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Afrique du Sud : les sondages d’opinion sous contrôle!

ActionSA, le parti d’opposition d’Afrique du Sud à l’origine de cette mesure, réclame la création d’un organisme de contrôle pour garantir le respect de la réglementation par les instituts de sondage.

Le parti sud-africain ActionSA propose des amendements à la loi sur la Commission électorale et à la loi électorale. Et ce, afin de régir la conduite, la publication et la diffusion des sondages d’opinion politique pendant ou avant les périodes électorales en Afrique du Sud, conformément aux meilleures pratiques internationales.

Dans son projet de loi d’amendement des lois électorales de 2025, présenté par la députée d’ActionSA Lerato Ngobeni mercredi 5 novembre pour combler le vide juridique existant, le parti appelle à la création du Bureau de l’ombudsman des sondages par la création d’un nouvel organe de surveillance au sein de la Commission électorale d’Afrique du Sud afin de réglementer les sondages d’opinion politique et les sondages de sortie des urnes.

Elle souhaite que ce bureau soit habilité à enregistrer les organes de vote, à faire respecter la réglementation, à infliger des amendes et à garantir la transparence des activités de sondage politique.

Le bureau proposé réglementera également les sondages d’opinion politique et les sondages de sortie des urnes par le biais d’un enregistrement obligatoire et de la divulgation d’informations par les organismes de sondage, ainsi que par la fixation de délais dans lesquels les résultats des sondages peuvent ou ne peuvent pas être publiés.

Ce bureau interdirait également l’impression et la publication officielles d’un sondage d’opinion politique réalisé dans le cadre des élections, sept jours avant le scrutin.

Les préoccupations d’ActionSA découlent d’un incident survenu lors de la période précédant les élections nationales et provinciales de l’année dernière, lorsqu’un sondage controversé a été publié sans divulguer l’identité du parti commanditaire ni de l’entité qui l’a réalisé.

Selon le parti, les données ont été attribuées anonymement à une société de médias, qui a porté plainte. L’éditeur initial a été reconnu coupable d’avoir enfreint certaines dispositions du code de la presse et a reçu l’ordre de publier des rectifications.

ActionSA estime que ce type de « sondage d’opinion orienté » vise à façonner l’opinion publique et ne consiste pas en une véritable collecte et un véritable partage de données.

Il a ajouté qu’en l’absence de réglementation claire et formelle visant à éviter la dissimulation de tout défaut méthodologique ou de tout parrainage, la publication de sondages d’opinion politique pourrait entraîner la diffusion de données de sondage invérifiables ou manipulées, devenant ainsi des outils de désinformation, de manipulation et d’ingérence électorale, sans recours ni contrôle suffisant.

Dans la législation en vigueur, la seule disposition légale explicite est l’article 109 de la loi électorale, qui interdit la publication des résultats des sondages de sortie des urnes pendant les heures de vote prescrites le jour de l’élection, selon ActionSA.

« Cette restriction spécifique ne s’applique pas à la catégorie plus large et plus influente des sondages d’opinion politique préélectoraux. L’Afrique du Sud ne dispose d’aucune disposition légale spécifique régissant la conduite, la publication et la diffusion des sondages d’opinion politique pendant ou avant les périodes électorales », a déclaré ActionSA.

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Toyota, Honda et Suzuki misent sur l’Inde pour réduire leur dépendance à la Chine

Toyota, Honda et Suzuki investissent massivement en Inde, transformant le pays en un nouveau centre stratégique de production automobile pour les constructeurs japonais. Ce mouvement marque un tournant dans la réorganisation de leurs chaînes d’approvisionnement mondiales. Alors qu’ils cherchent à limiter leur dépendance vis-à-vis de la Chine.

Toyota et Suzuki, déjà solidement implantées sur le marché indien — Suzuki y détient près de 40 % des parts de marché —, viennent d’annoncer des investissements cumulés de plus de 11 milliards de dollars. Et ce, afin d’accroître leurs capacités de production et d’exportation depuis le troisième marché automobile mondial.

De son côté, Honda prévoit de faire de l’Inde une base de production et d’exportation pour l’un de ses futurs modèles électriques. Confirmant ainsi l’importance croissante du pays dans sa stratégie internationale.

L’Inde attire les constructeurs japonais grâce à ses coûts de production compétitifs, à son vaste réservoir de main-d’œuvre et aux incitations gouvernementales destinées à soutenir l’industrie automobile.

Autre atout : le marché indien reste largement fermé aux véhicules électriques chinois, épargnant pour l’instant à Toyota, Honda et Suzuki la concurrence agressive de groupes comme BYD.

