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De nouvelles avancées pour le port d’Enfidha en 2026

L’avancement du projet du port d’Enfidha se confirme, bien que des phases préliminaires essentielles précèdent le démarrage effectif du chantier. Considéré comme un investissement d’infrastructure capital pour la Tunisie, ce port en eau profonde et sa plateforme logistique associée sont destinés à révolutionner le secteur du transport maritime.

Au cours du mois de mars dernier, le ministère des Transports a examiné les mesures nécessaires pour accélérer le projet, tout en veillant au strict respect des standards internationaux en matière de sécurité, de qualité et de protection de l’environnement.

Le projet de loi de finances 2026 prévoit des dépenses de 24,200 Mtnd, notamment pour poursuivre:

– La réalisation des acquisitions foncières nécessaires à la zone logistique,

– La mission de mise à jour des études de marché, des études techniques, économiques et financières, et la préparation du dossier d’appel d’offres pour la réalisation du quai polyvalent dans le cadre d’un contrat de performance,

– Le lancement de la mission d’accompagnement pour l’élaboration du schéma directeur de la zone de services logistiques.

L’objectif stratégique de ce port moderne est d’ancrer la position de la Tunisie en tant que plaque tournante régionale et point d’accès privilégié au marché africain. Il agira comme un moteur essentiel pour la compétitivité économique, en complémentarité avec les ports existants. Le complexe portuaire à développer couvre une superficie de 3000 hectares et englobe le port avec ses composantes (1000 hectares) prévues être réalisées sur deux phases, et la zone économique et logistique (2000 ha).

 

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De gros chantiers de logements sociaux en 2026

Le projet de loi de finances 2026 a consacré des montants conséquents pour poursuivre le programme spécifique de logement social, qui vise à répondre aux besoins en logements décents des catégories sociales à faibles revenus.

Les principaux axes pour l’année prochaine en la matière sont les suivants:

– L’éradication des habitations précaires et leur remplacement par de nouveaux logements pour la somme de 246,5 Mtnd. L’intervention est programmée au profit de 11 770 bénéficiaires.

– La réalisation de logements sociaux individuels et collectifs, ainsi que l’aménagement de parcelles sociales destinées à certaines catégories sociales. Environ 13 400 unités sur 20 000 programmées sont attendues, pour un coût global actualisé de 1 093,5 Mtnd.

La première phase comporte le lancement de la réalisation de 8 400 logements et parcelles sociales. La seconde concerne la préparation des études, l’assainissement foncier, et les études topographiques et urbaines nécessaires à la réalisation d’environ 5 000 logements sociaux, pour un coût avoisinant 505,5 Mtnd, programmé dans le cadre d’un financement du Fonds saoudien pour le développement.

Si cette offre est réalisée à temps, elle aidera à absorber partiellement la grande demande sur ce type de construction. Avec les prix exorbitants appliqués par les promoteurs immobiliers, ou même les particuliers, le social est un abri pour un nombre de croissant de ménages. 

De plus, il y aura la création d’emplois dans les secteurs de la construction, de la réhabilitation et de l’entretien des logements, générant une activité importante pour les entreprises du BTP, les architectes, les artisans et les fournisseurs de matériaux. In fine, quand le bâtiment va, tout va.

 

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Les problèmes de dettes africaines à l’épreuve de la présidence américaine du G20

L’Afrique du Sud a cédé la présidence du G20 aux États-Unis, mettant fin à une série de quatre grandes économies émergentes, incluant l’Indonésie, l’Inde et le Brésil, à la tête du groupe. Ces années ont vu la question de la viabilité de la dette des pays en développement devenir une priorité de plus en plus pressante.

La direction du G20 s’éloigne ainsi du Sud au moment même où les problèmes d’endettement dans les pays plus pauvres menacent de se rallumer, mettant à l’épreuve la capacité de ses ambitions en matière d’allègement de la dette à se concrétiser sous une présidence américaine.

 

Plusieurs bombes à retardement

La dette des économies émergentes a atteint un niveau record, dépassant les 100 000 milliards de dollars. En Afrique, le sujet est particulièrement aigu. Le Fonds monétaire international (FMI) avertit qu’une vingtaine de pays africains sont en situation de surendettement ou présentent un risque élevé de l’être.

Le Sénégal est devenu un point de tension après que des emprunts non déclarés de milliards de dollars ont incité le FMI à geler un programme de 1,8 milliard de dollars et ont provoqué une forte dégradation de la notation souveraine.

Le Gabon a eu recours à des opérations de gestion du passif pour alléger la pression du remboursement, notamment par des échanges d’obligations régionales d’une valeur d’environ un milliard de dollars. Le Mozambique a recherché des conseillers pour une restructuration; tandis que le niveau d’endettement du Malawi approche les 90 % du PIB.

Bien que le G20 ait lancé en 2020 le “Cadre commun“, conçu pour ouvrir la voie à des réaménagements rapides de la dette pour les pays plus pauvres après la pandémie de COVID, les progrès dans la refonte de l’architecture financière internationale ont été lents.

