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Habib Skhiri | «Il n’y a pas de trafic d’organes en Tunisie»

Au rythme où elles évoluent, les maladies rénales deviendront la septième cause de mortalité dans le monde d’ici 2030. En Tunisie, elles touchent 9% de la population, contre 10% dans le monde.

C’est ce qu’a indiqué Habib Skhiri, président de l’Association tunisienne des maladies rénales et de l’hémodialyse, dans une déclaration à Mosaïque FM, à l’occasion du 13ᵉ Congrès national de l’Association qui se tient ce jeudi 13 novembre 2025 à Hammamet-Sud, en précisant que le diabète constitue la principale cause de ces maladies et en appelant à la prévention pour protéger les reins.

Concernant la transplantation rénale, Skhiri a indiqué que le secteur a repris après des années de stagnation, enregistrant au cours des deux dernières années, 50 à 60 opérations par an, avec l’espoir d’atteindre 100 à 150 greffes annuelles.

Il a, par ailleurs, réfuté toute activité de trafic d’organes en Tunisie, que ce soit dans le secteur public ou privé, soulignant l’impossibilité de telles pratiques en raison des importantes procédures légales et sanitaires en place.

Par ailleurs, Skhiri a insisté sur l’importance des séances d’hémodialyse pour limiter la prolifération bactérienne dans les centres spécialisés.

Les participants du Congrès, tenu à Hammamet Sud, abordent également divers sujets, comme la valorisation de l’eau utilisée lors des séances d’hémodialyse.

I. B.

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