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Le budget du Conseil supérieur provisoire de la magistrature fixé à 1,525 million de dinars

La séance plénière conjointe de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des districts et des régions a entamé, dans la soirée de vendredi 21 novembre, la présentation et la discussion de la mission dédiée au Conseil supérieur provisoire de la magistrature (CSPM) dans le cadre du projet de budget de l’État pour l’année 2026.

Les dépenses du Conseil pour l’année 2026 ont été fixées, selon le rapport conjoint de la Commission de la législation générale du Parlement et de la Commission du règlement intérieur, de l’immunité et des questions juridiques du Conseil national des districts et des régions, à 1,525 million de dinars, contre 1,670 million de dinars en 2025, soit une baisse de 51 000 dinars.

Le budget proposé est réparti entre 630 000 dinars de dépenses de personnel, 884 000 dinars de dépenses de gestion et 11 000 dinars de dépenses d’interventions.

Le rapport indique que le premier vice-président du Conseil avait affirmé, lors d’une audition tenue par les deux commissions parlementaires le 29 octobre dernier, que le Conseil avait décidé de réduire le budget proposé pour 2026 de 3,23 % par rapport à 2025.

Il a précisé que l’accent avait été mis sur la nécessité de maîtriser la masse salariale et de la ramener progressivement à des niveaux raisonnables, ainsi que sur la rationalisation des dépenses de gestion au cours des prochaines années, en fixant un taux maximal d’évolution de 4 %.

Le premier vice-président du Conseil supérieur provisoire de la magistrature a souligné que les estimations du budget 2026 reposent sur les résultats des budgets 2023 et 2024 ainsi que sur l’exécution du budget au premier semestre 2025.

Il a ajouté que le projet de budget du Conseil supérieur provisoire de la magistrature pour 2026 a été élaboré conformément aux dispositions de la loi n°15 de 2019 relative à la loi organique du budget, qui classe le Conseil comme une mission spéciale exemptée de la préparation du projet annuel de performance.

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Samir Abdelhafidh : « parler d’une crise économique des plus profondes en Tunisie est dépourvu de tout fondement »

La situation économique en Tunisie est bonne par rapport à beaucoup d’autres années et la tendance reste positive en termes de croissance et de contrôle des grands équilibres, ce qui donne confiance au pays pour l’avenir, selon Samir Abdelhafidh, ministre de l’Economie et de la Planification.

S’exprimant lors d’une séance plénière conjointe (ARP et CNRD) au Bardo pour discuter du projet de budget du ministère pour l’année 2026, vendredi 21 novembre, il a ajouté que « parler d’une crise économique majeure ou des plus profondes est une information dépourvue de tout fondement ».

Pour étayer ses dires, le ministre souligne le niveau de la performance économique du pays au cours de l’année 2025, qui a enregistré une amélioration relative en termes d’indicateurs économiques et sociaux.

En effet, le produit intérieur brut a augmenté, au cours des 9 premiers mois de l’année 2025, de 2,4 %, grâce à l’amélioration de l’activité d’un certain nombre de secteurs productifs moteurs, tels que l’agriculture, le tourisme et les industries mécaniques.

La Tunisie a maintenu un équilibre confortable des devises étrangères pour atteindre 105 jours d’importation jusqu’au 20 novembre 2025.

La tendance à la baisse de l’inflation se poursuit également au même rythme et la notation souveraine de la Tunisie s’est améliorée, selon le ministre.

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La Tunisie et l’Algérie décident de créer une académie des métiers

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, et la ministre algérienne de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Nassima Arhab, vont entamer l’étude des possibilités de créer un établissement de formation ou une académie des métiers commune dans l’une des régions frontalières et de mettre en place une commission technique sectorielle conjointe chargée d’élaborer un plan de travail annuel, d’en assurer le suivi et l’évaluation afin d’atteindre les objectifs de coopération.

Selon un communiqué publié sur la page officielle du ministère, les deux responsables ont également décidé d’achever les procédures de signature de l’accord de jumelage entre le Centre tunisien de formation des formateurs et d’ingénierie et le Centre algérien de formation et d’enseignement professionnel à distance, et ce lors d’un entretien tenu en marge des Olympiades nationales des Métiers 2025 organisées en Algérie du 17 au 21 novembre 2025.

Un programme de coopération conjoint sera également mis en place afin de tirer profit de l’expérience tunisienne en matière de formation complémentaire et spécialisée, ainsi que de l’expérience algérienne dans le domaine des unités de formation mobiles, et de fournir des opportunités de formation, dans le cadre d’échanges, pour les jeunes des deux pays.

