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La Banque africaine de développement accorde 111,5 millions d’euros à la Tunisie. Détails

La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé un financement de 111,5 millions d’euros destiné à moderniser et améliorer la performance technique et énergétique du réseau d’eau potable du Grand Tunis, une zone stratégique qui regroupe près de 2,7 millions d’habitants.

Ce financement vise à sécuriser l’approvisionnement en eau potable, réduire les pertes techniques du réseau et optimiser la consommation énergétique du système de distribution. Selon Malinne Blomberg, directrice pays de la BAD et directrice générale adjointe pour l’Afrique du Nord, ce projet permettra de renforcer durablement les performances du réseau et d’améliorer la qualité du service rendu aux citoyens, tout en réduisant la facture énergétique du secteur et en consolidant la résilience du système face aux variations climatiques.

Le projet s’inscrit dans les priorités nationales de modernisation du service public de l’eau potable. Il vise à doter la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede) d’infrastructures modernes, d’outils numériques et de capacités techniques permettant de réduire les pertes en eau, de mettre à niveau les installations et d’augmenter la résistance du réseau face au changement climatique et à la pression démographique.

Selon le communiqué, l’opération comporte plusieurs volets essentiels.
Le premier consiste à renouveler environ 150 km de conduites d’eau, afin de réduire les pertes physiques sur l’ensemble du réseau. Le projet prévoit également la modernisation des installations de distribution, de pompage et de stockage, grâce à l’intégration d’équipements plus performants et moins énergivores. Un système de supervision et de contrôle numérique sera déployé pour améliorer la gestion du réseau en temps réel. Le programme comprend aussi le renforcement des compétences techniques de la Sonede et la modernisation de ses systèmes de gestion.

Cet investissement stratégique répond à une double exigence: consolider la sécurité hydrique du Grand Tunis et réduire l’empreinte énergétique du secteur. Les bénéfices attendus sont importants: baisse des pertes en eau, amélioration de la continuité du service, réduction des coûts d’exploitation et meilleure anticipation des impacts du changement climatique.

Ce projet s’aligne pleinement sur les priorités nationales en matière de transition énergétique, de gestion durable des ressources hydriques et de modernisation des infrastructures publiques.

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Olfa Mahjoub : « Les eaux usées représentent une ressource sûre »

Comment mieux sécuriser nos ressources en eau face aux changements climatiques? Ou encore, allons-nous manquer d’eau? Ces questions cruciales ont été abordées dans la journée du lundi 24 novembre 2025 lors d’une rencontre organisée par l’IACE. Elle  réunissait plusieurs experts et enseignants-chercheurs spécialisés en sécurité hydrique.

L’heure est désormais aux solutions pour améliorer la gestion de l’eau, une ressource rare. En effet, nos demandes en eau ont doublé au cours des cinquante dernières années. Olfa Mahjoub, maître de conférences, spécialiste de la qualité de l’eau et de réutilisation des eaux usées, dresse un état des lieux en marge de l’événement.

« Actuellement, nous produisons pratiquement 300 millions de mètres cubes d’eau usée traitée; un potentiel qu’il faut exploiter davantage. Pourtant, seulement 4 % de ces eaux usées traitées sont réutilisées en agriculture. C’est un pourcentage très faible. Alors qu’il oscillait entre 7 et 10 % auparavant, notamment pour d’autres usages comme les usages environnementaux ou la recharge artificielle des nappes. »

Concernant la pénurie d’eau, la question centrale est de comprendre pourquoi on mobilise de plus en plus d’autres formes d’eau. Olfa Mahjoub précise : « Les eaux usées représentent une ressource sûre, car elles sont produites en continu. Et ce, contrairement aux pluies, très variables ces dernières années. En exploitant les eaux usées traitées en agriculture, on peut garantir une ressource permanente, à condition de faire un bon usage, de réaliser un traitement adapté selon l’usage et de diversifier les secteurs d’application, que ce soit agricole ou environnemental. »

La vision à long terme pour 2050 est l’usage potable de ces eaux, mais cela nécessite un travail sérieux. Pour l’instant, l’objectif est d’élargir le nombre de cultures irriguées en adaptant les types de cultures à la qualité de l’eau utilisée. Par exemple, pour les légumes frais, un traitement tertiaire complémentaire est nécessaire. Et tout cela doit s’inscrire dans un cadre réglementaire solide, en cours de révision par le ministère de l’Agriculture, selon les orientations de la stratégie REUT (réutilisation des eaux usées traitées) 2050.

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Amel Jrad : « Valoriser l’eau, de la rareté à un capital stratégique durable”

Débattre sur les défis liés à la gestion durable de l’eau, tout en explorant des solutions innovantes pour assurer la pérennité de cette ressource vitale. C’est ce qu’il ressort de la conférence-débat organisé par l’IACE  ce lundi 24 novembre 2025, intitulée « RésEau d’opportunités : résilience & eau, les clés de demain ».

Des experts ont dressé un état des lieux préoccupant de la situation hydrique. Tout en explorant des pistes de solutions durables pour la gestion de l’eau à l’horizon 2050.

