L’Afrique francophone et le Maghreb vivent une accélération numérique spectaculaire. L’intelligence artificielle s’invite désormais dans le quotidien : apprentissage en ligne, services publics digitalisés, outils de traduction et de productivité.
Mais cette révolution ouvre aussi la porte à une nouvelle génération d’arnaques : deepfakes, voix clonées, usurpation d’identité numérique, faux sites se faisant passer pour des plateformes d’IA comme le phénomène des “faux DeepSeek”. Pour des millions d’utilisateurs, notamment sur mobile, le risque n’est plus théorique : il circule déjà sur WhatsApp, TikTok et Facebook.
Deepfakes et faux services IA : une manipulation à portée de smartphone
Les cas se multiplient : vidéos truquées d’hommes politiques annonçant de fausses alliances, appels vocaux de prétendus proches demandant un transfert Mobile Money alors qu’il s’agit d’une voix synthétique, faux sites et fausses applications générant une interface pour collecter identifiants et paiements.
L’illusion est désormais convaincante, et le contexte aide : communication directe sur les réseaux sociaux, confiance communautaire forte, absence de repères face à ces nouveaux codes numériques. Les fraudeurs jouent sur l’émotion, l’urgence, la crédulité face au progrès technologique.
Selon TransUnion Africa, les usurpations vocales via imitation d’IA ont progressé de 37 % à 49 % en un an sur le continent, et les deepfakes vidéo ont doublé sur la même période[1]. Dans certains cas, ces contenus sont utilisés pour extorquer de petites sommes via mobile money ou manipuler des campagnes électorales locales.
Une menace transfrontalière amplifiée par le mobile
Selon Benoît Grunemwald, expert en cybersécurité chez ESET pour l’Afrique francophone, la situation requiert une prise de conscience généralisée : « Tandis que les services cloud continuent de gagner en popularité, l’intérêt que leur portent les attaquants demeure grandit également. Nous voyons émerger une nouvelle forme de fraude, plus crédible et plus rapide, car elle s’appuie sur des outils d’IA accessibles à tous. En Afrique, où le smartphone est la principale porte d’entrée numérique, l’impact peut être massif si la prévention ne suit pas. »
Sur un continent où plus de 60 % de l’accès à Internet se fait via smartphone[2], les attaques progressent plus vite que la prévention.
Le rapport d’INTERPOL sur les menaces cyber en Afrique indique que 34 % des incidents détectés sont liés à des escroqueries en ligne (phishing, usurpation d’identité, fraude via IA)[3]. Les opérations coordonnées, comme Operation Serengeti 2.0 (juin-août 2025), ont conduit à 1 209 arrestations dans 18 pays africains et permis de récupérer 97,4 millions de dollars d’actifs frauduleux, touchant près de 88 000 victimes[4].
En Afrique de l’Ouest, la fraude numérique explose : selon TechCabal Insights, les tentatives de fraude biométrique et documentaire sont passées de 12 % en 2023 à 22 % en 2024[5] — une progression quasi doublée en un an. Dans la région, les escroqueries liées à l’IA se mêlent souvent à des arnaques classiques d’investissement, de recrutement ou de cryptoactifs.
Maghreb : les services financiers en première ligne
Au Maghreb, les autorités multiplient les alertes face aux usurpations d’identité alimentées par l’IA. Le rapport INTERPOL 2025 souligne que l’Égypte et le Maroc figurent parmi les pays les plus ciblés : l’Égypte à elle seule concentre 13 % de l’ensemble des cyberattaques en Afrique[6], tandis que le Maroc connaît une hausse notable des fraudes via faux sites d’investissement IA.
Selon Smile ID, 27 % des fraudes identifiées sur le continent concernent des cartes nationales d’identité, 24 % des permis de conduire et 20 % des passeports[7]. Ces documents sont ensuite utilisés pour créer de faux profils sur des plateformes d’IA ou des services financiers en ligne.
Benoît Grunemwald insiste : « La clé, c’est la solidarité numérique. En matière de cybersécurité, protéger l’autre, c’est aussi se protéger soi-même. L’éducation au numérique et la vérification des sources doivent devenir des réflexes quotidiens. » Ainsi, face à cette nouvelle vague de manipulations numériques, aucune technologie ne suffira à elle seule. L’éducation et la vigilance demeurent les premières lignes de défense : vérifier l’origine d’une vidéo, se méfier des messages d’urgence, ne jamais saisir ses informations bancaires sans certitude sur la source, et transmettre ces réflexes à ses proches.
Si l’Afrique fait de cette crise une opportunité d’éducation numérique, elle pourra non seulement réduire la menace, mais aussi en tirer un bénéfice stratégique en formant un continent connecté et acteur du numérique.
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[1] TransUnion Africa, H1 2025 Digital Fraud Study – Africa, 2025
Tunis, le 4 décembre 2025 – La BIAT est fière d’annoncer l’obtention de cinq distinctions internationales majeures en 2025. Ces reconnaissances, émanant de références mondiales du secteur financier, confirment une nouvelle fois la solidité du modèle de la BIAT, son leadership sur la scène nationale et régionale ainsi que son engagement constant en faveur de l’innovation, de l’excellence opérationnelle et du service client.
Distinction de la Meilleure Banque en Tunisie par Euromoney Awards for Excellence 2025
Le magazine Euromoney a décerné à la BIAT le titre de « Meilleure Banque en Tunisie » dans le cadre de son programme « Euromoney Awards for Excellence 2025 ».
Cette distinction prestigieuse vient couronner les efforts continus de la banque en matière d’innovation financière, de qualité de service et de performance opérationnelle. Elle salue également l’engagement des équipes BIAT, mobilisées au quotidien pour répondre aux attentes d’une clientèle diversifiée et en constante évolution.
Déjà récompensée par Euromoney en 2019, 2023 et 2024, la BIAT confirme ainsi son positionnement d’acteur bancaire incontournable en Tunisie.
Prix de la Meilleure banque sur le marché de change en Tunisie par Global Finance
Pour la cinquième année consécutive, Global Finance a élu la BIAT « Meilleure Banque sur le marché de change en Tunisie » dans le cadre des Gordon Platt Foreign Exchange Awards 2025.
