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Tunisie : le ministère de l’Emploi prévoit 400 nouvelles sociétés communautaires et 5 000 auto-entrepreneurs en 2026

La séance plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le conseil national des régions et des districts consacrée à l’examen du budget alloué à la mission de l’emploi et de la formation professionnelle pour l’année 2026, a démarré mercredi matin, au palais du Bardo.

Les dépenses de la mission de l’emploi et de la formation professionnelle pour l’année 2026 ont été fixées à environ 1063. 900 millions de dinars, contre 1015.35 millions de dinars en 2025, soit une augmentation de 5%.

Les dépenses de la mission de l’emploi et de la formation professionnelle se répartissent comme suit : les dépenses salariales s’élèvent à 463.286 millions de dinars, les dépenses de gestion à 50.370 millions de dinars, les dépenses d’intervention à 546.560 millions de dinars, et les dépenses d’investissement à 3.900 millions de dinars.

Selon un rapport conjoint entre la commission de l’éducation, de la formation professionnelle, de la recherche scientifique, de la jeunesse et des sports à l’ARP et la commission des services et du développement social au conseil national des régions et des districts, le ministère de l’emploi a assuré la formation d’environ 52 mille apprenants en 2025 et 16 mille stagiaires avec un taux de mobilisation d’environ 87%.

L’infrastructure des centres de formation a été renforcée en 2025, outre la mise à jour des programmes pédagogiques et l’équipement de 32 centres, dans le cadre de partenariats internationaux et la création de nouvelles spécialités.

Les projets de réhabilitation ont été renforcés pour préparer les centres à la nouvelle rentrée de la formation et des interventions ont été réalisées dans plus de 70 établissements à travers l’agence tunisienne de formation professionnelle. La stratégie de communication et de sensibilisation dans le secteur de la formation professionnelle a été développée au cours de l’année 2025, ainsi que le système d’inscription à distance.

Selon le même même rapport, l’année 2026 sera marquée par la mise en œuvre des projets programmés, le lancement d’appels d’offres pour plusieurs nouveaux centres de formation, l’exploitation d’un système de veille des métiers pour déterminer les besoins de l’économie en compétences à court et moyen terme, en s’appuyant sur des études, des enquêtes sur le terrain et des plateformes numériques spécialisées.

Concernant le programme de développement de l’initiative privée et des sociétés communautaires, 230 sociétés communautaires ont été lancées ayant généré 380 postes d’emploi et 88 sociétés ont obtenu des financements de plus de 29.46 millions de dinars, outre la révision du cadre législatif des sociétés communautaires par le décret-loi numéro 3 de l’année 2025, en vue de simplifier les procédures de création, de participation, de gestion et de gouvernance.

S’agissant de la diffusion et l’enracinement de la culture d’entreprenariat, le ministère de l’emploi a introduit un volet spécifique à l’initiative privée dans les programmes pédagogiques dans 10 centres de formation professionnelle et lancé la plateforme “Moubader” (auto-entrepreneur) pour regrouper les services d’accompagnement et d’encadrement.

Le ministère de l’emploi s’emploie à créer 400 nouvelles sociétés communautaires en 2026 et à accroitre le nombre des bénéficiaires du régime d’auto-entrepreneur pour atteindre 5 mille.

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Prix Abou El Kacem Chebbi 2025 : Kamilia Abdelfattah lauréate du prix d’excellence

Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de TunisieLa 31ᵉ édition du Prix Abou El Kacem Chebbi pour la littérature arabe a renforcé la place de la Tunisie dans le paysage littéraire régional. Organisé par la Banque de Tunisie, le prix illustre le rôle croissant des institutions financières en tant qu’acteurs de la renaissance culturelle. La diversité des œuvres en compétition confirme la vitalité de la création arabe et consolide la légitimité de l’initiative de la Banque de Tunisie en tant que mécène.

Quarante-trois romans venus de Tunisie, d’Égypte, d’Algérie, d’Irak, d’Oman, de Palestine, de Syrie et d’autres pays ont été soumis cette année. La sélection finale a retenu quatre titres, dont La Névrose de Staline d’Abdelouahab Aïssaoui et La Trace de l’ours de Honar Karim. Le prix d’excellence, doté de 25 000 dinars, a été attribué à la romancière égyptienne Kamilia Abdelfattah pour « An Yataarajah Bika » (“أن يتأرجح بك”), distingué pour sa profondeur psychologique et sa finesse narrative.

