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Drame à Tunis : un chauffeur de bus décède après une violente agression en service

Drame à Tunis : un chauffeur de bus décède après une violente agression en service

La Fédération générale du transport a exprimé sa profonde tristesse suite au décès tragique d’un conducteur de bus de la Société des Transports de Tunis, victime d’une agression alors qu’il accomplissait son devoir professionnel. Dans un communiqué publié ce mardi, la fédération a souligné que cette perte ne touche pas seulement la famille du défunt, […]

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Transtu | Agressé à l’arme blanche, Walid Khaskhoussi succombe à ses blessures

Walid Khaskhoussi, l »agent de la Société des transports de Tunis (Transtu) a succombé à ses blessures après son agression survenue alors qu’il était en service.

Ses collègues ont exprimé leur tristesse et leur douleur après ce drame, en rappelant que Walid Khaskhoussi a été victime d’un coup de couteau au cou, qui lui a été porté par un individu, qui l’avait intercepté à Bab Saadoun.

Grièvement blessé, il a été transporté à l’hôpital avant de succomber à de lourdes blessures, dans l’après-midi de ce mardi 4 novembre 2025.

Notons qu’une enquête est ouverte et qu’un suspect suspect est aux arrêts.

Y. N.

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Agression d’un chauffeur de la SNTRI | Solidarité et appel à des mesures urgentes

Le Syndicat du personnel administratif de la Société nationale de transport interurbain (SNTRI) a fermement dénoncé l’agression du chauffeur de bus Imed Ben Karain en plein exercice de ses fonctions, alors qu’il assurait la liaison Ben Guerdane-Tunis.

Ce nouvel incident qui a secoué le secteur du transport interurbain a soulevé une vague d’indignation et le Syndicat a pointé du doigt une hausse des cas d’agressions ciblant les chauffeurs et agents de transport, en affirmant que ce phénomène ne fait que s’aggraver et que les agents sont quotidiennement confrontés à des risques accrus, assurant la continuité du service public dans des conditions souvent précaires.

Selon la même source, Imed Ben Karain a été insulté et violenté par un individu qui lui avait ordonné de s’arrêter en pleine route, soulignant que cette agression a mis en danger tous les passagers car le bus était en train de rouler au niveau de l’autoroute au moment des faits.

Le Syndicat a appelé les autorités et à leur tête le ministère du Transport à des mesures concrètes et immédiates pour assurer la sécurité physique et morale des agents et chauffeurs de la SNTRI et de toutes les compagnies de transport public.

Notons qu’une plainte a été déposée contre l’agresseur.

Y. N.

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Tunis : Le métro n°4 et un bus neuf vandalisés, les auteurs interpellés

Nouvel acte de vandalisme dans les transports publics de la capitale. Dans la nuit de jeudi à vendredi, le métro n°4 de la Société des Transports de Tunis (TRANSTU) a été attaqué à coups de pierres à l’intérieur de la station de la Place de la République. Plusieurs vitres ont été brisées, selon le PDG de la TRANSTU, Abderraouf Saleh.

Des attaques devenues quasi quotidiennes

Intervenant sur Jawhara FM, Abderraouf Saleh a dénoncé un « comportement totalement injustifiable » et alerté sur la recrudescence de ce type d’agressions, devenues selon lui « presque quotidiennes ». Ces actes, a-t-il rappelé, détériorent le matériel public et perturbent le service, privant les usagers de moyens de transport essentiels.

Le responsable a ajouté qu’un bus neuf a également été pris pour cible, son pare-brise avant ayant été fracassé. Ce véhicule venait tout juste d’être mis en service, a précisé la TRANSTU, soulignant le coût financier et opérationnel que représentent ces dégradations.

Les auteurs identifiés et arrêtés

Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues et ont réussi à interpeller les agresseurs présumés, âgés de 15 à 20 ans. L’enquête se poursuit pour déterminer les circonstances exactes de ces attaques et d’éventuelles complicités.

Série noire

Ces dernières années, les transports en commun dans le Grand-Tunis ont connu plusieurs épisodes marquants comme le saccage d’un bus tout juste mis en service, le 30 juillet dernier, comme les actes répétés contre les métros des lignes 5 et 6, incluant la casse de vitres et des tentatives de sabotage technique, etc.