 

Quelle attitude pour les Etats-Unis?  

Depuis son lancement, le Cadre commun a permis de traiter la dette de quatre pays : le Tchad, la Zambie, le Ghana et l’Éthiopie.

L’Afrique du Sud a tenté de relancer les efforts durant son année à la présidence du G20. Les ministres des Finances du groupe ont publié une Déclaration ministérielle distincte sur la viabilité de la dette, une première depuis la pandémie, et se sont engagés à renforcer le Cadre commun.

Le programme des États-Unis, qui dirigera le G20 jusqu’à fin 2026, inclut la résolution des défis liés à la dette, la stimulation de la croissance économique et l’expansion de la création d’emplois, ce qui offre une certaine continuité.

L’Afrique pense qu’il est nécessaire de réviser le cadre de viabilité de la dette, en particulier pour améliorer les conditions de financement des pays plus pauvres. Le G20 a montré par le passé qu’il pouvait faire la différence mais il a des limites. Est-ce que la politique de Trump permettra de faciliter de tels progrès?

L’approche actuelle de la Maison Blanche est caractérisée par un nationalisme économique et un bilatéralisme strict, s’éloignant radicalement des approches multilatérales comme celles du G20. Trump considère que le développement de l’Afrique doit passer par le commerce et les investissements privés, et non par l’aide publique. La présidence américaine marquerait un changement radical par rapport aux efforts actuels de coordination internationale.

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153 700 personnes bénéficieront d’actions de formation continue en 2026

Bien plus qu’une simple obligation, la formation continue représente aujourd’hui un pilier stratégique pour les entreprises.

Face aux mutations technologiques, les sociétés y trouvent le moyen décisif d’adapter leurs compétences, de maintenir leur compétitivité et d’anticiper les transformations des métiers. C’est également un levier puissant de fidélisation et de motivation des talents, qui se sentent valorisés et voient leurs perspectives d’évolution se concrétiser.

Pour les salariés, elle constitue la clé pour sécuriser leur parcours professionnel, renforcer leur employabilité et s’épanouir dans leur travail par l’acquisition de nouvelles connaissances.

Ainsi, et dans le cadre du projet de loi de finances 2026, le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a consacré des financements de 9,7 Mtnd aux activités de formation continue, dont 8,3 Mtnd sont financés par les ressources du Fonds de promotion de la formation professionnelle et de l’apprentissage, alimenté par la TFP.

Les objectifs quantitatifs fixés pour 2026 consistent à financer des opérations de formation au profit d’environ 3 030 entreprises et 153 700 participants, grâce à une enveloppe de 46,5 Mtnd. Ce montant se compose de 42 Mtnd provenant du mécanisme du crédit d’impôt (avance sur la TFP) et de 4,5 Mtnd provenant du mécanisme des droits de tirage.

Bien que ces montants soient importants, un effort additionnel des entreprises est requis car le coût moyen d’une formation est de 302 Tnd par personne, ce qui ne correspond pas à la réalité de ce qui est observé. Est-ce que les sociétés ont aujourd’hui les moyens pour mettre le paquet? Ce n’est pas toujours le cas.

 

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UIB Assurances émet des titres participatifs de 5 Mtnd

UIB Assurances a convoqué ses actionnaires en une Assemblée générale ordinaire pour le 5 décembre 2025. Elle aura pour objet la ratification de la cooptation d’une nouvelle présidente du conseil d’administration, Ilhem Bouaziz, et ce, à la suite à la démission du président du conseil d’administration, Kamel Neji.

L’autre point important est l’émission de titres participatifs d’une valeur de 5 Mtnd. Elle portera sur 50 000 titres d’une valeur nominale de 100 Tnd chacun. La souscription à cette émission pourra être réalisée durant un délai de 30 jours, commençant à courir à compter de la date de parution de la notice au Journal officiel de la République tunisienne. Ce délai pourrait être clôturé par anticipation dès la souscription de la totalité des titres.

Les titres sont souscrits en numéraire et seront payables en totalité à la souscription et porteront jouissance à la date de clôture de souscription.

Les titres participatifs émis seront remboursés à la fin du 7e anniversaire de la date de clôture des souscriptions. La société ne rembourse ces titres par anticipation qu’en cas de liquidation, et ce, après désintéressement de tous les autres créanciers privilégiés ou chirographaires à l’exclusion des titulaires des titres participatifs.

Les titres participatifs seront rémunérés comme suit:

– Partie fixe: 8% annuel calculée sur la valeur nominale payable le 31 décembre de chaque année;

– Partie variable: 0,5% des primes émises nettes d’annulations et de ristournes et en excluant les primes d’épargne vie, et ce, dans la limite de 0,5% du montant de la levée. La partie variable est payable dans les 15 jours qui suivent l’Assemblée générale ayant approuvé les comptes.