Lors du deuxième panel, portant sur le thème : « Ressources et valorisation de l’eau », Amel Jrad, PhD en Hydrobiologie de l’Université Paul Sabatier de Toulouse, a insisté sur le rôle des entreprises qui peuvent se démarquer en termes de qualité et de disponibilité. En effet, elle estime que les consommateurs sont sensibles à ces aspects. Sachant que cela protège la santé, une question importante. A cet égard, elle souligne que la norme internationale ISO est un outil qui permet d’identifier les risques, de donner à l’eau sa valeur réelle en tant que capital naturel et financier, et d’analyser les risques potentiels liés à cette ressource.

Elle précise dans ce contexte : « Il faut passer à l’action. Je relève deux ou trois points, qui correspondent à la stratégie, la feuille de route pour sécuriser ce capital à long terme. Il faut que ce plan d’action soit déployé progressivement, avec les financements nécessaires. Le nerf de la guerre reste le financement, le code de l’eau, les projets, etc. Aujourd’hui, il y a urgence pour que ce code de l’eau soit adopté, avec une gouvernance systémique et moderne du secteur de l’eau. Ce qui sécurisera aussi la ressource. »

La priorité absolue est un plan national d’investissement pour la rénovation et la lutte contre les pertes et fuites d’eau. Elle poursuit : « On ne peut pas continuer à prétendre atteindre les résultats sans agir sur cet aspect. C’est une priorité. Il faut accélérer le développement des projets de réutilisation. Il faut considérer la qualité de l’eau mais aussi le transfert des eaux vers les périmètres irrigués. Une gouvernance efficace repose sur la gestion intégrée et la cohérence des politiques nationales. Il faut encourager la tarification, car actuellement dans plusieurs secteurs, le prix de l’eau n’est pas payé ou pas de manière régulière. Tant qu’on n’aura pas cela, l’État ne pourra pas assurer une gestion durable. »

Amel Jrad ajoute : « Il faut aussi parler de l’énergie solaire et des investissements nécessaires aux stations photovoltaïques. Une campagne de communication doit être lancée pour promouvoir l’eau en tant que capital national, dans un partenariat gagnant-gagnant visant à structurer une gestion résiliente. »

Pour finir, elle précise que dans un pays où la rareté de l’eau n’est pas une charge mais un actif de production stratégique, il faut valoriser et faire fructifier cette ressource en la considérant comme un capital. Cela signifie reconnaître que les investissements dans la préservation, l’efficacité et la gestion de l’eau sont rentables à long terme. C’est le passage d’une logique de coût à une logique de création de valeur, renforçant la résilience face au changement climatique.

Elle déclare : « Tant que l’eau sera perçue comme une charge, on cherchera uniquement à réduire la quantité. Elle ne sera reconnue comme un capital que lorsqu’on cherchera à la protéger, assurant ainsi la durabilité. »

Ainsi, la résilience hydrique repose sur la capacité à fédérer tous les acteurs, de façon systémique, autour d’une vision commune, innovante techniquement, s’accompagnant de financements solides.

Pour conclure, comme le dit le proverbe : « Ce n’est que lorsque le puits s’assèche que l’on découvre la valeur de l’eau. » Espérons que nous n’en arrivions pas là.

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SONEDE : Un plan colossal de rénovation des réseaux d’eau pour 2026-2030

Face à un réseau vieillissant et des besoins croissants, la SONEDE prépare un programme national de modernisation. Plus de 59.000 km de conduites sont concernés, avec d’importants investissements au Grand Tunis, dans le Sud et les régions intérieures. Objectif : réduire les pertes, sécuriser l’approvisionnement et adapter le pays au stress hydrique.

Un réseau vieillissant qui impose une réponse urgente

Lors d’une conférence organisée par l’IACE à Tunis, le PDG de la SONEDE, Abdelhamid Mnaja, a présenté les grandes lignes d’un programme stratégique de renouvellement et de modernisation du réseau d’eau potable prévu pour la période 2026-2030.

Selon lui, l’état du réseau impose une intervention massive : 14.000 km de conduites ont plus de 50 ans, et plus de la moitié du système dépasse les 30 ans, alors que le maillage national s’étend aujourd’hui sur 59.000 km.

Pour Mnaja, il s’agit d’un “chantier national” nécessitant des financements considérables afin d’améliorer l’efficacité, réduire les pertes et renforcer la résilience du système face à la crise hydrique.

Grand Tunis : 500 MD pour un réseau intelligent

Le chantier le plus lourd concerne le Grand Tunis, où un projet d’amélioration des performances techniques et énergétiques est en cours de montage avec la Banque africaine de développement (BAD). Le coût : 500 millions de dinars, pour un lancement prévu en 2026.

Le programme comprend :

  • L’installation de 130.000 compteurs intelligents pour localiser instantanément les fuites.
  • La création d’une salle d’opération centralisée, permettant un pilotage en temps réel de la consommation et des flux.
  • Une optimisation énergétique afin de réduire les coûts d’exploitation d’un réseau saturé par une forte croissance urbaine.

