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Sara Zaafrani Zenzeri présente le projet de budget 2026 aligné sur le Plan de développement 2026-2030

Le Parlement (Assemblée des représentants du peuple et Conseil national des régions et des districts) a entamé, ce mercredi, en séance plénière conjointe, la présentation et l’examen du projet de loi de finances et du projet de budget économique pour l’année 2026, ainsi que la déclaration de la Cheffe du gouvernement à leur sujet.

La séance inaugurale s’est déroulée en présence, notamment, de la Cheffe du gouvernement, Sara Zaafrani Zenzeri et des membres du gouvernement. Les séances conjointes des deux chambres, consacrées à l’examen du projet de budget de l’État pour l’exercice 2026, se poursuivront jusqu’au 23 novembre courant et porteront sur les missions des différents ministères et établissements.

Les présidents de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des régions et des districts, Brahim Bouderbala et Imed Derbali, ont prononcé, respectivement, des allocutions lors cette séance, soulignant en particulier la nécessité pour le projet de loi de finances de répondre aux aspirations du peuple tunisien à une vie digne. Ils ont réaffirmé la volonté commune de coopération et de complémentarité afin de réaliser des avancées, d’assurer un développement durable, de préserver les acquis nationaux et de défendre la patrie et sa souveraineté.

Brahim Bouderbala, président de l’Assemblée des représentants du peuple, a exprimé « la conscience partagée de ce que requiert la prochaine étape en termes d’efforts et de travail » pour renforcer le rôle social de l’État, rôle qui, a-t-il dit, doit reposer, dans ses orientations et ses détails, sur la réalisation de la justice sociale sous toutes ses formes. Il a insisté sur l’importance de passer aux réalisations effectives et tangibles et d’« œuvrer de concert, pour une véritable révolution législative qui redonne espoir et apporte des solutions aux problèmes et aux difficultés ».

Il a ajouté que le devoir national appelle à s’inscrire et à contribuer sérieusement à une démarche prospective et inclusive, centrée sur l’activation des réformes indispensables pour accélérer le rythme de la croissance, l’amélioration de la performance des structures publiques, la consécration des principes de transparence et de reddition des comptes, la libération de l’initiative et la poursuite de la réforme de l’administration afin qu’elle soit la locomotive de la conduite et de la mise en œuvre des réformes dans tous les domaines.

De son côté, Imed Derbali, président du Conseil national des régions et des districts, a souligné que « l’engagement du Conseil en faveur des causes du peuple et de la défense de ses droits économiques et sociaux, dans une conjoncture délicate qui exige clarté de vision, constance des positions et accélération du rythme de travail ».

Il a ajouté que le projet de budget pour 2026 revêt une importance particulière, car « pour la première fois, il tient compte du projet de Plan de développement 2026-2030, dans le cadre d’une expérience nationale inédite et d’une démarche de sensibilisation pionnière ».

Il a insisté sur l’aspiration du Conseil à asseoir une politique sociale et économique porteuse de développement, réhabilitant les régions marginalisées et soutenant les efforts d’amélioration des services publics, saluant les mesures récentes prises par le président de la République, Kaïs Saïed, « en ce qu’elles traduisent une volonté politique sincère ».

Lors de la présentation de la déclaration du gouvernement sur les projets de budget de l’État et de la loi de finance 2026, la Cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri a affirmé que le projet de loi de finances reflète les orientations stratégiques du Plan de développement 2026-2030, en cours de finalisation dans le cadre d’une approche participative.

Elle a fait observer que le budget de l’État 2026 coïncide avec la première année de mise en œuvre dudit plan, lequel constitue une étape importante du processus de réforme et consacre une politique publique visant l’équilibre entre justice sociale et croissance économique.

Et de préciser que ce plan rompt avec les politiques antérieures qui « n’ont pas réalisé la justice et l’équité qui constituent les fondements de la stabilité ».

 

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Kais Saïed promet de nouvelles mesures « à la hauteur des attentes du peuple tunisien »

Kais Saïed promet de nouvelles mesures « à la hauteur des attentes du peuple tunisien »

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, lundi, 27 octobre courant, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri. Selon un communiqué, le chef de l’Etat a mis l’accent lors de cette réunion sur la nécessité de réaliser un surcroît de cohérence au niveau de l’action gouvernementale et de plusieurs […]

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Budget 2026 : Saïed plaide pour un virage social et des réformes de fond des finances publiques

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu mercredi la cheffe du gouvernement, Sara Zaâfrani Zenzri, pour examiner le projet de loi de finances et le budget économique de l’année 2026. Il a insisté sur la nécessité de placer la dimension sociale au cœur du budget et d’engager des réformes structurelles profondes des finances publiques.

