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Deux films tunisiens primés à la 40ᵉ Mostra de Valencia : “La Voix de Hind Rajab” et “Promis le Ciel”

Les deux longs métrages de fiction tunisiens “The Voice of Hind Rajab”  (La Voix de Hind Rajab) de Kaouther Ben Hania et “Promised Sky” (Promis le Ciel) d’Erige Sehiri ont été récompensés lors de la 40ème édition du festival Mostra de Valencia -Cinema del Mediterrani- en Espagne, qui s’est déroulée du 23 octobre au 2 novembre 2025.

Le film d’Erige Sehiri a remporté le prix du meilleur scénario, tandis que celui de Kaouther Ben Hania a reçu le prix du public. Dans “Promis le Ciel”, la cinéaste aborde avec une profonde sensibilité la question de la migration à travers l’histoire de trois jeunes femmes ivoiriennes vivant en Tunisie, dont le destin bascule après leur rencontre avec une fillette de quatre ans, unique survivante d’un naufrage en mer. Le film explore les notions de famille, d’appartenance et de responsabilité dans un contexte social incertain.

Couronné du Lion d’argent à la 82ème Mostra de Venise et de six autres distinctions parallèles, “La Voix de Hind Rajab”, s’inspire du destin tragique de la petite martyre palestinienne Hind Rajab, pour mettre à nu les crimes horribles commis par l’occupant israélien dans la Bande de Gaza.

“La Voix de Hind Rajab” représentera officiellement la Tunisie aux 98èmes Oscars, dont la cérémonie se tiendra le 15 mars 2026 à Los Angeles, tandis que “Promis le Ciel” sera projeté au Festival Film Africa à Londres, du 14 au 23 novembre 2025.

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Mission économique tunisienne à Lomé : renforcer les échanges commerciaux avec le Togo

Une mission économique et commerciale se déroulera du 2 au 6 décembre 2025 à Lomé, en marge de la 20e édition de la Foire Internationale de Lomé (FIL), qui se tiendra du 28 novembre au 14 décembre 2025.

Organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis (CCIT), cette initiative vise à renforcer les échanges économiques entre la Tunisie et le Togo, ainsi qu’avec les pays de la sous-région ouest-africaine. Elle s’inscrit dans un contexte de relance des partenariats commerciaux et d’ouverture sur un marché estimé à plus de 300 millions de consommateurs.

Selon la page Facebook de la CCIT, la mission proposera un programme structuré comprenant des rencontres B2B entre opérateurs tunisiens et togolais, une visite de la Foire Internationale de Lomé, une participation à la « Journée du Togo » dédiée à la coopération tuniso-togolaise, des ateliers techniques sur l’innovation et la digitalisation, un accompagnement personnalisé au stand de la CCIT, ainsi qu’une visite du Port Autonome de Lomé et de la Plateforme industrielle.

Ouverte aux entreprises tunisiennes, cette mission constitue une opportunité stratégique pour développer leurs affaires, tisser de nouveaux réseaux commerciaux et découvrir les potentialités économiques, industrielles et touristiques de la région ouest-africaine.

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Monastir : état d’avancement des projets d’assainissement à Moknine, Bekalta et Teboulba

Une séance de travail consacrée à l’examen de l’état d’avancement des projets de réhabilitation des réseaux d’assainissement dans les délégations de Moknine, Bekalta et Teboulba, a été tenue, hier lundi, au siège du gouvernorat de Monastir.

Il en ressort de la session que les travaux ont été entièrement parachevés à Bekalta, avancés à 60% à Teboulba (où ils reprendront après un incident technique), et suspendus à Moknine dans l’attente du règlement d’un différend avec une entreprise de la région.

Lors de cette séance, les échanges ont mis en évidence le manque de moyens humains et matériels, la difficulté d’intervention dans les zones étroites et la couverture limitée du réseau, ainsi que la nécessité d’étendre le service à plusieurs localités environnantes.

Par conséquent, il a été décidé de doter le bureau local de Moknine d’une citerne de curage et d’aspiration pour renforcer ses capacités d’intervention.

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Tunisie : le budget du ministère de la Santé augmente de 8,8 % en 2026

Le budget du ministère de la santé connaitrait une augmentation de 8,8% en 2026 passant de 4 000 millions de dinars en 2025 à 4 350 millions de dinars l’année prochaine.

