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FIX’N’GO lance une application mobile innovante pour les automobilistes

FIX’N’GO, leader de l’entretien automobile rapide en Tunisie, annonce le lancement officiel de sa nouvelle application mobile “MYFIXNGO”.

Cette application se présente comme un véritable carnet d’entretien digital pour les propriétaires de véhicules particuliers et les flottes et comprend un ensemble de fonctionnalités permettant aux conducteurs de gérer l’entretien de leur véhicule en toute simplicité générant un gain de temps appréciable.

« A travers cette nouvelle application, FIX’N’GO innove et se rapproche encore plus de ses clients pour leur offrir de nouveaux services connectés et modernes dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue de ses prestations », a déclaré à cette occasion M. Wissem Ammar, Directeur d’Exploitation de FIX’N’GO.

L’application MYFIXNGO permet par ailleurs de bénéficier d’une large panoplie de services allant de l’établissement du planning d’entretien constructeur (selon la marque, le modèle et le kilométrage du véhicule) à la possibilité de demander un devis en ligne tout en prenant un rendez-vous pour son véhicule. Ceci outre la possibilité de mémoriser et suivre l’historique des interventions.

Les clients et automobilistes y trouveront par ailleurs les offres et les promotions régulièrement proposées.

L’application inclut de même la géolocalisation des différents centres FIX’N’GO situés à Jbel Jloud, Boumhel, Mnihla, la Soukra, le Kram et depuis peu la station Agil sur la GP9 Tunis-La Marsa.

FIX’N’GO confirme à travers ce nouveau service son adaptation aux nouvelles attentes de ses clients et partenaires et sa stratégie de développement continu.

S’appuyant sur plus de 20 ans d’expérience et sur un engagement qualité reconnu, FIX’N’GO a bâti une solide réputation grâce à sa capacité à allier rapidité, qualité et accessibilité.

Certifiée ISO 9001 depuis 2005, l’entreprise place la satisfaction client au cœur de sa stratégie, une approche qui lui a valu la confiance de milliers de particuliers et d’entreprises, tous secteurs confondus.

Avec chaque intervention, FIX’N’GO propose un contrôle préventif gratuit comprenant plus de 59 points de vérification couvrant les principaux organes du véhicule. Cette démarche vise à garantir la sécurité, la fiabilité et la longévité de chaque voiture qui passe dans ses ateliers. Grâce à ce diagnostic complet, les techniciens peuvent anticiper d’éventuelles anomalies et conseiller le client sur les entretiens préventifs à prévoir, évitant ainsi des pannes coûteuses à long terme.

De grandes flottes professionnelles, incluant véhicules de tourisme et utilitaires, choisissent chaque jour l’enseigne FIX’N’GO pour leur entretien régulier et leurs interventions techniques.

Vidange, pneumatique, électricité, freinage, changement de batterie ainsi que climatisation et diagnostic électronique constituent les principaux services offerts en concordance avec les besoins des véhicules modernes et garantissent une prise en charge rapide, transparente et fiable.

Il est à rappeler que la facture pour chaque intervention réalisée est une garantie des pièces et main d’œuvre offerte aux clients.

Le personnel qualifié est formé pour accueillir et conseiller chaque client avec professionnalisme et attention.

Pour télécharger l’application : https://bit.ly/3JthxAo

 

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KIKO Milano poursuit son expansion en Tunisie et inaugure une nouvelle boutique à Tunis-Lafayette

Dans le cadre de sa stratégie de développement en Tunisie, KIKO Milano, la marque N°1 de maquillage en Italie, annonce l’ouverture d’un nouveau point de vente à Tunis, au cœur du quartier animé de Lafayette.

Cette ouverture vient renforcer la présence de la marque sur le territoire et confirme son succès grandissant auprès des consommatrices tunisiennes.

Avec cette nouvelle adresse, le huitième point de vente de son réseau en Tunisie, KIKO Milano réaffirme sa volonté d’être toujours plus proche des femmes désireuses d’exprimer leur personnalité à travers la couleur, la créativité et l’innovation.

Depuis son implantation en Tunisie, la marque ne cesse de séduire une clientèle variée, fidèle et passionnée. Le lancement du site de vente en ligne www.kikocosmetics.tn a marqué une nouvelle étape dans cette croissance, confirmant un engouement constant tant en boutique que sur le digital.

Le nouveau magasin KIKO Milano Lafayette s’inscrit pleinement dans cette dynamique : un espace moderne, lumineux et immersif, pensé pour offrir une expérience beauté unique fidèle à l’univers de la marque.

Les clientes y retrouveront l’ensemble des gammes de maquillage, soins, accessoires, parfums et produits capillaires, ainsi que les collections en édition limitée qui font le succès international de KIKO Milano.

Comme dans tous les points de vente de la marque, des conseillères beauté expertes accompagnent les clientes dans le choix de leurs produits, en leur proposant des conseils personnalisés selon leurs besoins et leur style.

Conçus à Milan, capitale mondiale de la mode et du design, 99 % des produits KIKO Milano sont fabriqués en Europe, selon les standards les plus exigeants de qualité et de sécurité.

Avec plus de 1 200 références, KIKO Milano propose des produits performants, accessibles et inspirés de l’élégance italienne.

À propos de KIKO Milano

Fondée en 1997, KIKO Milano a pour mission d’encourager l’expression de soi à travers la couleur, la créativité et l’art du maquillage. Présente dans plus de 65 pays, la marque capte les tendances mondiales et y insuffle son style unique, inspiré de ses racines italiennes.

