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Jeux de Solidarité Islamique: Maroua Brahmi offre une nouvelle médaille d’or

La para-athlète tunisienne Maroua Brahmi a décroché, mercredi, la médaille d’or de l’épreuve du club (catégorie F32) des Jeux de la solidarité Islamique qui se tiennent en Arabie Saoudite, en réalisant un jet de 25,79 m.

Il s’agit de la troisième médaille d’or tunisienne lors de ces jeux après celles remportées par Issra Bettaieb karaté) et Jamila Boulekbèche (natation).

La Tunisie totalise ainsi 13 médailles (3 or, 3 argent et 7 bronze).

Les médailles d’argent ont été obtenues par Wafa Mahjoub (karaté), Yassine Ben Abbès (natation) et Jamila Boulakbèche (natation), tandis que celles de bronze sont revenues à Oumaima Bdioui, Arij Aguab et Siwar Dhaouadi (judo), à Amine Zoghlami et Moataz Aifaoui (taekwondo), et à Mondher Mjadi et Eya Dridi (wushu kung fu).

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L’étude technique de l’autoroute Kef–Tunis attendue pour 2026

a finalisation de l’étude technique du projet de l’autoroute Kef-Tunis via Siliana est prévue pour le premier semestre 2026, a affirmé le directeur régional de l’équipement, Sadok Rejeb.

Il a indiqué, à l’Agence TAP, que la phase d’expropriation des terrains consacrés à la réalisation de ce projet se fera, ultérieurement, ajoutant que la mobilisation des financements nécessaires est en cours.

« Une enveloppe de 25 millions de dinars a été réservé au processus d’acquisition des terrains pour la construction de l’autoroute Kef-Tunis sur une distance de 110 km », avait souligné le ministre de l’équipement, lors de l’examen du budget de son département à l’Assemblée.

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Tunisie–Égypte 2025 : un accord pour fluidifier le commerce industriel

La Tunisie et l’Égypte ont signé, à Tunis, un mécanisme pour la mise en œuvre du mémorandum d’entente sur la reconnaissance mutuelle des certificats de conformité des produits industriels non alimentaires. Cet accord vise à éliminer les barrières commerciales et à faciliter les échanges entre les deux pays.

Signé à l’issue de la 14e réunion du Groupe de travail mixte tuniso-égyptien, tenue du 17 au 19 novembre 2025 à Tunis, ce mécanisme permettra aux producteurs et exportateurs des deux pays d’éviter la répétition des tests et analyses. Il repose sur la reconnaissance mutuelle des certifications délivrées par leurs organismes nationaux respectifs et sur l’application de procédures garantissant l’intégrité et la confiance dans les transactions commerciales.

La cérémonie a réuni le Directeur général de l’Institut national de la normalisation et de la propriété industrienne (INNORPI), Nafâa Boutiti, pour la partie tunisienne, et le Président du Conseil d’administration de l’Autorité Générale de Contrôle des Exportations et des Importations (GOEIC), Essam Al-Naggar et le président de l’Autorité générale des standards et de la qualité, et président élu de l’Organisation internationale de normalisation (ISO), Khaled Soufi.

Étaient également présents l’ambassadeur d’Égypte à Tunis, Bassem Hassan, et le conseiller commercial égyptien à Tunis, Mohamed El-Maghraby.

Selon l’INNORPI, ce dispositif constitue une « étape décisive » pour la mise en œuvre intégrale du mémorandum signé en 2022. « Il s’agit de renforcer la confiance mutuelle, d’éliminer les obstacles techniques au commerce et de favoriser un accès plus fluide aux marchés », a affirmé Nafâa Boutiti.

Pour l’Égypte, la signature revêt une portée qui dépasse le cadre technique. « Ce n’est pas qu’une simple procédure administrative, mais plutôt un saut qualitatif dans la coopération bilatérale », a déclaré Essam Al-Naggar, soulignant que ce mécanisme servira les intérêts des consommateurs et des producteurs des deux pays.

L’ambassadeur Bassem Hassan a qualifié l’accord d'”important” pour le renforcement des relations économiques, tandis que Khaled Soufi, en sa qualité de futur président de l’ISO, a vu dans cette initiative un pas vers la création d’un « bloc économique arabe » capable de peser sur la scène normative internationale.

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Tunisie : une ambition climatique nettement renforcée à l’horizon 2035

La Tunisie a relevé sensiblement son ambition climatique à l’horizon 2035, selon le projet préliminaire de sa prochaine Contribution déterminée au niveau national (CDN 3.0) publié sur le site de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Ce document, encore au stade de draft, actualise la dernière CDN de la Tunisie mise à jour et remise à la CCNUCC en 2021. Il redéfinit la stratégie climatique du pays alors que la communauté internationale se réunit à Belém, au Brésil, pour la 30e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP30).