Réformes et équilibre social

Le chef de l’État a rappelé que les équilibres budgétaires ne doivent pas se réduire à des chiffres, mais qu’ils doivent se traduire par une amélioration concrète de la vie quotidienne des citoyens dans toutes les régions du pays.

Il a estimé que la Tunisie fait face à un « héritage lourd », fruit de nombreuses années de mauvaise gestion, et qu’il est désormais impératif d’adopter de nouvelles approches et une pensée renouvelée pour redresser les finances publiques.

Évoquant la situation financière, Kaïs Saïed a souligné que la Tunisie a remboursé toutes ses dettes dans les délais, malgré le fait que le peuple n’en ait pas pleinement profité. Il a critiqué ceux qui « regrettent l’époque du contrôle financier étranger » et appellent à une intervention extérieure, affirmant que la Tunisie a choisi la voie de la souveraineté et de l’autonomie.

Dysfonctionnements administratifs et appel à la responsabilité

Le président a dénoncé le mauvais fonctionnement de plusieurs services publics, appelant les responsables à assumer les conséquences de leurs manquements. Il a également mis en garde contre la persistance de centres de pouvoir et de lobbys au sein de l’administration, assurant qu’aucune force parallèle n’a sa place dans l’État tunisien fondé sur la justice, la liberté et la dignité nationale.

En conclusion, Kaïs Saïed a exhorté à ouvrir la voie à la jeunesse tunisienne, qu’il considère comme le moteur du renouveau national. « Ce ne sont pas des rêves illusoires, a-t-il affirmé, mais des espoirs qui se réaliseront et des attentes qui ne seront pas déçues. »

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Tunisie – Égypte : Cap sur un milliard de dollars d’échanges commerciaux d’ici deux ans

Le Premier ministre égyptien, Mostafa Madbouly, et la cheffe du gouvernement tunisien, Sara Zafrani Zenzri, ont tenu jeudi 11 septembre 2025 une conférence de presse conjointe dans la nouvelle capitale administrative d’Égypte. Les deux responsables ont affiché leur volonté de doubler le volume des échanges bilatéraux et de renforcer la coopération politique, en particulier sur la Palestine et la Libye.

Des échanges commerciaux à renforcer

Mostafa Madbouly a salué le succès de la 18ᵉ session de la commission mixte tuniso-égyptienne et annoncé l’objectif commun de porter le volume des échanges commerciaux à un milliard de dollars d’ici deux ans. Il a également transmis les salutations du président Abdel Fattah al-Sissi à son homologue tunisien Kaïs Saïed, soulignant le soutien total de l’Égypte aux réformes et grands projets tunisiens.

Une coopération économique à développer en Afrique

Sara Zafrani Zenzeri a insisté sur la nécessité de capitaliser sur la relation privilégiée entre les deux présidents pour intensifier la coopération économique. Elle a mis en avant la complémentarité stratégique des deux pays : la Tunisie comme porte d’entrée vers l’Afrique de l’Ouest, et l’Égypte comme acteur clé en Afrique de l’Est et du Centre. Elle a plaidé pour plus de visites et de travail de terrain afin d’« élever le niveau des échanges, encore en deçà du potentiel ».

Dossier libyen : priorité à une solution interne

Les deux responsables ont réaffirmé leur attachement au droit du peuple palestinien à un État indépendant sur les frontières du 4 juin 1967.

Sur la Libye, la cheffe du gouvernement tunisien a défendu une approche « libyo-libyenne » rejetant toute intervention étrangère. Elle a insisté sur la ligne diplomatique tunisienne fondée sur le respect de la souveraineté nationale et l’indépendance des choix des peuples.

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Tunisie–Égypte : une 18ᵉ Commission mixte pour sceller de nouveaux accords

La cheffe du gouvernement, Sarra Zafrani Zenzeri, effectue une visite officielle en Égypte les 10 et 11 septembre 2025. Mandatée par le président Kaïs Saïed, elle coprésidera avec son homologue égyptien, Mostafa Madbouly, la 18ᵉ session de la Commission mixte tuniso-égyptienne. Cette rencontre doit aboutir à de nouveaux accords de coopération dans divers secteurs, dans un contexte de volonté commune de renforcer les relations bilatérales.

Sarra Zafrani Zenzeri a entamé mercredi 10 septembre une visite de deux jours au Caire. Elle y représente officiellement le président Kaïs Saïed pour coprésider avec le Premier ministre égyptien, Mostafa Madbouly, la 18ᵉ session de la Commission mixte tuniso-égyptienne. Cette instance constitue un cadre stratégique de dialogue et de coopération entre les deux pays.