Lors d’une séance d’audition tenue, ce mardi, par la Commission de la santé, de la femme, de la famille, des affaires sociales et des personnes en situation de handicap à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), en partenariat avec la Commission des services et du développement social au Conseil national des régions et des districts (CNRD), Helmi Jebali, chargé de mission auprès du ministre de la Santé, a précisé que le budget du ministère représente 5,4 % du budget de l’État pour l’année 2026.

“65,6 % de ce budget sera consacré aux dépenses de rémunération, estimées à 2 861 millions de dinars, tandis que 17,9 % seront alloués aux investissements, soit 780 millions de dinars”, a-t-il indiqué.

Selon le responsable, les fonds supplémentaires de 2026 serviront à procéder à de nouveaux recrutements (environ 4 000), en plus de la titularisation de 4 400 postes professionnels et 100 postes d’internes en médecine, dans le cadre du renforcement des services hospitaliers, notamment les services d’urgence.

De son côté, le ministre de la santé, Mustapha Ferjani, a affirmé que la santé est un droit constitutionnel et un pilier essentiel du processus de développement global, soulignant l’engagement du ministère à mettre en œuvre l’article 43 de la Constitution garantissant le droit du citoyen à bénéficier des services de santé.

Le ministre a expliqué que le département œuvre à rapprocher les services de santé des citoyens, en particulier dans les zones intérieures à travers les centres de soins de santé de base et hôpitaux locaux, les hôpitaux régionaux et les hôpitaux universitaires.

Ferjani a souligné que l’année 2025 a été marquée par une amélioration de la qualité des services de santé, ainsi que par des avancées dans la digitalisation du secteur, affirmant l’engagement du ministère à poursuivre la prise en charge des maladies non transmissibles telles que le diabète et l’hypertension, responsables d’environ deux tiers des décès selon les dernières études scientifiques.

Il a également souligné que le département exploitera l’intelligence artificielle dans le diagnostic des maladies et l’analyse des données médicales réaffirmant que la digitalisation est un choix stratégique au service des patients, des citoyens et des professionnels de la santé.

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Tunisie : le ministère des Finances recevra 1 477 MD pour 2026, +6 %

Un budget de l’ordre de 1477 millions de dinars (MD) sera alloué à la mission du ministère des finances, durant l’exercice 2026, soit une augmentation de 6%.

S’exprimant, mardi, lors d’une séance parlementaire commune entre les commissions des finances et du budget de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et du Conseil national des régions et des districts (CNRD), la ministre des Finances, Michket Slama Khaldi a fait savoir que le budget de son département porte entre autres sur la douane, la fiscalité, la comptabilité publique et la dette publique.

Les dépenses salariales accaparent 80% du total des dépenses de la mission, tandis que celles d’investissement représentent 10%, soit une croissance de 45%.

La ministre a, par ailleurs, fait savoir que le rythme de recouvrement de ses ressources propres a enregistré, entre 2021 et 2025, une croissance, ajoutant que ces ressources ont enregistré, durant les neuf premiers mois de 2025, une croissance de 6,9%, par rapport à la même période de 2024.

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Tunisie : le budget du ministère de l’Intérieur 2026 atteint 6,24 milliards DT

Le budget du ministère de l’Intérieur pour l’exercice 2026 se situe aux alentours de 6.240 millions de dinars, soit une hausse de 5,6 pc par rapport à 2025.

Dans ce budget, des fonds de 2.460 millions de dinars sont alloués au projet de la sécurité nationale, contre 1.0664 millions de dinars pour la Garde nationale.
Le ministère consacre, également, un montant de 374 millions de dinars au programme de la Protection civile et de 1.132 millions de dinars aux Affaires locales.

Une enveloppe de 610 millions de dinars sera dédiée au programme de pilotage et d’appui.

Fixées à 4.161 millions de dinars, les dépenses salariales enregistrent en 2026 une baisse de 1,5pc par rapport à l’année précédente que le ministre de l’Intérieur Khaled Nouri justifie par la réaffectation des allocations entre les services du département.

Le ministre s’exprimait, mardi, lors d’une séance de travail conjointe entre les commissions de la Défense de la Sécurité à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP).

Sur un autre plan, le ministre a annoncé la création de 2 900 nouveaux postes d’emploi dans les corps de la sécurité nationale, la Garde nationale et la Protection civile.