A rappeler qu’en Chine la guerre des prix acharnée entre constructeurs de véhicules électriques érode les marges et rend le marché de moins en moins attractif. Face à cette situation, les groupes japonais se tournent vers l’Inde, qui s’impose peu à peu comme le nouvel épicentre asiatique de la production automobile.

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Election de Zohran Mamdani à New York : Trump fait volte-face

Dans une déclaration surprise, mercredi 5 novembre, Donald Trump a indiqué qu’il pourrait aider Zohran Mamdani, le maire démocrate élu de New York.

« Nous voulons que New York réussisse », a déclaré Trump, lors d’un discours prononcé à Miami, le lendemain de l’élection qui a vu Zohran Mamdani l’emporter à la surprise générale. « Nous allons l’aider, peut-être un peu », a-t-il ajouter.

Il a également déclaré que si Mamdani remportait l’élection, « il est fort peu probable que je continue à verser des fonds fédéraux » à la ville, « au-delà du minimum requis ».

Lire aussi : De Kampala à New York : Zohran Mamdani incarne un nouvel espoir politique

Pourtant, Trump avait, mardi, menacé de retenir les fonds fédéraux destinés à New York si Mamdani était élu maire. Le qualifiant de « communiste » et affirmant que s’il prenait les rênes de la métropole américaine, New York n’aurait « aucune chance de succès », voire de « survie ».

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France : le secteur des services s’est contracté en octobre

Le secteur des services en France s’est contracté en octobre à son rythme le plus rapide depuis avril; bien que moins rapidement que prévu initialement. L’incertitude politique pesant sur la demande dans la deuxième économie de la zone euro, relève une enquête publiée mercredi.

L’indice PMI définitif des services HCOB France, établi par S&P Global, s’est établi à 48,0, en baisse par rapport à septembre (48,5). Et donc sous le seuil de 50 points qui sépare la croissance de la contraction pour le 14ème mois consécutif. L’indice PMI préliminaire des services pour octobre était de 47,1.

L’indice PMI composite final du mois d’octobre, qui inclut les secteurs des services et de l’industrie manufacturière, s’est également établi nettement au-dessus des prévisions, à 47,7, contre 48,1 en septembre, mais au-dessus des 46,8 initialement attendus.

« La tendance à la baisse de l’économie du secteur privé français se poursuit sans relâche en ce début de quatrième trimestre », a déclaré Jonas Feldhusen, économiste à la Banque commerciale de Hambourg. Il précise que la faiblesse de la demande et l’incertitude politique étaient les principaux facteurs expliquant ce recul.

Malgré le ralentissement économique, l’emploi dans le secteur des services a fait preuve de résilience, le nombre d’employés augmentant pour le troisième mois consécutif. Cependant, la baisse des offres d’emploi laisse présager que la tendance actuelle en matière d’embauche pourrait ne pas se maintenir si la demande reste faible…

Globalement, le climat des affaires est resté morose, les entreprises exprimant des inquiétudes quant à l’impact de la situation politique intérieure sur les niveaux d’activité futurs.

Ceci étant, l’économie française a progressé plus rapidement que prévu au troisième trimestre grâce à la hausse des exportations. Cela est principalement dû aux livraisons du secteur aérospatial et au rebond des investissements des entreprises malgré la crise politique, indiquent les données officielles publiées fin octobre.

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Terres rares : l’UE se branche directement sur Pékin pour ne pas être à sec

L’Union européenne a établi un « canal de communication spécial » avec les autorités chinoises afin d’assurer la fluidité des échanges de terres rares, essentielles aux industries européennes, a annoncé mercredi 5 novembre le commissaire européen au Commerce, Maros Šefković.

La Chine a récemment imposé des restrictions sur ses exportations de terres rares. Une mesure qui a suscité des inquiétudes en Europe quant à son impact potentiel sur la production de véhicules électriques, d’éoliennes et d’autres technologies utilisant des aimants permanents.

Une série d’accords conclus par la suite avec l’Europe et les États-Unis a permis d’atténuer la pénurie d’approvisionnement. Tandis que Washington et Bruxelles s’efforcent de trouver des solutions de remplacement aux terres rares chinoises.

Šefković a déclaré avoir abordé la question à plusieurs reprises avec le ministre chinois du Commerce, Wang Wentao. Tout en soulignant qu’une mauvaise gestion des procédures d’exportation pourrait avoir des « effets très négatifs sur la production dans l’UE ». Il a tenu ces propos au Koweït, où il participe au Forum des entreprises Conseil de coopération du Golfe-UE (CCG-UE 2025), en réponse à une question de Reuters.

