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Mondial 2026 : le Mexique défiera le Portugal et la Belgique fin mars

La Fédération mexicaine de football a annoncé, mardi, que la sélection nationale affrontera le Portugal et la Belgique à la fin du mois de mars 2026, dans le cadre de sa préparation pour la Coupe du monde, coorganisée avec les États-Unis et le Canada.

Le Portugal pour inaugurer le stade Banorte

Le premier match de cette fenêtre internationale se tiendra le 28 mars à Mexico, face au Portugal de Cristiano Ronaldo, actuel 6e au classement Fifa. Cette rencontre aura une portée symbolique puisqu’elle servira à inaugurer officiellement le stade Banorte, nouveau nom de l’historique stade Azteca, rénové et rebaptisé en mars dernier.

Portée désormais à 90.000 places, l’enceinte deviendra en 2026 le premier stade au monde à accueillir trois Coupes du monde, après les éditions de 1970 et 1986. La Direction technique nationale mexicaine (DTN) souligne que ce match marquera « la réouverture de l’emblématique enceinte mexicaine », appelée à redevenir un lieu central du Mondial.

La Belgique en clôture à Chicago

Trois jours plus tard, le 31 mars, le Mexique (15e mondial) se déplacera à Chicago pour y affronter la Belgique, classée 8e par la Fifa. Le match se jouera au Soldier Field, l’un des stades majeurs aux États-Unis qui accueillera également des rencontres du Mondial.

Une préparation face à des adversaires de haut niveau

Ces deux affiches de prestige permettront au sélectionneur mexicain de mesurer le niveau de son équipe à moins de trois mois du coup d’envoi du Mondial nord-américain. Les trois nations sont déjà qualifiées : le Mexique en tant que pays hôte, tandis que le Portugal et la Belgique ont validé leur billet lors des dernières journées de qualification en novembre.

Ces tests contre deux sélections du top mondial offriront une première indication sur la capacité de la « Tri » à rivaliser avec l’élite du football international avant d’aborder « sa » Coupe du monde.

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WMC LEMAG 245 : Budget 2026, la Tunisie peut-elle éviter une impasse stratégique ?

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Ce numéro 245 (20 novembre 2025) place les seniors au cœur de l’agenda : la Tunisie compte désormais plus de 2 millions de personnes de 60 ans et plus, soit 16,88 % de la population, contre 11,38 % dix ans plus tôt.

Le dossier souligne les fragilités de la couverture sociale (52 % seulement des seniors, avec un fort décrochage pour les femmes) et la nécessité d’une politique publique lisible.
En parallèle, l’éditorial et le dossier « Un budget 2026 entre utopie et désillusion ? » critiquent un PLF 2026 jugé flou, riche en promesses mais pauvre en chiffrage et en réformes structurantes, malgré l’affichage d’un « retour de l’État social ».

Les volets économie et international mettent en avant les transferts de la diaspora et le tourisme (12,7 milliards de dinars cumulés en neuf mois) comme amortisseurs, et détaillent une relation Tunisie–UE centrée sur le commerce (70 % des exportations tunisiennes) et la transition énergétique (3 milliards € d’investissements prévus, objectif 35 % de renouvelables et projet Elmed).

Enfin, le magazine ouvre des pistes de tourisme pour seniors et d’habitat (800 000 logements inoccupés) comme relais de croissance.

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Compte en devises: ce qui change vraiment pour les Tunisiens

Le Parlement tunisien a adopté hier un nouvel article de loi qui rebat les cartes pour les Tunisiens résidents souhaitant ouvrir un compte en devises.

Cette mesure s’inscrit dans le cadre de la mise en application de l’article 18 de la loi n°76 de 1976, portant refonte et codification de la législation des changes et du commerce extérieur. Avec un objectif clair: assouplir les démarches et moderniser le cadre légal.

Elle vise essentiellement à clarifier les conditions d’ouverture de ces comptes et à assouplir leur régime de fonctionnement.

Ouvrir un compte en devises est désormais plus simple

Les personnes physiques de nationalité tunisienne, résidant en Tunisie, peuvent ouvrir auprès des intermédiaires agréés des comptes en devises.

Cette ouverture n’est plus soumise aux conditions prévues aux articles 16 et 18 du Code des changes et du commerce extérieur, ni aux dispositions de l’article 16 de la loi n°83 de 1986 (loi de finances rectificative).

Le texte précise également que l’ouverture de ces comptes n’est pas soumise à l’accord préalable de la Banque centrale de Tunisie. Les comptes en devises peuvent être alimentés sans autorisation préalable, notamment par:

  • les montants transférés depuis un autre compte en devises ou en dinars convertibles, 

  • les intérêts générés par les fonds déposés ou placés par l’intermédiaire agréé, conformément au taux avantageux fixé par la Banque centrale,

  • les montants provenant de la dotation touristique annuelle.

De plus, il est généralement possible que le compte en dinars convertibles soit débité automatiquement pour tout paiement à l’étranger, sans qu’une autorisation préalable soit nécessaire. Cela concerne notamment la remise de devises étrangères au titulaire du compte en vue d’un voyage à l’étranger, ainsi que l’octroi d’une provision à un autre compte en devises.

Les bénéfices générés par ces comptes restent soumis à une taxe de 0,01%.

 

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Tunisie – PLF 2026 : Adoption de nouveaux articles sociaux, fiscaux et écologiques

Les députés ont validé plusieurs articles additionnels du projet de loi de finances 2026, portant sur la protection sociale, la transition énergétique et des allègements fiscaux, tandis que d’autres propositions ont été rejetées ou retirées.

