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Décès de la journaliste Radhia Ezzaïdi : la presse tunisienne en deuil

Décès de la journaliste Radhia Ezzaïdi : la presse tunisienne en deuil

La journaliste tunisienne Radhia Ezzaïdi est décédée ce samedi 15 novembre 2025, laissant une profonde tristesse au sein de la famille médiatique. Forte d’un long parcours à Dar Assabah et dans plusieurs plateformes d’information, la défunte était reconnue pour son professionnalisme, sa bienveillance et la qualité de ses relations humaines. Sa discrétion, son éthique de […]

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Chadha Hadj Mbarek | L’audience en appel fixée

L’audience en appel de la journaliste Chadha Hadj Mbarek a été fixée pour le 2 décembre 2025, annonce son frère ce mardi 11 novembre.

La jeune journalise qui est en détention, est poursuivie dans l’affaire Instalingo pour des chefs d’accusation lourds, qu’elle et sa défense réfutent catégoriquement.

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) et les avocats ont d’ailleurs toujours insisté sur le caractère purement journalistique de son travail et dénoncé une instrumentalisation de la justice contre la liberté de la presse, d’autant qu’elle a été condamnée en première instance à une peine de cinq ans de prison.

Y. N.

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Il a survécu aux frappes sionistes… mais pas aux milices à Gaza !

Le 12 octobre 2025, le journaliste palestinien Saleh Al-Jafarawi a été tué par balle dans le quartier de Sabra, à Gaza, alors qu’il couvrait des affrontements violents entre le groupe Hamas et la milice Doghmush. Selon plusieurs sources, dont la chaîne Al Jazeera, Al-Jafarawi portait un gilet de presse au moment de sa mort .

Agé de 28 ans, Al-Jafarawi était connu pour ses vidéos virales soutenant le Hamas et documentant de manière dramatique ses blessures présumées lors des frappes israéliennes. Il avait acquis une notoriété en ligne et était surnommé « Mr. FAFO » en raison de ses multiples rôles, notamment en tant que combattant, journaliste et victime, ce qui avait suscité à la fois des moqueries et des accusations de propagande.

Avant sa mort, Al-Jafarawi avait déclaré vivre dans une peur constante après avoir reçu des menaces de la part des forces israéliennes. Son décès survient dans un contexte de violences inter-palestiniennes, avec des affrontements ayant fait au moins 52 morts parmi les membres du clan Doghmush et 12 militants du Hamas.

La mort d’Al-Jafarawi s’inscrit dans un contexte plus large de répression de la liberté de la presse à Gaza. Depuis le début du conflit en octobre 2023, plus de 270 journalistes ont été tués dans la région, faisant de ce conflit le plus meurtrier pour les travailleurs des médias.

Des experts des Nations Unies ont exprimé leur indignation face à l’assassinat de six journalistes palestiniens, dont deux femmes, dans plusieurs frappes israéliennes à Gaza, soulignant la nécessité d’une protection internationale pour les journalistes dans les zones de conflit.

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Vives réactions après une interview controversée de la journaliste tunisienne Rim Bougamra

Dans un contexte marqué par l’offensive meurtrière que mène l’occupation israélienne contre le peuple palestinien, notamment dans la bande de Gaza, où des dizaines de milliers de victimes ont été recensées – en majorité des civils, parmi eux 254 journalistes tombés dans l’exercice de leur métier – une polémique secoue aujourd’hui la scène médiatique tunisienne.

La journaliste tunisienne Rim Bougamra a accordé un entretien télévisé à l’un des responsables de la guerre au sein du gouvernement israélien, diffusé sur la chaîne Al Arabiya. Une initiative qui a immédiatement suscité l’indignation de le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), lequel a publié un communiqué dénonçant « une violation flagrante de l’éthique journalistique » et « un acte de normalisation médiatique inacceptable ».

Le syndicat a souligné qu’« aucune nécessité professionnelle ni intérêt journalistique ne justifie d’offrir une tribune à un responsable d’un gouvernement impliqué dans des crimes de guerre et contre l’humanité ». Pour le SNJT, ce type d’interview « ne représente aucune valeur ajoutée sur le plan informatif », mais sert plutôt à « blanchir l’occupation et à tromper l’opinion publique ».

