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Gaza sur les écrans des JCC

Les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) 2025 s’annoncent comme un événement placé sous le signe de l’engagement et de la résilience, avec une présence palestinienne plus que jamais poignante

Au-delà de l’ouverture très attendue avec le film « Palestine 36 » d’Annemarie Jacir, une œuvre collective émerge comme un manifeste cinématographique incontournable : « From Ground Zero » , pour s’adresser au monde à travers un cinéma qui change… un cinéma qui rêve… un cinéma qui pense…

Du cœur de la Palestine, de l’enclave assiégée de Gaza, ces histoires traversent ne sont pas de simples films mais des témoignages bruts qui documentent la douleur, la bravoure et l’espoir inébranlable d’un peuple.

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Y. N.

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JCC 2025 | Hommage à la force libre et indocile du cinéma d’Amérique latine

Cette année, les Journées Cinématographiques de Carthage rendent hommage à la force libre et indocile du cinéma d’Amérique latine, en proposant une sélection d’œuvres qui racontent un territoire traversé par la mémoire, la lutte et l’imaginaire.

Des Andes au littoral chilien, des villes en tension aux communautés autochtones, ces films dessinent un continent vibrant où l’universel et l’intime se mêlent en permanence.

Avec Les Bruits de Recife, La Chute du Ciel, Le Sang du Condor, Utama, L’Été des Poissons Volants, Mon Pays Imaginaire et La Noce de 12 Años, cette section salue des cinéastes qui, génération après génération, ont façonné un cinéma de résistance, au carrefour de l’enquête sociale, du réalisme magique et des luttes populaires.

À travers eux, les JCC réaffirment leur engagement historique envers un cinéma très peu visible sur les écrans malgré sa puissance et les peuples qui se battent pour leur terre et luttent pour leur dignité.

Depuis leur création, les JCC portent une conviction simple : le cinéma n’est pas seulement un art, mais un espace de parole, de mémoire et d’émancipation.

Ces films latino-américains, courageux et sensibles, témoignent de cette même volonté – filmer pour comprendre, filmer pour résister, filmer pour ne pas disparaître.

Les JCC honorent ici un cinéma qui éclaire les peuples et accompagne leurs combats et nous offre ainsi un voyage cinématographique traversé de révoltes, de poésie et d’espoir, où chaque image dialogue avec les luttes d’hier et d’aujourd’hui.

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Communiqué

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Tunis | « Hola Frida » le 22 novembre à l’IFT

L’Institut français de Tunisie (IFT) annonce la projection du film d’animation « Hola Frida » de Andrée Kadi et Karine Vézina destiné à son jeune public.

Le rendez-vous est donné pour le samedi 22 novembre à 16h à l’Auditorium de l’IFT, sachant que les billets (Tarif : 6 DT) sont en vente à l’accueil de l’Institut et en ligne sur son site web.

—- Résumé —-

C’est l’histoire d’une petite fille différente. Son monde, c’est Coyoacan au Mexique. Pétillante, vibrante, tout l’intéresse. Et lorsque les épreuves se présentent, elle leur fait face grâce à un imaginaire débordant. Cette petite fille s’appelle Frida Kahlo !

Bande-annonce :

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Tahar Bekri | De Gabès là où la poésie le mène

Tahar Bekri, grand poète tunisien et lauréat du Prix de la langue et de la littérature françaises de l’Académie française, 2019, fut l’un des premiers écrivains et poètes d’Afrique du Nord que j’ai rencontrés dès mes premiers jours à Paris. Vidéo.

Mostafa Khalaji

Tahar Bekri, maître de conférences honoraire à l’Université Paris-Nanterre, aujourd’hui âgé de soixante-quatorze ans, vit à Paris depuis 1976. Il est l’auteur de dizaines de recueils de poésie, d’essais et de traduction poétique. Ses œuvres ont été traduites en plusieurs langues, notamment, en russe, anglais, italien, espagnol et turc, et ont fait l’objet de recherches universitaires tunisiennes et étrangères.

Le poète appartient à une génération d’intellectuels tunisiens ayant grandi dans le contexte de la modernisation initiée par Habib Bourguiba, père de l’indépendance tunisienne.

Poète bilingue, écrivant à la fois en arabe et en français, il attribue sa maîtrise de ces deux langues à la tradition d’un enseignement moderne, bilingue en Tunisie, instauré bien avant la colonisation.

Bekri a composé ses premiers poèmes à l’âge de treize, quatorze ans, après la mort de sa mère quand il avait dix ans, et ce dans sa palmeraie natale, Gabès, dans le sud tunisien. Il fut très tôt encouragé par ses enseignants à Sfax.

La langue française lui a offert la possibilité d’exprimer plus librement ses émotions et se libérer de la complexité de la tradition poétique et métrique arabe.

Bekri possède une connaissance remarquable de la littérature persane et même turque.

Dans l’entretien que j’ai eu avec lui, à son domicile parisien, il a souligné qu’avant de découvrir la poésie persane, il avait pris connaissance de la culture persane à travers la langue arabe : «Les auteurs persans comptent parmi les fondateurs de la prose arabe, comme Ibn Al-Muqaffa’, il en est de même pour la pensée philosophique».

En évoquant l’influence de Hafez sur Goethe, Bekri a ajouté qu’un lecteur curieux pouvait découvrir la poésie persane, même à travers la littérature occidentale : «Le XVIIIᵉ siècle occidental a été marqué par la pensée et la poésie persanes. C’est une réalité.»

Il connaît également la littérature iranienne contemporaine, notamment, la poésie d’Ahmad Shamlou et les récits de Sadegh Hedayat.

«Les poètes iraniens d’aujourd’hui, confie le poète, sont des poètes qui luttent contre l’injustice et le fanatisme. Ils aspirent à la liberté, et les thèmes qu’ils abordent — tels que l’amour de la patrie et l’exil — sont des thèmes modernes, en accord avec les recherches et les explorations de la poésie contemporaine.»

Bekri admire la «dimension intérieure» dans la création des Iraniens, pleine «d’amour de la vie et du refus de la mort», et souligne : «L’univers philosophique de la poésie persane est d’une grande profondeur.»

Tout en regrettant de ne jamais avoir voyagé en Iran, il dénonce en revanche «l’islamisme extrémiste, rigide et fanatique» qui s’est imposé après la révolution iranienne, et qui, selon lui, n’utilise la politique que comme un instrument de conquête du pouvoir.

Vidéo de l’entretien.

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SOS village d’enfants Tunisie | Olfa Jerad Rekrouki sacrée « Mère des Mères »

Après plus de 28 ans passés au service des enfants et de l’humain, la grande famille de l’Association Tunisienne des Villages d’Enfants SOS (ATVESOS) rend un hommage à Madame Olfa Jerad Rekrouki, sacrée « Mère des Mères ».

Pour son dévouement inestimable, son amour sans faille et son expertise qu’elle a généreusement partagés avec les enfants, les jeunes, les mères SOS et toutes les équipes de l’association, elle a reçu le titre et le trophée plus que mérités, commente l’association.

Olfa Jerad Rekrouki « Mère des Mères », a été honorée en reconnaissance d’un parcours professionnel et humain dont l’empreinte restera dans chaque cœur qu’elle a touché

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