La multiplication de ces incidents pose la question de la capacité des autorités et des opérateurs à garantir la sûreté des transports publics. Les solutions ne peuvent se limiter à la réparation des dégâts et doivent s’étendre avec un renforcement de la surveillance dans les rames et aux stations (vidéoprotection, présence humaine) et une sensibilisation auprès des jeunes publics sur les conséquences juridiques et humaines de ces actes.

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Marokko – Modernisierung des Stadtbusverkehrs schreitet voran: Erste 1.000 Fahrzeuge auf dem Weg in 29 Städte

NahverkehrEin landesweites Investitionsprogramm soll den öffentlichen Nahverkehr in marokkanischen Ballungsräumen effizienter, verlässlicher und umweltfreundlicher gestalten. Erste Lieferungen markieren den Beginn einer umfassenden Verkehrsoffensive. Casablanca – Rund 1.000 neue Busse werden Ende Oktober und Anfang November 2025 an 29 marokkanische Städte ausgeliefert. Dies markiert den Auftakt des nationalen Programms zur Modernisierung des öffentlichen Stadtbusverkehrs für den […]

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Pour moderniser son transport public, la Suisse offre 200 bus à la Tunisie

Dans le cadre d’un partenariat inédit entre les Transports publics genevois (TPG) et la Société des transports de Tunis (Transtu), la Tunisie s’apprête à recevoir un important coup de pouce pour moderniser son réseau de transport urbain. Près de 200 autobus thermiques genevois seront en effet donnés à la Tunisie sur une période de quatre ans, à partir de janvier 2026, rapportent plusieurs médias locaux.

À Genève, les TPG sont engagés dans une transition vers une flotte 100 % électrique. Les bus thermiques, encore en bon état, deviennent progressivement inutiles au fur et à mesure de leur remplacement. Plutôt que de les mettre au rebut, les autorités genevoises ont choisi de leur offrir une seconde vie utile dans un pays partenaire.

En Tunisie, Transtu fait face à une usure avancée de son parc roulant et à un manque chronique de véhicules, ce qui entraîne une dégradation de la qualité du service pour les usagers. Ce don permettra ainsi de soulager les lignes les plus saturées, de réduire les pannes récurrentes et d’améliorer la fréquence sur plusieurs axes desservis par des bus vétustes.

Un projet gagnant-gagnant

Les bus seront transportés aux frais de Transtu et intégrés progressivement dans le réseau tunisois. Le ministère tunisien du Transport voit dans cette opération une opportunité économique et écologique, permettant d’accroître l’offre de transport sans grever le budget de l’État.

De leur côté, les TPG y voient une façon de valoriser un matériel encore fonctionnel tout en renforçant la coopération internationale. Ce don s’inscrit dans une dynamique plus large : la Tunisie a déjà annoncé un plan national de renouvellement de plus de 1300 bus d’ici les prochaines années.

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Renversement d’un bus à Mateur : Plusieurs blessés mais aucun décès signalé

Un bus transportant des ouvriers d’une usine s’est renversé dans la nuit de mardi à mercredi à Mateur, dans le gouvernorat de Bizerte. L’accident a fait plusieurs blessés, tous dans un état stable, selon les autorités médicales.

Selon les premières informations, le bus privé, qui assurait le transport quotidien des ouvriers, a perdu le contrôle avant de se renverser. La scène a provoqué la panique parmi les passagers : plusieurs blessés légers et des évanouissements ont été enregistrés, mais aucun décès n’a été signalé.

Les unités de la Protection civile, appuyées par des ambulances, sont intervenues immédiatement pour évacuer les passagers. Tous les blessés ont été transférés à l’hôpital de Mateur où ils ont reçu les premiers soins. Les médecins ont confirmé que leur état était stable et qu’aucune complication grave n’avait été relevée.

Une enquête a été ouverte afin d’identifier les raisons précises de ce renversement. Les premières hypothèses portent sur une perte de contrôle du véhicule.

