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« Complot contre la sûreté de l’État » : deuxième audience ce lundi

La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près de la Cour d’appel de Tunis examine ce lundi la deuxième audience du procès dit du « Complot contre la sûreté de l’État ». La défense avait obtenu le report de la première audience, tenue le 27 octobre dernier, en dénonçant des « irrégularités » procédurales.

Le tribunal a fixé cette nouvelle date pour convoquer les accusés que la justice a laissés en liberté. Les avocats de la défense exigent l’annulation de la décision qui impose aux prévenus détenus de comparaître à distance. Ils réclament également l’examen des demandes de mise en liberté de leurs clients.

En avril 2025, le tribunal de première instance a condamné trente-sept accusés à des peines comprises entre 4 et 66 ans de prison. Les autorités peuvent exécuter immédiatement les jugements visant les accusés qui ont pris la fuite. La Cour de cassation examine encore les dossiers de trois autres prévenus, ce qui retarde leur jugement. Le parquet poursuit les accusés pour complot contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État, formation et adhésion à une entente terroriste, ainsi que pour des actes de nature terroriste.

Avec TAP

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PLF 2026 : les professionnels de l’automobile tirent la sonnette d’alarme

Des constructeurs automobiles tirent la sonnette d’alarme. Lors d’une réunion parlementaire consacrée au projet de loi de finances 2026, vendredi 14 novembre, ils ont pointé du doigt un système fiscal qu’ils jugent discriminatoire envers l’industrie locale.

Au cœur de leurs revendications : une distorsion de concurrence flagrante. Tandis que l’État impose des droits de douane et des droits de consommation sur les véhicules assemblés en Tunisie et leurs composants, les concessionnaires importent les voitures sans payer de droits de douane. Plus encore, l’administration fiscale calcule les droits de consommation sur ces véhicules importés uniquement sur la base du prix d’arrivée au port, ce qui leur confère un avantage considérable.

Face aux Commissions des finances et du budget de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des régions et des districts, les industriels ont formulé trois demandes : l’exonération totale des composants automobiles des droits de douane et de consommation, et la réduction de la TVA que l’État applique à ces pièces de 19% à 7%.

Les députés présents ont accueilli favorablement ces doléances. Ils ont souligné que le pays doit nécessairement soutenir l’industrie nationale pour renforcer son autonomie économique. Les parlementaires ont soulevé des questions concernant la capacité d’emploi du secteur, son chiffre d’affaires, son volume de production et surtout le taux d’intégration locale des composants. Ils estiment qu’encourager l’industrie automobile locale représente une étape progressive mais essentielle vers la création d’une véritable filière automobile tunisienne.

Avec TAP

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Le déficit énergétique tunisien se réduit de 4% à fin septembre 2025

Le déficit de la balance commerciale énergétique tunisienne, incluant la redevance sur le gaz algérien exporté, s’est établi à 8389 millions de dinars (MD) à fin septembre 2025, enregistrant une baisse de 4% par rapport à la même période de l’année précédente. Cette information est issue du rapport sur la conjoncture économique de septembre 2025, publié par l’Observatoire National de l’Énergie et des Mines.  

Selon l’Observatoire, cette évolution du déficit s’explique par une dynamique contrastée des échanges. Les exportations de produits énergétiques ont en effet chuté de 33% en valeur sur les neuf premiers mois de l’année. Cependant, cette forte baisse a été partiellement compensée par une diminution de 11% de la valeur des importations énergétiques.

Le rapport souligne la grande sensibilité du secteur énergétique à trois facteurs principaux : les volumes échangés, le taux de change dinar/dollar ($/DT) et les cours internationaux du pétrole brut de référence Brent.

Un environnement international favorable à la baisse du déficit

Le contexte international a joué un rôle clé dans cette réduction du déficit. Au mois de septembre 2025, le prix du Brent a baissé de 6 dollars américains par baril (un baril équivaut à environ 159 litres) par rapport à son niveau de septembre 2024.  Parallèlement, le dinar tunisien s’est déprécié de 4% face au dollar américain, la devise principale utilisée pour les transactions énergétiques, sur la même période de comparaison.