Pour rappel, les titres participatifs sont des valeurs mobilières négociables. Leur rémunération comporte obligatoirement une partie fixe et une partie variable calculée par référence à des éléments relatifs à l’activité ou aux résultats de la société, et liée au nominal du titre. Ils sont assimilés, lors de l’appréciation de la situation financière des entreprises qui en bénéficient, à des fonds propres.

 

 

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15 Mtnd pour les abonnements aux revues scientifiques en 2026

Les abonnements aux revues scientifiques sont indispensables au travail des chercheurs. Ils permettent d’assurer une veille active sur les dernières avancées dans chaque domaine, garantissant que les recherches s’appuient sur les connaissances les plus récentes et évitent les redondances.

Au-delà de l’accès à l’information, ces abonnements offrent un gage de rigueur méthodologique en donnant accès à des protocoles validés et amplifient la portée des travaux en les publiant dans des revues de référence, reconnues internationalement. En centralisant des ressources fiables, ces bases optimisent le temps des chercheurs, soutiennent la formation des jeunes doctorants et renforcent in fine la crédibilité et l’impact de la production scientifique.

Le budget de la Mission de l’enseignement supérieur a prévu une enveloppe de 15 Mtnd en 2026 pour l’acquisition d’abonnements électroniques à des revues et périodiques scientifiques et leur mise en ligne à la disposition de l’ensemble des chercheurs au niveau national.

Les articles scientifiques jouent un rôle central dans le classement et la réputation des universités. C’est l’un des principaux indicateurs de leur excellence académique. Les publications dans des revues prestigieuses, leur nombre et leur impact mesuré par les citations constituent le fondement des classements internationaux comme celui de Shanghai. Si les universités de Tunis El Manar et de Sfax sont souvent présentes dans ces classements, c’est grâce à leurs facultés des sciences et, surtout, de médecine connues pour le rythme élevé de production de papiers dans des revues bien classées. C’est au tour des autres universités de suivre le pas.

 

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IA: 1 milliard de dollars d’investissements émiratis en Afrique

Les Émirats arabes unis ont annoncé qu’ils investiraient un milliard de dollars pour développer l’infrastructure d’intelligence artificielle (IA) et les services qui en sont basés à travers l’Afrique, dans le but d’aider les pays à répondre à leurs priorités nationales de développement.

Ce programme, baptisé “Initiative pour l’IA au service du développement”, a été annoncé lors du sommet des dirigeants du G20 à Johannesburg. Il apportera la technologie de l’IA dans des domaines tels que l’éducation, la santé et l’adaptation au changement climatique.

L’initiative sera mise en œuvre par le Bureau d’exportation d’Abou Dhabi, qui fait partie du Fonds d’Abou Dhabi pour le développement, en partenariat avec l’Agence émiratie d’aide étrangère. 

Les Émirats arabes unis ne sont pas membres du Groupe des 20, qui rassemble les plus grandes économies mondiales, mais ont été invités à la réunion par le président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui accueille pour la première fois le sommet des dirigeants du G20 en Afrique.

Considérant l’IA comme une pierre angulaire de l’avenir de l’humanité, les Émirats accélèrent activement l’innovation pour améliorer la productivité et stimuler des progrès significatifs dans l’économie mondiale.

En même temps, il s’agit d’une continuité de leur présence dans le continent. Les Émirats arabes unis sont l’un des plus grands investisseurs en Afrique. Leur commerce bilatéral en 2024 a atteint environ 107 milliards de dollars, soit une augmentation de 28% par rapport à l’année précédente, et leurs investissements totaux en Afrique entre 2020 et 2024 ont dépassé 118 milliards de dollars.

L’engagement des Émirats dans le développement de l’IA en Afrique s’inscrit dans une stratégie géoéconomique et géopolitique multidimensionnelle, bien au-delà d’une simple initiative de coopération. Pilier central de leur vision post-pétrole, cette démarche vise à consolider leur leadership technologique en exportant leur modèle et leurs standards vers un continent en forte croissance, qui sert de terrain d’expérimentation et de futur marché de consommation.

Sur le plan géopolitique, les EAU utilisent l’IA comme un levier de soft power pour accroître leur influence diplomatique en Afrique, un espace de compétition stratégique. En se présentant comme un partenaire technologique moderne et responsable, ils construisent une image positive, gagnent un accès privilégié aux décideurs et se différencient d’autres acteurs comme la Chine.

 

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Le Japon sort l’artillerie lourde pour redynamiser son économie

L’équipe gouvernementale japonaise a approuvé un plan de relance d’une valeur équivalente à 21 300 milliards de yens. Ce trésor de guerre servira à relancer l’économie en ralentissement et à apporter un soutien à des consommateurs irrités par l’inflation.

 

Le plan s’articule autour de trois piliers : lutter contre la hausse des prix, parvenir à une économie solide et renforcer les capacités de défense. Il s’agir plan de relance le plus important depuis la pandémie de Covid-19.