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Pour les usagers : Vers un suivi en direct des bus et métros dans le Grand Tunis

À l’approche de la rentrée scolaire et universitaire 2025-2026, le ministère du Transport a mis en place, en coordination avec les sociétés régionales de transport, un vaste plan visant à améliorer l’offre de transport public. L’objectif est clair : renforcer la disponibilité et la fiabilité du réseau afin de répondre à l’augmentation attendue de la demande.

Selon Wassim Takiya, chargé du transport régulier de personnes à la direction générale du Transport, qui s’exprimait sur les ondes d’Express FM, plusieurs mesures ont été engagées pour rehausser le niveau de préparation du parc de véhicules. Des opérations spécifiques de maintenance et de réparation des bus ont été programmées, en parallèle à des efforts pour moderniser et renouveler les flottes.

Les indicateurs montrent une amélioration de 10 % de la disponibilité globale du transport collectif public par rapport à l’année précédente. Pour la Société des transports de Tunis (Transtu), la disponibilité des bus a progressé de 53 %, avec environ 750 bus prêts à circuler.

Du côté du réseau ferroviaire de Transtu (métro léger et TGM), environ 60 rames seront opérationnelles, contre 56 lors de la précédente rentrée. Quant à la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT), elle prévoit de mettre en circulation 14 trains électriques sur la ligne de la banlieue sud de Tunis (sur un total de 20) et 7 trains sur la ligne de la banlieue du Sahel (sur 7), soit un taux de disponibilité de 78 %.

Vers un système d’information numérique

Le nombre de bus dédiés au transport scolaire et universitaire passera de 2 497 à 2 743 véhicules, couvrant 2 170 lignes sur un total de 3 133 lignes à travers le pays. Cette augmentation vise à absorber une hausse attendue de 10 % du nombre d’élèves et d’étudiants utilisant les services de transport.

Dans le même sens, 300 nouveaux bus ont été attribués à Transtu en deux lots, tandis que 418 autres devraient être acquis prochainement. Des travaux de réhabilitation sont également en cours dans plusieurs sociétés nationales et régionales.

Pour réduire la pression sur le réseau aux heures de pointe, des dessertes spéciales à fréquence réduite seront mises en place. Le ministère a également coordonné avec les autorités régionales pour rationaliser les déplacements scolaires et universitaires et étudier un aménagement des horaires scolaires.

Parallèlement, une campagne de sensibilisation a été lancée pour préserver le parc roulant et un programme de numérisation des abonnements scolaires et universitaires est en cours, afin d’alléger les démarches des usagers.

Un projet d’information en temps réel, via smartphones, sur les changements d’itinéraires, de trajets ou les retards est aussi en préparation : il devrait être opérationnel dans le Grand Tunis d’ici la fin de l’année avant d’être généralisé sur l’ensemble du territoire.

Lire aussi : Tunisie : Réception de 109 bus chinois neufs au port de La Goulette

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Tunisie – Libye : Quand on improvise une station de bus internationale !

Peut-on improviser une station de bus internationale ? En principe, la réponse devrait être négative et pourtant sous nos cieux pareille acrobatie est possible.

Près du parc de l’Espérance Sportive de Tunis, non loin de l’avenue Mohamed V, une station « sauvage » a vu le jour depuis plusieurs mois et semble durablement installée.

Chaque jour, des dizaines de bus en direction de la Libye y prennent leur départ sans qu’il n’y ait aucune indication sur l’existence d’une station.

Pas d’abribus, pas de bancs publics et naturellement pas de corbeilles pour les déchets de toutes sortes jetés à même la maigre pelouse.

Ne peut-on offrir mieux à nos visiteurs libyens ? Pourquoi ne pas installer cette station dans une partie du parking municipal voisin ? Pourquoi tous ces immondices sur la voie publique ? Est-ce pour donner raison à ceux qui disent que Tunis est devenue une poubelle à ciel ouvert ?

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Korba : Un mort et plusieurs blessés dans le renversement d’un bus d’ouvriers

Un grave accident de la route s’est produit lundi matin sur l’axe reliant Korba à Tunis, au niveau de Djebel Haddad (gouvernorat de Nabeul). Un bus transportant des ouvriers d’une usine de la zone industrielle de Henchir Ayed s’est renversé, faisant un mort et plusieurs blessés.

