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Budget de l’UE en 2026 : priorité à la compétitivité, à la recherche et à la sécurité

Le budget de l’UE pour l’année 2026 est entré en vigueur après avoir été signé par la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola. Il s’élève à 192,8 milliards d’euros d’engagements, dont 190,1 milliards d’euros de paiements.

Le Parlement a obtenu un soutien accru pour la recherche, les infrastructures transfrontalières et la gestion des frontières, l’action climatique et la politique étrangère.

Dans le cadre d’un accord conclu avec les États membres le samedi 15 novembre, le Parlement a reçu 372,7 millions d’euros supplémentaires pour ses priorités. Et ce, en sus du montant initialement proposé par la Commission dans son projet de budget.

Le Parlement s’est concentré sur l’augmentation des financements alloués aux programmes et politiques visant à améliorer la vie des citoyens, à renforcer la compétitivité et à relever les défis en matière de défense.

Financement supplémentaire pour d’importants programmes de l’UE

Afin de renforcer la compétitivité et d’améliorer les infrastructures transfrontalières, les députés européens ont augmenté le financement d’Horizon Europe de 20 millions d’euros et celui des réseaux de transport et d’énergie de 23,5 millions d’euros. Le Parlement a également obtenu 10 millions d’euros supplémentaires pour le mécanisme de protection civile et rescEU (une réserve stratégique de l’Union européenne qui renforce les capacités de réponse aux catastrophes…) afin d’améliorer la coordination et la réponse aux catastrophes. La mobilité militaire, élément essentiel de la préparation de la défense de l’UE, bénéficiera de 10 millions d’euros supplémentaires.

 

Lire aussi : Le programme « Horizon Europe » a accordé à la Tunisie des financements d’une valeur de 12 millions d’euros pour la réalisation des projets de recherche et d’innovation (responsable)

 

Enfin, les députés ont veillé à ce que la gestion des frontières soit renforcée par un financement supplémentaire de 10 millions d’euros.

L’instrument financier de l’UE pour l’environnement et l’action climatique, le programme LIFE, recevra un financement supplémentaire de 10 millions d’euros. Tandis que les programmes EU4Health et Erasmus+ bénéficieront chacun d’un financement supplémentaire de 3 millions d’euros.

Le Parlement a plaidé pour une enveloppe supplémentaire de 35 millions d’euros pour le voisinage méridional de l’UE et une augmentation de 25 millions d’euros pour le voisinage oriental. Il a également obtenu une hausse de 35 millions d’euros de l’aide humanitaire afin de faire face à l’instabilité géopolitique croissante, à l’accélération des crises humanitaires mondiales et aux urgences liées au changement climatique.

En outre, pour créer de nouvelles opportunités, notamment pour les jeunes agriculteurs, le financement des mesures de promotion des produits agricoles européens au titre du Fonds européen de garantie agricole a été augmenté de 105 millions d’euros, conformément à la position initiale du Parlement.

Coûts de retour sur investissement du plan de relance NextGenerationEU

Par ailleurs, l’UE est confrontée à une hausse inattendue des coûts d’emprunt du programme NextGenerationEU, qui devrait atteindre 4,2 milliards d’euros en 2026. Soit le double du montant initialement prévu par la Commission. Cependant, les députés européens ont veillé à ce que ces coûts supplémentaires n’entraînent pas de coupes budgétaires dans des programmes clés tels qu’Erasmus+ ou EU4Health.

Ainsi, conformément aux accords précédents, ces coûts additionnels seront couverts par le mécanisme de financement de remplacement, qui vise à maîtriser l’augmentation des coûts de remboursement de NextGenerationEU tout en préservant les programmes phares.

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Trump exclut l’Afrique du Sud du sommet du G20 en 2026

Le président américain Donald Trump a annoncé, mercredi 26 novembre, que l’Afrique du Sud ne serait pas invitée au sommet du G20 de 2026 à Miami, en Floride. Il intensifie ainsi son offensive diplomatique contre le pays, après le boycott par Washington de la réunion des dirigeants du G20 à Johannesburg le 22 novembre.

« L’Afrique du Sud a montré au monde qu’elle n’est pas un pays digne d’appartenir à quoi que ce soit », a écrit Trump sur son réseau Truth Social. Tout en réitérant ses accusations de persécution présumée contre les fermiers blancs du pays. La tension est encore montée d’un cran lorsque le chef d’État sud-africain, Cyril Ramaphosa, a refusé de transmettre formellement la présidence tournante du G20 aux États-Unis, comme le veut pourtant l’usage diplomatique.