Il a également annoncé la mise en place d’un programme de modernisation des locaux de sécurité et de rénovation du parc automobile des différents corps.

Khaled Nouri a qualifié de stable la situation sécuritaire dans le pays, malgré les défis sécuritaires aux niveaux régional et international.

Il a souligné que le département œuvre en vue de renforcer la confiance du citoyen dans l’État et ses institutions, garantir la paix sociale, améliorer le climat de l’investissement et consolider le rôle social de l’État, insistant sur l’application de la loi dans le respect des droits de l’Homme et des libertés.

 

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Gabès : une bonne saison pour les grenades avec 20 000 tonnes récoltées

Le président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche à Gabès, Habib Theyab a affirmé que “la saison actuelle des grenades, qui touche à sa fin, a été bonne”.

Il a indiqué, à l’Agence TAP, que la récolte des grenades dans la région, qui a atteint environ 20 mille tonnes, a été fortement commercialisée sur les marchés tunisien et libyen, grâce aux caractéristiques distinctives de la grenade gabesi.

La même source a exhorté le ministère de l’Agriculture à œuvrer pour le renforcement de l’approvisionnement en eau d’irrigation et la fourniture des pesticides pour aider les agriculteurs de la région dans leurs efforts de préservation et de développement de cette culture.

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Jemna : reprise de la cueillette des dattes après un accord sur les prix

Les agriculteurs à Jemna dans la délégation de Kébili-sud ont repris ce matin les opérations de cueillette des dattes suite à l’accord conclu lundi relatif à la fixation du prix de collecte et stockage.

En effet, lors d’une réunion organisée lundi au siège du gouvernorat en présence des représentants des différentes parties concernées par la production et la commercialisation des dattes, il a été convenu de ramener les prix de collecte à ce qu’ils en étaient au début de la saison de récolte, soit 3500 millimes /kg pour la première variété des dattes « Chamroukh » et 2500 millimes /kg pour la deuxième variété de ce produit.

Rappelons que les producteurs de dattes à Jemna avaient suspendu la semaine dernière les opérations de cueillette des dattes pour protester contre la baisse de 500 millimes des prix de collecte

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Autoroute Tunis–Jelma : 90 % des obstacles levés, livraison prévue en 2027

Le projet de l’autoroute Tunis–Jelma, qui traverse notamment le gouvernorat de Kairouan, avance à un rythme soutenu après la levée de la plupart des obstacles fonciers et administratifs.

Selon des responsables du ministère de l’Équipement, plus de 90 % des problèmes liés aux terrains, aux tronçons et aux réseaux publics ont été résolus, ouvrant la voie à une accélération des travaux dont l’achèvement est prévu pour 2027.

S’étendant sur environ 186 kilomètres, cette infrastructure majeure reliera la capitale Tunis à la ville de Jelma (Sidi Bouzid), en passant par Ben Arous, Zaghouan et Kairouan.

Financé conjointement par l’État, le Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES) et la Banque européenne d’investissement (BEI), le projet est divisé en huit tronçons.

La région de Kairouan en concentre la plus grande partie, avec près de 100 kilomètres sur son territoire.

Le plus grand chantier en Tunisie

« Le coût global du projet s’élève à 1,7 milliard de dinars, ce qui en fait le plus grand chantier en cours en Tunisie », affirme Jalloul Ben Faraj, responsable du suivi des tronçons reliant Sbikha à Hafouz.

Il précise que les travaux avancent à des rythmes variables selon les sections, avec un taux d’exécution compris entre 30 et 35 %.

L’un des principaux défis a concerné les procédures d’expropriation. Grâce à la révision du cadre légal en 2022 et à la mise en place d’une commission de conciliation, les terrains nécessaires ont pu être mis à disposition des entreprises, sans recours à la démolition forcée.

Les propriétaires concernés ont été indemnisés de manière consensuelle, conformément aux exigences des bailleurs de fonds.

Les difficultés liées à l’approvisionnement en matériaux de construction ont également ralenti le chantier.

Certaines carrières ayant été suspendues pour dettes, le ministère a eu recours à de nouveaux exploitants.

Une mesure innovante a par ailleurs permis aux agriculteurs de céder la terre non fertile issue de leurs champs pour les besoins du chantier, avec l’accord des services agricoles.