En Tunisie, KIKO Milano est représentée par le groupe UTIC et dispose désormais de huit boutiques :
Carrefour La Marsa, Manar City, Mall of Sousse, Mall of Sfax, Azur City, Tunis City, Le Bardo et, désormais, Tunis-Lafayette, en plus de sa boutique en ligne www.kikocosmetics.tn

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“Tunis Arkana” : le premier roman mystique de Sofiane Ben M’rad explore l’âme de la capitale

Premier roman de l’auteur tunisien Sofiane Ben M’rad, “Tunis Arkana” vient de paraître aux Éditions Sikelli (414 pages). Thriller érudit et mystique, l’ouvrage entremêle histoire, mythologie et symbolisme pour explorer les zones d’ombre de la mémoire tunisienne.

Le roman, paru le 31 octobre, est désormais disponible dans les librairies de la capitale.

Troisième titre publié par Sikelli, Tunis Arkana se présente comme « un véritable tour de force : éveiller en chacun de nous une conscience plus profonde de notre mémoire collective », souligne l’éditeur.

Et si Tunis cachait plus qu’une histoire, mais une âme ? Dans “Tunis Arkana”, la Capitale devient le théâtre d’un voyage où le réel côtoie l’invisible, et où les secrets du passé refont surface sous la plume d’un conteur moderne.

Le roman imagine Tunis comme une porte vers l’invisible. Deux amis, au détour d’un voyage ordinaire, se retrouvent entraînés dans une aventure où le passé ressurgit, chargé de secrets et de révélations interdites. À travers la voix d’un vieil érudit, les siècles s’entremêlent : l’Europe des Lumières rencontre la Régence de Tunis, les sciences occultes croisent la mémoire des saints.

De Tripoli à la Zitouna, du Bardo à Byzance, Tunis Arkana fait voyager le lecteur dans un labyrinthe d’histoires et d’âmes où l’Histoire se confond avec la légende. « Chaque ville a son secret. Mais Tunis, elle, en a plusieurs », résume le récit.

L’intrigue s’ouvre sur une expérience mystérieuse menée dans un château allemand par un savant en quête d’un secret perdu. Cette quête le conduit, à travers une vision fulgurante, jusqu’à Tunis. Des siècles plus tard, un narrateur contemporain et son ami Tahar croisent le chemin de Slim Ben Raïes, conteur et gardien de secrets oubliés, qui leur révèle l’existence d’un trésor spirituel et historique caché à Tunis.

Entre princes, corsaires, francs-maçons et espions, le roman revisite les affrontements discrets entre Orient et Occident. Tunis Arkana mêle récit d’aventure et méditation sur la foi, la transmission et l’identité, offrant une réflexion sur la mémoire enfouie des villes et des civilisations.

Fin connaisseur de l’histoire ancienne et contemporaine de la Tunisie, Sofiane Ben M’rad signe un texte ambitieux, où le mystère se conjugue à la rigueur historique.

Fondée en 2025, la maison Sikelli se veut généraliste et ouverte à la diversité des voix littéraires et intellectuelles. Son nom rend hommage à Jawhar al-Siqilli (Sicile, 911 – Le Caire, 992), général sicilien et fondateur du Caire au Xe siècle. Par ce choix, l’éditeur inscrit son projet dans un héritage historique et universel, tout en affirmant son ancrage dans la création contemporaine.

 

 

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ATB, valeur la plus échangée, légèrement en retrait à la Bourse

Le marché a terminé la séance boursière dans le vert. L’indice de référence a pris 0,4 % à 12 729,7 points dans un volume limité de 4,0 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse “Tunisie Valeurs”.

Le titre ICF s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action de la société s’est hissée de 5,1 % à 90,990 D, dans un volume soutenu de 362 mille dinars.

Le titre LAND’OR s’est retrouvé dans le palmarès des meilleures performances. L’action du fromager s’est bonifiée de 4,7 % à 12,340 D, dans un flux de 200 mille dinars.

Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre OFFICEPLAST s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste des fournitures bureautiques et scolaires a trébuché de –4,5 % à 1,910 D.

Du côté des baisses, le titre ESSOUKNA a accusé une glissade de –4,3 % à 2,480 D. L’action du promoteur immobilier a drainé un volume limité de 10 mille dinars sur la séance.

ATB a été la valeur la plus échangée de la séance en amassant un volume de 665 mille dinars. Le titre s’est effrité de –0,3 % à 3,650 D.

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Tunisie : renforcer l’inclusion des personnes handicapées en Afrique

“La Tunisie est prête à établir des partenariats avec les pays africains dans les domaines de la formation, des études et des recherches à travers des programmes conjoints, globaux et durables au profit des personnes en situation de handicap”, a souligné, jeudi à Doha (Qatar), le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar, selon un communiqué du département.

S’exprimant lors d’une rencontre organisée par l’Union africaine sur la promotion des droits des personnes handicapées, en marge du 2ème Sommet mondial pour le développement social tenu à Doha du 4 au 6 novembre en cours, le ministre a indiqué que la promotion des droits humains, en particulier ceux des personnes en situation de handicap en Afrique nécessite aujourd’hui d’accélérer la ratification du Protocole africain relatif aux droits des personnes handicapées.

“Ce protocole qui tient compte des spécificités de nos sociétés, de nos cultures ainsi que de nos systèmes socio-économiques permettra l’adoption de politiques nationales inclusives garantissant la participation des personnes en situation de handicap à la vie publique”, a-t-il dit.