Un prix d’excellence littéraire et un engagement régional

Le prix d’honneur, d’un montant de 10 000 dinars, est revenu au sociologue tunisien Tahar Labib. La présence de l’intellectuel qatari Khaled Al Jabeur comme invité d’honneur et le rôle du jury, présidé par Moncef Louhaibi, ont renforcé la dimension régionale du prix.

La cérémonie a rassemblé des personnalités diplomatiques et culturelles, dont l’ambassadeur de Palestine à Tunis, Rami Al Qidoumi, et celui du Qatar, Zayed Bin Saad Al Khayarin. Écrivains, critiques et acteurs du monde littéraire ont également pris part à l’événement, soulignant l’ampleur du rayonnement de cette édition.

Jeunesse, héritage et transmission

La soirée a également rendu hommage aux jumelles tunisiennes Bissan et Bilsan Kouka, lauréates du Défi de la lecture arabe 2025 à Dubaï. Elles ont récité des poèmes d’Abou El Kacem Chebbi et ont reçu des certificats de reconnaissance ainsi que des carnets d’épargne, geste symbolique d’encouragement à la jeunesse tunisienne et à sa relation à la lecture.

La diversité des candidatures et l’engagement des participants ont confirmé la portée de ce prix littéraire, qui reste un espace d’expression, de rencontre et de transmission. Par son ancrage et sa régularité, le Prix Abou El Kacem Chebbi demeure un acteur incontournable du dialogue culturel arabe.

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Prix Abou El Kacem Chebbi de la Banque de Tunisie : Quand la Tunisie fait vibrer la voix des lettres arabes

Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de Tunisie
Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi 2025

Samedi 22 novembre 2025, la Banque de Tunisie a célébré au Palais Ksar Said la 31ᵉ édition du Prix Abou El Kacem Chebbi pour la littérature arabe. La cérémonie, organisée devant un public nombreux, a consacré cette année le roman et dévoilé le nom de la lauréate.

L’écrivaine égyptienne Camélia Abdel Fattah a remporté le prix pour son œuvre « An Yataarajah Bika » (“أن يتأرجح بك”). Le prix, instauré en 1984 en partenariat avec le ministère des Affaires culturelles, s’inscrit dans une tradition visant à soutenir la création littéraire et à honorer les œuvres marquantes. Il constitue aussi un hommage constant au poète tunisien Abou El Kacem Chebbi (1909-1934).

Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de TunisiePourquoi une banque célèbre Abou El Kacem Al Chebbi

Depuis plus de quatre décennies, la Banque de Tunisie ne se limite pas à un simple geste de mécénat culturel. En portant le nom de Chebbi, elle inscrit son engagement dans une vision où la finance appuie la mémoire et accompagne l’avenir. Le choix d’un poète romantique et révolutionnaire n’a rien d’anodin.

Abou El Kacem Chebbi a bouleversé les codes de la poésie classique en Afrique du Nord. Son recueil « Les Chants de la vie » marque une rupture durable : un langage neuf, vibrant, nourri parfois du parler populaire tunisien, qui modernise la poésie arabe et l’ancre dans les aspirations de son époque.

Poète de l’amour, de la liberté et de la révolte, il a donné voix aux émotions universelles – solitude, souffrance, beauté – et aux élans collectifs. Son vers célèbre, « Si le peuple un jour veut la vie, le destin doit forcément répondre », résonne encore dans les mouvements de libération à travers le monde.

Figure nationale, surnommé le “poète de la Tunisie”, Chebbi incarne l’âme du pays. Ses mots figurent dans l’hymne national et son œuvre reste une expression vivante de la dignité tunisienne. En célébrant son nom, la Banque de Tunisie affirme que la culture constitue un capital immatériel essentiel.

Elle montre que les institutions financières peuvent être des acteurs de la renaissance culturelle, en soutenant la littérature et en valorisant les créateurs. Le prix devient un pont entre la mémoire poétique et l’innovation littéraire, entre la force des mots et la responsabilité institutionnelle.

Prix littéraire Abou El Kacem Chebbi - Banque de TunisieCulture, héritage et responsabilité institutionnelle

Dans son discours, Hichem Rebai, directeur général de la Banque de Tunisie, a rappelé les 141 ans d’histoire de l’institution et l’ancienneté du prix créé en 1984. Il a souligné son rôle pionnier, premier prix littéraire attribué par une institution financière dans le monde arabe, et a insisté sur l’importance de soutenir la culture « dans une époque dominée par la performance chiffrée ».

Évoquant la vision universaliste d’Abou El Kacem Chebbi, il a mis en avant le rôle du patrimoine littéraire dans la préservation de la mémoire, de l’identité et de la créativité à l’ère du numérique et de l’intelligence artificielle.