Selon des témoins sur place, le bus, qui transportait des ouvriers vers leur lieu de travail, s’est renversé dans des circonstances encore indéterminées, rapporte l’agence TAP. Les blessés ont été pris en charge et transportés vers les hôpitaux de Korba, Béni Khaled et Mohamed Tahar Maâmouri à Nabeul.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l’accident.

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Sidi Hassine : Un nouvel acte de vandalisme contre un bus en plein trajet !

Dans un communiqué publié samedi 16 août 2025, la Société des Transports de Tunisie (Transtu) a annoncé qu’un bus neuf de la ligne 34A avait subi un jet de pierres vers 16h50 dans le quartier de Sidi Hassine, alors qu’il roulait vers le centre-ville de Tunis. Un jeune homme a lancé les pierres après être descendu du véhicule, brisant une vitre latérale.

La Transtu a immédiatement ouvert un procès-verbal et utilisé les caméras embarquées pour enregistrer l’incident. Elle a transmis les images aux forces de sécurité afin d’identifier les responsables. L’entreprise affirme qu’elle défendra ses droits et poursuivra en justice les auteurs du vandalisme.

Il convient de rappeler que deux jours plus tôt, jeudi 14 août 2025, une rame de la ligne 4 avait été la cible d’un incendie volontaire près de la station Slimane Kahia. Un groupe d’enfants avait allumé des papiers et les avait jetés entre les sièges, endommageant une partie du plancher et des câbles électriques sous les banquettes.

Ces incidents posent la question de la sécurité des transports en commun à Tunis. Quelles mesures pourraient être mises en place pour prévenir de tels actes à l’avenir ?

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Algérie : suspension de quatre chaînes après l’accident de l’Oued El Harrach

Vendredi 15 août, un bus de transport de voyageurs est tombé d’un pont dans l’Oued El Harrach, à Alger, faisant 18 morts et 24 blessés. La tragédie a profondément marqué la population et a été largement couverte par les médias. L’Autorité nationale indépendante de régulation de l’audiovisuel (ANIRA) a sanctionné quatre chaînes de télévision privées pour leur traitement de l’événement. Elle leur reproche d’avoir diffusé des images et interviews jugées sensationnalistes et irrespectueuses envers les victimes et leurs familles.

Une couverture médiatique jugée sensationnaliste

Immédiatement après l’accident, les chaînes El Bilad TV, El Wataniya TV, El Hayat TV et Echorouk TV ont diffusé des images de blessés à l’hôpital et de familles en deuil. Certains contenus ont été partagés sans avertissement préalable.

Selon l’ANIRA, ces pratiques visaient à maximiser l’audience et l’interaction sur les réseaux sociaux, au détriment de la dignité et de la vie privée des citoyens.

Suspension de quatre chaînes

Samedi 16 août à 22h30, l’ANIRA a suspendu les quatre chaînes pour 48 heures. La décision concerne la diffusion satellitaire et numérique en direct. Les chaînes doivent également retirer tous les contenus jugés non conformes de leurs plateformes en ligne.

La mesure s’appuie sur la loi 23-20 relative à l’activité audiovisuelle et le décret exécutif 24-250, qui fixent les obligations des services de communication audiovisuelle. L’ANIRA a demandé à l’Établissement public de télédiffusion (TDA) de faire appliquer la suspension immédiatement.

Débat sur la déontologie des médias

Cette décision relance le débat en Algérie sur la couverture des accidents. Certains estiment que la diffusion d’images crues sensibilise le public aux dangers routiers. D’autres dénoncent une intrusion dans la douleur des victimes et des familles, jugée irrespectueuse.

L’ANIRA rappelle aux médias l’importance de respecter la déontologie et la dignité humaine, surtout lors de tragédies collectives.

Lire aussi : Algérie en deuil après la tragédie d’un bus dans Oued El Harrach

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Tunisie : Kaïs Saïed présente ses condoléances à Abdelmadjid Tebboune après l’accident d’El Harrach

Le président de la République Kaïs Saïed s’est entretenu, samedi 16 août, avec son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune. Cet échange fait suite au drame survenu la veille dans la commune de El Harrach, à l’est d’Alger.