Bruxelles et Pékin se sont engagés à traiter en priorité les demandes des entreprises européennes. Grâce à ce nouveau canal, les deux parties collaborent pour examiner et délivrer rapidement les licences d’exportation de terres rares.

Par ailleurs, Šefković souligne queles entreprises européennes ont déposé environ 2 000 demandes auprès des autorités chinoises depuis l’entrée en vigueur des contrôles, dont la moitié a déjà été approuvée. L’UE continue de faire pression sur Pékin pour accélérer les procédures concernant les demandes restantes, tout en s’efforçant de diversifier ses sources d’approvisionnement, notamment en produisant des terres rares et des aimants en Estonie…

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L’Europe face à une baisse « alarmante » des investissements étrangers

La flambée des prix de l’énergie, le renforcement des capacités militaires et les droits de douane américains ont pesé sur les perspectives économiques de l’Union européenne, rapporte Euractiv. L’UE devient progressivement moins attractive pour les investisseurs étrangers, selon le média Euractiv. Lequel cite notamment le prix élevé de l’énergie et la hausse des dépenses militaires parmi les facteurs qui nuisent à la compétitivité économique du bloc des 27.

« La croissance de l’UE est terriblement lente, la demande est extrêmement faible et les investissements étrangers sont à un niveau alarmant, le plus bas depuis neuf ans », détaille Euractiv. « La crainte d’un abandon militaire de la Russie et des États-Unis a entraîné une flambée des dépenses militaires » au sein de l’UE, ajoute-t-on.

« On a le sentiment que la situation se dégrade, que nous perdons notre prospérité », déclare à Euractiv l’analyste principal au Centre de politique européenne, Philipp Lausberg.

Les investissements directs étrangers en Europe au plus bas

En mai, Reuters, citant des données du cabinet de services professionnels EY, avait rapporté que les investissements directs étrangers en Europe avaient chuté pour la deuxième année consécutive en 2024, atteignant leur plus bas niveau en neuf ans.

Enfin, notons que suite à la guerre en Ukraine enclenchée en février 2022, la plupart des pays de l’UE ont suspendu leurs importations directes de pétrole et de gaz russes. En octobre dernier, le Conseil européen a adopté sa position de négociation concernant une proposition visant à instaurer un embargo total sur les importations d’énergie russes à compter du 1er janvier 2028…

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Les inégalités de richesse constituent aussi une crise mondiale, avertit Stiglitz

Les inégalités de richesse constituent une crise mondiale qui menace la démocratie et la cohésion sociale. Ainsi avertit un groupe d’économistes et d’universitaires qui appellent les dirigeants du G20 à traiter cette crise comme l’urgence climatique.

Cette « crise des inégalités » exacerbe la faim pour des milliards de personnes et pourrait s’aggraver sous l’influence des politiques de l’administration Trump, principalement en matière de politique commerciale. C’est ce qu’indique un rapport rédigé par l’économiste Joseph Stiglitz, lauréat du prix Nobel d’économie en 2001.

« Une personne sur quatre sur la planète saute déjà régulièrement un repas. Tandis que la richesse accumulée des milliardaires a atteint un niveau sans précédent dans l’histoire ». C’est ce qu’indique le rapport commandé par la présidence sud-africaine du G20, qui tiendra un sommet les 22 et 23 novembre à Johannesburg.

« Les inégalités sont un choix. C’est quelque chose que nous pouvons changer », a déclaré Joseph Stiglitz lors de la présentation officielle du rapport au président sud-africain, Cyril Ramaphosa. « Il nous appartient désormais, en tant que dirigeants du G20 et en tant que dirigeants mondiaux, de faire preuve de la volonté et de l’engagement nécessaires » pour réduire les inégalités, invite Ramaphosa. Ce dernier entend présenter les inégalités comme l’un de ses thèmes clés au sommet du G20.

Depuis 2000, soulignent les six auteurs, les inégalités de revenus ont diminué à l’échelle mondiale, principalement grâce à la croissance économique de la Chine. Cependant, les inégalités de patrimoine ont continué de croître à un rythme effréné.

« Entre 2000 et 2024, les 1% les plus riches de la planète possèdent 41% de toute la nouvelle richesse. Tandis que seulement 1% (de cette nouvelle richesse) est allé aux 50% les plus pauvres », prévient le rapport.

« Au cours des trente prochaines années, 1 000 milliardaires transmettront plus de 5 200 milliards de dollars à leurs héritiers, en grande partie exonérés d’impôts. Perpétuant ainsi les inégalités d’une génération à l’autre », affirment les auteurs.