Cette distinction met en avant la maîtrise de la BIAT sur le marché de change, portée par des solutions innovantes, une expertise reconnue et un service client performant. Grâce à ces atouts, la banque rejoint le cercle restreint des institutions africaines les plus performantes sur ce segment stratégique.
Trois prix décernés par CFI en 2025
Le magazine britannique Capital Finance International (CFI) a attribué à la BIAT trois distinctions majeures en 2025 : « Meilleure Gouvernance Bancaire en Tunisie », « Meilleure stratégie de digitalisation en Afrique du nord » et « Contribution exceptionnelle au développement de la jeunesse en Tunisie ».
Ces prix récompensent la solidité de la gouvernance de la BIAT, son engagement en matière de transformation digitale ainsi que l’impact durable de ses actions sociétales, notamment à travers la Fondation BIAT. La BIAT est distinguée par CFI pour la sixième année consécutive, preuve de la constance de sa performance et de sa vision durable.
Banque solide, la BIAT réaffirme sa volonté d’offrir à ses clients un accompagnement de haut niveau, basé sur la confiance, la proximité et l’excellence. Ces reconnaissances internationales renforcent la détermination de la banque à poursuivre son développement et à contribuer activement à la dynamique économique et sociale du pays.
A propos de la BIAT :
Banque universelle, acteur de référence en Tunisie, la BIAT constitue aujourd’hui un groupe bancaire solide avec ses filiales dans les domaines de l’assurance, de la gestion d’actifs, du capital-investissement, de l’intermédiation boursière et du conseil. Implantée sur tout le territoire, la BIAT compte aujourd’hui 206 agences à travers toute la Tunisie. Près de 2500 collaborateurs travaillent au service de tous ses clients : particuliers, professionnels, PME, grandes entreprises et institutionnels.
Très attentive à sa responsabilité sociétale, la BIAT a traduit son positionnement citoyen par de nombreux engagements. La création de la Fondation BIAT pour la jeunesse tunisienne, au printemps 2014, en est emblématique et ancre cet engagement de façon pérenne. www.biat.com.tn
Le Galaxy Z Trifold fait passer les performances et l’expérience d’un téléphone ultra haut de gamme à un niveau supérieur en se dépliant deux fois pour révéler un écran de téléphone ultra-immersif, offrant une productivité ultime d’espace de travail mobile et de visionnage cinématographique.
Samsung Electronics Co., Ltd. a annoncé aujourd’hui le lancement du Galaxy Z TriFold, renforçant ainsi son leadership dans les nouveaux facteurs de forme pour l’ère de l’AI mobile. S’appuyant sur une décennie d’innovation dans la catégorie des appareils pliables, le Galaxy Z TriFold illustre une véritable maîtrise d’ingénierie grâce à ses technologies pliables les plus avancées, optimisées pour les exigences uniques d’un design à plis multiples. Son profil fin garantit la portabilité d’un smartphone haut de gamme offrant des performances ultra, et lorsqu’il est déplié deux fois, il révèle un écran immersif de 10 pouces[1] qui sublime la productivité et l’expérience cinématographique. Il offre une expérience mobile de premier ordre, jamais vue auparavant dans aucun autre format.
« La quête incessante de nouvelles possibilités de Samsung continue à façonner l’avenir des expériences mobiles », a déclaré TM Roh, directeur général, président et chef de la division Device eXperience de Samsung Electronics. « Grâce à des années d’innovation dans le domaine des formats pliables, le Galaxy Z TriFold relève l’un des défis les plus anciens de l’industrie mobile : offrir l’équilibre parfait entre portabilité, performances haut de gamme et productivité, le tout dans un seul appareil. Le Galaxy Z TriFold repousse désormais les limites du possible en matière de travail mobile, de créativité et de connexion. »
Façonner l’avenir avec des décennies d’expertise mobile
Samsung est depuis longtemps à la pointe de l’industrie mobile, en étant le pionnier de nouvelles catégories et expériences, notamment les appareils à grand écran, les facteurs de forme pliables et la manière dont les gens utilisent l’AI sur un appareil mobile. S’appuyant sur une R&D de pointe, une fabrication de bout en bout et un contrôle de qualité rigoureux, Galaxy Z TriFold montre comment Samsung continue à établir de nouvelles références pour un téléphone qui maximise les performances tout en restant portable.
Dans le processus de recherche et de conception de Samsung, la compréhension de la manière dont les gens utilisent les appareils est le moteur de l’innovation. L’expérience de Samsung en matière d’innovation dans le domaine des appareils pliables, qui s’étend sur une décennie, a inspiré l’expérience de pliage multiple du Galaxy Z TriFold, qui utilise une conception de pliage vers l’intérieur pour protéger l’écran principal. Le mécanisme de pliage a été conçu avec précision pour une ouverture et une fermeture faciles. Il y a même une alarme automatique qui avertit l’utilisateur d’un mauvais pliage par une série d’alertes et de vibrations à l’écran. Chaque détail est conçu avec précision et détermination pour offrir une expérience intuitive et conviviale.
Mesurant seulement 3,9 mm à son point le plus fin[2], le Galaxy Z TriFold offre des performances de premier ordre grâce à la plateforme mobile Snapdragon® 8 Elite personnalisée pour Samsung Galaxy[3] , un appareil photo de 200 mégapixels[4] et la plus grande batterie jamais utilisée par Samsung dans un téléphone pliable. Le système de batterie à trois cellules de 5 600 mAh[5] a été placé sur chaque panneau de l’appareil pour assurer une alimentation équilibrée, une endurance tout au long de la journée. Associé à la charge ultra-rapide de 45 W[6], le Galaxy Z TriFold permet aux utilisateurs de diffuser, de créer et de travailler sans limites.
Pour équilibrer la puissance d’un appareil de qualité supérieure dans un cadre fin et portable, une réoptimisation de sa technologie pliable de base a été appliquée. Chaque pièce de l’appareil a été fabriquée en accordant une grande attention à l’innovation structurelle et à l’assurance produit :
Lescharnières les plus avancées de Samsung à ce jour : S’appuyant sur son héritage en matière d’innovation dans le domaine des téléphones pliables, Samsung a perfectionné la charnière Armor FlexHinge pour répondre aux exigences uniques du Galaxy Z TriFold. Deux charnières de taille différente avec une structure à double rail fonctionnent en harmonie, créant un pliage plus fluide et plus stable malgré les variations de poids et de composants de l’appareil. La structure de la charnière permet également aux panneaux de l’écran de se rejoindre solidement avec un espace minimal, ce qui permet d’obtenir un appareil plus fin et plus portable.
