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Siliana : 3 000 coccinelles mexicaines lâchées pour lutter contre la cochenille du cactus

Les services du commissariat régional au développement agricole (CRDA) à Siliana, ont procédé, au cours des deux derniers jours, au lâcher de 2 500 à 3 000 coccinelles mexicaines dans plusieurs délégations, dans le cadre de la lutte biologique contre la cochenille.

Cette opération a été effectuée sur des surfaces cultivées en figues de barbarie dans les localités de Jmilet et Jalleb (20 ha) et les régions de Njaymia (5 ha) et Chabella (10 ha) de la localité Smirat-sud à Errouhia, a indiqué, mardi, à l’Agence TAP, le responsable de la direction des arbres fruitiers au CRDA, Khaled Badereddine.

Un lâcher supplémentaire de coccinelles visant à chasser les foyers de cochenilles a été assuré dans les délégations de Makther (oued-Ouzafa) et Kesra (Hammam-Kesra), d’après la même source.

Cette opération de lutte contre la propagation de cochenilles du cactus a été réalisée par le CRDA, l’Institut Supérieur Agronomique de Chott-Mariem et les associations “Soli et Green” et “Tounes Clean Up”.

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Tunisie–Banque mondiale : 430 millions de dollars pour moderniser le secteur énergétique

Un accord de financement d’un montant de 430 millions de dollars (environ 1,4 milliard de dinars) visant à accompagner le Programme d’amélioration de la fiabilité, de l’efficacité et de la gouvernance énergétiques tunisiennes (TEREG) vient d’être conclu entre le gouvernement tunisien et la Banque mondiale (BM).

D’une durée de cinq ans, le TEREG vise à soutenir la Tunisie dans la mise en place d’un approvisionnement électrique durable, fiable et abordable, a indiqué la BM dans un communiqué publié, mardi.

Il contribuera à accélérer le déploiement des énergies renouvelables, à renforcer la performance de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) et à améliorer la gouvernance globale du secteur.

Aligné sur la stratégie de transition énergétique actualisée du gouvernement, le programme TEREG vise également à attirer les investissements privés et à réduire l’intensité carbone de la production d’électricité, tout en garantissant un accès fiable à l’électricité pour les ménages et les entreprises.

Concrètement, le programme TEREG devrait permettre à la Tunisie de progresser vers ses objectifs de mobilisation de 2,8 milliards de dollars d’investissements privés pour l’ajout de 2,8 gigawatts de nouvelles capacités solaires et éoliennes d’ici 2028, tout en générant plus de 30 000 emplois, principalement durant la phase de construction des projets d’énergie renouvelable.

Il contribuera, également, à réduire de 23% les coûts d’approvisionnement en électricité, à améliorer le taux de recouvrement des coûts de la STEG, qui passerait de 60 % à 80 %, et à diminuer les subventions de 2045 milliards de dinars.

« En favorisant le développement des énergies renouvelables, le programme TEREG contribuera à renforcer la position de la Tunisie dans le domaine des énergies propres, à créer des opportunités économiques et à assurer la sécurité énergétique à long terme », a souligné le chef des opérations de la BM pour la Tunisie, Alexandre Arrobbio.

« Ce projet illustre la solidité de notre partenariat avec la Tunisie et appuie ses objectifs de développement durable » a-t-il ajouté.

« Il s’inscrit dans la continuité de notre engagement de longue date dans le secteur énergétique tunisien et vient compléter des initiatives en cours, telles que le Projet d’intégration électrique Tunisie-Italie (ELMED), le Projet d’amélioration du secteur énergétique, ainsi que les services de conseil de la Société financière internationale (IFC) et de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), en cohérence avec le Cadre de partenariat avec la Tunisie et les engagements du pays au titre de l’Accord de Paris», a encore rappelé le responsable.

« Il s’agit du premier projet à bénéficier du Cadre d’incitations financières de la Banque mondiale, un projet par ailleurs récompensé pour son envergure et ses bénéfices à long terme, en reconnaissance de son impact sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre », a expliqué Amira Klibi, spécialiste senior de l’énergie à la Banque mondiale et chef d’équipe du projet.

Les réformes soutenues par le programme, notamment, la réduction des pertes techniques et commerciales et l’augmentation de la part des énergies renouvelables, devraient permettre d’améliorer de manière pérenne les performances opérationnelles et financières du secteur, rendant l’électricité plus abordable et plus fiable pour les ménages et les entreprises à travers tout le pays », a-t-elle ajouté.