La phase de revêtement est prévue pour 2026, avec l’introduction d’une technique inédite en Tunisie : la stabilisation de la chaussée par granulats cimentés (« grave ciment »).

L’autoroute comprendra cinq échangeurs, plusieurs ponts, six aires de repos et une aire d’atterrissage pour hélicoptères.

« Ce projet structurant transformera la dynamique du centre du pays », souligne Ben Faraj. « Il va améliore la connectivité entre plusieurs gouvernorats et stimuler le développement économique et social de toute la région ».

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Kairouan : les maisons d’hôtes entre tradition, patrimoine et tourisme authentique

Les anciennes maisons d’hôte de Kairouan, à l’image de Dar Hassine Allani, constituent aujourd’hui un véritable pont entre passé et présent.

Ces demeures au charme ancestral se transforment en musées vivants où l’histoire, la culture et le patrimoine kairouanais se côtoient dans chaque détail.

Selon le délégué régional du tourisme à Kairouan, Mourad Alouini, la ville connaît un engouement croissant pour ce type d’hébergement, traduisant la volonté des visiteurs de vivre une expérience touristique authentique, en immersion dans la culture locale.

D’après lui, le ministère du Tourisme a intégré le développement des maisons d’hôte dans sa stratégie nationale, avec l’ouverture en 2025 de deux nouveaux logements familiaux, et quatre autres prévus, d’ici la fin de l’année 2025, dont trois résidences d’accueil.

L’année 2026 verra, elle aussi, la création de plusieurs établissements actuellement en cours de réalisation, a-t-il indiqué.

Selon le délégué régional du tourisme, cette orientation s’inscrit dans une politique de diversification de l’offre touristique, misant sur la valorisation du patrimoine religieux, architectural et culturel de Kairouan, berceau des conquêtes musulmanes au Grand Maghreb, et offrant une alternative aux hôtels traditionnels.

Dans ce contexte, il a fait savoir qu’une quinzaine d’investisseurs ont déjà déposé des demandes pour ouvrir des maisons d’hôtes et des hébergements ruraux, un segment touristique de plus en plus recherché par les visiteurs tunisiens et étrangers.

Les maisons d’hôtes, qui s’inscrivent dans une tendance mondiale du tourisme alternatif, permettent aux visiteurs de vivre au cœur du tissu urbain ancien, de partager le rythme de la vie kairouanaise et de découvrir l’âme d’une ville inscrite dans les annales de  la mémoire nationale.
Dar Hassine Allani, une maison d’hôte devenue musée vivant

Parmi les demeures les plus emblématiques de Kairouan, Dar Hassine Allani qui occupe une place particulière. Considérée comme l’une des plus anciennes maisons d’hôte de la région, elle s’apparente aujourd’hui à un musée vivant qui incarne l’authenticité et l’âme de la cité aghlabide.

Sa structure arabo-musulmane, datant du XVIIIᵉ siècle, a été minutieusement préservée, tout comme le mobilier et les objets originaux de l’époque.

Cette maison est bien plus qu’un simple lieu d’hébergement,  explique Fatiha Khadhraoui, responsable de la demeure.

Elle représente une véritable fenêtre ouverte sur la culture populaire locale, qui transporte le visiteur dans le temps, entre traditions, parfums et architecture ancienne, a-t-elle dit.

Ici, les visiteurs découvrent les arts et métiers caractéristiques de la région : le tapis kairouanais, les objets en cuivre, la céramique… autant de savoir-faire qui ont fait la réputation de Kairouan à travers les siècles.

La visite permet également de comprendre des pratiques ancestrales comme la collecte de l’eau du majel (réservoir traditionnel), ou encore la conservation des aliments dans les caves souterraines aménagés à cette fin, où les provisions pouvaient durer toute une année.

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Le 13e Congrès de néphrologie à Hammamet met l’accent sur la greffe et la dialyse

Le 13e Congrès National de Néphrologie, dédié aux maladies des reins, se tiendra du 13 au 15 novembre à Hammamet. Cet événement rassemblera pendant trois jours les principaux spécialistes tunisiens et internationaux du domaine.

Au programme de ce congrès, trois grandes sessions sont prévues pour faire le point sur les avancées les plus récentes.

La première session traitera des maladies qui attaquent les filtres des reins (glomérulopathies).