Écran pliable restructuré : Le Galaxy Z TriFold introduit une nouvelle technologie d’affichage conçue pour l’écran de 10 pouces qui se plie deux fois pour former un téléphone de poche. Une couche renforcée a été ajoutée à la couche d’affichage absorbant les chocs pour une meilleure résistance de l’appareil à double pliage.
Matériaux avancés pour l’extérieur : Le boîtier de charnière en titane introduit une fine pièce de métal qui protège le mécanisme de pliage et résiste à l’usure au fil du temps. Le châssis de l’appareil est soutenu par l’Advanced Armor Aluminum[1], un alliage à haute résistance qui ajoute de la rigidité sans rendre l’appareil encombrant. Le cadre permet de s’assurer que les écrans n’entrent pas en contact l’un avec l’autre, et un panneau arrière en polymère renforcé de fibres de verre et de céramique permet au design d’être fin tout en résistant aux fissures.
Inspection de haute qualité sur chaque appareil : Chaque pièce est soumise à une série de contrôles de qualité stricts afin de répondre aux moindres exigences. Par exemple, la tomodensitométrie du circuit imprimé flexible permet de vérifier qu’il a été correctement fabriqué conformément à la conception, ce qui garantit sa précision et sa fiabilité avant de le coller avec les autres composants internes de l’écran. Le balayage laser permet de vérifier que tous les composants internes sont montés avec précision à la hauteur prévue, ce qui garantit la qualité de la surface.
Grâce à l’innovation en matière de conception, à l’excellence de l’ingénierie et à des normes de qualité élevées, chaque appareil est conçu pour offrir la meilleure expérience possible à l’utilisateur.
Le téléphone à AI le plus polyvalent de Samsung, doté du plus grand écran
La productivité sur le Galaxy Z TriFold est améliorée grâce à des expériences puissantes personnalisées pour l’écran de 10 pouces – le plus grand écran d’un téléphone Samsung Galaxy. À l’instar des utilisateurs qui ont inspiré sa conception dynamique, il est puissant, polyvalent et prêt pour l’ère moderne de l’AI.
Lorsque le Galaxy Z TriFold s’ouvre, l’écran fonctionne de manière similaire de trois smartphones de 6,5 pouces sur un écran de 10 pouces, offrant aux utilisateurs plus d’espace pour effectuer des tâches multiples au cours de leur journée. Utilisez l’écran avec une polyvalence infinie : créez dans trois applications différentes en format portrait côte à côte sans interruption, redimensionnez les applications en multifenêtre pour afficher les informations les plus importantes en plus grand, ou tenez-le en orientation verticale lorsque vous consultez des documents pour une meilleure mise au point. Par exemple, un architecte qui dessine les plans d’une nouvelle maison. Sur le grand écran, il peut utiliser trois applications en même temps pour examiner les plans, rédiger une proposition et calculer les mesures dans un seul espace de travail multifenêtre. Si un appel arrive à l’improviste, il peut y répondre sans perturber sa mise en page ni perdre son élan. Lorsqu’il est temps de se remettre au travail, la barre des tâches située en bas à droite de l’écran fait instantanément réapparaître les applications récemment utilisées, ce qui permet d’afficher l’ensemble de la configuration d’un simple effleurement. Les applications et fonctionnalités familières, telles que Mes fichiers et Samsung Health, ont également été optimisées pour un grand écran, permettant aux utilisateurs d’organiser et de comprendre les informations d’un seul coup d’œil.
Pour répondre aux puissantes capacités d’un écran de cette taille, le Galaxy Z TriFold est le premier téléphone portable à disposer d’un Samsung DeX[1] autonome sur l’appareil, de sorte que les utilisateurs peuvent mettre en place un environnement de travail complet depuis pratiquement n’importe quel endroit. Allez dans le panneau des réglages rapides et sélectionnez DeX pour la configuration de travail la plus avancée de Samsung Galaxy, avec jusqu’à quatre espaces de travail qui peuvent chacun exécuter cinq applications simultanément. Les utilisateurs peuvent revoir et modifier la présentation d’une réunion dans un espace de travail, puis passer rapidement à un autre espace pour discuter avec des amis ou faire des achats en ligne. Et pour encore plus de productivité, les utilisateurs peuvent ajouter un écran secondaire en Extended Mode, ce qui permet une expérience de double écran transparente avec un moniteur externe. Faites glisser et déposez facilement les applications d’un écran à l’autre et travaillez sur les deux écrans avec l’efficacité d’un ordinateur de bureau. Les utilisateurs ont également la possibilité d’ajouter une souris et un clavier Bluetooth, créant ainsi instantanément la station de travail portable ultime pour les projets complexes ou les conceptions créatives.
Chaque détail du Galaxy Z TriFold est conçu pour l’excellence – et avec Galaxy AI[9] , ces capacités l’élèvent en rendant chaque fonctionnalité plus intuitive sur un grand écran. Des fonctions telles que Photo Assist, y compris Generative Edit et Sketch to Image, s’adaptent à Galaxy AI de manière flexible et à une échelle impressionnante, permettant aux utilisateurs de capturer et de créer avec la plateforme créative la plus polyvalente de Samsung. Les utilisateurs peuvent également comparer facilement les modifications avant et après, côte à côte. Browsing Assist peut simplifier l’utilisation de Samsung Internet en fournissant des résumés ou des traductions instantanés.
Gemini Live sur Galaxy Z TriFold est doté d’une intelligence artificielle multimodale qui comprend ce que les utilisateurs voient, disent et font. Tapez ou prononcez des questions contextuelles en toute simplicité et obtenez des réponses sans avoir à passer d’une application à l’autre pour un niveau élevé de multitâche. Utilisez l’écran plus grand pour obtenir des conseils d’aménagement instantanés : montrez-lui une pièce, un site d’achat et des échantillons de peinture pour obtenir une recommandation personnalisée. Et grâce au partage d’écran ou de caméra sur Gemini Live, les utilisateurs peuvent simplement poser des questions sur ce qu’ils regardent pour obtenir une assistance et des informations en temps réel, le tout sur un seul appareil.