Le texte du document propose une réduction de 62 % de l’intensité carbone d’ici 2035 (avec un objectif intermédiaire de réduction de 46,2 % d’ici 2030), ce qui marque un saut ambitieux comparé à la CDN 2021, qui tablait sur une baisse globale de 45 % à l’horizon 2030. Sans soutien extérieur, la Tunisie avance un objectif de 31 % (avec un objectif intermédiaire de 28 % d’ici 2030), contre 27 % dans la CDN précédente.

En ce qui concerne les émissions nettes, le pays cherche à les réduire à 24 MtCO2e (tonnes métriques d’équivalent dioxyde de carbone) en 2035 (contre 35 MtCO2e en 2010), évitant ainsi environ 152 MtCO2e d’émissions nettes cumulées sur la période 2026-2035 (par rapport à un scénario de statu quo), dont 81 % devraient provenir du secteur de l’énergie et 14 % du secteur de l’agriculture, de la foresterie et des autres utilisations des terres.

Autre évolution majeure : l’extension de la période de mise en œuvre, désormais fixée à 2026–2035. Le pays marque, ainsi, l’entrée du pays dans une planification climatique de plus long terme. Si la couverture sectorielle reste identique (énergie, procédés industriels, agriculture et terres, déchets, ainsi que les principaux gaz à effet de serre), le draft introduit pour la première fois une trajectoire d’atténuation structurée jusqu’en 2035, intégrant des volumes cumulés d’émissions évitées.

La dimension “adaptation ” est également renforcée. Alors que la CDN 2021 ciblait l’eau, l’agriculture, le littoral ou encore la santé, la nouvelle version élargit le spectre aux enjeux de biodiversité, de formation, d’inclusion sociale et de jeunesse, avec l’intention d’établir des objectifs chiffrés à 2030 et 2035.

Cependant, le scénario le plus ambitieux dépend d’un soutien international massif, financier comme technologique.

Par rapport à la CDN précédente, qui évaluait les besoins à près de 19,4 milliards USD pour 2021–2030, le financement total nécessaire prévu par la version actualisé du plan climat de la Tunisie, y compris les besoins en matière de renforcement des capacités, de transfert de technologies et de soutien (domaines complémentaires et transversaux), est estimé à environ 28, 220 milliards USD d’ici 2035.

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Tunisie : l’atelier FAO place les jeunes au cœur de l’agriculture

Un atelier régional sur le thème “Augmenter l’investissement responsable et promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes dans l’agriculture et les systèmes alimentaires”, a démarré mardi à Tunis, à l’initiative de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Une cinquantaine de participants venus de Tunisie, d’Algérie, du Maroc, de Mauritanie et du Sénégal prennent part à cet atelier, dont l’objectif est d’identifier, de présenter et de discuter des bonnes pratiques visant à stimuler l’investissement responsable et l’entrepreneuriat des jeunes dans l’agriculture et les systèmes alimentaires en Afrique du Nord et de l’Ouest.

Réunissant des acteurs clés issus des principaux ministères, des agences d’appui à l’investissement des petites et moyennes entreprises, ainsi que de jeunes entrepreneurs et des représentants des collectivités locales, cet atelier vise également à favoriser l’échange de connaissances et d’expériences entre les différentes parties prenantes des pays partenaires.

Ce workshop s’inscrit dans le cadre du programme “Agri-Accélérateur 2.0” mis en place par la FAO, lequel vise à promouvoir les investissements responsables dans le secteur agricole et agroalimentaire en Tunisie, en Algérie, au Maroc, en Mauritanie et au Sénégal, a déclaré la directrice générale de l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA), Inji Doggui Hanini.

Selon elle, les investissements responsables constituent aujourd’hui des catalyseurs essentiels de la transformation économique, offrant une triple performance : économique, en assurant un rendement optimisé, sociale, en générant des bénéfices pour les communautés, les jeunes et les consommateurs ; et environnementale, grâce à une gestion raisonnée et durable des ressources naturelles.

Ces investissements représentent, a-t-elle ajouté, un levier stratégique pour renforcer la sécurité alimentaire, transformer les systèmes alimentaires et créer des emplois décents, notamment pour les jeunes.

Elle a, dans ce sens, souligné la nécessité de promouvoir un cadre d’investissement responsable et durable, soutenu par un accompagnement structuré.

Évoquant les deux pôles “agri-accélérateurs” créés par l’APIA, la FAO et l’Institut National de Recherche Agronomique de Tunis (INRAT) en 2021 à Béja et en 2024 à Kébili, elle a précisé que ces structures ont permis d’accélérer 76 projets agricoles portés par des jeunes.

Pour sa part, le chef de cabinet du ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche, Haikel Hechlaf, a souligné que l’investissement responsable est au cœur de la vision du ministère pour une agriculture durable, inclusive et innovante.

“Il ne s’agit pas simplement d’attirer des capitaux, mais de promouvoir des investissements qui protègent nos ressources, valorisent nos territoires et créent un impact positif tant sur le plan économique que social”, a-t-il déclaré. Il a également insisté sur l’importance d’accompagner, de soutenir et d’encourager les jeunes, afin de leur ouvrir l’accès à l’innovation, à la formation et aux opportunités.