Un G20 sous l’ombre des polémiques

Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump multiplie les attaques contre Pretoria. Ainsi, en mai dernier, lors d’une rencontre à Washington, il avait tendu une « embuscade » à Cyril Ramaphosa en lui montrant une vidéo truffée d’erreurs censée étayer ses accusations de « génocide » contre les Afrikaners – les descendants des premiers colons européens.

En tout état de cause, la situation des fermiers blancs est un sujet brûlant en Afrique du Sud. Chaque année, plusieurs attaques meurtrières menées contre ces derniers sont recensées. Et ce, dans un contexte politique tendu, 35 ans après la fin de l’apartheid.

En outre, l’administration Trump dénonce une loi promulguée en janvier par Cyril Ramaphosa, qui prévoit selon celui-ci d’« exproprier des terres dans l’intérêt public pour diverses raisons visant, entre autres, à promouvoir l’inclusivité et l’accès aux ressources naturelles ». S’ils ne sont pas nommés, ce sont les exploitants agricoles blancs qui sont visés par cette réforme, selon les détracteurs du président sud-africain.

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Trump prolonge les exemptions tarifaires sur certains produits chinois

Les États-Unis accordent une prolongation d’un an des exemptions tarifaires pour certaines importations chinoises industrielles et médicales. Et notamment des équipements pour la fabrication de produits d’énergie solaire, dans le cadre d’une trêve commerciale conclue entre Pékin et Washington.

Donald Trump avait imposé les droits de douane de la « Section 301 » durant son premier mandat. Et ce, en raison des pratiques de la Chine en matière de propriété intellectuelle.

Les exemptions, qui avaient été progressivement prolongées depuis plus d’un an, devaient expirer le 29 novembre. « Leur prolongation fait suite à l’accord commercial et économique historique conclu entre le président Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping. Lequel a été annoncé par la Maison Blanche le 1er novembre 2025 », rapporte Reuters, citant un communiqué.

Ces mesures concernent 14 catégories de produits liés aux équipements de fabrication de produits solaires et 164 catégories de produits pour une large gamme de produits industriels et médicaux. On cite notamment les moteurs électriques, les équipements de surveillance de la pression artérielle, les composants de pompes, les compresseurs d’air automobiles et les cartes de circuits imprimés.

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Les prix du pétrole chutent dans l’attente de négociations russo-américaines sur l’Ukraine

Les prix du pétrole ont chuté alors que les investisseurs suivaient de près les efforts menés par les États-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Et ce, dans l’attente de la réunion de l’OPEP+ prévue prochainement.

Le prix du Brent a chuté à environ 62 dollars le baril de pétrole; après avoir progressé de 1 % mercredi. Tandis que celui du West Texas Intermediate s’établissait aux alentours de 58 dollars.

Alors que l’envoyé présidentiel américain Steve Witkopf s’apprête à conduire une délégation en Russie la semaine prochaine pour des pourparlers; les opérateurs évaluent la possibilité d’un accord pour mettre fin à la guerre et ses conséquences sur les flux de pétrole brut.

A rappeler par ailleurs que l’OPEP+, qui doit tenir une réunion le 30 novembre, a décidé de geler toute nouvelle augmentation de la production au cours du premier trimestre de l’année 2026; après une augmentation rapide de l’offre en 2025.

Le pétrole brut se dirige vers sa plus longue période de baisse depuis 2023

Par ailleurs, le pétrole brut est en voie de connaître son quatrième mois de baisse en novembre, sa plus longue série de pertes depuis 2023. Les prix ont chuté en raison des anticipations d’une surabondance de l’offre, les stocks dépassant la demande; et plus récemment, des développements diplomatiques liés à l’Ukraine.

Cependant, près de 20 négociants et investisseurs pétroliers interrogés par Bloomberg ont déclaré n’attendre aucun accord de paix. Ou que si un tel accord était conclu, il faudrait du temps avant que l’augmentation des flux de barils russes vers le marché ne se concrétise.

De son côté, Haris Khurshid, directeur des investissements chez Carobar Capital LP, a déclaré : « L’accord de paix entre l’Ukraine et la Russie ne vaut rien s’il ne se traduit pas par des livraisons concrètes de pétrole. Le marché a besoin d’oléoducs, de navires et de contrats. Une simple poignée de mains ne suffira pas. »

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BlackRock veut augmenter ses investissements au Moyen-Orient

BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, cherche à accélérer son expansion en matière d’investissements en Arabie saoudite et au Moyen-Orient dans les années à venir, face aux opportunités croissantes notamment dans les infrastructures et l’intelligence artificielle.