Une expérience cinématographique dans votre poche
Le format du Galaxy Z TriFold offre non seulement davantage de possibilités pour créer et travailler, mais constitue également un support idéal pour visionner des photos et des vidéos en haute qualité.
Conçu pour une visualisation maximale et une plus grande portabilité, son grand écran principal est parfait pour se plonger dans des films ou des émissions. Pour prolonger l’expérience YouTube, les utilisateurs peuvent désormais regarder une vidéo et lire les commentaires côte à côte. Le pliage minimisé garantit un contenu fluide et ininterrompu, et une fois fermé, son profil fin lui permet de se glisser facilement dans n’importe quelle poche.
S’appuyant sur l’expertise de Samsung en matière d’affichage visuel, l’appareil offre des images d’une grande fluidité sur un écran AMOLED dynamique 2X avec des taux de rafraîchissement allant jusqu’à 120 Hz[10]. Le Galaxy Z TriFold est doté d’un écran lumineux, qu’il soit ouvert ou fermé, avec jusqu’à 2600 nits sur l’écran de couverture et 1600 nits sur l’écran principal. Grâce à Vision Booster, qui optimise les couleurs et le contraste quel que soit l’éclairage, chaque image et chaque trame prennent vie dans les moindres détails, créant ainsi une expérience véritablement immersive.
Samsung inspire le monde et façonne l’avenir avec des idées et des technologies transformatrices.
La société redéfinit les mondes des téléviseurs, des smartphones, des appareils portables, des tablettes, des appareils numériques, des systèmes réseau et de la mémoire, des systèmes LSI, des fonderies et des solutions LED.
Maintenir le lien culturel entre les Tunisiens de l’étranger et leur pays d’origine est l’une des missions importantes de l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTE). Entre transmission linguistique, découverte du patrimoine et activités socioculturelles, l’OTE œuvre discrètement mais résolument pour renforcer ce sentiment d’appartenance.
La culture est un pilier fondamental du travail de l’Office des Tunisiens à l’Étranger. Si sa mission première est d’accompagner les Tunisiens vivant hors des frontières, l’OTE joue également un rôle actif dans la diffusion et la valorisation de la culture tunisienne à l’international, notamment auprès des jeunes générations nées ou élevées en dehors du pays.
«Dans les pays où résident de grandes communautés tunisiennes, notamment en Europe, nous avons constaté que les enfants issus de la deuxième, voire de la troisième génération, connaissent leurs origines, mais très souvent de manière floue, sans véritable ancrage culturel», souligne Helmi Tlili, directeur général par intérim de l’OTE. « C’est là que notre rôle prend tout son sens : transmettre, expliquer, faire vivre une culture parfois oubliée. »
« Notre rôle est de transmettre, expliquer et faire vivre une culture parfois oubliée, surtout chez les jeunes générations qui connaissent leurs origines de manière floue. »
Des centres socioculturels au cœur du dispositif
L’OTE dispose actuellement de 12 centres socioculturels à travers les principaux pays européens accueillant une forte diaspora tunisienne : France, Italie, Allemagne, Autriche, Belgique. Ces centres ont pour vocation de proposer des cours de langue arabe et d’initiation à la civilisation tunisienne. Mais, insiste Tlili, « il ne s’agit pas d’un simple enseignement linguistique : nous parlons ici de transmettre une histoire, un héritage, un imaginaire collectif. » Les programmes sont ainsi conçus pour aller au-delà de la salle de classe.
L’OTE organise des sorties pédagogiques vers des sites archéologiques et historiques, des visites de musées, et des activités culturelles permettant aux jeunes Tunisiens de la diaspora de découvrir les richesses de leur pays d’origine.
« Notre objectif est que ces jeunes, même sans maîtriser parfaitement l’arabe, puissent se reconnaître dans l’histoire et la culture tunisienne. »
Un exemple phare : la visite régulière du musée du Bardo pour les enfants qui viennent en Tunisie pendant les vacances d’été. Ces expériences visent à ancrer une mémoire culturelle et à stimuler la curiosité des jeunes pour leur patrimoine.
Une priorité : maintenir le lien avec la Tunisie Pour l’OTE, le défi n’est pas de s’ouvrir pleinement aux sociétés d’accueil, mais plutôt de préserver le lien identitaire avec la Tunisie. « Notre objectif est que ces jeunes, même s’ils ne parlent pas parfaitement l’arabe ou ne maîtrisent pas tous les codes culturels, puissent se reconnaître dans l’histoire et la culture tunisienne », explique Tlili. Ce travail de transmission culturelle est soutenu par des activités adaptées aux attentes des nouvelles générations.
Bientôt des promenades virtuelles dans les sites historiques et archéologiques en Tunisie
L’OTE a adopté une approche volontairement inclusive et moderne : bientôt, le site internet de l’Office intégrera une section entièrement dédiée à la culture, avec des contenus accessibles d’un simple clic, permettant aux Tunisiens de l’étrangerde « se promener dans la civilisation tunisienne » à travers des vidéos, articles, expositions virtuelles et visites guidées.
Une présence forte en France, reflet du poids démographique Avec près de 54 % des Tunisiens de l’étranger résidant en France, ce pays représente un axe prioritaire dans l’action culturelle de l’Office.
« Ces expériences visent à ancrer une mémoire culturelle et à stimuler la curiosité des jeunes pour leur patrimoine. »
Sur les 12 centres socioculturels, 6 y sont implantés. Ce réseau permet de proposer des programmes diversifiés, régulièrement renouvelés, en partenariat avec des associations locales. « Nous portons cette mission culturelle avec conviction », conclut Helmi Tlili. « Il ne s’agit pas seulement de transmettre des connaissances, mais de ravir un lien affectif, une fierté d’appartenance, qui dépasse les générations et les frontières. »
“La culture n’est pas seulement l’ensemble des caractères de civilisation qui préexiste à l’apparition des identités, elle est également le socle proprement personnel de l’identité”
A.B.A
EN BREF
L’OTE place la culture au cœur de son action auprès de la diaspora tunisienne.