Sfax, Kébili, Tozeur et Ben Guerdane : un second projet de 330 MD

Un deuxième volet sera déployé fin 2026 dans trois gouvernorats – Sfax, Kébili et Tozeur – avec un système de transfert d’eau jusqu’à Ben Guerdane. Budget : 330 millions de dinars.

Ce projet prévoit également :

  • L’installation de 150.000 compteurs intelligents supplémentaires ;
  • Un renforcement des conduites afin de limiter les pertes et améliorer la continuité du service dans des régions régulièrement touchées par les coupures.

Un troisième axe centré sur les gouvernorats du Sud

Un troisième projet, en phase de préparation, concernera sept gouvernorats du Sud, pour un investissement estimé à 230 millions de dinars.

Il vise à :

  • Renforcer le macro-comptage pour identifier précisément les zones de forte consommation ;
  • Rééquilibrer les débits entre zones hautes et basses ;
  • Améliorer l’efficacité d’un réseau encore très fragile dans le Sud-Ouest.

Le dessalement, entre nécessité et stratégie nationale

Abdelhamid Mnaja a par ailleurs rappelé que le dessalement est désormais une composante incontournable de la sécurité hydrique tunisienne.

Depuis les années 1980, la Tunisie développe la filière via 15 stations de dessalement d’eau souterraine, capables de produire 110.000 m³/jour, réparties entre Gabès, Gafsa, Ben Guerdane, Djerba et Kerkennah.

S’y ajoutent trois stations de dessalement d’eau de mer, totalisant une production de 200.000 m³/jour.

La part du dessalement dans l’approvisionnement national passera ainsi de 6% en 2023 à 35% d’ici 2030, marquant un tournant stratégique dans la gestion de l’eau.

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Boualem Sansal raconte son année de prison en Algérie

Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, a fait sa première apparition médiatique depuis sa libération, le 12 novembre 2025, après une année de détention pour des propos jugés critiques envers le régime algérien. Dans un entretien diffusé sur France 2, le 23 novembre, il décrit avec précision et sobriété les épreuves qu’il a traversées, la prudence qui accompagne sa parole et les enjeux humains et politiques de sa libération.

Lors de cette première prise de parole, Sansal a évoqué son état de santé : il a été diagnostiqué d’un cancer de la prostate, reçu un traitement efficace et supervisé par des médecins dévoués. L’urgence médicale, combinée à son âge avancé, a été déterminante dans l’octroi de sa grâce présidentielle. Selon plusieurs sources, l’Allemagne et la France ont également joué un rôle diplomatique dans la médiation, assurant un suivi médical approprié et garantissant sa sécurité.

L’écrivain revient sur les premières heures de son arrestation à l’aéroport d’Alger : «Je ne savais pas qui m’arrêtait ni pourquoi. Pendant six jours, je n’ai eu aucun contact avec le monde extérieur», explique-t-il.

Sansal décrit ensuite la vie quotidienne en prison : fouilles incessantes, ordres arbitraires, isolement et humiliation permanente. Il souligne que le plus difficile n’était pas la routine, mais l’obligation de taire sa douleur. «On pleure seul, la nuit, dans sa tête», confie-t-il.

Malgré sa libération, Sansal reste prudent dans ses propos. Il craint pour sa famille et pour d’autres détenus politiques encore emprisonnés. Il évoque son dialogue téléphonique avec l’ancien ministre français de l’Intérieur Bruno Retailleau, qu’il considère comme un ami et un soutien. «Avec ou sans son intervention, les autorités algériennes auraient agi de la même façon», précise-t-il.

L’écrivain plaide pour la réconciliation entre la France et l’Algérie, rappelant que cette étape aurait dû être franchie dès 1962, à l’instar du rapprochement franco-allemand après la Seconde Guerre mondiale. Selon lui, le manque de dialogue historique continue de peser sur les relations bilatérales.

Sansal souhaite également revenir en Algérie «au moins une fois» pour récupérer ses affaires personnelles — téléphone et ordinateur — qui contiennent vingt années de travail, symboles de sa mémoire intellectuelle et de sa carrière. Cette volonté traduit l’importance qu’il accorde à sa production littéraire et à son héritage culturel.

Enfin, l’écrivain rappelle la dimension universelle de l’emprisonnement : «Être prisonnier, c’est une humiliation», souligne-t-il. Son témoignage met en lumière la solitude, la violence psychologique et la résilience nécessaire pour survivre dans des conditions carcérales difficiles.

Cette apparition publique marque le retour d’une voix majeure dans le débat politique et intellectuel franco-algérien. Elle souligne à la fois la fragilité de la liberté d’expression et la nécessité d’une vigilance constante pour protéger les droits fondamentaux, tout en offrant un témoignage humain et lucide sur la vie en détention et les épreuves de la réconciliation.

Djamal Guettala

 

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Débat à l’IACE | Stress hydrique et valorisation de l’eau

Le Centre des changements climatiques de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) organise son notre premier événement «RésEau d’opportunités : résilience & eau, les clés de demain».