Le responsable de la division de conseil financier de BlackRock au Moyen-Orient a déclaré, mercredi 26 novembre, que la société avait jusqu’à présent investi plus de 35 milliards de dollars en Arabie saoudite dans des actions, des titres à revenu fixe et des projets d’infrastructure.

Il a ajouté que la société compte actuellement quatre équipes d’investissement à Riyad travaillant sur des stratégies couvrant les marchés du Moyen-Orient.

Un doublement, voire un triplement, du volume des investissements en Arabie saoudite au cours de la période à venir constitue une estimation réaliste.

BlackRock estime que les plus grandes opportunités se concentrent dans le secteur des infrastructures, car le Royaume continue d’étendre ses projets de développement de l’économie non pétrolière, notamment le métro de Riyad, la construction de l’un des plus grands aéroports du monde et l’accélération de la création de centres de données grâce à la nouvelle société d’intelligence artificielle, ‘Human’.

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La Russie va sévir contre l’économie souterraine

L’élimination des transactions non déclarées est un objectif clé du gouvernement pour 2026, selon le ministre des Finances, Anton Silouanov.

Le gouvernement russe s’apprête à introduire de nouvelles mesures pour lutter contre l’économie souterraine, annonce le ministre des Finances, Anton Silouanov.

Ces mesures comprendront notamment la répression des transactions en espèces non déclarées et des contribuables qui ne cotisent pas au Fonds national de santé ou à d’autres fonds sociaux, a-t-il souligné.

« Le gouvernement russe prend actuellement des mesures pour réduire le niveau du secteur informel », a déclaré Silouanov devant la Commission du budget et des marchés financiers du Conseil de la Fédération.

Récemment, Silouanov a identifié la transparence des transactions financières comme un axe central pour 2026. Parmi les priorités figure la transformation du minage de cryptomonnaies en un secteur clair et transparent grâce à la formalisation des opérateurs, la mise en place d’un registre des mineurs et l’établissement de règles fiscales pour le secteur.

S’exprimant lors d’une réunion du collège du Service fédéral des impôts, le ministre a également plaidé pour une réduction de l’utilisation des espèces, un contrôle plus strict des transactions enregistrées en caisse et une surveillance accrue des propriétaires de locaux commerciaux.

Il a par ailleurs insisté sur la nécessité d’un contrôle douanier renforcé des importations en provenance des pays de la CEI afin de garantir une taxation adéquate et de lutter contre les importantes zones grises du commerce.

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Le shutdown a creusé le déficit américain en octobre

Le gouvernement américain a fait état, mardi 25 novembre, d’un déficit de plus 284 milliards de dollars pour le mois d’octobre, dans un rapport retardé et affecté par la récente fermeture des services fédéraux, le shutdown.

Les résultats budgétaires du premier mois de l’exercice 2026 ont été retardés par la fermeture de 43 jours de nombreuses agences fédérales américaines, ce qui a entraîné des retards dans certains paiements, notamment pour les salaires des employés du gouvernement, a déclaré un responsable du Trésor.

Le déficit du mois d’octobre a augmenté de 27 milliards de dollars, soit 10 % de plus que le déficit de 257 milliards de dollars enregistré en octobre 2024, principalement en raison du report d’environ 105 milliards de dollars de dépenses de prestations de novembre pour certains programmes militaires et de santé…

 

Lire aussi: La paralysie budgétaire (shutdown) aux États-Unis : 750 000 employés en congé obligatoire

 

Les dépenses d’octobre, y compris les prestations de novembre, se sont élevées à 689 milliards de dollars, soit une hausse de 18 % par rapport aux 584 milliards de dollars d’octobre 2024. Un responsable du Trésor a déclaré que le ministère ne disposait pas d’une estimation précise de la réduction des dépenses due aux paiements reportés en raison de la fermeture des services gouvernementaux, mais qu’il estimait que cette réduction serait inférieure à 5 % des dépenses totales.

À noter que la loi fédérale exige le paiement intégral des salaires impayés et autres obligations dues pendant la période de recouvrement des arriérés de paiement auprès du gouvernement dès le rétablissement du financement.

Les recettes d’octobre ont totalisé 404 milliards de dollars, un montant record pour ce mois et une augmentation de 24 % par rapport aux 327 milliards de dollars collectés en octobre 2024.

