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« Métiers vivants, patrimoine durable » : exposition à Dar El Bey pour valoriser les artisans de la médina de Sousse

La médina de Sousse vient d’accueillir la cérémonie de clôture de la première phase du projet d’intégration des stratégies de conservation, du tourisme et des moyens de subsistance locaux sur les sites du patrimoine mondial, dans le cadre du programme de l’UNESCO “Gestion des sites du patrimoine mondial post-Covid-19”. Financé par le Fonds japonais de développement et mis en œuvre depuis 2023 par l’Institut National du Patrimoine (INP), en partenariat avec le Bureau régional de l’UNESCO pour le Maghreb et plusieurs institutions tunisiennes, ce projet vise à renforcer les métiers d’art comme levier essentiel de revitalisation économique, culturelle et patrimoniale de la médina de Sousse, classée patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1988. Une exposition dédiée aux artisans, à leurs créations et aux résultats de cette première phase se tient à Dar El Bey du 24 novembre au 24 décembre 2025.

A cette occasion, le directeur général de l’INP et l’ambassadeur du Japon en Tunisie ont présidé la cérémonie de clôture dans la médina de Sousse, en présence notamment des représentants du Bureau régional de l’UNESCO pour le Maghreb, du secrétaire général chargé de la gestion de la municipalité de Sousse, de la directrice générale de l’Office national de l’artisanat, ainsi que de nombreux cadres de l’INP, des institutions partenaires et de représentants de la société civile.

L’INP, à travers la division de la Sauvegarde des Monuments et Sites et l’Inspection régionale du Sahel, a commencé à mettre en œuvre ce projet en 2023. L’objectif est d’intégrer les stratégies de préservation, de promotion touristique et de développement des moyens de subsistance locaux dans la gestion de la médina de Sousse avec l’ambition de contribuer à la préservation du caractère vivant de la médina, en soutenant des activités artisanales et en ouvrant de nouvelles perspectives économiques pour les communautés locales.

L’idée du projet repose sur une approche intégrée qui dépasse la simple restauration physique du tissu historique, favorisant la durabilité des pratiques culturelles et économiques qui animent la médina. En renforçant les compétences des artisans participants, le projet valorise leurs savoir-faire, stimule leur créativité tout en maintenant des activités en harmonie avec le caractère patrimonial du site.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la dynamisation de la médina de Sousse, témoignage exceptionnel de l’urbanisme arabo-musulman en Méditerranée. Cependant, la valeur patrimoniale de la médina ne réside pas seulement dans la monumentalité de ses édifices, mais également dans la vitalité de ses activités, où l’artisanat, mêlant traditions ancestrales et innovations modernes, constitue un moteur social et économique.

Dans le contexte de cette clôture, une exposition artistique “Métiers vivants, patrimoine durable” inaugurée au centre culturel de Dar El Bey, a offert l’occasion de rencontrer les artisans participants et de découvrir les résultats de la première phase, mettant en lumière leurs créations dans des domaines variés tels que les bijoux, le cuir, la résine, le design, l’artisanat lapidaire, la céramique, la tapisserie, le moulage, le macramé, l’artisanat de poupées…une exposition qui a donné à admirer des œuvres, où chaque pièce est un témoignage vivant d’un lieu qui respire, qui inspire et qui vit, invitant le visiteur à re/découvrir cette médina autrement.

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Sousse | Démantèlement d’un réseau de trafic de drogue à Sahloul

Les unités du District de sécurité de la ville de Sousse ont démantelé un réseau de trafic de drogue dans la région de Sahoul. Le coup de filet a été effectué au terme d’une opération de surveillance des membres du réseau.

Selon une source sécuritaire citée par Mosaïque FM, l’opération a permis la saisie de plus de 20 kg de résine de cannabis (zatla) et l’arrestation de deux individus clés, qui ont été placés en détention pour possession et trafic de stupéfiants.

D’autres personnes impliquées dans l’opération sont activement recherchées.