« Le monde comprend que nous sommes confrontés à une urgence climatique. Il est temps d’admettre et de prendre en compte que nous sommes également confrontés à une crise des inégalités », assure le lauréat du prix Nobel d’économie dans un communiqué publié avant la conférence de presse.

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Le Nigeria n’a pas besoin de troupes américaines sur son sol, selon la présidence

Washington devrait respecter la souveraineté du Nigeria et soutenir ses efforts antiterroristes, a déclaré mardi 4 novembre Daniel Bwala, conseiller spécial du président nigérian Bola Tinubu.

Le Nigeria a rejeté toute perspective d’intervention militaire unilatérale des États-Unis, insistant sur le fait que les troupes étrangères ne sont pas les bienvenues sur son territoire, après que le président Donald Trump a menacé d’intervenir en raison de prétendues persécutions religieuses.

Dans une interview accordée à RT, Daniel Bwala, conseiller spécial du président Bola Tinubu, a exhorté Washington à respecter la souveraineté du Nigeria et à fournir plutôt un soutien par le biais du partage d’équipements et de renseignements. « Nous n’avons pas besoin de soldats américains sur notre sol. Il faut respecter notre intégrité territoriale ».

Samedi, Trump a qualifié le Nigeria de « pays particulièrement préoccupant », menaçant de possibles frappes pour « protéger » les chrétiens. Bwala a rejeté ces accusations, affirmant que les allégations de « génocide chrétien » reposaient sur de la désinformation diffusée par des groupes séparatistes comme le Peuple autochtone du Biafra (IPOB).

« Ces discours se sont amplifiés depuis 2016 et influencent désormais les milieux d’extrême droite aux États-Unis », a-t-il annoncé. « Rien ne prouve de manière crédible que les chrétiens soient plus visés que les autres. La violence touche les musulmans, les chrétiens et les autres sans distinction ».

Bwala a également fait référence à une audition parlementaire américaine antérieure au cours de laquelle un élu s’était interrogé sur le rôle indirect des financements de la CIA dans le soutien apporté à Boko Haram et à d’autres groupes insurgés. « Les inquiétudes concernant l’ingérence étrangère sont anciennes », a-t-il déclaré, tout en soulignant que le Nigeria privilégie la recherche de solutions plutôt que la désignation de coupables.

Il a reconnu les défis sécuritaires du pays – notamment la porosité des frontières, les effectifs de police limités et l’ampleur des menaces insurrectionnelles – mais a souligné les progrès accomplis. « Nous disposons d’un nombre limité de militaires et de moins de 400 000 policiers pour une population de 230 millions d’habitants », a-t-il déclaré. « Nous faisons donc de notre mieux. Si une collaboration s’avère nécessaire, c’est dans le domaine du partage de renseignements ».

Bwala a remercié Trump d’avoir approuvé les ventes d’armes durant son premier mandat, notamment les avions Super Tucano, mais a critiqué les restrictions opérationnelles liées à leur utilisation. Il a également minimisé la rhétorique de Trump et a appelé à un dialogue plus constructif.

« Le président Trump, en homme d’affaires, a toujours utilisé cette tactique et ce style de communication, et le Nigeria n’a jamais fait exception. C’est pourquoi, ici, nous ne prenons pas ce terme au pied de la lettre. Nous l’interprétons comme une invitation à dialoguer sur la manière d’élargir la lutte contre l’insurrection. Nous sommes ouverts à cette discussion ».

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Gaz méditerranéen : l’Égypte et ExxonMobil signent un accord stratégique

L’Égypte et ExxonMobil viennent de signer un protocole d’accord (MoU) pour développer les activités d’exploration et de production de gaz naturel en Méditerranée. L’annonce a été faite le ministère égyptien du Pétrole.

Selon le ministère égyptien en charge du Pétrole, ExxonMobil prévoit d’investir dans une nouvelle zone de concession à l’ouest du champ de Zohr, conformément à l’accord.

Selon l’accord, ExxonMobil planifie des forages dans les blocs « Mesri » et « Cairo », et se prépare à opérer dans des zones encore peu prospectées, soutenue par le nouveau régime d’investissement égyptien fondé sur un système de coefficients de rentabilité adapté aux zones vierges.

Le ministère a également évoqué la découverte significative du puits « Nefertari-1 » dans la zone « North Maraqi », dont la mise en production rapide est désormais une priorité.

Le choix d’ExxonMobil d’étendre ses opérations marque un signal fort à l’ensemble de l’industrie : « Le pays est désormais un carrefour de l’énergie à surveiller », d’après le communiqué du ministère.

