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Happy Days chez Nouvelair : 30% de remise pour voyager vers l’Allemagne et la Suisse

La compagnie tunisienne Nouvelair lance une nouvelle vague de promotions « Happy Days » avec une réduction de 30% sur les vols reliant la Tunisie à l’Allemagne et à la Suisse. L’offre, valable une semaine, cible autant les voyageurs loisirs que les déplacements professionnels, avec des départs possibles dès ce 18 novembre.

Nouvelair a annoncé ce mardi 18 novembre le lancement d’une nouvelle édition de son offre promotionnelle “Happy Days”, offrant une réduction de 30% sur une sélection de vols reliant la Tunisie à l’Allemagne et à la Suisse.

Cette opération, valable jusqu’au 24 novembre, s’inscrit dans la stratégie commerciale de la compagnie visant à renforcer les flux entre les aéroports tunisiens et les grandes capitales économiques européennes.

La promotion concerne plusieurs destinations majeures : Berlin, Düsseldorf, Francfort et Munich pour l’Allemagne ; Genève et Bâle pour la Suisse, des villes considérées comme des pôles d’affaires, mais aussi des portes d’accès touristiques plébiscitées par les voyageurs tunisiens.

Une offre limitée dans le temps

La réduction s’applique sur le tarif affiché hors taxes, avec une fenêtre de réservation fixée du 18 au 24 novembre 2025. Les voyages peuvent être effectués entre le 18 novembre 2025 et le 31 mars 2026, en dehors des périodes de vacances scolaires.

Les passagers peuvent réserver via le site officiel de la compagnie, son application mobile, le service client ou encore les agences Nouvelair situées dans les aéroports de Tunis-Carthage, Monastir et Djerba, ainsi que les agences partenaires.

Les conditions d’annulation ou de modification restent soumises aux règles tarifaires propres à chaque destination et type de billet.

Nouvelair mise sur la relance et la diversification du réseau

En multipliant ces opérations commerciales, la première compagnie aérienne privée de Tunisie cherche à dynamiser les réservations sur la période hivernale et à soutenir sa fréquentation sur les liaisons Europe–Tunisie, particulièrement concurrentielles.

Fondée en 1989, la compagnie dessert aujourd’hui plus de 40 destinations sur trois continents et opère à partir de ses bases de Tunis, Monastir et Djerba.

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Soutien aux sportifs d’élite : Focus sur Ahmed Jaouadi et les disciplines de haut niveau

Le ministère de la Jeunesse et des Sports a réaffirmé son engagement envers les sportifs d’élite et les disciplines individuelles dans le cadre du budget 2026, soulignant le suivi rigoureux des fédérations et le soutien ciblé aux athlètes de haut niveau.

Priorité aux sports individuels et aux disciplines paralympiques

Sur le budget 2026, le ministère a consacré 29 millions de dinars aux sports individuels, contre 6,63 millions aux sports collectifs. Cette orientation a permis de maintenir la Tunisie parmi les nations performantes lors des grandes compétitions internationales.

Le sport paralympique bénéficie également d’un soutien accru, avec 11 contrats d’objectifs conclus avec des athlètes de haut niveau pour un montant de près de 3 millions de dinars, et un élargissement des disciplines de 5 à 10.

Soutien aux sportifs d’élite

Le ministre a réaffirmé l’appui aux athlètes de haut niveau, citant Ahmed Jaouadi, Ayoub Hafnaoui et Rami Rahmouni. Pour Jaouadi, deux contrats de soutien ont été signés : 375.000 dinars en 2024 et 350.000 dinars en mai 2025, dont 185.000 dinars déjà versés.

En parallèle, le ministère a rappelé son intention de sanctionner tout manquement aux règles de discipline, évoquant l’exemple de l’haltérophile Ghofrane Belkjir, dont le départ jugé « illégal » de la délégation nationale en Norvège est considéré comme inacceptable.

Gestion et restructuration des fédérations

Plusieurs fédérations sportives ont été restructurées, certaines dissoutes et remplacées par des bureaux provisoires pour manquements aux règles, notamment dans le taekwondo et la pétanque. Au total, 11 fédérations ont été réorganisées, en plus de trois autres en 2024.

Le ministère suit de près les postes vacants dans les directions techniques, notamment le recrutement du directeur technique de la Fédération d’athlétisme.

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Structures sportives, violence et régulation des paris : Le MJS trace la feuille de route 2026

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, a présenté les grandes lignes du projet de loi sur les structures sportives, ainsi que des mesures visant à renforcer la sécurité dans les stades et à encadrer les paris sportifs, lors de la séance plénière consacrée au budget 2026.

Projet de loi sur les infrastructures et la sécurité

Le projet de loi relatif aux structures sportives, transmis à la présidence du gouvernement depuis le 10 octobre, est désormais dans sa version finale et attend son examen par le Conseil des ministres. Il vise à moderniser les installations et à renforcer leur gestion pour mieux répondre aux besoins des clubs et des athlètes.

Parallèlement, un projet de loi de 40 articles a été élaboré pour lutter contre la violence, le vandalisme et le fanatisme dans les espaces sportifs. Le texte, envoyé à la présidence le 22 octobre, devrait être transmis à l’Assemblée des représentants du peuple dans les semaines à venir.