I. B.

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Sousse: Démantèlement d’un réseau de trafic de drogues

Sousse: Démantèlement d’un réseau de trafic de drogues

Les unités du poste de la sécurité nationale de Sousse Ville ont réussi, dimanche 23 novembre 2025, à démanteler un réseau spécialisé dans le trafic de drogues opérant dans la région de Sahloul. Selon une source sécuritaire, cette opération a conduit à la saisie de plus de 20 kg de cannabis et à l’arrestation de […]

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Sousse : L’artisanat reprend vie au cœur du patrimoine post-Covid-19

Dans le cadre de la mise en œuvre, entamée en 2023 par l’Institut national du patrimoine (INP) à la médina de Sousse, du projet « Gestion des sites du patrimoine mondial post-Covid-19 : intégration des stratégies de conservation, du tourisme et des moyens de subsistance locaux sur les sites du patrimoine mondial »,  le Centre culturel Dar El Bey à la médina de Sousse accueille, du 24 novembre au 24 décembre 2025, une première exposition artistique intitulée « Métiers vivants, patrimoine durable ».

Installée dans un bâtiment du XIXème siècle (1840), cette exposition marque la fin de la première phase du projet, supervisé par le Bureau régional de l’UNESCO pour les Etats du Maghreb, en partenariat avec l’INP et l’Office national de l’artisanat, avec un financement du gouvernement japonais via le Fonds en dépôt UNESCO/japonais.

Selon l’INP, la première phase, désormais achevée, a consisté en des ateliers de formation théorique et pratique axés sur la création de nouveaux produits. Des travaux sont actuellement menés, ajoute la même source, en coordination entre le Bureau régional de l’UNESCO pour les pays du Maghreb et les différentes institutions concernées, afin de valoriser les résultats de cette phase à travers l’organisation d’une série d’expositions visant à faire connaître le projet et les artisans qui y participent avec l’ambition de renforcer le tissu artisanal de la médina de Sousse, classée depuis 1988 patrimoine mondial de l’UNESCO.

A rappeler qu’un appel à candidature avait été lancé en janvier 2025 par l’UNESCO pour soutenir, au terme d’une sélection, douze artisans locaux de la médina de Sousse, en les accompagnant dans la création d’œuvres innovantes intégrant plusieurs métiers d’artisanat. : l’artisanat de l’argile et de la pierre, la fabrication de produits décoratifs, de jouets et de poupées traditionnels, la peinture et la décoration sur différents supports, la fabrication de produits en cire, d’instruments de musique traditionnels et d’objets décoratifs, le travail du bois, la confection d’articles en argent, l’artisanat du métal et du cuir, la réalisation d’objets en fibres végétales, la confection de la chéchia, de costumes traditionnels, la dentelle manuelle (dentelle, crochet, macramé, tricot…), la broderie, le tissage à la main et les métiers liés au textile.

Lancé par le Centre du patrimoine mondial et les bureaux locaux de l’UNESCO dans quatre pays (Tunisie, Cap-Vert, Vietnam, Honduras), le projet « Gestion des sites du patrimoine mondial post-Covid-19 » porte un intérêt pour quatre sites pilotes : la médina de Sousse en Tunisie, le site Maya de Copán au Honduras, le Centre historique de Ribeira Grande au Cap-Vert et le complexe paysager de Tràng An au Vietnam. L’objectif est de proposer des stratégies et des méthodologies reproductibles pour intégrer la préservation du patrimoine, améliorer les moyens de subsistance et créer un partenariat authentique entre les autorités de gestion des sites et les communautés locales.

Les résultats attendus du projet portent également sur une présence numérique renforcée pour promouvoir des offres touristiques durables et d’origine locale, conformément au Document d’orientation pour l’intégration d’une perspective de développement durable dans les processus de la Convention du patrimoine mondial (2015).