Ses 12 centres en Europe proposent langue, patrimoine et activités pédagogiques.
Les programmes incluent visites, sorties culturelles et découvertes historiques.
Une nouvelle plateforme numérique offrira bientôt des contenus culturels à distance.
Avec 54 % des expatriés en France, ce pays reste le premier terrain d’action.
La seizième édition du Festival du Théâtre Arabe, qui se tiendra du 10 au 16 janvier 2025 au Caire, sera marquée par la participation de trois pièces tunisiennes (sur un total de seize œuvres arabes) en l’occurrence “Les Fugueuses” de Wafa Taboubi (Tanit d’Or des JTC2025), “Jacaranda” de Nizar Saidi (Tanit de bronze des JTC2025) et “Ad Vitam” de Leila Toubel.
La liste des spectacles sélectionnés pour la seizième édition du Festival du Théâtre Arabe, organisée en partenariat avec le ministère de la Culture égyptien a été dévoilée hier par l’Instance arabe du Théâtre.
Les 16 œuvres arabes en provenance de 11 pays (Maroc, Qatar, Algérie, Emirats arabes unis, Liban, Irak, Jordanie, Egypte, Koweit et Tunisie) ont été sélectionnées par une commission présidée par Youssef Aidabi (Soudan) et composée de Walid Daghsni (Tunisie), Ihab Zahdeh, (Palestine), Zaid Khalil Mustapha (Jordanie) et Alaa Kouka (Egypte).
Le long métrage tunisien “Round 13” de Mohamed Ali Nahdi a remporté le prix Crystal Simorgh du meilleur film, lors de la 43ème édition du Fajr International Film Festival, qui s’est tenue dans la ville de Shiraz, en Iran, du 26 novembre au 3 décembre 2025.
Le film, qui a concouru dans la compétition des premiers et deuxièmes films, est une fiction autour de la résilience et des luttes modernes. Réalisé par Mohamed Ali Nahdi et écrit par Sophia Haoues, il réunit en tête d’affiche Helmi Dridi (Kamel) et Afef Ben Mahmoud (Samia), deux protagonistes au cœur d’un drame qui raconte la vie de Kamel, ancien champion de boxe ayant troqué la célébrité pour une existence paisible auprès de sa femme, Samia, et de leur fils, Sabri. Mais lorsqu’un simple accident révèle que Sabri est atteint d’une tumeur osseuse, leur monde bascule.
“Round 13” sera présenté lors d’une séance spéciale dans le cadre de la sélection officielle Hors Compétition de la 36ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 13-20 décembre 2025).
Mounira Bouzouita occupe une place reconnue dans le développement des ressources humaines en Tunisie et en Afrique. Présidente de l’ARFORGHE et Past Présidente de l’AFDIP, elle agit depuis plus de vingt-cinq ans pour professionnaliser la fonction RH.
Elle accompagne les organisations dans leur transformation digitale et dans l’évolution des compétences. Son parcours s’appuie sur une formation en Ingénierie des Systèmes Économiques et sur des responsabilités stratégiques exercées dans des entreprises nationales et multinationales. Elle occupe aujourd’hui le poste de Directrice des Ressources Humaines chez Asteelflash Tunisie.
Une influence panafricaine structurée
Son action dépasse la dimension nationale. En tant que Secrétaire Générale Adjointe de l’African Human Resources Confederation, elle promeut une vision axée sur le développement des compétences et la préparation des talents africains aux enjeux numériques. Elle porte une réflexion sur l’impact de l’intelligence artificielle et des mutations technologiques sur les organisations. Ce rôle lui permet de contribuer à des initiatives qui visent à renforcer la résilience et l’adaptabilité du capital humain sur l’ensemble du continent.
Une présence active dans les grandes rencontres professionnelles
Mounira Bouzouita intervient régulièrement dans les principaux événements consacrés aux ressources humaines en Afrique. Sa participation aux Journées Africaines des Ressources Humaines et aux sommets panafricains lui permet de partager des retours d’expérience et de favoriser la mise en réseau des acteurs du secteur. Elle contribue ainsi à diffuser des pratiques organisationnelles et managériales observées dans différents environnements économiques.
Un parcours reconnu et engagé
Plusieurs distinctions, dont sa présence à plusieurs reprises parmi les 100 Managers Tunisiens, soulignent la continuité de son engagement. Elle associe expertise stratégique et implication associative. Sa pratique de médiatrice sociale et son activité de business coach renforcent son approche centrée sur l’accompagnement des personnes et des organisations. Elle enseigne également à l’université, ce qui lui permet de participer à la formation de la nouvelle génération de professionnels.
Un leadership combinant rigueur et accompagnement humain
Son parcours illustre un leadership qui repose sur la constance, l’expérience et l’attention portée aux transformations du travail. Elle articule vision organisationnelle et développement des compétences individuelles. Son action dans les structures associatives et institutionnelles vise à renforcer les standards de la profession RH et à favoriser l’émergence d’un cadre de coopération entre les acteurs africains. Cette combinaison d’expérience opérationnelle et d’engagement sectoriel guide son influence auprès des organisations et des professionnels du continent.
La cueillette des olives dans le gouvernorat de Tataouine a atteint un avancement de 47% avec une production estimée à 5300 tonnes, soit une hausse de 32% par rapport à l’année 2024.
Le commissaire régional au développement agricole, Monji Chniter, a indiqué à l’Agence TAP que cette production se répartit entre 3900 tonnes en irrigué et 1400 tonnes en pluvial, ajoutant que 2500 tonnes d’olives ont été collectées, jusqu’à présent.
La région compte 24 huileries dont 11 unités sont disponibles actuellement, alors que le prix de vente de l’huile d’olive dans les huileries varie entre 15 et 17 dinars.
Par ailleurs, l’opération d’épandage des margines sera effectuée par 39 agriculteurs de la région qui abrite 53 mille ha d’oliveraies, dont 4370 ha en irrigué.
Le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, a ouvert, ce mercredi matin, au siège du Secrétariat général du Conseil des ministres arabes de l’Intérieur à Tunis, les travaux de la 49e conférence des chefs de la police et de la sécurité arabes.