Lahmar a, par ailleurs, exprimé la disposition de la Tunisie à partager son expertise législative et institutionnelle avec les pays africains, à travers la mise en place de partenariats efficaces et l’échange de bonnes pratiques dans les domaines de la réadaptation, de l’inclusion, de l’éducation spécialisée et de l’emploi, contribuant ainsi à l’amélioration de la qualité des services destinés aux personnes en situation de handicap.

Il a, en outre, rappelé que la Constitution tunisienne consacre le droit des personnes en situation de handicap à la protection contre toutes formes de discrimination et garantit leur intégration dans la société, à travers un arsenal législatif complet reposant sur une approche fondée sur les droits humains et la justice sociale.

“Celle-ci assure l’accès à l’éducation, à l’enseignement spécialisé, à la formation, à l’emploi, aux soins de santé, à la réadaptation, ainsi qu’aux infrastructures de loisir, culturelles et sportives, en harmonie avec la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ratifiée par la Tunisie en 2008”, a-t-il expliqué.

Il a également indiqué que la Tunisie a mis en place des lignes de financement et des crédits sans intérêts au profit des personnes en situation de handicap, afin de créer des emplois décents et des projets favorisant leur autonomie et garantissant une vie digne, loin de toute forme de marginalisation ou d’exclusion.

Le ministre a précisé que le pays œuvre à développer ses politiques sociales et à améliorer la qualité des services destinés à toutes les catégories, notamment les personnes handicapées, à travers la mise en place d’un système national d’information visant à développer un registre national du handicap, permettant de disposer d’indicateurs précis pour élaborer des politiques publiques plus ciblées et efficaces, outre le lancement prochain de cartes de handicap numériques, garantissant davantage de transparence, d’efficacité et de rapidité dans le traitement de leurs demandes.

L’événement de l’Union africaine, organisé sous le thème « Un développement social sans inclusion : promouvoir les droits des personnes handicapées comme une nécessité continentale », vise à appeler au renforcement des droits des personnes en situation de handicap comme impératif continental, conformément aux principes des droits humains, et à soutenir leur inclusion sociale et économique, ainsi que leur participation effective à la vie communautaire, en cohérence avec les objectifs de l’Union africaine visant à promouvoir la paix, la sécurité, la démocratie et les droits de l’homme sur le continent.

Le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar, a également pris part à l’événement arabe intitulé : « Vers une inclusion sociale globale : vie autonome des personnes en situation de handicap et éradication de la pauvreté », ainsi qu’à l’événement régional parallèle intitulé : « La voie vers un développement social inclusif : de l’autonomisation à la vie indépendante ».

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Nabeul : Sidi Jedidi modernise routes, siège municipal et éclairage

Les travaux d’un certain nombre de projets programmés au sein de la nouvelle commune de Sidi Jedidi, relevant de la délégation de Hammamet (gouvernorat de Nabeul), enregistrent une progression notable, entre la phase d’exécution et celle d’étude.

Parmi ces projets figure l’achèvement du nouveau siège municipal, dont le coût total dépasse deux millions de dinars pour une inauguration prévue dans les prochaines semaines, selon le secrétaire général chargé de la gestion de la commune, Fadhel Abbas.

Sur le même plan, les travaux d’aménagement de plusieurs routes ont été achevés dans les zones de Sidi Jedidi et Sidi Hammad, tandis que d’autres interventions d’un coût total de 1,3 MD sont prévues prochainement dans les zones de Latrech et Mziriâa, dès l’achèvement du transfert du réseau d’eau potable.

Le responsable a indiqué que l’étude du projet de terrain sportif à proximité de Sidi Jedidi est achevée, précisant que l’appel d’offres sera lancé en décembre 2025, en vue d’un démarrage des travaux au début de l’année prochaine.

Dans cette même dynamique, la municipalité de Sidi Jedidi a procédé l’extension du réseau d’éclairage public dans l’ensemble des zones et villages rattachés, pour un coût avoisinant 1 MD.

S’agissant de l’assainissement, il a précisé que les travaux devraient débuter au second semestre de 2026, le bureau d’études mandaté par l’ONAS poursuivant l’examen des solutions techniques pour raccorder l’ensemble des zones de la commune au réseau d’égouts.

Par ailleurs, la municipalité œuvre à l’obtention du label de qualité “Marhba”, destiné à améliorer l’accueil et les services rendus aux citoyens, un projet dont la mise en œuvre sera confiée prochainement à un bureau d’études spécialisé.

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Zaghouan : l’ONAS investit 33 millions de dinars dans une station de traitement à Djebel Oust

Une enveloppe de 33 millions de dinars a été allouée par L’Office National d’Assainissement (ONAS), pour la construction et l’équipement d’une station d’épuration et du traitement des eaux usées dans la ville de Djebel Oust (gouvernorat de Zaghouan), sur une superficie de 4,5 hectares.

Il s’agit de la deuxième station programmée par l’ONAS cette année, après le démarrage des travaux, en août dernier, d’un projet similaire à Bir Mcherga, dont le coût s’élève à environ 31 millions de dinars, a indiqué, à l’Agence TAP, le directeur régional de l’ONAS, Mahmoud Hedhili.

Le projet comprend la réalisation d’une station de pompage pour le transfert des eaux usées issues des quartiers et cités de Djebel Oust vers la station de traitement, à travers un réseau de canaux de drainage de 4 km, ainsi que le raccordement de certaines habitations au réseau, selon la même source.

