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Entrée au Louvre : Une hausse polémique...

Le Louvre appliquera dès janvier 2026 une hausse de 45% sur le billet d'entrée des visiteurs hors EEE, porté à 32 euros.

© Mosaique FM

Louvre : le billet pour les visiteurs hors Europe augmente de 45%

Une Suissesse escroquée par un faux Brad Pitt

Une retraitée suisse a été escroquée de près de 100.000 francs suisses après avoir cru entretenir une relation amoureuse avec Brad Pitt.

© Mosaique FM

Une Suissesse escroquée par un faux Brad Pitt

Le Pacte de la Méditerranée, un nouvel accord pour relancer le partenariat

Trente ans après la signature de la Déclaration de Barcelone, l’Union européenne et ses partenaires méditerranéens, dont la Tunisie, célèbrent, vendredi 28 novembre à Barcelone, un anniversaire historique qui coïncide avec l’adoption et le lancement officiel d’un nouveau Pacte pour la Méditerranée, visant à revitaliser une coopération euro-méditerranéenne confrontée à des défis sans précédent.

Le Pacte pour la Méditerranée a été présenté le 16 octobre 2025 par la Commission européenne et la haute représentante de l’UE. Ce pacte confirme que la région méditerranéenne constitue une priorité stratégique pour l’Europe et établit un cadre de coopération articulé autour de trois piliers thématiques : les personnes comme vecteur de changements et d’innovation, le renforcement de l’intégration économique, et la sécurité associée à la gestion des migrations, rapporte l’agence TAP.

« Une mer, un pacte, un avenir », c’est la vision portée par ce nouveau cadre qui ambitionne de créer un espace méditerranéen commun, renforçant les liens entre l’UE et dix pays du sud de la Méditerranée, dont la Tunisie.

Le Pacte pour la Méditerranée reflète cette ambition stratégique. « Nous souhaitons consolider cette relation et parvenir à une intégration plus poussée au sein de l’espace méditerranéen commun », a indiqué, jeudi, le Directeur général du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord et du Golfe au sein de la Commission européenne Stefano Sannino.

Le Pacte pour la Méditerranée est un Pacte pour l’Intégration, a-t-il insisté. Son objectif est d’opérer un changement de paradigme, nécessaire pour réaliser pleinement le potentiel de notre partenariat et travailler ensemble sur la base des principes de copropriété, de cocréation et de responsabilité partagée.

Pour sa part, la Commissaire européenne pour la Méditerranée, Dubravca Suica, a déclaré que ce nouveau Pacte repose sur un nouveau partenariat d’égal à égal et de coresponsabilité (…), il s’appuie sur nos liens historiques et culturels et vise à se concentrer sur les domaines stratégiques d’intérêt commun, où nous partageons défis et aspirations.

La Tunisie tirera pleinement profit des dispositions de ce nouveau Pacte, a-t-elle ajouté. Il est de nature à accroître l’attractivité de la Tunisie auprès des investisseurs étrangers, en particulier dans les secteurs verts et technologiques, tout en favorisant la progression des exportations tunisiennes grâce à l’allègement de certaines entraves commerciales, ouvrant ainsi l’accès à de nouvelles opportunités sur le marché européen, a-t-elle relevé dans une déclaration à l’agence TAP.

La Tunisie, partenaire clé du processus euro-méditerranéen

Pour la Tunisie, l’année 2025 revêt une double signification historique. Outre le trentième anniversaire de la Déclaration de Barcelone, le pays célèbre également trois décennies d’Accord d’association avec l’Union européenne, signé en 1995. Ce partenariat privilégié fait de la Tunisie un acteur majeur de la coopération euro-méditerranéenne.

Le partenariat entre la Tunisie et l’Union européenne a connu une évolution constante et un approfondissement progressif au cours des trente dernières années, s’articulant autour d’objectifs communs stratégiques : le développement durable, la solidarité et l’ambition d’une prospérité partagée entre les deux rives de la Méditerranée.

La solidité de cette relation bilatérale se traduit par des indicateurs économiques éloquents. L’Union européenne s’est imposée comme le partenaire commercial incontournable de la Tunisie, absorbant 70 % de ses exportations.