Cet événement, qui se tiendra demain, lundi 24 novembre 2025, au siège de l’IACE au Lac 1, à Tunis, vise à ouvrir un dialogue national approfondi sur le stress hydrique que traverse la Tunisie, menaçant son développement économique et social.

Les deux panels au programme porteront sur, respectivement, «Les nouvelles technologies au service de l’agriculture» et «Les ressources et valorisation de l’eau.»
Ces thèmes seront discutés par de hauts responsables, un panel d’experts, et de spécialistes.

La Tunisie subit un stress hydrique intense, se traduisant par un approvisionnement en eau insuffisant par habitant, une situation aggravée par le changement climatique, la sécheresse et une demande croissante due à la démographie et à l’agriculture.

Le pays, classé parmi les pays les plus exposés au stress hydrique, mobilise actuellement presque la totalité de ses ressources conventionnelles et se tourne vers le dessalement, bien que cette solution soit coûteuse. 

Pour faire face au déficit hydrique, le pays doit recourir à toutes les solutions possibles et à faire preuve d’inventivité pour valoriser cette ressource rare et en tirer le meilleur bénéfice. Dans ce cadre, les technologies peuvent offrir des procédés révolutionnaires.

Pour participer, s’inscrire via ce lien

I. B.

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Tunisie – Banque mondiale : Vers un renforcement de la coopération dans le secteur de l’eau

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a reçu mercredi à Tunis Meskerem Brhane, directrice régionale du développement durable à la Banque mondiale pour la région MENAAP.

La rencontre, centrée sur la coopération bilatérale, a mis en avant le secteur de l’eau, considéré comme prioritaire face aux effets du changement climatique. Les deux parties ont affiché une convergence de vues sur l’urgence d’un partenariat renforcé.

La sécurité hydrique au cœur des priorités tunisiennes

Selon le communiqué du ministère, Samir Abdelhafidh a insisté sur la place stratégique du secteur de l’eau dans les politiques publiques. La Tunisie fait face à la fois à un stress hydrique structurel et à l’aggravation des impacts climatiques, ce qui exige une refonte de la gouvernance, une amélioration de la rentabilité du secteur et un renforcement des infrastructures.

Le ministre a détaillé les axes en cours de déploiement : modernisation et maintenance des réseaux de distribution, rénovation des installations vieillissantes, programmes de recyclage et de traitement des eaux usées, et optimisation de l’exploitation des ressources disponibles. Il a également salué le niveau actuel de coopération avec la Banque mondiale, estimant qu’elle continuera de jouer un rôle déterminant dans les prochaines phases.

La BM disposée à renforcer son appui technique et financier

Meskerem Brhane a souligné que la sécurité hydrique constitue un pilier essentiel du développement économique et social. Elle a rappelé l’engagement de la Banque mondiale à accompagner la Tunisie, tant par le financement de projets que par l’appui technique nécessaire à la mise en œuvre de réformes structurelles.

La responsable de la BM a exprimé la disponibilité de l’institution à intensifier la concertation avec les structures tunisiennes, afin d’élaborer des programmes d’action à moyen et long terme. L’objectif : aider le pays à relever les défis croissants liés à la rareté de l’eau, à la gestion durable des ressources et à l’adaptation climatique.

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Ariana : Démantèlement d’un réseau spécialisé dans la fabrication de cocaïne synthétique

Une opération coup de poing a été menée à l’Ariana Nord. Les agents de la brigade de police judiciaire ont mis fin aux agissements d’un réseau africain spécialisé dans la fabrication et la distribution de cocaïne, actif entre Ariana-ville et le quartier huppé d’Enasr.

Selon une source sécuritaire citée par Mosaïque FM, tous les membres interpellés sont originaires d’Afrique subsaharienne. Lors de la descente, les enquêteurs ont découvert 575 grammes de cocaïne, ainsi que des flacons et produits chimiques utilisés pour la fabrication de cocaïne synthétique, un phénomène encore rare mais en expansion en Tunisie.

L’opération a également permis la saisie de sommes d’argent importantes, issues du trafic, confirmant le caractère organisé et lucratif du réseau.

Sur ordre du Parquet du tribunal de première instance de l’Ariana, tous les suspects ont été placés en garde à vue en attendant leur présentation devant la justice.

Cette arrestation marque un nouvel épisode de la guerre silencieuse menée par les forces de sécurité contre les trafiquants qui cherchent à installer de véritables laboratoires clandestins dans la banlieue nord de Tunis – une zone longtemps épargnée par ce type de criminalité.

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Les barrages du Nord assurent 91% des réserves d’eau

Selon les données publiées samedi par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), les réserves d’eau dans les barrages tunisiens s’élèvent à 669 millions de m³, soit un taux de remplissage de 28,3% à la date du 26 septembre 2025.

Cela représente une hausse de 27% par rapport à la même période de 2024, mais seulement de 9,1% par rapport à la moyenne des trois dernières années (612,8 millions m³).