Dans un discours prononcé à cette occasion, le ministre a souligné l’intérêt que porte la Tunisie à toutes les initiatives visant à renforcer les liens de coopération et les mécanismes de sécurité arabe commune, précisant que cette conférence constitue une nouvelle occasion d’unifier et de coordonner les efforts afin d’échanger des points de vue et d’élaborer des positions à l’égard des questions d’actualité, au service de l’intérêt des peuples arabes, leur sécurité, leur stabilité et l’unité de leurs territoires, indique un communiqué du département.
Ont participé à cette conférence plusieurs chefs et membres des missions diplomatiques arabes accréditées à Tunis, ainsi que les présidents et représentants d’organisations et d’instances internationales, régionales et arabes telles que l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) et l’Université arabe Naif des sciences de la sécurité.
Les chefs de délégations, les dirigeants des forces de police et de sécurité arabes et leurs accompagnateurs ont également participé à cet événement.
“Le programme national d’inclusion scolaire au profit des personnes en situation de handicap démarrera en janvier prochain”, a annoncé, ce mercredi, le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar.
S’exprimant lors d’un colloque national organisé en partenariat avec le ministère de l’éducation, à Tunis à l’occasion de la journée internationale des personnes en situation de handicap (le 3 décembre), Lahmar a précisé que la nouvelle vision de l’inclusion scolaire, élaborée conjointement avec le ministère de l’éducation, repose sur la formation d’enseignants de l’éducation sociale afin d’accompagner les élèves en situation de handicap dans les écoles, pour les soutenir et les encadrer tout au long de leur parcours scolaire.
Il a, en outre, indiqué que ces accompagnateurs, sont des diplômés du supérieur relevant des institutions de l’enseignement des adultes. “Ils suivront une formation spécialisée en inclusion scolaire, assurée par des experts du ministère de l’éducation et ce, pendant les vacances d’hiver”, a-t-il fait savoir.
Selon le ministre, le programme commencera en janvier prochain avec 260 accompagnateurs spécialisés en attendant d’atteindre environ 1 000 accompagnateurs dans une phase ultérieure.
De son côté, le ministre de l’éducation, Nourredine Nouri, a souligné l’importance du travail conjoint avec le ministère des affaires sociales pour unifier concepts et terminologies et concrétiser cette nouvelle approche de l’inclusion scolaire au service des élèves en situation de handicap.
Il a rappelé que la plupart des familles ayant des enfants en situation de handicap ne peuvent assurer les services d’un accompagnateur spécialisé, soit faute de moyens, soit en raison de la rareté de compétences qualifiées capables de répondre aux besoins de l’enfant tout au long de sa scolarité.
Pour sa part, Thameur Toukabri, chargé de la direction générale des personnes handicapées au ministère des affaires sociales, a indiqué que, dans un premier temps, les accompagnateurs travailleront prioritairement avec les élèves issus de familles à faible revenu, en attendant la généralisation progressive à tous les élèves concernés.
Par ailleurs, Nadia Ayari, directrice générale de l’enseignement primaire au ministère de l’éducation, a souligné que le programme national d’inclusion scolaire vise à faciliter l’intégration des enfants handicapés grâce à des acquis pédagogiques appropriés, des équipements adaptés et des accompagnateurs spécialisés.
La situation météorologique sera marquée, ce mercredi après-midi et durant la nuit suivante, par des pluies éparses et temporairement orageuses sur les régions de l’Ouest, annonce l’Institut national de la météorologie (INM) dans un bulletin de suivi.
Des précipitations localement abondantes
Selon l’INM, ces pluies gagneront progressivement les régions de l’Est et seront parfois abondantes, notamment dans les gouvernorats du Nord-Ouest, à Bizerte et à Kasserine. Les cumuls de pluie les plus importants devraient varier entre 20 et 40 mm, avec un risque de chutes de grêle par endroits.
Nouvel épisode pluvieux les 4 et 5 décembre
L’institut prévoit également des pluies durant les journées du 4 et 5 décembre 2025 dans le Nord du pays. Elles seront temporairement orageuses et localement abondantes, notamment dans les gouvernorats de Bizerte, Béja et Jendouba.
Baisse sensible des températures
À partir de jeudi, une baisse générale des températures est attendue dans la plupart des régions. Les minimales varieront entre 1 et 5 °C sur les hauteurs de l’Ouest et entre 6 et 10 °C ailleurs. Les maximales oscilleront entre 12 et 17 °C, ne dépassant pas 8 °C sur les régions montagneuses de l’Ouest.
L’INM appelle à la vigilance face aux orages, aux fortes quantités de pluie attendues et au risque de grêle, en particulier dans les zones sujettes aux accumulations d’eau.
Les députés de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) ont adopté, mercredi, un article additionnel du projet de loi de finances (PLF) 2026 portant sur la simplification des procédures de justification des revenus d’exportation. Ce vote est intervenu malgré l’opposition de la ministre des Finances, Michket Salma Khaldi.
Des procédures assouplies pour les exportateurs
Selon cet article, la divulgation des comptes bancaires de l’exportateur constitue désormais une preuve suffisante de la récupération des revenus générés par les opérations d’exportation. Ces relevés, émis directement par la banque détentrice du compte, doivent mentionner l’identité du titulaire, la date du transfert, le montant et la source des fonds.
Ce dispositif vise à alléger les procédures administratives liées au suivi des recettes d’exportation, en supprimant notamment l’obligation de fournir une main levée. Le ministère des Finances, la Direction générale des douanes, les banques et l’ensemble des structures intervenant dans le suivi des opérations financières et extérieures sont tenus de considérer ces relevés bancaires comme documents officiels, chacun dans le cadre de ses prérogatives.
Clarifications possibles mais sans blocage des dossiers
Le texte précise que cette preuve bancaire est suffisante pour toutes les démarches administratives et financières liées au suivi des revenus d’exportation. Toutefois, les autorités compétentes conservent la possibilité de demander des éclaircissements supplémentaires, sans pour autant retarder le traitement des dossiers des exportateurs.