Parmi les articles adoptés, la plénière a entériné la création d’un fonds d’assistance sociale et financière destiné aux orphelins issus de familles à revenu limité. Cette initiative vise à renforcer le filet social et à assurer un accompagnement durable pour les enfants dans le besoin.

Fiscalité et facilitation administrative

Les députés ont également validé :

  • l’annulation des taxes de circulation pour les années 2022, 2023 et 2024 ;
  • la réduction des droits de douane sur les produits optiques ;
  • la création d’un compte de transactions dédié aux Tunisiens résidant en Tunisie, simplifiant certaines opérations financières courantes.

Ces mesures s’inscrivent dans un objectif de soulagement fiscal et d’amélioration de l’accès aux services financiers pour les citoyens.

Justice environnementale et transition énergétique

La plénière a approuvé la création d’un Fonds pour la justice environnementale et le développement durable, ainsi que l’exonération des équipements utilisés dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l’énergie, lorsqu’aucun équivalent n’existe en Tunisie.

Ces articles visent à soutenir la transition énergétique et encourager les investissements dans les technologies propres.

Titularisation des agents

Un autre article adopté concerne la titularisation des agents des accréditations auprès du ministère de l’Intérieur, renforçant la sécurité administrative et la stabilité des fonctions publiques dans ce secteur.

Lors de la séance précédente, 11 articles ont été adoptés, 15 rejetés, et 22 retirés. Les débats se poursuivront afin d’examiner les autres propositions supplémentaires rattachées au PLF 2026, en vue d’un vote final sur l’ensemble du projet.

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Tunisie – Impôt sur la fortune, ou le conflit entre équité et efficacité

Le débat s’est installé depuis le dépôt du projet de la loi de finances 2026 à l’ARP autour de son article 50, celui sur l’impôt sur la fortune. Entre fervents défendeurs et rudes opposants, l’article ne figurerait pas dans le texte final; même si nous sommes habitués aux surprises des derniers moments.

 

Les principaux arguments en faveur de l’impôt sur la fortune reposent sur la justice fiscale. Ses défenseurs estiment qu’il corrige les limites d’un système qui taxe moins le capital que le travail, en prélevant directement sur le stock de richesse accumulé. Cet impôt sur la fortune incarne ainsi un principe de solidarité nationale, contribue à réduire les inégalités et fournit des recettes publiques pour financer les services collectifs.

Les principaux arguments en faveur de l’impôt sur la fortune placent la justice fiscale au cœur de leur raisonnement. Ses défenseurs partent du fait que le système fiscal fait que les revenus du capital (plus-values, dividendes, loyers, intérêts) sont souvent imposés à des taux effectifs plus bas, ou avec davantage d’opportunités de report ou d’exonération, que les revenus du travail. Cette asymétrie est perçue comme profondément inéquitable, car elle avantage ceux dont la richesse est déjà constituée.

Les principaux arguments en faveur de l’impôt sur la fortune placent la justice fiscale au cœur de leur raisonnement. Ses défenseurs partent du fait que le système fiscal fait que les revenus du capital (plus-values, dividendes, loyers, intérêts) sont souvent imposés à des taux effectifs plus bas, ou avec davantage d’opportunités de report ou d’exonération, que les revenus du travail.

 

L’impôt sur la fortune agit comme un correctif structurel à cette faille. En taxant non pas le flux mais le stock de richesse accumulé, il atteint directement le cœur des inégalités patrimoniales, bien plus marquées que les inégalités de revenus. Il repose sur le principe de l’équité verticale, selon lequel la capacité contributive d’un individu augmente plus que proportionnellement avec son patrimoine total, justifiant un prélèvement spécifique et progressif.

Au-delà de la technique fiscale, cet impôt revêt une forte dimension symbolique et politique. Il incarne un principe de solidarité nationale, manifestant que les détenteurs de très grandes fortunes participent, à hauteur de leurs moyens exceptionnels, à l’effort collectif.

Les recettes générées, bien que souvent modestes en pourcentage du budget total, peuvent être affectées à des politiques publiques prioritaires telles que l’éducation ou la santé, bénéficiant à l’ensemble de la société.

L’impôt sur la fortune est une incitation à une utilisation productive du capital. En rendant coûteuse la détention d’actifs, les contribuables seront encouragés à investir dans l’économie productive pour générer les revenus nécessaires à son paiement.

 

Les recettes générées, bien que souvent modestes en pourcentage du budget total, peuvent être affectées à des politiques publiques prioritaires telles que l’éducation ou la santé, bénéficiant à l’ensemble de la société.

 

Des critiques économiques et pratiques

Pour ses opposants, l’impôt sur la fortune représente moins un instrument de justice qu’un frein économique aux conséquences souvent contre-productives.

L’objection économique fondamentale porte sur l’élasticité de la base imposable. Les très hauts patrimoines peuvent recourir à des pratiques pour dissimuler une partie de leurs actifs. Ce phénomène entraîne une perte sèche pour les finances publiques, non seulement de l’impôt sur la fortune, mais aussi de tous les autres impôts payés par ces individus (sur le revenu et la consommation). Le rendement net de l’impôt pourrait donc être nul, voire négatif.

