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Entre Tunisie et Espagne : Une décoration rare pour la promotion interculturelle à travers les médias

La croix du Mérite civil d’Espagne, instituée par le roi Alphonse XIII en 1926, est destinée à récompenser des mérites à caractère civil, notamment des services remarquables à l’État, des travaux extraordinaires ou des initiatives profitables. Elle peut être accordée à des citoyens espagnols ou étrangers ayant rendu des services distingués à l’Espagne, notamment dans des domaines culturels, éducatifs ou médiatiques.

Le roi Felipe VI en est le Grand Maître et l’attribution se fait sur proposition du ministère des Affaires étrangères, avec l’approbation du Conseil des ministres pour les grades les plus élevés comme la grand-croix. Cette distinction est rare et symboliquement forte, valorisant une contribution exemplaire au bénéfice de l’État espagnol.​

Dans le cas précis de Kaouther Guiga animatrice à RTCI, cette décoration honore son engagement dans la promotion de la langue et de la culture espagnoles à travers le média radiophonique en Tunisie, un fait exceptionnel puisque peu de Tunisiens, voire aucun groupe avant eux, avaient reçu cette distinction pour ce type d’action culturelle. Cela souligne l’importance et la portée de leur travail continue ainsi que l’amitié culturelle entre l’Espagne et la Tunisie.​

Ainsi, cette croix du Mérite civil exprime gratitude et respect pour ceux qui, par leur passion et leur dévouement, favorisent la compréhension interculturelle et la diffusion des valeurs espagnoles au-delà des frontières nationales. Elle représente un encouragement à poursuivre cette mission avec la paix, la tolérance et la collaboration entre les peuples comme fondements.

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IA vs déontologie : le nouveau dilemme des salles de rédaction

Des experts, journalistes et autres membres de la société civile se sont réunis, mercredi 26 novembre, dans un hôtel situé aux Berges du Lac de Tunis autour d’un atelier pour l’élaboration d’une charte nationale sur la déontologie journalistique face à l’intelligence artificielle.

Cette rencontre sur l’IA et la déontologie journalistique, organisée par le Conseil de presse avec l’appui du programme d’appui aux médias tunisiens (PAMT 2), a pour objectif de jeter les bases d’une charte généraliste suivie de chartes spécifiques pour les différentes composantes du secteur, a indiqué Mannoubi Marrouki, président du Conseil de presse.

Selon Marrouki, les risques déontologiques et éthiques sont de nos jours grands tout comme l’est l’inquiétude des uns et des autres quant à l’utilisation de l’IA.

Cette journée vise, par ailleurs, à rassembler journalistes, responsables de rédaction, syndicats, universitaires, experts juridiques et partenaires institutionnels pour dresser un état des lieux de l’usage de l’IA, analyser les risques déontologiques et formuler, à travers des ateliers thématiques, les premiers principes d’une charte éthique.

« Une telle charte généraliste s’impose particulièrement à la lumière de l’usage  des nouvelles technologies de la transition numérique et dont les dérives ne sont plus à démontrer », avertit le président du Conseil.

Marrouki estime que les discussions qui ont eu lieu tout au long de cette journée d’étude permettront de poser les jalons de la première charte nationale d’éthique sur l’intelligence artificielle.

Des chercheurs locaux et internationaux ont alimenté les différents ateliers organisés dans le cadre de cette journée.

Laurence Dierickx, docteure à l’Université libre de Bruxelles, spécialisée dans l’information numérique et l’IA, a présenté les outils de l’intelligence artificielle mis à la disposition des journalistes par les médias.

Ils permettent, si besoin est, de collecter, traiter, analyser, diffuser l’information et interagir avec le public.

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2e Congrès international AIDDM sur la migration régulière se tient à Tunis

Le deuxième Congrès scientifique international de l’Association internationale de défense des droits de l’homme et des médias (AIDDM) se tiendra le 4 décembre prochain à Tunis sur le thème : « Les approches juridiques et humanitaires visant à promouvoir une migration régulière ».

Organisé en collaboration avec l’Institut des hautes études (IHE) de Tunis, cet événement réunira un panel d’experts tunisiens et internationaux en droit et en sciences sociales, ainsi que des représentants d’institutions nationales, pour débattre des défis actuels liés à la migration irrégulière, à la mobilité des compétences et aux cadres juridiques encadrant ces flux migratoires.

