la retraite à l’espérance de vie : le Danemark, les Pays-Bas, l’Estonie et la Slovaquie.

Au Portugal, la règle suivante est en vigueur depuis 2014 : pour chaque année d’augmentation de l’espérance de vie, l’âge de la retraite est repoussé d’environ huit mois. Ainsi, aujourd’hui, l’âge de la retraite au Portugal est de 66 ans et sept mois. L’OCDE prévoit qu’à long terme, dans plusieurs pays dotés d’un système d’ajustement automatique, l’âge de la retraite pourrait atteindre voire dépasser 70 ans. En France, qui ne dispose pas d’un mécanisme d’ajustement similaire, le relèvement progressif de l’âge de la retraite de 62 à 64 ans a été reporté, pour des raisons politiques.

En Grèce, les pensions représentent 88,5 % du salaire

Quel que soit le système de retraite d’un pays, les futures pensions seront inférieures aux salaires. Et ce, à moins que les citoyens ne travaillent plus longtemps ou ne passent à des pensions privées.

L’OCDE indique qu’en moyenne, les pensions en Europe représentent environ 61 % du salaire. Cependant, des variations importantes existent : si l’Estonie, la Lituanie et l’Irlande affichent parfois des taux inférieurs à 40 %; des pays comme les Pays-Bas, le Portugal et la Turquie atteignent plus de 90 % du salaire. La Grèce culminant à 88,5%. L’Allemagne, la France et la Suède se situent autour de 50 %.

Les pensions complémentaires et privées, ainsi que l’épargne, jouent alors un rôle déterminant dans le niveau de vie à la retraite. Et, dans de nombreux pays, elles sont mises à contribution pour compenser les faibles pensions.

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La production industrielle chinoise ralentit en novembre

La production industrielle chinoise s’est contractée de manière inattendue en novembre. C’est ce que révèle une enquête publiée lundi 1er décembre. La faiblesse de la demande intérieure continuant de peser sur la deuxième économie mondiale.

Plus précisément, l’indice PMI manufacturier général chinois, RatingDog de S&P Global, a chuté à 49,9 points en novembre, en dessous des estimations des analystes (50,5 points).

Dans le même temps, l’indice a enregistré un recul par rapport aux niveaux de 52,1 points en septembre et de 50,6 points en octobre.

« La croissance de la production manufacturière a ralenti, les nouvelles commandes s’étant quasiment arrêtées en novembre », ont indiqué S&P Global et RatingDog dans un communiqué.

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Les Etats-Unis préparent-ils une « attaque » contre le Venezuela?

Caracas dénonce une « attaque en préparation ». Et ce, suite au déploiement d’éléments de l’armée américaine contre le Venezuela du président Nicolas Maduro. Où le Parlement a organisé une réception pour les familles des victimes des frappes américaines en mer des Caraïbes.

Washington, prétendant mener une opération contre les cartels de la drogue, déploie depuis septembre des moyens militaires de plus en plus importants dans les Caraïbes.

Considéré comme le « mouton noir des États-Unis » depuis un quart de siècle, le Venezuela est accusé par Donald Trump d’être à l’origine du trafic de drogue qui inonde le marché américain. Caracas réfute ces accusations et rétorque que l’objectif de Washington est en réalité d’imposer un changement de régime afin de s’emparer du pétrole vénézuélien.

Le sénateur républicain Markwayne Mullin a déclaré que Washington avait suggéré au président Maduro de quitter le pays. « Nous avons donné à Maduro la possibilité de partir. Nous lui avons dit qu’il pouvait aller en Russie, ou dans un autre pays ».

Trump a confirmé par la suite avoir parlé au téléphone avec son homologue Maduro la semaine dernière. « Je ne dirai pas si cela s’est bien ou mal passé. C’était un appel téléphonique », rapporte le New York Times.

L’OPEP sollicitée

Dans ce contexte, le Venezuela a annoncé avoir demandé à l’OPEP de l’aider à « stopper cette attaque (américaine) », qui « se prépare avec une force croissante et menace gravement l’équilibre du marché international de l’énergie ». Et ce, dans une lettre lue par la vice-présidente Delcy Rodriguez, également ministre du Pétrole. Elle s’exprimait ainsi lors d’une réunion tenue en ligne avec ses homologues des pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole.

« Washington cherche à s’emparer des vastes réserves pétrolières du Venezuela, les plus importantes au monde, par le recours à la force militaire ». C’est encore ce qu’indique la lettre signée par le président Maduro.

Des experts s’interrogent sur la légalité de ces opérations, aucun suspect n’ayant été arrêté ni interrogé. Le Venezuela lui dénonce des « exécutions extrajudiciaires » et des « crimes contre l’humanité ». Il a exigé, en septembre, une enquête de l’ONU.

Pourtant, ces derniers jours, une activité continue d’avions de chasse et de bombardiers américains a été enregistrée à quelques dizaines de kilomètres des côtes vénézuéliennes. C’est ce que rapportent des sites spécialisés dans le suivi des vols.

Enfin, suite à l’annonce de Trump sur Truth Social concernant l’espace aérien vénézuélien, Caracas a déclaré que Washington avait « unilatéralement suspendu » le rapatriement des ressortissants vénézuéliens et des migrants en situation irrégulière expulsés par les autorités américaines.

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