Le responsable a indiqué que le projet en est à la phase de finalisation du marché, précisant que les travaux devraient démarrer avant la fin de l’année et que les eaux traitées seront destinées à la réutilisation agricole.

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Budget 2026 : les députés déplorent l’absence d’investissement et alertent sur la crise agricole

La séance plénière commune des deux chambres parlementaires a repris ses travaux, jeudi matin, au Palais du Bardo, avec l’examen des projets du budget de l’État et de la loi de finances pour l’année 2026, en présence d’un certain nombre de membres du gouvernement.

Certains députés ont estimé, au cours des débats, que les chiffres avancés dans la déclaration du gouvernement concernant les projets de budget de l’État et de la loi de finances pour 2026 “restent que de simples slogans tant que l’investissement est absent des orientations budgétaires”.

Ils ont fait remarquer que les discussions sur la réforme de la loi sur les changes, de la loi sur l’aménagement du territoire et d’un certain nombre de lois relatives à l’investissement ne resteront que des espoirs tant que les mesures de soutien à l’économie convenues dans le cadre du budget 2025 n’auront pas été mises en œuvre.

D’autres députés ont axé une partie des débats sur la situation des agriculteurs, soulignant la nécessité de les placer au cœur des politiques économiques du gouvernement.

Ils ont notamment rappelé que les petits agriculteurs n’ont pas encore bénéficié des crédits qui leur avaient été alloués dans le dernier budget, évoquant la question des exportations d’huile d’olive « qui occupait les premières places au niveau mondial et qui connaît aujourd’hui un déclin en raison du manque d’intérêt accordé à ce secteur agricole vital ».

Ils ont, dans ce contexte, demandé d’accorder une plus grande attention au secteur de l’huile d’olive, à travers la modernisation des machines et l’accord de facilités et de prêts aux producteurs.

S’agissant de la situation sociale, des députés ont déclaré que “le citoyen n’a pas constaté dans son quotidien une amélioration des indicateurs économiques et n’a vu aucun impact positif sur son pouvoir d’achat”.

Les députés se sont également interrogés sur la manière dont le développement pouvait être réalisé dans les régions de l’intérieur alors que la part du budget qui leur était allouée ne dépassait pas 29,9 %.

D’autres élus ont critiqué la déclaration du gouvernement et se sont interrogés sur la faisabilité d’un taux de croissance de 3,3 % alors que plus de 90 % du budget provient des recettes fiscales, soulignant que le développement nécessite une relance économique globale.

 

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De l’exil à la révolution : le cinéma tunisien au cœur du Festival du film franco-arabe 2025

La Tunisie sera à l’honneur lors de la quatorzième édition du Festival du film franco-arabe (FFFA) de Noisy-le-Sec, qui se déroule du 7 au 16 novembre 2025 en banlieue parisienne (Noisy-le-Sec et Romainville).

Lancé pour faire connaître et promouvoir les cinéastes et les cinématographies des pays arabes ainsi que les cultures franco-arabes, le festival propose cette année, dans le cadre du “Focus Tunisie”, plus d’une dizaine de films témoignant de la vitalité du cinéma tunisien contemporain, de sa capacité à interroger l’exil, la jeunesse, la mémoire et les marges, tout en inventant de nouvelles formes narratives.

Dans le programme intitulé “Le cinéma tunisien : de l’exil à la révolution et à la diaspora”, une dizaine de films donnera à voir et à découvrir des expériences aussi riches que variées. “Les Ambassadeurs” (1975) de Naceur Ktari livre un regard sur l’expérience des immigrés tunisiens en France, explorant l’exil et les fractures sociales, affirmant que filmer, c’est déjà résister. Et il n’est pas le seul à défendre cette idée. Après 2011, la Révolution libère la parole : « Tunisia Clash » (2015) de Hind Meddeb capte l’énergie contestataire des jeunes rappeurs, figures d’une jeunesse en quête de visibilité et de liberté.

Ailleurs, le cinéma tunisien explore la diaspora et l’enfance exilée : Kaouther Ben Hania suit dans “Zaineb n’aime pas la neige ” (2016) la jeune Zaineb entre la Tunisie et le Canada, tandis que la réalisatrice et scénariste belgo-tuniso-danoise Maja-Ajmia Yde Zellama, évoque dans son film “Têtes brûlées” (2025), le deuil et la résilience d’Eya, jeune fille diasporique, révélant les tensions entre identité et appartenance. Khedija Lemkecher, avec Belles de Nuit (2024), interroge le rapport entre réalité et représentation pour explorer les désirs et les contraintes des jeunes des quartiers populaires. Alaeddine Slim, avec Agora (2024), s’intéresse quant à lui à la temporalité et à la mémoire collective, transformant l’image en un espace à la fois critique et poétique.

La Tunisie, une terre de création et un écran de projection en soutien à la Palestine
Né d’un désir de dialogue entre les rives de la Méditerranée et célébrant la pluralité des voix et des regards, le festival a choisi de mettre les projecteurs sur un cinéma tunisien “en plein essor”. En 2024, la Tunisie, lit-on dans le dossier de presse du festival, a connu une effervescence sans précédent : une trentaine de longs métrages, autant de documentaires et une centaine de courts ont vu le jour. Porté par une génération de cinéastes audacieux, souvent récompensés dans les plus grands festivals internationaux, ce cinéma reflète l’énergie d’un pays au carrefour de la mémoire révolutionnaire, de l’élan artistique et des défis politiques.

