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Maroc–Mauritanie : un nouvel élan pour la coopération verte

Le Maroc et la Mauritanie ont signé, vendredi 8 novembre à Belém (Brésil), un plan d’action bilatéral destiné à renforcer leur coopération dans les domaines de l’environnement et du développement durable pour les deux prochaines années.

Cet accord a été paraphé en marge du Sommet des dirigeants sur le climat, prélude à la COP30, par la ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leïla Benali, et son homologue mauritanienne de l’Environnement et du Développement durable, Messouda Baham Mohamed Laghdaf. Il s’inscrit dans la continuité de l’Accord de coopération environnementale conclu précédemment à Rabat.

Le plan d’action prévoit un échange d’expériences et d’expertises dans plusieurs domaines d’intérêt commun : la gouvernance environnementale, la lutte contre le changement climatique, la gestion des déchets, la transition écologique, l’économie bleue, la gestion intégrée des zones côtières et la surveillance environnementale, rapporte cridem.org citant une dépêche de l’agence MAP.

Les deux pays se sont également engagés à définir et mettre en œuvre des actions conjointes, tout en mobilisant des financements auprès d’institutions régionales et internationales pour soutenir leurs projets communs.

Parmi les activités prévues, figurent des visites d’étude, des ateliers de formation, ainsi que des participations conjointes à des forums internationaux et à des exercices de simulation relatifs à la lutte contre la pollution marine accidentelle, ajoute la même source.

Ce plan d’action illustre la volonté partagée du Maroc et de la Mauritanie de conjuguer leurs efforts pour la protection de l’environnement, la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) et la mise en œuvre effective de leurs Contributions déterminées au niveau national (CDN) dans la lutte mondiale contre le changement climatique.

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Premier League (11e journée) : qui diffusera le match en direct Man City-Liverpool?

Manchester City contre Liverpool pourrait constituer le match phare de la 11ème journée du Championnat d’Angleterre de première division (Premier League).

La rencontre, qui aura lieu dimanche 9 novembre à partir de 17h30 (heure tunisienne), est à suivre sur BeIN Sports et sur le lien streaming livekoora.live.

 

Notre pronostic : victoire de Manchester City.

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Tunisie–Afrique : la lente montée en puissance des échanges commerciaux

Les exportations tunisiennes vers l’Afrique subsaharienne ont atteint environ 550 millions de dollars en 2024, selon les données officielles. Ce volume, qui représente près de 3,5 % des exportations totales du pays, traduit une progression annuelle moyenne de 9,7 % sur la dernière décennie.

Cette évolution témoigne d’un intérêt croissant des entreprises tunisiennes pour les marchés africains, perçus comme une alternative stratégique à la dépendance vis-à-vis de l’Union européenne, principal partenaire commercial du pays.

Une géographie des échanges encore concentrée

Les exportations tunisiennes vers le continent restent concentrées sur un nombre limité de pays. Le Sénégal demeure le principal débouché, absorbant 17,5 % des exportations tunisiennes vers la région, suivi par la Côte d’Ivoire (13,2 %), le Cameroun (7,8 %), la Guinée (6 %) et le Gabon (5 %).

Cette concentration géographique souligne à la fois l’existence de marchés africains prioritaires et la marge de progression encore importante dans d’autres zones du continent, notamment en Afrique de l’Est et en Afrique australe.

Des secteurs porteurs mais des contraintes persistantes

L’analyse sectorielle montre que les industries manufacturières dominent les exportations tunisiennes vers l’Afrique subsaharienne.

Les industries diverses – construction, chimie, papier hygiénique – représentent environ 45 % du total, tandis que les industries mécaniques et électriques pèsent un peu plus de 35 %. Les produits agricoles et agroalimentaires complètent la structure avec environ 21 %.

Le secteur des services, en particulier les TIC, les soins de santé, l’agro-business et la formation, connaît également une dynamique de développement, profitant du savoir-faire tunisien et d’un coût de prestation compétitif.

Cependant, cette expansion se heurte à plusieurs obstacles structurels :

  • Insuffisance des liaisons logistiques (maritimes, aériennes, routières) ;
  • Coûts de transport élevés et chaînes d’acheminement peu intégrées ;
  • Instabilité politique dans certains pays partenaires ;
  • Demande encore peu structurée et forte hétérogénéité des cadres réglementaires.