De son côté, le chargé des Affaires courantes du Bureau de la FAO pour la Tunisie et l’Afrique du Nord, Mohamed Amrani, estime que l’atelier constitue une occasion de renforcer la coopération Sud-Sud et les synergies entre les acteurs impliqués dans le développement d’un investissement agricole responsable, tout en approfondissant les dialogues interinstitutionnels et interpays.

Les échanges dans le cadre de cet atelier porteront sur les modèles de financement, les mécanismes d’accompagnement et les perspectives d’élargissement de l’Agri-Accélérateur à de nouvelles formes d’entrepreneuriat collectif, solidaire et associatif.

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Tunisie: Le SNJT appelle à une couverture équilibrée des mouvements sociaux

nouvelle Constitution

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a réaffirmé le rôle fondamental des médias dans le suivi des mouvements sociaux et professionnels, à travers une couverture objective et équilibrée conforme aux règles de la profession et à la déontologie journalistique. Dans un communiqué publié mercredi, le Syndicat a insisté sur la nécessité d’éviter toute “couverture […]

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Tunisie: Grève sectorielle de l’enseignement de base

Tunisie: Grève sectorielle de l’enseignement de base

La commission administrative sectorielle de l’enseignement de base, réunie mardi, a décidé d’organiser une grève sectorielle le 26 janvier 2026, afin de répondre à un certain nombre de revendications professionnelles, a fait savoir mercredi le secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’enseignement de base, Ikbel Azzebi. Dans une déclaration à l’agence TAP, il […]

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Protection civile: 533 interventions dans les dernières 24heures

Protection civile: 533 interventions dans les dernières 24heures

Les unités de la Protection civile ont effectué 533 interventions de secours durant les 24 dernières heures, a indiqué, mercredi, sur les réseaux sociaux, le porte-parole de la protection civile. Les interventions sont réparties comme suit: 369 opérations hors accidents de la route, 121 opérations de secours et d’assistance sur les routes, 38 interventions d’extinctions […]

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Forum Ambition Africa 2025 : le dynamisme tunisien mis en lumière

Plusieurs entreprises et startups tunisiennes des secteurs des TICs et de l’industrie ont activement participé au forum économique « Ambition Africa 2025 », qui s’est tenu à Paris les 18 et 19 novembre. Cette participation a mis en lumière le dynamisme de l’entrepreneuriat tunisien, comme l’a indiqué l’ambassade de Tunisie à Paris sur sa page Facebook.

Organisé par Business France, cet événement a rassemblé des opérateurs publics et privés africains et français. L’Ambassade et le bureau FIPA-France/FIPA-Tunisia étaient présents à cette manifestation.

L’objectif de ce forum était d’engager des discussions ciblées, d’explorer de nouvelles opportunités d’investissement et de favoriser l’émergence de projets porteurs dans des secteurs clés. Les discussions ont souligné l’importance d’une coopération fondée sur la complémentarité, l’innovation et la création de valeur partagée.

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Rapport FAO 2025 : l’impact économique des catastrophes sur l’agriculture africaine

L’Afrique a accusé 611 milliards de dollars de pertes agricoles entre 1991 et 2023 en raison des catastrophes naturelles et aléas climatiques, chiffre à grand impact sur la sécurité alimentaire sur le continent, étant donné que l’agriculture y représente la principale source d’emplois et d’activités économiques, d’après un nouveau rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) publié à la mi-novembre 2025.

Le rapport intitulé “L’Impact des catastrophes sur l’agriculture et la sécurité alimentaire 2025 – Des solutions numériques pour réduire les risques et les impacts”, indique que l’Afrique accuse ainsi l’impact économique relatif le plus marqué, avec des pertes équivalant à 7,4 % de son PIB agricole, ce qui témoigne des effets dévastateurs subis par les économies africaines.

Au niveau sous-régional, l’Afrique occidentale apparaît comme la sous-région la plus vulnérable avec 13,4 % de pertes du PIB agricole, un chiffre qui représente un fardeau économique extrêmement lourd reflétant l’exposition aiguë de la sous-région aux catastrophes liées au climat et sa capacité d’adaptation limitée.

L’Afrique australe suit avec 7,6 % de pertes du PIB agricole, tandis que l’Afrique de l’Est subit 5,8 % de pertes, confirmant ainsi une vulnérabilité accrue à travers le continent africain. Cette tendance continentale reflète des défis communs, liés notamment à la forte dépendance à l’égard de l’agriculture pour l’emploi et la stabilité économique, à la dépendance généralisée à l’égard des systèmes agricoles pluviaux et aux ressources financières insuffisantes pour réduire les risques de catastrophe et instaurer des mesures d’adaptation au changement climatique.