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Bizerte : mission archéologique sous-marine pour sécuriser le tracé du câble Medusa

Une équipe du Département des études archéologiques sous-marines de la Division de l’inventaire général et des Etudes à l’Institut national du patrimoine (INP) a exploré le tracé du câble sous-marin Medusa au large des côtes du gouvernorat de Bizerte en vue de s’assurer que la zone du projet et les régions traversées par le câble ne comportent aucun site du patrimoine culturel subaquatique.

Selon un communiqué du ministère des Affaires culturelles publié mardi, cette mission d’exploration s’inscrit dans le cadre de la mission de l’INP pour assurer le suivi des projets menés dans le domaine maritime national. L’équipe en charge a effectué des plongées scientifiques et des investigations sous-marines, ainsi que le suivi des travaux d’excavation et de remblayage relatifs à la pose du câble sur le fond marin, sur 1 200 mètres partant de la plage d’Ain Meriem à Bizerte, en coopération avec des plongeurs sous-marins de la Marine tunisienne.

Cette mission a été menée par une équipe de plongeurs spécialisés, comprenant le directeur du département d’archéologie sous-marine et chargé de la recherche archéologique Ahmed Ghadhoum, les conservateurs du patrimoine Khaled Dhifi et Wajih Fadhlaoui, avec le soutien des autres structures de l’INP chargés de la coordination, de l’assurance et du soutien logistique.

Cette intervention s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des conclusions et recommandations de la Commission consultative des activités maritimes, au sein du Secrétariat général aux affaires maritimes auprès de la Présidence du Gouvernement, au sein duquel l’INP siège en tant que représentant du ministère des affaires culturelles.

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Chirurgie robotique : une avancée majeure pour la médecine tunisienne à l’hôpital Charles-Nicolle

La première intervention de chirurgie robotique en Tunisie dans la spécialité de la chirurgie digestive a été réalisée avec succès, mardi matin, à l’hôpital universitaire Charles-Nicolle de Tunis.

D’une durée de 45 minutes, l’opération a consisté en l’extraction de la vésicule biliaire d’une patiente de 38 ans.

Supervisée par l’équipe médicale du service de chirurgie « B », cette première a eu lieu dans la nouvelle salle de chirurgie robotique récemment mise en service au sein de l’établissement hospitalier.

Le chef du service de chirurgie « B », Ramzi Nouira, a qualifié cette étape de « tournant majeur », indiquant que le pays passe ainsi de la chirurgie laparoscopique à la chirurgie robotisée, ouvrant la voie à des interventions plus complexes et plus précises.

Selon lui, la chirurgie robotique permet de réaliser des opérations avec davantage de précision, moins de saignements et moins de complications postopératoires, tout en réduisant la durée d’hospitalisation et la pression sur les établissements de santé.

Installé récemment à l’hôpital Charles-Nicolle, le robot sera principalement utilisé pour des interventions habituellement effectuées par laparoscopie, notamment la résection du côlon ou l’ablation partielle du foie.

Acquis auprès de la Corée du Sud dans le cadre d’un accord de coopération bilatérale, le robot a fait l’objet d’une formation de deux semaines au profit d’une équipe médicale tunisienne dans ce pays. Une équipe coréenne s’est également déplacée à Tunis pour assurer l’installation et la formation du personnel médical et paramédical.

Ramzi Nouira a souligné que cette réussite est le fruit du travail d’une équipe intégrée, rappelant que « l’être humain reste aux commandes du robot du début à la fin de l’intervention », celui-ci n’étant qu’un outil visant à renforcer la précision et l’efficacité de l’acte chirurgical.

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Tunisie – Sidi Bouzid : 70 % des travaux du projet de dessalement d’eau déjà réalisés

Les travaux du projet de dessalement d’eau couvrant les délégations de Menzel Bouzaïane, Meknassi et Mezzouna, ont atteint un taux d’avancement de plus de 70%, pour un coût global estimé à 46 millions de dinars.

Le chef du district de la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) à Sidi Bouzid, Haïthem Allagui, a précisé à l’Agence TAP que les forages prévus sont déjà opérationnels, en attendant l’achèvement du projet dans un délai maximal d’un an.

Le projet comprend le forage de dix puits, la réalisation d’une station de dessalement à Meknassi d’une capacité de 4 000 m3 par jour, quatre stations de pompage, un bassin d’évaporation, ainsi que la pose de 80 kilomètres de conduites.

Il prévoit également la mise en place d’unités de désinfection, d’un système de télégestion, de travaux d’électrification, outre l’acquisition de terrains et d’équipements hydrauliques et électromécaniques.

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Tunisie – Hongrie : webinaire sur les opportunités d’investissement pour la diaspora tunisienne

L’Ambassade de Tunisie à Budapest organise, ce mercredi 12 novembre, une journée d’information en ligne destinée à promouvoir les opportunités d’investissement en Tunisie auprès de sa communauté établie en Hongrie et en Slovaquie.