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Les lampions se sont éteints sur la 2ème édition du FMIA

Le Forum méditerranéen de l’IA clôture sa 2e édition à Tunis en confirmant la Méditerranée comme un acteur clé de l’IA éthique, durable et inclusive.

La 2e édition du Forum méditerranéen de l’Intelligence artificielle (FMIA), organisée sous l’égide du ministère tunisien des Technologies et de la communication et du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères (Délégation interministérielle à la Méditerranée), s’est achevée ce 21 novembre 2025 à la Cité de la Culture de Tunis.

Avec plus de 3 000 participants, cette édition a confirmé la Tunisie comme un hub régional de l’IA en Méditerranée, un espace où se construisent des solutions innovantes, durables et au service de l’Humain.

Des solutions concrètes pour les défis méditerranéens

Pendant deux jours, chercheurs, entrepreneurs, jeunes talents et décideurs ont présenté des projets concrets pour répondre aux enjeux régionaux :
• Gestion de l’eau et du climat : des modèles d’IA pour optimiser les ressources hydriques et prédire les sécheresses.
• Agriculture intelligente : des outils pour aider les agriculteurs à s’adapter au changement climatique.
• Santé et éducation : des plateformes de télémédecine et d’apprentissage personnalisé.

Un parcours Business inauguré par Nadia HAI, déléguée interministérielle à la Méditerranée, a permis de mettre en relation plus de 100 start-ups et entreprises du secteur de l’IA et d’annoncer le démarrage d’un Fonds Équipe France « IA en Méditerranée » de 2 millions d’euros pour positionner la rive sud de la Méditerranée comme un pôle stratégique en intelligence artificielle, en structurant un écosystème dynamique favorisant l’innovation, l’entrepreneuriat et la collaboration régionale et accompagner les acteurs émergents de l’IA dans cinq pays de la région (Maroc, Algérie, Tunisie, Egypte, Liban).

Les lauréats du Hackathon Talents Tunisie, dont les projets en IA pour l’éducation et l’environnement ont été mis à l’honneur, illustrant le dynamisme des jeunes innovateurs tunisiens et méditerranéens.
« Ces deux jours ont démontré que la Méditerranée regorge de solutions innovantes, portées par des jeunes talents de toute la région et dopées par la connectivité du bassin méditerranéen », a souligné S. Exc. Mme Anne Guéguen.

Prochaine édition en 2026 : vers une Méditerranée encore plus innovante

Les organisateurs ont annoncé que la 3e édition du FMIA se tiendra en 2026 à Marseille.

À propos du Forum méditerranéen de l’Intelligence artificielle (FMIA) : https://fmia.ai/

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Les exportations textiles dépasseront 9 milliards de dinars

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub, s’attend à ce que les exportations tunisiennes de produits textiles dépassent cette année 9 milliards de dinars.

 Lors d’une rencontre organisée à l’occasion de la célébration du 19ème anniversaire du pôle de développement, Monastir-Fajja dans la capitale, la ministre a souligné que le secteur textile a connu un changement qualitatif qui a fait de la Tunisie l’un des plus grands fournisseurs de vêtements professionnels à l’Union européenne, avec plus de 9,7 millions de pièces professionnelles exportées.

Elle a relevé que la Tunisie vient au quatrième rang des pays fournissant à l’Union européenne des produits de jeans avec une part dépassant 8%, soulignant que ces indicateurs ont aidé à faire de l’industrie nationale un moteur vital pour l’économie nationale.

Il est à noter que le pôle de développement « Monastir-Fajja » a contribué, depuis sa création, à attirer les investissements dans divers secteurs industriels et à fournir un soutien technique aux industriels, aux chefs d’entreprise et aux initiateurs de projets, ainsi qu’à développer des services intégrés, surtout dans le secteur textile, selon la responsable.

 Le pôle se compose d’un incubateur d’entreprises, d’un centre pour l’industrie intelligente 4.0, d’un centre de ressources technologiques, de laboratoires ouverts, de laboratoires d’analyse dans le secteur textile, et de quatre zones industrielles.

Le pôle a également permis de soutenir 60 entreprises émergentes, dont 90% ont pu poursuivre leurs activités.

D’autre part, le pôle a soutenu environ 50 institutions industrielles dans la transition vers l’industrie intelligente 4.0 et a joué un rôle important dans l’information des institutions industrielles pour les accompagner dans le domaine de l’environnement, la transition énergétique et la transition vers une économie verte.