3 260 milliards de dollars de pertes agricoles à l’échelle mondiale

D’après la même source, sur une période de 33 ans (1991-2023), les catastrophes ont infligé au secteur agricole des pertes estimées à 3 260 milliards de dollars des États-Unis, soit 99 milliards de dollars par an en moyenne. Les cultures céréalières ont payé le plus lourd tribut, avec 4,6 milliards de tonnes de pertes, suivies par les fruits et légumes (2,8 milliards de tonnes), tandis que la viande et les produits laitiers perdent 900 millions de tonnes.

L’analyse régionale montre que l’Asie accuse les plus lourdes pertes, à savoir 47% du total mondial (1 530 milliards de dollars), ce qui peut s’expliquer par son secteur agricole très vaste, sa population rurale nombreuse et sa vulnérabilité accrue aux catastrophes d’origine climatique. Viennent ensuite l’Amérique, avec 22 % du total (713 milliards de dollars), puis l’Afrique avec 19% (611 milliards de dollars).

Les pertes de production dues aux catastrophes correspondent à une réduction des disponibilités énergétiques de 320 kcal par personne et par jour au niveau mondial. On déplore des pertes de fer équivalentes à 60% des besoins pour les hommes, et de graves déficits en vitamines et minéraux essentiels qui tendent à affecter les populations vulnérables de manière disproportionnée. Selon les estimations, les vagues de chaleur marines ont causé à elles seules 6,6 milliards de dollars de pertes dans le secteur de la pêche (1985-2022).

Au niveau mondial, 15% des pêcheries ont été touchées et les pertes de production ont dépassé 5,6 millions de tonnes, ce qui témoigne de l’impact considérable – mais en grande partie non quantifié – de ces catastrophes sur les systèmes alimentaires aquatiques. Pourtant, la pêche et l’aquaculture restent largement passées sous silence dans les évaluations des catastrophes, alors qu’elles assurent la subsistance de 500 millions de personnes.

L’impact des catastrophes sur l’agriculture ne se limite pas aux pertes de production immédiates, mais englobe également les dommages causés aux infrastructures, les perturbations des marchés, les défaillances des systèmes financiers et la dégradation des services éco-systémiques, qui peuvent persister pendant plusieurs années après l’événement initial.

La FAO estime ainsi qu’il est nécessaire de développer les outils d’évaluation existants afin de saisir systématiquement les effets directs et indirects et de prendre en considération les valeurs non économiques, les effets différenciés sur les groupes vulnérables, les atteintes à la biodiversité et les perturbations à long terme des écosystèmes. Les technologies et les outils numériques révolutionnent le suivi des risques dans l’agriculture. Les plateformes numériques interopérables transforment les données brutes sur le climat, les sols, les variables socioéconomiques et les aléas en informations exploitables. Des analyses avancées alimentées par l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique permettent désormais d’obtenir en temps réel des informations hyperlocales et intégrées sur les risques, qui sont facilement exploitables.

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Foire de Budapest 2025 : Tunisie, entre tradition et promotion culturelle

La Tunisie a connu un vif succès lors de sa participation à la 14ᵉ édition de la Foire caritative diplomatique de Budapest, organisée dimanche 16 novembre au Centre de défense nationale Bálna. Son stand, hautement fréquenté, a été l’un des plus remarqués de l’événement, mettant en lumière la richesse de ses produits artisanaux, de son huile d’olive de qualité et de sa culture millénaire.

Selon la page Facebook de l’ambassade de Tunisie à Budapest, le stand tunisien a été honoré par la visite de Zsuzsanna Nagy, Première dame de Hongrie et marraine de l’événement. De nombreux chefs de mission diplomatique, journalistes et visiteurs de diverses nationalités ont pu découvrir et apprécier la qualité exceptionnelle des produits tunisiens, notamment l’huile d’olive et d’autres produits du terroir.

Pour cette édition record, organisée par l’association Diplomatic Spouses in Budapest (DSB), la Tunisie a déployé une participation d’une grande richesse : outre un stand attrayant, elle a offert une performance musicale live et installé un restaurant tunisien servant des spécialités locales. Cette présence, menée en étroite collaboration avec de jeunes Tunisiens actifs dans les domaines de la peinture, de la calligraphie arabe, de la musique et de la cuisine, s’inscrit dans une démarche de promotion culturelle et caritative en Hongrie.

Selon les organisateurs, cette 14ᵉ édition a battu tous les records : 58 missions diplomatiques y ont participé, et l’affluence du public a atteint un niveau sans précédent. Les recettes générées, en forte hausse par rapport aux années précédentes, seront entièrement reversées à des associations caritatives locales, renforçant ainsi l’impact humanitaire de l’événement.

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Budget 2026 : la mission santé voit ses dépenses augmenter de 8,75 %

Une séance plénière commune est tenue mercredi matin à l’Assemblée des représentants du peuple consacrée à l’examen du budget de la mission du ministère de la Santé pour l’année 2026, en présence du ministre de la Santé.