Cet événement, qui se déroulera de 14h00 à 16h00 (heure de Tunis), a pour objectif principal de présenter les incitations à l’investissement et les mécanismes d’accompagnement offerts par les programmes gouvernementaux “CREATIVE TUNISIA” et “PERSPECTIVES”, peut-on lire dans le communiqué rendu public sur la page Facebook de l’ambassade.

Les participants pourront s’informer sur les différents mécanismes de soutien et les financements dédiés aux Tunisiens résidant à l’étranger (TRE). Les représentants de ces programmes détailleront les dispositifs disponibles pour investir dans le secteur des industries traditionnelles ou pour développer d’autres types de projets économiques en Tunisie.

Cette initiative est menée en partenariat avec l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), via son programme “MOBI TRE”, et l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTE).

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Tunisie : le budget de la Défense Nationale en hausse de 13 % en 2026, pour atteindre 6,3 milliards de dinars

Le budget alloué à la mission spéciale du ministère de la Défense Nationale au titre du projet du Budget de l’Etat  pour l’année 2026 est estimé à environ 6322 ,738 millions de dinars,  soit une hausse de 13% par rapport au budget  2025.

Lors de la séance plénière du Parlement, mardi,  les représentants des commissions de la défense, de la sécurité et des forces armées du règlement intérieur au sein de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) ainsi que de l’immunité et des affaires juridiques au Conseil National des Régions et des Districts (CNRD) ont justifié cette hausse par l’augmentation des dépenses d’investissement à hauteur de 47% par rapport à l’année 2025.

Ils ont précisé que ces dépenses seront destinées au profit des programmes et des projets relatifs aux développement des compétences militaires ainsi que de l’infrastructure.

Dans un rapport commun, les représentants des commissions ont ajouté que les projets programmés s’inscrivent dans le cadre de la politique générale du pays à savoir la lutte contre le terrorisme, la contrebande et l’immigration irrégulière.

Ainsi, la hausse du budget permettra l’acquisition et la maintenance des équipements militaires en vue d’une meilleure protection des frontières et par la même, assurer l’opérationnalité des forces militaires.

Selon le rapport, la mission de la Défense Nationale comprend quatre programmes : trois opérationnels et un de contrôle et de soutien.

Le budget au titre de l’année 2026  allouera 58 % au programme d’intervention militaire, 20 % au programme de soutien technique et logistique, 11 % au programme de prise en charge du personnel militaire et 11 % au programme de contrôle et de soutien.

L’année 2026 sera marquée par plusieurs recrutements au sein des forces armées, dont 3 500 prévus pour les académies militaires, 859 recrutements dans diverses spécialisations non offertes dans les académies militaires au profit des institutions régies par le Code de la comptabilité publique outre 186 autres recrutements.

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L’ambassade de Tunisie à Londres lance l’initiative “Fenêtres sur la Tunisie” pour sa communauté au Royaume-Uni

L’ambassade de Tunisie à Londres annonce le lancement de rencontres régulières avec la communauté tunisienne résidant au Royaume-Uni, dont la première édition se tiendra vendredi 14 novembre à son siège.

Dans une publication sur sa page Facebook, l’ambassade indique que ces rencontres, qui s’inscrivent dans le cadre de l’initiative « Fenêtres sur la Tunisie », visent à instaurer un dialogue direct et structuré afin d’écouter les préoccupations et les attentes des Tunisiens établis au Royaume-Uni et de répondre à leurs questions.

Les membres de la mission diplomatique seront présents pour renforcer les liens avec les diasporas et identifier ses priorités en matière d’accompagnement consulaire, culturel et économique.

La rencontre sera ouverte par la projection d’un film tunisien, mettant en valeur la richesse de l’identité nationale et la créativité culturelle du pays.

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38ᵉ édition du Marathon COMAR de Tunis-Carthage : Courons pour une Tunisie plus verte

Le dimanche 30 novembre 2025, la capitale vibrera au rythme de la 38ᵉ édition du Marathon COMAR de Tunis-Carthage, un événement devenu bien plus qu’une course : une véritable célébration du sport, de la solidarité et de l’engagement environnemental.

Chaque année, des milliers de coureurs amateurs, professionnels, familles, jeunes et moins jeunes se rassemblent pour partager une expérience unique, où l’effort individuel rejoint une cause collective : Courons pour une Tunisie plus verte.