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Sousse : un grave accident de bus fait deux victimes et 30 blessés, dont plusieurs graves

Sousse : un grave accident de bus fait deux victimes et 30 blessés, dont plusieurs graves

Un grave accident de la route est survenu dans la soirée du lundi 17 novembre sur la route nationale n°12, au niveau de la délégation de Msaken dans le gouvernorat de Sousse. Le drame a coûté la vie à deux personnes sur place et fait plus de trente blessés, dont quinze se trouvent dans un […]

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Mehdi Ben Gharbia | Le CRLDHT dénonce un procès «extrajudiciaire et politique»

Dans une note intitulée «Mehdi Ben Gharbia répond à l’arbitraire par la faim» le Centre pour le respect des droits et des libertés en Tunisie (CRLDHT), Ong tunisienne basée en France, revient sur le cas de l’ancien ministre, homme politique et homme d’affaires, incarcéré à la prison de Messadine (Sousse) et poursuivi dans plusieurs affaires, qui est entré le 10 novembre 2025 dans une grève de la faim sauvage pour contester un mandat de dépôt émis subitement à son encontre dans une affaire de meurtre où il dément toute implication.  

Mehdi Ben Gharbia «s’apprêtait à purger totalement sa peine de quatre ans de prison ferme, ce qui devait conduire à sa libération imminente. Or, au moment où il se préparait à quitter la prison, un nouveau mandat de dépôt est tombé brusquement, sans aucun fondement logique, délivré par le juge d’instruction du deuxième bureau d’instruction du tribunal de première instance de Tunis, sous prétexte de l’exécution d’une instruction de la chambre d’accusation dans sa décision du 15 mai 2025», rapporte le CRLDHT.

L’Ong explique : «Cette décision de la chambre d’accusation suggérait la détention de 31 personnes — pour la plupart non nommées ni identifiées, simplement désignées comme titulaires de lignes téléphoniques, certaines étant même décédées. Et pourtant, dans cette affaire, l’auteur du crime a été arrêté et a reconnu les faits. Rien ne permet donc de croire logiquement à l’existence de complices dans des faits de meurtre, vol, détournement ou viol avec usage de violence.
Malgré cela, la chambre d’accusation a estimé que toutes les personnes figurant dans le réseau de contacts du meurtrier devaient être considérées comme complices.»

Et elle précise que «seuls Mehdi Ben Gharbia et deux autres suspects ont fait l’objet d’un mandat de dépôt (…) délivré sans audition, sans même notifier à l’intéressé les faits ou les charges retenues contre lui», voyant dans cette procédure «une violation manifeste des normes internes et internationales» du droit et «une décision extrajudiciaire et politique».

Tout en condamnant ce qu’il considère des «violations flagrantes des droits constitutionnellement garantis de Mehdi Ben Gharbia», le CRLDHT «exprime sa pleine solidarité avec Mehdi Ben Gharbia et tous les détenus en grève de la faim, tout en les invitant à suspendre ces grèves susceptibles de mettre leur vie en danger».

I. B.

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Gaica 2025 à Sousse | Pour une IA africaine souveraine  

Global AI Congress Africa (Gaica), qui se tiendra du 17 au 19 novembre 2025 à Sousse, Tunisie, les leaders africains et internationaux de l’intelligence artificielle (IA) se réuniront pour imaginer une IA inclusive, ambitieuse et tournée vers le monde.

Lors du Gaica 2025, le technopole Novation City se transformera en un hub panafricain d’innovations, d’expérimentations et de partenariats stratégiques. Chercheurs, entrepreneurs et décideurs se rassembleront pour bâtir une IA africaine souveraine et ouverte, capable de répondre aux priorités du continent tout en dialoguant avec le monde.

On attend 6000 participants, 200 startups, 130 experts internationaux et 134 intervenants, pour un événement qui s’impose déjà comme le plus grand rendez-vous africain dédié à l’IA : de la recherche à l’investissement, du code à l’impact.

Organisé par Novation City, en partenariat avec TPM Events, et avec le soutien de la Caisse des Dépôts et Consignations de Tunisie et de la GIZ, Gaica 2025 incarne une conviction forte : l’Afrique ne subit plus la révolution technologique, elle la conduit également.