Des leviers de croissance régionale à mobiliser

Pour consolider sa présence économique au sud du Sahara, la Tunisie dispose de plusieurs leviers d’action :

  • Adapter son offre exportable aux besoins spécifiques des marchés africains (produits agroalimentaires, biens intermédiaires, services spécialisés) ;
  • Renforcer la présence commerciale sur le terrain, notamment via des filiales, des partenariats locaux et des plateformes logistiques régionales ;
  • Optimiser la connectivité maritime et aérienne avec les hubs africains ;
  • Capitaliser sur les cadres régionaux tels que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et le COMESA, qui offrent des perspectives d’intégration plus profonde des marchés.

Une position modeste mais stratégique

Malgré une part encore limitée dans le commerce extérieur tunisien, la tendance est positive : la structure des exportations vers l’Afrique subsaharienne révèle une plus forte composante industrielle et agricole que dans les échanges globaux, signe d’une complémentarité économique croissante.

Dans le domaine des services, plusieurs programmes d’appui à l’exportation des PME tunisiennes sont déjà en place, appuyés par des initiatives de coopération bilatérale et multilatérale.

In fine, vers une intégration africaine progressive

L’Afrique subsaharienne représente aujourd’hui pour la Tunisie un marché de proximité à fort potentiel, mais encore sous-exploité. Le renforcement de la présence tunisienne dans la région passe par une politique commerciale proactive, une amélioration logistique, et une meilleure adaptation des produits et services aux besoins locaux.

À moyen terme, la convergence entre la stratégie africaine de la Tunisie et la mise en œuvre effective de la ZLECAf pourrait transformer la dimension continentale des échanges tunisiens, en faisant de l’Afrique un axe structurant de la diplomatie économique nationale.

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L’usure du cartilage du genou touche jusqu’à 40 % des plus de 45 ans, selon un spécialiste

Le chef du service de rhumatologie à l’hôpital universitaire Mongi Slim de La Marsa, Dr Ahmed Laatar, a indiqué que l’usure du cartilage du genou concerne entre 30 et 40 % des personnes âgées de plus de 45 ans.

Intervenant en marge d’une journée de sensibilisation organisée à l’hôpital Mongi Slim autour de cette pathologie, le spécialiste a précisé que les facteurs héréditaires figurent parmi les principales causes de la dégradation du cartilage.

Selon lui, l’obésité et l’excès de graisses dans l’organisme jouent également un rôle aggravant, car ils favorisent la sécrétion de substances accélérant la destruction des cellules cartilagineuses.

Le Dr Laatar a également attiré l’attention sur les mauvaises postures et la position assise ou debout prolongée, qui peuvent endommager le cartilage du genou. Il a noté que les femmes sont plus exposées que les hommes, en dehors des effets naturels du vieillissement.

« Cette pathologie se caractérise par la détérioration progressive du cartilage protégeant les os du genou, provoquant douleurs, gonflements et raideurs articulaires », a-t-il expliqué.

La journée de sensibilisation a réuni 12 médecins et a permis de toucher 87 participants, dans le but de mieux informer le public sur la prévention et la prise en charge de cette affection.

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Premier League (11e journée): où regarder Tottenham vs Man United?

Pour la 11e journée du championnat d’Angleterre de première division (Premier League), Manchester United se déplace sur le terrain de Tottenham ce samedi 8 novembre.

La rencontre sera retransmise sur les antennes de BeIN Sports et sur le lien streaming livekoora.live à partir de 13h30 (heure de Tunisie).

 

Notre pronostic: victoire de Tottenham.

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L’allemand Kromberg & Schubert va créer 4 000 emplois à Béja

L’ambassadrice d’Allemagne en Tunisie, Elisabeth Wolbers, a effectué une visite au site de Kromberg & Schubert à Béja, l’un des plus importants pôles industriels allemands implantés en Tunisie et un acteur clé du secteur des composants automobiles.

Présente dans la région depuis 2008, l’entreprise produit des systèmes électriques de haute technologie destinés aux véhicules de nouvelle génération, selon les standards internationaux les plus stricts. Avec près de 6 000 employés tunisiens, Kromberg & Schubert figure aujourd’hui parmi les principaux employeurs du nord-ouest du pays.