Soulignons que le grand champ gazier de Zohr, sur la Méditerranée, au nord de Port-Saïd, a été inauguré en 2018.

Enfin, notons qu’en juin dernier, le navire de forage Saipem 10 000 a terminé, avec succès, les opérations de forage et de retraçage du champ Zohr 6. Ce qui ajouteenviron 60 millions de pieds cubes de gaz naturel par jour à la production actuelle.

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Zohran Mamdani, un musulman à la tête de New York

Zohran Mamdani a été élu, mardi 4 novembre, maire de New York, avec près de 50,4 % des voix d’après les résultats partiels. Ce qui marque un tournant historique pour la scène politique de la ville. À seulement 34 ans, ce socialiste démocrate devient le plus jeune maire et le premier musulman sud-asiatique à occuper ce poste.

Sa victoire sur l’ancien gouverneur, Andrew Cuomo (41,6 %), âgé de 67 ans et candidat indépendant, et sur le candidat républicain Curtis Sliwa (7,1 %), témoigne de la force d’une coalition jeune et progressiste et d’une opinion publique qui place au premier plan le coût de la vie, le problème des sans-abri et la nécessité d’une prise en compte du vieillissement de la population dans le paysage politique municipal. Le retrait du maire sortant Eric Adams de la course à sa réélection a permis à la campagne de Zohran Mamdani de prendre son essor.

M. Mamdani a fait campagne sur un programme de justice sociale et de soutien économique. Et ce, en promettant de geler les loyers des logements sociaux, d’étendre les programmes de logements abordables, de fournir des transports publics gratuits par bus et d’augmenter les impôts des personnes à hauts revenus.

Ce résultat met également en lumière un réalignement au sein du Parti démocrate de la ville. Le bon score de Cuomo en tant qu’indépendant a révélé des tensions plus profondes au sein du parti. Tandis que les républicains sont restés marginaux.

Les analystes notent que l’ascension de Mamdani pourrait renforcer des mouvements similaires dans d’autres grandes métropoles américaines et inspirer des campagnes similaires.

L’identité de Mamdani en tant que premier maire musulman et sud-asiatique de New York revêt un poids symbolique et politique particulier dans une métropole caractérisée par sa diversité.

Sa victoire marque d’ores et déjà un tournant pour les communautés de la diaspora et tous ceux qui militent pour une meilleure représentation des minorités dans la vie politique. À mesure que la période de transition se déroule, la composition de la nouvelle équipe, les premières mesures exécutives et les choix budgétaires permettront de mieux cerner l’ampleur et le rythme de mise en œuvre de son programme politique.

La victoire historique de Zohran Mamdani s’inscrit dans une série de victoires démocrates à travers le pays : la représentante Abigail Spanberger devient la première femme gouverneure de Virginie; Mickey Sherrill bat son adversaire soutenu par Trump au poste de gouverneur du New Jersey. Et la Californie s’apprête à voter sur la proposition de redécoupage électoral du gouverneur Gavin Newsom qui donnerait aux démocrates cinq nouveaux sièges au Congrès.

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États-Unis : l’activité industrielle se contracte en octobre 

L’activité industrielle aux États-Unis s’est contractée en octobre pour le huitième mois consécutif. Et ce, en raison d’une baisse de la production et d’une demande atone.

L’indice de l’activité manufacturière de l’Institute for Supply Management a reculé de 0,4 point pour s’établir à 48,7, selon les données publiées lundi 3 novembre. A rappeler qu’un indice inférieur à 50 indique une contraction de l’activité, et il est resté stable pendant la majeure partie de l’année.

L’indice ISM manufacturier a reculé de 2,8 points à 48,2, marquant ainsi le deuxième mois consécutif de contraction de la production. Cette faiblesse maintient les effectifs à un niveau bas. L’indice ISM de l’emploi s’est contracté pour le neuvième mois consécutif; mais à un rythme légèrement moins soutenu qu’en septembre, selon Bloomberg.

Parallèlement, les pressions inflationnistes ont continué de s’atténuer. L’indice des prix des matières premières a reculé de 3,9 points pour s’établir à 58, son niveau le plus bas depuis le début de l’année. Depuis son pic d’avril, atteint lors de la mise en œuvre des droits de douane, l’indice a baissé de près de 12 points.

En l’absence de données officielles, dues à la paralysie des services gouvernementaux américains, les économistes et les décideurs politiques s’appuient de plus en plus sur des rapports privés, comme l’enquête ISM, pour analyser la situation économique et le marché du travail. Par conséquent, le rapport sur l’emploi, initialement prévu pour vendredi, devrait également être reporté.

