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Coupe arabe FIFA 2025: La Palestine et la Syrie rejoignent la Tunisie et le Qatar dans le groupe A

Les sélections de Palestine et de Syrie ont rejoint celles de Tunisie et du Qatar dans le groupe A de la Coupe arabe FIFA de football, après leurs victoires en qualifications, mardi.

La Palestine s’est imposée aux tirs au but (4-3) face à la Libye après un match nul 0-0, tandis que la Syrie a battu le Soudan du Sud 2-0.

La Tunisie ouvrira face à la Syrie le 1er décembre, alors que le Qatar affrontera la Palestine.

En 2e journée, la Tunisie sera opposée à la Palestine le 4 décembre, tandis que le Qatar jouera contre la Syrie.

La 3e et dernière journée, le 7 décembre, verra s’affronter la Tunisie et le Qatar d’une part, et la Palestine et la Syrie de l’autre.

La Coupe arabe se déroulera du 1er au 18 décembre 2025 à Doha, avec la participation de 16 sélections.

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Mondial U17 au Qatar : le Portugal rejoint l’Autriche en finale

Le Portugal disputera la finale de la Coupe du monde U17 au Qatar. L’équipe s’est qualifiée lundi en battant le Brésil aux tirs au but (6-5), au terme d’un match verrouillé et sans but durant le temps réglementaire. La deuxième demi-finale, disputée à Doha, a offert peu d’espaces mais une forte intensité. Les deux sélections ont multiplié les initiatives, sans trouver l’ouverture. La séance de tirs au but a finalement départagé les deux adversaires. Le Portugal a montré plus de maîtrise dans cet exercice décisif.

L’Autriche poursuit son parcours parfait

Plus tôt dans la journée, l’Autriche a validé son billet pour la finale. Elle a dominé l’Italie 2-0 sur le terrain n° 5 de l’Aspire Zone à Doha. Cette victoire prolonge une dynamique impressionnante : sept matches disputés, sept victoires. Cette régularité permet à la sélection autrichienne d’atteindre pour la première fois une finale de Coupe du monde U17. L’équipe confirme sa solidité et son efficacité, affichées depuis le début du tournoi.

Une affiche inédite en perspective

La finale opposera donc l’Autriche au Portugal. L’Autriche avait obtenu sa qualification en attendant l’issue de la demi-finale entre le Portugal et le Brésil, disputée sur le terrain n° 7. Le duel final se jouera jeudi au stade international Hamad à Doha. Les deux équipes aborderont cette rencontre avec des trajectoires différentes : une Autriche invaincue et un Portugal qui a dû aller jusqu’aux tirs au but pour se hisser au dernier match de la compétition.

Un dénouement attendu

Cette affiche constitue un moment important pour les deux sélections. L’Autriche vise un premier titre mondial dans cette catégorie. Le Portugal cherche à confirmer son efficacité dans les matches à élimination directe. Les deux équipes devront gérer la fatigue accumulée et la pression d’un rendez-vous décisif.

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Marokko – Neue X.com -Funktion legt geopolitischen Spannungen zwischen Qatar und Marokko offen.

KönigDie neueste Transparenzfunktion der Social-Media-Plattform X (ehemals Twitter) hat ungewollt eine diplomatische Kontroverse ausgelöst. Beobachter aus Marokko und dem Nahen Osten stellten fest, dass ein Großteil der einflussreichen Accounts, die König Mohammed VI. und die marokkanische Außenpolitik hart kritisieren, ihren Sitz im Emirat Qatar hat. Doha / Rabat – Anfang dieses Monats führte die Social-Mediaplattform […]

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Devant les milliards des Saoud, c’est désormais Trump d’Arabie !

Difficile de trouver plus cupide et plus vénal que Donald Trump ! On dit que l’argent est le nerf de la guerre mais chez le président américain c’est le nerf des relations internationales tout court. Face au gros chèque saoudien, le locataire de la Maison Blanche a disculpé en direct l’héritier Mohamed ben Salmane de toute responsabilité dans l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Il a aussi annoncé la vente de 48 avions de chasse F-35 dont la vente était liée jusque-là à la normalisation avec Israël et a décidé de pousser encore plus le partenariat stratégique avec Riyad. Bref, la lune de miel de Trump d’Arabie agace même les Israéliens !