Depuis le début de la saison, plusieurs réunions avec le ministère de l’Intérieur et les parties prenantes ont défini des mesures concrètes, la plus récente ayant eu lieu le 4 novembre.

Pour renforcer la prévention, le ministère met en place la vente électronique des billets et équipe progressivement les installations sportives de caméras de surveillance modernes.

Encadrement des jeux de hasard et paris sportifs

Le ministre a également présenté la révision complète du projet de loi sur les jeux de hasard, d’argent et les paris sportifs, qui a été adapté aux normes internationales de lutte contre la manipulation et le blanchiment d’argent.

L’objectif est de sécuriser le secteur et de prévenir toute influence extérieure susceptible de nuire à l’intégrité des compétitions.

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Finances publiques : Les commissions parlementaires ouvrent l’examen détaillé du projet de loi de finances 2026

L’Assemblée des représentants du peuple a entamé mardi 18 novembre l’examen article par article du projet de loi de finances 2026, lors d’une séance conjointe réunissant sa Commission des finances et du budget et celle du Conseil national des régions et des districts.

Les discussions ont porté en priorité sur les dispositions consacrant le rôle social de l’État, notamment la lutte contre le chômage des diplômés.

Un début d’examen consacré au rôle social de l’État

Réunis au sein d’une double commission, les députés ont ouvert les débats sur le premier axe du projet de loi : la dimension sociale de l’action publique.

Ce volet, jugé prioritaire par plusieurs élus, traite de la création d’emplois, considérée comme « l’un des principaux défis de la période ». Les parlementaires ont souligné la nécessité d’un dispositif à la fois efficace, soutenable et en phase avec les réalités économiques des régions.

Les travaux ont rapidement mis en lumière les attentes fortes autour du budget 2026 : réduction du chômage, soutien à l’investissement productif et priorisation des dépenses à impact social.

L’article 13 au cœur des débats : encourager l’embauche des diplômés

L’une des premières dispositions examinées en détail fut l’article 13, qui vise l’insertion professionnelle des diplômés de l’enseignement supérieur dans le secteur privé.

Les représentants du ministère des Finances ont expliqué que cette mesure repose sur un mécanisme d’incitation directe.

L’État prendrait en charge la contribution patronale aux régimes de sécurité sociale, en échange, les entreprises privées s’engageraient à recruter des titulaires d’un diplôme universitaire, l’objectif final étant de réduire durablement le chômage des jeunes.

Un chantier budgétaire qui s’annonce dense

Au-delà de l’article 13, les députés ont souligné la nécessité d’un examen rigoureux du texte, axé sur l’équilibre entre impératifs sociaux et contraintes financières.

Les prochaines séances devraient aborder d’autres mécanismes de soutien à l’emploi, mais aussi les mesures fiscales, les dispositifs d’investissement et les prévisions macroéconomiques qui structureront le budget 2026.

Les deux commissions devront également évaluer l’impact réel des incitations prévues et vérifier leur capacité à relancer le marché du travail sans creuser les déficits.

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Situation environnementale à Gabès : Kaïs Saïed resserre l’étau autour du comité chargé des solutions urgentes

Mardi 18 novembre au Palais de Carthage, le président Kaïs Saïed a présidé une nouvelle réunion du comité mandaté pour proposer des mesures urgentes face à la crise environnementale qui frappe Gabès.

Autour de lui, les membres de cette commission ont présenté un premier rapport préliminaire. Le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’un plan d’action rapide, dénonçant au passage la mauvaise gestion, les équipements abandonnés et les tentatives de manipulation autour du dossier.

Cette rencontre réaffirme la volonté de l’exécutif d’accélérer la sortie de crise, tout en appelant à la vigilance face aux tensions.

Réunion de crise autour du premier rapport préliminaire

Au Palais de Carthage, Kaïs Saïed a réuni les membres du comité qu’il avait désignés pour élaborer des solutions immédiates pour Gabès : Ali Ben Hammoud, Samia Ben Ali, Hamida Kawas, Rafik Aouadi, Noureddine Rachdi, Mohamed Salah Ennajjar et Mohamed Ben Charrada.

Les participants ont remis au président une première version de leur rapport, document que Saïed a appelé à finaliser « dans les plus brefs délais » avec des mesures concrètes, rapides et applicables.

Le chef de l’État a insisté pour que le rapport final propose non seulement des solutions de court terme mais aussi une vision environnementale durable, capable d’impliquer la jeunesse locale. Il a rappelé que de nombreux pays s’inspirent encore des études environnementales réalisées par des experts tunisiens.

Le dossier des équipements abandonnés : un point de colère présidentielle

Kaïs Saïed est revenu en détail sur le scandale des équipements acquis en 2018 pour le Groupe chimique tunisien (GCT), abandonnés puis devenus inutilisables.

Selon lui, cet épisode symbolise une gestion défaillante des fonds publics, aggravée par une négligence délibérée. Il a dénoncé l’usage de rumeurs et de contre-vérités destinées, selon lui, à détourner l’attention de projets de cession d’établissements publics.

Pour le président, cette accumulation d’erreurs a « méprisé les souffrances des habitants de Gabès », déjà confrontés à une situation environnementale étouffante.

Hommage appuyé aux habitants de Gabès

Tout en exposant ces dysfonctionnements, le président a salué la population locale pour sa retenue et son sens de l’intérêt général. Il a souligné leur engagement à préserver la paix civile, notamment en collaborant avec les forces de sécurité face aux tentatives visant à envenimer la situation.