A.B.A

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Bourse de Tunis : AMEN BANK la valeur la plus active malgré un marché en baisse

Le marché Boursier a aligné une deuxième séance consécutive dans le rouge. L’indice de référence a régressé de –0,15 % à 13211,66 points, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, «Tunisie Valeurs ».

Le volume des échanges s’est établi à près de 9 MD sur la séance, soutenu par une transaction de bloc sur le titre AMEN BANK (pour une enveloppe globale de 2,8 MD).

Le titre TUNINVEST poursuit son élan haussier. L’action a chapeauté le palmarès de la séance avec une progression de 3,7 % à 41,900 D notant que l’action de la société d’investissement a drainé des échanges de 164 mille dinars sur la séance.

Le titre ICF a affiché une bonne prestation sur la séance. L’action du producteur du fluorure d’aluminium s’est offert un gain de 3,3 % à 93,000 D faisant savoir que la valeur a mobilisé un flux de 311 mille dinars sur la séance.

Le titre BH LEASING a accusé la plus forte baisse de la séance. Reculant de –4,5 % à 3,820 D, l’action a amassé un volume très limité de 10 mille dinars sur la séance.

Dans un volume anémique de 2 mille dinars, OFFICEPLAST a terminé la séance sur une note morose. L’action s’est pliée de –2,1 % à 1,850 D sur la séance.

AMEN BANK a été la valeur la plus dynamique de la séance. Terminant inchangée à 47,500 D, l’action a alimenté le marché avec des capitaux relativement fournis de 3,4 MD.

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Le groupe français TIS Circuits investit en Tunisie pour développer l’industrie électronique 5.0

Le groupe français «TIS Circuits », spécialisé dans la fabrication de cartes électroniques, prévoit de lancer un projet d’extension en Tunisie, et ce, dans le cadre du développement de l’industrie intelligente 5.0.

Le groupe français a présenté lors d’une rencontre tenue, mardi, entre la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub et le Directeur exécutif du groupe « TIS Circuits », Bruno Racault, son programme d’investissement pour la prochaine période.

Et de préciser que le projet d’extension  prévu en Tunisie dans le secteur de l’industrie intelligente 5.0 va permettre de créer de nouveaux emplois, de développer davantage le secteur des industries électroniques et de booster ses exportations.

Inaugurée en 2012, l’entreprise « TIS Circuits » est implantée dans la zone industrielle de Borj Ghorbel (Gouvernorat de Ben Arous). Elle est une filiale du groupe mondial All Circuits Company,  leader dans l’industrie électronique présent sur 5 continents. L’entreprise emploie environ 2000 personnes dans le monde, dont 700 employés et cadres en Tunisie.

La ministre de l’Industrie a souligné, à cette occasion, la volonté des services de son département de développer davantage le secteur des industries électroniques, de soutenir les projets à haut contenu technologique et à forte valeur ajoutée, et d’accompagner les industriels pour surmonter tous les obstacles et réduire les difficultés. L’objectif est d’attirer davantage d’investissements dans ce secteur promoteur et de renforcer la position de la Tunisie à l’échelle internationale.

De son côté, Racault a salué les compétences tunisiennes et la qualité du climat d’affaires offert par le ministère de l’industrie et ses structures pour faciliter l’implantation de nouveaux projets.

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Programme “Sila” : Cawtar soutient chercheurs et associations contre les violences basées sur le genre

Le Centre de la femme arabe pour la formation et la recherche “Cawtar” a organisé, mardi, à la Faculté des sciences économiques et de gestion de l’université Tunis El Manar, une 3ème conférence dans le cadre du programme sur les méthodologies de la recherche sur les violences basées sur le genre.

Cette conférence, qui a été animée par des chercheurs tunisiens et étrangers, a porté sur  “l’exploitation des données pour la compréhension et la prévention des formes de violence basées sur le genre”.  Les chercheurs font face souvent à des difficultés liées à l’utilisation des données qui nécessitent des analyse appropriées, en raison de la vulnérabilité des personnes concernées par la recherche et l’engagement à respecter les normes éthiques de la recherche scientifique.

La coordinatrice du programme de lutte contre la violence basée sur le genre au Centre “Cawtar” Hédia Belhaj Youssef, a indiqué que ce programme est organisé en collaboration avec l’agence espagnole de coopération internationale pour le développement, l’agence belge de coopération internationale et plusieurs organisations internationales et structures  gouvernementales dans le cadre du programme “Sila”.

Ce programme vise à renforcer les capacités des chercheurs sur les questions liées à la violence basée sur le genre, a précisé Belhaj Youssef, relevant qu’un certain nombre de chercheurs ont été soutenus dans cinq régions de Tunisie (Tunis, Sfax, Sousse, Kef, Gabès) afin que les recherches ne se limitent pas à la capitale.