Dans le cadre de son plan d’expansion, la société prévoit la création de 4 000 postes à Béja, renforçant ainsi son rôle moteur dans le développement économique et social de la région. L’entreprise mise également sur la formation et l’insertion des jeunes talents locaux, à travers des programmes axés sur la montée en compétences et la professionnalisation.

Au terme de sa visite, la diplomate allemande a salué les conditions de travail exemplaires et l’engagement social de l’entreprise, estimant que ce modèle de réussite illustre la solidité du partenariat tuniso-allemand.

Ce projet s’inscrit dans une dynamique de coopération durable entre les deux pays, alliant création d’emplois, innovation industrielle et responsabilité sociale.

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Tunis accueille le Forum tuniso-sino-africain sur la médecine traditionnelle

Les 21 et 22 novembre 2025, la Tunisie sera le point de convergence de la coopération médicale entre la Chine et l’Afrique, et ce, à l’occasion du Forum tuniso-sino-africain pour le développement de la médecine chinoise.

En amont de cet événement majeur, le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a reçu, vendredi 7 novembre, l’ambassadeur de Chine en Tunisie, Wan Lee, accompagné d’une délégation de hauts responsables chinois.

La rencontre a permis de faire le point sur les préparatifs organisationnels, logistiques et scientifiques du forum.

Ainsi, plus de 120 experts et spécialistes chinois feront le déplacement à Tunis, aux côtés de délégations de plusieurs pays africains.

Au programme de ce forum, des séminaires, conférences scientifiques, expositions médicales et sans doute la signature d’accords de partenariat entre la Tunisie et la Chine.

À l’occasion de la réunion, M. Ferjani a souligné que cette manifestation représente une étape clé dans le renforcement de la coopération médicale tripartite Tunisie-Chine-Afrique, affirmant que Tunis se positionne désormais comme un hub stratégique pour les échanges scientifiques et médicaux sur le continent.

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Les entreprises canadiennes misent sur l’écosystème des start-up tunisiennes

Les entreprises canadiennes affichent un intérêt grandissant pour les start-up tunisiennes, notamment celles actives dans les technologies de la communication et l’innovation numérique. C’est ce que vient de déclarer Azzeddine Cherni, chargé du secteur des technologies modernes et délégué commercial à l’ambassade du Canada à Tunis, cité par Mosaïque FM. Il s’exprimait en marge de la rencontre « L’intelligence artificielle, moteur du progrès humain et économique commun », organisée par la Chambre tuniso-canadienne de commerce et d’industrie en collaboration avec l’ambassade du Canada.

Des start-up tunisiennes en mission technologique au Canada

Selon Cherni, l’ambassade du Canada s’emploie à accompagner les entrepreneurs tunisiens, en particulier les start-up et les PME, dans leur participation à divers événements économiques et technologiques organisés au Canada, rapporte une radio privée.

En 2025, trois missions économiques tunisiennes ont été soutenues par l’ambassade, dont la plus récente lors de l’événement international “ALL IN”, consacré à l’intelligence artificielle, tenu à Montréal les 16 et 17 septembre.

Rassemblant plus de 6 000 experts mondiaux, cette rencontre a permis à une délégation tunisienne composée de plus de vingt start-up et PME de présenter leur savoir-faire et de conclure de nouveaux partenariats, avec l’appui du Réseau d’affaires tuniso-canadien (RTCA).

Des partenariats technologiques en pleine expansion

En marge de cet événement, l’ambassade du Canada a organisé des rencontres B2B entre les jeunes pousses tunisiennes et plus de cent entreprises canadiennes, aboutissant à plusieurs accords de coopération technologique et commerciale.

Azzeddine Cherni a également salué la dynamique positive du partenariat économique entre les deux pays. Aujourd’hui, plus de 30 entreprises canadiennes spécialisées dans le secteur technologique sont implantées en Tunisie, tandis que de nouvelles demandes d’installation continuent d’affluer.

À l’inverse, de nombreux entrepreneurs tunisiens ont choisi de s’établir au Canada, aussi bien dans l’espace francophone que dans les provinces anglophones, illustrant la vitalité et la complémentarité croissante entre les deux écosystèmes d’innovation.