« La décision de la Cour suprême des États-Unis sur cette question urgente et qui doit être rendue sans délai nous permettra de continuer à RENDRE SA GRANDEUR À L’AMÉRIQUE ! », a écrit Trump.

 

Lire également : États-Unis : Trump promulgue la loi sur la fin du shutdown 

 

Par ailleurs, le Bureau du budget du Congrès a dernièrement déclaré que les récentes réductions tarifaires résultant des accords commerciaux américains avec les économies partenaires ont conduit l’agence à réduire de 25 % son estimation de la réduction des déficits budgétaires américains au cours de la prochaine décennie grâce aux droits de douane de Trump, pour atteindre 3 000 milliards de dollars, intérêts compris, contre 4 000 milliards de dollars prévus en août.

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Éruption du volcan Hayli Gubbi en Éthiopie : les cendres dérivent vers l’Inde

D’épais nuages ​​de cendres provenant du volcan Hayli Gubbi en Éthiopie ont dérivé lundi 24 novembre au-dessus de la péninsule arabique, en direction de l’Inde.

Le Centre consultatif sur les cendres volcaniques indique que celles-ci se sont désormais propagées au Yémen, à Oman, en Inde et dans le nord du Pakistan, perturbant le trafic aérien dans la région.

En Inde, plusieurs vols ont été annulés, retardés ou déroutés mardi 25 novembre en raison des cendres. Et l’autorité de régulation de l’aviation du pays a demandé aux compagnies aériennes d’« éviter strictement » les zones touchées.

Air India a déclaré qu’elle procédait à des contrôles de précaution sur les avions ayant survolé certaines zones après l’éruption, suite à une directive de l’autorité de régulation de l’aviation.

Les cendres volcaniques forment un nuage de minuscules particules abrasives qui peuvent endommager les moteurs d’avion et réduire la visibilité. Ce qui les rend dangereuses pour les opérations aériennes.

Le volcan Hayli Gubbi est entré en éruption dimanche 23 novembre pour la première fois en près de 12 000 ans, projetant des panaches de cendres jusqu’à 14 kilomètres de hauteur.

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La Turquie négocie avec la BM pour un financement de 6 milliards de dollars

La Turquie a conclu un accord avec la Banque mondiale pour entamer des négociations en vue d’un financement pouvant atteindre 6 milliards de dollars. Et ce, pour moderniser le réseau de transport d’électricité du pays. C’est ce que déclare le ministre de l’Énergie, Alparslan Bayraktar.

La Turquie a annoncé un objectif ambitieux : quadrupler sa capacité de production d’énergie éolienne et solaire pour atteindre 120 GW au cours de la prochaine décennie, et construire deux nouvelles centrales nucléaires. Ce qui nécessitera l’extension du réseau de transport d’électricité. « Les fonds seront utilisés pour des investissements dans des lignes de transport à courant continu à haute tension », a déclaré M. Bayraktar à Platform X.

Par ailleurs, la Turquie prévoit d’importants développements de son système de transport et de distribution d’électricité. Avec notamment un système de transport à courant continu haute tension (CCHT) de plusieurs milliers de kilomètres, dont le coût s’élèvera à environ 28 milliards de dollars.

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Allemagne : chute inattendue de la confiance des entreprises

La confiance des entreprises en Allemagne a chuté de manière inattendue en novembre. Un autre signe des difficultés de l’économie du pays à sortir de la stagnation. Et ce, alors que le gouvernement augmente les dépenses publiques.

L’indice des anticipations de l’institut économique Ifo a reculé à 90,6 points en novembre, contre 91,6 le mois précédent en Allemagne. C’est ce qu’il ressort des données publiées lundi 24 novembre. Les analystes interrogés par Bloomberg s’attendaient à ce que l’indice reste stable.

« Les entreprises estiment que leur situation actuelle s’est légèrement améliorée », déclare Clemens Fuest, président de l’Ifo. « Toutefois, elles doutent fortement d’une reprise imminente », ajoute-t-il. Tout en soulignant que les perspectives du secteur manufacturier ont été « fortement compromises ».

Ces données renforcent les doutes quant au plan du gouvernement visant à relancer l’économie par des investissements dans les infrastructures et la défense. Si la Bundesbank et la plupart des économistes anticipent une croissance du PIB au quatrième trimestre; certains ont récemment revu leurs prévisions à la baisse.