Des accords attendus dans plusieurs domaines

Les travaux de cette session doivent aboutir à la signature d’accords de coopération, de mémorandums d’entente et de programmes exécutifs couvrant des secteurs variés : économie, commerce, énergie, agriculture, santé, éducation, technologies, culture et jeunesse. L’objectif affiché est d’intensifier les échanges et de donner un nouvel élan au partenariat tuniso-égyptien.

Un forum économique pour rapprocher les investisseurs

En parallèle de la Commission mixte, l’Égypte accueille un forum économique tuniso-égyptien. Ce rendez-vous réunit des entrepreneurs et investisseurs des deux pays afin d’explorer de nouvelles opportunités de coopération dans les domaines économiques et sociaux.

Une délégation tunisienne étoffée

La cheffe du gouvernement est accompagnée d’une importante délégation ministérielle comprenant notamment le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, et le ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid, ainsi qu’une importante délégation composée de responsables de la Présidence du gouvernement et de représentants des ministères de l’Intérieur ; des Affaires étrangères ; des Finances ; de l’Industrie ; de la Santé ; de l’Économie ; des Affaires sociales ; du Commerce ; de l’Agriculture ; de l’Éducation ; de l’Enseignement supérieur ; de la Jeunesse et des Sports ; des Technologies de l’information et de la communication ; des Transports ; du Tourisme ; de la Famille ; des Affaires culturelles ; et de l’Emploi.

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Tunisie : L’appel de Kaïs Saïed à une refonte globale des politiques publiques

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu lundi 25 août, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri, de retour de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9), tenue du 20 au 22 août à Yokohama.

Une vision globale plutôt que des réformes sectorielles

Au-delà du bilan de la participation tunisienne à la TICAD, le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’aborder les réformes non pas secteur par secteur, mais dans le cadre d’une vision intégrée couvrant toutes les régions et tous les domaines. L’objectif affiché : relancer l’économie, lever les blocages et répondre aux attentes des Tunisiens.

Des partenariats diversifiés et des textes « novateurs »

Kaïs Saïed a évoqué des projets d’investissement, notamment dans les infrastructures et les énergies renouvelables, en appelant à diversifier les partenariats internationaux. Il a également plaidé pour l’adoption de nouveaux textes législatifs rompant avec le passé et s’appuyant sur une légitimité populaire.

Ces réformes devraient, selon lui, permettre d’ouvrir la voie aux victimes d’injustices :

« Ces textes tout autant que les politiques y découlant, doivent être « novateurs » et reposant sur une « légitimité » appréciée par référence aux attentes du peuple et à la nécessité d’instaurer une redevabilité équitable, préalable nécessaire à la récupération de l’argent volé du peuple ».

Un message politique clair

Par ce discours, le président réaffirme son orientation : placer la justice sociale et la lutte contre la corruption au centre de la relance économique, tout en ancrant les choix stratégiques du pays dans la souveraineté populaire.

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Tunisie : Un plan pour intégrer plus de 1300 bus dans le transport public

Un conseil ministériel restreint s’est tenu mercredi 23 juillet au Palais du gouvernement sous la présidence de la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, pour faire le point sur la situation du transport public et annoncer une série de mesures urgentes et stratégiques. L’objectif affiché : reconstruire une véritable politique nationale du transport après des décennies de dégradation.

Le conseil ministériel a été entièrement consacré à la refondation du transport public, notamment le transport terrestre, qui connaît une dégradation avancée à l’échelle nationale, l’objectif étant de moderniser le service public du transport et à en améliorer les performances afin d’alléger les difficultés rencontrées par les citoyens dans leurs déplacements.

Le conseil a examiné les calendriers d’arrivée de plusieurs lots de bus en provenance de différents pays en attendant une réforme plus globale de ce secteur vital, pratiquement démantelé dans plusieurs régions du pays.

Renouveler le parc roulant

La cheffe du gouvernement a notamment souligné que la réforme du secteur du transport, toutes filières confondues – et en particulier du transport terrestre –, ne se limitera pas à l’importation de bus ou de rames de métro, mais obéira à une stratégie globale de reconstruction. Dans cette optique, une vision claire de planification à long terme sera mise en place avec l’allocation des budgets nécessaires à l’investissement dans ce secteur.