 

Le cabinet a également annoncé qu’il augmenterait les subventions aux collectivités locales et fournirait des aides pour les factures d’électricité et de gaz. Ces mesures de soutien entreront en vigueur en janvier et représenteront environ 7 000 yens pour un ménage standard sur une période de trois mois. Les taxes sur l’essence seront également supprimées.

 

Le Japon prévoit en outre de créer un fonds décennal pour améliorer ses capacités de construction navale et de prendre des mesures pour porter les dépenses de défense à 2 % de son produit intérieur brut d’ici l’exercice 2027.

 

Inquiétudes économiques

Le plan de relance du gouvernement Sanae Takaichi intervient alors que l’inflation au Japon dépasse constamment l’objectif de la Bank of Japan, les déclarations des hauts responsables sur la croissance des prix attisant de nouvelles inquiétudes.

 

Le taux d’inflation global pour octobre est passé à 3 % contre 2,9 % auparavant, restant au-dessus de l’objectif de 2 % de la Banque du Japon (BOJ) pour le 43ème mois consécutif, tandis que l’inflation sous-jacente s’est établie à 3 %.

 

Le gouverneur de la BOJ a déclaré au Parlement japonais que la Banque centrale devait être consciente qu’un yen faible pourrait affecter l’inflation sous-jacente en renchérissant les coûts d’importation et les prix en général.

 

Chiffres contrastés

Les inquiétudes inflationnistes sont aggravées par l’affaiblissement de la croissance économique du Japon, le PIB des trois mois jusqu’à septembre ayant enregistré son premier recul en six trimestres. Les données gouvernementales publiées lundi ont montré que l’économie s’était contractée de 0,4 % par rapport au trimestre précédent et de 1,8 % en base annualisée.

 

Les données commerciales d’octobre ont, toutefois, apporté un soulagement bienvenu au pays. Les exportations ont augmenté de 3,6 % en glissement annuel, dépassant les attentes, car les expéditions vers l’Asie et l’Europe ont compensé le recul des biens envoyés aux États-Unis.

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Le PLF 2026 soutient le projet de construction de la Route transsaharienne

La Tunisie est bien engagée dans le projet de construction de la Route transsaharienne qui correspond à un corridor économique reliant les capitales de la Tunisie, de l’Algérie, du Niger, du Mali, du Tchad et du Nigeria, sur une longueur totale de 9 768 km, dont 8 222 km sont déjà achevés. Ce programme a pour objectifs de réduire le coût du transport des personnes et des marchandises, d’intensifier les échanges commerciaux entre les pays africains susmentionnés et les autres pays du continent. Il vise également à développer les interactions économiques et sociales entre les régions, à contribuer à désenclaver des populations entières et à réaliser l’intégration économique régionale et nationale.

Le projet de loi de finances 2026 comporte une enveloppe pour les travaux de doublement de la Route nationale n°13, qui relie les villes intérieures de Sidi Bouzid (Fatenna et Ouled Haffouz) et Kasserine (Sbeïtla et Foussana) à l’autoroute A1 au niveau du gouvernorat de Sfax (Menzel Chaker). À cette fin, l’emprise de ladite Route nationale sera libérée pour son doublement sur une distance de 182 km, incluant un embranchement de liaison avec la Route régionale n°82 sur une longueur de 3 km.

Le financement est assuré par les conventions de prêts avec la Banque internationale pour la reconstruction et le développement et la Banque européenne d’investissement qui permettant de financer 80% du coût global estimé à 1 470 MTND.

C’est effectivement le type de projet qu’il faut soutenir, porteur d’espoir pour le développement des régions de l’intérieur de la Tunisie et pour l’intégration économique du continent. Cependant, son succès ne dépend pas seulement de sa construction, mais aussi de la gestion des impacts sociaux, de la soutenabilité financière, de la maintenance future et de la stabilité régionale. C’est un pari sur l’avenir qui, s’il est bien mené, pourrait considérablement transformer le paysage économique de la Tunisie centrale et de ses voisins.

 

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L’encours des crédits aux particuliers dépasse le cap des 30 milliards de dinars

L’encours des crédits bancaires aux particuliers a progressé de 368,138 MTND jusqu’à fin septembre 2025 pour totaliser 30 404,574 MTND. Pour la deuxième fois, le seuil des 30 milliards de dinars a été dépassé.

Par catégorie, nous constatons que l’encours des crédits à la consommation s’est établi à 5 312,891 MTND, son plus haut niveau historique. En neuf mois, il évolué de 203,633 MTND. La demande sur ce type de financement est soutenue. La facilité d’accéder à ce type de prêts pour les employeurs titulaires d’une part, et les besoins financiers croissants des ménages tunisiens d’autre part ont dopé la demande.

Les crédits d’aménagement de logement ont totalisé 11 317,930 MTND, une hausse de 364,615 MTND depuis le début de l’année. Il y a eu une accélération par rapport aux neuf premiers mois de 2024. Il ne s’agit pas nécessairement d’un indicateur pour la reprise des travaux de petits chantiers. Ces crédits servent à la consommation, surtout pour les petits montants.