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Hamadi Lahbib : soutenir l’agriculteur, clé de la sécurité alimentaire

Le secrétaire d’État chargé des Ressources hydrauliques, Hamadi Lahbib, a affirmé, vendredi 7 novembre 2025, que la sécurité alimentaire nationale repose sur le soutien de l’agriculteur, la facilitation de son travail et une coordination étroite entre les structures de contrôle afin de sécuriser les circuits de distribution et lutter contre le monopole, tout en respectant la loi et en protégeant l’intérêt public.

Lors d’une séance de travail conjointe ayant réuni des représentants des ministères de l’Agriculture, du Commerce, de l’Intérieur et des Finances, M. Lahbib a insisté sur la nécessité d’adopter une approche participative entre les différents départements concernés. Cette démarche vise à unifier les procédures, assurer la pérennité du système agricole et valoriser les efforts des agriculteurs à travers le pays. Les premières actions sur le terrain sont prévues dès la semaine prochaine, lit-on dans un communiqué du ministère de l’Agriculture.

Cette réunion s’inscrit dans le cadre des orientations du président de la République en faveur du soutien aux agriculteurs et de la réduction des obstacles auxquels ils font face à toutes les étapes de la production et de la commercialisation.

Les participants ont également examiné les mesures pratiques visant à faciliter la promotion des produits agricoles – notamment les agrumes, dattes, olives, grenades et pommes – et à lever les obstacles administratifs et logistiques rencontrés par les agriculteurs. L’objectif est de garantir l’efficacité du contrôle, de prévenir la spéculation et de lutter contre les pratiques de monopole.

Trois axes principaux ont été abordés :

  • Simplification des procédures de déplacement et de commercialisation des produits agricoles ;

  • Allègement des dispositions administratives pesant sur les producteurs ;

  • Amélioration du stockage pour préserver la qualité des produits.

Les discussions ont également porté sur les moyens de faciliter les paiements et de lutter contre l’évasion fiscale, dans une optique d’équilibre entre stimulation de la production et respect des obligations fiscales.

Enfin, les participants ont souligné la nécessité d’assurer l’approvisionnement du marché intérieur dans les meilleures conditions, en garantissant la fluidité du transport, du stockage et de la commercialisation des produits agricoles, afin de réussir les saisons agricoles et de maintenir la stabilité des prix.

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Bourse de Tunis : Le Tunindex clôture vendredi en quasi-stable

Le marché boursier a clôturé la séance de vendredi, 7 novembre 2025, sur une note quasi-stable. Le Tunindex a légèrement baissé de 0,06 % à 12 722,47 points dans un modeste volume de 6,7 millions de dinars (MDT), selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre LAND’OR s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du fromager s’est accrue de 5,4 % à 13,000 D faisant savoir que la valeur a drainé des échanges relativement fournis de 860 000 dinars sur la séance.

TUNINVEST s’est retrouvé dans le palmarès des plus fortes hausses de la séance. L’action de la société d’investissement s’est bonifiée de 4,5 % à 26,500 D, dans un flux de 114 mille dinars.

Le titre ASSAD s’est placé en lanterne rouge du Tunindex. L’action du producteur des batteries automobiles a trébuché de 3,4 % à 2,310 D, dans de maigres échanges de 21 mille dinars.

Du côté des baisses, le titre AIR LIQUIDE a affiché une baisse de 2,9 % à 150,000 D. L’action de la société a amassé un volume très limité de 2 000 dinars sur la séance.

ATB a été la valeur la plus échangée de la séance, en amassant un volume de 939 mille dinars. Le titre a pris 1,4 % à 3,700 D.

Avcc TAP

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Le CAPJC clôture sa première formation dédiée à l’IA

Le Centre africain de perfectionnement des Journalistes et Communicateurs (CAPJC), en partenariat avec la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, a clôturé jeudi la première session de formation consacrée à l’intelligence artificielle et à ses applications dans les médias.

Cette session a réuni des journalistes issus de médias publics, privés, associatifs, ainsi que des indépendants. Elle s’inscrit dans le cadre d’un programme de formation composé de quatre sessions qui s’étaleront sur les mois de novembre et décembre.

Selon Sami Oueslati, directeur de la formation, des recherches et des études au CAPJC, cette première session a permis d’initier les participants aux outils et applications d’intelligence artificielle utilisés dans le domaine médiatique.

Il a précisé que les trois prochaines sessions porteront respectivement sur la sécurité numérique des journalistes et la vérification de l’information (fact-checking).