Un événement à la fois sportif et responsable

Les fonds collectés lors des quatre dernières éditions du Marathon COMAR de Tunis-Carthage ont été investis dans des actions de reboisement à travers tout le pays. Grâce à cet engagement, 154 652 arbres ont été plantés à ce jour : 20 600 en 2021, 33 800 en 2022, 39 000 en 2023 et 61 252 en 2024.
Une initiative durable que COMAR Assurances entend poursuivre pour atteindre, à moyen terme, un Marathon à zéro empreinte carbone.

Cette initiative illustre pleinement l’esprit du Marathon COMAR : chaque pas compte, chaque geste a un impact. En courant, les participants s’engagent pour une Tunisie plus verte et plus durable, où le sport devient un véritable moteur de changement positif.

Un marathon d’envergure internationale

Labelisé par la Fédération Internationale d’Athlétisme (World Athletics) et inscrit au calendrier international (AIMS), le Marathon COMAR de Tunis-Carthage est le seul marathon tunisien reconnu à l’échelle mondiale.

Véritable rendez-vous sportif et humain, il attire chaque année des coureurs venus des quatre coins du monde, conquis par l’excellence de son organisation, la richesse de son parcours historique et l’engagement profond de COMAR pour une cause qui unit. Un rendez-vous à ne pas manquer

Cette 38ᵉ édition promet d’être encore plus inspirante et mobilisatrice, alliant performance, solidarité et conscience écologique.
Venez vivre une aventure humaine hors du commun, où chaque foulée devient un acte pour la planète.

Inscriptions

Les inscriptions sont ouvertes sur le site officiel : www.marathon.comar.tn

  • En ligne jusqu’au 28 novembre à midi
  • Dans les bureaux d’inscription, du 17 au 28 novembre à midi

Le Marathon COMAR de Tunis-Carthage 2025 : courez, partagez, plantez.
Ensemble, faisons de chaque kilomètre un pas vers un avenir durable !

 

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Tunisie : 1,8 milliard de dinars d’évasion fiscale dans les boissons alcoolisées

La Brigade des investigations et de lutte contre l’évasion fiscale, connue sous le nom de Police fiscale, a révélé que l’évasion fiscale dans le secteur des boissons alcoolisées en Tunisie s’élève à 1,8 milliard de dinars (MD). Selon Ali Khelifi, chef de la brigade, 500 MD de ce montant concernent spécifiquement l’activité des bars et restaurants. Des contrôles ciblés dans les cafés touristiques et boîtes de nuit du Lac, Gammath et Soukra ont identifié un déficit de 90 MD dans les chiffres d’affaires.

Un champ d’action qui s’élargit

Au-delà des boissons alcoolisées, la brigade enquête également sur le commerce électronique, estimé à 1 700 MD, avec 7 596 personnes identifiées comme exerçant sans identifiant fiscal. Les investigations couvrent aussi les cliniques privées, médecins, grossistes en médicaments, concessionnaires automobiles, grandes surfaces et assurances.

Renforcement des effectifs et défis à relever

Créée en octobre 2017, la brigade est passée de 17 enquêteurs en 2023 à 40 aujourd’hui. Malgré cette progression, Ali Khelifi souligne que les ressources humaines restent insuffisantes face à l’ampleur des défis. La brigade agit sous la supervision de la Direction générale des impôts (DGI) et des procureurs généraux, avec pour mission de détecter, enquêter et collecter des preuves relatives aux infractions fiscales pénales.

Une administration forte et équitable

Khelifi insiste sur le respect de la loi et des droits des contribuables, affirmant que la brigade œuvre pour instaurer une administration fiscale forte et équitable, tout en luttant contre les pratiques d’évasion. Les missions de contrôle se poursuivent pour réduire davantage les déficits fiscaux et renforcer la transparence économique.

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Tourisme à Nabeul-Hammamet : plus de 820 000 visiteurs enregistrés en 2025

Les indicateurs touristiques du gouvernorat de Nabeul affichent une embellie significative depuis le début de l’année, en termes de nombre de visiteurs, selon les données communiquées par le commissaire régional au tourisme, Wahid Ben Fraj.

Il a précisé, dans une déclaration à l’Agence TAP, que, jusqu’au mois d’octobre 2025, la région Nabeul-Hmmamet a accueilli quelque 820 mille touristes, totalisant plus de quatre millions de nuitées, soit une progression de plus de 5% par rapport à la pareille période de l’année dernière.

“La saison est réussie à tous points de vue”, a-t-il affirmé, soulignant la constance du flux touristique qui “confirme désormais l’attractivité de la région tout au long de l’année, bien au-delà de la seule période estivale”, d’après Ben Fraj.