Avec TAP

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L’Université de Tunis recrute sa nouvelle promotion d’étudiants-entrepreneurs

L’Université de Tunis, à travers son Pôle Étudiant Entrepreneur (PEE), lance la troisième cohorte du Statut National de l’Étudiant-Entrepreneur (SNEE) en partenariat avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) et les acteurs de l’écosystème d’innovation et d’entrepreneuriat. Ce programme vise les étudiants motivés, créatifs et porteurs d’idées innovantes désireux de développer un projet personnel, académique ou professionnel dans un cadre structuré.

L’Université de Tunis propose trois niveaux de statuts selon la maturité du projet : le niveau Initiateur pour une idée de projet, le niveau Innovateur pour la conception d’un business plan, et le niveau Prom pour la création d’une startup.

Les candidats peuvent s’inscrire jusqu’au dimanche 7 décembre à minuit via le lien https://forms.gle/tVSXZtADtgv4Lt756. Ils peuvent également consulter un document détaillé sur le dispositif disponible sur la page officielle du Pôle Étudiant Entrepreneur.

Avec TAP

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Chèques sans provision : 1 592 détenus libérés grâce à la loi de conciliation

Quelque 63560 personnes ont bénéficié de l’application de la loi n° 41 de 2024 relative à la conciliation dans les affaires des chèques sans provision, a annoncé la ministre de la justice, Leila Jaffal.

S’exprimant lors de la plénière commune de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des régions et des districts, tenue, samedi soir, au palais de Bardo, consacrée à l’examen du budget de la mission de la justice pour l’année 2026, Jaffel a ajouté que son département a procédé à la régularisation de la situation de 1592 détenus, qu’ils soient incarcérés avant ou après l’entrée en vigueur de la loi, conformément aux jugements rendus à leur encontre.

Désormais, ceux-ci sont en état de liberté, a encore révélé la ministre, ajoutant que le nombre de détenus dans des affaires de chèques sans provision a baissé jusqu’au mois d’octobre 2025 à 222 détenus, dont 82 en état d’arrestation et 140 condamnés alors qu’ils étaient 442 à la date du 2 août 2024, ce qui porte à 43332 le nombre de bénéficiaires du règlement définitif ayant reçu des attestations de régularisation les concernant.

La ministre a par ailleurs indiqué que le ministère se penche actuellement à régulariser la situation de 20228 personnes, qui fait l’objet de poursuites, de procès ou de condamnations pour émission de chèques sans provision, faisant remarquer que le recours aux  chèques dans les transactions financières a diminué d’un tiers, passant ainsi de 12254000 chèques en 2024 à 4066000 chèques en 2025.

Ce qui n’est pas le cas pour la lettre de change dont l’utilisation a connu une évolution remarquable, passant de 833000 lettres de change au cours du 1e semestre de l’année 2024 à 2124000 lettres de change au cours de la même période de l’année 2025.

Elle a en outre souligné que le nombre de virements électroniques avait doublé depuis l’entrée en vigueur de la loi, passant de 16914000 virements au cours du premier semestre 2024 à 37687000 virements en 2025.

S’attardant sur la question de la réconciliation pénale, la ministre de la Justice a précisé que le ministère avait présenté un projet de révision des textes juridiques régissant la matière, rappelant que cette tâche relève du ressort de la présidence de la République et que seules les peines alternatives sont de la compétence de son département.

Avec TAP

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Justice : Leila Jaffel dénonce un budget 2026 largement insuffisant

Le budget du ministère de la Justice représente seulement 1,28 % du budget général de l’État pour 2026, avec 83 % de cette somme consacrés aux traitements et salaires. Ces chiffres ont poussé la ministre de la Justice, Leila Jaffel, à qualifier d’insuffisante l’enveloppe budgétaire allouée à son département lors d’une séance plénière commune de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des régions et des districts tenue samedi soir au palais de Bardo. Selon elle, cette dotation demeure largement insuffisante pour mener à bien les réformes nécessaires au sein du système judiciaire tunisien, ne laissant qu’une marge limitée pour les autres besoins du secteur.