Au cœur des grands défis technologiques

Le Gaica 2025 proposera une immersion complète dans l’IA appliquée aux enjeux du continent : santé, agriculture, finance, industrie, gouvernance et éducation.

Plus de 130 experts internationaux animeront keynotes, panels et masterclasses, pour relier la recherche, l’entreprise et la politique publique. Les échanges se déploieront dans trois halls thématiques complémentaires :

  Technology Hall, vitrine des géants de la tech et des innovations mondiales ;

  Startup Hall, espace dédié aux jeunes pousses africaines les plus prometteuses ;

 Business Hall, lieu de réseautage, de partenariats et de connexions investisseurs– entrepreneurs.

Un dispositif de «matchmaking B2B» reliera directement startups africaines et investisseurs mondiaux, créant des opportunités concrètes de financement et de collaboration.

En parallèle, ateliers, hackathons et formations contribueront à former la prochaine génération d’ingénieurs, d’innovateurs et de «data scientists» africains : les bâtisseurs du futur écosystème IA du continent.

Moteurs du changement, les startups africaines seront au cœur de la vision du Gaica. De la santé numérique à l’agriculture intelligente, en passant par la finance, la logistique ou les villes durables, elles symbolisent une Afrique qui conçoit ses propres solutions et s’impose comme un acteur technologique global. Elles viendront rencontrer investisseurs, chercheurs et décideurs publics pour tisser des alliances durables et accélérer leur passage à l’échelle.

Parce que l’IA reste avant tout une aventure humaine, Gaica 2025 donnera la parole à des figures africaines et internationales qui façonnent aujourd’hui la révolution technologique. Parmi elles Dr Islem Rekik (Tunisie / Royaume-Uni); Amnah Ajmal (Émirats arabes unis) ; Sam Khalil (Suisse) ; Dr Arsen Abdulali (Cameroun / Royaume-Uni) ; Samia Chelbi (Tunisie) ; Dr Chaima Ghribi Mechteri (Tunisie / France) et Dr Obadare Peter Adewale (Nigéria).

Ces voix, venues d’Afrique et d’ailleurs, incarnent une même ambition : faire de l’IA un levier de transformation, d’équité et de rayonnement pour le continent.

Le hackathon AI Camera Challenge

Parce qu’au Gaica, l’innovation se vit autant qu’elle se pense, les festivités débuteront dès les 15 et 16 novembre avec le Hackathon AI Camera Challenge 2025, organisé par Anavid et Novation City.

Pendant 24 heures, 100 étudiants en IA, data science et ingénierie relèveront des défis inspirés du réel (banque, services, tourisme) avec à la clé 10 000 dinars tunisiens de prix.

Les projets gagnants seront dévoilés lors de la cérémonie de clôture, symbolisant le passage de la formation à l’innovation concrète.

C’est ainsi que Gaica 2025 espère devenir un tremplin pour une Afrique qui crée, innove et s’affirme. Le continent dispose aujourd’hui de la maturité, des talents et de la vision nécessaires pour concevoir ses propres technologies et influencer les grandes orientations mondiales de l’IA.

D’après communiqué.

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Saisie de 400 kg de cannabis à Sousse : Huit mandats de dépôt

Le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Sousse 1 a ordonné, en fin de semaine dernière, la mise en détention de huit personnes impliquées dans une vaste affaire de trafic de drogue, après la saisie de 400 kilos de cannabis dans un port de la région de Sousse. L’enquête se poursuit pour identifier d’autres complices.

Selon des sources judiciaires, 25 personnes ont été auditionnées dans le cadre de cette affaire, mais seules huit ont fait l’objet de mandats de dépôt. Les charges retenues contre elles sont particulièrement lourdes : constitution d’une organisation criminelle transnationale, importation et trafic de stupéfiants, ainsi que blanchiment d’argent.