Des apports hydriques modestes

Les barrages du Nord concentrent à eux seuls 91,6% des réserves en eau, soit environ 613 millions de m³, avec un taux de remplissage de 33,1%. À titre de comparaison, les barrages du centre affichent un faible taux de 9,9% (44,7 millions de m³), tandis que ceux du Cap-Bon atteignent 18,4% (11,3 millions de m³).

Pour la seule journée du 26 septembre, les apports en eau ont été évalués à 2,62 millions de m³, quasiment tous enregistrés dans les barrages du Nord. L’utilisation des ressources hydriques a été estimée à 1,36 million de m³ sur la même période.

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France : Une enseignante poignardée en classe par un élève de 14 ans

Une professeure de musique de 66 ans a été agressée au couteau, mercredi matin, par un adolescent de 14 ans dans une salle de classe du collège Robert-Schuman, au sud de Strasbourg. L’enseignante, blessée au visage, a été hospitalisée mais son pronostic vital n’est pas engagé. L’auteur présumé des faits, lui-même grièvement blessé après s’être porté des coups de couteau, a été interpellé par la gendarmerie.

L’agression est survenue en classe, devant d’autres élèves. Selon les premiers éléments de l’enquête, les motivations du jeune agresseur restent inconnues. L’établissement a été immédiatement évacué.

Le collégien a été maîtrisé par les gendarmes, qui lui ont prodigué les premiers soins. Il a été transporté en urgence absolue vers un hôpital. L’enseignante, blessée au visage, a également été prise en charge médicalement, mais ses jours ne sont pas en danger.

La ministre de l’Éducation nationale démissionnaire, Élisabeth Borne, a condamné « avec force » l’agression et annoncé sa venue sur place. Elle a confirmé l’activation d’une cellule d’urgence pour accompagner les élèves et le personnel. Des cellules psychologiques ont également été mises en place.

Une violence scolaire qui réveille de douloureux précédents

L’agression de Benfeld ravive le souvenir de plusieurs drames récents ayant endeuillé ou bouleversé l’école en France :

  • Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), octobre 2020 : le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty est assassiné par un terroriste islamiste devant son collège.
  • Arras (Pas-de-Calais), octobre 2023 : le professeur de français Dominique Bernard est tué au couteau par un ancien élève radicalisé dans son lycée.
  • Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), février 2023 : une enseignante d’espagnol est poignardée en plein cours par un élève de 16 ans.
  • Caen (Calvados), janvier 2024 : un élève de 15 ans est gravement blessé au couteau par un camarade dans un lycée professionnel.

Ces épisodes illustrent la récurrence des violences graves en milieu scolaire français.

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Tunisie : Les barrages remplis à 28,7%, signe persistant de stress hydrique

Au 15 septembre 2025, les barrages tunisiens n’étaient remplis qu’à 28,7%, soit 679,6 millions de m³ d’eau stockée. Malgré une légère amélioration par rapport à la moyenne des trois dernières années, la Tunisie reste en situation de stress hydrique structurel, selon les données publiées par l’ONAGRI.

Des réserves concentrées au nord

La quasi-totalité des stocks d’eau reste concentrée dans les barrages du nord (91,9%), contre 6,3% pour le centre et seulement 1,8% pour le Cap-Bon. Les deux principaux barrages du pays affichent des niveaux préoccupants : Sidi Salem (23,3%) et Sidi el-Barrak (41,6%).

Des apports en forte baisse

Entre le 1er et le 15 septembre, les apports en eau aux barrages n’ont pas dépassé 7,7 millions de m³, soit une chute de 68% par rapport à 2024 et de plus de 80% par rapport à la moyenne historique. Le nord a reçu 75,3% de ces apports, loin devant le centre (23,4%) et le Cap-Bon (1,3%).

Une pénurie structurelle

Avec moins de 400 m³ d’eau douce disponible par habitant et par an, la Tunisie se situe bien en dessous du seuil de 1700 m³ défini par la FAO pour caractériser le stress hydrique. Cette situation met en évidence la vulnérabilité du pays face à la sécheresse, au changement climatique et à la forte dépendance de l’agriculture à l’irrigation.

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Tunisie : Accès à l’eau, inclusion, emploi… L’AFD engage 54,5 M€

L’Agence Française de Développement (AFD) a signé, vendredi à Tunis, une série de conventions de financement totalisant 54,5 millions d’euros. Ces accords visent trois axes stratégiques : l’accès à l’eau potable, l’inclusion économique des plus vulnérables et la formation professionnelle des jeunes.

Sécuriser l’accès à l’eau potable pour 6 millions de Tunisiens

La SONEDE bénéficiera de 42,5 M€ pour deux projets majeurs : renforcer le système d’adduction Cap Bon – Sahel – Sfax et sécuriser l’approvisionnement du Grand Tunis. Ces fonds financeront la construction de stations de traitement, de réservoirs et de conduites supplémentaires, garantissant un réseau plus fiable.

Près de la moitié de la population tunisienne devrait profiter directement de ces investissements, qui répondent aux enjeux critiques d’urbanisation et de préservation des ressources.