 

L’objection économique fondamentale porte sur l’élasticité de la base imposable. Les très hauts patrimoines peuvent recourir à des pratiques pour dissimuler une partie de leurs actifs. Ce phénomène entraîne une perte sèche pour les finances publiques…

 

Cette fiscalité est également perçue comme un signal négatif pour l’attractivité du pays, dissuadant les investisseurs internationaux de s’y installer et incitant même les entrepreneurs nationaux à délocaliser le siège de leurs entreprises. Les détracteurs estiment qu’elle pénalise l’épargne et l’investissement productif en prélevant sur le capital, réduisant ainsi les ressources disponibles pour la création d’entreprises, l’innovation et, in fine, la croissance et l’emploi.

Un autre problème surgit, celui de l’établissement de l’assiette fiscale, particulièrement pour certains actifs, comme les œuvres d’art, les bijoux, les collections, et même les parts de sociétés familiales ou de biens immobiliers atypiques. C’est tout simplement une source de contentieux permanents entre l’administration et les contribuables.

Enfin, il y a le problème crucial de la liquidité. Un contribuable peut posséder un patrimoine important mais illiquide, ne disposant donc pas de trésorerie suffisante pour s’acquitter de l’impôt annuel. Cette situation peut le contraindre à vendre des actifs contre son gré.

 

Enfin, il y a le problème crucial de la liquidité. Un contribuable peut posséder un patrimoine important mais illiquide, ne disposant donc pas de trésorerie suffisante pour s’acquitter de l’impôt annuel. Cette situation peut le contraindre à vendre des actifs contre son gré.

 

Les prochaines heures pourraient apporter du nouveau. À notre avis, le véritable enjeu n’est pas le rendement, mais bien la recherche d’un système fiscal donnant un sentiment d’équité.

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PLF 2026 — Slama Khaldi : Nous agissons pour chaque Tunisien, sans exception

La ministre des Finances, Michket Salma Khaldi, qui s’exprimait lors de la séance plénière consacrée à l’examen du Projet de loi de finances (PLF) 2026, a souligné la volonté de trouver des solutions pour toutes les couches de la société tunisienne, stimuler l’emploi et de soutenir la Caisse générale de compensation (CGC).

Réagissant à une proposition d’ajout d’un article supplémentaire dans le cadre du PLF relatif à l’exclusion des industries des boissons gazeuses de l’application d’une redevance de 3 % sur le chiffre d’affaires, la ministre a précisé : « Nous n’exerçons pas de pression sur les entreprises, mais une société réalisant de bons revenus et chiffres d’affaires pourquoi ne contribuerait-elle pas au financement de l’économie, que ce soit à travers des redevances ou des taxes, ainsi qu’au financement du budget de l’État ».

Dans ce cadre, elle a rappelé l’article 69 de la Constitution, qui stipule que les projets de loi et les propositions de révision soumis par les représentants du peuple ne sont pas acceptables s’ils risquent de perturber les équilibres financiers de l’État.

Ainsi, la proposition de supprimer les redevances affecte les équilibres de la Caisse, explique-t-elle, étant donné que les boissons alcoolisées et gazeuses bénéficient indirectement des subventions qui concernent le sucre. Et d’ajouter que les ressources de la Caisse ne peuvent pas être réduites après l’approbation du budget du ministère du Commerce et de tous les fonds qui y sont attachés, y compris la Caisse de compensation.

Elle a ajouté que la question de l’institution d’une redevance a une dimension sociale et sanitaire, et presque tous les pays ont suivi cette approche, en particulier en ce qui concerne les boissons alcoolisées ou gazeuses…

La ministre a souligné l’impact financier négatif de la proposition qui dépasse 20 millions de dinars, notant qu’il y a une seule entreprise dans le secteur qui bénéficiera de cette réduction de 7 millions de dinars.

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PLF 2026 : L’ARP adopte 12 articles et avance sur les mesures fiscales

L’Assemblée des Représentants du Peuple a repris, mardi, la séance plénière conjointe pour poursuivre l’examen des articles supplémentaires proposés dans le cadre du projet de loi de finances 2026 (PLF2026), présidée  par Ibrahim Bouderbala, président du parlement, et en présence de la ministre des Finances, Mechket Salama Khaldi et la délégation qui l’accompagne.

La séance plénière conjointe a approuvé lundi 12 articles supplémentaires, rejeté 19 articles proposés et retiré 14 autres.

Les articles concernent la Banque Nationale Agricole qui alloue des enveloppes  annuelles de financement des investissements au profit des filières de production agricole, outre le recrutement de 16 agents non actifs dans le cadre du mécanisme 16. Il s’agit également de l’annulation des avantages  lors de l’importation des panneaux solaires.

Le Conseil a, en outre, approuvé un article relatif à l’impôt sur le revenu des personnes physiques et à l’impôt sur les sociétés, et au recrutement de tous les fonctionnaires inscrits dans les listes d’attente dans le cadre de la fonction des assistants de santé relevant du ministère de la Santé, outre la régularisation du  statut des petites et moyennes entreprises auprès de la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME), et l’exonération des droits de douane pour la société nationale de cellulose et du papier Alfa.

Le projet de loi de finances 2026 comprend également une proposition d’exemption exceptionnelle des dettes des “détenteurs de carte de soin et une  autre pour accorder aux employés un congé pour créer une entreprise, et un article pour créer r un fonds de l’eau.