Douze secteurs manufacturiers ont connu une contraction en octobre, principalement les industries du textile, de l’habillement et de l’ameublement. Six secteurs, dont la première transformation des métaux et le matériel de transport, ont enregistré une croissance.

L’enquête met en lumière le malaise général des industriels du pays, confrontés à une incertitude persistante quant à la politique commerciale. Les producteurs s’adaptent à l’évolution des chaînes d’approvisionnement pour l’achat de matières premières. L’indice ISM des délais de livraison des fournisseurs a atteint son plus haut niveau en quatre mois, signe d’un allongement des délais d’approvisionnement.

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La Turquie réduit ses achats de pétrole russe suite aux sanctions de Trump 

Les raffineries de pétrole de Turquie ont commencé à réduire leurs achats de pétrole brut russe; et ce, suite aux sanctions américaines imposées à Rosneft et Lukoil. Elles se tournent désormais vers des pays comme l’Irak, la Libye, l’Arabie saoudite et le Kazakhstan.

Selon des sources citées par l’agence Bloomberg ce mardi 4 novembre, les sanctions de Donald Trump contre la Russie ont incité Turkiye Petrol Rafineleri et Star Rafineri (qui appartient à la société d’État azerbaïdjanaise Socar) à rechercher des solutions alternatives. La Turquie, troisième acheteur de pétrole russe, avait également subi des pressions de la part de l’administration Trump en septembre – avant l’annonce des mesures – pour limiter ses importations de pétrole en provenance de Moscou.

Le gouvernement turc a décidé de s’aligner sur ses alliés occidentaux pour tenter de limiter ses achats de pétrole russe afin de faire pression sur la Russie et l’inciter à mettre fin à la guerre en Ukraine, selon des sources proches du dossier. Cependant, la Turquie n’est pas en mesure – et n’a aucune intention – de cesser complètement d’acheter du pétrole russe, ont précisé ces mêmes sources.

Ainsi, la Turquie souhaite tout particulièrement développer les activités d’exploration de la compagnie pétrolière nationale TPAO en Libye. Ce pays pourrait devenir un fournisseur majeur aux côtés de l’Irak et du Kazakhstan, selon les sources. Plusieurs autres pays, d’Afrique et d’Amérique du Sud, pourraient également accroître leurs exportations vers la Turquie, ont-elles ajouté.

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Japon : l’activité industrielle en recul record depuis 19 mois

L’activité industrielle au Japon se contracte en octobre. Et ce, sous l’effet de la baisse de la demande dans des secteurs clés comme ceux de l’automobile et des semi-conducteurs.

L’indice S&P des directeurs d’achat du secteur manufacturier du Japon chute à 48,2 en octobre, contre 48,5 en septembre. Marquant ainsi son niveau le plus bas depuis mars 2024. C’est ce qu’annonce, le 4 novembre, l’agence de presse allemande dpa.

D’ailleurs, l’indice reste inférieur au seuil de 50 qui sépare la croissance de la contraction, pour le quatrième mois consécutif.

Quant à l »indice des nouvelles commandes – le principal sous-indice de l’indice des directeurs d’achat (PMI) – il enregistre son plus fort recul en 20 mois. Selon les participants à l’enquête, les ventes ont été affectées par plusieurs facteurs. Avec notamment la réduction des budgets des consommateurs; mais aussi le déclin de la demande intérieure et la conjoncture défavorable des marchés d’exportation, d’après l’agence dpa.

Concernant les ventes internationales, les fabricants japonais constatent un recul de la demande en provenance d’Asie, d’Europe et des États-Unis. Globalement, les commandes à l’exportation du Japon diminuent pour le 44ème mois consécutif; même si ce recul est limité le mois dernier.

Au final, l’indice enregistrant son rythme de baisse le plus faible depuis mars, au Japon.

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Cryptomonnaies : Ethereum perd 10 % de sa valeur suite à une cyberattaque massive

L’Ether, la deuxième cryptomonnaie en termes de capitalisation boursière, a connu lundi 3 novembre une forte baisse, allant jusqu’à 10 %. Et ce, suite à une cyberattaque massive ciblant un protocole de finance décentralisée sur le réseau Ethereum.

Cette situation fait suite à l’annonce du piratage du protocole de finance décentralisée « Balancer », avec des pertes potentiellement supérieures à 100 millions de dollars. Ce qui a suscité des inquiétudes chez les investisseurs et remis sur le devant de la scène les risques de sécurité dans le secteur des crypto-actifs.