Imed Bahri

Le journal arabophone londonien Al-Quds al Arabi est revenu sur cette visite en passant au peigne fin aussi bien sa forme que son fond car l’accueil en grande pompe de l’hôte saoudien a donné le ton de cette visite qui se veut historique. 

Fait rare, le président américain a accueilli, mardi 18 novembre 2025, le prince héritier saoudien lors d’une cérémonie grandiose qui a eu lieu sur la pelouse sud de la Maison-Blanche. D’habitude, ce lieu est réservé aux accueils des visites d’État ! L’événement comprenait une revue des honneurs militaires, une salve de coups de canon et un survol d’avions de chasse américains.

Les discussions entre les deux dirigeants ont porté sur le renforcement des liens de sécurité et la coopération nucléaire civile. Ben Salmane s’est engagé à porter les investissements saoudiens dans l’économie américaine de 600 milliards de dollars à 1 000 milliards de dollars, tandis que Trump a confirmé un nouvel accord de défense et son approbation de la vente d’avions de chasse F-35 à l’Arabie saoudite.

Une garde d’honneur militaire américaine a escorté le cortège du prince héritier jusqu’à la pelouse sud où Trump l’a accueilli à son arrivée. Les deux dirigeants ont ensuite levé les yeux vers les avions de chasse qui survolaient la zone avant que Trump n’accompagne son hôte à l’intérieur.

La géopolitique de l’argent

D’habitude cet accueil prestigieux n’est réservé qu’à certains chefs d’État. Or, Ben Salman est toujours prince héritier et le chef d’État saoudien c’est son père le roi Salman. Cette exception protocolaire en dit long sur la place qu’occupe l’Arabie saoudite dans la géopolitique de M. Trump, une géopolitique dictée avant tout par les intérêts financiers.

Au cours de sa visite à la Maison Blanche, Ben Salmane s’est entretenu avec Trump dans le Bureau ovale où ce dernier a annoncé que Washington vendrait des avions de chasse F-35 à l’Arabie saoudite dans le cadre d’un accord similaire à celui conclu avec Israël. Ce serait la première fois que les États-Unis vendent ces avions de chasse à l’Arabie saoudite, marquant un tournant important dans la politique américaine. Cet accord pourrait potentiellement modifier l’équilibre militaire au Moyen-Orient et mettre à l’épreuve ce que Washington appelle jusque-là «l’avantage militaire qualitatif d’Israël», seul pays de la région à posséder à ce jour des F-35. Jusque-là, les États-Unis faisaient miroiter aux Saoudiens qu’ils ne leur vendraient des F-35 que s’ils reconnaissaient officiellement Israël. 

Lors de sa rencontre avec Ben Salmane dans le Bureau ovale, Trump a confirmé que les États-Unis étaient parvenus à un accord de défense avec l’Arabie saoudite, que la plupart des experts estiment similaire au récent accord avec le Qatar sur lequel nous sommes revenus dans notre article du 24 octobre dernier intitulé «Nouveau traité en gestation entre Washington et Riyad». Si c’est effectivement le cas, toute agression contre l’Arabie saoudite sera considérée comme une agression contre les États-Unis. 

Le président américain a, également, indiqué avoir discuté des accords d’Abraham avec Ben Salmane et s’est dit convaincu d’avoir reçu une réponse positive. Le prince héritier a répondu que l’Arabie saoudite souhaitait participer à ces accords qui prévoient la normalisation des relations avec Israël mais aussi garantir une voie claire vers une solution à deux États.

M. Trump a laissé entendre qu’un accord nucléaire civil avec l’Arabie saoudite était aussi envisageable. La réunion a, on l’imagine, porté aussi sur l’aspect économique, M. Trump affirmant que l’économie américaine était en excellente santé. Prenant note de l’accord de l’Arabie saoudite d’investir 600 milliards de dollars aux États-Unis, il a déclaré : «Je tiens à vous remercier d’avoir accepté d’investir 600 milliards de dollars aux États-Unis. Et comme il est mon ami, ce montant pourrait atteindre mille milliards de dollars… Je vais m’en occuper». Le prince héritier a répondu que l’Arabie saoudite augmenterait ses investissements aux États-Unis à mille milliards de dollars.