Le centre “Cawtar” est parvenu à identifier plusieurs universités qui proposent des diplômes de master ou de doctorat sur les violences basées sur le genre en particulier contre les femmes, mise à part le recensement des recherches sur les nouvelles formes de violence (violence économique liée aux changements climatiques et violence cybernétique).

Ce programme comprend trois axes principaux.  Le premier axe porte sur la recherche académique et la sélection d’environ 7 étudiants en master pour les accompagner dans plusieurs régions et 5 étudiants pour rédiger des articles scientifiques moyennant un financement.

Le deuxième axe du programme est destiné aux associations et comprend la sélection de 5 associations pour renforcer leurs capacités à mener des recherches selon des méthodologies scientifiques.

Les bénéficiaires de ce programme participeront à plusieurs séminaires et ateliers d’écriture sur les méthodes de travail, outre un accompagnement par des chercheurs étrangers provenant d’universités prestigieuses.

Le troisième axe porte sur la mise en réseau des étudiants en master, des encadrants et des acteurs de terrain dans les régions concernées afin de favoriser les synergies et le partage des ressources.

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Jeunes et santé sexuelle : près d’un jeune Tunisien sur deux dépend d’Internet pour s’informer

Une étude récemment menée par le groupe « Tawhida Ben Cheikh » auprès d’un échantillon de 5 000 jeunes âgés de 18 à 29 ans dans plusieurs gouvernorats a montré que 48% des jeunes Tunisiens s’informent sur Internet au sujet de leur santé et de leurs droits sexuels et reproductifs.

Hajer Nasser, membre du groupe, a déclaré à l’agence TAP en marge d’un atelier de formation sur les droits sexuels et reproductifs organisé mardi par le groupe « Tawhida Ben Cheikh » à Siliana, qu’environ la moitié des jeunes Tunisiens ont recours à Internet pour obtenir des informations sur les droits et la santé sexuels et reproductifs, même si ces informations peuvent être erronées.

Elle a souligné le faible niveau de sensibilisation des jeunes aux droits sexuels et reproductifs, ce qui nécessite d’intensifier les ateliers de formation et de sensibilisation dans les régions afin d’accroître ce niveau de sensibilisation, en rappelant leur droit à l’information correcte, à l’intégrité physique et au choix des décisions concernant leur corps.

Pour sa part, la représentante du Front pour l’égalité et les droits des femmes, Neïla Zoghlami, a déclaré que les droits sexuels et physiques diffèrent légèrement de la santé sexuelle et reproductive, car les droits sont indivisibles, y compris les droits à une vie digne et saine et au recours à la justice, comme le garantissent les conventions internationales.

Elle a souligné que la santé sexuelle et reproductive concerne principalement le corps notamment dans le cadre de l’avortement, de l’utilisation des moyens contraceptifs et du contrôle de la relation reproductive sans pression de la société ou du partenaire.

Salma Hajri, médecin endocrinologue-diabétologue, spécialisée dans la santé sexuelle et reproductive, a révélé que les droits des femmes sont toujours menacés à l’échelle mondiale, ce qui nécessite un changement de mentalité, en particulier en ce qui concerne le droit à l’avortement.

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Tunisie : l’ITCEQ veut devenir un hub régional de recherche économique et d’analyse des politiques publiques

L’importance de renforcer l’ouverture entre les institutions de recherche économique à l’échelle nationale, régionale et internationale afin de créer des réseaux académiques et appliqués de recherche permettant d’accéder aux meilleures approches, de faciliter l’échange d’expériences et de valoriser les travaux de recherche a été soulevée, mardi, par le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh.

Dans son discours d’ouverture du 1er congrès international de l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ), le ministre a également mis l’accent sur la nécessité de travailler au renforcement continu des capacités au sein des institutions de recherche afin de produire des analyses plus précises et approfondies.

Il, en outre, appelé à mettre davantage l’accent sur les études d’impact et l’évaluation des politiques publiques afin de réduire autant que possible les risques et le coût des décisions dans un contexte marqué par l’incertitude et la complexité. “Dans ce cadre, nous apprécions l’orientation prise par l’ITCEQ visant à développer des méthodologies d’évaluation des politiques publiques” a-t-il déclaré.

Reconnaissant le rôle joué par l’ITCEQ qui fête cette année, 50 ans de recherche économique appliquée au service de l’économie nationale, le ministre a considéré que l’ampleur et la rapidité des changements que connaît le monde aux niveaux technologique, social, démographique, environnemental et politique imposent aux gouvernements et aux acteurs économiques de tous les pays, sans exception, des pressions et des défis considérables en termes de capacité à faire face, à anticiper et à s’adapter.