Quant aux prêts destinés au logement, ils ont enregistré un net repli de l’encours, confirmant la profonde crise de l’immobilier. À titre de comparaison, sur les trois premiers trimestres 2023, lorsque les taux étaient légèrement meilleurs, la progression s’élevait à 254,896 MTND.

Pour les prêts véhicules, l’encours a repris timidement le chemin de la croissance, totalisant 430,392 MTND. Enfin, les crédits universitaires sont de 14,955 MTND seulement. C’est une niche qui se développe mais elle est loin d’influencer ou de refléter la tendance globale.

Globalement, les chiffres reflètent la morosité économique actuelle et l’effet d’un environnement de taux élevés. La consommation perd un moteur de taille, au profit de la maîtrise de l’inflation.

 

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La liquidité bancaire s’est bien améliorée en 2025

Le suivi de la liquidité bancaire et du volume de refinancement est important. Il s’agit d’indicateurs clé pour la stabilité du système finance et fonctionnement de l’économie réelle. Les chiffres nous fournissent bien des enseignements.

 

Au cours du troisième trimestre de 2025, le déficit moyen de liquidité sur le marché monétaire a affiché une diminution de 12 MDT, pour s’établir à 53 MDT. Cette évolution s’est traduite par une contraction des besoins des banques en liquidité de 466 MDT, d’une part; et des interventions de la Banque centrale sur le marché monétaire de 454 MDT, d’autre part.

 

Toujours pour la même période, les besoins moyens en liquidité du système bancaire ont fléchi grâce à une baisse significative du solde des facteurs autonomes de liquidité de 483 MDT. A ce niveau, les billets et monnaies en circulation (BMC) et les avoirs nets en devises.

Près de 1 826 MDT du cash ont été versés aux comptes courants bancaires contribuant ainsi à améliorer les conditions de liquidité. Cette évolution s’est concentrée à hauteur de 71 % durant le mois de septembre, en lien avec le reflux saisonnier des BMC à la suite de la période estivale.

 

Les opérations de ventes nettes de devises contre dinars effectuées entre les banques et la Banque centrale ont généré un apport additionnel en liquidité d’environ 1 803 MDT au secteur bancaire.

 

Contrairement à cet effet expansif, le Compte courant du trésor a continué d’exercer un effet restrictif sur la liquidité bancaire au cours du troisième trimestre de 2025. Et ce, principalement à travers le recours accru à l’endettement intérieur. Les souscriptions des banques aux émissions de Bons du Trésor ont atteint une valeur nette de 3 060 MDT au troisième trimestre.

 

Moindre intervention de la Banque centrale

Compte tenu de l’atténuation des tensions sur la liquidité bancaire au cours du troisième trimestre de 2025, les interventions de la BCT sur le marché monétaire ont enregistré un repli, s’établissant à 13 021 MDT contre 13 475 MDT au trimestre précédent.

 

Cette évolution résulte principalement d’une contraction significative des opérations fermes, dont l’enveloppe moyenne a diminué de 1 504 MDT pour s’établir à 3 449 MDT. Par ailleurs, une baisse supplémentaire de 221 MDT est imputable à la cessation des opérations de refinancement à un mois, décidée en juin 2025.

 

En revanche, les opérations principales de refinancement et les opérations de refinancement à six mois ont affiché des hausses respectives de 704 MDT et 567 MDT, pour atteindre des niveaux moyens de 6 564 MDT et 3 008 MDT.

 

Quant aux facilités permanentes, qui sont des instruments utilisés à l’initiative des banques pour gérer leur liquidité à 24 heures, leur valeur nette a connu une diminution de 20 MDT en glissement séquentiel, revenant à 88 MDT fin septembre 2025.

 

Ainsi, le volume global moyen de refinancement s’est contracté de 474 MDT pendant le troisième quart de l’exercice, pour ressortir à 13 109 MDT contre 13 583 MDT le trimestre précédent.

 

Nous pensons que cette amélioration va se poursuivre durant les mois à venir, surtout que la demande de crédits demeure modeste. C’est un autre argument pour une révision, même de petite ampleur, du taux directeur à la baisse.

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38,1 milliards de tonnes de CO₂ seraient émises en 2025

Les émissions mondiales de dioxyde de carbone provenant de l’utilisation des combustibles fossiles atteindront un niveau record en 2025. Et ce, en dépit des engagements des pays à commencer à réduire leur pollution climatique.

 

Les émissions seraient de 38,1 milliards de tonnes. Soit une hausse de 1,1 % par rapport à 2024, selon le 20ème rapport annuel du Global Carbon Budget. Cette augmentation du CO₂ atmosphérique intervient alors que la quantité absorbée par les océans et les terres diminue. Ce qui ajoute de l’urgence aux négociations climatiques de la COP30 qui se tiennent au Brésil.