Saïed a assuré qu’il suit personnellement l’évolution du dossier et que les habitants ont le droit « de connaître toute la vérité, de demander des comptes conformément à la loi et de vivre librement, dans la dignité ».

Mise en garde présidentielle

Au-delà du dossier environnemental, le président a livré un message politique très direct. Il a parlé d’une « guerre de libération nationale tous azimuts », évoquant des tentatives de déstabilisation, de manipulations médiatiques et d’allégeance à l’étranger.

Selon lui, « l’État tunisien ne se gouverne pas par des publications sur les réseaux sociaux », ni par ceux qui diffament ou cherchent à « propager les mensonges ».

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Tunisie – Brésil (1-1) à Lille : Une performance de caractère face à une Seleção amorphe

A Lille, la Tunisie a tenu tête au Brésil dans un duel d’une rare intensité, ponctué par un penalty manqué en fin de match par Lucas Paquetá et un final électrique où chaque équipe aurait pu faire basculer le score.

Les Aigles de Carthage livrent l’une de leurs prestations les plus solides de l’année, tandis que la presse brésilienne s’interroge sur une Seleção poussive et fragile.

Mastouri surprend une Seleção maladroite

La Tunisie entre dans la rencontre avec détermination, compacte, disciplinée, et capable d’exploiter la moindre ouverture. Sur une transition rapide parfaitement exécutée, Hazem Mastouri surgit et ouvre le score d’une frappe précise (24’).

La Seleção a bien tenté de reprendre la maîtrise du ballon, mais s’est heurté à un bloc tunisien bien en place. Les circuits intérieurs étaient bloqués, le rythme haché, et les brèches rares. De plus en plus nerveux, le Brésil a multiplié les tentatives lointaines sans réellement mettre en danger le portier tunisien.

Mais sur une rare accélération claire, les Brésiliens obtiennent un penalty. Estevão, annoncé comme un futur cadre de la sélection, transforme la tentative avec sang-froid (44’). Le match bascule alors dans une bataille mentale et physique.

Discipline collective et montée en intensité brésilienne

A la reprise, le Brésil cherche à hausser le ton. Les entrées offensives ajoutaient de la vitesse mais la Tunisie ne rompait pas. Au milieu, l’activité constante des Tunisiens fermait les angles de passe, tandis que la défense gagnait les duels clés.

L’équipe d’Ancelotti s’exposait aussi aux contres tunisiens, dont la vivacité mettait régulièrement la Seleção en difficulté. Le rapport de force s’équilibrait : les Brésiliens dominaient la possession, mais les Tunisiens contrôlaient les zones dangereuses.

Poteau d’Estevão et penalty raté de Paquetá

La rencontre est entrée alors dans une dimension dramatique. D’abord, Lucas Paquetá obtenait un penalty en fin de match (78’). L’occasion était immense. Mais le Brésilien, sous pression, le manquait.

Le match bascule ensuite dans un scénario totalement fou. A la 90’+5 Ismaïl Gharbi frôle le poteau d’une frappe enroulée, quelques secondes plus tard, Estevão, encore lui, touchait le montant tunisien sur l’action suivante. Et pourtant, malgré ces actions coup sur coup, le score restait bloqué à 1-1.

Au Brésil, incompréhension et critiques

Au Brésil, les médias n’ont pas tardé pas à souligner cet échec avec sévérité. La presse brésilienne n’a pas mâché ses mots. De la gestion du match au manque de créativité, les médias ont dénoncé une prestation décevante :

« Le Brésil gâche un penalty et ne fait pas mieux qu’un match nul contre la Tunisie ».

« La sélection brésilienne a mal joué et a fait match nul avec la Tunisie… »

Même Carlo Ancelotti, pourtant mesuré, l’a reconnu :

« Nous avons eu un match bien plus difficile face à la Tunisie… nous aurions pu gagner. »

Pour la Tunisie, ce nul n’a rien d’un hasard. Il repose sur trois éléments clés. D’abord une organisation défensive impeccable en verrouillant les zones centrales, en gagnant les duels importants et en gérant parfaitement les transitions. A cela s’ajoutent une efficacité offensive malgré peu d’occasions et une maîtrise émotionnelle rare

Ce match signe un état d’esprit, une cohésion collective et une progression nette à l’approche de la Coupe Arabe des Nations et de la CAN.

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Tunisie : Un député relance le débat sur la polygamie en pleine séance budgétaire

Lors de la séance plénière conjointe consacrée au budget du ministère de la Femme, le député Abdessattar Zarai a créé la surprise en affirmant que la polygamie pourrait “résoudre de nombreux problèmes de la société tunisienne”. Une déclaration qui ravive une polémique historique au cœur de l’hémicycle.

Une intervention qui fait irruption dans le débat budgétaire

En pleine discussion du budget 2026 du ministère de la Femme, Abdessattar Zarai a pris la parole pour défendre une idée inhabituelle dans l’enceinte parlementaire : “La polygamie est un dispositif légitime, institué par Dieu. Pourquoi interdisons-nous ce que Dieu a autorisé ?”, a-t-il lancé devant les deux chambres réunies.

Le député a assuré que de nombreux Tunisiens “attendaient qu’il aborde ce sujet”, estimant que la polygamie pourrait constituer une réponse à certaines difficultés familiales.