Les dépenses de la mission de la santé ont été fixées à 4 350 millions de dinars, contre 4 000 millions de dinars en 2025, soit une augmentation de 8,75 %, sans tenir compte des ressources propres.

Les dépenses de la mission de la santé se répartissent comme suit : 2 860 500 mille dinars alloués aux salaires, 680 400 mille dinars aux dépenses de gestion et 29 100 mille dinars alloués aux dépenses d’intervention, tandis que les dépenses d’investissement ont été fixées à 780 000 dinars.

Selon le rapport conjoint de la commission de la santé, des affaires de la femme, de la famille et affaires sociales et des personnes handicapées du Parlement et de la commission des services et du développement social du Conseil national des régions et des districts, le ministère oeuvre pour acquérir des équipements de santé de pointe et les distribuer dans les différentes régions du pays.

Le rapport indique que la Tunisie est entrée dans une nouvelle phase de son histoire sanitaire grâce au projet d’hôpital numérique, le premier du genre dans le pays, qui a permis de fournir des services de télémédecine dans 22 hôpitaux régionaux, couvrant quatre spécialités médicales, et de relier plus de 31 hôpitaux à un service d’imagerie médicale à distance, offrant ainsi des services de haute qualité à moindre coût et contribuant à l’équité technologique entre les régions.

Le ministère veille à garantir la sécurité sanitaire et pharmaceutique grâce à l’entrée en activité effective de l’Agence nationale des médicaments et des produits de santé depuis janvier 2025, à l’élaboration de la stratégie pharmaceutique nationale en collaboration avec le Conseil national de sécurité, ce qui renforce la transparence et la qualité et lutte contre le monopole et la corruption, ainsi que le développement du tourisme médical et thérapeutique et l’exploitation de l’expertise nationale et des ressources disponibles pour soutenir le rayonnement de la Tunisie dans ce domaine vital, et s’efforce de résoudre les nombreux problèmes liés aux projets en suspens.

En coordination avec les médias audiovisuels, le ministère continuera également à élaborer et à présenter des programmes de sensibilisation avec la participation de professionnels de la santé et de citoyens, notamment en matière de prévention du tabagisme et de la toxicomanie.

Le ministère vise également à développer des programmes et des activités de contrôle continu des denrées alimentaires et des différents produits, de préservation de la santé et de protection de l’environnement, en plus de soutenir le système de formation afin de développer les compétences nécessaires pour s’adapter aux nouveautés et aux mutations technologiques.

Dans le domaine pharmaceutique, des efforts seront déployés pour assurer la liquidité nécessaire à la pharmacie centrale tunisienne.

Dans le cadre de la stimulation des ressources humaines, 4 000 postes du personnel recruté ont été affectés, dont 3 850 dans plusieurs structures de santé publiques et 150 dans des institutions publiques à caractère non administratif. La situation d’environ 1 000 travailleurs des chantiers sera également régularisée.

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Mondial 2026 : les 42 nations déjà qualifiées révélées

Trois nations de la zone Concacaf ont à leur tour décroché dans la nuit de mardi à mercredi leur qualification pour la Coupe du monde 2026 (11 juin-19 juillet), la première organisée dans trois pays (Etats-Unis, Canada et Mexique) et dans un format élargi à 48 équipes.

Les 42 pays déjà qualifiés:

Zone Amérique du Nord, Centrale et Caraïbes (Concacaf): Etats-Unis, Canada et Mexique, qualifiés d’office en tant qu’organisateurs, Panama, Curaçao et Haïti (6)

Zone Asie (AFC): Australie, Corée du Sud, Iran, Japon, Jordanie, Ouzbékistan, Qatar, Arabie saoudite (8)

Zone Océanie (OFC): Nouvelle-Zélande (1)

Zone Amérique du Sud (Conmebol): Argentine, Brésil, Colombie, Equateur, Paraguay, Uruguay (6)

Zone Afrique (CAF): Algérie, Tunisie, Maroc, Egypte, Ghana, Cap-Vert, Afrique du Sud, Sénégal, Côte d’Ivoire (9)

Zone Europe (UEFA): Angleterre, France, Croatie, Portugal, Norvège, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Espagne, Ecosse, Autriche, Suisse (12)

NB : le Cap-Vert, l’Ouzbékistan, la Jordanie et Curaçao disputeront l’été prochain la première phase finale de Coupe du monde de leur histoire.

Mode d’emploi:

Les 48 nations participantes seront réparties en douze poules de quatre équipes dont les deux premières seront directement qualifiées pour les 16es de finale, inédits dans l’histoire de la Coupe du monde. Les huit meilleures troisièmes compléteront le tableau.

Le match d’ouverture est programmé le 11 juin 2026 au stade Azteca de Mexico. La finale aura lieu le 19 juillet au MetLife Stadium, dans le Grand New York.

Seize stades accueilleront les matches de la compétition (onze aux Etats-Unis, trois au Mexique et deux au Canada).