 

La Chine, les Etats-Unis et l’Inde, principaux pollueurs

Le chiffre annuel principal du Global Carbon Budget est un baromètre rapide du manque de progrès du monde dans la réduction des émissions. Mais les détails par pays montrent des différences clés. Les États-Unis sont historiquement responsables de plus de CO₂ que tout autre pays et se classent au deuxième rang annuel. Leurs émissions de combustibles fossiles devraient augmenter de 1,9 % en 2025; contre une moyenne décennale de baisses annuelles de 1,2 %.

 

La Chine est le plus grand pollueur annuel au monde, mais les émissions du pays sont stables ou en baisse depuis 18 mois.

 

L’Inde, le troisième plus grand émetteur annuel, verra sa production de CO₂ augmenter de 1,4 %, un taux de croissance inférieur à celui des dernières années.

 

Les puits de carbone s’épuisent

 

Le rapport estime maintenant qu’au cours de la dernière décennie, les océans ont absorbé 29 % des émissions de CO₂ générées par l’humanité et les terres en ont capturé 21 %.

 

Encore plus inquiétant, les océans et les terres absorbent de moins en moins de la pollution carbonée. Sur les terres, la déforestation continue de ravager les forêts. Tandis que la hausse des températures intensifie l’assèchement et la sécheresse. Dans l’océan, les eaux plus chaudes stockent moins de carbone. Alors que les changements dans les régimes de vents entraînent un mélange réduit entre l’air et la mer. Ce qui diminue l’absorption de carbone.

 

L’indispensable protection des forêts

 

Le monde s’est déjà réchauffé de près de 1,4 °C, selon le rapport, et le fait qu’une quantité croissante de CO₂ réchauffant la planète reste dans l’atmosphère pourrait accélérer le changement climatique.

 

Lors des négociations de la COP30 en Amazonie, les forêts ont été un sujet de préoccupation particulier. Le Brésil a poussé à la création d’un fonds de 125 milliards de dollars pour protéger les forêts tropicales, bien qu’il n’ait collecté que 5,5 milliards de dollars jusqu’à présent. Les risques auxquels sont confrontés les puits de carbone terrestres et océaniques augmentent; alors que leur conservation est si importante face à l’augmentation des émissions.

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L’État mettra le paquet pour soutenir 114 000 contrats de travail en 2026

Le chômage persistant demeure le premier défi économique et social en Tunisie. L’économie ne génère pas suffisamment de postes d’emploi et le taux a même repris une tendance haussière, atteignant 15,4% fin septembre 2025.

Le fossé entre la formation et le marché du travail est toujours présente. Ainsi, même ceux qui détiennent des diplômés universitaires ne disposent pas de toutes les compétences requises pour être productifs.

Les entreprises investissent souvent dans des formations complémentaires et perdent du temps pour l’encadrement. Pour les encourager, l’État propose des incitations pour cofinancer les charges de recrutement lors des premières années, notamment le contrat d’initiation à la vie professionnelle (CIVP).

Le projet de loi de finances 2026 a prévu des interventions à travers le Fonds national de l’emploi. Il compte ainsi financer:

– 100 000 contrats CIVP pour un coût total de 180 MTND,

– 5 500 contrats dans le cadre du programme d’appui au recrutement des diplômés du supérieur (PARDES) pour 47 MTND,

– 8 500 contrats dans le cadre du programme du Service civil volontaire pour la somme de 19 MTND.

En tout, ces interventions devraient couvrir 114 00 contrats, ce qui n’est pas rien par rapport au nombre de jeunes qui souffrent du chômage ou qui sont au début de leur vie professionnelle.

À cela, il faut ajouter la prise en charge de la cotisation patronale au régime CNSS pour les personnes bénéficiant de ces mécanismes pour une enveloppe totale de 9 MTND.

Ces efforts sont à saluer et à élargir. L’année 2026 semble être celle du recrutement par excellence par les administrations et les entreprises publiques. Néanmoins, la vraie dynamique devrait provenir des opérateurs privés. Il faudra repenser la structure du coût de l’emploi pour encourager les entreprises à recruter. C’est un autre chantier prioritaire pour l’exécutif.

 

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11 218 Mtnd d’épargne postale fin août 2025

En volume, l’épargne n’a jamais cessé de progresser, mais sa faiblesse relative est mise en évidence en la comparant au PIB.

L’institution de référence en la matière est La Poste. Fin août 2025, l’épargne postale s’est élevée à 11 218,791 Mtnd. À la même date l’année dernière, elle était de 9 971,136 Mtnd, soit une collecte nette de 1 247,655 Mtnd. C’est une performance notable qu’il convient de souligner.

Pour comprendre l’ampleur de cette performance, il faut tenir compte du fait que les banques affichent une épargne de 35 855,765 Mtnd à la même date, contre 32 823,677 Mtnd une année auparavant, soit une hausse nette de 3 032,088 Mtnd sur une année glissante. Au vu de la différence en termes de densité du réseau, ce que fait La Poste est appréciable.