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Ramadan 2026 : le jeudi 19 février annoncé comme premier jour selon les calculs astronomiques

Ramadan 2026 : le jeudi 19 février annoncé comme premier jour selon les calculs astronomiques

Selon les données astronomiques présentées par Sarra Sanoussi, cheffe du service Espace de l’Univers à la Cité des Sciences, le début du mois de Ramadan 1447 est fixé au jeudi 19 février 2026. Elle a expliqué que le mardi 17 février 2026 marquera le moment du conjonction à 13h00, suivi de l’observation du croissant le […]

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ARP: voici les articles adoptés, rejetés et les nouvelles mesures intégrées au budget 2026

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a publié un communiqué détaillant l’avancement de l’étude du projet de loi de finances pour 2026, menée par la Commission des finances ainsi que la Commission du Plan et du Budget entre le 17 et le 27 novembre 2025.
Les travaux ont porté sur l’examen article par article, en présence de représentants du ministère des Finances, afin d’évaluer les propositions gouvernementales et d’intégrer les amendements jugés nécessaires.

Les principaux articles amendés et adoptés                                       

Article 23 – Exonération des services de transport

L’article portant sur l’exonération de certains services de transport de la taxe sur les revenus a été adopté, avec un amendement important : Généralisation de l’exemption à toutes les institutions, et non uniquement aux institutions industrielles.

Article 30 – Soutien à l’huile d’olive

L’ARP a approuvé un amendement introduisant : un programme annuel d’évaluation, supervisé par le ministère de l’Industrie, pour accorder des avantages aux bénéficiaires selon un barème précis.

Article 37 – Véhicules adaptés pour personnes handicapées

Adoption de l’exonération douanière pour les véhicules spécialement aménagés.
Amendement ajouté : Intégration des associations d’accompagnement des enfants handicapés dans le dispositif d’aide.

Article 38 – Contribution sociale

L’article a été adopté avec un amendement visant à : inclure les associations sportives, culturelles et de jeunesse dans les structures pouvant bénéficier du soutien prévu.

Article 48 – Droits douaniers sur les équipements médicaux

Adoption de l’allégement des droits douaniers sur les équipements médicaux jugés essentiels.

Article 53 – Régularisation fiscale

Un amendement a fixé: Septembre 2026 comme dernier délai pour les demandes de régularisation, avec un mois supplémentaire pour achever les procédures.

Articles rejetés

Trois articles proposés ont été refusés lors des délibérations :

  • Article 20 : relatif à la contribution sociale de solidarité
  • Article 47 : révision des droits douaniers sur les équipements solaires
  • Article 50 : ajout de mesures pour renforcer l’égalité fiscale entre citoyens

Par ailleurs, les députés ont également introduit plusieurs propositions additionnelles afin de soutenir les catégories vulnérables et d’accompagner les secteurs en difficulté. Ces mesures comprennent un allègement progressif de l’impôt sur les pensions, qui atteindra 40 % en 2029 pour renforcer le pouvoir d’achat des retraités, ainsi qu’un nouveau programme de bourses destiné aux étudiants issus de familles modestes, leur garantissant un accès direct aux aides financières. Elles prévoient également un ensemble d’appuis pour les agriculteurs affectés par la sécheresse, incluant des aides pour l’aliment du bétail et l’eau d’irrigation.

En plus, un dispositif assoupli de régularisation a été adopté en faveur des entreprises exportatrices, avec une réduction des pénalités, tandis que le renforcement du transport ferroviaire des matières premières vise à réduire les coûts logistiques. Enfin, un rééchelonnement des dettes du secteur touristique a été approuvé afin d’offrir un soutien concret à un domaine fortement fragilisé ces dernières années.

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PLF 2026 : La ministre des Finances défend la redevance sur les boissons gazeuses

Lors de la plénière consacrée à l’examen du budget 2026, la ministre des Finances, Michket Salma Khaldi, a insisté sur la nécessité de préserver les équilibres financiers de l’État.

Elle a affirmé que le gouvernement œuvre à proposer des mécanismes capables de répondre aux attentes de toutes les catégories sociales, tout en renforçant l’emploi et en consolidant la Caisse Générale de Compensation.

Bras de fer autour de la redevance sur le chiffre d’affaires

Interpellée sur une proposition visant à exclure l’industrie des boissons gazeuses de la redevance de 3% sur le chiffre d’affaires, la ministre a rejeté catégoriquement l’idée.

Selon elle, une entreprise réalisant des bénéfices substantiels doit contribuer au financement de l’économie et du budget public. Elle a rappelé que l’article 69 de la Constitution empêche toute proposition parlementaire susceptible de déstabiliser les finances de l’État.

Impact direct sur la Caisse de compensation

La ministre a souligné que supprimer cette redevance priverait la Caisse Générale de Compensation d’une partie de ses ressources, surtout que les boissons sucrées, alcoolisées ou gazeuses bénéficient indirectement des subventions liées au sucre.

Elle a également mis en avant la dimension sociale et sanitaire de ce type de prélèvement, rappelant qu’une majorité de pays appliquent des taxes similaires.

Pour la ministre, la proposition parlementaire présente un impact financier négatif dépassant les 20 millions de dinars. Elle a précisé qu’une seule entreprise du secteur profiterait à elle seule d’un allègement estimé à 7 millions de dinars, ce qui, selon elle, va à l’encontre de l’équité fiscale et de l’effort national de compensation.