“Les choix en matière de politiques économiques et de développement sont donc devenus plus difficiles et plus complexes, d’où l’importance du rôle confié aux différents instituts de recherche”, a-t-il enchaîné.

De son côté, le directeur général de l’ITCEQ, Alaya Becheikh a indiqué que le 1er congrès international de l’ITCEQ vise à renforcer le positionnement de l’Institut, comme centre de réflexion incontournable et à accroître sa visibilité à l’échelle nationale, régionale et internationale.

Ce congrès vise, par ailleurs, à mettre en valeur un héritage scientifique de 50 ans de l’ITCEQ, créer un espace de dialogue régulier autour des questions d’intérêt commun entre chercheurs, décideurs et acteurs économiques et sociaux et à renforcer les liens de coopération avec les institutions de recherche partenaires et think-tanks au niveau national, régional et international.

Créé en 1973, l’Institut Tunisien de la Compétitivité et des Études Quantitatives (ITCEQ) (anciennement Institut d’Economie Quantitative IEQ) constitue un acteur de référence dans la recherche appliquée en économie du développement en Tunisie. Depuis lors, I’ITCEQ a toujours accompagné la décision publique par des analyses rigoureuses, en s’érigeant en partenaire stratégique pour les décideurs et la communauté académique.

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“Djerba sans plastique” : cinq unités touristiques réduisent efficacement leur consommation

Un atelier s’est tenu, lundi à Djerba pour marquer la clôture de l’initiative “Djerba, zone à faible utilisation de plastique à usage unique”, lancée pour la première fois sur l’île il y a cinq mois.

L’objectif est d’impliquer les établissements touristiques, dont des hôtels, des restaurants et des cafés, dans la réduction de l’utilisation de plastique afin de réduire la pollution et limiter ses effets néfastes sur la santé et l’environnement, a indiqué la coordinatrice de l’initiative, Mahdia Fraj.

Elle a précisé que cinq unités touristiques à Djerba (trois hôtels, un restaurant et un café) ont adhéré à cette initiative à travers la plateforme numérique spécifique. Chaque établissement y renseigne ses données de consommation de plastique à usage unique. La plateforme calcule ensuite la consommation annuelle et son coût, puis propose des solutions, des recommandations et un plan d’actions adapté à chaque structure pour réduire cette consommation.

Cela permet d’améliorer l’indice environnemental de l’établissement et de le classer comme structure “éco-responsable », a ajouté la même source à l’Agence TAP.

Les premiers résultats de cette expérience montrent une baisse de l’usage du plastique dans ces établissements, une amélioration de leur classement et l’adoption de solutions alternatives. Selon la coordinatrice, les établissements ont réagi positivement et poursuivront leurs engagements malgré la fin officielle de l’initiative.

La responsable dans l’une des unités touristiques participantes, Amel Hanini a qualifié l’initiative de “positive”, soulignant les progrès importants réalisés en matière de réduction de l’usage du plastique et du volume des déchets. Elle a insisté sur l’importance de la plateforme qui fournit des solutions adaptées à chaque établissement et propose des idées permettant de trouver des alternatives à l’utilisation du plastique, ce qui réduit aussi bien les déchets que les coûts.

Cet atelier, organisé par l’Association “Citoyens Actifs pour le Développement”, a également permis de présenter la plateforme et ses modalités d’accès, accessible aux établissements touristiques, afin qu’ils puissent bénéficier d’outils concrets pour réduire leur consommation de plastique.

À noter que plusieurs initiatives similaires sont menées dans la région et ce dans le cadre du projet “Djerba sans plastique” visant à réduire l’utilisation du plastique à usage unique.

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Budget 2026 : 202,4 MD pour les Affaires religieuses, dont 161 MD en rémunérations

Le budget de la mission des Affaires religieuses pour l’année 2026 est estimé à 202,400 millions de dinars, contre 195,580 millions de dinars dans le budget de 2025, soit une augmentation de 3,49 %.

Les dépenses se répartissent comme suit : 161 millions de dinars pour les dépenses de rémunération, 24,25 millions de dinars pour les dépenses de gestion, 14,85 millions de dinars pour les dépenses d’intervention publique, et 2,3 millions de dinars pour les dépenses d’investissement.

S’agissant des priorités, le rapport indique qu’elles consistent notamment à faciliter l’accomplissement des rites religieux, à former les cadres des mosquées, à intensifier les actions de sensibilisation, à soutenir la recherche scientifique et les études dans les sciences islamiques et à  construire, restaurer, entretenir et éclairer les édifices religieux.

