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Le Tunisien Khaled Koubaa rejoint le Comité des sanctions de la Banque mondiale

Le Groupe de la Banque mondiale (WBG) a annoncé la nomination du Tunisien Khaled Koubaa au sein du Comité des sanctions de l’institution. Et ce, depuis décembre 2025. 

Cette nomination est un nouveau chapitre dans la carrière d’un homme qui, depuis plus de vingt ans, évolue au carrefour de la technologie, des politiques publiques et de la gouvernance mondiale. 

Khaled Koubaa, leader dans le secteur technologique, a occupé des postes de direction chez Google et Meta, où il a contribué activement à faire progresser des projets liés à l’open internet frameworks, data governance efforts et regulatory cooperation à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique.   

Pour lui, cette nouvelle mission avec la Banque mondiale n’est qu’une étape supplémentaire dans son engagement à façonner un monde numérique plus transparent et responsable. “Cette nomination est à temps partiel et entièrement indépendante. Je ne suis pas employé du Groupe de la Banque mondiale, et mes activités professionnelles se poursuivent sans changement“, précise-t-il. Un rôle indépendant, mais essentiel, où il pourra continuer à faire avancer ses projets tout en ayant un impact direct sur l’intégrité des financements mondiaux.

Khaled Koubaa est également le fondateur et PDG d’AT Worthy Technology Inc., une société qui développe des systèmes basés sur l’intelligence artificielle (IA). Loin de se limiter à son travail dans le secteur privé, Khaled Koubaa a aussi largement contribué à la gestion de l’architecture mondiale de l’internet. Il a siégé au conseil d’administration d’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), a également été nommé par le secrétaire général des Nations unies au Groupe consultatif multipartite d’Internet Governance Forum.

Il est à noter que Khaled Koubaa rejoint une équipe composée de sept experts externes nommés par les directeurs exécutifs de la Banque mondiale. Ces membres sont choisis pour leur expertise dans des domaines variés. Parmi les membres actuels figurent des personnalités de premier plan comme Don De Amicis (États-Unis), Adedoyin Rhodes-Vivour (Nigeria), Mahnaz Malik (Royaume-Uni/Pakistan), Claudia Annacker (Autriche), Nassib G. Ziadé (Liban/Chili) et Philip Daltrop (Royaume-Uni/Allemagne).

 

 



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Santé sexuelle : 48 % des jeunes Tunisiens s’informent en ligne sur leur santé intime

Santé sexuelle : 48 % des jeunes Tunisiens s’informent en ligne sur leur santé intime

Près de la moitié des jeunes Tunisiens âgés de 18 à 29 ans se tournent aujourd’hui vers Internet pour chercher des informations liées à leur santé sexuelle ainsi qu’à leurs droits sexuels et reproductifs, selon une étude réalisée par le groupe Tawhida Ben Cheikh auprès de 5 000 jeunes dans plusieurs gouvernorats. Intervenant lors d’un […]

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Voici ce que le ministre des technologies de la communication a annoncé sur la digitalisation et les services publics en 2026

Le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi, a affirmé que le numérique n’est plus seulement un secteur technique mais qu’il constitue aujourd’hui un moteur essentiel de l’économie nationale et un outil central pour la gouvernance des structures publiques. Cette déclaration a été faite lors d’une session plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et gouvernorats, consacrée à la discussion du projet de loi de finances 2026 pour la mission « Technologies de communication ».

Sofiene Hemissi a détaillé les actions entreprises par le ministère, insistant sur le caractère transversal des technologies de l’information qui interviennent dans 152 projets de numérisation couvrant différents secteurs publics. Il a reconnu que la Tunisie avait accusé un certain retard dans la digitalisation en raison de projets annoncés mais non réalisés. Parmi les initiatives déjà concrétisées, il a cité l’orientation universitaire, le timbre fiscal pour les voyages et les services consulaires via la plateforme Econsulat. La généralisation de la plateforme d’interconnexion des administrations permet désormais aux citoyens de ne plus fournir des documents déjà détenus par l’État, couvrant plus de 80 services, en coordination avec le ministère de l’Intérieur, de l’Enseignement supérieur, des Affaires sociales et de l’Emploi.