En effet, les conseillers économiques du chancelier Friedrich Merz ont revu à la baisse ce mois-ci leurs prévisions de croissance pour l’année prochaine, les ramenant à moins de 1 %. Et ils ont averti que le gouvernement devait impérativement orienter les dépenses vers des investissements productifs supplémentaires. Faute de quoi, ont-ils affirmé, l’occasion de s’attaquer aux problèmes structurels profonds et de rétablir une croissance durable risque d’être manquée.

Par ailleurs, les enquêtes de S&P Global sur le climat des affaires, publiées durant la semaine du 17 novembre, ont montré que l’activité économique a continué de croître en novembre, mais à un rythme plus lent qu’en octobre. Le secteur manufacturier a été particulièrement touché, les nouvelles commandes ayant fortement chuté.

La Commission européenne a toutefois indiqué la semaine dernière s’attendre à ce que l’Allemagne sorte d’une longue période de stagnation l’année prochaine. Malgré le poids des droits de douane américains et de l’incertitude mondiale sur les exportations, l’économie allemande devrait être dynamisée par la hausse des investissements et de la consommation privée.

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Le marché du travail américain continue de ralentir

Les données disponibles montrent que le marché du travail américain reste suffisamment faible pour justifier une nouvelle baisse de 25 points de base des taux d’intérêt lors de la réunion de la Réserve fédérale des 9 et 10 décembre. C’est ce qu’a déclaré, lundi 24 novembre, Christopher Waller, membre du Conseil des gouverneurs de la Fed, cité par Reuters

Depuis la dernière réunion de la Fed (en octobre), « la plupart des données du secteur privé et des mesures non officielles indiquent que rien n’a vraiment changé. Le marché du travail continue de ralentir et de s’affaiblir », tandis que l’inflation devrait également diminuer, a déclaré Waller sur Fox News.

Si cela rend une baisse des taux appropriée en décembre, « janvier pourrait s’avérer plus difficile, compte tenu du nombre important d’annonces macroéconomiques attendues d’ici là. Si ces annonces confirment ce que nous avons observé jusqu’à présent, alors une baisse en janvier pourrait également se justifier. Mais si l’inflation ou l’emploi se redressent soudainement, ou si l’économie semble se renforcer, alors nous pourrions nous interroger » sur la nécessité de nouvelles baisses de taux, a-t-il ajouté.

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Des discussions secrètes entre les États-Unis, la Russie et l’Ukraine à Abou Dhabi

Le secrétaire américain à l’Armée, Dan Driscoll, est arrivé lundi 24 novembre à Abou Dhabi pour des pourparlers de paix avec le chef des services de renseignement des forces armées ukrainiennes et une délégation russe. C’est ce que révèle le Financial Times. Il s’agit de la dernière tentative en date de l’administration Trump de jouer un rôle de médiateur dans un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine.

Cette rencontre intervient après que des responsables américains et ukrainiens ont tenté de surmonter leurs divergences concernant un plan visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, en acceptant de modifier une proposition américaine que Kiev et ses alliés européens considéraient comme une liste de souhaits du Kremlin…

La rencontre Trump-Poutine en Alaska organisée en août avait suscité des inquiétudes quant à la possibilité que Washington cède à de nombreuses exigences russes, mais a finalement conduit à une pression américaine accrue sur la Russie.

La dernière proposition de paix américaine, un plan en 28 points, a surpris nombre de personnes au sein du gouvernement américain, à Kiev et en Europe, et a suscité de nouvelles inquiétudes quant à la possibilité que l’administration Trump soit disposée à faire pression sur l’Ukraine pour qu’elle signe un accord de paix qui favoriserait fortement Moscou.

Ce plan exige que l’Ukraine cède davantage de territoires, accepte des limitations de ses forces militaires et n’entre pas dans l’OTAN, conditions que Kiev rejette depuis longtemps, les considérant comme une capitulation. Il ne contribuerait guère non plus à apaiser les craintes, plus générales, d’une nouvelle agression russe en Europe.

Les États-Unis exercent des pressions sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui se trouve désormais dans la position la plus vulnérable depuis le début de la guerre.

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Des progrès dans les pourparlers de paix américano-ukrainiens, malgré les critiques de Trump

Le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, s’est montré particulièrement satisfait dimanche 23 novembre des progrès accomplis lors des négociations avec l’Ukraine, annonçant la finalisation d’un document d’accord sur les points clés du plan de paix américain. « Nous y sommes parvenus », a-t-il déclaré, tout en reconnaissant qu’« il reste encore du travail à faire ». Rubio s’est dit extrêmement optimiste quant à la possibilité d’une issue positive…

Le chef de la diplomatie américaine a souligné que les garanties de sécurité pour l’Ukraine figuraient parmi les derniers points abordés. Et il n’a pas exclu une éventuelle conversation téléphonique entre les présidents Donald Trump et Volodymyr Zelensky.