L’organisation a également estimé que la diffusion d’un tel entretien « ne saurait être réduite à un simple choix éditorial », mais relève d’« une décision politique enrobée d’un vernis médiatique », visant à briser le consensus arabe et populaire autour du refus de la normalisation avec Israël.

Le communiqué rappelle que les journalistes tunisiens sont moralement et professionnellement tenus de respecter les convictions du peuple tunisien, historiquement attaché à la cause palestinienne et fermement opposé à toute forme de normalisation – qu’elle soit politique, culturelle ou médiatique. La SNJT appelle ainsi les journalistes à s’engager activement dans la dénonciation des crimes de l’occupation et dans une couverture professionnelle du combat du peuple palestinien, loin de toute complaisance.

Enfin, le syndicat réaffirme sa conviction que « le vrai journalisme consiste à se tenir du côté des causes justes, des victimes et de la voix des peuples opprimés », rejetant ce qu’il qualifie de « faux langage de neutralité » qui sert, selon lui, à maquiller une forme de complicité médiatique avec l’occupant.

À la suite de cette affaire, une large campagne de dénonciation a éclaté sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes tunisiens et arabes ont fustigé le choix de la journaliste et appelé à un respect strict des positions historiques de la Tunisie vis-à-vis de la cause palestinienne.

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Sidi Bousaïd sur le chemin de l’Unesco

La candidature de Sidi Bousaïd pour intégrer la liste du Patrimoine mondial sera présentée par la Délégation permanente de Tunisie auprès de l’Unesco le 15 avril 2025.

Sidi Bousaïd sur la liste des biens culturels classés par l’Unesco ? C’est en tout cas l’objectif  de la demande qui va être déposée par la Tunisie le 15 avril 2025 en tant que bien sous le thème « Village de Sidi Bou Saïd : Harmonie architecturale et spirituelle en Méditerranée ».

La Task Force chargée de rédiger le dossier va s’appuyer sur un certain nombre de critères afin de mettre en exergue les caractéristiques du village.

Sidi Bousaïd, selon l’argumentaire présenté, est en effet un témoignage exceptionnel d’un village côtier de la rive sud de la Méditerranée, développé à partir du 18e siècle autour d’un monument religieux, la zaouia de Sidi Bou Saïd, en s’adaptant à la topographie et à la géologie de la colline sur laquelle il se trouve en conservant les caractéristiques architecturales qui lui ont valu de devenir l’un des premiers sites patrimoniaux de la région, en bénéficiant, dès 1915, d’un texte juridique rédigé spécifiquement pour le sauvegarder.

C’est aussi un témoignage d’une histoire riche et d’un échange culturel significatif: reflet de diverses expressions architecturales et des savoir-faire ancestraux issus d’influences méditerranéennes, et ce, depuis le 18e siècle jusqu’à présent, créant un paysage harmonieux.

La présentation rappelle aussi que c’est un haut lieu de spiritualité et d’art: le village est matériellement associé à des traditions vivantes, des croyances liées au soufisme encore en pratique ayant une influence rayonnante dans une aire géographique élargie. La richesse naturelle du bien, associée à son architecture spécifique, sont des sources d’inspiration indéniables pour des artistes ayant créé des œuvres artistiques et littéraires à caractère universel.

Pourquoi protéger Sidi Bousaïd :

Les menaces d’ordre géologique et climatique qui ne cessent de s’accentuer à partir du 20e siècle ont causé des points de faiblesse du sol de la colline qui n’ont, à ce jour, pas affecté sa stabilité globale, même si la situation est devenue préoccupante comme l’attestent des observations in situ et des études récentes. Ces menaces ont été jusqu’à présent atténuées grâce à des solutions de stabilisation du sol par des actions telles qu’un boisement et des techniques ancestrales ainsi que par les lois en vigueur relatives à la gestion du développement urbain, la protection du littoral, des sols et des espaces verts. La problématique de la stabilité de la colline demeure une préoccupation majeure.

Les mutations socioéconomiques et urbaines ainsi que l’affluence touristique n’ont pas affecté l’intégrité du bien qui a conservé sa fonction résidentielle, la villégiature d’été s’étant développée en résidence permanente. De même que la transformation des petits commerces de proximité en boutiques d’artisanat ou de restauration n’a pas affecté le bien. Ainsi l’ensemble architectural a pu garder son intégrité.

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