Vendredi 15 août, un bus transportant de nombreux passagers a quitté sa trajectoire sur un pont avant de plonger dans l’oued. La Protection civile a confirmé un bilan lourd : 18 morts et 24 blessés, dont plusieurs dans un état grave. L’intervention des secours a débuté vers 17 h 45, peu après la chute du véhicule, mobilisant d’importants moyens pour évacuer les victimes et sécuriser la zone.

Au cours de l’échange téléphonique, Kaïs Saïed a présenté, en son nom et au nom du peuple tunisien, ses plus sincères condoléances aux familles endeuillées. Il a exprimé sa profonde solidarité envers l’ensemble du peuple algérien et souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Il a également prié pour que les proches des disparus trouvent la force et la patience nécessaires pour traverser cette épreuve.

Le président tunisien a réaffirmé la proximité et la fraternité qui lient la Tunisie à l’Algérie. Il a insisté sur l’importance des valeurs communes de solidarité et de soutien mutuel entre les deux pays voisins.

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Algérie en deuil après la tragédie d’un bus dans Oued El Harrach

L’Algérie est en deuil. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décrété que le drapeau national serait mis en berne après un dramatique accident survenu vendredi 15 août à Oued El Harrach, dans la banlieue d’Alger.

Un bus transportant de nombreux passagers a quitté sa trajectoire sur un pont avant de plonger dans l’oued. La Protection civile a confirmé un bilan très lourd : 18 morts et 24 blessés, dont plusieurs dans un état grave. L’intervention des secours a commencé vers 17 h 45, peu après la chute du véhicule.

Oued El Harrach, connu pour ses eaux polluées et ses mauvaises odeurs, fait actuellement l’objet d’un projet de dépollution encore en cours.

Selon des témoignages rapportés par TSA Algérie, le bus, reliant Réghaïa au centre d’Alger, aurait heurté la barrière de sécurité du pont avant de tomber dans l’oued. Le chauffeur, employé de l’entreprise ExtraNet et travaillant ponctuellement comme chauffeur de bus, a expliqué que la direction du véhicule s’est bloquée alors que le bus était surchargé de passagers. « J’ai essayé de sauver des passagers, mais je ne pouvais pas à cause de ma blessure », a-t-il précisé devant les autorités présentes sur les lieux.

Des témoins ont également raconté leurs tentatives héroïques de sauvetage. Nazim, présent avec des amis, explique : « J’étais au téléphone avec mon ami lorsque le chauffeur a crié. Le bus a percuté la barrière et est tombé dans l’oued. Nous nous sommes jetés à l’eau pour aider les survivants. » Il se souvient particulièrement de deux jeunes filles qui refusaient de quitter l’eau, leur mère ayant péri dans l’accident.

Le ministre des Transports, Saïd Sayoud, a dénoncé la vitesse excessive des bus en Algérie, rappelant que 90 % des accidents routiers sont liés à l’excès de vitesse. Il a également souligné l’urgence de renouveler le parc de bus, estimant que 84 000 véhicules doivent être remplacés pour garantir la sécurité des voyageurs.

Cet accident dramatique relance les débats sur la sécurité routière et l’état du transport public en Algérie, tandis que la nation pleure ses victimes.

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Grève du transport terrestre : L’UGTT se justifie et dénonce le « mépris du gouvernement »

La grève générale dans le secteur du transport terrestre a débuté ce mercredi en Tunisie. La Fédération Générale du Transport, affiliée à l’UGTT, a publié un communiqué pour expliquer et justifier ce mouvement social, accusant le gouvernement d’adopter une « politique de fuite en avant » et de faire preuve de « mépris » à l’égard du secteur.

Un secteur « asphyxié » sous pression

Dans son communiqué, la Fédération dénonce un secteur du transport public en « étouffement sans précédent », victime selon elle d’un « désintérêt systémique » de la part des autorités tunisiennes. « Nos institutions sont marginalisées, ignorées, et leur rôle vital dans la cohésion nationale est méprisé », souligne le texte.