La ministre exprime ses réserves
Commentant le vote, la ministre des Finances a souligné que l’État poursuit déjà une politique de simplification des procédures administratives. Elle a toutefois estimé que cette mesure ne relève pas du domaine législatif de la loi de finances et qu’elle pourrait être appliquée par voie de décision ministérielle couvrant l’ensemble des opérations d’exportation et toutes les institutions bancaires.
Trois établissements publics bénéficieront de systèmes photovoltaïques pour la production d’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque à des fins d’autoconsommation et/ou pour réaliser des opérations d’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments publics relevant de ces établissements. L’objectif est de baisser la demande en énergie et réduire les subventions publiques allouées aux produits énergétiques.
Cette décision a été publiée par un arrêté au Journal Officiel de la République Tunisienne(JORT) en date du 27 novembre 2025. Il s’agit d’un arrêté conjoint de la ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie et du ministre des transports portant exécution du programme de la transition énergétique dans les établissements publics.
En effet, le programme de la transition énergétique dans les établissements publics, au sens de cet arrêté, désigne le programme « Photovoltaïque connecté au réseau » et le « Programme d’efficacité énergétique dans les bâtiments publics », faisant l’objet de deux contrats de prêt distincts entre la République Tunisienne et la Banque allemande de développement (KfW) .
Ce programme concerne des établissements relevant de la Présidence du Gouvernement et du Ministère des Transports, à savoir l’Imprimerie Officielle de la République Tunisienne à Ben Arous, l’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports (OACA) à Tozeur, et le Bâtiment de la Présidence du Gouvernement à Bab Laassal à Tunis.
Le coût estimé de ce programme pour cette phase s’élève à 13 millions de dinars, financé par un prêt et un don de la KFW et des crédits du Fonds de Transition Énergétique.
L’Agence Nationale pour la Maitrise de l’Energie(ANME) est chargée, en sa qualité de maître d’ouvrage délégué, de poursuivre la mise en œuvre du programme conformément aux conditions et procédures prévues dans les deux conventions distinctes susvisées, selon le texte de l’arrêté publié au JORT.
Le délai d’exécution du programme est fixé à 6 mois à compter de la date de publication de l’arrêté conjoint au JORT.
Les députés ont approuvé un article créant un compte de transactions pour les Tunisiens résidant en Tunisie, sans précision sur sa finalité opérationnelle.
Ils ont aussi adopté une disposition visant l’annulation des taxes de circulation pour les années 2022, 2023 et 2024. Cette mesure concerne les contribuables concernés par ces taxes.
La plénière a également validé une réduction des taxes douanières sur les produits optiques, sans qu’un taux précis soit mentionné.
Enfin, les élus ont approuvé l’exonération des équipements utilisés dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l’énergie, à condition qu’ils n’aient pas d’équivalent fabriqué en Tunisie.
Le premier Congrès national des laboratoires d’analyses médicales des polycliniques de la CNSS se tiendra le jeudi 11 décembre 2025 à Tunis. Cet événement scientifique majeur est organisé conjointement par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) et l’Association tunisienne des techniciens en biologie (ATUTEB), dans le cadre de leur partenariat stratégique.
Le congrès, annoncé sur la page Facebook de l’ATUTEB, réunira les techniciens, biologistes et responsables des laboratoires des polycliniques de la CNSS de tout le pays. Il vise à favoriser les échanges sur les dernières avancées techniques, les bonnes pratiques et les défis du secteur de la biologie médicale.
Les participants approfondiront leurs connaissances autour de six thèmes clés : les urgences en biochimie clinique, les anticorps antinucléaires en pratique de laboratoire, les pathologies hémorragiques héréditaires de l’hémostase, les prélèvements bactériologiques de la théorie à la pratique, le rôle du laboratoire de biologie médicale dans la lutte contre le VIH, et le contrôle national de qualité en Tunisie.
Organisé dans un esprit de partage, ce congrès se veut une plateforme unique pour renforcer les liens professionnels, actualiser les savoirs et promouvoir l’excellence dans les laboratoires médicaux tunisiens.
La 42e conférence annuelle de l’Organisation arabe des responsables de l’admission et de l’inscription (ARAB-ACRAO) se tiendra du 18 au 20 décembre à Hammamet, réunissant des experts de 18 pays.
Placée sous l’égide du ministère de l’Enseignement supérieur et organisée par les universités de Tunis El Manar et de Carthage, cette édition aura pour thème central : « Le rôle de l’admission et de l’inscription dans l’amélioration du classement mondial des universités ».
Selon les informations publiées sur la page Facebook de l’université de Tunis El Manar, cet événement vise à renforcer la coopération inter-universitaire arabe par l’échange de bonnes pratiques, d’expertises et d’innovations dans la gestion des processus d’admission et d’inscription. Il entend ainsi contribuer à la transparence, à l’efficacité et à l’attractivité des systèmes universitaires arabes, notamment auprès des étudiants internationaux.
La conférence abordera six axes prioritaires : l’attractivité des étudiants talentueux par des politiques d’admission ciblées, la transformation numérique pour optimiser l’efficacité administrative, le lien entre qualité académique et procédures d’admission, l’internationalisation des établissements, l’audit interne des processus, ainsi que les défis liés à la visibilité dans les classements mondiaux.
Il s’agit de la deuxième fois que la Tunisie accueille cet événement régional, après avoir organisé avec succès la 40e édition en décembre 2023, confirmant ainsi son expertise dans l’organisation de rencontres académiques d’envergure.
En tant que plateforme stratégique d’échanges et de réflexion, cette édition ambitionne de positionner les universités arabes comme des acteurs compétitifs sur la scène académique internationale, tout en soutenant leurs efforts d’accréditation et de rayonnement global.
L’Organisation arabe des responsables de l’admission et de l’inscription (ARAB-ACRAO) œuvre depuis sa création à promouvoir la coopération et l’échange d’expertises en matière de gestion académique au sein de l’espace universitaire arabe.
Le ministre de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche, Ezzedine Ben Cheikh a souligné que la loi sur l’investissement offre des avantages importants pouvant atteindre 50% de la valeur de l’investissement aux projets axés sur les nouvelles technologies.