Ces chiffres vont certainement raviver les débats sur la fameuse banque postale. Nous réitérons toujours notre avis que le moment n’est pas opportun et que la profitabilité de cette institution financière pourrait être touchée par cette transformation. Il faut des investissements majeurs, y compris les systèmes d’information. De plus, le niveau des créances raccrochées dans le système bancaire a augmenté en 2024 à 14,5% et les signes actuels montrent que la situation ne serait pas meilleure cette année.

Il faut plutôt consolider l’approche de la digitalisation et capitaliser sur le succès de l’incontournable application D17. Le statut actuel de La Poste lui permet de contribuer plus à l’amélioration de l’accès des Tunisiens aux services financiers, car elle est, tout simplement, différente des banques.

 

 

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Le déficit de la balance courante à 1,9 % du PIB fin septembre 2025

Au cours des neuf premiers mois de 2025, le déficit de la balance courante s’est nettement creusé pour atteindre 3 393 MDT, représentant 1,9 % du PIB. Ce niveau, comparé à la même période de 2024, illustre un élargissement du trou budgétaire. Lequel s’établissait alors à -1 557 MDT, soit 0,9 % du PIB.

 

Cette évolution du solde courant est largement imputable à la forte aggravation du déficit commercial, qui s’est élargi de 23,9 % pour atteindre -16 728 MDT. Plus spécifiquement, le déficit de la balance des biens s’est détérioré, passant de -22 035 MDT à -25 929 MDT.

 

Heureusement, cette pression se compense partiellement par une amélioration de l’excédent de la balance des services (+17 615 MDT contre +16 838 MDT) et par une hausse des recettes touristiques et des revenus du travail, qui progressent respectivement de +8,2 % à 6 264 MDT et +15,4 % à 8 360 MDT.

 

Par ailleurs, le compte de capital dégage un excédent de 302 MDT à l’issue des neuf premiers mois de l’année 2025. Soit en nette contraction par rapport à son niveau enregistré une année auparavant (+923 MDT). En outre, en 2024, la Tunisie bénéficiait d’un don accordé par la Commission de l’Union européenne (150 M€) pour appui budgétaire. Ce qui n’est pas le cas cette année.

 

Du côté du compte financier, le besoin de financement a considérablement augmenté pour s’élever à 3 091 MDT; contre seulement 634 MDT un an plus tôt. Cette évolution est une conséquence directe de la baisse significative des avoirs de réserve. En effet, ces derniers enregistrent une diminution de 2 711 MDT; contre -605 MDT à la même période en 2024. Cette tendance a été légèrement atténuée par une amélioration du solde créditeur des investissements de portefeuille et des autres investissements.

 

A cet égard, notons que les flux reçus sous forme d’investissements directs étrangers (IDE) ont enregistré une hausse (+27,7 %), au cours des neuf premiers mois de 2025. Et ce, pour se situer désormais à 2 536 MDT. Evolution concernant, en particulier, les flux d’IDE bénéficiant au secteur des industries manufacturières (+24,6 %) et celui de l’énergie (+35 %).

 

Globalement, le pays est à des niveaux soutenables, surtout si nous tenons compte des lourds paiements de dettes étrangères en 2024-2025. Il faut maintenant travailler sur le flux des IDE, car il est le seul moyen qui pourra faire la différence et équilibrer les comptes.

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Le Bitcoin ne retrouvera pas rapidement ses niveaux d’octobre 2025

Le repli du Bitcoin sous les 90 000 dollars, un niveau autour duquel il oscille, soulève la question de savoir si cette vente n’est qu’un épisode de correction ou le début d’une tendance plus profonde. La cryptomonnaie a pourtant touché un record absolu en franchissant les 126 000 dollars le 6 octobre dernier.

Les marchés expliquent ce mouvement par des facteurs macroéconomiques, épargnant ainsi les fondamentaux de l’actif numérique. Il est toujours considéré comme une couverture contre la dépréciation monétaire, l’inflation et l’expansion monétaire à long terme.

Le point d’inflexion a eu lieu le 10 octobre, lorsque le regain des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine a déclenché une vente immédiate des actifs risqués en général. Il s’agit d’une remise à zéro de la liquidité, et non d’une perte de confiance dans l’actif puisque plusieurs positions étaient à découvert.

Les espoirs d’une baisse des taux de la Fed en décembre s’amenuisent, tandis que la fermeture du gouvernement américain, qui a mis en pause la publication des données économiques, a affecté également le sentiment des investisseurs.

Dans ce contexte, il est peu attendu que le repli s’inverse de sitôt. L’instabilité macroéconomique persiste et peut se déclencher à tout moment. Le prochain point d’entrée raisonnable semble être un peu plus bas puisqu’il faudra probablement attendre de longs mois avant que les niveaux d’octobre soient atteints de nouveau.

Les mouvements du Bitcoin sont donc utiles pour capter l’appréciation des marchés pour les actifs réels et, surtout, la liquidité. Une chute brutale des prix accompagnée d’un volume énorme de liquidations, ce qui est le cas, est le signe d’une liquidité de marché fragile.