L’objectif global du programme est de renforcer les compétences des journalistes, de soutenir leur travail au quotidien et de préserver leur sécurité numérique, tout en encourageant la participation de professionnels venus de toutes les régions du pays.

L’intelligence artificielle joue un rôle de plus en plus important dans le journalisme et les médias, mais elle soulève également des défis, notamment le risque d’amplification des informations trompeuses, avertit l’UNESCO.

Toutefois, selon la Fédération internationale des journalistes (FIJ), ces technologies offrent aussi de nouvelles opportunités aux professionnels des médias, telles que la transcription vocale, la génération audio ou encore l’analyse rapide des données.

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L’Algérie restructure son marché de poisson avec une nouvelle société publique

Le secteur de la pêche et de l’aquaculture en Algérie s’apprête à connaître une nouvelle impulsion. Les autorités annoncent la création d’une société publique chargée de la collecte et de la commercialisation des produits de la mer, dont l’objectif est de réorganiser un marché encore peu structuré.

Cette annonce a été faite par Miloud Tariaa, directeur général de la pêche et de l’aquaculture, lors de la présentation de la 10ᵉ édition du Salon international de la pêche et de l’aquaculture (SIPA 2025), qui se tient du 6 au 9 novembre à Oran.

Une société publique au service d’un marché plus équitable

Placée sous la tutelle de l’Office national des élevages et des avicultures (ONAB), la nouvelle entité aura pour mission d’encadrer la collecte, la distribution et la mise en marché des produits issus de la pêche et de l’aquaculture.

Elle jouera un rôle clé dans la structuration de la filière, notamment celle de l’aquaculture, en plein essor ces dernières années.

L’objectif est double : renforcer le marché intérieur et améliorer la présence des produits algériens à l’international, tout en inscrivant cette démarche dans la stratégie nationale de développement durable des ressources halieutiques.

Une stratégie fondée sur la durabilité et la modernisation

Au-delà de cette nouvelle société, la feuille de route du ministère de l’Agriculture repose sur plusieurs axes majeurs :

  • développer la production d’aliments pour poissons et d’alevins sur l’ensemble du territoire ;
  • encourager la création de coopératives professionnelles pour mieux organiser la production et la commercialisation ;
  • soutenir les petits producteurs dont la production annuelle reste inférieure à 400 kg, afin de garantir leur pérennité économique.

Cette approche intégrée vise à consolider un secteur où se côtoient pêche artisanale, aquaculture marine et aquaculture continentale.

La modernisation du secteur passera aussi par le digital. Une plateforme numérique sera prochainement déployée au sein de la Chambre nationale de la pêche et de l’aquaculture.
Elle offrira aux producteurs la possibilité de publier des informations sur leurs produits, de renforcer la transparence des échanges et de faciliter la mise en relation directe entre acteurs du marché.

SIPA 2025 à Oran : cap sur l’innovation et la durabilité

Placée sous le thème « Pêche et aquaculture : innovation et partenariats », la 10ᵉ édition du SIPA rassemble 180 exposants venus de 17 pays, avec le Sultanat d’Oman comme invité d’honneur.

Le Salon mettra en avant la valeur ajoutée de l’aquaculture marine, un secteur en pleine expansion à l’échelle mondiale.

Start-up, investisseurs et coopération internationale au rendez-vous

Pas moins de 38 start-up algériennes participeront gratuitement à l’événement. D’après Ibrahim Ben Bouzid, commissaire du salon, le SIPA 2025 servira de plateforme de rencontres entre entrepreneurs, investisseurs et institutions financières.

Les investisseurs étrangers manifestent d’ailleurs un intérêt croissant pour le marché algérien, attirés par les nouvelles mesures incitatives mises en place par l’État.

Un atelier bilatéral algéro-omanais viendra clore l’événement, consacré aux perspectives de coopération et d’investissement conjoints dans les domaines de la pêche et de l’aquaculture, selon algerie360.com.

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KIKO Milano poursuit son expansion en Tunisie et inaugure une nouvelle boutique à Tunis-Lafayette

Dans le cadre de sa stratégie de développement en Tunisie, KIKO Milano, la marque N°1 de maquillage en Italie, annonce l’ouverture d’un nouveau point de vente à Tunis, au cœur du quartier animé de Lafayette.