Le ministère emploie 20 784 cadres religieux et supervise 6 737 édifices religieux, dont 1 477 mosquées et 5 260 grandes mosquées.

Il est prévu que le ministère procède l’année prochaine à la classification de 259 nouvelles grandes mosquées, en plus de son encadrement de 76 zaouïas officiellement enregistrées.

Le ministère supervise également, en coopération avec le ministère des Affaires culturelles, certaines zaouïas ayant des activités culturelles et sociales, ainsi que 13 synagogues juives et 20 églises chrétiennes.

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Désinformation en ligne : l’OTIC lance une future plateforme nationale pour signaler les contenus trompeurs

L’Organisation Tunisienne pour Informer le Consommateurs (OTIC) envisage le lancement d’une plateforme nationale, en coordination avec les médias, et ce, afin de permettra aux citoyens de signaler des contenus trompeurs sur les réseaux sociaux.

D’après un communiqué, publié mardi, l’OTIC prévoit, également, de mettre en place des réseaux de vigilance numérique et d’organiser des campagnes de sensibilisation continues, dans le but de renforcer la confiance des Tunisiens dans les produits nationaux et de promouvoir une culture de consommation responsable.

En fait, l’Organisation a fait état de la propagation de campagnes sur les réseaux sociaux, véhiculant des images et des vidéos illustrant une pénurie ou une hausse des prix de certains produits, ce qui incite les consommateurs à stocker ces produits, entraînant une perturbation des marchés.

“Lesdites campagnes œuvrent à détourner les citoyens des produits nationaux, en convaincant les consommateurs que la qualité des produits étrangers est meilleure que les produits localement, ce qui nuit à l’économie nationale”, a, encore, souligné l’Organisation.

En outre, elle a pointé du doigt la diffusion de contenus numériques, destinés aux jeunes, avec pour finalité la normalisation des comportements violents et hors la loi.

Par conséquent, l’Organisation a relevé l’impératif d’instaurer des mesures de protection nationales, dont l’adoption d’une législation spécifique contre la désinformation, la mise en place d’un observatoire national pour faire face à l’ingénierie sociale (l’ensemble des techniques psychologiques et manipulatrices utilisées pour tromper les gens), le renforcement de la transparence de la publicité et des contenus sponsorisés, et l’intégration de la sensibilisation au numérique dans les programmes scolaires dès le collège.

Parallèlement, l’OTIC a invité les consommateurs à vérifier toute information avant de la partager et à veiller à protéger leurs données personnelles, ainsi qu’à privilégier les produits nationaux.

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ADAPT Investissements : Un fonds européen de 8 millions d’euros pour soutenir les chaînes de valeur agroalimentaires

Le programme ADAPT, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS) en collaboration avec le Programme Alimentaire Mondial (PAM), annonce le lancement du troisième appel à propositions du Fonds d’Appui “ADAPT Investissements”.

“Ce dispositif de soutien financier vise à promouvoir et accompagner les investissements privés engagés dans le développement durable des secteurs de l’agriculture, de la pêche et de l’aquaculture en Tunisie, ainsi que dans l’ensemble des chaînes de valeur qui y sont associées. Il contribue, ainsi, à renforcer des systèmes agroalimentaires plus résilients, inclusifs et respectueux des ressources naturelles”, selon un communiqué publié, le 24 novembre courant, par le programme.

“Avec une enveloppe de 8 millions d’euros, ce troisième appel à propositions offre aux entrepreneurs des possibilités élargies pour accéder à un financement durable, encourager l’innovation, améliorer la gestion des ressources, moderniser les outils de production et de transformation, et diversifier les activités au sein des chaînes de valeur agricoles, de la pêche et de l’aquaculture”.

L’objectif est “de consolider la compétitivité des filières, tout en accélérant la transition écologique du pays grâce à des investissements responsables et résilients, porteurs d’emplois locaux et d’améliorations durables des conditions de vie dans les zones rurales et côtières”.

Les candidats peuvent soumettre leurs projets en ligne jusqu’au 19 novembre 2026. Cette nouvelle édition du dispositif de soutien financier du Fonds d’appui ADAPT Investissements prévoit une contribution sous forme de dons couvrant jusqu’à 14 % du montant d’un crédit bancaire ou d’un crédit leasing, pour un soutien compris entre 1 650 € et 100 000 € maximum.