A noter que, au moment où les discussions se poursuivaient à Genève, le président Trump a vivement critiqué plus tôt dimanche l’Ukraine et les Européens sur sa plateforme Truth Social : « L’Ukraine n’a manifesté aucune gratitude pour nos efforts, tandis que l’Europe continue d’acheter du pétrole à la Russie »…

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Moody’s relève la note de l’Italie pour la première fois en 23 ans

L’agence Moody’s a relevé, samedi 22 novembre, la note de crédit de l’Italie pour la première depuis 23 ans. Offrant ainsi une victoire politique majeure au Premier ministre Giorgia Meloni. Et mettant fin à une longue période d’instabilité durant laquelle la note de crédit du pays a dangereusement flirté avec la catégorie « spéculative ».

L’agence a relevé la note de l’Italie d’un cran, la portant à Baa2 avec une perspective stable. Ce qui constitue le meilleur signe depuis des années que l’Italie tourne la page des incertitudes et des tensions budgétaires de la décennie passée.

Pour justifier cette amélioration, Moody’s a déclaré que la stabilité politique de ces dernières années a permis au gouvernement de promouvoir des réformes et des investissements dans le cadre du Plan national de relance et de résilience. Renforçant ainsi la crédibilité de la politique économique du pays.

Du risque de rétrogradation au « cadeau » de la mise à niveau

Moody’s a été la dernière agence de notation à maintenir l’Italie dans une catégorie inférieure. Et ce, après avoir abaissé sa note à Baa3 en 2018, sous le gouvernement Conte. En 2022, elle avait même revu à la baisse les perspectives de la note de crédit du pays, les faisant passer de « stables » à « négatives ». Tout en mettant en garde contre un possible basculement dans la catégorie « spéculative ».

Ce scénario a toutefois changé avec l’arrivée au pouvoir de Gorgia Meloni. Le revirement de Moody’s fin 2023 a donné un répit au gouvernement. Lequel s’est depuis lors efforcé de réduire systématiquement le déficit et de stabiliser la dette publique – la deuxième plus importante de la zone euro.

Cependant, malgré les évolutions positives, l’avenir s’annonce difficile. La dette publique italienne dépasse 130 % du PIB et la croissance est estimée à environ 0,5 % cette année. Le gouvernement Meloni est donc appelé à maintenir un équilibre délicat entre les exigences budgétaires de Bruxelles et les promesses politiques en vue des élections de 2027, qui pourraient inclure des baisses d’impôts pour les ménages et les entreprises.

Le ministre des Finances, Giancarlo Giorgetti, a toutefois évoqué un « regain de confiance » envers l’Italie et le gouvernement actuel. Pour Meloni, cette amélioration de la note constitue l’un des plus solides « certificats » de réussite internationaux à ce jour.

Si Rome parvient à ramener le déficit à la limite de 3 % cette année, l’Italie sortira du régime de « surveillance » qui lui est imposé par la Commission pour écarts excessifs.

Les marchés réagissent avec prudence

Les investisseurs ont déjà « voté » positivement : l’écart entre l’obligation italienne à 10 ans et l’obligation allemande est tombé sous la barre des 80 points de base. Soit moins d’un tiers par rapport à la période où Meloni a pris ses fonctions.

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Riyad abrite le Sommet mondial de l’industrie pour nourrir le monde

À l’occasion de l’ouverture, dimanche 23 novembre à Riyad (Arabie saoudite), du Sommet mondial de l’industrie, des dirigeants du monde entier ont discuté d’un sujet clé. A savoir : comment le développement industriel peut contribuer à relever certains des défis les plus urgents de la planète. Et notamment le changement climatique, la sécurité alimentaire et la création de chaînes d’approvisionnement plus équitables.

Lors de la cérémonie d’ouverture du Sommet mondial de l’industrie, Mohammed Al-Zarqaani, coordonnateur résident des Nations unies en Arabie saoudite, a lu un message du secrétaire général de l’ONU, António Guterres, adressé au sommet. Dans ce message, Guterres a déclaré : « Le développement industriel est essentiel pour renforcer les économies, éradiquer la pauvreté et créer des emplois et de la prospérité. »

Éliminer le fardeau de la pauvreté

Des représentants des gouvernements, du secteur privé et de la société civile sont arrivés dans la capitale saoudienne pour une conférence d’une semaine. Actuellement, certaines économies sont confrontées à un problème épineux : plusieurs pays riches ont réduit leurs dépenses d’aide au développement.