Une justification présentée comme “sociale”

Souhaitant anticiper les critiques, Zarai a précisé qu’il ne s’agit ni d’obliger un homme à prendre plusieurs épouses, ni de contraindre une femme à accepter cette situation. Selon lui, l’enjeu principal serait de “corriger des dysfonctionnements familiaux” et de “rétablir une forme de justice” au sein de certains ménages.

Un discours à contre-courant de l’arsenal juridique tunisien

La sortie du député intervient alors que la polygamie est strictement interdite en Tunisie depuis 1956, l’une des pierres angulaires de la modernisation du droit de la famille sous la Constitution et la législation héritée de la réforme de Bourguiba.

En relançant ce débat dans un cadre institutionnel, Zarai s’attaque frontalement à un tabou juridique et social, ce qui risque d’alimenter une vive confrontation avec les organisations féministes, les défenseurs des droits humains, les juristes et une grande partie de la classe politique.

Bien que l’intervention n’ait pas suscité de confrontation immédiate dans l’hémicycle, elle devrait provoquer une vague de réactions dans l’opinion. Le sujet touche à l’identité, au statut des femmes, et à l’orientation moderniste ou conservatrice du pays.

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Crise environnementale à Gabès : Nouvelle vague d’asphyxie d’élèves

La situation environnementale et sanitaire dans la région de Gabès atteint un point critique. Un nouvel incident d’intoxication au gaz a frappé le collège de Chatt Essalem ce mardi 18 novembre 2025, relançant la controverse autour des émissions industrielles du Groupe Chimique Tunisien (GCT).

Urgence sanitaire au collège

Plusieurs élèves du collège de Chatt Essalem ont été touchés par ces nouvelles émanations toxiques. Les symptômes rapportés sont graves, incluant des évanouissements et des cas de suffocation. Face à l’urgence, les élèves intoxiqués ont été rapidement transportés à bord d’ambulances vers l’hôpital universitaire de Gabès pour y recevoir les premiers soins.

Cette information a été corroborée par l’association environnementale Stop Pollution ainsi que par plusieurs habitants de la région. Tous pointent du doigt, une fois de plus, les émissions de gaz provenant de l’une des unités industrielles opérant sous l’égide du GCT, suspecté d’être la cause de cette asphyxie collective.

Colère populaire et scolarité suspendue

Cet incident survient dans un contexte de forte tension sociale et environnementale. Depuis plusieurs semaines, la population de Gabès dénonce publiquement les émanations gazeuses suffocantes qui impactent l’ensemble des citoyens, mais qui touchent particulièrement les enfants. Le collège de Chatt Essalem a d’ailleurs été confronté à plusieurs incidents similaires par le passé.

La veille de l’incident, les parents d’élèves de l’École primaire Gnayna de Chatt Essalem avaient déjà pris une mesure radicale annonçant la suspension de la scolarité de leurs enfants.

Ils réclament l’installation d’un point de santé permanent au sein de l’école pour pouvoir administrer immédiatement les premiers soins en cas d’urgence et refusent de renvoyer leurs enfants à l’école tant que des conditions sanitaires adéquates – exemptes de gaz et d’odeurs nocives – ne sont pas garanties.

Revendications citoyennes pour un air sain

L’indignation populaire s’est traduite par une série de manifestations de grande ampleur. La plus marquante a eu lieu lors de la grève générale régionale du 21 octobre 2025, où une mobilisation massive a exigé un air sain, dénoncé les graves atteintes à la santé publique et appelé sans équivoque au démantèlement des unités industrielles polluantes responsables de cette crise chronique.

Face à l’ampleur du problème, les autorités au plus haut niveau de l’État se sont saisies du dossier. Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu le samedi 8 novembre 2025, au Palais de Carthage, Ali Ben Hammoud, un ingénieur en pétrochimie diplômé de l’Université de Shanghai.

Le chef de l’État a évoqué la situation environnementale critique à Gabès et a salué la réponse « sans hésitation » de l’ingénieur à l’appel visant à s’engager activement dans la recherche d’une solution pour la région. L’attente est désormais grande quant aux actions concrètes qui découleront de cet engagement pour mettre fin à cette menace sanitaire quotidienne.

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Tunisie : Le procès des frères Karoui reporté

Les péripéties judiciaires entourant l’ancien candidat à la présidentielle, Nabil Karoui, et son frère, l’homme d’affaires Ghazi Karoui, se poursuivent. La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du Tribunal de première instance de Tunis vient de marquer une nouvelle étape dans cette affaire de corruption financière et administrative, en décidant hier, lundi, de reporter leur procès.

Renvoi de l’audience

La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière, relevant du Tribunal de première instance de Tunis, a statué sur le dossier des frères Karoui. Le procès, qui attire l’attention des médias et de l’opinion publique depuis plusieurs années, est désormais renvoyé à une audience prévue au mois de décembre prochain.

Il est à noter que les deux principaux accusés, Nabil Karoui et Ghazi Karoui, sont actuellement poursuivis en état de fuite, un statut qui rend plus complexe le déroulement des procédures mais n’arrête pas l’action de la justice.