Les projets portés par des jeunes, des femmes ou par des organisations professionnelles agricoles et de la pêche (OPAP) peuvent bénéficier d’une contribution allant jusqu’à 20 %. Toutes les informations, ainsi que l’accès au dépôt des candidatures, sont disponibles sur la plateforme : http://plateforme.adapt-tunisie.org/

Le programme « Appui au Développement durable dans le secteur de l’Agriculture et de la Pêche artisanale en Tunisie (ADAPT) », financé par l’Union européenne avec 44,4 millions d’euros et signé en 2020 jusqu’au 2028, cible les investissements privés en tant que moteur du changement économique, social et environnemental.

En décembre 2022, suite à la crise russo-ukrainienne, un nouveau contrat de 24,8 millions a été signé avec l’Union européenne destiné au soutien du secteur céréalier. L’enveloppe totale du programme est aujourd’hui de 70 millions d’euros.

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AMINNOV’25 : Un congrès interdisciplinaire dédié aux matériaux fonctionnels et aux technologies émergentes

Le premier Congrès international sur l’innovation en matériaux avancés (AMINNOV’25) se tiendra du 18 au 20 décembre 2025 à l’École nationale d’ingénieurs de Tunis (ENIT).

Organisé par le Laboratoire de photovoltaïque et matériaux semiconducteurs (LPMS), cet événement se déroulera sous le patronage de l’ENIT et de l’Université de Tunis El Manar.

Selon les informations publiées sur le site web de l’Université de Tunis El Manar, ce congrès d’envergure internationale se veut une plateforme d’échange interdisciplinaire rassemblant chercheurs, industriels et étudiants autour des dernières innovations en matière des matériaux fonctionnels, intelligents et durables. Il couvrira divers domaines dont l’intelligence artificielle appliquée aux matériaux, les nanotechnologies, le stockage de l’énergie, les capteurs et les systèmes photovoltaïques.

Le programme scientifique comprendra des conférences plénières, des présentations techniques, des sessions posters et des ateliers, structurés autour de quatre symposiums principaux : la synthèse et caractérisation des matériaux avancés, les matériaux avancés pour les capteurs, les approches computationnelles et de modélisation, et l’intelligence artificielle pour les matériaux avancés.

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Transition énergétique : Un atelier “AI for Energy” initie les étudiants à l’IA appliquée aux systèmes énergétiques

Un workshop intitulé « AI for Energy » se tiendra le 26 novembre 2025 à l’École nationale des sciences et technologies avancées (ENSTAB) de Borj Cedria, à l’intention des étudiants en génie énergétique.

Organisé sans prérequis en apprentissage automatique, cet atelier d’une journée cible principalement les étudiants de Master 1 et 2 en génie énergétique ou disciplines connexes, à condition qu’ils possèdent une connaissance de base des systèmes énergétiques.

D’après les informations publiées sur la page Facebook de l’Ecole, les participants manipuleront des jeux de données énergétiques réels, construiront et évalueront des modèles de machine learning, et développeront des réseaux de neurones à l’aide des bibliothèques TensorFlow et Keras.

Une session sera également dédiée aux méthodes d’IA explicable (XAI), essentielles pour interpréter les décisions des modèles d’intelligence artificielle.

Cet événement s’inscrit dans une démarche pédagogique innovante, visant à doter les futurs ingénieurs des compétences numériques nécessaires pour relever les défis de la transition énergétique et de la gestion intelligente des ressources.

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Tunisie : Baisse de 20 % du cheptel bovin et mesures du ministère de l’Agriculture pour 2026

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, a fait état d’une baisse d’environ 20% du cheptel bovin en Tunisie, et ce, lors d’une séance plénière conjointe de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et du Conseil des régions et des districts (CRD), consacrée dimanche, à l’examen du budget alloué à la mission de l ‘agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche dans le cadre du projet de budget de l’État pour l’exercice 2026.

Afin de remédier à cette situation, le ministère a adopté un ensemble de mesures visant à rétablir l’équilibre de la filière, et à protéger les petits agriculteurs, considérés comme étant le maillon faible de la chaîne.

Parmi ces mesures, la création de l’Office national de forage, la fixation des prix des matières premières de forages importées par le ministère du Commerce et du Développement des exportations, l’amélioration de la santé des troupeaux et la protection du bétail.

Ben Cheikh a souligné, dans ce cadre, que cette situation est due à la succession des saisons de sécheresse, à la pénurie d’eau et à la hausse des prix mondiaux des forages.

Il a en outre nié l’existence de problème concernant la distribution d’orge subventionné aux éleveurs dans les différents gouvernants du pays.

Le ministre a annoncé, également, que l’Office national de l’huile a été chargé de maintenir un stock variant entre 100 000 à 150 000 tonnes d’huile d’olive, en proposant des prix supérieurs à ceux présentés par les producteurs privés.