Le Bitcoin a chuté, lui, de plus de 2 % ce matin pour s’échanger autour de 104 000 dollars.

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L’or perd de son éclat, le dollar reprend la main

Les cours de l’or ont poursuivi leur baisse ce mardi, s’échangeant sous la barre des 4 000 dollars l’once. Alors que le dollar américain reste proche de son plus haut niveau en trois mois. En cause : la diminution des perspectives d’une nouvelle baisse des taux d’intérêt américains en décembre; et l’apaisement des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine.

L’or au comptant a reculé de 0,2 % à 3 992,23 dollars l’once tôt ce matin. Tandis que les contrats à terme sur l’or américain pour livraison en décembre ont glissé de 0,3 % à 4 001,40 dollars l’once.

Le dollar, quant à lui, se maintient près de son plus haut niveau en trois mois. Les divisions au sein de la Réserve fédérale ayant incité les investisseurs à réduire leurs paris sur une baisse des taux d’intérêt, révèle Reuters.

Dans ce contexte, Tim Waterer, analyste de marché en chef chez KCM Trade, déclare : « La vigueur du dollar est un frein pour l’or. Car les investisseurs réévaluent la possibilité d’une nouvelle baisse des taux d’intérêt d’ici la fin de l’année ». Et d’ajouter : « Si les données d’ADP sont à nouveau décevantes, cela pourrait donner à l’or une chance de récupérer une partie de ses gains ».

A noter que la Réserve fédérale a baissé ses taux d’intérêt la semaine du 27 octobre pour la deuxième fois cette année. Toutefois, son président, Jerome Powell, a déclaré qu’une autre baisse en 2025 n’était « pas acquise ».

Selon l’outil FedWatch du CME, les marchés anticipent désormais une probabilité de 65 % d’une nouvelle baisse des taux d’intérêt en décembre; contre plus de 90 % avant les déclarations de Powell.

Par ailleurs, les investisseurs attendent cette semaine des données économiques clés. Avec notamment les chiffres de l’emploi américain publiés par ADP, à la recherche de nouveaux indices sur l’évolution des taux d’intérêt.

Au final, notons que l’or a progressé de 53 % depuis le début de l’année. Mais il a reculé de plus de 8 % par rapport au record qu’il avait atteint le 20 octobre.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent a progressé de 0,1 % sur le marché au comptant pour atteindre 48,12 dollars l’once. Le platine a gagné 0,1 % à 1 566,60 dollars. Tandis que le palladium a reculé de 1 % à 1 430,31 dollars.

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Maroc : les exportations de phosphate ont atteint 74,65 milliards de dirhams

La valeur des exportations marocaines de phosphate et de dérivés a atteint 74,65 milliards de dirhams au cours des neuf premiers mois de cette année. Soit une augmentation de 19,2 % par rapport à la même période en 2024. C’est ce qu’il ressort des données de l’Office marocain des changes, publiées dimanche.

L’Office des changes chérifien attribue cette performance à une augmentation de 49 % des ventes de phosphate brut, de 17,9 % d’acide phosphorique et de 16,3 % d’engrais naturels et chimiques.

Le secteur de l’agriculture et de l’alimentation a également enregistré une hausse de 3,4 % pour atteindre 64,86 milliards de dirhams d’exportations. Elle est soutenue par une nette croissance de 10,7 % dans le secteur de l’agriculture, de la sylviculture et de la pêche.

Cependant, l’Office des changes fait état d’une augmentation de 17,7 % du déficit commercial du Maroc pour dépasser les 259 milliards de dirhams. Et ce, en raison d’une hausse des importations de 9,2 % (605,3 milliards de dirhams); contre une augmentation des exportations de 3,6 % (environ 346,3 milliards de dirhams).

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États-Unis : le blocage gouvernemental cloue le ciel au sol

Les retards de vols se poursuivent dans les aéroports américains, en raison d’une pénurie de contrôleurs aériens. Et ce, suite à la paralysie du gouvernement qui entre dans son deuxième mois. Ainsi, l’aéroport de Newark, dans le New Jersey, a connu des retards allant de deux à trois heures.

L’agence de gestion des urgences de la ville de New York a indiqué via sa plateforme X que les retards à l’aéroport de Newark affectent le reste des aéroports de la région.

Elle ajoute que les voyageurs à destination, en provenance ou transitant par New York « doivent s’attendre à des changements d’horaires. Mais aussi à des avions retenus aux portes d’embarquement et à la possibilité de rater leurs correspondances », rapporte l’Associated Press.