Les 16 villes hôtes:

Etats-Unis: Kansas City, Boston, Grand New York, Seattle, Philadelphie, Atlanta, San Francisco, Los Angeles, Miami, Dallas, Houston

Mexique: Monterrey, Mexico, Guadalajara

Canada: Vancouver, Toronto.

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Préparatifs du pèlerinage 2026 : le gouverneur de Tunis annonce des avancées

Préparatifs du pèlerinage 2026 : le gouverneur de Tunis annonce des avancées

Les préparatifs de la prochaine saison du pèlerinage vont bon train et progressent de manière satisfaisante, a affirmé le gouverneur de Tunis, Imed Boukhris, lors d’une réunion de travail consacrée à la saison de pèlerinage. Le gouverneur a appelé à mobiliser pleinement les ressources matérielles, humaines et logistiques afin d’assurer le bon déroulement des formalités […]

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Budget 2026: Asma Jebri annonce des mesures concrètes pour 2026

La ministre de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées, Asma Jebri, a souligné mardi soir au Palais de Bardo, en réponse aux interventions des députés au cours de la séance conjointe entre l’assemblée des représentants du peuple (ARP) et le conseil national des régions et des districts, que les activités du ministère seront axées en 2026 sur la promotion de la famille, des femmes, des enfants et des personnes âgées.

Elle a souligné l’importance de renforcer la cohésion familiale, de protéger les enfants contre toute forme d’exploitation et de violence, d’autonomiser les femmes économiquement et socialement et d’améliorer les soins offerts aux personnes âgées dans plusieurs régions.

La ministre a indiqué que ces axes s’inscrivent dans le cadre de la constitution et des engagements nationaux en matière de protection de la famille, pour s’adapter aux transformations sociales, économiques et démographiques dans le pays.

Jebri a précisé que la famille tunisienne a connu des transformations profondes, avec une augmentation du nombre des foyers, passant d’environ deux millions en 2004 à plus de trois millions actuellement. La famille est confrontée à plusieurs défis, tels que la rupture familiale, l’augmentation des taux de divorce, le taux élevé de décrochage scolaire et des phénomènes sociaux à risque, a-t-elle ajouté.

La ministre a précisé que son département a élaboré un plan national pour renforcer la cohésion familiale, qui comprend six axes dont notamment l’édification d’une famille sur des bases saines, le rôle de la famille dans le soutien et l’accompagnement de ses membres, la lutte contre les défis économiques, sociaux et climatiques, ainsi que la promotion des législations.

Elle a souligné le lancement de la première phase de ce plan en 2026, qui inclut un programme national de préparation et de réhabilitation conjugale et familiale pour former les futurs couples et soutenir les jeunes et les adolescents, ainsi que l’élaboration de projets de lois concernant la pension alimentaire et le système de médiation familiale avant et pendant le procès afin de garantir l’intérêt des enfants.

Concernant la participation des femmes dans le secteur économique et le renforcement de leurs capacités compétitives, la ministre a affirmé que les acquis des femmes tunisiennes seront préservés, ajoutant que la Tunisie est pionnière en matière des droits des femmes et des filles.

Elle a ajouté que le ministère oeuvre à renforcer les capacités des femmes à travers des programmes de soutien à l’entrepreneuriat.

La ministre de la famille a annoncé l’élaboration d’une stratégie nationale pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin, incluant plusieurs axes tels que la culture économique, l’accompagnement et le soutien, le marketing et le lancement d’une plateforme nationale pour la commercialisation des produits féminins afin d’assurer la durabilité des projets et d’améliorer leurs capacités compétitives, qui entrera en vigueur en 2026.

En réponse aux questions des députés concernant les impacts des programmes d’autonomisation économique sur les femmes, les familles et les filles, la ministre a expliqué que le programme “Raidat” a contribué à la création de plus de 6 000 projets féminins et a fourni environ 13 000 emplois directs depuis son lancement.

En ce qui concerne l’application de la loi n° 58 de 2017 relative à la lutte contre la violence à l’égard des femmes, la ministre a fait savoir que l’évaluation a révélé une faiblesse de l’aspect préventif de cette loi, ce qui a conduit au lancement d’un programme national de prévention et de protection depuis octobre 2025.

Elle a expliqué que ce programme repose sur une approche participative impliquant tous les ministères concernés afin de garantir la protection des femmes et des filles contre la violence.

La ministre a souligné que son département s’emploie à rapprocher et diversifier les services de prise en charge des femmes victimes de violence à travers des centres d’hébergement qui offrent des services psychologiques, juridiques, sanitaires et de formation, ainsi que d’autres programmes tels que le programme “Samida” pour l’autonomisation économique des femmes.

Elle a également précisé que la gestion de ces centres est soumise à des normes et conditions strictes conformément à la loi n° 83 de 2016, garantissant la transparence et la durabilité des financements publics. La ministre a ajouté que son département oeuvre à élargir la couverture régionale des centres de lutte contre la violence.