Sur le plan des investissements, la présence européenne est encore plus marquée : l’UE représente le premier investisseur étranger en Tunisie, avec une part de 88 % du nombre total d’investissements directs étrangers (IDE) implantés dans le pays.

L’impact sur l’emploi est tout aussi significatif : les entreprises européennes génèrent à elles seules 90 % des emplois créés par l’ensemble des IDE en Tunisie, confirmant ainsi le rôle central de ce partenariat dans le développement socio-économique de la Tunisie.

Ces données illustrent la profondeur et l’interdépendance croissante entre les économies tunisienne et européenne, faisant de ce partenariat trentenaire bien plus qu’un simple accord commercial, mais une véritable intégration économique régionale.

Depuis 2023, l’UE a mobilisé plus de 600 millions d’euros de subventions pour la Tunisie, générant environ 5 milliards d’euros d’investissements globaux.

L’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Giuseppe Perrone, a souligné, la semaine dernière, lors de sa rencontre avec le président du patronat tunisien,  la volonté de soutenir une véritable « intégration » des entreprises tunisiennes dans le système européen, plaçant le commerce, l’énergie et la jeunesse au cœur des priorités bilatérales.

Il a exprimé l’ouverture de l’UE à une refonte du cadre de coopération, tout en insistant sur un dialogue permanent pour construire un partenariat modernisé et mutuellement bénéfique.

En octobre 2025, la Banque européenne d’investissement (BEI) a, pour sa part, concrétisé son engagement aux côtés de la Tunisie en renforçant le partenariat énergétique avec un appui de 12 millions d’euros accordé à la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), illustrant la dimension tangible de cette coopération.

Cette contribution s’inscrit dans le cadre du soutien européen à la transition énergétique de la Tunisie et vise à moderniser les infrastructures énergétiques du pays, tout en renforçant la sécurité d’approvisionnement et la durabilité du secteur.

L’Union européenne a également fait état de projets concrets touchant plusieurs secteurs, en particulier la santé, l’éducation, l’emploi, la transition numérique, l’énergie et les infrastructures.

Parmi ces initiatives, figurent un soutien financier de 123 millions d’euros, soit l’équivalent de 416 millions de dinars alloués par la BEI à la réalisation du nouveau pont de Bizerte et à plusieurs projets conjoints dans le domaine de l’énergie.

À l’aube de ce nouveau cycle de coopération euro-méditerranéenne, qu’est le Pacte pour la Méditerranée, la Tunisie se trouve ainsi au cœur d’un partenariat appelé à se réinventer face aux mutations économiques, climatiques et géopolitiques.

Le défi majeur consistera, désormais, à traduire les engagements de ce Pacte en actions concrètes, mesurables et durables, à même d’améliorer tangiblement le quotidien des citoyens des deux rives et de faire de la Méditerranée non plus une frontière de tensions, mais un véritable espace de prospérité partagée.

Avec TAP

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Le chef du Groupe d’amitié Chine-Afrique reçu aux Affaires étrangères

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, jeudi 27 novembre, le vice-président du Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois et chef du Groupe d’amitié Chine-Afrique, Mu Hong, qui effectue une visite de travail en Tunisie, du 26 au 28 novembre 2025.

Lors de cette rencontre, le ministre s’est félicité des liens d’amitié et du partenariat historique unissant la Tunisie et la Chine, mettant en avant la nouvelle dynamique que connaissent récemment ces relations, notamment à la suite de la visite d’État effectuée, le 31 mai 2024, par le président de la République en Chine, une visite couronnée par l’établissement d’un partenariat stratégique entre les deux pays, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

 Il a souligné, dans ce contexte, l’importance de poursuivre la mise en œuvre des piliers de ce partenariat, en particulier concernant les projets de développement servant les intérêts communs des deux peuples, tunisien et chinois amis, dans divers secteurs clés.

Nafti a mis l’accent, à cette occasion, sur le rôle de la Chine dans le développement de la coopération sino-arabe et sino-africaine, estimant qu’il s’agit de plateformes de dialogue auxquelles la Tunisie participe activement.