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Le Kia PV5 Passenger élu « Family Car of the Year » aux BBC TopGear.com Awards 2026

• Le Kia PV5 Passenger récompensé comme « Family Car of the Year » aux BBC
TopGear.com Awards 2026
• Premier modèle PBV reconnu dans une grande catégorie destinée aux particuliers, s’appuyant sur l’héritage de Kia en matière de mobilité familiale
• Son espace remarquable, sa polyvalence pratique et son efficacité maîtrisée établissent une nouvelle référence pour la mobilité familiale moderne

Kia a annoncé aujourd’hui que le Kia PV5 Passenger a été nommé « Family Car of the Year » lors des BBC TopGear.com Awards 2026, l’une des distinctions automobiles les plus influentes, décernée chaque année par BBC Top Gear. Organisée au White City House de Londres, la cérémonie célèbre les véhicules les plus innovants et marquants introduits chaque année dans différentes catégories.

La distinction de BBC TopGear.com souligne la montée en puissance de Kia dans la mobilité électrifiée et s’inscrit dans la continuité des récents succès de la marque aux BBC TopGear.com Awards. Le PV5 Passenger suit ainsi les précédentes récompenses de Kia : « Manufacturer of the Year » en 2022, ainsi qu’une série de prix pour ses modèles électriques EV6 (2021), EV9 (2023) et EV3 (2024) — chacun salué pour leur vision pratique et tournée vers l’avenir. Après avoir remporté le titre de « 2026 International Van of the Year », cette nouvelle distinction confirme la capacité du PV5 à séduire à la fois les segments utilitaires et particuliers.

Redéfinir les attentes en matière de mobilité familiale électrifiée

Le résultat de cette année met en avant la gamme PBV de Kia qui redéfinit les attentes des familles modernes envers un véhicule électrique — en combinant espace, efficacité, flexibilité et valeur, établissant une nouvelle norme pour le segment.

« Le PV5 Passenger représente un nouveau chapitre pour une mobilité électrifiée accessible et pratique en Europe. Son design spacieux, sa modularité et son agrément de conduite démontrent comment les PBV peuvent réellement améliorer le quotidien des familles. Cette reconnaissance de Top Gear valide notre direction et renforce notre dynamique alors que nous développons la gamme PBV de Kia dans la région. »

— Marc Hedrich, Président & CEO, Kia Europe

Pourquoi le PV5 a gagné : espace, confort et valeur exceptionnels

« Le PV5 offre une combinaison rare d’espace généreux, de confort raffiné et d’efficacité remarquable, le tout avec un rapport qualité/prix difficile à égaler. Son design est réfléchi, pensé pour les familles, et exécuté avec clarté et cohérence. »
— Jack Scarlett, Contributor, BBC Top Gear, extrait de la Review PV5 2025

Les rédacteurs de Top Gear ont particulièrement souligné :

• Un intérieur exceptionnellement spacieux et polyvalent, offrant une praticité
digne d’un MPV dans un gabarit compact

• Une conduite souple et raffinée, rare pour un véhicule de taille ou de forme
similaire

• Une efficacité élevée et une conduite adaptée au quotidien, rendues possibles
par la plateforme dédiée PBV de Kia

• Un rapport prix/performances remarquable, offrant une valeur nettement
supérieure à celle des principaux concurrents

En réunissant ces atouts, le PV5 s’impose comme une nouvelle option particulièrement
convaincante pour les familles recherchant une mobilité électrique accessible et
fonctionnelle.

PV5 : une nouvelle approche de la mobilité familiale

Reposant sur l’architecture évolutive « Platform Beyond Vehicle » (PBV) de Kia, le PV5
inaugure un nouveau concept de mobilité électrifiée modulaire, conçue pour s’adapter
à une multitude de modes de vie.

S’appuyant sur l’héritage de Kia en matière de véhicules familiaux — de la praticité du
Bongo à l’espace et la fonctionnalité du Carnival — le PV5 poursuit cette lignée avec une
interprétation résolument tournée vers l’avenir.

La version Passenger est proposée en configuration cinq places, offrant un habitacle et
un espace de chargement généreux, avec le niveau de raffinement attendu des derniers
véhicules électriques Kia. Des versions six et sept places suivront, offrant davantage de
flexibilité pour les familles selon leurs besoins.

Les points forts du PV5 pour les familles

• Espace modulable : sièges de deuxième rangée inclinables et rabattables,
multiples solutions de rangement — dont un plateau à bagages, le système d’accessoires Kia AddGear et la compatibilité avec un porte-bagages de toit — permettant de répondre à tous les usages, des courses quotidiennes aux sorties en plein air.

Conduite silencieuse et rassurante : un habitacle décrit comme « silencieux,
même selon les standards EV », associé à des aides avancées à la conduite comme l’assistance anticollision avant, l’aide au maintien de voie ou l’assistance anticollision en stationnement.

Expérience connectée : système IVI dédié PBV et App Market offrant navigation
en temps réel et applications téléchargeables, tandis que les fonctionnalités V2L internes et externes facilitent l’utilisation d’appareils électroniques en déplacement ou à l’extérieur.

Aligné sur la stratégie PBV à long terme de Kia, le PV5 sera suivi par des modèles plus grands comme les PV7 et PV9, contribuant à l’objectif de Kia de vendre 250 000
véhicules électriques PBV par an d’ici 2030.

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À partir de 2026, les paiements en espèces supérieurs à 5 000 dinars seront possibles

L’article 45 (de la loi n° 56 de l’année 2018 datée du 27 décembre 2018) relative à la loi de finances pour l’année 2019, qui limitait les paiements en numéraire à 5 000 dinars, a été abrogé par la loi de finances 2026.

Il ressort ainsi qu’il est à nouveau possible de régler des paiements en numéraire, même lorsque leur montant dépasse 5 000 dinars. Cela signifie qu’à partir de maintenant, il est de nouveau possible de réaliser des transactions en espèces supérieures à 5 000 dinars dans certains cas, ce qui offre plus de flexibilité aux citoyens et aux entreprises dans leurs transactions financières.