L’UGTT affirme avoir « tout tenté pour éviter l’escalade : dialogue, concessions, patience… Mais face au mépris gouvernemental, nous avons été contraints à la grève ».

Un secteur en crise malgré les efforts du gouvernement

Si la Fédération Générale du Transport dénonce une gestion défaillante, il convient de rappeler que le gouvernement a lancé plusieurs initiatives visant à moderniser le transport public, notamment dans le Grand Tunis.

Parmi ces mesures, un programme de développement des réseaux de bus et de métro est en cours, avec l’arrivée de nouveaux véhicules, dont certains importés de Chine, qui circulent déjà sur certaines lignes. Ces efforts visent à améliorer l’offre de transport urbain et à désengorger la capitale.

Cependant, pour les syndicats, ces avancées techniques restent insuffisantes face à la dégradation persistante des conditions de travail, aux retards dans le versement des salaires, et au manque de clarté sur les réformes structurelles. Ils estiment que ces progrès ne compensent pas les carences dans la gestion et le financement du secteur.

Une main tendue mais un ton ferme

Malgré cette action de grande ampleur, la Fédération Générale du Transport assure que sa main reste « tendue pour un dialogue sérieux et responsable ». Cependant, elle maintient sa position ferme, tenant le gouvernement « entièrement responsable de l’échec des négociations ».

Le mouvement, qui a commencé ce matin sur tout le territoire national, aurait été « massivement suivi », avec un taux de participation revendiqué de 100 %.

Une lutte qui s’inscrit dans la durée

Cette grève intervient au terme de plusieurs mois de tensions entre les syndicats du secteur et les ministères concernés. Les revendications portent principalement sur la dégradation des conditions de travail, les retards dans le versement des salaires dans certaines entreprises et l’absence de visibilité sur les réformes promises dans le secteur.

L’UGTT conclut avec détermination : « Notre lutte continuera. Le transport public ne sera ni vendu ni abandonné ».

Lire aussi: Tunisie : Un plan pour intégrer plus de 1300 bus dans le transport public

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Tunisie : Les bus chinois arrivent, les pierres aussi !

Un des nouveaux bus récemment acquis par le ministère des Transports dans le cadre d’un contrat avec la Chine d’une valeur de 152 millions de dinars a été vandalisée, a déclaré Nabil Masmoudi, directeur central de l’exploitation à la Société des Transports de Tunis (Transtu).

Lors d’une intervention sur la radio Jawhara FM, Masmoudi a précisé que le bus, encore neuf et non encore mis en service, a été la cible de jets de pierres alors qu’il était transféré d’un dépôt à un autre, au niveau du quartier populaire de la Cité Helal à Tunis. Le chauffeur ne s’est pas rendu compte de l’incident sur le moment, les pierres n’ayant pas traversé les vitres, et ce n’est qu’à l’arrivée au dépôt que les dégâts ont été constatés.

Selon Masmoudi, cet acte s’inscrit dans une série d’agressions répétées contre les moyens de transport public dans le pays. En 2024, la Transtu a recensé la casse d’environ 300 vitres, et 140 autres depuis le début de l’année 2025. Il a vivement condamné ces pratiques, les qualifiant d’“inadmissibles dans une société censée être évoluée en 2025”, appelant à agir pour freiner ce phénomène coûteux pour l’État.

L’exemple le plus frappant reste le caillassage d’un train au niveau de la Cité Helal, en septembre 2022. L’incident avait provoqué une vague de panique parmi les passagers, dont deux avaient été blessés.

400 bus en circulation

Sur un autre plan, Masmoudi a indiqué que 400 bus sont actuellement en circulation, avec un objectif de 750 pour la prochaine rentrée scolaire. Environ 100 bus sont en cours de maintenance. Il a aussi annoncé la mise en place d’un programme de formation spécifique pour les nouveaux bus, avec des formateurs déjà désignés pour assurer à leur tour la formation du reste du personnel.

Enfin, Masmoudi a confirmé la signature d’un contrat portant sur l’acquisition de 418 nouveaux bus : 118 pour la Transtu, 40 pour la Société nationale de transport interurbain, le reste étant destiné aux sociétés de transport régionales.