Sur sa page Facebook, l’association précise que le programme prévoit plusieurs communications axées sur plusieurs thèmes tels que « Les lois et législations en matière de migration et d’asile », « La migration des compétences et la législation italienne en matière de migration et d’asile », « Le cadre juridique de la régulation des migrations selon le traité de Barcelone », « Le lien entre migration irrégulière, crime organisé et terrorisme », ainsi que « L’approche sécuritaire et son rôle dans la lutte contre ce phénomène ».

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Un projet majeur financé par la Banque mondiale attribué au groupement Arabsoft–Keystone

informatiqueLes solutions digitales conçues par des éditeurs tunisiens gagnent du terrain dans plusieurs pays africains. Cette dynamique concerne notamment les outils destinés aux administrations fiscales. Les déploiements récents montrent l’intérêt croissant pour des technologies développées localement, adaptées aux besoins des institutions publiques du continent.

Un éditeur historique positionné sur les finances publiques

Arabsoft figure parmi les acteurs tunisiens les plus présents sur ce segment. L’entreprise, fondée dans les années 70 par l’ingénieur Mohamed Triki, développe des logiciels dédiés à la gestion des finances publiques. Son approche repose sur la mise en place de systèmes complets, destinés aux directions fiscales et aux organismes chargés des recettes.

Etax, une solution adoptée dans plusieurs pays

Le logiciel Etax constitue l’un des produits phares d’Arabsoft. Il permet aux administrations de gérer différents volets de la fiscalité. Plusieurs pays l’ont déjà intégré dans leurs systèmes nationaux. La DGI Mauritanie, l’OTR Togo, la DGI Niger, la DGI Comores, la Liberia Revenue Authority et le Centre informatique du ministère des Finances en Tunisie figurent parmi les utilisateurs.

L’extension se poursuit en 2025 avec deux nouveaux projets remportés : la Gambia Revenue Authority et l’Office burundais des recettes. Ces engagements confirment l’intérêt de plusieurs administrations africaines pour une solution développée en Tunisie.

Un positionnement international affirmé

Etax est présenté comme un logiciel de dimension internationale. Selon ses développeurs, il ne possède aucun équivalent sur le continent africain. Les compétiteurs identifiés se situent au Canada, en Australie, en France et aux États-Unis. Ce positionnement influence la trajectoire de la solution, déployée dans des contextes institutionnels variés.

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Meta condamnée à verser 550 millions de dollars aux médias espagnols

La décision concernant les plaintes des éditeurs espagnols contre l’activité publicitaire du géant technologique Meta a conclu que l’entreprise avait enfreint les règles de la concurrence et de la protection de la vie privée.

Le législateur espagnol a jugé que le géant américain des médias sociaux, Meta Platforms, devait payer une somme considérable après avoir constaté que l’entreprise avait obtenu un avantage illégal grâce à ses pratiques en matière de données.

Cette décision fait suite à un long conflit opposant plus de 80 médias numériques espagnols qui accusaient la maison mère de Facebook d’abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

L’AMI, l’association représentant ces médias, avait porté plainte en 2023, arguant que les pratiques publicitaires de Meta entre mai 2018 et juillet 2023 violaient les règles de la concurrence et de la protection des données en conférant à l’entreprise un avantage indu fondé sur l’exploitation des données.

Jeudi 20 novembre, un tribunal de commerce de Madrid a donc condamné Meta à verser 479 millions d’euros (environ 550 millions de dollars) de dommages et intérêts, estimant que l’entreprise avait traité les données des utilisateurs de Facebook et d’Instagram à des fins de publicité comportementale sans respecter les règles de la concurrence ni les garanties en matière de protection des données.

Selon l’Associated Press, les juges ont déclaré que le « traitement illicite de cette énorme quantité de données personnelles » par Meta lui conférait un avantage concurrentiel que les médias nationaux « ne pouvaient égaler »…

Comme attendu, Meta a rejeté la décision et annoncé son intention de faire appel, qualifiant l’affaire de « sans fondement … et qu’il n’existe aucune preuve de préjudice allégué pour les éditeurs ». L’entreprise a déclaré que le jugement donne une image erronée du fonctionnement du secteur de la publicité numérique.