Modernisation des services publics et infrastructures numériques

Pour 2025, le ministère s’est concentré sur la relance de projets retardés, comme la carte d’identité et le passeport biométriques, ainsi que sur la modernisation des principaux systèmes d’information de l’administration : le dossier médical électronique et le système hospitalier numérique, Ejustice au ministère de la Justice, la numérisation des fichiers fonciers et le numéro d’identification unique. Malgré certaines résistances administratives, une feuille de route claire a été définie pour 2026.

Sur le plan postal, le ministre a souligné les efforts pour corriger les déficits accumulés, précisant que la création de nouveaux bureaux postaux nécessite locaux et personnel. Un concours pour 260 postes a été lancé, avec publication des résultats au premier trimestre 2026, et un second recrutement est prévu. La modernisation inclut l’installation de distributeurs automatiques, avec un second appel d’offres pour compléter le déploiement.

Le projet de loi sur le secteur postal a été présenté au conseil d’administration pour adaptation à la réalité des institutions concernées, tandis que le développement de la Banque postale vise à lutter contre l’exclusion financière, sous réserve de régler certaines questions techniques.

Concernant l’internet et la connectivité, le ministre a indiqué d’importantes disparités régionales et a engagé les opérateurs à respecter leurs obligations. Le déploiement de la fibre optique, jugé coûteux, bénéficie d’un investissement d’environ 300 millions de dinars par l’opérateur national. Il a également annoncé des mesures de soutien aux radios associatives (réduction de 50 % des redevances et planification des dettes), le renforcement de la cybersécurité, la mise en place prochaine du cahier des charges pour les applications de taxi et l’imposition du contrôle parental pour les abonnements internet.

Enfin, le ministre a évoqué le soutien aux startups et à l’entrepreneuriat, avec la révision en cours du Startup Act, et la régularisation prochaine de la situation de 657 employées postales en contrat précaire, avec un examen individuel de chaque dossier.

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Panne géante sur Internet : Cloudflare vacille et une partie du web mondial se fige

Une défaillance majeure chez Cloudflare a paralysé une large portion d’Internet ce mardi, provoquant l’inaccessibilité de sites, services et plateformes parmi les plus utilisés au monde. L’origine exacte de l’incident reste pour l’heure indéterminée, malgré l’intervention rapide des équipes techniques.

Un blocage soudain aux répercussions mondiales

Vers la mi-journée, d’innombrables utilisateurs ont constaté l’impossibilité de charger des services pourtant réputés robustes : X, Feedly, mais aussi plusieurs sites d’information et d’entreprises. La panne a été rapidement identifiée comme provenant de Cloudflare, acteur central de l’infrastructure mondiale du web, chargé de la sécurité, du routage et de la disponibilité du trafic en ligne.

La société, qui protège ou optimise près de 20 % des sites Internet dans le monde, a reconnu un incident impactant son fournisseur de portail d’assistance, entraînant des erreurs massives pour les clients et visiteurs. Elle évoque également un lien potentiel avec l’interruption partielle constatée sur X, ainsi que des difficultés répétées de “vérification humaine” lors de l’accès à diverses plateformes.

Des plateformes majeures prises dans la tourmente

La portée du dysfonctionnement est exceptionnelle : de X (ex-Twitter) à OpenAI, en passant par ChatGPT, Claude AI, ou encore de nombreux médias internationaux, l’interruption a frappé sans distinction. Certaines entreprises majeures ont également signalé des perturbations, parmi lesquelles Facebook, AWS, bet365, Canva, Spotify, BrightHR, ou encore des services d’hébergement critiques.

La dépendance massive du web à Cloudflare a amplifié l’effet domino : lorsqu’un élément aussi structurant vacille, c’est toute la chaîne qui s’en trouve fragilisée.

Une source identifiée, un correctif en cours

Aux alentours de 14h, Cloudflare a annoncé avoir isolé l’origine de la panne et déployait un correctif d’urgence pour rétablir progressivement les services. Les premières améliorations ont été observées dans certaines régions, même si la situation restait volatile et sujette à des retours d’instabilité.