Les experts discuteront des nouveaux traitements pour plusieurs de ces maladies spécifiques, selon la page Facebook de la Société tunisienne de néphrologie, dialyse et transplantation rénale (STNDT).

La deuxième session sera consacrée aux situations complexes en dialyse, une technique qui remplace la fonction des reins. Elle abordera des cas particuliers comme la dialyse chez les femmes enceintes, les personnes âgées ou les patients obèses.

Enfin, la troisième session se concentrera sur la greffe de rein. Les spécialistes y présenteront les dernières recommandations internationales, les nouvelles thérapies pour prévenir le rejet de l’organe et les techniques permettant des greffes entre donneur et receveur dont les groupes sanguins sont pourtant incompatibles.

Un symposium spécial mettra en lumière le rôle de nouveaux médicaments protecteurs pour les reins (inhibiteurs de SGLT2), initialement développés pour le diabète.

L’état des lieux de la greffe rénale en Tunisie fera également l’objet d’une présentation et d’un débat, notamment sur les défis pour les patients les plus fragiles.

En marge des conférences, un atelier pratique formera les médecins à la gestion des cathéters, ces dispositifs nécessaires à la dialyse.

Véritable plateforme d’échange et de formation, ce congrès joue un rôle central pour le développement de la prise en charge des maladies rénales en Tunisie, en l’alignant sur les standards internationaux.

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Hammamet accueille le 10e Congrès maghrébin de géophysique appliquée

La ville de Hammamet accueille, du 7 au 9 novembre 2025, le 10ᵉ Congrès Maghrébin de Géophysique Appliquée (CMGA10), qui sera organisé à l’initiative du Laboratoire Géo-ressources, relevant du Centre de Recherches et des Technologies des Eaux (CERTE) et du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Cet événement, qui se positionne comme la principale plateforme scientifique maghrébine et africaine dédiée à la géophysique appliquée, aux ressources naturelles et à la durabilité environnementale, devrait accueillir des participants  de plus de 20 pays, avec une majorité issue de la région maghrébine, arabe et africaine (dont l’Algérie, le Maroc, la Libye, l’Égypte, le  Niger, la Burkina Faso, le Cameroun, le Côte d’Ivoire…), ainsi que d’autres pays du monde.

Axé sur la problématique de l’exploration de solutions géophysiques afin de faire face aux défis de la transition énergétique, de la gestion de l’eau et des risques naturels, Ce congrès marque un moment clé pour la recherche “Water–Energy–Environnement” (eau, énergie, environnement) dans un contexte de transition énergétique, de raréfaction de l’eau et de changements climatiques.

Il réunit chercheurs, startups, étudiants, décideurs publics et acteurs industriels autour des enjeux clés de la géophysique appliquée et du développement durable.

Le programme comprend sept axes thématiques principaux, allant des technologies avancées d’acquisition et de traitement des données aux sciences planétaires, ainsi que des ateliers sur l’intelligence artificielle appliquée aux géosciences et un espace d’exposition pour les innovations et les prototypes.

Il est à noter que le CMGA 10 ambitionne de construire un écosystème maghrébin ouvert sur l’environnement afro-méditerranéen, en favorisant la collaboration interdisciplinaire, la diffusion des connaissances scientifiques et l’inclusion des jeunes chercheurs.

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Sensibiliser et agir : l’ATB renouvelle son engagement pour l’Octobre Rose

L’Arab Tunisian Bank (ATB) s’associe une nouvelle fois à la campagne Octobre Rose, prolongeant une initiative saluée pour son impact humain et collectif.

Cette rencontre portée par Monsieur Riadh Hajjej, Directeur Général de l’ATB, s’est tenue durant la matinée du 29 octobre 2025 au siège de la banque.

Cette nouvelle édition a rassemblé les collaborateurs autour d’un programme informatif et participatif, animé par deux médecins spécialistes.
Au programme : présentation médicale sur la prévention, diffusion de capsules de sensibilisation, et séance interactive de questions-réponses, offrant un espace d’échange libre et bienveillant entre experts et participants.

Plébiscitée pour son approche à la fois pédagogique et solidaire, cette nouvelle édition s’est conclue sur un moment convivial, favorisant les échanges et renforçant le sentiment d’appartenance à une même communauté unie et engagée.