L’affaire remonte au 27 septembre 2025, date à laquelle les agents de la brigade centrale de lutte contre les stupéfiants de la Garde nationale à El Aouina avaient réussi à intercepter une cargaison de 400 kg de résine de cannabis, communément appelée zatla, dissimulée dans un port de Sousse.

Cette opération, menée sur la base de renseignements précis et sous la supervision directe des plus hautes autorités du corps de la Garde nationale et du parquet de Sousse 1, a permis d’éviter la mise sur le marché local d’une quantité importante de drogue destinée à la revente.

Un réseau aux ramifications multiples

Les premiers éléments de l’enquête laissent penser à un réseau organisé opérant entre la Tunisie et l’étranger. Les investigations, encore en cours, visent à retracer les circuits d’approvisionnement et de distribution, ainsi qu’à déterminer l’origine de la marchandise saisie.

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Affaire abattoir de Sousse : Quatre personnes condamnées à trois ans de prison

Le tribunal correctionnel de Sousse 1 a rendu, vendredi 10 octobre 2025, son verdict dans l’affaire de l’abattoir municipal de Sousse, prononçant une peine de trois ans de prison contre quatre personnes, dont un vétérinaire en poste à l’abattoir et chef du service des marchés à la municipalité.

L’affaire remonte à une opération de contrôle qui avait mis en évidence des irrégularités et infractions graves, notamment des abattages anarchiques et l’absence de contrôle sanitaire. Plusieurs moutons malades, proches de la mort, avaient été découverts – certains déjà abattus – et semblaient destinés à la distribution sur les marchés locaux.

Chacun des accusés a également été condamné à une amende de 70.000 dinars, en complément de la peine de prison.

En septembre 2025, le parquet avait ordonné la mise en détention préventive des quatre suspects. L’implication d’un vétérinaire municipal, chargé du contrôle des marchés, avait soulevé de vives interrogations sur la surveillance et la sécurité sanitaire à l’abattoir.

Les autorités locales avaient promis, à l’époque, de renforcer les mesures de contrôle pour éviter de nouveaux incidents de ce type.

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Sousse : Bagarre entre Algériens dans un hôtel, les réservations pour célibataires suspendues

Le week-end dernier, une bagarre impliquant plusieurs clients algériens a éclaté dans un hôtel de Sousse, selon des vidéos largement partagées sur les réseaux sociaux. Les images montrent des échanges violents, provoquant inquiétude et réactions sur la toile.

Plusieurs agences de voyage tunisiennes ont confirmé ces faits, appelant les autorités, mais aussi les responsables de l’hôtel à entamer une enquête.

Ce lundi, pour sa part, une agence de voyage algérienne a annoncé que l’hôtel concerné a décidé de ne plus accepter les réservations de célibataires, on peut donc comprendre que cette mesure intervient comme une conséquence directe de l’incident.

Cependant, l’hôtel n’a publié aucun communiqué officiel pour confirmer ou infirmer cette information. Aucune déclaration n’a été faite par la direction pour clarifier sa position ou expliquer les éventuelles mesures prises suite à la bagarre.

Cette situation alimente les spéculations sur les réseaux sociaux et soulève des questions sur la communication et la gestion de crises dans le secteur hôtelier, notamment en période touristique. Les clients et agences attendent désormais des précisions officielles de la part de l’établissement.

Contexte et enjeux

Les incidents de ce type ne sont pas nouveaux dans le secteur touristique tunisien. Les hôtels, particulièrement en bord de mer et en haute saison, accueillent souvent un public mixte de touristes étrangers et locaux, ce qui peut parfois générer des tensions. La communication officielle et rapide est alors essentielle pour préserver la réputation de l’établissement et rassurer les clients.

De plus, la Tunisie attire chaque année un nombre important de touristes algériens. Les agences de voyage jouent un rôle clé dans la réservation et l’orientation des clients.

Les incidents liés à des altercations entre clients soulignent la nécessité pour les hôtels d’adapter leur politique d’accueil et de sécurité, sans stigmatiser certains profils de clients. La question des réservations de célibataires pourrait donc devenir un enjeu sensible, nécessitant prudence et communication claire de la part des établissements.