Trump a également abordé la question iranienne, affirmant que «le pays souhaitait parvenir à un accord avec Washington même s’ils prétendent le contraire et se disant ouvert aux négociations». Le prince héritier saoudien a affirmé que cela serait dans l’intérêt de l’Iran et de la région, soulignant qu’il ferait tout son possible pour y parvenir.

Lors du dîner, le président américain a fait une autre annonce de taille qui a ravi son hôte : «Ce soir, je suis ravi d’annoncer que nous poussons notre coopération militaire à des sommets encore plus élevés en désignant officiellement l’Arabie saoudite comme un allié majeur non-membre de l’Otan, ce qui est quelque chose de très important pour eux».

La vente des F-35 agace Israël 

L’annonce par Trump de la vente d’avions de chasse furtifs F-35 à l’Arabie saoudite a provoqué un choc en Israël. Le journal de droite Maariv a employé le terme «coup de tonerre»

Maariv considère que cette vente de F-35 à l’Arabie saoudite ne se limite pas à une simple transaction d’armement. Elle empiète sur un domaine jusqu’ici réservé à un seul pays de la région : Israël. Certes, les États-Unis continuent d’affirmer qu’ils protégeront l’avantage militaire qualitatif d’Israël mais tout expert en sécurité sait que cette supériorité est relative et non garantie à vie. Dès lors qu’un pays voisin acquiert l’accès à des avions de chasse de cinquième génération (même de façon limitée, comme le minimisent les proches du Premier ministre), la supériorité aérienne d’Israël n’est plus assurée.

Le fait que Trump soit prêt à franchir un tel pas soulève une question troublante : Washington considère-t-il toujours Israël comme un atout stratégique irremplaçable ou comme un pays important, certes, mais qui n’est plus au centre de la politique américaine dans la région ?

Aux yeux de l’administration américaine actuelle, stabiliser l’Arabie saoudite, coopérer avec elle et freiner toute autre influence régionale est peut-être aussi important aujourd’hui que l’enthousiasme fervent pour l’exclusivité israélienne dans le ciel du Moyen-Orient.

Maariv estime que les États-Unis adoptent désormais une vision stratégique globale du Moyen-Orient et non pas une vision d’un prisme israélien.

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Natation : Ayoub Hafnaoui reprend l’entraînement au Qatar après sa suspension

Natation : Ayoub Hafnaoui reprend l’entraînement au Qatar après sa suspension

Ayoub Hafnaoui, champion olympique tunisien, a fait son retour dans les bassins en rejoignant le Qatar, où il s’entraîne désormais au sein de l’académie fondée par l’ex-nageur Ahmed Mathlouthi. Comme l’a indiqué Adam Ayari, directeur technique d’une académie privée de natation, Hafnaoui a été invité à s’y préparer après avoir purgé une suspension de 21 […]

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Condamné à mort au Qatar : L’affaire Fakhri Landolsi revient en urgence

L’affaire de Fakhri Landolsi, Tunisien originaire de Kairouan et condamné à mort au Qatar, revient brusquement au premier plan après une nouvelle alerte lancée par l’observatoire tunisien des droits de l’Homme. L’organisation affirme suivre la situation « avec une profonde inquiétude » et estime que les autorités qataries seraient prêtes à exécuter la sentence. Elle appelle la Tunisie, et en premier lieu le président de la République, à intervenir de toute urgence pour empêcher cette issue.

Cette affaire remonte à plusieurs années. Fakhri avait été arrêté au Qatar pour son implication présumée dans le meurtre d’un militaire dans une base qatarie. Les autorités l’avaient également accusé d’appartenir à un groupe extrémiste. Son procès avait conduit à une condamnation à mort, verdict que sa famille et plusieurs ONG ont toujours dénoncé comme injuste et entaché de zones d’ombre.

En 2021, l’affaire avait déjà provoqué une vive émotion en Tunisie. Des médiations diplomatiques avaient alors abouti à une décision de l’émir du Qatar de suspendre l’exécution, laissant espérer une issue plus clémente. À l’époque, certains proches avaient même évoqué la possibilité d’une commutation de peine, mais aucune confirmation officielle n’avait jamais été rendue publique. Depuis, le dossier était resté silencieux, sans avancées visibles.

Mort imminente ?