Cette dynamique repose sur la diversification de l’offre touristique, axée notamment sur les produits alternatifs tels que le tourisme culturel, de bien-être, sportif et de golf, un segment prisé par une clientèle à fort pouvoir d’achat, aussi bien tunisienne qu’étrangère, a souligné Ben Fraj.

Il a ajouté que les zones de Nabeul et Hammamet comptent 13 structures d’hébergement alternatives, réparties entre résidences rurales et maisons d’hôtes, un mode d’accueil de plus en plus convoité.

Les intentions d’investissement dans ces hébergements alternatifs sont, selon lui, en nette croissance au cours des dernières années, témoignant de l’intérêt croissant pour un tourisme plus durable et plus enraciné dans le patrimoine local.

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Tunisie : Journées de Médecine Libérale à Mahdia avec ateliers et panels de déontologie

Les 19èmes Journées de Médecine Libérale de Mahdia se tiendront les 13 et 14 décembre 2025 à Mahdia.

Organisé par le Syndicat Tunisien des Médecins Libéraux (STML), section de Mahdia, cet événement majeur de la santé publique en Tunisie réunira médecins généralistes, spécialistes et  professionnels de santé pour une mise à jour scientifique et professionnelle approfondie.

Sur son compte Facebook, le STML dévoile un programme, riche et varié, centré sur les enjeux cliniques urgents : prise en charge de l’hypertension chez le diabétique, résistance aux antibiotiques dans les infections respiratoires basses, diagnostic de la stéatose hépatique, dépistage du cancer de la prostate, lithiase urinaire et incontinence urinaire féminine.

Un panel-débat inédit abordera les questions délicates de déontologie : équilibre entre droits et devoirs des médecins, responsabilité médico-légale et prescription d’arrêts de travail.

Parallèlement, des ateliers pratiques offriront des formations techniques sur la suture esthétique, la rééducation dans les pathologies dégénératives et la prise en charge des mycoses superficielles.

La journée du 14 décembre s’achèvera par une table ronde sur l’urologie au quotidien, suivie d’une session de discussion ouverte.

Pour compléter un programme déjà dense, un espace d’exposition offrira une opportunité unique de networking, d’échanges pratiques et de mise à jour des compétences pour tous les praticiens libéraux souhaitant répondre aux défis contemporains de la médecine.

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Tunisie : la CONECT plaide pour la libéralisation encadrée du marché du café

La Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie (CONECT) vient de créer un Groupement de Torréfacteurs de Café, qui sera présidé par Jasser Lahmar.

“Le café a désormais sa voix à la Conect”, se félicite le président de la confédération, Aslan Ben Rejeb sur sa page officielle Facebook.

Le premier responsable de la CONECT est revenu sur les problèmes auxquels a fait face la filière du café en Tunisie durant les dernière années, dont le monopole d’import et prix administrés qui rigidifient l’offre, les pénuries qui se multiplient, le marché parallèle qui prospère et qui “déstabilise la concurrence loyale et expose le consommateur à des produits non contrôlés”.

Pour développer la filière et relever les défis auxquels elle fait face, Ben Rejeb propose d’ouvrir l’import du café vert à davantage d’acteurs privés agréés, avec des exigences strictes de traçabilité, qualité et contrôle sanitaire, d’autoriser la vente de café vert entre torréfacteurs, ce qui favoriserait la souplesse du marché, l’accès des petits torréfacteurs à la matière première et réduirait la dépendance à l’importation de micro-volumes et de mettre en place une plateforme numérique unique pour tracer les flux, assécher la contrebande et garantir l’égalité d’accès.

Il s’agit également, de passer d’une logique de gestion de pénurie à une gouvernance par la data : transparence sur les volumes, calendriers d’import, mécanismes anti-spéculation et d’installer un cadre de concertation État-Profession pour piloter la transition et sécuriser l’intérêt public.

Le responsable estime par ailleurs, que “libéraliser la filière, ce n’est pas déréguler. C’est responsabiliser les acteurs, renforcer les contrôles, couper l’oxygène au marché parallèle et donner de l’air aux PME qui créent de la valeur en Tunisie”.

La filière du café en Tunisie dépend de l’importation, dont l’Etat détient le monopole, à travers l’Office du Commerce de Tunisie (OCT). Ceci a engendré, pendant de longues périodes, des pénuries en raison de ses difficultés logistiques et financières. Cette situation est aggravée par les hausses des prix sur le marché mondial, la spéculation, le marché parallèle, et les contraintes de gestion pour les torréfacteurs et les cafetiers.

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COP30 : vers un nouvel objectif mondial de financement de l’adaptation climatique d’ici 2030

Les représentants de près de 160 pays sont en conclave, pendant deux semaines, dans le cadre de la 30ème conférence de l’ONU sur le climat (COP30) qui se tient du 10 au 21 novembre 2025, dans la ville de Belém, capitale de l’État du Para, au Brésil.