Malgré ces contraintes financières, Leila Jaffel a souligné que les efforts se poursuivent pour moderniser et développer le système judiciaire du pays. Parmi les projets phares annoncés figure la construction d’un nouveau siège pour la cour de cassation. Cet édifice sera érigé sur un terrain de 19 600 mètres carrés situé entre Carthage et Sidi Bou Saïd, pour un coût estimé à 250 millions de dinars. Une enveloppe de 3 millions de dinars a déjà été allouée pour lancer les études préliminaires de ce projet dont la réalisation est programmée entre 2026 et 2027.

La ministre a également mis l’accent sur l’amélioration de l’infrastructure judiciaire et le rapprochement du service public de la justice des citoyens à travers la création de nouvelles juridictions. Elle a assuré que la création des tribunaux répond à des critères rigoureux prenant en compte le volume d’activité et la densité démographique des régions concernées. Plusieurs nouveaux tribunaux entreront en service en 2026, notamment ceux de Djerba, Hajeb El Ayoun et Mahdia.

Sur le front de la transformation numérique, les progrès réalisés sont notables. En 2025, le service d’information judiciaire a enregistré plus de 16 millions de consultations. Le système d’archivage électronique des jugements et des registres des notaires, déployé dans 28 tribunaux de première instance et 10 cours d’appel, a permis de numériser 4,3 millions de jugements et plus de 30 000 registres. Actuellement, 30 services sur les 47 proposés par le ministère sont accessibles à distance sous forme de documents électroniques authentifiés via le portail numérique, incluant notamment les attestations de mise en rôle, de non-poursuite et de sursis à statuer.

Concernant le renforcement des ressources humaines, le ministère a procédé à plusieurs vagues de recrutement. Le programme prévu pour 2026 est ambitieux et comprend le recrutement de 100 juges, 150 auxiliaires de justice, 105 greffiers, 117 adjoints-greffiers et 446 agents pénitentiaires. Le ministère prévoit également l’ouverture d’un concours pour les huissiers de justice et notaires, ainsi que l’inscription de 380 traducteurs assermentés, témoignant de la volonté de renforcer l’appareil judiciaire tunisien malgré les contraintes budgétaires évoquées par la ministre.

Avec TAP

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Marokko – steigende Diabetesrate rückt öffentliche Gesundheit in den Fokus

SteuererhöhungWachsende Gesundheitsbelastung durch Diabetes – Neue Zahlen des Gesundheitsministeriums verdeutlichen das Ausmaß chronischer Erkrankungen und ihre wirtschaftlichen Folgen. Rabat – Das marokkanische Gesundheitsministerium weist in einer aktuellen Mitteilung darauf hin, dass Diabetes im Land weiterhin stark verbreitet ist. Auf Grundlage der nationalen Erhebung zu Risikofaktoren für nichtübertragbare Krankheiten wird die Prävalenz bei Erwachsenen ab 18 […]

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Réformes et coopération : le cinéma africain vers une nouvelle ère de souveraineté culturelle

Les directeurs généraux des centres cinématographiques de Tunisie, d’Algérie, du Sénégal et de la République démocratique du Congo ont souligné l’importance de réformes structurelles au sein des institutions nationales du cinéma, ainsi que la nécessité de renforcer les mécanismes de financement pour soutenir la production et la formation. Ils ont aussi mis en avant le rôle central de l’État dans le soutien aux projets artistiques et la mise en place des infrastructures indispensables à la vitalité du secteur.

Ces éléments ont été abordés lors d’une table ronde intitulée « La politique cinématographique en Afrique », organisée le vendredi 14 novembre dans le cadre du Festival international du court métrage de Timimoun, en Algérie (13-18 novembre 2025). Étaient présents le directeur général du Centre national du cinéma et de l’image, Chaker Chikhi, le directeur du festival Azzedine Arkab, le directeur du Département du cinéma et de l’audiovisuel du Sénégal, Germain Coly, ainsi que le réalisateur congolais Balufu Bakupa-Kanyinda, directeur du Centre culturel et artistique des États de l’Afrique centrale.