De son côté, le responsable chinois a souligné que sa visite s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des les accords conclus  entre les dirigeants des deux pays, faisant part de la volonté de la Chine de consolider davantage les relations d’amitié, de coopération et de partenariat privilégié qui unissent les deux pays.

Il a, en outre, exprimé la disposition de son pays à œuvrer pour renforcer les liens de coopération avec la Tunisie, notamment en contribuant à la mise en œuvre de projets de développement prioritaires en Tunisie.

Le Comité national de la CCPPC est l’organe consultatif politique suprême de la Chine, chargé de la consultation politique, du contrôle démocratique et de l’orientation des différents partis, organisations et personnalités participant au Comité en matière de participation et de débat sur les affaires politiques publiques en Chine.

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Budget de l’UE en 2026 : priorité à la compétitivité, à la recherche et à la sécurité

Le budget de l’UE pour l’année 2026 est entré en vigueur après avoir été signé par la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola. Il s’élève à 192,8 milliards d’euros d’engagements, dont 190,1 milliards d’euros de paiements.

Le Parlement a obtenu un soutien accru pour la recherche, les infrastructures transfrontalières et la gestion des frontières, l’action climatique et la politique étrangère.

Dans le cadre d’un accord conclu avec les États membres le samedi 15 novembre, le Parlement a reçu 372,7 millions d’euros supplémentaires pour ses priorités. Et ce, en sus du montant initialement proposé par la Commission dans son projet de budget.

Le Parlement s’est concentré sur l’augmentation des financements alloués aux programmes et politiques visant à améliorer la vie des citoyens, à renforcer la compétitivité et à relever les défis en matière de défense.

Financement supplémentaire pour d’importants programmes de l’UE

Afin de renforcer la compétitivité et d’améliorer les infrastructures transfrontalières, les députés européens ont augmenté le financement d’Horizon Europe de 20 millions d’euros et celui des réseaux de transport et d’énergie de 23,5 millions d’euros. Le Parlement a également obtenu 10 millions d’euros supplémentaires pour le mécanisme de protection civile et rescEU (une réserve stratégique de l’Union européenne qui renforce les capacités de réponse aux catastrophes…) afin d’améliorer la coordination et la réponse aux catastrophes. La mobilité militaire, élément essentiel de la préparation de la défense de l’UE, bénéficiera de 10 millions d’euros supplémentaires.

 

Lire aussi : Le programme « Horizon Europe » a accordé à la Tunisie des financements d’une valeur de 12 millions d’euros pour la réalisation des projets de recherche et d’innovation (responsable)

 

Enfin, les députés ont veillé à ce que la gestion des frontières soit renforcée par un financement supplémentaire de 10 millions d’euros.

L’instrument financier de l’UE pour l’environnement et l’action climatique, le programme LIFE, recevra un financement supplémentaire de 10 millions d’euros. Tandis que les programmes EU4Health et Erasmus+ bénéficieront chacun d’un financement supplémentaire de 3 millions d’euros.

Le Parlement a plaidé pour une enveloppe supplémentaire de 35 millions d’euros pour le voisinage méridional de l’UE et une augmentation de 25 millions d’euros pour le voisinage oriental. Il a également obtenu une hausse de 35 millions d’euros de l’aide humanitaire afin de faire face à l’instabilité géopolitique croissante, à l’accélération des crises humanitaires mondiales et aux urgences liées au changement climatique.

En outre, pour créer de nouvelles opportunités, notamment pour les jeunes agriculteurs, le financement des mesures de promotion des produits agricoles européens au titre du Fonds européen de garantie agricole a été augmenté de 105 millions d’euros, conformément à la position initiale du Parlement.

Coûts de retour sur investissement du plan de relance NextGenerationEU

Par ailleurs, l’UE est confrontée à une hausse inattendue des coûts d’emprunt du programme NextGenerationEU, qui devrait atteindre 4,2 milliards d’euros en 2026. Soit le double du montant initialement prévu par la Commission. Cependant, les députés européens ont veillé à ce que ces coûts supplémentaires n’entraînent pas de coupes budgétaires dans des programmes clés tels qu’Erasmus+ ou EU4Health.