A cette même occasion, une convention de partenariat a été signée entre l’Université Tunisienne du Textile et de l’Habillement, le Pôle de Développement de Monastir et Fajja, et le Centre Technique du Textile, dans le but d’augmenter la compétitivité du secteur, attirer davantage d’investissements, et informer les industriels et les institutions.

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Hammamet abrite la 29e session de la Commission des statistiques agricoles pour l’Afrique

La 29e session de la Commission des statistiques agricoles pour l’Afrique (CSAA), organe statutaire de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), se tiendra à Hammamet (gouvernorat de Nabeul) du 24 au 28 novembre 2025, sous l’égide du ministre de l’Agriculture, Ezzeddine Ben Cheikh.

Cette réunion biennale, qui rassemblera des délégations officielles de pays africains, des experts internationaux et des partenaires techniques, a pour objectif central d’évaluer l’état des systèmes statistiques agricoles et alimentaires sur le continent. Elle visera également à définir les priorités de réforme pour renforcer la qualité, la fiabilité et l’utilisation des données en vue de la souveraineté alimentaire et du développement durable.

Sous le thème « Partenariats efficaces et exploitation des statistiques pour transformer les systèmes agroalimentaires africains », la session 2025 s’articulera autour de trois axes majeurs :

  • le suivi des indicateurs des Objectifs de développement durable (ODD), notamment l’agriculture durable et la diversité alimentaire minimale chez les femmes,
  • la modernisation des méthodologies statistiques,
  • la mise en œuvre du Programme mondial pour le recensement de l’agriculture 2020 (PRA 2020).

Les travaux seront ponctués de présentations techniques inédites. Une séance spéciale sera consacrée aux droits fonciers des femmes, s’appuyant notamment sur l’expérience marocaine en matière de collecte et de diffusion des données selon les indicateurs des ODD.

Par ailleurs, des avancées dans les statistiques de la pêche, de l’aquaculture et de la sylviculture seront présentées. Seront notamment abordés le Système national d’information sur les pêches du Kenya, de nouvelles méthodes de collecte de données forestières, ainsi que les résultats préliminaires de l’Évaluation des ressources forestières mondiales 2025.

La session s’achèvera par l’adoption d’un rapport final contenant des recommandations concrètes à l’intention des États africains. Le pays hôte et la date de la prochaine édition de la CSAA seront également annoncés à cette occasion.

Organisée par la FAO, cette réunion constitue une plateforme stratégique essentielle pour aligner les capacités statistiques africaines avec les exigences du développement durable, de la sécurité alimentaire et de l’autonomie décisionnelle des pays. En accueillant pour la première fois cet événement d’envergure, la Tunisie affirme son rôle de leader régional en matière de gouvernance agricole et statistique.

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Septembre 2025 : les lettres de change dopent l’activité financière (BCT)

En matière de télécompensation, le nombre des opérations menées par lettres de change a enregistré, à fin septembre 2025, une hausse remarquable de 160% par rapport à la même période de l’année écoulée pour atteindre 3,4 millions de lettres, représentant une enveloppe globale de 39,78 milliards de dinars, selon le bulletin « Paiements en chiffres », publié vendredi 21 novembre par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Par contre, le nombre des opérations effectuées par chèques a régressé de 67,9 % à 5,9 millions de chèques, soit un montant total de 40,212 milliards de dinars.

A noter que le taux de rejet des lettres de change et des chèques s’élève respectivement à 10,2 % et 2,2 %.

Selon les données de la BCT, les virements sont en hausse de 10,2 % à 28,1 millions d’opérations, mobilisant une enveloppe de 58 milliards de dinars.

 La BCT fait état, ainsi, de l’accroissement du nombre de cartes bancaires octroyées aux Tunisiens de 6,4 %, à 5:843 millions cartes.

Quant au nombre de distributeurs automatiques (DAB/GAB), il a régressé de 0,5 %, à 3 290 appareils.

Pour ce qui est des opérations d’E-paiement et de paiement de proximité (TPE), elles ont enregistré une hausse en nombre respectivement de 19 % (à 14,1 millions d’opérations) et de 16,3 % (à 34,8 millions d’opérations), à fin septembre 2025.

S’agissant des sites marchands actifs, ils ont enregistré une hausse de 2 % à 1 148 sites par rapport au 31 décembre 2024. Le nombre de TPE (terminal de paiement électronique) installés a progressé, quant à lui, de 9,2 %, à 42,8 mille appareils.