Cette décision s’inscrit dans un conflit plus large entre les autorités de régulation de l’UE et les grandes plateformes numériques au sujet de la concurrence en ligne. L’année dernière, la Commission européenne a infligé à Meta une amende de près de 800 millions d’euros (environ 870 millions de dollars) pour des pratiques liées à Facebook Marketplace…

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Restrictions : la LTDH alerte sur une presse sous pression

Les pressions exercées sur les journalistes représentent, affirme la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme (LTDH), des « signaux alarmants » d’une campagne méthodique visant à « assujettir les médias et à museler les voix libres ».

L’organisation a publié cette déclaration suite à un mouvement de protestation initiée par le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), à la Place du gouvernement, à La Kasbah, et dans différentes régions. Tout en se disant préoccupée par « les poursuites judiciaires qui ciblent les journalistes sur la base du décret-loi n°54 ».

La LTDH saisit l’occasion de rappeler que le décret-loi 115 demeure l’unique cadre juridique régissant la liberté de la presse et de publication. Et ce, conformément aux standards internationaux et aux principes fondamentaux d’un Etat de droit.

La Ligue a, aussi, dénoncé la suspension des sites électroniques Nawaat et Inkyfada, ainsi que les « pressions » exercées sur le site al qatiba et The Legal Agenda. « Ces mesures portent atteinte au droit à l’information et à la liberté du travail associatif », indique l’organisation. De même qu’elles constituent « une dérive grave vers la restriction de l’espace civique ».

 

Quid de l’octroi de la carte de journaliste

Par ailleurs, la LTDH appelle les autorités à accélérer la mise en place de la commission indépendante chargée de l’octroi de la carte de journaliste professionnel et à fournir, sans délai, les cartes de l’année 2025.

Elle a, également, demandé le renouvellement immédiat des autorisations de travail des correspondants des médias étrangers et la fin de toute forme d’interdiction et de restriction administrative.

D’autre part, la LTDH a souligné la nécessité d’appliquer, dans les plus brefs délais, l’amendement et la réforme du statut des médias publics, de débloquer le financement nécessaire et de permettre aux journalistes indépendants de bénéficier pleinement du régime de l’auto-entrepreneur, tel que prévu par la loi de finances pour l’année 2025.

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Prix mondial pour la liberté de la presse: Sonia Dahmani sacrée à New York 

La journaliste et avocate Sonia Dahmani va recevoir dans la soirée du jeudi 20 novembre à New York le Prix international de la liberté de la presse 2025, l’une des distinctions les plus prestigieuses décernées par le Committee to Protect Journalists (CPJ), une organisation qui surveille les violations de la liberté de la presse dans plus de 180 pays à travers le monde.

Pour l’avocat Sami Ben Ghazi, cité cette situation relève d’une « ironique amertume ». Selon lui, le monde honore précisément ce que la Tunisie choisit de punir. Dahmani est accusée d’atteinte à l’image de l’État, mais l’avocat soutient que la véritable atteinte provient de l’usage de la répression pour étouffer la parole libre.

Le paradoxe s’accentuera vendredi 21 novembre, lorsque Dahmani sera de nouveau présentée devant la justice pour des déclarations déjà examinées lors d’un précédent procès, rappelle-t-on.

Avec cette distinction internationale, Sonia Dahmani devient malgré elle un symbole mondial de la liberté de la presse et une voix qui, même réduite au silence en prison, trouve un écho planétaire.

Me Ben Ghazi souligne : « le préjudice à la réputation nationale ne provient pas de la parole libre, mais de ceux qui ferment l’espace public et transforment la justice en outil d’étouffement ».

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Génération Z, IA et pratiques RH : les nouveaux repères des entreprises

IA DRHLes entreprises ajustent leurs pratiques face aux attentes de la Génération Z. Cette génération demande plus de transparence, des processus rapides et une forte digitalisation. Les directions RH identifient le recrutement comme leur premier défi. Elles doivent accélérer les échanges, clarifier les étapes et renforcer la cohérence entre discours et réalité interne. Les outils numériques deviennent centraux, mais la demande d’interaction humaine reste élevée.

Management et intégration en mutation

Les organisations revoient leurs méthodes d’intégration pour répondre aux valeurs portées par les jeunes actifs. La Génération Z recherche flexibilité, sens et équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Les entreprises adaptent leurs pratiques pour mieux accompagner ces attentes. Les dispositifs de mentorat apparaissent comme un levier pour rapprocher les différentes générations et fluidifier la transmission des codes internes.