“Terre de création foisonnante et de résistance historique”, la Tunisie incarne les aspirations universelles à la liberté, à la dignité et à la justice”, écrit Wiam Berhouma, maire adjointe déléguée à la culture, à l’éducation populaire et à la transmission de la mémoire de Noisy-le-Sec.

“Devant une actualité asphyxiante, saturée par les bombes israéliennes qui tombent sur Gaza, l’histoire de la Tunisie est liée de longue date à celle de la résistance palestinienne” lit-on dans l’édito de Mathilde Rouxel Directrice artistique du festival. La Tunisie a-t-elle noté, est devenue “un écran de projection en soutien à la Palestine, un lieu où où l’on pense et où l’on montre un cinéma engagé”.

Dans ce contexte, les films de cette programmation accompagnent ce mouvement des cinéastes tunisiens qui croient en l’image comme forme de résistance contre la simplification et la banalisation des horreurs du monde”, ajoute la directrice artistique du festival. Grâce à ce focus, leurs films, documentaires et fictions, dialogueront avec ceux venus d’autres pays.

Dans ce registre, sera organisée une table ronde “Tunisie/Palestine : mémoire commune et luttes contemporaines” qui sera accompagnée  de la projection de trois courts métrages :” Where Can I Start a Film About Palestine?” un documentaire de Maxime Naudet Anoudou (France/Tunisie, 2025), et deux films témoignant de l’engagement de ceux qui veulent faire des images en solidarité avec la Palestine pour combattre l’oubli en l’occurrence “Silence” de Fares Ben Khalifa (Tunisie, 2016) et “Home”, film d’animation d’Ines Ben Halima (Tunisie, 2016).

Hind Meddeb, marraine de l’édition 2025

Hind Meddeb, marraine de cette 14ème édition, porte en elle l’héritage d’un père poète, Abdelwahab, et d’une mère linguiste, Amina : un amour des mots et une exigence de vérité. Son terrain, pourtant, reste la rue, la jeunesse insurgée, les marges où l’Histoire s’écrit à voix haute. Depuis ses premiers films, elle fait du cinéma un espace de résistance : “Electro Chaâbi” explore la révolution musicale des faubourgs du Caire, “Tunisia Clash” suit des rappeurs tunisiens défiant la censure, et “Soudan, souviens-toi” recueille la mémoire des jeunes révolutionnaires soudanais. Trois œuvres que le festival met à l’honneur dans ce focus sur la Tunisie, pays d’origine d’une partie de son histoire et de son cinéma

Le Cinéma tunisien au programme “hors les murs”

L’année 2024 a vu émerger une génération de jeunes cinéastes venus de régions éloignées de Tunis et des écoles de cinéma. Les films de cette sélection portent la fougue des premiers gestes et la liberté du regard neuf. Dans ces zones où le cinéma se fait rare, chaque image tournée devient une découverte, une expérience à partager. Au programme “Bamssi”, un documentaire de Mourad Ben Amor (Tunisie/Belgique),  “The Image of Ants”, poème visuel de Mohamed Rachdi et “Epouvantails de la zone rouge”, un documentaire de Jalel Faizi.

La programmation de la 14ème édition du FFFA comporte des films inédits, des avant-premières, des projections pour la jeunesse, des rencontres avec cinéastes etc. Pluridisciplinaire, le festival, dont le cinéaste Costa-Gavras est parrain d’honneur,  s’ouvre aussi à la musique, au théâtre, aux arts plastiques et à la littérature, dans les lieux culturels de Noisy-le-Sec et au-delà, dans le cadre du programme hors les murs.

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Ghar El Melh : les cultures « Ramli » menacées par le changement climatique et l’urbanisation

Dans une frange du littoral tunisien, relevant de la belle région de Bizerte (Nord de la Tunisie), un système agricole ingénieux, unique au monde et adapté à une zone humide riche en biodiversité, risque de disparaître. Il s’agit de pratiques agricoles ancestrales dans le sable, qui ont façonné non seulement les paysages de la ville côtière de Ghar El Melh, mais aussi les traditions, les rites et le rapport des natifs de cette ville avec la terre et la mer. C’est pour cela que beaucoup d’exploitants agricoles militent aujourd’hui pour sauver un héritage national et mondial.

Bien qu’elles soient encore pratiquées par environ 180 agriculteurs et reconnus (certifiés), depuis le 15 juin 2020, par la FAO en tant que patrimoine mondial “SIPAM”, Système Ingénieux du Patrimoine Agricole Mondial, ces pratiques sont désormais, menacées par l’urbanisation sauvage, le changement climatique et le retard d’intervention pour le déblocage d’une conduite d’eau entre la lagune et la mer, sur laquelle est basé tout un système d’irrigation naturelle. L’absence de relève, en raison de la désaffection des jeunes pour l’agriculture artisanale, est aussi une menace pour ces cultures originales et écologiques

“Les potagers périurbains dites “Ramli”, sont cultivés dans des parcelles de sable irriguées, grâce à un phénomène osmotique. Les pommes de terre, l’oignon, les laitues, les aubergines, l’haricot et autres cultures maraîchères, poussent dans des sols sablonneux et sont irrigués en utilisant l’eau de mer qui s’infiltre et remonte à la surface”, explique Mohamed Blanco, guide sur les lieux, de l’ONG, Tunisian Campers.