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Sfax : le textile mise sur la formation pour relancer l’emploi régional

Le forum régional sur la formation professionnelle et l’emploi dans le secteur du textile a clôturé ses travaux, vendredi 21 novembre, à Sfax, à travers des visites de terrain au Centre sectoriel de formation en habillement « Mohamed-Ali » et à deux entreprises de textile de la région.

L’objectif de ce forum est d’encourager les jeunes à se former dans le secteur du textile, un secteur porteur, employeur et fortement demandeur de main-d’œuvre, a souligné la directrice régionale de l’emploi et de la formation professionnelle, Noura Zaïdi, citée par la TAP.

Dans le cadre de ce partenariat entre le ministère et l’AICS (Agence italienne pour la coopération au développement), les jeunes pourront bénéficier d’une formation professionnelle de qualité, suivie d’un recrutement et d’une intégration au sein des entreprises du textile. a-t-elle ajouté.

Elle a précisé que plus de 300 entreprises du textile sont implantées dans le gouvernorat de Sfax, mais 20 d’entre elles ont adhéré à ce programme.

Parmi ces entreprises, huit grandes structures seront appuyées sur le plan technique, tandis que les unités de plus petite taille bénéficieront d’un dispositif d’accompagnement combinant appui technique et soutien financier.

Ce forum régional a attiré prés de 300 jeunes, issus de niveaux d’enseignement variés, demandeurs d’emploi ou déjà formés dans la formation professionnelle.

Il s’est déroulé sur deux jours en partenariat avec le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle, l’Agence italienne pour la coopération au développement, les espaces d’exposition représentés par ledit centre sectoriel, des centres privés de formation professionnelle, des entreprises économiques et des structures d’appui.

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Dix mille participants au 38e Marathon international de la COMAR

Quelque 10 000 participants sont attendus à la 38e édition du marathon international de la COMAR, prévue le 30 novembre 2025 sous le thème « Courir pour une Tunisie plus verte », annoncent les organisateurs, vendredi 21 courant.

Lors d’une conférence de presse tenue à Tunis, le président du comité d’organisation, Lotfi Haj Kacem, a souligné que cette édition s’annonce exceptionnelle, avec un nombre d’inscrits en hausse par rapport à l’an dernier (8 000). Il a également mis en avant la dimension touristique du marathon, qui accueillera cette année plus de 1 500 athlètes étrangers issus de 50 pays, un chiffre en progression notable par rapport la précédente édition (44 pays), ce qui ne manquera pas, selon lui, de renforcer le rayonnement international de l’événement et de contribuer à la promotion de la destination Tunisie.

Il a précisé que le comité d’organisation veille à réussir ce marathon, lancé en 1986 et organisé de manière régulière, à l’exception des années 2020 et 2021 en raison de la pandémie du Covid, alors que l’on s’approche de son 40e anniversaire en 2027.

Il a conclu que le marathon international de la COMAR demeure l’une des plus importantes manifestations sportives en Tunisie, d’autant plus qu’il est inscrit au calendrier de la Fédération internationale d’athlétisme.

De son côté, Marouène Ben Said, membre du comité d’organisation, a souligné que le nombre ses inscrits a atteint 6000 participants dix jours avant le départ. Il a révélé que la 38e édition comprendra quatre courses. La première est dédiée aux enfants, organisée sur l’avenue Mohammed V, la deuxième, est une course de 5 km ouverte à tous, qui a enregistré jusqu’à aujourd’hui environ 2 000 inscrits, la troisième est un semi-marathon de 21,1 km, auquel plus de 3800 coureurs se sont inscrits jusqu’à présent, tandis que la quatrième est le marathon (42,195 km) pour lequel le nombre d’inscrits dépasse à ce jour les 800 participants.

Les organisateurs ont également insisté sur la dimension environnementale de l’événement, avec des actions de reboisement menées en marge de la compétition. Ils ont rappelé que pas moins de 154 000 arbres ont été plantés durant les quatre dernières années dans l’objectif de contribuer à la réduction de la pollution et à la création d’un environnement plus sain.

Pour sa part, Taher Zarai, président de la Fédération tunisienne d’athlétisme, a salué le partenariat solide avec les organisateurs, affirmant que la Fédération apportera son expertise, son encadrement technique et le corps arbitral nécessaire pour assurer la réussite de la compétition. Il a ajouté que les athlètes affiliés à la fédération y participeront à titre individuel.