Influence croissante des plateformes numériques

Les comportements professionnels évoluent sous l’influence de plateformes comme Twitch et d’autres réseaux sociaux. Ces espaces structurent de nouveaux modes d’expression et impactent la motivation des jeunes talents. Les entreprises analysent ces tendances pour comprendre les codes culturels qui façonnent leur rapport au travail. Elles ouvrent des espaces de dialogue pour mieux saisir ces usages et ajuster leurs pratiques managériales.

IA et transformation des processus RH

L’intelligence artificielle s’impose comme un outil stratégique pour optimiser le sourcing, l’évaluation et la gestion des talents. Les directions RH identifient des gains de temps sur des tâches comme le tri des CV ou le matching de compétences. Elles restent toutefois vigilantes face au risque de déshumanisation si l’usage de ces technologies n’est pas encadré. Les entreprises introduisent des chartes éthiques et renforcent les formations internes pour garantir une intégration responsable de l’IA.

Recommandations adressées aux DRH

Les DRH sont invités à repenser leurs méthodes de recrutement en combinant automatisation et contact humain. Ils développent également des programmes de mentorat intergénérationnels et valorisent l’apprentissage continu. Les équipes RH se forment aux outils d’IA pour en assurer une utilisation éclairée. Les organisations surveillent par ailleurs les tendances numériques afin d’ajuster leur culture interne et dialoguer avec les jeunes salariés.

Axes stratégiques et calendrier de mise en œuvre

Les priorités évoluent selon un calendrier progressif. À court terme, entre 2025 et 2026, les organisations digitalisent le recrutement, instaurent des chartes d’usage de l’IA et renforcent la marque employeur. À moyen terme, entre 2027 et 2028, elles déploient des parcours de carrière hybrides, mêlant présentiel et distanciel, et introduisent des outils IA prédictifs pour la mobilité interne. À l’horizon 2030, elles ambitionnent de devenir des acteurs de la gouvernance RH augmentée, fondée sur un modèle inclusif et intergénérationnel.

EN BREF

La Génération Z demande plus de transparence et de rapidité dans le recrutement.
Les entreprises adaptent leur management pour répondre à des attentes centrées sur la flexibilité et le sens.
Les plateformes numériques influencent les comportements professionnels des jeunes talents.
L’IA optimise les processus RH, mais nécessite un cadre éthique pour éviter la déshumanisation.
Les DRH combinent automatisation, mentorat et formation pour accompagner cette transition.
• Les étapes clés s’étalent entre 2025 et 2030, avec un objectif final de gouvernance RH augmentée.

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Quels défis pour maîtriser l’avenir de l’intelligence artificielle ?

Tawfik JelassiLa seconde édition d’un événement consacré à la gouvernance de l’intelligence artificielle place la maîtrise de cette technologie au centre du débat. L’intervention de Tawfik Jelassi, Sous-Directeur général à l’UNESCO sur ExpressFM, met en avant l’importance d’un cadre international capable d’accompagner les effets de l’IA sur les économies, les sociétés et les institutions. Le message insiste sur la nécessité d’anticiper les transformations en cours et d’assurer une coordination globale.

L’UNESCO, acteur de régulation

Tawfik Jelassi rappelle le rôle de l’UNESCO dans la réflexion et l’élaboration de normes autour de l’IA. L’organisation cherche à structurer un dialogue inclusif sur les principes éthiques, la transparence et la protection des utilisateurs. Cette position vise à renforcer la confiance dans une technologie qui influence déjà les modèles productifs et les interactions sociales.

La Tunisie dans le débat international

La communication met en avant la participation active de la Tunisie dans les discussions sur la gouvernance de l’IA. Le pays souhaite prendre part aux efforts mondiaux pour définir les règles qui encadrent une technologie en évolution rapide. Cette présence s’inscrit dans une logique de coopération et de représentation des pays émergents dans les instances internationales.

Des enjeux politiques et économiques

La gouvernance de l’IA pose des questions politiques liées à la mise en place de régulations équilibrées. Les décideurs doivent établir des cadres qui soutiennent l’innovation tout en protégeant les citoyens. Les enjeux économiques concernent l’évolution du marché du travail et l’adaptation des entreprises aux nouveaux outils. Les transformations à venir exigent une réflexion sur les compétences, la productivité et l’organisation des secteurs.