Durant les négociations qui seront conduites par des ministres et diplomates, l’objectif sera de traduire en actions, les engagements climatiques, notamment, financiers, déjà pris lors des sommets précédents. Il s’agit également de travailler sur quatre axes clés, selon l’Institut des ressources mondiales (WRI-World resources institute), à savoir la réforme du système financier, le renforcement de la résilience et l’adaptation, l’amélioration des plans climat nationaux d’adaptation aux changements climatiques et la protection de la nature et la transformation des systèmes alimentaires.

Le WRI estime que lorsqu’on évalue les projets d’une manière plus globale, on observe que chaque dollar investi (2,95 dinars) génère 10,50 dollars ( environ 30 dinars) de bénéfices sur dix ans, alors que les pays en développement font face à un déficit de financement d’adaptation pouvant atteindre 365 milliards de dollars par an (environ 1078,38 milliards de dinars).

Durant la COP30, les pays décideront d’un nouvel objectif de financement de l’adaptation, avec certains pays en développement réclamant un triplement des fonds d’ici 2030, un objectif que l’analyse du WRI estime réalisable d’ici 2035.

Pour l’amélioration des plans nationaux, les pays sont tenus de soumettre de nouveaux plans climatiques (NDCs) à l’ONU cette année. Cependant, en septembre, seulement 64 pays, couvrant 30 % des émissions, l’avaient fait. Ces NDCs restants doivent s’aligner sur l’objectif de 1,5°C et impulser des changements sectoriels audacieux dans l’énergie, les transports, l’alimentation, les forêts et les océans.

L’ONU projette d’effectuer une transition hors des combustibles fossiles, de tripler les énergies renouvelables et de doubler l’efficacité énergétique.

La COP29, qui a eu lieu à Bakou en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024 a été désignée “COP de la Finance”, car les pays y ont convenu d’augmenter le financement à 1,3 billion de dollars (environ 3,84 billions de dinars)  par an d’ici 2035 pour l’action climatique dans les pays en développement.

A cet effet, les négociateurs à Belem devraient donner suite à ces engagements et déterminer comment atteindre cet objectif et approuver la Feuille de route de Bakou à Belém, un plan conjoint des présidences de la COP29 et de la COP30, qui propose une stratégie holistique pour l’atteindre.

Il y’a lieu de rappeler qu’une évaluation du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) des nouveaux engagements climatiques disponibles dans le cadre de l’Accord de Paris révèle que la hausse prévue de la température mondiale au cours de ce siècle n’a que légèrement diminué, laissant le monde se diriger vers une aggravation des risques et des dommages liés au climat.

Le Rapport 2025 du PNUE sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions : À côté de la cible (Emissions Gap Report 2025: Off Target) indique que les projections de réchauffement planétaire au cours de ce siècle, fondées sur la mise en œuvre intégrale des Contributions déterminées au niveau national (CDN), sont désormais de 2,3 à 2,5 °C, contre 2,6 à 2,8 °C dans le rapport de l’année dernière. La mise en œuvre uniquement des politiques actuelles conduirait à un réchauffement pouvant atteindre 2,8 °C, contre 3,1 °C l’an dernier.

Les nations demeurent loin de l’objectif de l’Accord de Paris, qui vise à limiter le réchauffement à bien moins de 2 °C, tout en poursuivant les efforts pour rester en dessous de 1,5 °C.

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QNB Tunisia inaugure la première agence QNB First à Sfax

QNB Tunisia inaugure la première agence QNB FIRST à Sfax, confirmant son engagement à offrir à ses Clients Premium, une expérience bancaire d’exception, fondée sur des services bancaires innovants et des solutions financières adaptées à leurs besoins.

Cette ouverture marque une étape stratégique pour la banque qui confirme son engagement à offrir une expérience bancaire complète en harmonie avec le mode de vie de ses clients et à renforcer sa présence dans une ville au rôle économique majeur.

Conçue d’un design moderne et élégant, l’agence propose une expérience bancaire personnalisée aux clients QNB FIRST, avec une équipe spécialisée dédiée à leur service et à la fourniture de conseils financiers et d’investissement adaptés.

Les clients QNB First bénéficient d’un accompagnement personnalisé, de conditions tarifaires avantageuses, de solutions d’épargne et d’investissement en plusieurs devises, ainsi que de services de financement personnel sur mesure.