Inclusion économique des ménages vulnérables

Un appui budgétaire de 5 M€ est accordé au Ministère des Affaires sociales pour son programme d’autonomisation des catégories pauvres, à revenus limités et des personnes handicapées.

Ce financement permettra de doubler les capacités du dispositif, avec subventions et accompagnement pour créer des activités génératrices de revenus, ciblant particulièrement les régions marquées par la pauvreté et les migrations internes.

Formation et mobilité professionnelle des jeunes

Pour lutter contre un chômage des 15-24 ans qui atteint 37,7 %, l’AFD et le ministère français des Affaires étrangères lancent un projet de 7 M€. Deux centres pilotes – à Sousse et Grombalia – seront modernisés pour devenir des pôles d’excellence.

Objectifs :

  • former 1 800 apprenants en trois ans,
  • garantir un taux d’emploi de 100 % un an après la formation,
  • développer 10 nouvelles filières,
  • et accompagner 100 jeunes de retour de mobilité internationale.

Une coopération stratégique franco-tunisienne

« Ces financements n’ont de sens que par leur mise en œuvre effective », a rappelé Philippe Orliange, directeur exécutif de l’AFD, soulignant la volonté d’un partenariat centré sur les résultats.

De son côté, le ministre tunisien de l’Économie Samir Abdelhafidh a insisté sur « l’ampleur et la diversité » de cette coopération, jugée parfaitement alignée avec les priorités économiques et sociales de la Tunisie.

La cérémonie officielle de signature s’est tenue au Ministère de l’Économie et de la Planification, en présence de M. Samir Abdelhafidh, ministre de l’Économie et de la Planification, de M. Abdelhamid Mnajja, PDG de la SONEDE, de M. Philippe Orliange, Directeur exécutif des Géographies de l’AFD ainsi que de SE Mme Anne Guéguen, Ambassadrice de France en Tunisie.

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Attaque à l’arme blanche à Marseille : Un Tunisien abattu après avoir blessé cinq personnes

Mardi 2 septembre en plein centre-ville de Marseille, un homme armé de couteaux et d’une matraque a blessé au moins cinq personnes, dont une grièvement, avant d’être abattu par la police. Le suspect, un ressortissant tunisien, venait d’être expulsé de son hôtel.

Expulsé de son hôtel rue des Petites-Maries, l’homme est revenu peu après armé de deux couteaux et d’une matraque. Il a d’abord poignardé un colocataire au flanc – cette victime est la plus gravement touchée et a été hospitalisée en urgence absolue.

Il s’en est ensuite pris au gérant de l’hôtel, puis au fils de ce dernier qu’il a atteint dans le dos. Tous deux sont en urgence relative, leurs jours ne seraient pas en danger.

L’assaillant a poursuivi sa course dans un snack voisin, où il a tenté de s’en prendre au gérant et à des clients. Mis en fuite, il a poursuivi sa course, frappant des passants à la matraque. La police est intervenue rapidement et, face à son refus de se rendre, a ouvert le feu. L’assaillant est décédé malgré les tentatives de réanimation.

Enquête en cours

Le procureur de la République, Nicolas Bessone, a indiqué que le suspect avait « proféré un certain nombre de paroles », en cours de vérification. La police judiciaire de Marseille est saisie pour tentative d’homicide volontaire et homicide volontaire sur personnes dépositaires de l’autorité.

Le préfet de région, le maire de Marseille, la maire de secteur et l’adjoint à la sécurité se sont rendus sur place. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, est attendu dans la soirée.

Selon une source proche du dossier, le Parquet national antiterroriste (PNAT) observe la procédure mais ne s’est pas encore saisi de l’affaire. L’hypothèse terroriste reste « à l’étude ».

Un témoin présent au moment des faits a raconté que la police était intervenue « très vite » et avait tenté d’arrêter l’homme devant un fast-food avant qu’il ne tente d’attaquer un policier au couteau.

Profil de l’assaillant

Selon Le Figaro, l’homme se prénommait Abdelkader D., âgé de 35 ans. Il devait comparaître prochainement devant la justice pour provocation à la haine.

Bien que non fiché S, il était connu pour son instabilité psychologique : il avait été expulsé d’une mosquée pour des « propos agressifs » et faisait l’objet d’un suivi psychiatrique recommandé par le renseignement territorial.

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Eau en Tunisie : Les barrages à seulement 30,9% malgré une hausse des apports

Les réserves d’eau atteignent 731 millions de m³ au 25 août 2025, en progression par rapport à 2024. Mais la moyenne des trois dernières années reste hors d’atteinte, et les déséquilibres régionaux se creusent.

Des réserves en hausse mais encore insuffisantes

Au 25 août 2025, les barrages tunisiens affichent un taux de remplissage global de 30,9%, soit environ 731 millions de m³ d’eau stockés. C’est une amélioration de 32,3% par rapport à l’an dernier, mais le niveau reste inférieur de 9,5% à la moyenne triennale.