Des implications sociétales et institutionnelles

L’usage accru de l’IA soulève des attentes fortes en matière d’éthique, de transparence et de responsabilité. Les acteurs institutionnels cherchent des mécanismes pour préserver la confiance du public. La coopération internationale apparaît essentielle pour harmoniser les approches et soutenir les pays qui souhaitent prendre part à cette transition technologique.

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Telvza TV : Amin Gara lance sa nouvelle émission « Ça me dit bien » dès décembre

Telvza TV : Amin Gara lance sa nouvelle émission « Ça me dit bien » dès décembre

Selon la page Facebook HashtagMedia, une nouvelle émission intitulée « Ça me dit bien » sera lancée dès le mois de décembre sur la chaîne Telvza TV. Le programme sera animé par Amin Gara, qui sera entouré d’une équipe de chroniqueurs pour accompagner les téléspectateurs lors des soirées du samedi. Cette nouvelle production promet une […]

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Elhiwar Ettounsi : Meryem Belkadhi signe un come-back très attendu avec une émission culturelle

Elhiwar Ettounsi : Meryem Belkadhi signe un come-back très attendu avec une émission culturelle

L’animatrice Meryem Belkadhi signe son grand retour sur la chaîne Elhiwar Ettounsi avec une nouvelle émission culturelle intitulée « On est toujours là », diffusée chaque jeudi soir à partir de la semaine prochaine. Cette annonce, très attendue, a rapidement enflammé les réseaux sociaux, où de nombreux internautes ont exprimé leur satisfaction et salué le […]

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Ramzi Farhat nommé DGA de Mosaïque FM

Ramzi Farhat nommé DGA de Mosaïque FM | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Médias) – Après plus de dix ans au sein de l’institution en tant que Responsable Marketing et Communication, M. Ramzi Farhat a été nommé Directeur Général Adjoint de Mosaïque FM.

Pour cette promotion, qui témoigne de sa compétence et des efforts considérables qu’il a déployés pour contribuer au développement de la radio, la rédaction d’UNIVERSNEWS adresse ses sincères félicitations à M. Ramzi Farhat et lui souhaite plein succès dans ses nouvelles fonctions.

Tunisie : Le Conseil de Presse réaffirme le droit à l’information

Dans une déclaration publiée mardi, le Conseil de Presse a dénoncé l’absence quasi totale de couverture des récentes manifestations organisées par l’opposition, l’UGTT et des associations civiles. Il a rappelé que l’accès à l’information est un droit constitutionnel et a appelé les médias publics et privés à respecter les normes éthiques et professionnelles.

Une inquiétude face au manque de couverture

Le Conseil de Presse dit :

« suivre avec « inquiétude » l’absence de couverture médiatique d’événements d’envergure nationale, notamment les manifestations récentes de l’opposition, de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), d’organisations de la société civile et d’associations citoyennes dans plusieurs régions ».

Selon lui, une absence quasi totale de couverture a été constatée dans plusieurs médias publics et privés, une situation qui affaiblit la crédibilité du paysage médiatique.

Risques de rumeurs et de désinformation

Pour l’instance, le traitement sélectif ou l’occultation d’événements majeurs ouvre la voie à la propagation de rumeurs et de fausses informations sur les réseaux sociaux, accentuant le chaos informationnel déjà présent dans le pays.

Appel au respect de la déontologie

Le Conseil a rappelé la responsabilité de l’État, des propriétaires de médias, de la société civile et des journalistes dans la production d’une information objective et pluraliste. Il a appelé les journalistes à préserver leur indépendance, à activer les mécanismes d’autorégulation et à respecter le code de déontologie professionnelle face aux pressions et tentatives de manipulation.

Réaction à la fermeture de l’INAI et au gel de la HAICA

Réagissant à la fermeture du siège de l’Instance d’accès à l’information (INAI) et au gel des activités de la HAICA, le Conseil a insisté sur le droit public à l’information, la transparence et la redevabilité. Il a également souligné la nécessité d’une régulation efficace du secteur audiovisuel afin de lutter contre le chaos médiatique.

Mise en garde contre les dérives professionnelles

Le Conseil a enfin mis en garde contre la prolifération de « formations rapides » autoproclamées pour devenir journaliste et la présence d’« intrus » dans la profession, estimant que cela fragilise davantage la crédibilité du journalisme en Tunisie.

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