Les participants ont convenu que la coopération intra-africaine en matière de coproduction et d’échange des expertises artistiques et techniques doit être une priorité. Ils ont insisté sur le fait que cette coopération est le meilleur moyen de bâtir un système cinématographique indépendant et durable. Ils ont aussi souligné que l’avenir du cinéma africain dépend de la capacité des pays à se réapproprier leurs propres récits et à construire une image fidèle à leur identité et à leur mémoire, loin des modèles étrangers imposés.

L’expérience tunisienne

Chaker Chikhi a présenté une analyse complète de l’expérience tunisienne en cinéma, l’une des plus anciennes d’Afrique et du monde arabe, avec des racines remontant à plus d’un siècle, notamment des projets avant-gardistes en photographie dès 1922. Il a rappelé que le cinéma tunisien a franchi des étapes clés, notamment grâce à la création des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), qui a contribué à forger une identité artistique africaine et arabe.

Le Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), bien que récent sur les plans administratif et structurel, est devenu le principal organe financier et organisationnel de soutien à la production en Tunisie. Chikhi a souligné que de nombreux pays africains et arabes, y compris la Tunisie, font face à des difficultés financières et techniques limitant le développement de leur industrie, dues surtout au manque de financements et de ressources technologiques.

Il a également noté que la Tunisie a longtemps été un pôle d’expertise technique pour le continent, même si certains pays du Golfe ont attiré une partie de ces compétences. Malgré cela, la Tunisie reste capable de former les nouvelles générations et de rester compétitive.

Chaker Chikhi a insisté sur la nécessité d’élaborer une stratégie de coopération africaine fondée sur l’échange d’expertises, le partage des ressources humaines, le développement de mécanismes conjoints d’appui et la résolution des difficultés financières et techniques. Pour lui, la proximité culturelle et les défis communs rendent la coopération régionale essentielle pour bâtir un cinéma africain contemporain, digne de son continent.

Concernant les aides à la production en Tunisie, il a précisé que les critères reposent surtout sur la qualité du scénario et la préparation du dossier de production, ainsi que la recherche de sources de financement et de partenariats internationaux. Il a affirmé que la liberté artistique est pleinement garantie, sans restrictions de thèmes ni d’approches, le cinéma tunisien étant parmi les plus audacieux et ouverts de la région.

L’expérience algérienne

Azzeddine Arkab a présenté les transformations majeures dans le secteur cinématographique algérien grâce à une série de réformes structurelles. Il a évoqué la réouverture du Centre national du cinéma et des arts audiovisuels, ainsi que la réorganisation du Centre algérien de développement du cinéma, qui ont permis d’unifier les procédures administratives liées au tournage, à la production et à l’exploitation des films, grâce au dispositif du « guichet unique ».

Le Centre algérien a aussi élargi ses compétences pour intégrer la production, l’investissement culturel, ainsi que l’organisation de festivals, séminaires et ateliers. Arkab a indiqué que la nouvelle loi sur l’industrie cinématographique ouvre la voie à une politique modernisée, dont les contours définitifs seront précisés après l’adoption des textes réglementaires.

L’expérience sénégalaise

Germain Coly a rappelé que le développement de l’industrie du cinéma au Sénégal au cours de la dernière décennie est d’abord dû au soutien précoce de l’État aux projets des professionnels. Cela leur a permis d’entrer dans la production et de rivaliser à égalité avec d’autres pays.

Le Sénégal s’est doté d’un système dynamique de production comprenant des mécanismes financiers clairs, une infrastructure en développement, ainsi que des programmes de formation universitaire et spécialisée. Coly a précisé que le pays participe activement à de nombreux festivals internationaux et favorise la coopération Sud-Sud par des accords de coproduction avec plusieurs pays africains, dont la Tunisie et l’Algérie.

Il a cité l’exemple historique de la coproduction tuniso-algéro-sénégalaise du film « Camp de Thiaroye » (1988), interdit en France à sa sortie, mais restauré et présenté au Festival de Cannes. Cette collaboration est un exemple à suivre pour réécrire la mémoire africaine à travers le regard de ses peuples.