Intervenant lors des travaux de 46ème congrès de l’Union Arabe des Ingénieurs Agronomes, Ben Cheikh a souligné que ces atouts font de la Tunisie une destination attractive pour les startups opérant dans les domaines de l’irrigation intelligente, des énergies renouvelables et de l’agriculture intelligente, a rapporté un communiqué du ministère de l’Agriculture.
Pour le ministre, l’agriculture qui n’est plus un secteur conventionnel constitue désormais un espace large d’application des nouvelles technologies, de l’intelligence artificielle, de la digitalisation et de la télédétection. Il a souligné, dans ce cadre, le rôle central du génie agronomique dans la mise en place de modèles de production durables, l’augmentation de la productivité des ressources naturelles, de la réduction du gaspillage alimentaire et du renforcement de la résilience des systèmes agricoles arabes.
Organisé par l’Ordre des Ingénieurs Tunisiens, cette édition a été marquée par la participation de représentants d’organisations arabes et internationales et d’ingénieurs agronomes de différents pays arabes.
Cet événement se veut une occasion pour renforcer la coopération arabe dans le domaine de génie agricole compte tenu des défis majeurs constatés au niveau du monde arabe notamment en termes de sécurité alimentaire, de changement climatique, outre la rareté de l’eau et la dégradation des systèmes environnementaux.
Le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti a indiqué que l’organisation par la Tunisie du « Sommet de l’Intelligence Artificielle vers le Futur 2025 » reflète une volonté politique claire de contribuer à l’élaboration d’une gouvernance mondiale responsable de l’intelligence artificielle et de renforcer le rôle des technologies dans le soutien au développement inclusif, notamment dans les pays en développement.
Le ministre s’exprimait mardi lors de la séance inaugurale du sommet tenu à Tunis les 2 et 3 décembre.
L’événement s’est tenu en présence du ministre des Technologies de la Communication, de la secrétaire générale de l’Union Internationale des Télécommunications, du secrétaire général de la Ligue des États Arabes et du directeur général de l’Organisation Arabe des Technologies de la Communication et de l’Information, ainsi qu’ une large participation d’experts et de représentants d’organisations internationales et régionales, indique un communiqué publié mercredi par le département des Affaires étrangères.
Le ministre a indiqué que la Tunisie aspire à jouer un rôle plus actif dans les prochaines discussions internationales, en particulier dans le cadre du « Dialogue mondial sur la gouvernance de l’intelligence artificielle », prévu à Genève du 7 au 10 juillet 2026, afin d’établir un cadre international global régissant l’IA, garantissant son utilisation sûre, responsable et équitable.
Il a insisté sur le fait que les transformations technologiques actuelles exigent le renforcement de la coopération multilatérale afin d’éviter que l’intelligence artificielle ne devienne une nouvelle source de fracture numérique, mais au contraire un moteur pour la justice numérique et le développement durable.
Le ministre a renouvelé la position constante de la Tunisie en faveur des droits du peuple palestinien, y compris son droit au développement, à l’accès à la technologie et au savoir.
Il a estimé que la justice numérique fait partie intégrante des droits fondamentaux et que le fait de permettre au peuple palestinien d’accéder aux technologies avancées et de renforcer ses capacités numériques constitue un élément essentiel de son droit à l’autodétermination et à la récupération de sa souveraineté.
Par ailleurs, Nafti a tenu, au siège de l’Académie Diplomatique Internationale de Tunis, une séance de travail avec Mme Doreen Bogdan-Martin, secrétaire générale de l’Union Internationale des Télécommunications. La rencontre a permis de souligner l’importance de la coopération entre les deux parties dans le domaine de la numérisation consulaire et de tirer parti de l’expertise de l’Union pour améliorer davantage les services consulaires destinés aux Tunisiens à l’étranger.
Elle a aussi permis d’examiner la mise en place de programmes d’enseignement de la langue et de la civilisation tunisiennes au profit des nouvelles générations d’enfants et de jeunes Tunisiens dans les pays de résidence.
Tetra Pak nomme un nouveau Directeur Général Maghreb et Afrique de l’Ouest, Monsieur Haithem Debbiche.
M Debbiche qui occupait depuis 2024 le poste de Directeur général sur la région Afrique de l’Ouest, succède à Monsieur Laurent Rodier sur la région Maghreb et devient ainsi le Directeur Général de toute la région Maghreb & Afrique de l’Ouest.
Diplômé de l’Université Paris Sorbonne et fort de ses 21 ans d’expérience au sein de Tetra Pak, M Haithem Debbiche a occupé diverses fonctions stratégiques au sein de l’organisation et a joué un rôle clé dans le développement de nos activités et de nos relations avec nos partenaires au Maghreb et en Afrique de l’Ouest.
Avec près de 20 années d’exercice dans la région du Maghreb, Mr Debbiche a construit un savoir-faire et dispose d’une connaissance élargie de la région et de ses caractéristiques.
“Je suis honoré par cette nomination et heureux de renouer avec nos partenaires et équipes au Maghreb. Le Maghreb et l’Afrique de l’Ouest représentent un marché à fort potentiel” a déclaré Haithem Debbiche. Il a ajouté : “Poursuivre le développement de solutions alimentaires innovantes et sûres sur ce marché, et avec nos clients, est ma priorité. Grâce à l’expertise mondiale de Tetra Pak et à nos équipes, nous continuerons, avec nos partenaires, à répondre aux besoins actuels des consommateurs et à anticiper les produits du futur”.
Tetra Pak innove depuis plus de 70 ans et met au service de ses clients une expertise mondiale en fourniture d’équipement, de solutions de traitement et de conditionnement pour les aliments. Cette proximité locale permet à Tetra Pak d’assurer une disponibilité continue de ses experts et de ses services et ce, en toute circonstance.
À PROPOS DE TETRA PAK
Nous sommes là pour rendre la nourriture sûre et accessible. C’est pourquoi nous fournissons des systèmes de production alimentaire avancés. En collaboration avec nos clients et nos fournisseurs, animés par plus de 24 000 employés dévoués dans le monde entier, nous protégeons la nourriture de manière durable chaque jour pour des centaines de millions de personnes dans plus de 160 pays.
Parce que notre mission est claire :
Nous nous engageons à rendre la nourriture sûre et disponible, partout, et nous promettons de protéger ce qui est bon : la nourriture, les personnes et la planète.
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