Ainsi, conformément aux accords précédents, ces coûts additionnels seront couverts par le mécanisme de financement de remplacement, qui vise à maîtriser l’augmentation des coûts de remboursement de NextGenerationEU tout en préservant les programmes phares.

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Trump exclut l’Afrique du Sud du sommet du G20 en 2026

Le président américain Donald Trump a annoncé, mercredi 26 novembre, que l’Afrique du Sud ne serait pas invitée au sommet du G20 de 2026 à Miami, en Floride. Il intensifie ainsi son offensive diplomatique contre le pays, après le boycott par Washington de la réunion des dirigeants du G20 à Johannesburg le 22 novembre.

« L’Afrique du Sud a montré au monde qu’elle n’est pas un pays digne d’appartenir à quoi que ce soit », a écrit Trump sur son réseau Truth Social. Tout en réitérant ses accusations de persécution présumée contre les fermiers blancs du pays. La tension est encore montée d’un cran lorsque le chef d’État sud-africain, Cyril Ramaphosa, a refusé de transmettre formellement la présidence tournante du G20 aux États-Unis, comme le veut pourtant l’usage diplomatique.

Un G20 sous l’ombre des polémiques

Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump multiplie les attaques contre Pretoria. Ainsi, en mai dernier, lors d’une rencontre à Washington, il avait tendu une « embuscade » à Cyril Ramaphosa en lui montrant une vidéo truffée d’erreurs censée étayer ses accusations de « génocide » contre les Afrikaners – les descendants des premiers colons européens.

En tout état de cause, la situation des fermiers blancs est un sujet brûlant en Afrique du Sud. Chaque année, plusieurs attaques meurtrières menées contre ces derniers sont recensées. Et ce, dans un contexte politique tendu, 35 ans après la fin de l’apartheid.

En outre, l’administration Trump dénonce une loi promulguée en janvier par Cyril Ramaphosa, qui prévoit selon celui-ci d’« exproprier des terres dans l’intérêt public pour diverses raisons visant, entre autres, à promouvoir l’inclusivité et l’accès aux ressources naturelles ». S’ils ne sont pas nommés, ce sont les exploitants agricoles blancs qui sont visés par cette réforme, selon les détracteurs du président sud-africain.

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Le vieillissement de la population, une « bombe à retardement » pour la croissance du PIB, selon la BERD

Les pays doivent agir dès maintenant pour éviter que le ralentissement de la croissance démographique ne compromette gravement les perspectives économiques à long terme, a déclaré la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) dans son rapport bisannuel publié mardi 25 novembre.

Le rapport indique que le vieillissement de la population a déjà commencé à freiner la croissance économique dans certains pays et qu’en Europe émergente, la baisse de la proportion de personnes en âge de travailler devrait réduire la croissance annuelle du PIB par habitant d’environ 0,4 point de pourcentage par an en moyenne entre 2024 et 2050.

« Aujourd’hui déjà, la composition démographique érode la croissance du niveau de vie et constituera un obstacle à la croissance du PIB à l’avenir », a déclaré à Reuters Beata Javorczyk, économiste en chef de la BERD.

Selon lui, les nations post-communistes « vieillissent avant de s’enrichir », l’âge moyen atteignant 37 ans, alors que le PIB moyen par habitant est de 10 000 dollars.

Cela représentait un quart du montant enregistré lorsque l’âge médian a atteint ce niveau dans les économies avancées dans les années 1990.

Le rapport a mis en lumière toute une série de facteurs expliquant la baisse du taux de natalité, allant des changements de normes sociales à la réduction des revenus professionnels des femmes après la naissance d’un enfant.

Mais si la quasi-totalité des pays membres de la BERD bénéficient d’incitations, au moins partielles, à augmenter leur taux de natalité, Jaworczyk a déclaré que ces mesures n’ont entraîné aucun changement substantiel et durable dans aucun pays.

L’immigration au niveau nécessaire pour endiguer la baisse des taux de natalité n’est pas politiquement acceptable dans la plupart des endroits, indique le rapport, et la plupart des citoyens sont « ambivalents » quant à l’augmentation de l’utilisation de l’intelligence artificielle pour améliorer la productivité.