Il s’adressait à des journalistes en visite à Ghar el Melh, dans le cadre d’une formation de six mois en journalisme environnemental, organisée par le PAMT2 (Programme d’Appui aux Médias Tunisiens 2 (PAMT2), financé par l’UE, en partenariat avec le Projet d’Appui à la Gouvernance Environnementale et Climatique pour une Transition Ecologique en Tunisie (PAGECTE), la Start-up Tunisian Campers et le ministère de l’Environnement.

“L’eau salée, humidifiée par la marée, irrigue les racines des plantes après son dessalement grâce au phénomène de migration des sels vers le haut et la capacité des plantes à filtrer l’eau. La remontée de la nappe phréatique grâce à la marée permet d’alimenter les cultures en eau douce, tout en limitant le recours à l’irrigation artificielle”, enchaîne le jeune guide de randonnées éco-responsables.

Ali Garsi, agriculteur pratiquant les cultures Ramli milite pour préserver et perdurer les cultures en sable et n’arrête pas d’alerter sur les dangers qui planent sur ce système naturel qui n’existe qu’en Tunisie.

” En l’absence de relève, c’est à nous de faire perdurer ces cultures de plus en plus menacées par plusieurs facteurs”, a-t-il dit. “Le vrai problème aujourd’hui est le blocage de la conduite d’eau entre la lagune et la mer, une conduite sur laquelle se base tout le système d’irrigation cent pour cent naturel. La mouvance du grau, dite en dialecte local “boughaz”, qui fait communiquer la lagune avec la mer et permet l’échange avec la lagune de Sidi Ali El Mekki, se bloque désormais chaque 48 heures alors qu’elle se bloquait chaque 2 ou 3 ans avant, et ce en raison de l’ensablement accru”.

“L’élévation attendue du niveau de la mer devrait, aussi, impacter la zone et submerger les zones humides. De même, le changement climatique pourrait entrainer un déficit hydrique et une carence en eau douce et pousser les exploitants agricoles à abandonner ou à recourir à une irrigation d’appoint surtout durant les périodes sèches”, a développé Garsi.

La solution pour préserver la zone humide consiste, d’après lui, en l’aménagement d’une conduite d’eau durable entre la lagune de Ghar El Melh et la Sebkha de Sidi Ali El Mekki et non entre la sebkha et la mer, pour résoudre définitivement la question de l’accumulation du sable et le blocage des échanges et des mouvements de l’eau.

De son côté, Zohra Ennafef, membre du bureau exécutif de l’UTAP et présidente de la Fédération de la femme agricole milite pour assurer l’écoulement des produits agricoles de Ghar El Melh et se révolte contre les atteintes au domaine public maritime.

“Les cultures Ramli risquent de disparaître, non seulement à cause des changements climatiques, mais aussi à cause de l’abandon des terres, le manque de circuits de distribution spécifiques aux produits agricoles des potagers et les tentatives de convaincre les agriculteurs de vendre leurs terres”.

Ennafef œuvre, à cet effet, pour la labellisation des produits de terroir de Ghar El Melh, en tant que patrimoine immatériel unique. “Nos produits sont vendus à des tarifs équivalents aux produits conventionnels, alors qu’ils sont originaux, issus d’un système naturel et écologique et sont d’un goût unique”.

Des labels pour les produits des parcelles “RAMLI” permettront de leur assurer une meilleure plus-value, estime la responsable, soulignant la nécessité d’insérer des Gataayas (parcelles dans les zones humides) dans un circuit éco-culturel local. Déjà, la région n’arrête pas d’accueillir des groupes de touristes locaux et étrangers et ses produits agricoles sont prisés par les visiteurs.

Il y a lieu de rappeler que la ville de Ghar El Melh, qui abrite une zone humide d’environ 15 000 ha, a obtenu le “label Ville des zones humides- Ville RAMSAR” en octobre 2018. Grâce à ce label, elle est devenue la première ville arabe et nord-africaine sur la liste de Ramsar des villes accréditées.

Valoriser sa richesse écologique, ses valeurs sociales et culturelles et sa biodiversité, devient ainsi non seulement un devoir national, mais, aussi, une responsabilité à assumer pour sauvegarder un héritage mondial.

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Journée nationale de l’Arbre : une opération de reboisement à El Menzah 9 ce dimanche

Une journée de reboisement sera organisée, dimanche, au Jardin de l’avenue Tahar Ben Ammar, à El Menzah 9, à l’initiative de l’Association de la Zone Verte, en partenariat avec la Municipalité de la Ville de Tunis et ce à l’occasion de la célébration de la journée nationale de l’Arbre, le 9 novembre courant.

Cette initiative de plantation participative s’inscrit dans les efforts collectifs visant à embellir les espaces verts de la capitale et à améliorer le cadre de vie des habitants. Au programme de cette journée, des ateliers de plantation participative, un aménagement collectif du jardin et un nettoyage et embellissement de l’espace.

Les participants souhaitant prendre part à cette journée sont appelés à apporter leurs outils de jardinage personnels, ainsi que des petites plantes adaptées aux jardins urbains. Des campagnes de reboisement à grande échelle, seront organisées, dans plusieurs régions du pays, à l’occasion de la journée nationale de l’Arbre.

L’objectif étant de renforcer la couverture végétale, de sensibiliser les citoyens notamment les jeunes – à l’importance de la plantation d’arbres, et de lutter contre les changements climatiques.