  Voici le parcours des courses : 

 5 km : Avenue Habib Bourguiba – avenue Mohammed V – hôtel Le Parc – gare de Tunis Marine

 21,1 km :  Avenue Mohammed V – Lac de Tunis – avenue Habib Bourguiba

 42,195 km : Avenue Mohammed V – Lac 1 – Lac 2 – La Marsa – Carthage – La Goulette – gare de Tunis Marine.

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Bourse de Tunis : le Tunindex clôture vendredi sur une progression de 0,52%

« Le marché boursier a clôturé la séance de vendredi, 21 novembre 2025, du bon pied. L’indice de référence a pris +0,52% à 13262,04 points, dans un volume soutenu de 9,5 MDT », selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs. Et de préciser qu’aucune transaction de bloc n’a été réalisée sur la séance.

Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre SIPHAT s’est adjugé la meilleure performance de la cote, signant une progression de 4,5% à 7,780 D.

 Le titre Tuninvest a inscrit une avancée de 4,5% à 38,750 D. La valeur a été transigée à hauteur de 54 mille dinars sur la séance.

Le titre Somocer a accusé la plus forte baisse de la séance. L’action du spécialiste en céramique s’est effritée de 4,4% à 0,430 D, dans un volume très réduit de 3 mille dinars.

 Le titre SIAME a, lui aussi, terminé la séance sur une note morose. Dans un volume limité de 7 mille dinars, l’action a reculé de 4,3% à 2,480 D.

 Le titre SAH Lilas s’est adjugé le volume le plus élevé de la séance. L’action a gagné 1,1% à 13,500 D en animant le marché avec des capitaux de 1,6 MDT.

Avec TAP

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Restrictions : la LTDH alerte sur une presse sous pression

Les pressions exercées sur les journalistes représentent, affirme la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme (LTDH), des « signaux alarmants » d’une campagne méthodique visant à « assujettir les médias et à museler les voix libres ».

L’organisation a publié cette déclaration suite à un mouvement de protestation initiée par le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), à la Place du gouvernement, à La Kasbah, et dans différentes régions. Tout en se disant préoccupée par « les poursuites judiciaires qui ciblent les journalistes sur la base du décret-loi n°54 ».

La LTDH saisit l’occasion de rappeler que le décret-loi 115 demeure l’unique cadre juridique régissant la liberté de la presse et de publication. Et ce, conformément aux standards internationaux et aux principes fondamentaux d’un Etat de droit.

La Ligue a, aussi, dénoncé la suspension des sites électroniques Nawaat et Inkyfada, ainsi que les « pressions » exercées sur le site al qatiba et The Legal Agenda. « Ces mesures portent atteinte au droit à l’information et à la liberté du travail associatif », indique l’organisation. De même qu’elles constituent « une dérive grave vers la restriction de l’espace civique ».

 

Quid de l’octroi de la carte de journaliste

Par ailleurs, la LTDH appelle les autorités à accélérer la mise en place de la commission indépendante chargée de l’octroi de la carte de journaliste professionnel et à fournir, sans délai, les cartes de l’année 2025.

Elle a, également, demandé le renouvellement immédiat des autorisations de travail des correspondants des médias étrangers et la fin de toute forme d’interdiction et de restriction administrative.

D’autre part, la LTDH a souligné la nécessité d’appliquer, dans les plus brefs délais, l’amendement et la réforme du statut des médias publics, de débloquer le financement nécessaire et de permettre aux journalistes indépendants de bénéficier pleinement du régime de l’auto-entrepreneur, tel que prévu par la loi de finances pour l’année 2025.

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LF 2026 : l’IACE plaide pour un virage fiscal en faveur des entreprises

L’Institut arabe des chefs d’entreprise (IACE) a présenté une série de recommandations pour la loi de finances 2026. Et ce, dans l’objectif de relancer l’économie, améliorer la compétitivité des entreprises et renforcer l’équité fiscale.

Le document, transmis au Parlement, propose d’instaurer un taux d’imposition préférentiel de 15 % pour les activités industrielles, compte tenu de leur valeur ajoutée; contre 25 % pour les activités commerciales et 20 % pour les services. L’objectif étant de stimuler le secteur manufacturier considéré comme pilier de la reprise économique.

L’IACE recommande également un allègement de la pression fiscale sur les entreprises individuelles, jugée disproportionnée face à celle des sociétés. De même que l’exonération du troisième acompte provisionnel pour les entreprises affichant un excédent d’impôt durant trois années consécutives.