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La Tunisie en première ligne pour une régulation internationale de l’intelligence artificielle

La Tunisie a pris part au Sommet mondial de l’Internet, tenu du 6 au 10 novembre à Wuzhen, en Chine. Le ministre des Technologies de la Communication, Sofiène Hemissi, y a représenté le pays lors d’un événement d’envergure internationale consacré à la régulation de l’intelligence artificielle (IA) et à la cybersécurité mondiale.

La Tunisie prône un cadre global pour l’IA

Dans ses interventions, le ministre tunisien a insisté sur l’urgence d’un mécanisme international cohérent pour encadrer les usages de l’intelligence artificielle, dont les impacts économiques et éthiques dépassent désormais les frontières nationales.

Il a mis en avant l’expérience tunisienne en matière de régulation numérique, citant les efforts du pays pour concilier innovation technologique et protection des données.

Hemissi a également proposé la création d’un cadre de collaboration entre la Chine et les pays arabes, afin de renforcer la gouvernance numérique régionale et de garantir un partage équitable des bénéfices technologiques entre les nations.

La sécurité numérique au cœur du sommet

Accompagnée par l’ambassade de Tunisie à Pékin, la délégation tunisienne a participé à la cérémonie d’ouverture présidée par Wang Jintao, vice-ministre de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC).

Le sommet a réuni des hauts responsables gouvernementaux, des experts internationaux et des représentants d’organisations multilatérales, tous engagés dans la recherche de solutions communes face aux risques croissants liés à l’IA et à la cybersécurité.

Les débats ont porté sur la nécessité de développer des cadres de régulation efficaces pour prévenir les usages abusifs de l’intelligence artificielle et garantir la sécurité des données. Les participants ont unanimement affirmé que le progrès numérique doit servir le bien-être humain et les objectifs du développement durable.

En marge des sessions plénières, plusieurs ateliers thématiques ont réuni des universités, centres de recherche et experts du secteur technologique, favorisant l’échange d’expériences autour d’une gouvernance responsable et inclusive de l’Internet.

Pour la Tunisie, cette participation marque une nouvelle étape dans sa diplomatie numérique, axée sur la coopération internationale et la promotion d’un modèle technologique éthique et équitable.

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Tunisie : Flambée record des prix de la viande et hausse des tarifs internet, alerte l’OTIC

Lundi 22 septembre 2025, l’Organisation Tunisienne pour Informer le Consommateur (OTIC) a dénoncé une hausse excessive des prix de la viande rouge et des services internet, soulignant l’impact direct sur le pouvoir d’achat des ménages tunisiens.

Viande rouge : des prix qui s’envolent malgré des coûts en baisse

Selon l’OTIC, les prix de la viande rouge atteignent des niveaux record, alors même que les coûts de production ont reculé. Cette situation crée, selon l’organisation, un décalage injustifié qui pénalise le consommateur et accentue la pression sur son budget alimentaire.

En effet, le prix de l’agneau a dépassé la barre symbolique des 60 dinars le kilo dans certaines régions. Cette envolée s’explique par une équation implacable : sécheresse persistante, effondrement de la production locale et spéculation.

L’État tente d’y répondre par la régulation et l’importation, mais est-ce vraiment la solution ?

Internet : tarifs en hausse et qualité en baisse

L’organisation a également fustigé la multiplication des révisions tarifaires à la hausse pour les services internet, dénonçant parallèlement une détérioration de la qualité. Pour l’OTIC, les consommateurs tunisiens subissent une double peine : payer plus pour un service moins performant.

L’OTOC a alerté, depuis le 3 septembre, sur la détérioration constante de la qualité des services internet et télécoms. Elle réclame l’intervention immédiate des autorités de tutelle et de l’Instance Nationale des Télécommunications (INT) pour protéger les consommateurs et faire respecter les engagements contractuels des fournisseurs.

Selon l’OTIC, les principaux fournisseurs d’accès à Internet ignorent les plaintes des consommateurs et continuent de commercialiser des offres trompeuses, déconnectées de la réalité technique.