En ce qui concerne le soutien aux personnes âgées, la ministre a précisé que son département s’emploie à promouvoir le cadre législatif et à encourager l’investissement privé pour soutenir les personnes âgées, à travers la révision de la loi n° 114 de l’année 1994 relative à la protection des personnes âgées, l’actualisation des cahiers de charges des établissements de protection des personnes âgées, et la préparation d’un cahier de charges pour la création d’équipes mobiles chargées des soins à domicile et dans les clubs du jour.

Elle a ajouté que le ministère oeuvre, dans son plan d’action pour 2026 à renforcer la protection des personnes âgées en situation de vulnérabilité, avec un budget de 1,4 million de dinars pour augmenter le nombre d’équipes mobiles de 49 à 56, en coordination avec les associations locales.

Jebri a annoncé que les activités des établissements de protection des personnes âgées à Jafrine et Kairouan reprendront avant la fin de l’année 2025, ajoutant que les travaux de rénovation des établissements de protection des personnes âgées à Béja, Manouba et Siliana seront parachevés, moyennant un budget d’un million de dinars.

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Rhizomes de la pensée : rencontre Deleuze à l’Institut français

A l’occasion de la Journée mondiale de la philosophie, célébrée chaque année le troisième jeudi de novembre, et du centenaire de la naissance du philosophe français Gilles Deleuze (1925-1995), une rencontre entre philosophie et création artistique autour de la pensée deleuzienne est prévue le vendredi 21 novembre à 18h00 à l’auditorium de l’Institut français de Sousse.

Intitulée “Rhizomes de la pensée : hommage à Deleuze”, cette rencontre rend hommage à l’un des penseurs majeurs du XXème siècle, dont la philosophie du mouvement, du flux et du devenir continue d’inspirer artistes et chercheurs contemporains.

Entre concepts, gestes et images, où philosophie et art se rejoignent dans un même élan de création et de réflexion, la rencontre à deux voix sera animée par le philosophe français François Pellet, et l’artiste visuel Ridha Dhib, originaire de Sousse installé en France, qui interviendra en visioconférence. Il présentera une démonstration performative autour de son projet “Mnémosyne, une traversée Paris-Nauplie” prévue pour l’été prochain. Son travail, nourri par la pensée deleuzienne – le pli, l’intensité, le rhizome, le nomadisme, interroge la mémoire, le corps en mouvement et le déplacement.

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Le film tunisien “On the Edge” primé au Festival de Timimoun

Le film tunisien “On the Edge” (Bord à bord) de Sahar El Echi a obtenu une mention spéciale lors de la première édition du Festival international du court métrage de Timimoun, qui a attribué son Grand Prix au court métrage algérien “Collatéral !” de Yazid Yetou.

Le palmarès a été annoncé lors de la cérémonie de clôture hier de cette première édition organisée du 13 au 18 novembre 2025.

Le Festival international du court métrage de Timimoun dans son édition de lancement a été marqué par la participation de 47 courts métrages, répartis en trois compétitions : 19 fictions, 13 documentaires et 15 films algériens, en plus de sections parallèles et des projections consacrées au Sénégal, invité d’honneur.

La Tunisie a participé à la compétition du court documentaire avec deux films à savoir “Bord à bord” de Sahar El Echi et “Scarecrows of the Red Zone” de Jaleleddine Faizi. Le jury des courts documentaires a réuni notamment le réalisateur, scénariste et producteur tunisien Amine Boukhris.

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Budget 2026 : Nouvelles mesures pour la jeunesse et le sport

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, a souligné, lors de la séance plénière consacrée au budget 2026 de son département, que le projet de loi relatif aux structures sportives, a été transmis le 10 octobre à la présidence du gouvernement, précisant que le texte se trouve actuellement dans sa version finale, en attendant son examen par le Conseil des ministres.

Il a également annoncé l’élaboration d’un projet de loi visant à lutter contre la violence, le vandalisme et le fanatisme dans les espaces sportifs, comprenant 40 articles. Ce projet a été envoyé à la présidence du gouvernement le 22 octobre, en attendant sa transmission à l’APR. Le ministre a rappelé que plusieurs réunions ont été organisées avec le ministère de l’Intérieur et les parties concernées depuis le début de la saison sportive pour définir les mesures à adopter, la dernière datant du 4 novembre. Parallèlement, le ministère a entamé la mise en place de la vente électronique des billets et l’équipement des installations sportives en caméras de surveillance modernes pour renforcer la prévention.

Sur le plan législatif, il a ajouté que le projet de loi sur les jeux de hasard, d’argent et de paris sportifs a été entièrement révisé pour être conforme aux normes internationales de lutte contre la manipulation et le blanchiment d’argent.

Concernant la lutte contre le dopage, Mourali a précisé que tous les textes d’application ont été finalisés, notamment le décret fixant les conditions d’obtention des certificats de formation et d’accréditation des contrôleurs, enquêteurs, inspecteurs et éducateurs spécialisés, ainsi que leur régime de rémunération.