Les mesures préconisées comprennent aussi :

  • la révision du champ des charges déductibles;
  • la clarification du régime fiscal appliqué aux véhicules professionnels;
  • l’allongement du délai de déduction des pertes reportées de 5 à 10 ans, au vu des crises récentes ayant lourdement affecté le tissu économique.

L’IACE propose, par ailleurs, d’éviter la double imposition pour les entreprises tunisiennes à l’étranger.

Sur le plan de la TVA, le think tank appelle à restaurer le régime suspensif pour les entreprises exportatrices et de services et à réduire de 19 % à 13 % la TVA sur les logements destinés aux particuliers dont le prix dépasse 400 000 dinars; et ce, afin de soutenir un secteur immobilier en difficulté.

Renforcement des garanties du contribuable

L’IACE insiste par ailleurs sur le renforcement des garanties du contribuable, proposant de rendre obligatoire la notification préalable dans tous les cas d’imposition d’office, y compris pour les pénalités, la suppression des dispositions empêchant la déduction totale des montants réinvestis pour l’acquisition de terrains, afin de soutenir l’investissement régional et agricole.

En outre, il recommande de réintroduire le mécanisme de dégrèvement matériel supprimé par la réforme de 2017. Avec pour objectif d’encourager le renouvellement des équipements productifs et d’accorder les avantages fiscaux aux entreprises opérant dans la transformation primaire des produits agricoles et marins.

En effet, l’IACE estime qu’il est nécessaire de maintenir le système actuel d’impôt sur la fortune en limitant l’impôt aux biens immobiliers et la base d’imposition aux biens immobiliers non productifs. Cette mesure vise à éviter la fuite des capitaux, la baisse de l’épargne et l’augmentation de l’évasion fiscale.

L’Institut appelle enfin à exempter de l’impôt sur la fortune les non-résidents possédant des biens immobiliers en Tunisie financés en devises ainsi que les étrangers résidents en Tunisie et détenant des biens immobiliers hors du pays.

Avec TAP

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La Tunisie expose ses positions aux instances de la Francophonie à Kigali

A la réunion des instances de la Francophonie, qui se tenait du 18 au 20 novembre 2025 à Kigali (capitale du Rwanda), la Tunisie a exposé sa position sur plusieurs dossiers majeurs, dont les droits des femmes, l’avenir du multilatéralisme et la cause palestinienne.

Représentant permanent de la Tunisie auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l’ambassadeur Dhia Khaled a pris part aux travaux de la 46ème Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF) et de la 136e session du Conseil permanent de la Francophonie (CPF). Il a réaffirmé l’engagement résolu de la Tunisie à consolider « de manière continue et irréversible » les droits des femmes. En effet, il a déclaré que l’émancipation féminine constituait une priorité nationale qui s’appuie sur l’éducation, l’accès à l’emploi et des politiques d’autonomisation.

Puuis, revenant sur « l’avenir du multilatéralisme », le diplomate a plaidé en faveur d’un modèle « juste et renouvelé ». Tout en appelant à une coopération internationale ancrée dans les priorités des peuples, respectueuse de la souveraineté des États et capable de répondre avec efficacité aux crises mondiales.

Par ailleurs, M. Khaled a réitéré la position de principe de la Tunisie en faveur de la cause palestinienne. Cette dernière demeurant un pilier central de la politique étrangère du pays.

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Le jeune chercheur, Mohamed Jemâa, distingué pour ses avancées contre le cancer

Mohamed Jemâa, maître assistant à la Faculté des sciences de Tunis (Université Tunis El Manar), vient de remporter le prix « Jeune chercheur – Parcours régional » du Prix Hussein de recherche sur le cancer 2025, grâce à ses travaux sur les tumeurs solides métastatiques.

Menées au laboratoire de génétique humaine de la Faculté de médecine de Tunis, les recherches Mohamed Jemâa ont identifié des anomalies chromosomiques et des cellules cancéreuses particulièrement mobiles, qui seraient responsables de la propagation rapide de certains cancers.

Ces résultats, évalués par un comité international de l’Université du Texas (MD Anderson), ont permis de proposer de nouveaux protocoles thérapeutiques prometteurs, déjà efficaces en laboratoire et actuellement en phase d’essais cliniques.

Auteur d’une soixantaine de publications et lauréat de plus de 25 bourses internationales, Mohamed Jemâa poursuit depuis 2022 ses recherches en Tunisie, tout en enseignant à l’Université Tunis El Manar.