Le principal facteur, selon Jaworczyk, est l’allongement de la durée de travail, ce qui nécessiterait également une reconversion professionnelle et, potentiellement, des modifications des systèmes de retraite.

« Ce dont nous avons besoin, c’est d’une conversation franche avec les électeurs sur la situation actuelle, car on a tendance à sous-estimer l’importance des tendances démographiques », a-t-il déclaré, ajoutant : « Nous devons informer – en particulier – les jeunes électeurs, car ce sont eux qui supporteront le poids des systèmes de retraite par répartition. »

Mais le rapport constate que le vieillissement de la population – et de ses dirigeants – complique la situation, car ils préconisent le plafonnement des pensions et la restriction de l’immigration.

Dans l’économie mondiale moyenne, le dirigeant a aujourd’hui 60 ans, soit 19 ans de plus que la moyenne d’âge. Cet écart s’est creusé dans les régimes autoritaires, atteignant 26 ans en 2023, contre 19 ans en 1960.

Les nouveaux États membres de la BERD, notamment les pays émergents et en développement comme le Nigéria, devraient se concentrer sur la stimulation de la création d’emplois et l’expansion du secteur privé, car le temps presse, comme l’a suggéré Jaworczyk.

« Ce “bonus” démographique dont ils peuvent bénéficier est éphémère », a-t-il conclu, évoquant la baisse des taux de natalité dans d’autres régions d’Afrique. « Par conséquent, il n’existe qu’une seule fenêtre d’opportunité, et ces pays doivent la saisir. ».

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BlackRock veut augmenter ses investissements au Moyen-Orient

BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, cherche à accélérer son expansion en matière d’investissements en Arabie saoudite et au Moyen-Orient dans les années à venir, face aux opportunités croissantes notamment dans les infrastructures et l’intelligence artificielle.

Le responsable de la division de conseil financier de BlackRock au Moyen-Orient a déclaré, mercredi 26 novembre, que la société avait jusqu’à présent investi plus de 35 milliards de dollars en Arabie saoudite dans des actions, des titres à revenu fixe et des projets d’infrastructure.

Il a ajouté que la société compte actuellement quatre équipes d’investissement à Riyad travaillant sur des stratégies couvrant les marchés du Moyen-Orient.

Un doublement, voire un triplement, du volume des investissements en Arabie saoudite au cours de la période à venir constitue une estimation réaliste.

BlackRock estime que les plus grandes opportunités se concentrent dans le secteur des infrastructures, car le Royaume continue d’étendre ses projets de développement de l’économie non pétrolière, notamment le métro de Riyad, la construction de l’un des plus grands aéroports du monde et l’accélération de la création de centres de données grâce à la nouvelle société d’intelligence artificielle, ‘Human’.

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La Russie va sévir contre l’économie souterraine

L’élimination des transactions non déclarées est un objectif clé du gouvernement pour 2026, selon le ministre des Finances, Anton Silouanov.

Le gouvernement russe s’apprête à introduire de nouvelles mesures pour lutter contre l’économie souterraine, annonce le ministre des Finances, Anton Silouanov.

Ces mesures comprendront notamment la répression des transactions en espèces non déclarées et des contribuables qui ne cotisent pas au Fonds national de santé ou à d’autres fonds sociaux, a-t-il souligné.

« Le gouvernement russe prend actuellement des mesures pour réduire le niveau du secteur informel », a déclaré Silouanov devant la Commission du budget et des marchés financiers du Conseil de la Fédération.

Récemment, Silouanov a identifié la transparence des transactions financières comme un axe central pour 2026. Parmi les priorités figure la transformation du minage de cryptomonnaies en un secteur clair et transparent grâce à la formalisation des opérateurs, la mise en place d’un registre des mineurs et l’établissement de règles fiscales pour le secteur.

S’exprimant lors d’une réunion du collège du Service fédéral des impôts, le ministre a également plaidé pour une réduction de l’utilisation des espèces, un contrôle plus strict des transactions enregistrées en caisse et une surveillance accrue des propriétaires de locaux commerciaux.

Il a par ailleurs insisté sur la nécessité d’un contrôle douanier renforcé des importations en provenance des pays de la CEI afin de garantir une taxation adéquate et de lutter contre les importantes zones grises du commerce.