Les forêts tunisiennes s’étendent sur environ 1,2 million d’hectares, soit près de 8,5 % du territoire national, selon les estimations du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Elles abritent une grande diversité végétale comprenant notamment le pin d’Alep, le chêne-liège, le genévrier et l’acacia, ainsi que des zones d’arbres fruitiers plantés dans le cadre des programmes de reboisement rural.

Malgré leur importance pour la protection des sols, la lutte contre la désertification et la régulation des ressources hydriques, les forêts tunisiennes font face à de nombreux défis : incendies, pâturage excessif, expansion urbaine et agricole, ainsi que les effets du changement climatique et de la sécheresse récurrente.

Selon des données officielles, la Tunisie a perdu environ 56 000 hectares de forêts entre 2016 et 2023, en raison des incendies et de la dégradation naturelle. Cette situation a fait de la réhabilitation du système forestier une priorité nationale.

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B7L9 lance un appel à candidatures pour des projets musicaux au sein de Delia Studio

Le Centre d’art B7L9 à Bhar Lazreg (La Marsa) a annoncé l’ouverture du premier appel à candidatures pour des projets musicaux dans le cadre de Delia Studio. Le dernier délai de dépôt des candidatures est fixé au 18 novembre 2025.

Installé au sein du centre d’art B7L9, le studio est ouvert aux artistes et entièrement équipé pour les accompagner dans des séances d’enregistrement, de répétition et de développement de leurs projets.

En dépit de la vitalité de la scène musicale tunisienne qui regorge de talents, de nombreux artistes émergents se heurtent encore à d’importants obstacles : un accès limité aux studios professionnels et au matériel d’enregistrement, ainsi qu’un manque d’espaces où ils peuvent expérimenter librement et développer leurs projets musicaux.

Cette initiative vise à dynamiser la scène musicale locale et à offrir un véritable tremplin aux jeunes artistes émergents, qu’ils travaillent sur leur premier morceau, l’enregistrement d’un EP ou la mise au point d’un set live. Les projets sélectionnés bénéficieront d’un accès à Delia Studio durant les mois de décembre 2025 et janvier 2026, permettant aux candidats retenus de concrétiser leurs idées et de tisser des liens avec d’autres artistes au fil de cette expérience artistique.

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Huile d’olive : Ben Arous table sur 20 000 tonnes d’olives pour la saison 2025

Le coup d’envoi des opérations de cueillette des olives a été donné mercredi au gouvernorat de Ben Arous où la récolte est estimée cette année à 20 mille tonnes, soit l’équivalent de 4217 tonnes d’huile d’olive, en hausse de 56% par rapport à la saison précédente.

Les superficies consacrées à la culture des olives dans la région s’élèvent à 7937 hectares, dont 73% des oliveraies se trouvent à Mornaguia, 18% à El M’hamdia et le reste à Fouchena.

Ezzeddine Karoui, chef de service au Commissariat régional au développement agricole(CRDA) a indiqué à l’Agence TAP que le gouvernorat de Ben Arous compte 9 huileries avec une capacité de transformation de 1180 tonnes par jour et de stockage de 8400 tonnes, soulignant que plusieurs visites d’inspection ont été effectuées au niveau de ces structures pour contrôler leur conformité aux normes.

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Santé scolaire : la Tunisie célèbre la 2e Journée nationale de la santé visuelle et bucco-dentaire

Le ministère de la Santé organise le 8 novembre prochain, la deuxième journée nationale de la santé visuelle et bucco-dentaire en milieu scolaire, dans le cadre de la prise en charge de la santé des enfants en bas âge.

Le ministère a indiqué jeudi dans un communiqué que cette manifestation, organisée en partenariat avec le ministère de l’Éducation et l’association One Day One Dream, cible en particulier les élèves de première année primaire dans 58 écoles prioritaires, dans différentes régions du pays.

Le ministère de la Santé a précisé qu’à cette occasion, des consultations ophtalmologiques seront effectuées et des lunettes seront fournies gratuitement aux enfants souffrant d’une déficience visuelle.

Des consultations bucco-dentaires seront également organisées, ainsi que des séances de sensibilisation et d’éducation à la santé bucco-dentaire.

Cette journée nationale vise à garantir une rentrée scolaire saine pour les élèves et à promouvoir l’égalité des chances en matière d’éducation et de santé dès le plus jeune âge.

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Bourses universitaires : l’OOUN prolonge exceptionnellement les délais jusqu’au 25 novembre

L’office des œuvres universitaires du Nord (OOUN) a annoncé, la prolongation, à titre exceptionnel, des délais de dépôt des demandes de bourses universitaires jusqu’au 25 novembre courant, selon un communiqué publié jeudi.

L’Office précise que cette mesure concerne en particulier les étudiants qui n’ont pas encore déposé de demande de bourse universitaire (bourses pour les nouveaux étudiants, renouvellement de bourse et bourses pour les anciens étudiants qui n’en ont pas bénéficié auparavant).

L’Office a invité tous les étudiants concernés par cette annonce à enregistrer leur demande sur le site web du bureau www.ooun.rnu.tn avant la date limite fixée.

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Gabès accueille la première édition du salon Innov Agri Water Expo 2025

Le palais des expositions de Gabès accueillera, du 12 au 15 novembre, la première édition du salon des technologies modernes en agriculture et en eau  “Innov agri water expo 2025”.