Il a fait savoir, en outre, que 230 prêts ont été accordés aux agriculteurs afin d’encourager l’exportation de l’huile d’olive.

Par ailleurs, il a annoncé l’approbation par le fonds d’indemnisation des pertes agricoles dues aux catastrophes naturelles, de tous les dossiers d’indemnisation pour la campagne 2023/2024, et le versement complet des fonds aux agriculteurs.

Ben Cheikh a affirmé, aussi, que l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA) est devenue la première structure nationale à obtenir l’accréditation du Fonds vert pour le climat, ce qui lui permettra de mobiliser des subventions dédiées à l’adaptation au changement climatique.

Il a annoncé la mise en œuvre de réformes structurelles au sein de la Société nationale d’exploitation et de distribution de l’eau (Sonede) à travers la création de directions régionales et de sept nouveaux districts régionaux, outre l’acquisition de pompes et de compteurs pour assurer une gestion optimale des ressources.

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Numérisation, IA et couverture des zones blanches : Le budget TIC 2026 en détails

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et le Conseil National des Régions et des Districts (CNRD) ont entamé, lundi, à Bardo, la discussion du budget de la Mission des technologies de la communication pour l’exercice 2026.

Le budget de cette mission, compte tenu des ressources du Fonds de développement des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication, a été fixé à 197,335 millions de dinars (MD) pour l’année 2026, contre 184 MD inscrits dans la loi de finances pour l’année 2025, soit une augmentation de 7,25 %.

La stratégie de la mission TIC pour 2026 s’inscrit dans le cadre du plan de développement 2026-2030 et de la stratégie nationale de transition numérique. La mission vise à réaliser une transformation qualitative des services publics, en s’appuyant sur quatre objectifs stratégiques principaux à savoir la numérisation des services administratifs, le développement de l’infrastructure de communication, la promotion de l’économie numérique (technologies modernes, intelligence artificielle) ainsi que la protection du cyberespace national et le renforcement de la confiance numérique. La mission est structurée autour de deux programmes. Il s’agit du programme de Développement Numérique, qui concentre la majorité des crédits et le programme de pilotage et de soutien, dédié à la gouvernance et à l’appui.

Les dépenses d’investissement consacrés à la mission des Technologies de la communication pour l’année 2026 sont fixées à 92,910 MD en engagements (-5,8% par rapport à 2025) et 94,160 MD en paiements (+15,4%).

Le Programme de Développement Numérique accapare 87, 135 MD (engagements et paiements) de ces investissements. Parmi les projets d’investissement majeurs figurent le projet de gouvernance électronique visant à soutenir la transformation numérique des services administratifs, la poursuite du projet Tunisie Numérique, le projet national d’identité numérique, le projet de couverture des “Zones Blanches”… Les dépenses salariales sont fixées à 21,900 MD (engagements et paiements), en hausse de 3,2 % par rapport à 2025. Cette augmentation est justifiée par l’effet financier des promotions, des recrutements prévus pour 2026 et de l’intégration de 45 agents de sous-traitance. Les dépenses d’intervention s’élèvent à 72,540 MD (Engagements et paiements) en repli de 0,5%.

Les dépenses de fonctionnement financées par les ressources générales du budget pour l’année 2026 sont estimées à 8,735 MD, contre 8,274 MD dans la loi de finances pour l’année 2025, soit une augmentation de 5,6 %.

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2e Congrès international AIDDM sur la migration régulière se tient à Tunis

Le deuxième Congrès scientifique international de l’Association internationale de défense des droits de l’homme et des médias (AIDDM) se tiendra le 4 décembre prochain à Tunis sur le thème : « Les approches juridiques et humanitaires visant à promouvoir une migration régulière ».

Organisé en collaboration avec l’Institut des hautes études (IHE) de Tunis, cet événement réunira un panel d’experts tunisiens et internationaux en droit et en sciences sociales, ainsi que des représentants d’institutions nationales, pour débattre des défis actuels liés à la migration irrégulière, à la mobilité des compétences et aux cadres juridiques encadrant ces flux migratoires.

Sur sa page Facebook, l’association précise que le programme prévoit plusieurs communications axées sur plusieurs thèmes tels que « Les lois et législations en matière de migration et d’asile », « La migration des compétences et la législation italienne en matière de migration et d’asile », « Le cadre juridique de la régulation des migrations selon le traité de Barcelone », « Le lien entre migration irrégulière, crime organisé et terrorisme », ainsi que « L’approche sécuritaire et son rôle dans la lutte contre ce phénomène ».

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