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Drame à Hongkong : Un incendie ravage un complexe résidentiel, au moins 36 morts et 279 disparus

Un vaste incendie a frappé mercredi soir un ensemble d’habitations à Tai Po, au nord de Hongkong, provoquant la mort d’au moins 36 personnes selon les autorités locales. Les secours, dépassés par l’ampleur des flammes, ne parviennent toujours pas à atteindre certaines tours où des habitants seraient encore piégés. Plus de 279 personnes restent introuvables alors que le sinistre continue de se propager.

Déroulé des événements

Le chef de l’exécutif hongkongais, John Lee, a annoncé ce bilan provisoire au cours d’une conférence tenue dans la nuit, précisant que 29 personnes ont été hospitalisées, dont sept dans un état critique. Le feu s’est déclaré dans le complexe résidentiel Wang Fuk Court, composé de sept tours, dont au moins cinq enveloppées par une épaisse fumée noire visible à grande distance.

Des témoins évoquent des grondements violents attribués à l’effondrement et à la combustion d’échafaudages en bambou qui entouraient les bâtiments. Les flammes, projetées à plusieurs dizaines de mètres, ont assombri le ciel et rendu l’intervention des pompiers extrêmement périlleuse. Les causes du sinistre n’ont pour l’instant pas été précisées.

Real hell in Hong Kong: fire engulfs massive high-rises

Several residential blocks housing thousands of people are burning at once, trapping residents in a blazing inferno. The fire is spreading extremely fast.

At least four deaths have been reported so far, including a… pic.twitter.com/Jpp3rBaRLq

— NEXTA (@nexta_tv) November 26, 2025

Mesures d’urgence

Face à la gravité de la situation, le feu a été classé en niveau 5, le plus élevé dans la hiérarchie d’alerte, impliquant une mobilisation renforcée des équipes de secours. Le président chinois Xi Jinping a exprimé ses condoléances et appelé à déployer tous les moyens possibles pour limiter le nombre de victimes.

Sur le terrain, la police indique ne pas être en mesure de confirmer si des habitants se trouvent encore coincés à l’intérieur, soulignant que les pompiers ne peuvent pas pénétrer dans les tours en feu.

A la tombée de la nuit, l’incendie restait hors de contrôle, ses reflets orangés illuminant sinistrement le quartier. Des évacuations préventives ont été lancées dans des résidences voisines, et une portion d’autoroute proche a été fermée à la circulation. Les autorités recommandent aux riverains de rester confinés, de sceller fenêtres et portes, et d’éviter la zone.

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Le shutdown a creusé le déficit américain en octobre

Le gouvernement américain a fait état, mardi 25 novembre, d’un déficit de plus 284 milliards de dollars pour le mois d’octobre, dans un rapport retardé et affecté par la récente fermeture des services fédéraux, le shutdown.

Les résultats budgétaires du premier mois de l’exercice 2026 ont été retardés par la fermeture de 43 jours de nombreuses agences fédérales américaines, ce qui a entraîné des retards dans certains paiements, notamment pour les salaires des employés du gouvernement, a déclaré un responsable du Trésor.

Le déficit du mois d’octobre a augmenté de 27 milliards de dollars, soit 10 % de plus que le déficit de 257 milliards de dollars enregistré en octobre 2024, principalement en raison du report d’environ 105 milliards de dollars de dépenses de prestations de novembre pour certains programmes militaires et de santé…

 

Lire aussi: La paralysie budgétaire (shutdown) aux États-Unis : 750 000 employés en congé obligatoire

 

Les dépenses d’octobre, y compris les prestations de novembre, se sont élevées à 689 milliards de dollars, soit une hausse de 18 % par rapport aux 584 milliards de dollars d’octobre 2024. Un responsable du Trésor a déclaré que le ministère ne disposait pas d’une estimation précise de la réduction des dépenses due aux paiements reportés en raison de la fermeture des services gouvernementaux, mais qu’il estimait que cette réduction serait inférieure à 5 % des dépenses totales.