La souveraineté culturelle par le cinéma

Le réalisateur congolais Balufu Bakupa-Kanyinda a centré son intervention sur la dimension identitaire du cinéma africain. Il a souligné que l’image avait souvent servi de moyen de colonialisme symbolique en influençant la représentation des peuples. Il a affirmé que la nouvelle génération de cinéastes doit reconquérir la capacité de raconter ses propres histoires par la création d’institutions aptes à produire une image africaine libre des normes étrangères.
Kanyinda a retracé son parcours entre l’Europe, les États-Unis et l’Afrique, avant de revenir au Congo pour fonder un projet culturel majeur : un centre culturel doté de grandes salles de projection cinématographique et théâtrale, ainsi qu’une cinémathèque engagée depuis début 2025 dans la sauvegarde du patrimoine audiovisuel et la restructuration du secteur de l’image.
Ce centre est ainsi devenu le premier véritable espace d’expression de la souveraineté culturelle congolaise, avec pour ambition de devenir une plateforme de formation et d’échange d’expertises entre les pays d’Afrique centrale, ouvrant la voie à une politique durable du cinéma permettant au continent de s’exprimer pleinement à travers l’image.

Avec TAP

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Le budget du ministère de la Justice fixé à 1025,5 millions de dinars

Le budget alloué à la mission spéciale du ministère de la Justice dans le cadre du projet de Budget de l’État pour 2026 est estimé à environ 1025,5 millions de dinars, contre 984 millions en 2025, soit une augmentation de 4,22%. Ce budget représente 1,6% des dépenses générales de l’État et 1,28% du total du projet de budget pour 2026.

Selon la répartition proposée, les dépenses du ministère se concentrent à 83% sur les salaires, 6% sur les investissements, 10% sur les frais de gestion, et 1% sur les dépenses d’intervention. La mission du ministère de la Justice est actuellement au cœur des débats dans les deux chambres parlementaires ce samedi.

Avec TAP

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Marokko – Haushaltsgesetz 2026 passiert erste Hürde im Parlament

ParlamentDie Repräsentantenhaus stimmt dem Entwurf mit klarer Mehrheit zu und eröffnet damit die nächste Phase der Haushaltsberatungen. Rabat – Das marokkanische Repräsentantenhaus / Unterhaus hat am gestrigen Freitag den Entwurf des Finanzgesetzes 2026 (PLF Nr. 50.25) in einer Plenarsitzung mit 165 Stimmen dafür und 55 Stimmen dagegen angenommen. Enthaltungen gab es nicht. Damit bestätigte das […]

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Le CORP fête 10 ans d’impact : une décennie pour transformer l’employabilité en Tunisie

Le CORP, relevant de la Chambre tuniso-allemande de l’industrie et du commerce (AHK Tunisie), a tenu, vendredi 14 novembre 2025, à Beit El Hikma, une conférence consacrée à ses dix ans d’action en faveur de l’emploi et de la formation professionnelle en Tunisie.

L’événement s’est déroulé en présence de Fakher Zaaybi, directeur de la coopération et milieux socio-économiques au ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle (MEFP), Elisabeth Wolbers, ambassadrice d’Allemagne en Tunisie, ainsi que la direction de l’AHK Tunisie et plusieurs partenaires institutionnels et économiques, indique un communiqué de la Chambre.

Cette rencontre a mis en lumière une décennie d’engagement et de réalisations du CORP dans l’accompagnement des jeunes, la promotion de l’employabilité et le renforcement du lien entre les compétences tunisiennes et les besoins du marché du travail.

Un impact concret et mesurable

Toujours selon l’AHK, depuis sa création, le CORP s’est affirmé comme un acteur clé du marché du travail tunisien, en accompagnant les transformations économiques et en rapprochant les entreprises des talents dont elles ont besoin. À ce jour, plus de 12 000 jeunes ont été placés au sein de différentes organisations.