Il est important de noter que cette mesure entrera en vigueur à partir du 1er janvier 2026.

D’autre part, à compter du 1er janvier 2026, une taxe d’enregistrement sur les «contrats de donations» entre époux, ascendants et descendants sera appliquée, à la suite de l’augmentation de ladite taxe par la loi de finances pour l’année 2026. Le montant de cette taxe s’élèvera à 230 Tnd.

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Coupe du monde 2026 : calendrier final dévoilé le 6 décembre

La FIFA a annoncé que le calendrier actualisé des matchs de la Coupe du monde 2026 sera confirmé samedi 6 décembre. Cette publication interviendra au lendemain du tirage au sort, prévu vendredi à Washington. Elle inclura les stades retenus et les horaires précis des coups d’envoi.

Selon l’instance internationale, le tirage déterminera les confrontations de la phase de groupes. La mise à jour du calendrier permettra ensuite de fixer définitivement les lieux et les horaires de l’ensemble des rencontres.

Une programmation pensée pour les équipes et les supporters

La FIFA explique que la procédure de programmation vise à offrir “les meilleures conditions possibles à toutes les équipes”. Elle cherche aussi à faciliter le suivi des matchs par les supporters internationaux, malgré les différences de fuseaux horaires.
[réécriture de clarté] L’objectif est de garantir une organisation optimale, à la fois sportive et logistique.

Une réunion élargie à toutes les équipes en lice

Une grande réunion est prévue le 6 décembre à Washington. L’instance internationale indique qu’elle réunira les représentants des 42 équipes déjà qualifiées, ainsi que ceux des formations encore en course. Les discussions pourraient entraîner des ajustements du calendrier en fonction des échanges.

La FIFA précise que l’annonce officielle sera faite par son président, Gianni Infantino. Il sera accompagné sur scène par plusieurs anciennes légendes de la FIFA, tandis que les délégations des équipes assisteront à l’événement depuis la salle.

Un moment clé de la préparation du Mondial 2026

La Fédération souligne que ce programme constitue l’un des temps forts de la préparation de la Coupe du monde. La retransmission en direct proposera des analyses, des réactions et des informations concernant les stades appelés à accueillir les matchs en juin et juillet prochains.

L’événement sera diffusé samedi 6 décembre à 12h00 heure locale depuis Washington, soit 18h00 en Algérie.

La Tunisie dans le chapeau 3 du tirage au sort

Pour rappel, le tirage au sort aura lieu le 5 décembre au John F. Kennedy Center for the Performing Arts, à Washington. La Tunisie figure dans le chapeau 3.

Ce chapeau regroupe également l’Algérie, la Norvège, le Panama, l’Égypte, l’Écosse, le Paraguay, la Côte d’Ivoire, l’Ouzbékistan, le Qatar et l’Afrique du Sud.
L’emplacement exact de la Tunisie dans le tableau final dépendra du tirage de vendredi.

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Loi de finances 2026 : L’État prend en charge la sécurité sociale pour les diplômés recrutés dans le privé

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté, dans le cadre d l’article 13 du projet de la loi de finances pour l’exercice 2026, la proposition du gouvernement relative à l’encouragement du recrutement des diplômés du supérieur dans le secteur privé.

En vertu de cet article, l’Etat prendra en charge la contribution patronale au régime légal de sécurité sociale au titre du salaire versé au profit des employés diplômés de l’enseignement supérieur recrutés par les établissements du secteur privé à partir du 1er janvier 2026.

Au cours de la première année, l’Etat prendra en charge 100%, la deuxième année (80%), la troisième année (60%), la quatrième année (40%) et la cinquième année 20%.

Les députés ont également adopté l’article 14 relatif à l’élargissement des interventions du Fonds National de l’Emploi et l’octroi de la priorité aux chômeurs de longue durée.

L’article a ajouté à l’alinéa 2 de l’article 13 de la loi n°101 de l’année 1999 datée du 31 décembre 1999 relative à la loi de finances pour l’année 2000, tel que modifié et complété par les textes ultérieurs, un alinéa ainsi rédigé « le Fonds intervient également dans le financement des programmes et des mécanismes visant à rehausser les qualifications des demandeurs d’emploi, des étudiants des année finales de l’enseignement supérieur et des stagiaires des centres de formation professionnelle.

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Qui pourra profiter du nouveau régime d’achat de véhicule en 2026 ?

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, samedi, l’article 55 du projet de loi de finances pour 2026. Le texte instaure un avantage fiscal destiné aux familles résidentes pour l’importation ou l’acquisition locale d’un véhicule, neuf ou d’occasion. Les députés ont validé la mesure malgré l’opposition du ministère des Finances, qui avait refusé d’intégrer la proposition dans la version initiale du projet.

Un allégement fiscal accordé une seule fois

L’article précise que cet avantage s’applique une seule fois dans la vie du bénéficiaire. Il concerne l’importation ou l’achat sur le marché local d’un véhicule au profit de la « famille résidente ». Cette dernière comprend l’époux, l’épouse, les enfants mineurs éventuels, ainsi que toute personne reconnue comme chef de famille en cas de divorce ou de décès d’un conjoint.

Le texte encadre strictement le régime fiscal. Pour les véhicules à moteur thermique, le droit de consommation s’établit à 10 % pour les voitures diesel dont la cylindrée ne dépasse pas 1 700 cm³ et pour les voitures essence dont la cylindrée n’excède pas 1 400 cm³. La TVA applicable est fixée à un taux réduit de 7 %.