La conférence sur le changement climatique au Brésil, qui s’est achevée samedi 22 novembre, a mis en lumière la gravité de la crise climatique, qui représente une menace existentielle pour certains pays, notamment les petits États insulaires en développement.

À cette fin, Guterres a exhorté les gouvernements et les entreprises à unir leurs efforts pour éliminer les obstacles en développant une industrialisation durable. Parmi les mesures concrètes préconisées figurent l’adoption de technologies plus propres et plus économes en ressources, la modernisation des infrastructures et la garantie que le développement industriel n’entraîne pas de coûts sociaux ou environnementaux excessifs.

Il s’agit également d’une recommandation clé du Pacte pour l’avenir des Nations unies, adopté à l’unanimité en 2024 et qui constitue un nouveau cadre de référence pour l’ONU en matière de coopération internationale, de paix et de développement.

Conférence de l’ONUDI

Ce sommet marque également la 21ème session de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI). Cette organisation œuvre à la promotion d’un développement industriel inclusif et durable afin d’aider les pays en développement à réduire la pauvreté, à renforcer leur compétitivité économique et à soutenir la durabilité environnementale.

En tant qu’organe décisionnel suprême de l’ONUDI, la 21ème Conférence générale se concentrera sur trois thèmes :

  • Comment réduire les émissions et soutenir les énergies renouvelables;
  • Comment améliorer la sécurité alimentaire grâce à l’innovation industrielle dans l’agriculture pour mettre fin à la faim;
  • Et comment construire des chaînes d’approvisionnement durables pour garantir que le commerce profite aux travailleurs, aux communautés et à l’environnement.

« Un nouveau pacte mondial équitable »

Le directeur général de l’ONUDI, Gerd Müller, réélu lors de la conférence, s’est adressé aux délégués et a exhorté les pays développés à redoubler d’efforts pour éliminer les inégalités. « Pays riches, pays industrialisés et pays producteurs de pétrole, vous devez assumer vos responsabilités mondiales », a-t-il souligné. Il a également demandé avec insistance pourquoi, trente ans après s’être engagés à consacrer 0,7 % de leur budget annuel à l’aide publique au développement, ces pays n’avaient toujours pas atteint cet objectif…

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Belgique : trois jours de perturbations dans les transports et services publics

La Belgique fait face à trois jours consécutifs de grève nationale à compter du lundi 24 novembre 2025. Un mouvement syndical massif qui s’annonce comme l’un des plus disruptifs de l’année.

Organisée en front commun par les principaux syndicats de Belgique, cette mobilisation, qui vise à paralyser progressivement les activités économiques et sociales, fait suite à la manifestation du 14 octobre 2025, qui avait rassemblé entre 80 000 et 140 000 personnes dans les rues de Bruxelles.

Les syndicats du pays entendent maintenir la pression maximale sur le gouvernement du Premier ministre Bart De Wever; et ce, au lendemain de l’adoption du budget fédéral 2026.

Un calendrier de grève échelonné

  • Lundi 24 novembre : perturbation dans les transports en commun;
  • Mardi 25 novembre : arrêt des services publics;
  • Mercredi 26 novembre : grève interprofessionnelle générale (public et privé).

Impacts attendus

  • Transports : réseaux ferroviaires, bus et tramways fortement perturbés;
  • Éducation : fermetures d’établissements scolaires anticipées;
  • Services publics : administrations, hôpitaux et services municipaux touchés;
  • Secteur privé : perturbations dans les entreprises.

Au final, le mouvement s’inscrit dans une logique d’escalade, relèvent les observateurs. En outre, le choix d’une grève étalée sur trois jours permet d’étendre l’impact tout en maintenant un rapport de force soutenu. Le mercredi 26 novembre constituera le point d’orgue de cette mobilisation, avec une grève générale interprofessionnelle.

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L’or dévisse sous la pression du dollar en pleine accélération

Les cours de l’or ont chuté ce lundi 24 novembre, sous la pression d’un dollar plus fort, proche de ses plus hauts niveaux en six mois, et de la diminution des anticipations d’une baisse des taux d’intérêt en décembre par la Réserve fédérale.

L’or au comptant a baissé de 0,3 % ce lundi pour s’établir à 4 051,48 dollars l’once. Reuters rélève que les contrats à terme sur l’or pour livraison en décembre ont progressé de 0,7 % pour atteindre 4 049,50 dollars l’once.