Des apports hydriques en forte progression

Entre le 1er septembre 2024 et le 23 août 2025, les apports cumulés en eau ont atteint 980,3 millions de m³, en hausse de 49% par rapport à la même période de 2024. Toutefois, pour la seule journée du 25 août, les apports (0,39 million de m³) restent bien en deçà des prélèvements (2,03 millions de m³).

Le Nord accapare 92% des réserves

La répartition reste très déséquilibrée : les barrages du Nord sont remplis à 36,3% et concentrent 92% des ressources disponibles. En revanche, la situation est critique dans le Centre (9,9%) et préoccupante au Cap-Bon (21,2%).

Une pression croissante sur les ressources

Ces chiffres confirment que la Tunisie, confrontée à une sécheresse structurelle, dépend largement de la pluviométrie au Nord. La pression s’accentue sur la gestion durable de l’eau, alors que les besoins en irrigation et en consommation domestique ne cessent d’augmenter.

L’article Eau en Tunisie : Les barrages à seulement 30,9% malgré une hausse des apports est apparu en premier sur webdo.

En 2025, la Goulette va recevoir 154 croisières

Le Terminal des croisières de la Goulette va recevoir au cours de l’année 2025 pas moins de 154 navires selon la programmation arrêtée.

Tunis consolide sa position en tant qu’escale pour les croisières organisées par les grandes compagnies internationales en Méditerranée. En 2025, le terminal de la Goulette devrait enregistrer  à lui seul 154 escales de navires, dont essentiellement ceux de la compagnie MSC avec notamment son navire, le Fantasia.

Programme détaillé des navires attendus:

02/01/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

 09/01/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

16/01/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

23/01/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

27/01/2025 : VIKING SATURN (VIKING OCEAN CUISES LTD)

 30/01/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

 06/02/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

 06/02/2025 : SPIRIT OF ADVENTURE (SAGA CRUISES)

13/02/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

19/02/2025 : RENAISSANCE (Compagnie Française de Croisières)

20/02/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

 27/02/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

01/03/2025 : VIKING SATURN (VIKING OCEAN CUISES LTD)

06/03/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

07/03/2025 : CLIO (GRAND CIRCLE CRUISE LINE)

13/03/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

16/03/2025 : VIKING SATURN (VIKING OCEAN CUISES LTD)

20/03/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

27/03/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

02/04/2025 : LE DUMONT D’URVILE (PONANT)

03/04/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

07/04/2025 : SERENITY (CRYSTAL CRUISES)

10/04/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

17/04/2025 : MSC FANTASIA (MSC CRUISES)

18/04/2025 : WORLD EXPLORER (Rivages du Monde)

19/4/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

24/04/2025 : WORLD EXPLORER (Rivages du Monde)

29/04/2025 : SEVEN SEAS NAVIGATOR (REGENT SEVEN SEAS CRUISES)

30/04/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

01/05/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

02/05/2025 : SEABOURN SOJOURN (Seabourn Cruise Line)

05/05/2025 : CORINTHIAN (GRAND CIRCLE CRUISE LINE)

07/05/2025 : ALLURA (OCEANIA CRUISES)

08/05/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

08/05/2025 : CRYSTAL SERENITY (CRYSTAL CRUISES)

11/05/2025 : CORINTHIAN (GRAND CIRCLE CRUISE LINE)

12/05/2025 : MARINA (OCEANIA CRUISES)

14/05/2025 : CRYSTAL SYMPHONY (CRYSTAL CRUISES)

14/05/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

15/05/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

15/05/2025 : EVRIMA (Ritz-Carlton Yacht Collection)

15/05/2025 : AMBIENCE (EMBASSADOR CRUISE LINE)

16/05/2025 : OOSTERDAM (HOLLAND AMERICA LINE)

21/05/2025 : SEBOURNE OVATION (Seabourn Cruise Line)

22/05/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

26/05/2025 : CRYSTAL SERENITY (CRYSTAL CRUISES)

26/05/2025 : OOSTERDAM (HOLLAND AMERICA LINE)

28/05/2025 : ALLURA (OCEANIA CRUISES)

28/05/2025 : SEVEN SEAS SPLENDOR (REGENT SEVEN SEAS CRUISES)

29/05/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

04/06/2025 : WORLD NAVIGATOR (MYSTIC CRUISES)

05/06/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

05/06/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

12/06/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

12/06/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

16/06/2025 : CLUB MED II (Club Med Cruises)

17/06/2025 : Deutschland (Semester At Sea)

19/06/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

19/06/2025 : BOREALIS (FRED OLSEN CRUISES)

26/06/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

27/06/2025 : SEBOURNE OVATION (Seabourn Cruise Line)

28/06/2025 : SEVEN SEAS SPLENDOR (REGENT SEVEN SEAS CRUISES)

03/07/2025 : NAUTICA (OCEANIA CRUISES)

03/07/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

06/07/2025 : AZMARA POURSUIT (Azmara Club Cruises)

07/07/2025 : OOSTERDAM (HOLLAND AMERICA LINE)

07/07/2025 : WORLD NAVIGATOR (MYSTIC CRUISES)

10/07/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

10/07/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

17/07/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

24/07/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

27/07/2025 : OOSTERDAM (HOLLAND AMERICA LINE)