Lire aussi Tunisie : Hausse des revenus du travail et des recettes touristiques, recul des avoirs en devises

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Institut français de Sousse : Les Journées européennes des langues arrivent !

L’Institut français de Sousse accueille aujourd’hui, samedi 27 septembre, plusieurs manifestations culturelles figurant au programme des Journées européennes des langues.

Cet événement culturel d’envergure est organisé chaque année sous les auspices du Conseil de l’Europe, de la Délégation de l’Union européenne en Tunisie et du réseau Eunic des centres culturels européens en Tunisie.

La journée devrait être riche en rendez-vous culturels avec en ouverture la réalisation d’une fresque murale interactive puis une rencontre avec Habib Kazdaghli autour des ouvrages récents de la collection Tunisie Plurielle dont il est le directeur aux éditions Santillana.

Plusieurs activités ludiques ainsi qu’un Café des langues sont également au programme qui se terminera par la présentation du livre  » Cinq nuits à Varsovie  » et des ouvertures sur la langue polonaise. Le programme comprend également la projection du film d’animation  » La
Traversée  » de Florence Miailhe, une co-production franco-tchéco-allemande de 2021.

Après une journée à Tunis, les Journées européennes des langues seront aujourd’hui à Sousse et Sfax, au sein des deux instituts français qui se trouvent dans ces villes.

Notons par ailleurs que l’Institut français de Sousse accueillera le 3 octobre prochain à 21h, un grand concert de Dendri Stambeli Movement, un projet musical porté par Mohamed Khachnaoui entre rock, jazz et rythmes sacrés et ancestraux du stambeli.

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Sousse : Quatre arrestations après la découverte d’un abattage de moutons malades

Le parquet près le tribunal de première instance de Sousse 1 a ordonné la mise en détention de quatre personnes, dont un vétérinaire de l’abattoir municipal, accusées d’avoir participé à l’abattage et à la mise en circulation de moutons malades. L’affaire a éclaté après une opération de contrôle qui a mis en évidence des infractions sanitaires graves.

Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’un abattage anarchique, réalisé sans surveillance vétérinaire appropriée. Un lot de moutons affaiblis et proches de la mort aurait été en partie abattu et destiné à être écoulé sur les marchés locaux.

Des responsables municipaux impliqués

Parmi les personnes arrêtées figure un vétérinaire occupant en parallèle la fonction de chef du service des marchés municipaux de Sousse, ce qui soulève des soupçons de manquements graves dans la chaîne de contrôle.

Face aux irrégularités, le parquet a décidé de placer les quatre suspects en détention préventive, dans l’attente de l’instruction judiciaire. Les autorités locales affirment que des mesures supplémentaires de contrôle seront mises en place afin d’éviter que de tels incidents ne se reproduisent.

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Disparition de Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal

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Le secteur hôtelier tunisien a perdu aujourd’hui l’une de ses figures pionnières. Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal, s’est éteint, laissant derrière lui une empreinte indélébile dans le paysage du tourisme national.

Visionnaire, il fut parmi les quelques rares précurseurs à défendre l’idée que la Tunisie devait miser sur le luxe pour se distinguer et attirer une clientèle internationale exigeante. À une époque où le pari pouvait sembler audacieux, il s’est engagé avec conviction à développer une offre haut de gamme, posant ainsi les jalons d’un tourisme différent, fondé sur l’excellence et le raffinement.

Son héritage se lit aujourd’hui dans les établissements qu’il a fondés à Hammamet, Sousse et Djerba, devenus des références dans l’hôtellerie tunisienne et méditerranéenne.

Avec sa disparition, la Tunisie perd un entrepreneur qui a contribué à redéfinir les contours de la destination, mais son œuvre continuera de vivre à travers les hôtels Hasdrubal, symboles de son audace et de sa vision.

L’équipe de Destination Tunisie présente ses condoléances les plus attristées à ses enfants mais également à tous ses collaborateurs.