La réapparition du cas aujourd’hui, accompagnée d’informations selon lesquelles le détenu aurait été informé de préparatifs d’exécution, ravive les craintes de sa famille. Sa mère a multiplié les appels aux autorités tunisiennes pour obtenir un rapatriement ou, à tout le moins, une intervention diplomatique directe. Elle affirme que son fils vit désormais dans l’angoisse d’une mise à mort imminente.

Cette affaire pose une fois de plus la question de la protection des ressortissants tunisiens condamnés à l’étranger, notamment dans les pays appliquant la peine de mort. Elle met également en lumière la complexité des dossiers mêlant justice, diplomatie et droits humains. Pour les défenseurs de Landolsi, le temps presse. Si la Tunisie ne se mobilise pas rapidement, le risque de voir l’exécution devenir réalité n’a jamais semblé aussi élevé.

Lire aussi : Tunisie : Fakhri Landolsi, de nouveau menacé d’exécution au Qatar

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Peine de mort au Qatar : appels en Tunisie pour sauver Fakhri Al-Andolsi

Peine de mort au Qatar : appels en Tunisie pour sauver Fakhri Al-Andolsi

Le monde associatif tunisien appelle une nouvelle fois à sauver le jeune Tunisien Fakhri Al-Andolsi, menacé d’exécution au Qatar. Dans un communiqué, le Observatoire tunisien des droits de l’homme a exhorté les autorités tunisiennes à intervenir d’urgence, soulignant que les autorités qataries s’apprêtent à appliquer la peine capitale à l’encontre du jeune homme, poursuivi dans […]

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Netanyahu s’excuse auprès du Qatar après les frappes à Doha

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a présenté, ce lundi 29 septembre, ses excuses à son homologue qatari à la suite de l’attaque israélienne ayant visé Doha. Selon une source proche du dirigeant israélien citée par Reuters, l’échange téléphonique a eu lieu lundi depuis la Maison-Blanche, où Netanyahu était reçu par le président américain Donald Trump.

L’appel adressé au Premier ministre du Qatar, cheikh Mohammad ben Abdelrahman Al-Thani, s’est déroulé en marge de cette rencontre à Washington. Une autre source, au fait des discussions, a indiqué qu’une équipe technique qatarie se trouvait également sur place. L’information avait d’abord été rapportée par le site américain Axios.

Cette démarche d’apaisement survient alors que l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, avait vigoureusement condamné, la semaine précédente à la tribune de l’ONU, les frappes israéliennes sur sa capitale.

Qualifiant l’opération de « trahison », il avait dénoncé une attaque qui a visé des responsables du Hamas réunis dans un complexe résidentiel au cœur de Doha.

« Contrairement aux affirmations du Premier ministre israélien, cette attaque ne relève pas d’un droit légitime à poursuivre des terroristes », avait-il martelé, ajoutant qu’elle « sape les efforts diplomatiques visant à mettre un terme au génocide contre le peuple de Gaza ».

Lire aussi : Israël bombarde Doha, ciblant le Hamas !

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L’UE envisage de suspendre partiellement l’accord d’association avec l’entité sioniste

Dans son discours sur l’état de l’Union, prononcé mercredi 10 septembre 2025 à Strasbourg, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé de nouvelles mesures contre Israël. Bruxelles prévoit de sanctionner certains ministres jugés extrémistes et de suspendre partiellement l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël, en ciblant en particulier les aspects commerciaux.

Des sanctions individuelles contre des responsables israéliens

La Commission européenne propose d’imposer des mesures restrictives à l’encontre de plusieurs ministres israéliens qualifiés d’« extrémistes ». L’objectif affiché est de répondre aux politiques jugées contraires aux principes démocratiques et aux engagements internationaux d’Israël.

Suspension partielle de l’accord d’association UE–Israël

Bruxelles envisage également de suspendre partiellement l’accord d’association qui régit les relations politiques et commerciales entre l’UE et Israël. Cette suspension concernerait notamment les volets liés aux échanges commerciaux, cœur de la coopération économique bilatérale.

Fin du soutien bilatéral direct

Ursula von der Leyen a par ailleurs confirmé que la Commission européenne mettrait fin à son soutien bilatéral direct à Israël. Cette mesure vient s’ajouter à la réévaluation de la participation d’Israël à certains programmes européens.