 

Cette ouverture vient renforcer la présence de la marque KIKO Milano sur le territoire et confirme son succès grandissant auprès des consommatrices tunisiennes.

 

Kiko

Avec cette nouvelle adresse, le huitième point de vente de son réseau en Tunisie, KIKO Milano réaffirme sa volonté d’être toujours plus proche des femmes désireuses d’exprimer leur personnalité à travers la couleur, la créativité et l’innovation.

 

Avec cette nouvelle adresse, le huitième point de vente de son réseau en Tunisie, KIKO Milano réaffirme sa volonté d’être toujours plus proche des femmes désireuses d’exprimer leur personnalité à travers la couleur, la créativité et l’innovation.

 

Depuis son implantation en Tunisie, la marque ne cesse de séduire une clientèle variée, fidèle et passionnée. Le lancement du site de vente en ligne www.kikocosmetics.tn a marqué une nouvelle étape dans cette croissance. Confirmant ainsi un engouement constant tant en boutique que sur le digital.

 

Le nouveau magasin KIKO Milano Lafayette s’inscrit pleinement dans cette dynamique : un espace moderne, lumineux et immersif, pensé pour offrir une expérience beauté unique fidèle à l’univers de la marque.

 

Le nouveau magasin KIKO Milano Lafayette s’inscrit pleinement dans cette dynamique : un espace moderne, lumineux et immersif, pensé pour offrir une expérience beauté unique fidèle à l’univers de la marque.

 

Les clientes y retrouveront l’ensemble des gammes de maquillage, soins, accessoires, parfums et produits capillaires, ainsi que les collections en édition limitée qui font le succès international de KIKO Milano.

 

Comme dans tous les points de vente de la marque, des conseillères beauté expertes accompagnent les clientes dans le choix de leurs produits, en leur proposant des conseils personnalisés selon leurs besoins et leur style.

 

Avec plus de 1 200 références, KIKO Milano propose des produits performants, accessibles et inspirés de l’élégance italienne.

 

Conçus à Milan, capitale mondiale de la mode et du design, 99 % des produits KIKO Milano sont fabriqués en Europe, selon les standards les plus exigeants de qualité et de sécurité.

Avec plus de 1 200 références, KIKO Milano propose des produits performants, accessibles et inspirés de l’élégance italienne.

 

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À propos de KIKO Milano

Fondée en 1997, KIKO Milano a pour mission d’encourager l’expression de soi à travers la couleur, la créativité et l’art du maquillage. Présente dans plus de 65 pays, la marque capte les tendances mondiales et y insuffle son style unique, inspiré de ses racines italiennes.

En Tunisie, KIKO Milano est représentée par le groupe UTIC et dispose désormais de huit boutiques : Carrefour La Marsa, Manar City, Mall of Sousse, Mall of Sfax, Azur City, Tunis City, Le Bardo et, désormais, Tunis-Lafayette, en plus de sa boutique en ligne www.kikocosmetics.tn

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Belgique : Didier Reynders inculpé pour blanchiment d’argent

Didier Reynders, qui fut le fer de lance de la saisie des avoirs russes par l’UE, fait désormais l’objet d’une enquête pénale en Belgique.

Le parquet belge a inculpé mercredi 5 novembre l’ancien commissaire européen à la Justice, Didier Reynders, pour blanchiment d’argent, selon les médias belges. Ce haut fonctionnaire, qui a piloté la campagne de l’UE pour le gel des avoirs de l’État russe, est accusé d’avoir transféré des centaines de milliers d’euros via des comptes bancaires personnels et des gains au loto.

A rappeler qu’il a été ministre des Finances de la Belgique de 1999 à 2011 et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2019. Et ce, avant de devenir commissaire à la justice durant le premier mandat de Ursula von der Leyen. C’est à ce moment qu’il a supervisé l’application des sanctions russes et la coordination du gel des avoirs après l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

D’après les informations parues mardi 4 novembre, l’affaire porte sur la provenance de près d’un million d’euros (1,2 million de dollars) liés aux finances de Reynders. Les enquêteurs l’accusent d’avoir blanchi environ 700 000 euros via son compte bancaire sur une période de dix ans, et 200 000 euros supplémentaires en achetant de grandes quantités de billets de loterie et en transférant les gains sur son compte. Son épouse, une magistrate à la retraite, a également été interrogée, mais aucune charge n’a été retenue contre elle.