À travers cette initiative, l’ATB confirme que la sensibilisation ne se limite pas à une action ponctuelle, mais s’inscrit dans une démarche durable plaçant la santé et le bien-être des collaborateurs au cœur de ses priorités.

À propos de l’ATB

Fondée en 1982, l’Arab Tunisian Bank est une institution bancaire de référence en Tunisie, offrant une gamme complète de services financiers innovants aux particuliers et aux entreprises.
Engagée à soutenir le développement économique et à promouvoir l’inclusion financière, l’ATB met la qualité de service et la proximité au cœur de sa mission.

Pour plus d’informations : www.atb.com.tn

 

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Une campagne nationale d’échantillonnage des sols lancée en Tunisie

Une vaste nationale d’échantillonnage des sols a été lancée, le 3 novembre à Tunis, et concernera l’ensemble du territoire tunisien. La campagne est menée par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), à travers le projet SoilFER-VACS, en partenariat avec le ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche.

D’après la FAO, cette campagne vise à renforcer les capacités nationales en matière de fertilité des sols et de gestion durable des ressources naturelles, en collaboration avec les institutions tunisiennes partenaires.

Cette initiative d’envergure a pour objectif de collecter environ 3 200 échantillons afin de produire des données précises et actualisées sur l’état des sols du pays. Les informations collectées permettront d’élaborer des cartes numériques de haute résolution, mettant en évidence les concentrations en nutriments et les bilans nutritifs des sols. Ces cartes constituent un outil stratégique pour les décideurs, les chercheurs et les agriculteurs, qui appuiera les décisions liées à la gestion durable des ressources naturelles et facilitera la planification et la mise en œuvre de pratiques agricoles durables.

L’initiative de la FAO intervient dans un contexte marqué par  la crise mondiale des engrais et la pression croissante sur les ressources naturelles, d’où la nécessité de mieux valoriser le potentiel des sols tunisiens.

Pour marquer le lancement officiel de cette campagne, une cérémonie d’ouverture a été organisée, le 3 novembre courant, à Tunis, en présence des différents partenaires institutionnels et techniques. Selon l’organisation onusienne, cet événement a permis de mettre en lumière les enjeux et les objectifs de l’opération, tout en présentant l’approche méthodologique adoptée pour le prélèvement et l’analyse des échantillons.

La rencontre a également été l’occasion d’informer sur la mobilisation des équipes techniques, formées du 21 au 24 octobre dernier, à la méthode de collecte des données, ainsi que sur leur déploiement sur le terrain en fonction des zones ciblées. Une démonstration pratique d’échantillonnage a ensuite été réalisée afin d’illustrer concrètement le processus de collecte des données.

Le projet SoilFER-VACS (Vision for Adapted Crops and Soils/ Vision pour des cultures et des sols adaptés), financé par le gouvernement du Japon et mis en œuvre conjointement par la FAO et les autorités nationales, concerne la Tunisie et le Mozambique. Il vise à faire progresser l’agriculture dans les deux pays en améliorant les rendements, en renforçant la sécurité alimentaire et en promouvant des pratiques agricoles résilientes face aux changements climatiques.

Le cadre VACS met l’accent sur une approche intégrée des sols et des cultures, adaptée aux spécificités pédoclimatiques de chaque région. Il encourage l’utilisation de variétés locales et de pratiques agricoles traditionnelles, mieux adaptées aux conditions naturelles, tout en réduisant la dépendance aux engrais importés. En favorisant la culture de produits traditionnels et indigènes, cette approche contribue à la préservation de la biodiversité, à la valorisation du patrimoine agricole et à la promotion d’une agriculture durable au service des communautés locales.

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Développement social : Issam Lahmar au Sommet mondial des Nations unies à Doha

Le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, participera aux travaux du deuxième Sommet mondial pour le développement social organisé par les Nations unies et accueilli par l’État du Qatar du 4 au 6 novembre 2025, selon un communiqué publié mardi par le ministère.

Ce deuxième sommet mondial, qui se tient environ 30 ans après la déclaration de Copenhague sur le développement social issue du premier sommet mondial sur le développement social en 1995, réunira un certain nombre de chefs d’États et de gouvernements, de ministres des affaires sociales et du développement, de représentants d’organisations internationales et régionales, d’organisations de la société civile accréditées auprès des Nations unies, du secteur privé, d’experts et d’universitaires.