À noter que la loi fédérale exige le paiement intégral des salaires impayés et autres obligations dues pendant la période de recouvrement des arriérés de paiement auprès du gouvernement dès le rétablissement du financement.

Les recettes d’octobre ont totalisé 404 milliards de dollars, un montant record pour ce mois et une augmentation de 24 % par rapport aux 327 milliards de dollars collectés en octobre 2024.

« La décision de la Cour suprême des États-Unis sur cette question urgente et qui doit être rendue sans délai nous permettra de continuer à RENDRE SA GRANDEUR À L’AMÉRIQUE ! », a écrit Trump.

 

Lire également : États-Unis : Trump promulgue la loi sur la fin du shutdown 

 

Par ailleurs, le Bureau du budget du Congrès a dernièrement déclaré que les récentes réductions tarifaires résultant des accords commerciaux américains avec les économies partenaires ont conduit l’agence à réduire de 25 % son estimation de la réduction des déficits budgétaires américains au cours de la prochaine décennie grâce aux droits de douane de Trump, pour atteindre 3 000 milliards de dollars, intérêts compris, contre 4 000 milliards de dollars prévus en août.

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La fuite qui inquiète Kiev : une note russe au cœur du futur plan américain

Une fuite publiée mardi par Bloomberg révèle l’existence d’un document que deux conseillers proches de Vladimir Poutine auraient préparé pour influencer le futur plan américain sur la guerre en Ukraine. L’affaire concerne une conversation téléphonique du 29 octobre 2025, dont le média affirme avoir écouté l’enregistrement, impliquant Yuri Ushakov, principal conseiller diplomatique de Poutine, et Kirill Dmitriev, conseiller économique du Kremlin.
Kiev exprime déjà son inquiétude, tandis que Moscou parle d’une “fuite manipulée”.

Un “document” russe destiné à l’équipe Trump

Selon Bloomberg, Ushakov et Dmitriev discutent d’une note rédigée depuis la position russe, que Dmitriev affirme vouloir transmettre “informellement” à l’entourage de Donald Trump, tout en la présentant comme une suggestion “non coordonnée” avec Moscou.

Dmitriev : « On fera un document selon notre position et je le transmettrai de manière informelle, en précisant que tout est informel. Ils feront ensuite comme si c’était leur propre document. »

Toujours selon la transcription, Ushakov craint que l’équipe américaine puisse affirmer par la suite que le texte a été “validé” avec Moscou, ce qui rend la conversation politiquement sensible.

Un canal officieux déjà évoqué dans une première fuite

Cette nouvelle fuite survient après la publication, lundi, d’une autre conversation entre Ushakov et Steve Witkoff, homme d’affaires proche de Donald Trump et présenté comme envoyé officieux dans les discussions exploratoires sur un futur plan de paix.

Dans cet appel, dévoilé également par Bloomberg et repris par Associated Press et Reuters, Witkoff évoquait des pistes de compromis territoriaux, ce qui avait suscité des réactions prudentes à Washington et en Europe.

Les réactions

Les autorités ukrainiennes observent ces révélations avec inquiétude, craignant que les futures discussions américaines sur la guerre soient influencées par des propositions russes non publiques, alors que les combats continuent près de Kharkiv, du Donbass et du sud du pays.

Pour Kiev, l’existence même de ces échanges suggère que le Kremlin cherche à peser en amont sur les orientations diplomatiques de la nouvelle administration américaine, à quelques mois de son entrée en fonction.

Kirill Dmitriev a nié mardi via un message sur les réseaux sociaux que la conversation reflète une tentative d’influencer Washington, qualifiant le rapport de Bloomberg de “faux”.
Le Kremlin, de son côté, n’a pas démenti l’existence des appels mais a dénoncé une fuite “visant à perturber les contacts internationaux”.

Reuters rapporte qu’Ushakov a simplement déclaré qu’il “restera en contact avec Witkoff” pour clarifier la situation.

Aux États-Unis, plusieurs médias notent que l’équipe Trump n’a pas encore officiellement réagi.
Des responsables européens — selon des sources diplomatiques citées par Le Monde et the Guardian — craignent qu’un futur plan américain puisse intégrer des “éléments issus d’une matrice russe”, même indirectement.

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