Qu’il repose en paix.

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Tunisie : Caméras et reconnaissance faciale pour sécuriser la médina de Sousse

À partir du lundi 8 septembre 2025, la municipalité de Sousse franchira une nouvelle étape dans la sécurisation de sa médina. Selon le secrétaire général de la municipalité, Mourad Ben Salem, un système de caméras de surveillance sera installé au niveau de Bab Jebli ainsi que dans le périmètre nord du Ribat de Sousse. Ces dispositifs seront directement reliés à la salle des opérations de la police municipale.

Au total, quatre caméras seront déployées dans ces zones stratégiques. Mourad Ben Salem a précisé qu’elles disposent de fonctionnalités avancées, notamment la reconnaissance faciale, le suivi des flux de piétons et de véhicules, ainsi que la collecte de statistiques en temps réel sur les mouvements dans ces espaces.

L’installation de ce système vise avant tout à protéger l’activité touristique et les visiteurs de la médina, cœur battant du patrimoine historique de Sousse. Le Ribat et les souks voisins attirent chaque année des milliers de touristes tunisiens et étrangers. La municipalité espère ainsi dissuader les actes de délinquance, fluidifier la circulation et mieux gérer les flux dans cette zone particulièrement fréquentée.

La médina de Sousse, un joyau à préserver

Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, la médina de Sousse est l’un des sites les plus visités de Tunisie. Son attractivité constitue un moteur économique essentiel pour la région. C’est pourquoi les autorités locales insistent sur la nécessité d’adapter la sécurité aux standards internationaux, notamment à travers des technologies de surveillance modernes.

Lire aussi : Tunisie : Plus de radars et de caméras sur nos routes

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Sousse : Vaste campagne sécuritaire pour éradiquer les installations anarchiques à Bab Jebli

Les forces de sécurité ont mené, tôt ce vendredi 5 septembre, une opération de grande envergure à Bab Jebli (Sousse) pour mettre fin à l’occupation illégale de l’espace public par les marchands ambulants et les vendeurs de fripes. L’intervention s’est soldée par la libération complète des lieux et la mise en place de mesures préventives.

Dès l’aube, différentes unités de l’Inspection régionale de la sûreté nationale de Sousse, appuyées par le groupe régional de maintien de l’ordre, ont investi la zone de Bab Jebli. Objectif : supprimer les étals anarchiques qui occupaient trottoirs et rues.

Démantèlement des points de vente informels

Sous la supervision directe du directeur de l’Inspection régionale de la sûreté nationale et de cadres sécuritaires, l’ensemble des points de vente informels ont été démantelés. Les lieux ont ensuite été nettoyés et désinfectés, avant la mise en place de patrouilles permanentes pour empêcher un retour des installations.

La municipalité de Sousse a réitéré son appel aux commerçants concernés à rejoindre l’espace qui leur a été réservé à Souk Al Ahad. Elle insiste sur l’importance d’assurer un cadre légal, à la fois pour préserver l’ordre urbain et pour garantir aux vendeurs des conditions de travail plus organisées.

Restaurer la fluidité et la propreté des espaces publics

Le quartier de Bab Jebli, cœur commerçant de Sousse, est depuis plusieurs années marqué par la prolifération du commerce informel. L’étalage sauvage, notamment de vêtements d’occasion (« fripes ») et de divers articles, créait une congestion urbaine et des problèmes d’hygiène.

Ces opérations sécuritaires s’inscrivent dans une série d’actions entreprises par les autorités locales pour restaurer la fluidité et la propreté des espaces publics.

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Tunisie : Djerba opte pour le biométhane comme moteur d’une économie durable

Djerba s’apprête à accueillir une unité pilote de valorisation des déchets organiques. Porté par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), en partenariat avec l’Agence nationale de maîtrise de l’énergie (ANME) et l’Agence nationale de gestion des déchets (ANGED), ce projet bénéficie d’un financement du Japon et du Fonds italien pour le climat. L’ambition est claire : transformer les biodéchets issus de l’activité hôtelière en énergie renouvelable, dans une logique d’économie circulaire.