Lire aussi : Tunisie : Un plan pour intégrer plus de 1300 bus dans le transport public

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Tunisie : 20 bus neufs en circulation dans le Grand Tunis

Une première série de bus neufs a été mise en service ce jeudi 24 juillet 2025 dans le cadre du programme national de renforcement du transport public terrestre. Ces véhicules font partie d’un vaste plan visant à moderniser et élargir le parc national de bus.

Selon Nabil Masmoudi, directeur central de l’exploitation à la Société des Transports de Tunis (Transtu), 20 bus ont été répartis entre cinq grands dépôts couvrant l’ensemble du Grand Tunis : Charguia, El Bokri, Zahrouni, Bir Kassaa et Bab Saâdoun. Chacun de ces centres a reçu quatre bus, en attendant les prochaines livraisons qui arriveront progressivement, en fonction de la coordination en cours avec les services douaniers et les centres logistiques, a-t-il déclaré à Mosaïque FM.

Ces véhicules font partie d’un lot de 300 bus importés de Chine.

Concernant la préservation des équipements publics, il a lancé un appel à la responsabilité collective : « Nous devons agir ensemble pour mettre fin au vandalisme. Ces bus sont un bien public qu’il faut protéger », a précisé M. Masmoudi.

Une présence sécuritaire est prévue durant les premiers jours pour accompagner la mise en service et sensibiliser les usagers à l’importance de préserver ces nouveaux équipements.

Des citoyens satisfaits mais vigilants

Des usagers interrogés se sont déclarés globalement satisfaits de l’arrivée de ces nouveaux bus, saluant leur qualité. Toutefois, ils ont souligné l’urgence d’une meilleure organisation dans l’exploitation et la répartition des véhicules, tout en demandant un renforcement des sanctions contre les actes de vandalisme qui nuisent à la qualité du service et coûtent cher à l’État.

Un plan ambitieux de plus de 1300 bus en cours

Cette mise en circulation s’inscrit dans un programme national de renforcement du parc de transport public, comprenant notamment :

  • L’acquisition de 300 bus en provenance de Chine, livrés les 17 juin et 12 juillet 2025.
  • La signature d’un contrat pour 418 bus dans le cadre d’un appel d’offres international.
  • La signature prévue en septembre 2025 d’un accord pour importer 200 bus suisses déjà opérationnels.
  • Le lancement d’un appel d’offres pour 35 rames de métro.
  • Et, récemment, l’autorisation d’achat de 397 bus supplémentaires d’origine saoudienne.

Au total, ce sont plus de 1300 nouveaux bus qui devraient progressivement intégrer les flottes régionales, dans le but de désengorger les circuits, améliorer la ponctualité et renforcer la qualité du service public.

Lire aussi: Tunisie : Un plan pour intégrer plus de 1300 bus dans le transport public

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Pourquoi le voyagiste Biblio Globus intente un procès contre une compagnie aérienne tunisienne

L’annulation de 660 vols prévus initialement vers les aéroports de Monastir et Enfidha cet été n’est pas restée sans conséquence puisque le voyagiste russe Biblio Globus, qui les avait programmés, s’est retourné contre son partenaire tunisien.

Nouveau rebondissement dans l’affaire de l’annulation des séjours en Tunisie programmés par le T.O russe Biblio Globus : ce dernier aurait intenté un procès contre la partie qu’il juge responsable de cette annulation, en l’occurrence la compagnie aérienne tunisienne Express Airline. L’information a été rapportée par le média russe spécialisé dans le secteur du voyage, Profil Travel, qui se base sur le Registre des Affaires arbitrales de Russie.

Selon cette même source, le montant de la réparation exigé serait de 550 millions de roubles, soit environ 5,79 millions de dollars US au cours actuel. « La plainte a été déposée auprès du tribunal d’arbitrage de Moscou le 4 août, indique le média russe, qui précise que les détails de cette plainte ne sont pas divulgués dans le dossier. » Sauf qu’il est évident qu’elle porte sur l’annulation des 660 vols initialement prévus du 26 avril au 5 novembre 2025 totalisant 124.740 sièges.