L’aéroport international George Bush de Houston, l’aéroport de Dallas Fort Worth et l’aéroport O’Hare de Chicago ont également connu des retards et quelques annulations de vols. De même que d’autres grands aéroports à San Francisco, Los Angeles, Denver et Miami.

Le gouvernement n’a pas l’intention de licencier les contrôleurs aériens absents de leur poste

Le secrétaire américain aux Transports, Sean Duffy, a déclaré : « Les contrôleurs aériens travaillent sans relâche pour assurer la sécurité du système, et nous devrons ralentir le trafic aérien. Ce qui entraînera des retards et d’éventuelles annulations de vols afin de garantir la sécurité ».

Il a souligné qu’il n’envisageait pas de licencier les contrôleurs aériens absents. « Lorsqu’ils doivent choisir entre travailler et nourrir leur famille, je ne les licencierai pas. Ils ont besoin de soutien, d’argent et de salaires, pas d’un licenciement », a-t-il ajouté.

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Scope revoit à la hausse les perspectives économiques de l’Italie

Les efforts de la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, pour améliorer la notation de crédit de l’Italie ont franchi une nouvelle étape. L’agence Scope Ratings ayant relevé ses perspectives pour le pays à positives, rapporte Bloomberg.

La troisième économie de la zone euro, l’Italie, conserve sa note BBB+ (trois crans au-dessus de la catégorie spéculative). Mais ses perspectives sont revues à la hausse, a indiqué l’agence dans un rapport publié samedi 1er novembre.

« La révision positive des perspectives reflète l’anticipation par Scope d’une amélioration durable des finances publiques italiennes et de la poursuite de la mise en œuvre des réformes. Et ce, grâce à la stabilité gouvernementale et au respect du nouveau cadre de gouvernance budgétaire de l’UE ».

Ainsi, cette révision à la hausse des perspectives intervient après les prévisions budgétaires les plus optimistes publiées en Italie depuis des années. La coalition gouvernementale de Mme Meloni a élaboré un budget qui combine des baisses d’impôts pour la classe moyenne et une réduction du déficit public à la limite de 3 % fixée par l’Union européenne.

A cet égard, la décision de Scope, l’une des cinq agences reconnues par la BCE pour évaluer les titres qu’elle accepte en garantie, fait suite à trois relèvements de la note par Fitch Ratings, S&P Global Ratings et Morningstar DBRS.

Cette amélioration reflète également « la résilience accrue de l’économie italienne, grâce à un marché du travail dynamique, un système bancaire solide et une position extérieure nette favorable », déclare Scope. « Malgré de multiples chocs, notamment la crise énergétique, le ralentissement de l’activité manufacturière en Europe et les récentes mesures protectionnistes américaines, l’économie italienne fait preuve d’une remarquable résilience », conclut l’agence de notation.

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Trump laisse entendre que les jours de Maduro sont comptés

Le président américain, Donald Trump, a refusé de dire si Washington préparait une nouvelle action militaire contre le Venezuela.

Donald Trump a laissé entendre que la vie du dirigeant vénézuélien, Nicolas Maduro, pourrait être menacée. Cette déclaration intervient dans un contexte de renforcement militaire dans les Caraïbes. Les médias évoquant la préparation d’une frappe terrestre américaine au Venezuela.

En effet, plusieurs médias ont rapporté la semaine dernière que la Maison Blanche envisageait des opérations sur le territoire vénézuélien et avait identifié des cibles potentielles, notamment des sites de trafic de drogue. Les États-Unis auraient déployé environ 10 000 soldats, 6 000 marins et huit navires de guerre dans la région. Tandis que le groupe aéronaval USS Gerald R. Ford est attendu dans le courant de la semaine. Des avions de chasse F-35 sont également stationnés à Porto Rico.

Washington accuse Maduro de diriger des cartels « narcoterroristes » qui font entrer clandestinement de la drogue aux États-Unis et offre une prime pour sa capture. Ce dernier a rejeté ces accusations, affirmant que le président américain « invente une nouvelle guerre ».

Dans une interview accordée à l’émission « 60 Minutes » de CBS diffusée dimanche 2 novembre, on a posé la question à Trump si le renforcement des troupes près du Venezuela – décrit par la chaîne comme « utiliser un chalumeau pour cuire un œuf » – visait à stopper le trafic de stupéfiants ou à « se débarrasser du président Maduro ». Il a répondu: « Non, il s’agit de plusieurs choses. C’est un pays qui a laissé ses prisons se vider sur notre territoire ». 

A une autre question : « Les jours de Maduro à la présidence sont-ils comptés », Trump a répondu : « Je dirais oui. Je le pense, oui ».

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