Exonération pour les véhicules électriques, hybrides et tunisiens

L’article exclut du droit de consommation les véhicules électriques, hybrides et ceux produits localement, sous réserve du respect des mêmes seuils de cylindrée pour les motorisations thermiques. Le véhicule acquis — importé ou acheté en Tunisie — ne doit pas dépasser huit ans d’âge. Les personnes déjà propriétaires d’un véhicule de moins de huit ans en sont exclues.

Des conditions de ressources strictes

L’accès au dispositif dépend du revenu brut individuel du demandeur, qui ne doit pas dépasser dix fois le SMIG, ou quatorze fois pour un couple. Le texte interdit la cession du véhicule pendant cinq ans, mention inscrite sur la carte grise. Le cumul avec un autre régime préférentiel d’acquisition de véhicule est également proscrit.

L’article garantit un quota minimal : au moins 10 % du contingent annuel de véhicules autorisés à l’importation doit être réservé aux bénéficiaires de ce dispositif.

Un mécanisme adossé aux procédures existantes

Le mécanisme s’appuie sur des dispositifs déjà en vigueur, notamment celui des dons des Tunisiens résidant à l’étranger, la prime touristique et l’autorisation d’achat de devises dédiée à l’acquisition du véhicule. Le texte encadre ainsi l’ensemble des procédures permettant la mise en œuvre de cet avantage fiscal.

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Un nouveau fonds spécial pour l’inclusion des personnes handicapées adopté par l’ARP

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, lors d’une séance plénière conjointe tenue, samedi, un article visant la création d’un fonds spécial dénommé “Fonds de promotion des personnes handicapées”, alors que le pays compte près d’un million 749 000 personnes handicapées.

Ce Fonds est chargé de contribuer à promouvoir l’intégration économique et sociale des personnes handicapées par le financement d’interventions relatives aux domaines de la formation, de l’emploi, de l’incitation à la création de projets et de l’intégration économique, sportive et culturelle.

Le Fonds de promotion des personnes handicapées est financé par un prélèvement de 1 % sur les indemnités résultant des accidents de la circulation et des accidents du travail, déduit par retenue à la source sur les montants payés par les sociétés d’assurance, les caisses des adhérents, le compte de garantie des victimes d’accidents de la circulation ou les caisses de sécurité sociale, conformément à l’article 32 de la loi de finances pour l’année 2026.

Le prélèvement est déduit, contrôlé, et les infractions et litiges y afférents sont constatés comme pour la retenue à la source au titre de l’impôt sur le revenu des personnes physiques et de l’impôt sur les sociétés.

Il est également financé par des dons et des ressources qui peuvent être affectés à son profit conformément à la législation en vigueur.

Les modalités de gestion du fonds et les conditions de ses interventions sont fixées par décret. Le ministre chargé des Affaires sociales est habilité à autoriser le paiement des dépenses du fonds.

La gestion du fonds de promotion des personnes handicapées est confiée au Fonds conformément à une convention conclue à cet effet entre ledit fonds, le ministre chargé des Affaires sociales et le ministre chargé de Finances.

L’ARP a également adopté l’article 34 qui prévoit la suppression de la phrase « du 1er janvier au 31 décembre 2025 » figurant dans l’article 22 de la loi n° 48 de 2024 du 9 décembre 2024 relative à la loi de finances pour l’année 2025, et la remplace par la mention « du 1er janvier 2025 au 31 décembre 2027 ».

La disposition prévoit, également, de consacrer une enveloppe de 5 millions de dinars sur les ressources du Fonds national de l’emploi au profit d’une ligne de financement des personnes handicapées créée en vertu de l’article 22 de la loi n° 48 de 2024 du 9 décembre 2024 portant loi de finances pour l’exercice 2025.

Il convient de rappeler que les indicateurs de l’Institut national de la statistique (INS) révèlent que le nombre de personnes handicapées en Tunisie est estimé à environ 1 749 mille personnes, soit 15,5 % des habitants , dont seulement 10 % bénéficient d’une carte d’handicape.

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Parlement tunisien : adoption en plénière conjointe des budgets sectoriels du projet de loi de finances 2026

Réunie en séance plénière conjointe avec le Conseil national des régions et des districts, l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté, samedi soir, les budgets alloués aux missions et missions spéciales inscrits dans le projet de loi de finances pour 2026, au cours d’une session consacrée à l’examen du budget de l’État.

Au cours de la première étape du vote, les députés ont adopté le projet de loi de finances 2026, incluant les budgets des missions et missions spéciales ainsi que l’examen article par article, conformément aux dispositions de l’article 78 de la Constitution, à la loi organique n°15 du 13 février 2019 relative à la loi de finances, au décret n°1 du 13 septembre 2024 régissant les relations entre l’ARP et le Conseil national des régions et des districts, ainsi qu’au règlement intérieur du Parlement.

Les budgets des missions spéciales ont été adoptés avec les résultats suivants : pour l’ARP (94 voix pour, 1 abstention, 6 contre), pour le Conseil national des régions et des districts (89 pour, 3 abstentions, 12 contre), pour la Présidence de la République (95 pour, 3 abstentions, 8 contre) et pour la Présidence du gouvernement (88 pour, 6 abstentions, 12 contre).