A rappeler que le Prix Hussein vise chaque année à encourager l’innovation scientifique régionale et les avancées dans la prévention et le traitement du cancer.

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Que nous réserve la météo pour ce 21 novembre 2025?

L’Institut national de la météorologie (INM) prévoit, pour ce vendredi 21 novembre 2025, une légère baisse des températures, avec des maximales comprises entre 14 et 23 °C, autour de 12 °C sur les hauteurs.

Des nuages couvriront le ciel au nord, avec des pluies éparses et temporairement orageuses, parfois localement intenses sur les régions côtières du nord durant la nuit. Ailleurs, des nuages passagers sont attendus.

La mer sera très agitée à grosse au nord, et agitée à très agitée sur les autres côtes.

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Le budget 2026 du ministère des Affaires culturelles fixé à 461 MDT 

La séance plénière conjointe entre l’Arp et Cnrd s’est ouverte tard jeudi 20 novembre pour examiner le budget 2026 du ministère des Affaires culturelles, en présence de la ministre, Amina Srarfi.

Le projet fixe les dépenses de gestion, d’investissement et des fonds de trésorerie à 460,969 millions de dinars, contre 425,490 millions en 2025. Soit une hausse de 8 %, représentant 0,73 % du budget de l’État.

Selon le ministère, la stratégie culturelle repose sur une approche intégrée visant la valorisation économique et l’investissement, la protection du patrimoine, le soutien à la création et à la participation citoyenne, le renforcement du rayonnement culturel et artistique, ainsi que l’amélioration de la gouvernance et de la modernisation administrative.

Ouvrant les travaux, le président de l’Assemblée, Ibrahim Bouderbala, a rappelé le rôle central de la culture dans la construction sociale. Tout en soulignant que la Tunisie a toujours puisé dans la création artistique une force de changement et un moteur de participation citoyenne.

Il a insisté sur la contribution de la culture au développement économique et social, à la lutte contre l’extrémisme, à la transmission du savoir et à la consolidation de la cohésion nationale.

M. Bouderbala a appelé à une mobilisation accrue des acteurs culturels pour faire de ce secteur un levier du développement humain et un espace de créativité.

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Justice : pas de libération pour Borhane Bsaïes et Mourad Zghidi

La chambre criminelle près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé, ce jeudi, de reporter l’affaire Borhane Bsaïes et Mourad Zeghidi au 11 décembre prochain, tout en rejetant les demandes de mise en liberté.

Selon une source judiciaire, les deux prévenus sont poursuivis pour blanchiment d’argent en ayant recours aux facilités offertes par leurs fonctions, leurs activités professionnelles et sociales.

 Ils sont également accusés d’infractions fiscales, notamment la minoration de plus de 30 % du chiffre d’affaires, le non-paiement des montants de retenue à la source dus au Trésor, le non-versement de la TVA exigible sur le chiffre d’affaires, ainsi que l’absence d’émission de factures ou de notes d’honoraires conformément à l’article 18 du Code de la taxe sur la valeur ajoutée.

La chambre criminelle a examiné, jeudi 20 novembre, le dossier des deux accusés, placés en détention, ainsi que celui d’un troisième prévenu en liberté.

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Prix mondial pour la liberté de la presse: Sonia Dahmani sacrée à New York 

La journaliste et avocate Sonia Dahmani va recevoir dans la soirée du jeudi 20 novembre à New York le Prix international de la liberté de la presse 2025, l’une des distinctions les plus prestigieuses décernées par le Committee to Protect Journalists (CPJ), une organisation qui surveille les violations de la liberté de la presse dans plus de 180 pays à travers le monde.

Pour l’avocat Sami Ben Ghazi, cité cette situation relève d’une « ironique amertume ». Selon lui, le monde honore précisément ce que la Tunisie choisit de punir. Dahmani est accusée d’atteinte à l’image de l’État, mais l’avocat soutient que la véritable atteinte provient de l’usage de la répression pour étouffer la parole libre.

Le paradoxe s’accentuera vendredi 21 novembre, lorsque Dahmani sera de nouveau présentée devant la justice pour des déclarations déjà examinées lors d’un précédent procès, rappelle-t-on.

Avec cette distinction internationale, Sonia Dahmani devient malgré elle un symbole mondial de la liberté de la presse et une voix qui, même réduite au silence en prison, trouve un écho planétaire.

Me Ben Ghazi souligne : « le préjudice à la réputation nationale ne provient pas de la parole libre, mais de ceux qui ferment l’espace public et transforment la justice en outil d’étouffement ».