Gel des avoirs maintenu et mandats de dépôt

Cette décision de report intervient peu de temps après des motions significatives de la part du Pôle judiciaire financier. La Chambre d’accusation de cette instance a, en effet, récemment pris des mesures fermes qui réaffirment la gravité des charges :

  • Rejet du dégel des avoirs : les demandes de levée du gel des avoirs formulées par les défenses de Nabil et Ghazi Karoui ont été rejetées. Cette décision maintient sous séquestre leurs biens et actifs.
  • Émission de mandats de dépôt : la Chambre d’accusation a également confirmé l’émission de mandats de dépôt à leur encontre, avant de les déférer devant la Chambre criminelle spécialisée.

Ces développements font suite à une plainte historique déposée par l’association anti-corruption I Watch. L’association a initié des poursuites pour des chefs d’accusation graves, notamment l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent.

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Tunisie : Le SNJT appelle à une mobilisation nationale massive le 20 novembre

Le Syndicat national des journalistes tunisiens lance un appel à une participation large et visible à la journée de mobilisation prévue le 20 novembre dans l’ensemble du pays. Le mouvement, organisé à la Kasbah et dans les régions, vise à défendre la liberté de la presse, la dignité de la profession et l’application d’engagements institutionnels restés en suspens.

Le SNJT appelle journalistes, médias, organisations et société civile à se rassembler ce jeudi 20 novembre pour une journée d’action nationale.

A Tunis, le principal rassemblement se tiendra à la place du Gouvernement, à la Kasbah, tandis que des rassemblements simultanés se dérouleront devant les sièges des gouvernorats dans toutes les régions à partir de 10h30.

Le syndicat insiste sur la nécessité pour les professionnels des médias d’afficher leur unité. Il recommande de porter un brassard rouge pendant toute la journée, aussi bien lors des rassemblements que dans les rédactions et bureaux de travail.

Les revendications se multiplient

Au cœur de l’appel, le SNJT dénonce une série de blocages institutionnels jugés préjudiciables à l’exercice du métier. Parmi les priorités exprimées : accélérer la mise en place de la Commission indépendante chargée d’octroyer la carte nationale du journaliste professionnel, renouveler immédiatement les autorisations pour les médias étrangers, encore soumises à des restrictions, et lever toutes les entraves administratives ou réglementaires imposées aux correspondants internationaux.

Le syndicat exige également l’application des amendements adoptés concernant les statuts de la Radio nationale, de la Télévision tunisienne et de l’Agence TAP, en plus du décaissement des fonds dédiés à la prime de presse et à la prime de production audiovisuelle.

Le SNJT alerte aussi sur les obstacles rencontrés par les journalistes indépendants dans l’accès au statut d’auto-entrepreneur, considéré comme essentiel pour leur formalisation professionnelle.

Le syndicat réaffirme ses positions sur les dossiers les plus sensibles comme la libération des journalistes détenus, la fin des poursuites hors du cadre du décret-loi 115, garant du traitement juridique des affaires liées à la presse, ainsi que la levée immédiate des suspensions visant les plateformes Nawaat et Inkyfada.

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Panne géante sur Internet : Cloudflare vacille et une partie du web mondial se fige

Une défaillance majeure chez Cloudflare a paralysé une large portion d’Internet ce mardi, provoquant l’inaccessibilité de sites, services et plateformes parmi les plus utilisés au monde. L’origine exacte de l’incident reste pour l’heure indéterminée, malgré l’intervention rapide des équipes techniques.

Un blocage soudain aux répercussions mondiales

Vers la mi-journée, d’innombrables utilisateurs ont constaté l’impossibilité de charger des services pourtant réputés robustes : X, Feedly, mais aussi plusieurs sites d’information et d’entreprises. La panne a été rapidement identifiée comme provenant de Cloudflare, acteur central de l’infrastructure mondiale du web, chargé de la sécurité, du routage et de la disponibilité du trafic en ligne.

La société, qui protège ou optimise près de 20 % des sites Internet dans le monde, a reconnu un incident impactant son fournisseur de portail d’assistance, entraînant des erreurs massives pour les clients et visiteurs. Elle évoque également un lien potentiel avec l’interruption partielle constatée sur X, ainsi que des difficultés répétées de “vérification humaine” lors de l’accès à diverses plateformes.

Des plateformes majeures prises dans la tourmente

La portée du dysfonctionnement est exceptionnelle : de X (ex-Twitter) à OpenAI, en passant par ChatGPT, Claude AI, ou encore de nombreux médias internationaux, l’interruption a frappé sans distinction. Certaines entreprises majeures ont également signalé des perturbations, parmi lesquelles Facebook, AWS, bet365, Canva, Spotify, BrightHR, ou encore des services d’hébergement critiques.

La dépendance massive du web à Cloudflare a amplifié l’effet domino : lorsqu’un élément aussi structurant vacille, c’est toute la chaîne qui s’en trouve fragilisée.

Une source identifiée, un correctif en cours

Aux alentours de 14h, Cloudflare a annoncé avoir isolé l’origine de la panne et déployait un correctif d’urgence pour rétablir progressivement les services. Les premières améliorations ont été observées dans certaines régions, même si la situation restait volatile et sujette à des retours d’instabilité.

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Déviation sur la A1 : Circulation perturbée en direction de Hammamet

Ce mardi 18 novembre, les automobilistes empruntant la N3 A1 en direction de Sousse et Hammamet devront suivre une déviation partielle, le temps des travaux sur l’échangeur de l’Hôpital des Grands Brûlés à Ben Arous. La mesure, mise en place dès 9h30, s’inscrit dans le projet d’extension de l’entrée sud de Tunis.