Le projet en chiffres et en étapes

Le lancement officiel a eu lieu en avril 2025, suivi par un accord de mise en œuvre signé fin mai. L’usine de biométhane est présentée comme un démonstrateur destiné à prouver la viabilité technique, économique et environnementale de la méthanisation des déchets organiques. Des sources médiatiques évoquent une capacité annuelle de 6 000 tonnes, mais ce chiffre n’apparaît pas encore dans les documents officiels et nécessite confirmation.

Pourquoi Djerba ?

Le choix de l’île n’est pas anodin. Destination touristique majeure inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle concentre une production importante de déchets organiques liés à l’hôtellerie et à la restauration. Ce gisement offre un terrain propice pour tester la méthanisation à l’échelle locale. Le projet veut faire de Djerba une vitrine écologique et économique, démontrant qu’une gestion innovante des déchets peut aussi créer des emplois et renforcer la résilience environnementale.

Une dynamique nationale en marche

L’usine de Djerba ne s’inscrit pas dans un vide. En février 2025, Sousse a déjà mis en service la première unité pilote de production d’électricité à partir de biométhane issu de sa décharge d’Oued Laya. Ce projet, soutenu par l’ANGED et des partenaires internationaux, prouve que la valorisation énergétique des déchets n’est plus un simple concept en Tunisie.

À Sfax, un projet à plus grande échelle est en cours de préparation. Il prévoit de traiter environ 50 000 tonnes de déchets par an, pour produire près de 1,9 million de mètres cubes de gaz synthétique, principalement destiné à alimenter une flotte de taxis.

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Retombées attendues

Les bénéfices escomptés vont au-delà de la simple production d’énergie. Le projet devrait réduire les volumes de déchets mis en décharge, limiter les émissions de gaz à effet de serre, favoriser la création d’emplois verts et stimuler une filière locale de collecte et de maintenance.

Pour la Tunisie, l’enjeu est également stratégique : diversifier son mix énergétique, réduire sa dépendance aux combustibles fossiles et avancer vers les objectifs de transition énergétique.

Les défis à relever

Certaines questions restent ouvertes. La capacité réelle de l’unité de Djerba doit être confirmée. La réussite du projet dépendra aussi de la mise en place d’une logistique de collecte adaptée, en particulier auprès des hôtels et restaurants, et d’un cadre contractuel clair avec la Société tunisienne d’électricité et de gaz pour l’achat ou l’injection de l’énergie produite. Enfin, l’extension de ce modèle à d’autres régions exigera des financements stables, une gouvernance claire et des incitations adaptées.

Vers une stratégie nationale de valorisation

Avec Djerba, Sousse et Sfax, la Tunisie pose les jalons d’une stratégie nationale de valorisation énergétique des déchets. Ces initiatives complémentaires traduisent une volonté politique et institutionnelle de passer d’une gestion classique des déchets à une approche circulaire et durable. Si elles aboutissent, elles pourraient positionner le pays comme un acteur pionnier de l’économie circulaire en Afrique du Nord.

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Sousse : Trois mois de prison pour l’homme qui a tué le chien Rocky

La présidente de l’association « Alrahma », Jamila Ammar, a annoncé ce lundi 25 août 2025, que le tribunal a condamné l’auteur de l’agression à trois mois de prison. L’homme a attaqué le chien « Rocky » avec un instrument tranchant dans un quartier de Sousse, causant des blessures graves qui ont entraîné sa mort.

Pour Jamila Ammar, ce verdict rend justice à Rocky. Elle insiste aussi sur la nécessité de renforcer les lois pour mieux protéger les animaux et prévenir de telles violences.

L’agression a provoqué des blessures sévères, dont une paralysie totale et des saignements aux yeux, ce qui a conduit au décès du chien. Le parquet a rapidement pris l’affaire en charge, arrêté l’auteur et l’a placé dans la prison civile de Msaken.

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