A noter au passage que le dollar a atteint, vendredi 21 novembre, son plus haut niveau en près de six mois, après que des signes d’accélération de la croissance de l’emploi aux États-Unis en septembre ont laissé penser que la Banque centrale américaine allait probablement suspendre ses baisses de taux d’intérêt en décembre.

Un dollar plus fort rendrait l’or libellé dans la devise américaine plus cher pour les détenteurs d’autres devises. Un rapport du ministère américain du Travail, retardé par la fermeture des services fédéraux (shutdown), a montré jeudi que les créations d’emplois non agricoles en septembre ont augmenté de 119 000, soit plus du double de la hausse estimée à environ 50 000 emplois.

Dans le même temps, l’activité manufacturière américaine a chuté à son plus bas niveau en quatre mois en novembre, les droits de douane ayant fait grimper les prix à l’importation et freiné la demande.

L’or, qui ne génère pas de rendement, a tendance à prendre de la valeur dans un contexte de faibles taux d’intérêt. Quant aux autres métaux précieux, l’argent a reculé de 0,3 % sur le marché au comptant, à 49,86 dollars l’once. Le platine a progressé de 1,1 % à 1 527,25 dollars. Le palladium a gagné 0,7 % à 1 384,18 dollars l’once.

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Meta condamnée à verser 550 millions de dollars aux médias espagnols

La décision concernant les plaintes des éditeurs espagnols contre l’activité publicitaire du géant technologique Meta a conclu que l’entreprise avait enfreint les règles de la concurrence et de la protection de la vie privée.

Le législateur espagnol a jugé que le géant américain des médias sociaux, Meta Platforms, devait payer une somme considérable après avoir constaté que l’entreprise avait obtenu un avantage illégal grâce à ses pratiques en matière de données.

Cette décision fait suite à un long conflit opposant plus de 80 médias numériques espagnols qui accusaient la maison mère de Facebook d’abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

L’AMI, l’association représentant ces médias, avait porté plainte en 2023, arguant que les pratiques publicitaires de Meta entre mai 2018 et juillet 2023 violaient les règles de la concurrence et de la protection des données en conférant à l’entreprise un avantage indu fondé sur l’exploitation des données.

Jeudi 20 novembre, un tribunal de commerce de Madrid a donc condamné Meta à verser 479 millions d’euros (environ 550 millions de dollars) de dommages et intérêts, estimant que l’entreprise avait traité les données des utilisateurs de Facebook et d’Instagram à des fins de publicité comportementale sans respecter les règles de la concurrence ni les garanties en matière de protection des données.

Selon l’Associated Press, les juges ont déclaré que le « traitement illicite de cette énorme quantité de données personnelles » par Meta lui conférait un avantage concurrentiel que les médias nationaux « ne pouvaient égaler »…

Comme attendu, Meta a rejeté la décision et annoncé son intention de faire appel, qualifiant l’affaire de « sans fondement … et qu’il n’existe aucune preuve de préjudice allégué pour les éditeurs ». L’entreprise a déclaré que le jugement donne une image erronée du fonctionnement du secteur de la publicité numérique.

Cette décision s’inscrit dans un conflit plus large entre les autorités de régulation de l’UE et les grandes plateformes numériques au sujet de la concurrence en ligne. L’année dernière, la Commission européenne a infligé à Meta une amende de près de 800 millions d’euros (environ 870 millions de dollars) pour des pratiques liées à Facebook Marketplace…

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Merz valide le plan de paix de Trump pour l’Ukraine

Le chancelier allemand Friedrich Merz et le président américain Donald Trump « se sont mis d’accord sur les prochaines étapes » lors d’une conversation téléphonique concernant le plan américain pour l’Ukraine, a annoncé vendredi 21 novembre le chancelier.

« Je viens de discuter du plan de paix pour l’Ukraine avec le président des États-Unis lors d’une conversation téléphonique productive et confidentielle », a déclaré Merz dans un message publié sur la plateforme X… « Je vais maintenant en informer nos partenaires européens » afin de coordonner les actions à venir,.

Les discussions autour de ce plan devraient dominer les débats en marge du sommet du G20 à Johannesburg, auquel participeront ce week-end les dirigeants des pays les plus puissants d’Europe, malgré le boycott du sommet par Donald Trump, les États-Unis ayant annoncé qu’ils « ne participeraient pas aux discussions officielles » du G20 en Afrique du Sud.

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