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Débats budgétaires 2026: la rupture du dialogue entre l’Education et les syndicats impacte la qualité de l’enseignement

Certains députés ont critiqué, jeudi après-midi 20 novembre au cours d’une séance plénière conjointe entre l’ARP et le CNRD consacrée à la discussion du projet de budget du ministère de l’éducation pour l’année 2026, ce qu’ils qualifient de « rupture du dialogue entre le ministère de l’Education et les syndicats de l’éducation, la baisse de la qualité de l’enseignement, la non-régularisation de certaines situations professionnelle et l’aggravation du phénomène de fraude dans les examens nationaux, mise à part d’autres problématiques dans le secteur éducatif ».

Dans leurs interventions, ils ont souligné que la tension sociale s’est répercutée sur la stabilité des établissements éducatifs, appelant par conséquent le ministère à adopter une approche basée sur le dialogue à même de préserver la paix en milieu scolaire et à rétablir la confiance avec le cadre éducatif.

Plus précisément, le député Hassan Jroui a critiqué le refus par le ministère d’entamer des négociations avec les syndicats de l’éducation, estimant que « l’absence de dialogue accroît les tensions et pourrait apparaitre comme un manque de sérieux dans la gestion des dossiers professionnels des enseignants ».

Il a fait état de cas de « favoritisme » dans la nomination des directeurs d’établissements éducatifs, appelant par ailleurs à accélérer les projets de maintenance et d’équipement des établissements.

Concernant la non exécution des accords signés entre le ministère et les syndicats, la députée Olfa Marouani a souligné que « le respect des engagements est un devoir éthique et légal, et toute rétractation pourrait accroître la tension sociale ».

Elle a également évoqué le dossier des promotions professionnelles, rappelant que la date convenue pour l’entrée en vigueur aux niveaux administratifs et financiers est le premier janvier de chaque année.  » Le ministère n’a pas respecté cet engagement sans justifications », a-t-elle précisé.

Pour sa part, le député Ridha Dlaï a souligné la nécessité d’ouvrir un dialogue sérieux avec les syndicats de l’éducation pour éviter les conflits sociaux dans un secteur considéré comme l’un des plus sensibles du pays, appelant à régulariser la situation des enseignants suppléants qui ne figurent pas dans la base de données.

Il a également appelé à clarifier les critères du concours des conseillers pédagogiques pour l’année 2022 suite à de nombreuses plaintes, critiquant le changement des critères de promotion pour les administrateurs.

Quant à la députée Najla Lahiani a mis l’accent sur la détérioration des conditions de travail au sein de l’école publique, en raison de  » l’encombrement des salles de classe » (40 élèves dans certaines écoles à l’Ariana) estimant que « cette situation a causé l’épuisement des enseignants et a poussé les familles à opter pour l’enseignement privé ».

Elle a appelé le ministère à publier les résultats de la consultation nationale sur la réforme du système éducatif, signalant la nécessité de surveiller les programmes dans certains établissements privés. La député a également évoqué les projets de réforme bloqués dont notamment le fonds national pour la réforme éducative.

Le député Ali Zaghdoud a estimé que l’augmentation de 8 % dans le budget du ministère pour l’année 2026 demeure insuffisante compte tenu des problématiques  accumulées au cours des années précédentes.

 La députée Nour Chebrak a passé en revue « les difficultés de communication avec la nouvelle génération au sein de l’école publique », notant que les vidéos circulant sur les  comportements des élèves sur les réseaux sociaux reflètent l’absence d’un langage commun entre l’établissement éducatif et les élèves.

Elle a affirmé que l’enseignement privé s’est adapté rapidement aux transformations technologiques, ce qui a même poussé les familles de classe moyenne à choisir le secteur privé malgré la détérioration du pouvoir d’achat, selon ses propos.

La députée a appelé à la nécessité de développer les programmes et les supports éducatifs, expliquant que l’absence de dialogue avec les élèves pourrait creuser le fossé entre l’école publique d’une part, et les parents et les élèves d’autre part.

Hatem Labaoui, député lui aussi, a abordé la question de la fraude aux examens nationaux, affirmant que ce phénomène est organisé par le biais d’appareils électroniques, et d’équipements sophistiqués avec la participation de réseaux criminels.

Il a critiqué l’inefficacité des appareils de brouillage dans les lycées, malgré leur acquisition depuis des années à des coûts élevés, appelant à ouvrir une enquête sur les raisons de leur achat sans utilisation et leur inefficacité dans la surveillance des examens nationaux.

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