Avec cette nouvelle ouverture, QNB Tunisia étend son réseau, présent dans 11 gouvernorats, avec 3 agences QNB FIRST (à Tunis, Sousse et désormais à Sfax), 3 centres d’affaires dédiés aux entreprises (à Tunis et Hammam Sousse), ainsi qu’un bureau de change à l’aéroport Tunis-Carthage.

Site web : QNB Tunisie

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SNCFT 2026 : le grand retour du train tunisien ?

TrainL’entreprise publique de transport, la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT) qui connaît depuis plusieurs décennies des difficultés multiformes, a tendance, ces derniers temps, à améliorer son image de marque auprès de sa clientèle en jouant la carte de la proximité. Objectifs recherchés : rapprocher les services ferroviaires des usagers, répondre à leurs besoins urgents de mobilité et favoriser l’ouverture aux différentes régions du pays.

Ainsi, au grand bonheur des usagers de ses trains, au nord comme au sud du pays, la SNCFT a annoncé ces derniers jours, (octobre 2025), la reprise de dessertes matinales abandonnées depuis plusieurs années. Les annonces les plus récentes concernent la reprise des dessertes matinales (5h du matin) entre Sousse- Tunis et le Kef –Tunis.

Il y a  plus d’un mois et demi, plus exactement, le 2 septembre 2025, la SNCFT avait annoncé la reprise du transport des passagers entre le site minier Metlaoui et la ville oasienne de Tozeur.

Les projets pour 2026 sont encore plus ambitieux

Au regard de son programme pour 2026, la SNCFT ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.  Cofinancé à hauteur de 160 millions d’euros par la BERD et 25 millions d’euros par l’État tunisien, ce programme, qui  vise à renforcer l’efficacité, la sécurité et la connectivité du réseau, comporte trois volets :

  • le premier consiste en la réhabilitation de la ligne Tunis – Kasserine, tronçon clé pour le fret et le transport de passagers.
  • Le second volet prend en compte l’électrification et le doublement de la ligne Moknine – Mahdia,
  • tandis que le troisième porte sur l’acquisition de cinq nouvelles rames automotrices électriques.

Les travaux d’infrastructures incluront entre autres le renouvellement des voies et un réalignement du tracé. À terme, ils devraient réduire les temps de trajet et accroître la sécurité afin d’augmenter le rythme et la fréquence des navettes et soutenir la fluidité des échanges régionaux.

Après des années de difficultés, la SNCFT multiplie les initiatives pour se rapprocher de ses clients, améliorer ses services et redynamiser le transport ferroviaire dans toutes les régions du pays.

 

Morale de l’histoire : l’ensemble de ces réalisations et initiatives heureuses  illustrent de manière éloquente que la SNCFT commence à avoir des couleurs, à se redresser et à investir dans la réhabilitation de son réseau et l’amélioration de ses services. Est-il besoin de rappeler que l’entreprise  publique a été confrontée depuis des décennies à des difficultés majeures : vétusté des infrastructures et des équipements, ainsi qu’au défaut de ponctualité du service sur certaines lignes.

Les avantages du rail demeurent multiples et d’actualité

Pour mémoire, les chemins de fer tunisiens qui comptent, à ce jour, 2.165 kilomètres de rails dont 471 kilomètres à voie normale et 1.694 kilomètres à voie métrique. Mais seuls 65 kilomètres sont électrifiés.

Malheureusement, ce leg précieux de l’ère coloniale a été dilapidé par l’effet la mauvaise gouvernance des gouvernements et régimes politiques qui se sont succédé à la tête du pays depuis son accès à l’indépendance en 1956.

Aujourd’hui, le contribuable paie très cher pour réhabiliter le ferroviaire du pays. En dépit du retard nous ne pouvons que nous féliciter de ce regain d’intérêt pour le ferroviaire. Et pour cause.

La BERD et l’État tunisien financent ensemble un programme de modernisation de plus de 185 millions d’euros pour relancer le rail.

 

Ce mode de transport est toujours d’actualité. Il présente une multitude d’avantages à portée de main que d’autres modes ne peuvent pas fournir.

Il s’agit, tout d’abord, d’un mode de transport rapide et fiable. Le train est jusqu’à deux fois plus rapide que le transport maritime. C’est le mode de transport à privilégier pour une expédition rapide d’une grande quantité de marchandises. D’après les experts, il est le mode de transport le plus sûr. Le transport ferroviaire enregistre cinq fois moins d’accidents par tonne transportée que par véhicule routier.

Mention spéciale pour le transport de marchandises (céréales, phosphate et autres produits…). Pour ce type de transport, le train présente un niveau de sécurité optimale.

Relier villes, zones industrielles et régions rurales : la SNCFT reste un maillon vital du transport national.