En dix ans, le centre a accompagné plus de 18 000 chercheurs d’emploi, facilité la reconversion de plus de 3000 personnes vers des secteurs porteurs avec un taux de recrutement de 90%, formé 2 600 jeunes aux compétences transversales et à la culture d’entreprise, et soutenu plus de 3 000 bénéficiaires, dont 72 micro-entrepreneurs, dans le développement de leurs projets professionnels.

« Depuis dix ans, le CORP illustre la valeur d’un partenariat tuniso-allemand solide, fondé sur la confiance et l’action concrète. Son rôle dans le renforcement de l’employabilité et le développement des compétences témoigne de la pertinence de la coopération entre nos deux pays », a affirmé Jörn Bousselmi, le directeur général de l’AHK Tunisie.

Ces résultats traduisent un impact humain durable, confirmant la position du CORP comme partenaire stratégique pour l’emploi et le développement économique.

« Cette étape symbolise le fruit d’un travail collectif mené avec passion et engagement. Grâce à cette expérience, nous abordons une nouvelle phase tournée vers l’innovation et l’élargissement de notre impact, à travers de nouveaux programmes et événements destinés à renforcer l’employabilité et à soutenir un marché du travail plus inclusif et dynamique », a déclaré Ameni Boubaker, directrice du CORP, AHK Tunisie.

Une nouvelle dynamique tournée vers l’avenir

Fidèle à sa mission, le CORP aborde une nouvelle phase de développement axée sur l’élargissement de son impact et la création de nouvelles opportunités pour les jeunes Tunisiens.

Deux salons d’emploi marqueront cette nouvelle dynamique en 2026 :

  • CORP Village, prévu le 28 mars 2026, réunira jeunes talents, entreprises et institutions autour des métiers d’avenir.
  • CORP Talents, le 26 septembre 2026, valorisera les compétences tunisiennes et facilitera leur rencontre avec les recruteurs.

À travers ces initiatives, le CORP confirme son ambition de renforcer la place de la jeunesse tunisienne dans le développement économique et d’encourager un marché du travail inclusif, innovant et durable.

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Marokko – Regierungsrat genehmigt 10 milliardenschwere Rüstungsprojekte

FlugzeugRabat investiert 260 Mio. US-Dollar in neue Produktionsstätten für Drohnen und gepanzerte Fahrzeuge. Ziel ist die Unabhängigkeit der Königlichen Streitkräfte und der Export. Rabat – Marokko treibt die Entwicklung seiner nationalen Verteidigungsindustrie mit erheblichen Investitionen voran. Im Rahmen der Haushaltsdebatte für das Jahr 2026 gab Abdellatif Loudiyi, der dem Regierungschef beigeordnete Minister für die Nationale […]

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Débats budgétaires : le dossier de l’Industrie sur la table

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont entamé, lors d’une séance plénière commune tenue vendredi, la discussion du budget de la mission du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, pour l’exercice 2026, et ce, dans le cadre des débats budgétaires relatifs à la même année.

Le projet de budget de la mission de l’Industrie pour l’exercice 2026 est estimé à 53,256 millions de dinars (MDT), contre 74,358 MDT en 2025, soit une baisse de 28,38%.

Cette baisse est principalement due au recul des prix du pétrole sur les marchés mondiaux, ainsi qu’à la mise en production de certains projets d’efficacité énergétique, explique le département de l’Industrie.

Cette enveloppe budgétaire s’inscrit dans un cadre de dépenses à moyen terme (2026-2028), dont la stratégie vise principalement à assurer la transition vers un modèle énergétique à faible intensité carbone, à consolider la capacité concurrentielle du secteur industriel et à optimiser l’exploitation des ressources nationales.

La mission est structurée autour de quatre programmes opérationnels (énergie, industrie, mines, pilotage et soutien), qui se déclinent en 19 sous-programmes.

Elle s’articule autour de 10 objectifs stratégiques et 25 indicateurs de performance.

La mise en œuvre de la mission implique plusieurs acteurs publics, notamment l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII), l’Office national des mines (ONM) et la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG).