Au programme de ce salon, auquel participeront de nombreux experts et spécialistes du domaine agricole, des séminaires scientifiques et des ateliers spécialisés notamment sur les technologies de stockage de l’eau, l’exploitation de l’énergie solaire en agriculture, la production de la grenade, de la figue et des olives.

La salon comprend également des interventions  sur les dernières technologies dans les domaines de l’agriculture, des ressources en eau et de l’élevage.

Le président de l’Union régionale de l’agriculture à Gabès Habib Thiyab a indiqué à l’Agence TAP que ce salon constituera une opportunité importante pour les professionnels et les investisseurs pour s’informer sur  les lignes de financement du secteur agricole ainsi que des dernières innovations dans le domaine.

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Mobile World Congress 2026 : innovations, 5G et IA à découvrir pour les startups tunisiennes

Le Centre de Promotion des Exportations (Cepex) organise, du 2 au 5 mars 2026, la participation des entreprises tunisiennes au salon Mobile World Congress, qui se tiendra à Barcelone (Espagne).

Le salon Mobile World Congress se présente comme une plateforme unique où les plus grandes startups du monde présentent leurs dernières innovations aux principaux investisseurs et spécialistes en capital-risque. Il devra accueillir plus de 110 000 visiteurs venant d’environ 204 pays, d’après le Cepex.

En fait, ce rendez-vous constitue un événement incontournable pour les professionnels tunisiens, notamment les PME, TPE et startups opérant dans la filière de la téléphonie mobile, dans la mesure où il leur permettra d’accélérer leur transformation digitale, de rencontrer les leaders du secteur et de faire rayonner leurs marques à l’international.

Il se présente, aussi, comme une excellente opportunité pour découvrir les dernières technologies, les tendances et les innovations de la filière, ainsi que de nouer des relations de partenariat d’avenir dans les domaines de la 5G, de l’IA, de l’IoT, de la cybersécurité…

Partant, les entreprises tunisiennes peuvent s’inscrire à cette manifestation sur le lien suivant : https://www.e-cepex.tn/c/foires-et-salons/details/406 , au plus tard le 28 novembre 2025.

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Deplike lève des fonds : quelles perspectives pour l’apprentissage musical ?

Le marché mondial de l’éducation musicale en ligne poursuit sa croissance fulgurante, stimulé par l’essor de l’IA et de la gamification. Dans ce contexte, 216 Capital annonce son entrée au capital de Deplike, une startup EdTech musicale à l’origine de Chordie AI, une application qui réinvente la manière d’apprendre la guitare.

L’IA au service de l’apprentissage musical

Deplike est à l’origine de Chordie AI, un véritable « Duolingo pour guitare » : l’application combine des retours intelligents en temps réel, des tuteurs 3D immersifs et des mécaniques de jeu pour rendre l’apprentissage plus ludique et engageant. Résultats : plus de 250 000 utilisateurs actifs, 3 000 nouvelles inscriptions quotidiennes et un chiffre d’affaires triplé au dernier trimestre, une croissance portée notamment par les marchés américain et britannique.

Une croissance soutenue par une équipe solide : Deplike a été fondée en Turquie  par Ufuk Polat, Mehmet Süleyman Sağlam et Mustafa Demir, trois ingénieurs passionnés de musique et de technologie, réunis autour d’une même ambition, rendre l’apprentissage instrumental plus accessible et engageant grâce à l’IA.

“Travailler avec 216 Capital a été une véritable opportunité. Leur connaissance de l’apprentissage musical et de l’edtech, et leur façon de s’impliquer concrètement dans notre développement, en font de vrais partenaires. Ils agissent moins comme des investisseurs “classiques” que comme des partenaires de travail, en apportant une perspective utile sur des sujets essentiels comme le produit et la stratégie marketing” affirme Ufuk Polat, CEO de Deplike.

Un engagement fort pour l’innovation éducative

En rejoignant le tour de table aux côtés d’investisseurs de renom tels qu’Eren Bali (Udemy), Mehmet Ecevit (Gram Games), Melih Ödemiş (Yemeksepeti), Ali Akgün (VP Microsoft AI), et MagicLab, 216 Capital apporte son soutien à une entreprise qui allie innovation technologique, impact éducatif et ambition mondiale.

«Deplike incarne la convergence entre éducation, créativité et technologie. Son approche gamifiée et centrée sur l’utilisateur fait évoluer l’apprentissage musical vers une expérience accessible, engageante et universelle. Cet investissement reflète notre volonté d’accompagner des fondateurs visionnaires capables de transformer des marchés globaux depuis la région MENA. » précise Dhekra Khelifi, Partner chez 216 Capital.

Une mission : rendre la musique accessible à tous

Grâce à la puissance de l’IA, Deplike démocratise l’apprentissage musical à grande échelle. L’entreprise se donne pour mission de rendre l’éducation musicale plus interactive, inclusive et efficace, afin que chacun, où qu’il soit, puisse apprendre à jouer d’un instrument.

Cette levée de fonds marque une nouvelle étape dans le parcours de Deplike, qui prépare actuellement sa série A pour poursuivre son expansion à l’international et consolider sa position de référence mondiale en éducation musicale augmentée.

A propos de 216 Capital :

Fondée à Tunis en 2021 par une équipe d’entrepreneurs, d’investisseurs et de créateurs d’entreprises, 216 Capital est une société de capital-risque en seed et pre-seed spécialisée dans les entreprises technologiques. 216 Capital investit auprès d’entrepreneurs déterminés et créatifs qui construisent des entreprises disruptives.

Pour en savoir plus : www.216capital.vc

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