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Microsoft alerte sur une coupure de câbles sous-marins dans la mer Rouge

Microsoft a lancé une alerte, samedi 6 septembre 2025, après la détection de coupures affectant plusieurs câbles sous-marins de télécommunication dans la mer Rouge. L’incident a provoqué des perturbations sur son service cloud Azure et mis en lumière la fragilité de l’Internet mondial.

Selon les informations publiées sur la page officielle de suivi de Microsoft Azure, les coupures ont été signalées dès 05h45 UTC et concernaient notamment deux câbles stratégiques : SMW4 (South East Asia–Middle East–Western Europe 4) et IMEWE (India–Middle East–Western Europe), au large de Jeddah, en Arabie saoudite.

L’entreprise américaine a indiqué que ses utilisateurs ont constaté une augmentation de la latence et un ralentissement des performances, en particulier sur les connexions entre l’Asie et l’Europe. Certains rapports évoquent que jusqu’à 17 % du trafic Internet mondial a été impacté par ces perturbations.

Pour limiter les conséquences, les ingénieurs de Microsoft ont procédé à une redirection du trafic via des routes alternatives, permettant d’assurer la continuité des services. Le 7 septembre, la firme a confirmé que ses services étaient de nouveau pleinement opérationnels, tout en maintenant une surveillance renforcée et des optimisations de routage.

Origine de la panne et enjeux de sécurité

Les causes exactes des coupures n’ont pas encore été établies. Si de tels incidents surviennent souvent à la suite de dégâts accidentels (ancres de navires, filets de pêche), le contexte géopolitique tendu dans la région fait craindre également la piste d’actes délibérés.

Cet épisode rappelle que 99 % du trafic Internet mondial dépend des câbles sous-marins, une infrastructure à la fois essentielle et vulnérable. Plusieurs incidents similaires avaient déjà affecté la zone de la mer Rouge en 2024 et début 2025, perturbant de grands systèmes de télécommunications.

L’affaire relance le débat sur la sécurisation des câbles sous-marins, qui représentent l’épine dorsale de l’économie numérique mondiale. En juillet dernier, des élus américains avaient déjà interpellé les géants du numérique, dont Microsoft, sur la nécessité de renforcer la protection de ces infrastructures face aux risques liés aux tensions internationales.

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Tunisie : L’OTIC tire la sonnette d’alarme sur la mauvaise qualité d’Internet et exige des sanctions

L’Organisation Tunisienne pour Informer le Consommateur (OTIC) a alerté, ce mercredi 3 septembre, sur la détérioration constante de la qualité des services internet et télécoms. Elle réclame l’intervention immédiate des autorités de tutelle et de l’Instance Nationale des Télécommunications (INT) pour protéger les consommateurs et faire respecter les engagements contractuels des fournisseurs.

Selon l’OTIC, les principaux fournisseurs d’accès à Internet ignorent les plaintes des consommateurs et continuent de commercialiser des offres trompeuses, déconnectées de la réalité technique.

Dégradation des services internet : plaintes ignorées et publicités trompeuses

L’organisation dénonce notamment des lignes téléphoniques dédiées aux réclamations hors service, des centres d’appel laissant les clients en attente et l’absence de mécanismes d’indemnisation malgré les interruptions fréquentes.

L’OTIC considère le service internet comme vital, touchant à l’éducation, au travail, aux transactions financières et aux services administratifs. Elle demande à l’INT et aux autorités de tutelle d’engager la responsabilité légale des fournisseurs en infraction et d’appliquer les sanctions financières et pénales prévues par la loi.

Mesures demandées aux fournisseurs

L’organisation appelle les fournisseurs à mettre en place des mécanismes d’indemnisation obligatoires en cas de défaillance ; à suspendre immédiatement toute publicité mensongère ; à assurer la transparence des offres commerciales et des débits réels ; et à publier de manière visible le lien de dépôt des plaintes sur tous leurs canaux (sites web, centres d’appel, réseaux sociaux, supports papier et numériques).

Mobilisation des consommateurs : dépôt des plaintes en ligne

L’OTIC recommande également à l’INT de mobiliser les consommateurs via SMS, réseaux sociaux et médias audiovisuels pour qu’ils déposent leurs plaintes sur le site officiel : http://www.intt-info-conso.tn/Reclamations/login.php pour un suivi et une action efficace.

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