Une bretelle provisoire pour sécuriser les travaux

Les travaux concernent l’échangeur reliant la Route Nationale n°3 A1 et la Route Régionale n°22, dans le cadre du lot n°03 du projet d’extension sud de la capitale. Pour permettre aux équipes de poursuivre les interventions en toute sécurité, la circulation a été redirigée vers une bretelle provisoire récemment aménagée.

Les automobilistes venant de l’intersection de la Yahoudia et de la Nationale n°3, et se dirigeant vers la banlieue sud ou Hammamet, doivent désormais emprunter cette voie temporaire. Les autorités routières recommandent prudence et respect de la signalisation pour éviter tout incident.

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Tunisie – Météo : Pluies intenses annoncées sur le centre et le sud, vigilance renforcée

L’Institut national de la météorologie annonce un épisode pluvieux marqué à partir de mardi soir, avec des cumuls pouvant atteindre 60 mm et des vents forts. Les régions du centre et du sud sont les plus exposées, et les autorités appellent à la prudence face au risque d’inondations locales.

Des orages dès mardi soir sur plusieurs gouvernorats

L’épisode pluvieux débutera mardi soir et se poursuivra mercredi sur les régions du centre et du sud, selon l’INM. Les cumuls attendus varieront entre 20 et 40 mm, pouvant localement atteindre 60 mm dans les gouvernorats de Sfax, Gabès, Médenine et Sidi Bouzid. Des rafales de vent accompagneront les orages, rendant les déplacements délicats, en particulier sur les routes rurales et dans les zones basses sujettes aux accumulations d’eau.

Les autorités locales recommandent aux habitants de rester vigilants, de limiter les déplacements et de signaler toute situation dangereuse. Les services de protection civile suivent de près l’évolution de l’épisode et sont prêts à intervenir en cas de besoin.

Une poursuite de l’activité orageuse jeudi dans le sud-est

L’épisode se prolongera jeudi sur le Sud-Est, avec des pluies temporaires orageuses et localement abondantes. Les agriculteurs et gestionnaires d’infrastructures sont invités à sécuriser leurs installations et à se préparer à une nouvelle journée de fortes précipitations.

Le centre et le sud connaissent régulièrement ce type d’épisodes en automne, aggravés par des sols peu absorbants et une urbanisation rapide. Les alertes répétées ces dernières années ont montré la vulnérabilité de certaines zones face aux crues soudaines et aux inondations.

Les habitants des zones urbaines et rurales doivent rester prudents, en particulier autour des axes routiers et des points bas. Les autorités locales recommandent de suivre les bulletins météorologiques, de protéger les biens exposés et de respecter les consignes de sécurité émises par les services de protection civile.

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Tunisie : Grève générale du secteur privé à Sfax

Sfax a observé ce mardi une grève générale du secteur privé, déclenchée par l’absence des négociations salariales et l’impasse du dialogue social. Une grève initiée par l’UGTT.

La journée du 18 novembre a marqué un nouvel épisode de tension sociale : à Sfax, l’Union régionale de l’UGTT a maintenu une grève générale dans les entreprises privées, dénonçant l’arrêt des négociations salariales pour 2025-2027, la Centrale syndicale accusant le gouvernement d’avoir bloqué les discussions malgré des engagements antérieurs..

Dialogue social à l’arrêt

Cette grève a concerné les entreprises du secteur privé, dont les salariés se sont rassemblés à la maison de l’UGTT avant de se diriger vers le gouvernorat.

Un mouvement s’inscrit dans la démarche de l’UGTT, celle-ci dénonçant que l’État ait mis fin unilatéralement au cycle de négociations pourtant obligatoire et l’accusant de vouloir imposer des augmentations salariales sans discussions tripartites, une démarche qualifiée « d’inédite depuis 1973 ».

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Foyers universitaires : 8200 nouveaux lits au cœur du budget 2026 de l’Enseignement supérieur

Réunis en plénière, les députés ont passé au crible le budget 2026 du ministère de l’Enseignement supérieur, marqué par une hausse modérée mais par un effort massif consacré aux foyers universitaires. Les élus ont insisté sur l’urgence d’élargir la capacité d’accueil face à une population étudiante en forte progression. Les chantiers d’infrastructures constituent le point le plus scruté de cette mission.

L’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts ont entamé lundi l’examen du budget du ministère de l’Enseignement supérieur pour 2026.

Le projet, en hausse de 3,47%, inclut un programme ambitieux d’extension des foyers universitaires. Les élus ont concentré le débat sur la pression croissante du logement étudiant et sur la capacité réelle du ministère à mener ses chantiers à terme.

Un budget en hausse marqué par l’urgence du logement étudiant

Le budget 2026 atteint 2397 millions de dinars (MD), soit 85,787 MD de plus que l’an dernier. Il est réparti entre quatre programmes majeurs, dont 477,476 MD dédiés aux services universitaires, un volet qui englobe les foyers et restaurants.

Le ministère a présenté une feuille de route axée sur l’infrastructure : 144 projets sont actuellement en cours, entre entretien, modernisation et extension d’établissements.

La question du logement étudiant a dominé la séance. Les foyers universitaires souffrent depuis des années d’une capacité insuffisante, accentuée par la hausse du nombre d’inscrits.