31/07/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

05/08/2025 : CRYSTAL SYMPHONY (CRYSTAL CRUISES)

07/08/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

07/08/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

14/08/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

15/08/2025 : NAUTICA (OCEANIA CRUISES)

16/08/2025 : SEBOURNE OVATION (Seabourn Cruise Line)

20/08/2025 : SH DIANA (SWAN HELLENIC CRUISES)

21/08/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

24/08/2025 : ALLURA (OCEANIA CRUISES)

27/08/2025 : RENAISSANCE (Compagnie Française de Croisières)

28/08/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

31/08/2025 : LE BOUGAINVILLE (PONANT)

04/09/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

04/09/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

05/09/2025 : CLUB MED II (Club Med Cruises)

11/09/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

18/09/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

18/09/2025 : SILVER RAY (Silversea Cruises)

18/09/2025 : SEVEN SEAS VOYAGER (REGENT SEVEN SEAS CRUISES)

22/09/2025 : PACIFIC WORLD (Peace Boat)

23/09/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

25/09/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

26/09/2025 : NAUTICA OCEANIA CRUISES

01/10/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

02/10/2025 : RENAISSANCE (Compagnie Française de Croisières)

02/10/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

02/10/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

02/10/2025 : WORLD NAVIGATOR (MYSTIC CRUISES)

03/10/2025 : AZMARA JOURNEY (Azmara Club Cruises)

07/10/2025 : AMERA (Phoenix Reisen)

09/10/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

105 12/10/2025 : SPIRIT OF DISCOVERY (SAGA CRUISES)

106 14/10/2025 CORINTHIAN : (GRAND CIRCLE CRUISE LINE)

16/10/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

17/10/2025 : MSC EXPLORA II (MSC CRUISES)

20/10/2025 : CORINTHIAN (GRAND CIRCLE CRUISE LINE)

21/10/2025 : NIEUW STATENDAM (HOLLAND AMERICA LINE)

21/10/2025 : WORLD VOYAGER (MYSTIC CRUISES)

21/10/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

22/10/2025 : COSTA PACFIFICA (COSTA CROISIERE)

22/10/2025 : SIRENA (OCEANIA CRUISES)

23/10/2025 : AZMARA QUEST (Azmara Club Cruises)

23/10/2025 : MSC SEASIDE (MSC CRUISES)

23/10/2025 : NAUTICA (OCEANIA CRUISES)

26/10/2025 : CRYSTAL SYMPHONY (CRYSTAL CRUISES)

28/10/2025 : COSTA FASCINOSA (COSTA CROISIERE)

29/10/2025 : COSTA PACFIFICA (COSTA CROISIERE)

28/10/2025 : RENAISSANCE (Compagnie Française de Croisières)

29/10/2025 : SEVEN SEAS GRANDEUR (Regent Seven Seas Cruises)

31/10/2025 : SEVEN SEAS MARINER (Regent Seven Seas Cruises)

04/11/2025 : VICTORIA MAJESTY (VICTORIA CRUISES)

04/11/2025 : Marina (OCEANIA CRUISES)

05/11/2025 : COSTA PACFIFICA (COSTA CROISIERE)

06/11/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

06/11/2025 : BALMORAL (FRED OLSEN CRUISES)

08/11/2025 : VOLENDAM (HOLLAND AMERICA LINE)

08/11/2025 : (ARTANIA PHNOEIX REISEN)

10/11/2025 : SEVEN SEAS VOYAGER (REGENT SEVEN SEAS CRUISES)

12/11/2025 : SIRENA (OCEANIA CRUISES)

12/11/2025 : COSTA PACFIFICA (COSTA CROISIERE)

13/11/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

 14/11/2025 : SEBOURNE OVATION (Seabourn Cruise Line)

18/11/2025 : AMBITION (AMBASSADOR CRUISE LINE)

19/11/2025 : COSTA PACFIFICA (COSTA CROISIERE)

20/11/2025 : VIKING SATURN (VIKING OCEAN CRUISES LTD)

20/11/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

22/11/2025 : SILVER WHISPER (Silversea Cruises)

25/11/2025 : CRYSTAL SYMPHONY (CRYSTAL CRUISES)

26/11/2025 : COSTA PACFIFICA (COSTA CROISIERE)

27/11/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

30/11/2025 : VIKING NEPTUNE (VIKING OCEAN CRUISES LTD)

03/12/2025 : COSTA PACIFICA (COSTA CROISIERE)

04/12/2024 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

05/12/2025 : VIKING SATURN (VIKING OCEAN CRUISES LTD)

10/12/2025 : SILVER MUSE (Silversea Cruises)

11/12/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

11/12/2025 : CLIO (GRAND CIRCLE CRUISE LINE)

15/12/2025 : VIKING NEPTUNE (VIKING OCEAN CRUISES LTD)

15/12/2025 : LE LAPEROUSE (PONANT)

18/12/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

25/12/2025 : MSC SPLENDIDA (MSC CRUISES)

 

 

 

 

 

 

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