 

Cerise sur le gâteau, le transport ferroviaire est une solution de transport durable face aux changements climatiques. C’est, à l’évidence, l’un des modes de transport qui produit le moins d’émissions de CO2.

Pour toutes ces raisons, nous pensons que le gouvernement actuel serait bien inspiré de soutenir massivement et généreusement la SNCFT dans ses efforts d’investissement, de réhabilitation du réseau et d’amélioration de ses prestations et image de marque. La raison est simple. Le réseau ferroviaire tunisien constitue une composante essentielle du transport national, reliant les grandes villes, les zones industrielles et certaines régions rurales. Il mérite d’être érigé comme l’oléiculture en priorité nationale.

ABOU SARRA

EN BREF

  • La SNCFT relance ses dessertes matinales entre Sousse–Tunis et Le Kef–Tunis.
  • Un programme 2026 de 185 millions € vise à moderniser le réseau.
  • Trois volets : réhabilitation, électrification et achat de nouvelles rames.
  • Le réseau tunisien compte 2 165 km de rails, dont seulement 65 km électrifiés.
  • Le rail reste rapide, sûr et écologique : un atout stratégique pour la Tunisie.

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Nicolas Sarkozy libéré après trois semaines de détention à la Santé

La Cour d’appel de Paris a ordonné, lundi, la remise en liberté de Nicolas Sarkozy, détenu depuis le 21 octobre à la prison de la Santé dans le cadre de l’affaire dite du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. L’ancien chef de l’État français, âgé de 70 ans, reste placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès en appel.

Un tournant dans une affaire judiciaire sans précédent

Cette décision marque une nouvelle étape dans une procédure considérée comme historique en France. Nicolas Sarkozy avait été condamné le 25 septembre dernier à cinq ans de prison ferme, assortis d’un mandat de dépôt et d’une exécution provisoire, par le tribunal correctionnel de Paris.

Le jugement, inédit pour un ancien président de la République, l’avait reconnu coupable d’« association de malfaiteurs » dans le cadre du présumé financement libyen de sa campagne électorale de 2007.

Une demande de libération rapidement déposée

Les avocats de l’ancien chef de l’État avaient déposé dès le 21 octobre une demande de libération, quelques heures après son incarcération. Cette démarche s’appuyait sur l’argument d’une détention jugée disproportionnée au regard de l’état de santé et de la situation personnelle de leur client. La Cour d’appel a tranché en faveur de la remise en liberté, tout en imposant des mesures de contrôle strictes, dont les détails n’ont pas été précisés.

Un dossier sensible pour la justice française

L’affaire du financement libyen, qui implique également plusieurs anciens collaborateurs de Nicolas Sarkozy, demeure l’un des dossiers politico-judiciaires les plus sensibles de ces dernières années. Le procès en appel, dont la date n’a pas encore été fixée, devra déterminer si les charges retenues par le tribunal correctionnel seront confirmées ou infirmées.

Ce rebondissement judiciaire relance le débat sur la responsabilité pénale des anciens dirigeants et sur les limites du financement politique en France.

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Transition énergétique à Tozeur : 70 à 80 % de la consommation des mosquées couverte par le solaire

Le programme pilote de maîtrise d’énergie dans 87 mosquées au gouvernorat de Tozeur avance à un rythme soutenu, a indiqué, le représentant régional de l’Agence Nationale pour la Maîtrise de l’Energie (ANME), Imed Triki, à l’Agence TAP.

Il a ajouté que les travaux d’une valeur de 2,7 millions de dinars sont réalisés à 50%, précisant que la phase d’installation des systèmes de production d’énergie solaire photovoltaïque a été achevée.

Un appel d’offre a été lancé pour mettre en place de nouveaux dispositifs d’éclairage économique et assurer le bon fonctionnement du système de gestion de l’énergie photovoltaïque, a fait savoir la même source.

Par ailleurs, un programme de généralisation de l’installation des panneaux solaires photovoltaïques (PROSOL ELEC) sera réalisé en faveur de 4 mille ménages, dont la consommation électrique annuelle ne dépasse pas 1200 kwh.

Le représentant régional de l’ANME, Imed Triki, a fait savoir que l’équipement des mosquées en énergie solaire devrait permettre de couvrir entre 70 et 80% de leur consommation d’électricité, ainsi qu’une couverture de 100% pour les familles bénéficiaires du programme social PROSOL ELEC.

Il a expliqué que ce programme pilote de transition énergétique s’inscrit dans le cadre de la stratégie gouvernementale visant à rendre le gouvernorat de Tozeur une région éco-responsable.

A noter qu’un programme de distribution de 30 mille lampes économiques a été lancé afin de réduire la consommation de l’électricité dans la région.

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