Pour y répondre, le ministère prévoit environ 7000 lits supplémentaires dans les projets déjà engagés, auxquels s’ajoutent 1200 nouveaux lits inscrits dans le budget 2026.

Les services universitaires restent un enjeu central dans un paysage qui compte 324.000 étudiants, 175 foyers universitaires et 84 restaurants pour l’année 2024-2025.

Les parlementaires ont interrogé le ministère sur les délais, la répartition régionale des projets et les mécanismes de suivi pour éviter les retards chroniques observés dans les années précédentes.

Entre soutien, vigilance et inquiétudes

Des députés ont salué l’augmentation des crédits consacrés aux services universitaires, estimant qu’elle répond à une demande sociale pressante. D’autres ont exprimé des réserves sur la capacité du ministère à livrer les chantiers annoncés, rappelant les retards accumulés dans plusieurs gouvernorats.

Certains élus ont insisté sur la nécessité d’une répartition plus équitable des nouveaux foyers, notamment dans les régions intérieures où les taux d’encadrement restent plus faibles. D’autres ont pointé du doigt la pression sur les restaurants universitaires, qui accueillent un nombre croissant d’étudiants sans augmentation significative de leurs moyens.

Le ministère, de son côté, a affirmé que l’amélioration des conditions de vie dans les campus constitue une priorité stratégique, rappelant que les structures universitaires dépassent aujourd’hui 40.606 agents, dont 22.297 enseignants et chercheurs.

Un système universitaire sous tension

La Tunisie dispose de 13 universités, 209 établissements publics d’enseignement supérieur et de recherche et 544 structures de recherche. La croissance régulière du nombre d’étudiants – conjuguée à l’augmentation du coût de la vie – met une pression permanente sur les foyers universitaires, souvent saturés et vieillissants.

Depuis plusieurs années, les syndicats étudiants, les directions régionales et les municipalités alertent sur les conditions d’hébergement, les problèmes de maintenance et l’insuffisance des places disponibles. Le budget 2026 s’inscrit donc dans une dynamique de rattrapage, mais reste confronté à des défis de financement, d’exécution et de gouvernance.

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Tunisie – Brésil : A Lille, les Aigles veulent faire trembler la Seleção

A Lille, la soirée s’annonce électrique. Devant des tribunes largement acquises à sa cause, la Tunisie défie ce mardi le Brésil dans une rencontre amicale qui n’aura rien d’un simple galop d’essai. Coup d’envoi à 20h30 au Stade Pierre-Mauroy, où des milliers de supporters tunisiens établis en France sont attendus pour transformer l’enceinte en chaudron rouge et blanc.

Ce rendez-vous arrive à un moment particulier pour les Aigles de Carthage. Après une préparation irrégulière — un match nul frustrant face à la Mauritanie (1-1) puis une victoire arrachée devant la Jordanie (3-2) -, la sélection peine encore à dégager une ligne claire. Les automatismes tardent, les repères vacillent, et l’équipe ne dégage pas la solidité espérée à ce stade de la saison.

Calmer les critiques !

Pour Sami Trabelsi, la pression est réelle. Le sélectionneur, contesté pour les performances fluctuantes de son groupe, sait que cette affiche face à l’une des sélections les plus redoutées de la planète pèsera lourd dans le jugement du public et de la fédération. Une prestation cohérente et courageuse pourrait calmer les critiques et offrir une bouffée d’air avant deux échéances majeures : la Coupe Arabe des Nations au Qatar et la Coupe d’Afrique des Nations au Maroc.

L’enjeu dépasse donc largement le cadre d’un simple amical : il s’agit d’un révélateur du niveau réel de la Tunisie face à une référence mondiale, mais aussi d’un test mental pour un groupe qui a besoin de se rassurer.

Sur quelles chaînes suivre le match !

La rencontre bénéficiera d’une large couverture internationale. Elle sera diffusée sur Watania 1 en Tunisie, AD Sports 1 dans la région MENA, ainsi que sur Sport Digital pour l’Allemagne et Sport TV 4 au Portugal.

Reste à savoir si les Aigles saisiront cette occasion rare : se mesurer au Brésil pour évaluer leur courage, leur discipline… et leur capacité à se sublimer quand la pression monte.

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Baccalauréat 2026 : Dispositif renforcé pour les candidats en situation de handicap

Pour la session 2026 du baccalauréat, le ministère de l’Éducation met en place une série de mesures exceptionnelles destinées aux candidats en situation de handicap ou présentant des troubles spécifiques de l’apprentissage. Temps supplémentaire, salles adaptées, lecteurs, aides humaines ou outils médicaux : un dispositif élargi qui vise à garantir l’égalité des chances lors des épreuves écrites et pratiques.

Le ministère introduit des aménagements renforcés pour les élèves souffrant de handicaps physiques affectant la vitesse d’écriture. Ceux-ci bénéficieront d’un tiers de temps supplémentaire pour chaque épreuve écrite, ainsi que d’une salle spéciale dédiée afin d’assurer confort et concentration.

De nouveaux aménagements pour les déficiences visuelles

Les candidats totalement inaptes à écrire pourront recourir à l’assistance d’un élève scribe, sélectionné selon les procédures habituelles.