L’enquête fait suite à des perquisitions menées aux domiciles de Reynders en décembre 2024, peu après la fin de son mandat de secrétaire à l’UE. Le juge Olivier Leroux l’a formellement mis en examen le mois dernier après un second interrogatoire, ayant constaté de sérieux indices de culpabilité, selon le média d’investigation Follow the Money. Reynders nie toute malversation et reste en liberté pendant la durée de la procédure.

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L’UE cherche une alternative aux avoirs russes pour aider Kiev

Bruxelles prépare un plan alternatif pour combler le déficit de financement de l’Ukraine. Faute d’accord sur l’utilisation des avoirs russes gelés, la Commission européenne envisage désormais de recourir à une dette commune de l’Union et à des subventions bilatérales des États membres, selon plusieurs sources proches du dossier.

Ce double mécanisme figurera dans un document stratégique que la Commission s’apprête à transmettre aux capitales européennes dans les prochaines semaines. Il détaillera les différentes options de financement de Kiev, en complément du projet de « prêt de réparation » de 140 milliards d’euros fondé sur les actifs souverains russes immobilisés. La Belgique bloquant à l’heure actuellela piste du financement par les avoirs russes gelés. C’est ce que rapporte en substance, le site Euractiv.

Dans cette option, le gouvernement belge, soutenu par l’Allemagne et des pays baltes, refuse de valider ce prêt tant que les risques juridiques et financiers ne sont pas partagés entre les États membres. D’ailleurs, le Premier ministre, Bart De Wever, a même menacé de s’opposer au plan tant que d’autres pays de l’UE n’exploiteront pas leurs propres avoirs russes gelés. Bruxelles estime que 25 milliards d’euros d’actifs se trouvent ailleurs dans l’Union, notamment en Allemagne, en France et au Luxembourg, ajoute la même source.

Lors du dernier sommet européen, la Belgique a réussi à adoucir les conclusions officielles, limitant le mandat de la Commission à la présentation d’« options » sans mention explicite des avoirs russes. Dans la foulée, De Wever a lui-même suggéré d’avoir recours à une dette commune : « Le grand avantage de la dette, c’est que vous savez combien elle coûte, combien de temps elle dure et qui en est responsable ».

Selon les premières orientations, le nouvel emprunt ne serait pas garanti par le budget pluriannuel de l’UE, jugé trop contraint pour supporter une telle opération. Le Fonds monétaire international (FMI) estime que le déficit budgétaire de l’Ukraine atteindra 65 milliards de dollars (55 milliards d’euros) en 2026-2027 – des projections reprises par la Commission dans son analyse.

Des discussions techniques entre Bruxelles – entendu le siège de la Commission européenne – et la Belgique (Etat membre de l’UE) – doivent avoir lieu vendredi 7 novembre, avant un possible débat politique à plus haut niveau. Les chefs d’État et de gouvernement européens se retrouveront les 18 et 19 décembre à Bruxelles, où le financement de l’Ukraine devrait figurer en bonne place à l’agenda.

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Opportunité : les entreprises appelées à participer au Salon MWC de Barcelone

Le Centre de Promotion des Exportations (Cepex) organise, du 2 au 5 mars 2026, la participation des entreprises tunisiennes au Salon Mobile World Congress (MWC). Il se tiendra à Barcelone (Espagne).

Le Salon Mobile World Congress (MWC) constitue une plateforme unique où les plus grandes startups du monde présentent leurs dernières innovations aux principaux investisseurs et spécialistes en capital-risque. Quelque 110 000 visiteurs venant d’environ 204 pays sont attendus à cet événement.

Ce rendez-vous constitue un événement incontournable pour les professionnels tunisiens, notamment les PME, TPE et autres startups opérant dans la filière de la téléphonie mobile. Et ce, dans la mesure où il leur permettra d’accélérer leur transformation digitale, de rencontrer les leaders du secteur et de faire rayonner leurs marques à l’international.

Il se présente, aussi, comme une excellente opportunité pour découvrir les dernières technologies, les tendances et les innovations de la filière, ainsi que de nouer des relations de partenariat d’avenir dans les domaines de la 5G, de l’IA, de l’IoT, de la cybersécurité.

Pour s’inscrire : https://www.e-cepex.tn/c/foires-et-salons/details/406, au plus tard le 28 novembre 2025.