Le vote a également porté sur les budgets des missions des ministères et institutions clés, avec, notamment : le Ministère de l’Intérieur (93 pour, 2 abstentions, 8 contre), Justice (85 pour, 4 abstentions, 14 contre), Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger (83 pour, 6 abstentions, 15 contre), Défense nationale (91 pour, 2 abstentions, 9 contre), Affaires religieuses (85 pour, 5 abstentions, 13 contre), Finances (82 pour, 5 abstentions, 19 contre), Économie et Planification (78 pour, 4 abstentions, 20 contre), Domaines de l’État et des Affaires foncières (87 pour, 3 abstentions, 17 contre) et Agriculture, des Ressources hydrauliques et de Pêche (69 pour, 7 abstentions, 31 contre).

Les budgets des ministères de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie (61 pour, 11 abstentions, 34 contre), Commerce et Développement des exportations (71 pour, 9 abstentions, 23 contre), Technologies de la communication (87 pour, 6 abstentions, 9 contre), Tourisme (81 pour, 6 abstentions, 15 contre), Équipement et Habitat (77 pour, 5 abstentions, 20 contre), Environnement (63 pour, 6 abstentions, 34 contre), Transports (67 pour, 5 abstentions, 27 contre), Affaires culturelles (59 pour, 11 abstentions, 32 contre), Jeunesse et Sports (66 pour, 11 abstentions, 26 contre) ont également été adoptés.

Les députés ont également validé les budgets des ministères de la Famille, la Femme, l’Enfance et des Personnes âgées (80 pour, 11 abstentions, 14 contre), Santé (85 pour, 6 abstentions, 11 contre), Affaires sociales (74 pour, 8 abstentions, 24 contre), Éducation (70 pour, 9 abstentions, 25 contre), Enseignement supérieur et Recherche scientifique (80 pour, 5 abstentions, 14 contre) et Emploi et Formation professionnelle (74 pour, 8 abstentions, 24 contre).

Dans le même ordre d’idées, le Parlement a approuvé les crédits des missions spéciales des institutions supérieures : Conseil supérieur de l’éducation et de l’enseignement (85 pour, 9 abstentions, 11 contre), Conseil supérieur provisoire de la magistrature (75 pour, 11 abstentions, 19 contre), Cour des comptes (85 pour, 7 abstentions, 15 contre), Instance supérieure indépendante pour les élections (80 pour, 9 abstentions, 17 contre), ainsi que les budgets relatifs aux dépenses de financement et dépenses imprévues (84 pour, 5 abstentions, 12 contre) et (89 pour, 7 abstentions, 9 contre), respectivement.

Les travaux de la séance plénière conjointe se poursuivront dimanche 30 novembre à 14h00, afin d’examiner et voter les articles restants du projet de loi de finances 2026 par les membres de l’ARP.

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Retraités : quel impact de la réduction d’impôt adoptée par le Parlement ?

RetraiteLe Parlement a adopté, hier soir à Tunis, l’augmentation des salaires et des pensions de retraite dans les secteurs public et privé pour les années 2026, 2027 et 2028. Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’article 15 du projet de loi de finances 2026. Les majorations seront fixées par décret, une fois les modalités arrêtées par le gouvernement.

Un allégement fiscal approuvé malgré l’opposition du ministère

Les députés ont également validé la réduction progressive de la charge fiscale sur les pensions de retraite à travers l’adoption de l’article 56. Cette mesure a été approuvée malgré l’objection de la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi. Elle a rappelé que 56% des retraités percevant moins de 5.000 dinars de revenu annuel imposable bénéficient déjà d’une exonération totale de l’impôt sur le revenu et de la contribution sociale solidaire. Ce taux atteint 70 % dans le secteur privé et près de 18 % dans le secteur public.

Des impacts budgétaires jugés lourds

La ministre a averti que la modification adoptée aura un impact considérable sur les finances publiques, non seulement en 2026 mais également jusqu’en 2028. Les ressources fiscales concernées sont intégrées dans les projections budgétaires à moyen terme ainsi que dans celles des caisses. Elle a souligné que la réduction de l’impôt entraînera une hausse mécanique des pensions, ce qui obligera les caisses sociales à mobiliser des montants supplémentaires.

Une mesure critiquée pour son manque d’équité

Selon la ministre, le mécanisme de réduction retenu accentue les déséquilibres dans la répartition de l’impôt. Plus la pension est élevée, plus la réduction d’impôt est importante, ce qui va, selon elle, à l’encontre des principes d’équité fiscale et sociale. Ce point a nourri un débat marqué sur l’impact réel de la mesure, notamment dans un contexte de pression budgétaire et de fragilité des caisses sociales.

Près de 1,3 million de retraités concernés

La Tunisie compte environ un million 278 mille retraités, répartis entre le secteur public (34,9 %) et le secteur privé (65,1 %). L’ensemble des mesures adoptées dans le cadre du budget 2026 aura donc des répercussions directes sur une large part de cette population, entre revalorisation des pensions et évolution de leur fiscalité.

CHIFFRES CLÉS

  • 2026-2028 — Les augmentations salariales et des pensions s’étalent sur trois ans et seront précisées par décret, marquant un engagement pluriannuel.
  • 56 % — Plus de la moitié des retraités disposent déjà d’une exonération totale, rappelée par la ministre pour contextualiser le débat fiscal.
  • 1 278 000 — Le volume de retraités concernés renforce l’enjeu budgétaire des mesures nouvellement adoptées.
  • 34,9 % / 65,1 % — La majorité des retraités relève du privé, un facteur structurant pour l’impact des réformes.

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