La Commission avait précédemment suggéré de limiter l’accès d’Israël à « Horizon Europe », le principal programme européen de recherche et d’innovation. Faute d’un consensus entre les États membres, la proposition n’avait pas abouti. Désormais, l’exécutif européen entend agir dans les marges de ses compétences, sans attendre l’unanimité des Vingt-Sept.

Lire aussi :

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Israël cible le Hamas à Doha : Un tournant explosif pour la médiation qatarie

Le 9 septembre 2025, l’aviation israélienne a bombardé Doha, visant des dirigeants du Hamas. C’est la première fois qu’un État médiateur du conflit israélo-palestinien est directement touché. L’attaque, qui a fait six morts selon le Hamas, a déclenché une onde de choc diplomatique dans tout le Golfe.

Mardi 9 septembre, plusieurs explosions ont secoué Doha peu avant 15 heures. D’épaisses colonnes de fumée se sont élevées dans le ciel. Les Forces de défense israéliennes ont confirmé qu’il s’agissait d’une frappe aérienne ciblant des membres de haut rang du Hamas.

Le Hamas a affirmé dans un communiqué que six personnes avaient été tuées, parmi lesquelles le fils de son négociateur en chef Khalil al-Hayya, le chef de son bureau, trois gardes du corps et un membre des forces de sécurité qataries. « Mais l’ennemi n’a pas réussi à atteindre les membres de la délégation chargée des négociations », a précisé le mouvement, ajoutant que la direction politique avait échappé à une tentative d’assassinat.

Selon un dirigeant du Hamas interrogé par Al Jazeera, la frappe a visé une réunion consacrée à une proposition de cessez-le-feu avancée par Donald Trump.

Inquiétudes

Le gouvernement qatari a condamné une « attaque lâche » et une « violation flagrante du droit international », affirmant que la sécurité des citoyens et résidents du Qatar avait été directement menacée.

Doha a aussi démenti avoir été averti par Washington avant l’opération : « L’appel d’un responsable américain a eu lieu alors que les explosions étaient entendues à Doha », a précisé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Majed Al-Ansari.

Les monarchies voisines ont affiché leur solidarité. L’Arabie saoudite a dénoncé un « acte criminel », tandis qu’Abou Dhabi a parlé d’une « attaque traîtresse », malgré sa normalisation avec Israël. Ces réactions traduisent l’inquiétude partagée de voir la guerre s’étendre au cœur des monarchies du Golfe.

L’entité sioniste franchit une nouvelle étape

Depuis le 7 octobre 2023, le Qatar joue un rôle central de médiateur, à la demande de Washington, entre Israël et le Hamas, permettant deux cessez-le-feu temporaires assortis de libérations d’otages israéliens. Doha, riche émirat gazier, est à la fois allié stratégique des États-Unis et proche de mouvements islamistes, dont le Hamas, qu’il accueille en exil depuis de longues années.

Israël critique régulièrement ce double rôle et, avec cette frappe, franchit une étape : il étend désormais ses opérations au territoire d’un pays qui n’est pas un adversaire déclaré mais un intermédiaire. Pour le Qatar comme pour ses voisins, le message est clair : leur proximité avec les États-Unis ne les met pas à l’abri des répercussions directes du conflit.

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Le Hamas affirme que sa direction a échappé à une tentative d’assassinat à Doha

Un dirigeant du Hamas a déclaré à Al Jazeera que le comité de direction du mouvement, présidé par Khalil al-Hayya, a échappé à une tentative d’assassinat menée par Israël.

Ce mardi, Israël a frappé le groupe de négociateurs du Hamas alors qu’il se réunissait à Doha pour discuter de la proposition de cessez-le-feu du président américain Donald Trump concernant la bande de Gaza.

Le gouvernement qatari a fermement condamné cette attaque. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a qualifié l’opération d’« attaque lâche » visant des résidences de membres du bureau politique du Hamas à Doha.

Le communiqué souligne que cette agression constitue une « violation de toutes les lois internationales et une menace grave pour la sécurité des citoyens et résidents du Qatar ». Le Qatar a averti qu’il « ne tolérera pas ce comportement israélien imprudent » ni « aucune action visant la sécurité et la souveraineté du pays ».

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