 

 

 

 

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Deux chèques sur trois ont quitté la circulation en 2025

Le recours amoindri au chèque est désormais une réalité confirmée, sept mois après l’entrée en vigueur des nouvelles règles régissant cet instrument de paiement. Les chiffres jusqu’à fin septembre 2025 le confirment.

Sur les neuf premiers mois de l’année, 6 012 400 chèques ont été traités par la télécompensation contre 18 579 100 à la même date en 2024. Il s’agit d’une baisse de 67,6% en glissement annuel. Si nous prenons juste les deuxième et troisième trimestres 2025, qui correspondent à une période entière avec la nouvelle réglementation, nous constatons que 3 669 000 chèques seulement ont été traités contre 12 438 400 durant la période avril-septembre 2024, une vraie chute libre.

En valeur, les montants traités se sont élevés à 40 936,400 MTND fin septembre 2025 contre 96 395,500 MTND sur la même période en 2024. Durant les deuxième et troisième trimestres, nous parlons d’une valeur totale des chèques traités de 24 725,800 MTND contre 65 274,300 MTND en 2024.

Cela a profité aux effets, qui ont vu leur nombre atteindre 3 362 100 en neuf mois contre 1 292 000 l’année dernière. En valeur, le montant s’est élevé à 40 011,600 MTND contre 25 162,300 en 2024. Le volume global se rapproche des chèques et il devrait le dépasser d’ici la fin de l’exercice.

Les virements et les prélèvements ont totalisé, respectivement, 58 005,100 et 23 049,100 MTND.

Reste à préciser que les montants traités par la compensation ont atteint 162 002,200 MTND jusqu’à fin septembre 2025 contre 180 782,200 MTND à la même date en 2024. Il y a une baisse de 18 780 MTND sur une année glissante. Il ne faut pas donc s’interroger sur l’explosion des billets et monnaies en circulation.

 

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SIAME: une AGO pour la nomination des commissaires aux comptes et le report des dividendes

Le conseil d’administration de la Société industrielle d’appareillage et de matériels électriques (SIAME), réuni le 29 septembre 2025, a décidé de convoquer les actionnaires en Assemblée générale ordinaire -AGO- le mardi 18 novembre 2025 au siège de la société.

L’AGO sera invitée à accepter la démission des deux commissaires aux comptes, la société FINOR et le cabinet Zahaf & Associés, et votera la nomination de deux nouveaux.

Pour rappel, la SIAME avait annoncé la démission de ses commissaires aux comptes. La société FINOR, représentée par Fayçal Derbel, a présenté en date du 29 juillet 2025 sa démission, avant même le démarrage de sa mission. De son côté, le cabinet Zahaf & Associés, co-commissaire, a révélé un cas d’incompatibilité portant sur l’existence d’un lien de parenté au 4e degré entre l’épouse de Mahmoud Zahaf et un membre du conseil d’administration de la SIAME.

Par ailleurs, sur instruction du juge contrôleur, l’Assemblée générale ordinaire décide de reporter la distribution des dividendes relatifs à l’exercice 2024 à une date ultérieure, qui sera décidée par le tribunal. Le dividende s’élève à 0,180 Tnd par action.

Sur le marché, le titre fait le yoyo, alternant les cycles haussiers et baissiers. Le repli depuis le début de l’année s’élève à -15,08%. Les chiffres des indicateurs d’activité jusqu’à fin septembre 2025 sont convaincants, mais il faut maintenant s’attendre aux états financiers semestriels à valider par les nouveaux commissaires aux comptes. Leur publication sera un événement décisif pour les investisseurs et pour l’évolution du cours du titre.

 

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La CDC recrute huit cadres dans des postes stratégiques

La Caisse des dépôts et consignations – CDC a annoncé le lancement d’un concours externe sur dossiers pour le recrutement de 8 cadres dans différents domaines stratégiques.

Les postes ouverts sont:

-Responsable Conformité:

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/responsable-conformite-hf

– Chargé(e) Risques opérationnels:

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/chargee-risques-operationnels-hf

– Responsable Système d’information:

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/responsable-systeme-dinformation-hf

– Responsable Pôle Support (H/F):

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/responsable-pole-support-hf

– Responsable Pôle Métiers (H/F) :

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/responsable-pole-metiers-hf

– Auditeur Interne (H/F):

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/auditeur-interne-hf

– Chargé(e) des Affaires juridiques (H/F):

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/experimente/chargee-des-affaires-juridiques-hf

– Chargé(e) Projets Junior (H/F):

https://www.cdc.tn/fr/offres-demplois/non-experimente/chargee-projets-junior-hf

Le dépôt des candidatures est en ligne sur le lien: https://www.cdc.tn/fr/nous-rejoindre

La clôture des candidatures est fixée au 5 décembre 2025, à minuit.

Institution financière majeure en Tunisie, la CDC place la transparence, la performance durable et la croissance inclusive au cœur de son action. Intégrer ses équipes représente une opportunité unique d’enrichir son parcours professionnel et de participer au développement économique du pays.

Bonne chance!

 

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