Sarra Zaâfrani Zenzri a affirmé que la stratégie de l’État consiste à reconstruire le système de transport public sur des bases solides, à renouveler le parc roulant et à améliorer les services du service public de transport. À court terme, des solutions urgentes seront mises en œuvre pour alléger les difficultés de mobilité des citoyens sur tout le territoire national, parallèlement aux investissements nécessaires pour renouveler un parc de bus et de métros vieillissant.

Vers l’intégration de plus de 1300 bus dans le réseau public

Le conseil a passé en revue les principales mesures urgentes déjà adoptées pour renforcer le parc de transport public terrestre comme l’achat de 300 bus neufs en provenance de Chine, livrés les 17 juin et 12 juillet 2025 ; la signature d’un contrat pour l’acquisition de 418 bus dans le cadre d’un appel d’offres international ; la signature prochaine, en septembre 2025, d’un accord pour l’importation de 200 bus suisses opérationnels  ; le lancement d’un appel d’offres pour l’acquisition de 35 rames de métro ; et l’autorisation, au cours de ce conseil, de l’achat de 397 bus supplémentaires provenant d’Arabie saoudite.

Ces acquisitions seront réparties sur l’ensemble du territoire, selon des critères de priorité, notamment pour désenclaver les zones isolées et réduire les souffrances liées aux transports quotidiens.

Reconstruire un système de transport public fiable

La cheffe du gouvernement a insisté sur le fait que cette dynamique ne se limitera pas à des importations ponctuelles. Elle a affirmé que l’État s’engage dans une stratégie de long terme visant à reconstruire un système de transport public fiable, efficace et durable, moderniser le parc roulant selon des normes internationales, investir dans le transport ferroviaire, identifié comme une priorité, et adapter l’offre aux évolutions démographiques et à l’urbanisation rapide.

Le transport public en Tunisie souffre de décennies de sous-investissement, de gestion déficiente et de vétusté des équipements. Ce constat alarmant est aggravé par l’explosion des besoins en mobilité, notamment dans les grandes agglomérations et les régions rurales.

Le gouvernement affirme désormais vouloir rompre avec les politiques passées et amorcer une réforme profonde, où le transport devient un levier de justice sociale et de croissance économique.

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Tunisie – Loi de finances 2026 : L’État mise sur les régions, l’emploi et les réformes

La cheffe du gouvernement a réuni ses ministres pour faire le point sur le projet de loi de finances 2026, qui se veut un tournant stratégique dans la gouvernance économique du pays.

Le gouvernement tunisien entend faire du projet de loi de finances pour l’année 2026 un levier de transformation structurelle, combinant équité sociale, soutien à la croissance et réformes profondes. C’est ce qu’a souligné la cheffe du gouvernement, Sara Zaafrani Zenzri, lors d’un conseil ministériel tenu mardi 22 juillet 2025 à la Kasbah.

Une loi pour traduire la volonté populaire

Présenté comme un outil de souveraineté nationale, le projet de budget doit refléter les priorités stratégiques de l’État, tout en traduisant la vision ascendante du développement, défendue par le président Kaïs Saïed, depuis les conseils locaux jusqu’à l’échelle nationale.

« La loi de finances ne doit pas se résumer à des chiffres, mais incarner une volonté politique qui rompt avec les approches technocratiques passées », a affirmé la cheffe du gouvernement.

Elle a insisté sur la nécessité de recourir à des modes de financement innovants et de réformer le modèle économique et social, à travers une nouvelle législation adaptée aux besoins du pays.

Les grands axes du budget 2026

Le projet de loi de finances 2026 s’articule autour de plusieurs priorités :

  • Renforcement de la dimension sociale : meilleure prise en charge des personnes vulnérables et soutien à l’inclusion économique.
  • Emploi public : ouverture de nouveaux recrutements et régularisation de situations administratives en suspens.
  • Développement régional : s’appuyer sur les résultats des conseils locaux et régionaux pour orienter les investissements.
  • Relance de l’investissement public, considéré comme moteur du secteur privé, notamment pour les PME et les sociétés citoyennes.
  • Réformes structurelles dans la santé, l’éducation et le transport.
  • Promotion des énergies renouvelables.
  • Intégration de l’économie informelle et instauration d’une véritable justice fiscale.

Vers un nouveau cap

Ce budget s’inscrit dans le cadre du plan de développement 2026–2030, qui repose sur une méthode de planification ascendante. Pour le gouvernement, il s’agit de répondre aux attentes des citoyens, dans un contexte marqué par de fortes pressions économiques et géopolitiques.

La cheffe du gouvernement a conclu en appelant à faire de ce budget « un texte porteur d’espoir, capable de rétablir la confiance et de tracer les contours d’un nouveau contrat social ».

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