Sur le plan sportif, le ministre a souligné l’importance accordée par son département aux sports individuels auxquels 29 millions de dinars ont été consacrés, contre 6,63 millions pour les sports collectifs.

Il a affirmé que ce soutien a permis d’obtenir d’excellents résultats lors de grandes compétitions internationales. Le sport paralympique bénéficie également d’un appui renforcé, notamment via des contrats d’objectifs conclus avec 11 athlètes de haut niveau pour près de 3 millions de dinars, et une augmentation du nombre de disciplines de 5 à 10.

Il a indiqué que le ministère continuera de lier le financement aux résultats, à la bonne gouvernance et à la gestion responsable, tout en soutenant les sports à dimension sociale et le sport féminin.

Concernant les fédérations sportives et les sportifs d’élite, il a indiqué que plusieurs fédérations ont été restructurées, ont tenu des assemblées électives ou ont révisé leurs statuts. Certaines ont même été dissoutes et remplacées par des bureaux provisoires en raison de manquements, comme les fédérations de taekwondo, et de pétanque. Au total, 11 fédérations ont été restructurées, en plus de trois autres en 2024.

Au sujet des postes vacants dans les directions techniques, il a précisé que les candidatures pour le poste de directeur technique de la Fédération d’athlétisme ont été ouvertes, et que le ministère suit attentivement la situation de toutes les fédérations.

Concernant les athlètes de haut niveau, il a réaffirmé l’engagement du ministère à les soutenir, citant les nageurs Ahmed Jaouadi, Ayoub Hafnaoui et Rami Rahmouni. Pour Ahmed Jaouadi, il a rappelé la signature de deux contrats de soutien : un premier de 375 000 dinars en 2024, et un second de 350 000 dinars en mai 2025. Il a ajouté que ce dernier a reçu 185 000 dinars en juin 2025, versés sur son compte le 22 août.

Le ministre est également revenu sur la polémique concernant l’haltérophile Ghofrane Belkjir, jugeant son départ illégal de la délégation nationale en Norvège comme un acte inacceptable, irresponsable et assimilable à une trahison de la confiance. Il a affirmé qu’elle devra rembourser les fonds qui lui ont été accordés.

Le ministre a expliqué que le programme Jeunesse vise à permettre aux jeunes de jouer un rôle actif dans le développement, conformément à la stratégie 2035, à travers des projets pratiques axés sur la formation, l’emploi, l’entrepreneuriat et le renforcement de la citoyenneté, en accordant une attention particulière aux régions de l’intérieur pour garantir la justice territoriale.

Il a précisé que le programme 2026 poursuivra le développement des compétences des acteurs dans les domaines du tourisme des jeunes, de la culture et de la créativité, pour bénéficier à environ200 000 jeunes par an à travers des formations, des projets communs et une coopération internationale. Le programme comporte également un soutien aux initiatives participatives destinées aux jeunes handicapés ou résidant à l’étranger, ainsi que l’élargissement des opportunités d’inclusion sociale et économique via des programmes traitant des risques comme la migration irrégulière, la violence, la drogue, l’addiction numérique, en plus du développement des compétences en leadership et en pensée critique.

En conclusion, le ministre a abordé la question des recrutements, annonçant que le ministère ouvrira 600 postes et qu’il œuvrera à la régularisation de la situation des travailleurs sous contrat de sous-traitance dans les plus brefs délais.

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Mondial 2026 : trois surprises qualifiées dans la zone Concacaf

Le Panama, Haïti et Curaçao ont validé leur billet pour la Coupe du monde 2026 en terminant premiers de leurs groupes lors des éliminatoires de la zone Concacaf, dans la nuit de mardi à mercredi.

Des victoires décisives pour le Panama et Haïti

Le Panama a conclu sa campagne sur un succès convaincant 3-0 contre le Salvador dans le groupe A, participant ainsi à sa deuxième Coupe du monde après 2018. Haïti, surnommé « Les Grenadiers », s’est imposé 2-0 face au Nicaragua dans le groupe C et disputera également son deuxième Mondial, après 1974.

Curaçao, le plus petit pays qualifié de l’histoire

Dans le groupe B, Curaçao a tenu la Jamaïque en échec (0-0) pour conserver la première place. Avec environ 150.000 habitants, l’île devient le pays le moins peuplé à se qualifier pour une Coupe du monde.

Vers les barrages intercontinentaux

Les co-organisateurs États-Unis, Canada et Mexique rejoignent ces équipes parmi les nations directement qualifiées de la région. Les deux meilleurs deuxièmes de la zone Concacaf participeront en mars à un tournoi de barrages intercontinentaux avec l’Irak, la République démocratique du Congo, la Bolivie et la Nouvelle-Calédonie, pour tenter de décrocher les deux derniers billets pour le Mondial 2026.

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