Pour les élèves malvoyants, le dispositif est décliné selon le degré de déficience :

  • Agrandissement des sujets pour les handicaps visuels modérés,
  • Tiers de temps supplémentaire,
  • Salle aménagée,
  • Possibilité de solliciter un élève assistant.

Les candidats ayant subi une perte de vision soudaine bénéficieront des mêmes droits, renforcés par la mise à disposition d’un lecteur chargé de leur lire les sujets d’examen.

Handicap auditif, troubles cognitifs et spectre autistique

Les candidats souffrant d’un handicap auditif seront autorisés à garder leurs appareils auditifs, tout en bénéficiant d’un tiers de temps additionnel et d’une salle spécifique — un dispositif également appliqué aux élèves présentant un handicap mental léger.

Le ministère étend ces mêmes aménagements aux élèves ayant :

  • des troubles spécifiques de l’apprentissage,
  • des troubles du spectre autistique,
  • la pathologie dite des « enfants de la lune », pour lesquels une salle spécialement aménagée sera prévue.

Aménagements des épreuves pratiques et prise en charge des besoins médicaux

Lors des épreuves pratiques, les mesures se poursuivent :

  • agrandissement des supports,
  • tiers de temps supplémentaire,
  • usage autorisé des appareils auditifs,
  • espace privé pour certains candidats si nécessaire.

Les élèves souffrant de diabète seront autorisés à utiliser leur appareil de contrôle du taux de glycémie, afin de garantir leur sécurité tout au long des examens.

La direction générale des examens précise que chaque candidat se verra attribuer une ou plusieurs de ces mesures selon l’analyse de son dossier médical. L’objectif affiché : adapter les conditions d’examen au plus près des besoins individuels, sans déroger au cadre de rigueur du baccalauréat.

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Affaire du « complot contre la sûreté de l’État » : L’audience en appel repoussée au 27 novembre

La chambre criminelle spécialisée de la Cour d’appel de Tunis a finalement décidé de reporter la deuxième audience du procès dit du « complot contre la sûreté de l’État 1 » à la séance du 27 novembre, au lieu du déroulement prévu ce lundi 17 novembre.

Ce report vise à laisser davantage de temps aux avocats pour préparer leurs moyens de défense et pour examiner les nombreuses demandes déjà déposées.

Lors d’une précédente audience en première instance, en avril 2025, 37 personnes avaient été condamnées à des peines allant de 4 à 66 ans de prison, pour des accusations graves telles que complot contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État, formation et adhésion à une entente terroriste, ou encore actes de nature terroriste.

La défense avait insisté pour que les accusés laissés en liberté soient convoqués en personne, et contestait le maintien du procès à distance pour les prévenus détenus.

Lors du report initial fin octobre, ces arguments avaient été reconnus, justifiant la nouvelle convocation.

Pourquoi ce report ?

Selon des sources judiciaires, la défense a demandé un délai supplémentaire pour préparer ses plaidoiries, examiner en détail les pièces du dossier, présenter des requêtes de remise en liberté, plaider contre la tenue du procès par visioconférence.

La Cour d’appel a accepté ces demandes afin de garantir un meilleur respect des droits de la défense, permettant ainsi à tous les prévenus, y compris ceux en état de liberté, d’être entendus.

Ce dossier est particulièrement sensible : il concerne des accusations de terrorisme et de conspiration d’État, avec des peines très lourdes prononcées lors de la première instance.

La défense dénonce depuis le début une série d’irrégularités, notamment dans la procédure d’audience à distance, ce qu’elle considère comme un affaiblissement de la transparence judiciaire et des garanties fondamentales des accusés.

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Ooredoo Tunisie relance son programme de reforestation et s’engage pour un futur plus vert

Dans le cadre de son programme de responsabilité sociale « Tounes T3ich », Ooredoo Tunisie intensifie ses efforts environnementaux avec le lancement d’une nouvelle campagne nationale de reforestation, visant à restaurer les zones touchées par les incendies et à sensibiliser le public à la protection de la nature.

Une action concrète et pluriannuelle

Depuis 2023, Ooredoo a mené plusieurs opérations majeures :

  • 70 hectares reboisés à Bargou en 2023, suite aux incendies dévastateurs.
  • 100 hectares à Béja en 2024, portant à 170 hectares la superficie déjà reboisée.

Pour 2025, l’entreprise prévoit 30 hectares supplémentaires à Béja, confirmant son engagement à long terme dans la restauration forestière et la préservation de la biodiversité.

Sensibilisation et mobilisation citoyenne

La campagne s’inscrit dans la perspective de la Journée Nationale de l’Arbre, et vise à mobiliser la population pour participer aux actions de reforestation, promouvoir un engagement citoyen durable et valoriser les initiatives concrètes de restauration des espaces naturels sinistrés.

Selon Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie :

« La restauration des zones détruites par les incendies est un impératif national. À travers notre programme RSE Tounes T3ich, nous soutenons des actions concrètes pour redonner vie à nos forêts. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir plus vert pour la Tunisie. »

Une responsabilité partagée et des partenariats locaux

Ooredoo confirme sa volonté de collaborer avec les autorités nationales et les partenaires locaux pour assurer la réussite de ce programme. L’entreprise entend ainsi renforcer son rôle d’acteur engagé pour un futur durable et résilient, contribuant à la restauration des zones sinistrées et à la préservation de l’écosystème tunisien.

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