Retour sur un lamentable fiasco

Dans la perspective de la haute saison 2025, le tour-opérateur russe Biblio Globus annonçait la mise en place de nouveaux vols au départ de Moscou et Saint-Pétersbourg vers Enfidha et Monastir. Une nouvelle accueillie avec beaucoup de ferveur dans les milieux touristiques en Tunisie, étant donné qu’elle marquait le retour des touristes russes après l’effondrement du marché.

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Seuls 14 133 touristes russes ont visité la Tunisie en 2024 contre 633 327 en 2019 considérée comme l’année record sur ce marché.

Cet effondrement du marché était dû non pas à un refus des Russes de venir en Tunisie mais suite aux conséquences de la guerre russo-ukrainienne qui a entraîné l’interdiction par l’Union européenne aux compagnies russes de survoler leurs territoires. Conséquence: aucune compagnie russe n’a pu continuer à desservir la Tunisie. Du côté des compagnies aériennes tunisiennes, d’autres contraintes les ont également empêchées de se développer sur ce marché.

Le salut vint alors de la compagnie Express Airline, connue initialement sous le nom d’Express Air Cargo et qui s’apprêtait à effectuer une mutation totale dans la nature de son activité, à savoir passer de transporteur de fret au transport de personnes. En théorie, cela allait apporter un début de solution à la problématique du transport aérien entre les deux pays.

Annulation subite

Sauf que dans les faits, la veille du démarrage de la première chaîne de vols, cette compagnie a fait savoir à son partenaire russe qu’elle n’était pas en mesure de les assurer (pas d’avions, pas d’autorisations…?), laissant sur le carreau plusieurs milliers de voyageurs qui s’apprêtaient à venir en Tunisie. Cette information avait d’ailleurs été largement commentée par la presse russe dont notamment le journal en ligne Tourdom.

Selon ce média, et suite à cette annulation, les clients de Bilbio-Globus (on parle de 20.000 passagers ayant acheté des séjours alors que la saison n’en était qu’à ses débuts), se sont vu proposer soit un remboursement intégral, soit la possibilité de réserver un voyage vers l’une des destinations alternatives (Türkiye et Egypte notamment).

Malgré plusieurs tentatives de reprise annoncées pour les jours suivants, le programme tout entier finit par définitivement tomber à l’eau.

Les conséquences de ces annulations

Dans l’affaire, c’est avant tout l’image de la destination qui en a pâti: on imagine l’état d’esprit de ces dizaines de milliers de touristes russes qui s’apprêtaient à venir passer leurs vacances en Tunisie. Les efforts promotionnels et investissement humains et financiers déployés par l’ONTT d’une part et les professionnels du tourisme d’autre part (participation aux salons, workshops…) n’ont finalement abouti à rien.

Au niveau local également, les allotements pris par le tour-opérateur n’ont bien évidemment pas été honorés, laissant aux hôteliers des stocks en lits à remplir de toute urgence pour parer à cette défaillance aux portes de la haute saison.

Idem pour l’agence de voyage réceptive qui avait mobilisé toutes ses ressources et notamment son parc roulant pour l’accueil et le transfert de ces clients.

La Tunisie a enregistré dans cette affaire un manque à gagner de plus de 60.000 touristes russes. Au-delà de l’aspect purement économique, elle a également perdu en crédibilité sur le marché tant l’affaire a été retentissante; dans les milieux du tour-operating également, cet énorme raté aura sans aucun doute des conséquences sur l’image de la destination et de ses opérateurs et dans la nature de leurs relations futures.

Qui est responsable de ce fiasco ? Les différentes parties se rejettent la balle. Et dans ce genre de situation, on attribue souvent la responsabilité de l’échec à des parties tierces, voire à des parties occultes qui auraient tiré les ficelles dans les coulisses pour faire capoter le projet.

Au-delà de tout jugement que la justice rendra, le tourisme tunisien n’est pas ressorti grandi de cette affaire qui a indirectement démontré à quel point la composante aérienne était fondamentale pour garantir les équilibres du secteur et sa pérennité.

Hédi HAMDI

Pour mieux comprendre les enjeux du marché touristique russe :

Faut-il s’attendre à un retour des touristes russes en Tunisie ?

 

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