 

S’agissant de la répartition des dépenses pour 2026, financées par les seules ressources de l’État, les interventions représentent 98,88% du budget.

 

Les dépenses salariales représentent, quant à elles, 0,75%, tandis que les frais de gestion s’élèvent à 0,23%. Enfin, les investissements en absorbent 0,13%.

Les dépenses salariales de la mission sont fixées à 39,968 millions de dinars (MDT) (engagement et paiement) sur ressources de l’État pour 2026, contre 39,395 MDT en 2025, soit une hausse de 1,45%.

Les dépenses de gestion s’élèvent à 12,494 MDT (engagement et paiement), contre 9,531 MDT en 2025, enregistrant ainsi une hausse significative de 31,09%.

Quant aux dépenses d’intervention, elles sont estimées à 5 266 MDT (engagement et paiement) en 2026, contre 7 220 MDT en 2025, ce qui correspond à une baisse de 28,73%.

Cette catégorie est largement dominée par les fonds de soutien aux hydrocarbures, qui s’élèvent à 4,993 milliards de dinars.

Les dépenses d’investissement prévues pour 2026 s’élèvent à 8 750 MDT en engagements et 6 888 MDT en paiements, contre respectivement 6,480 et 5,648 MDT en 2025.

Cela représente une hausse de 35,03% en engagements et de 21,95% en paiements.

Les principaux axes stratégiques de la mission de l’Industrie concernent, notamment, le soutien de la compétitivité industrielle en encourageant l’innovation, le développement technologique et l’augmentation de la valeur ajoutée, et la promotion de l’investissement (notamment à forte teneur technologique) en améliorant le climat des affaires et en digitalisant les services.

 

Il s’agit aussi d’assurer la sécurité de l’approvisionnement énergétique et d’accélérer la transition vers un modèle à faible émission de carbone (visant 30% d’énergies renouvelables dans le mix électrique d’ici à 2030).

 

Il est question également de relancer le secteur des mines en rétablissant le rythme de production et d’exportation du phosphate et de ses dérivés.

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À la COP30, la Tunisie expose sa stratégie pour des bâtiments résistants au climat

 

À la COP30 qui se tient à Belém, au Brésil, du 11 au 22 novembre 2025, la Tunisie a mis en lumière son expérience dans l’efficacité énergétique des bâtiments à travers le programme PEEB COOL (Programme for Energy Efficiency in Buildings).

Lancé en 2023, ce dispositif vise à adapter les constructions aux besoins croissants de refroidissement et à réduire les émissions liées à la climatisation et à la réfrigération, deux enjeux majeurs dans un contexte de réchauffement climatique accéléré.

L’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), représentée par son directeur général, Nefaâ Bakari, est intervenue lors d’un side-event consacré au rôle de l’article 6 de l’Accord de Paris dans le financement climatique du secteur du bâtiment. Cet article encadre la coopération internationale via les marchés carbone et d’autres mécanismes non marchands, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités de financement.

Bakari a souligné que ce cadre est « essentiel » pour soutenir l’efficacité énergétique dans le bâtiment, rappelant que le programme PEEB COOL bénéficie de l’appui de la GIZ, de l’AFD et du Fonds vert pour le climat. Il a également mis en avant l’importance d’un système MRV (Measurement, Reporting and Verification) robuste, garantissant transparence, crédibilité et attractivité auprès des bailleurs internationaux.

L’intervention a également porté sur la nécessité pour la Tunisie de mobiliser les nouveaux mécanismes de financement climatique, notamment le financement carbone, afin de stimuler les investissements publics et privés dans le secteur.

Un partenariat clé a été rappelé : celui signé le 17 septembre 2025 entre l’ANME et la GIZ, lançant les premières actions de rénovation énergétique du parc immobilier public : hôpitaux, écoles, universités et administrations. Les premières étapes incluent le remplacement de 2,5 millions de points lumineux par des LED, la mise en place progressive de systèmes photovoltaïques et la désignation de responsables énergie dans plusieurs milliers d’établissements.