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La CNUCED sonne l’alarme : réformer la finance mondiale pour sauver le climat

La réforme de l’architecture financière internationale est indispensable pour mobiliser les financements nécessaires à un développement résilient face au climat. C’est ce qu’affirme la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) dans un rapport publié à la veille de la COP30. L’organisation y appelle à transformer en profondeur le système financier mondial, qu’elle juge inadapté aux besoins des pays en développement.

La CNUCED avance trois axes d’action qui sont prioritaires : renforcer l’accès aux outils de liquidité et de stabilité; garantir un espace budgétaire suffisant pour financer le climat et le développement; et rééquilibrer la gouvernance économique mondiale. Ces réformes visent à corriger les faiblesses structurelles d’un système marqué par la dépendance à la dette et l’érosion de la confiance. Ainsi assure l’organisation onusienne à la veille de la COP30, qui se tient au Brésil du 10 au 21 novembre 2025.

Le rapport exhorte la communauté internationale à accélérer la mise en œuvre de l’objectif fixé lors de la COP29. Soit la mobilisation d’au moins 300 milliards de dollars par an d’ici 2035, sous la conduite des pays développés. De même qu’il vise 1 300 milliards de dollars provenant de toutes les sources. L’organisation souligne que le financement climatique ne peut être dissocié du système financier mondial, puisqu’il en est une composante directe.

Actuellement, la multiplicité des canaux de financement – aides bilatérales, banques multilatérales de développement, capitaux privés transfrontaliers – entraîne une fragmentation qui ralentit et complique l’accès aux fonds, notamment pour les pays disposant de capacités administratives limitées. En 2022, les pays les moins avancés n’ont reçu que 18 % des financements climatiques fournis par les pays développés, et les petits États insulaires en développement à peine 2,8 %, note la CNUCED.

Actuellement, la multiplicité des canaux de financement – aides bilatérales, banques multilatérales de développement, capitaux privés transfrontaliers – entraîne une fragmentation qui ralentit et complique l’accès aux fonds, notamment pour les pays disposant de capacités administratives limitées.

Le rapport met également en lumière un déséquilibre dans la répartition des financements : l’adaptation, pourtant cruciale pour faire face aux impacts du changement climatique, n’a représenté que 3,4 % des financements mondiaux en 2023. La majorité des capitaux privés reste concentrée sur des projets d’atténuation plus rentables à court terme. Par ailleurs, les aides destinées à compenser les pertes et dommages se traduisent souvent par de nouveaux prêts, aggravant l’endettement des pays vulnérables.

Pour la CNUCED, atteindre l’objectif de 1 300 milliards de dollars confère une urgence nouvelle à la réforme du système financier mondial. L’organisation préconise d’établir un filet de sécurité financière international plus équitable, de réduire la vulnérabilité aux cycles économiques et aux chocs climatiques, et de mobiliser des ressources nationales afin de soutenir des transformations structurelles durables.

Enfin, la CNUCED appelle à rééquilibrer la gouvernance économique mondiale pour qu’elle devienne plus représentative et plus responsable, à l’image des défis communs en matière de climat et de développement.

Pour la CNUCED, atteindre l’objectif de 1 300 milliards de dollars confère une urgence nouvelle à la réforme du système financier mondial. L’organisation préconise d’établir un filet de sécurité financière international plus équitable, de réduire la vulnérabilité aux cycles économiques et aux chocs climatiques…

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LDC Uefa (J4) : où regarder Man City vs Dortmund ?

Manchester City de Pep Guardiola reçoit les Allemands de Dortmund dans le cadre de la 4e journée de la Ligue des champions Uefa 2025.

Prévue mercredi 5 novembre, la rencontre est à suivre sur les antennes de BeIN Sports et sur le lien streaming livekoora.info à partir de 21 heures (heure tunisienne).

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LDC Uefa (J4) : où regarder le match en direct Marseille contre Atalanta ?

Au pied du mur, l’Olympique de Marseille reçoit l’Atalanta Bergame pour la 4e journée de la Ligue des champions d’Europe 2025-2026. Autrement dit, défaite interdite pour les Marseillais.

La rencontre est à suivre sur BeIN Sports et sur le lien streaming livekoora.live à partir de 21 heures (même heure en Tunisie).

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