Le programme, qui court jusqu’en 2028, représente un potentiel d’investissement de 200 millions d’euros. Il s’intègre dans la stratégie nationale de réduction de la facture énergétique publique et d’adaptation climatique du bâti. Les objectifs affichés : 40% d’économies d’énergie sur les bâtiments rénovés et 20% sur les nouvelles constructions.

La participation tunisienne à la COP30, décrite comme la « COP de la mise en œuvre », vise à mettre en avant ces avancées et à renforcer les partenariats pour accélérer la transition vers des bâtiments plus résilients et moins énergivores.

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La Tunisie accueille la deuxième édition du Forum méditerranéen de l’IA

La Tunisie se prépare à accueillir la deuxième édition du Forum Méditerranéen de l’Intelligence Artificielle. Il se tiendra les 20 et 21 novembre 2025 à la Cité de la Culture à Tunis. Et il a pour thème : « Quelles solutions l’intelligence artificielle peut-elle offrir face aux défis actuels des pays du bassin méditerranéen ? »

Organisé sous l’égide du ministère des Technologies de la communication (Tunisie) et du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (France), ce forum vise à renforcer la coopération entre les pays méditerranéens dans le domaine de l’intelligence artificielle et à favoriser l’échange d’expertise afin de trouver des solutions pour exploiter le potentiel de l’IA et relever les défis communs de la région.

Ce forum réunira plus de 2 000 participants— des personnalités de haut niveau, des start-up, des chercheurs et des universitaires- et mettra l’accent sur le potentiel de l’intelligence artificielle pour proposer des solutions dans des domaines tels que la santé, l’éducation, l’agriculture, la gouvernance et l’éthique de l’IA, ainsi que dans de nombreux autres secteurs.

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Marokko – EU leitet Verhandlungen über Fischerei- und Agrarabkommen neu ein

ParlamentNach Resolution 2797 des UN-Sicherheitsrates will EU neu verhandeln. Ein Jahr nach der Annullierung durch den EuGH forciert Brüssel die strategische Partnerschaft mit Rabat – unter kontroverser Einbeziehung der Westsahara. Brüssel – Die Europäische Union (EU) bereitet die Wiederaufnahme ihrer strategischen Fischerei- und Agrarabkommen mit Marokko vor. Diese Initiative erfolgt nur ein Jahr, nachdem der […]

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Marokko – Direktflüge nach Israel nehmen nach Gaza-Waffenstillstand wieder Fahrt auf

FluggesellschaftNach monatelanger Unterbrechung öffnen sich die Luftverkehrskanäle zwischen Rabat und Tel Aviv erneut – ein Schritt, der wirtschaftliche und politische Signale zugleich sendet. Casablanca – Marokko hat israelischen Fluggesellschaften erstmals seit dem 7. Oktober 2023 wieder die Aufnahme von Direktverbindungen nach Casablanca und Marrakesch gestattet. Beide Seiten hatten nach einem von den USA vermittelten Waffenstillstand […]

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Marokko – Ausbildung marokkanischer Soldaten bei israelischem Drohnenhersteller BlueBird

DrohnenEin Technologietransferprogramm zwischen Rabat und Tel Aviv nimmt Form an – und bereitet den Weg für eine neue Rüstungskooperation im Drohnensektor. Tel Aviv – Die militärische Zusammenarbeit zwischen Marokko und Israel konkretisiert sich weiter. Nach Angaben des marokkanischen Militärforums FAR-MAROC und übereinstimmenden Medienberichten nehmen derzeit Angehörige der Königlichen Streitkräfte (FAR) an einem mehrwöchigen Ausbildungsprogramm beim […]

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Tunisie – Météo : baisse des températures

L’INM (Institut national de la météorologie) prévoit une légère baisse des températures ce vendredi 14 novembre 2025, avec des maximales généralement comprises entre 24 et 29 °C – mais autour de 22 °C sur les hauteurs de l’ouest.

Le ciel sera généralement peu nuageux, devenant progressivement partiellement couvert sur la plupart des régions.

La mer sera peu agitée sur le golfe de Gabès et agitée sur le reste des côtes tunisiennes.

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