Le deuxième Sommet mondial sur le développement social constitue une plateforme centrale de dialogue, de coopération et de solutions communes visant à renforcer la coopération internationale en faveur d’un développement social inclusif, tout en donnant une impulsion forte à la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.

Les travaux du sommet, qui se dérouleront sur trois jours, porteront sur trois thèmes principaux : « l’élimination de la pauvreté », « un travail décent pour tous » et « l’inclusion sociale ».

Aujourd’hui, selon le site web des Nations unies, la « Déclaration politique de Doha » convenue à New York en septembre dernier, à l’issue d’un processus de négociation intergouvernemental qui s’est déroulé à l’ONU à New York, sera adoptée.

Cette déclaration constitue, selon l’ONU un moment charnière dans l’effort mondial visant à accélérer le progrès social, à éliminer la pauvreté et à construire des sociétés plus inclusives, plus justes et plus durables.

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Projet de loi de finances 2026 : experts et universitaires débattent des réformes économiques à la FSEGT

Une table ronde pour décrypter le projet de loi de finances 2026, ses enjeux, ses orientations et les débats autour des nouvelles mesures, sera organisée, le 19 novembre courant, par la Faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis (FSEGT).

Cet événement, qui revêt une importance particulière dans le contexte des débats nationaux sur les priorités économiques et sociales, réunira un panel d’éminents professeurs et experts dans les domaines financier, fiscal et économique.

Ils présenteront et analyseront le projet de loi et le budget de l’État 2026 sous différents angles, en mettant l’accent sur les réformes fiscales, les mécanismes de financement du budget et les principales mesures sociales envisagées.

Lors de cette rencontre, les dispositions attendues du projet de loi de finances seront passées au crible, avec des lectures approfondies de ses impacts potentiels sur le climat des affaires et le pouvoir d’achat des citoyens.

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Sidi Bouzid en tête des investissements en Tunisie avec 15,8 % du total national en 2025

Le gouvernorat de Sidi Bouzid s’est hissé à la première place au niveau national en termes de volume des investissements déclarés, représentant 15,8 % du total national durant les neuf premiers mois de 2025. Cette performance est, principalement, portée par deux grands projets dans le secteur des énergies renouvelables, totalisant 780,4 millions de dinars (MD).

Selon le bulletin de conjoncture de l’investissement en Tunisie (janvier–septembre 2025), publié mardi, par l’Instance Tunisienne de l’Investissement (TIA), les dix premiers gouvernorats du pays — Sidi Bouzid, Gabès, Tunis, Nabeul, Gafsa, Sfax, Kairouan, Jendouba, Ben Arous et Bizerte — ont concentré plus de 74 % du volume total des investissements déclarés, tous secteurs confondus.

Les zones de développement régional continuent d’attirer une part importante des flux d’investissement, avec un total de 3576,4 MD, soit 60 % du total national.

Par ailleurs, neuf projets d’intérêt national (PIN) ont été enregistrés sur la période, pour un montant global de 2221,3 MD, représentant 37 % du volume total des investissements déclarés. Ces projets devraient générer 1650 emplois, répartis entre les secteurs des énergies renouvelables (1633,2 MD), du tourisme (452,9 MD) et de l’industrie (135,2 MD).

En ce qui concerne la nature des capitaux, les investissements entièrement tunisiens ont représenté 55 % du total déclaré, contre 45 % pour les projets à participation étrangère, dont le volume a atteint 2661,8 MD. Ces derniers devraient créer 12 146 emplois, soit 16 % de l’ensemble des postes déclarés.

Enfin, l’analyse détaillée des investissements étrangers montre que 63% d’entre eux concernent des opérations de création, tandis que les projets d’extension dominent en matière de création d’emplois (66%).

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Tunisie : les investissements déclarés bondissent de 41,5 % au 3e trimestre 2025, porté par les énergies renouvelables

Le volume des investissements déclarés à l’échelle nationale, tous secteurs confondus, s’est établi à 5973,3 millions de dinars (MD), entre janvier et septembre 2025, enregistrant une hausse remarquable de 41,5% par rapport à la même période de 2024, d’après le Bulletin de conjoncture de l’Investissement en Tunisie publié, mardi, par l’Instance Tunisienne de l’Investissement (TIA).

Cette progression s’explique, principalement, par la déclaration de trois grands projets dans le secteur des énergies renouvelables au mois de septembre 2025, pour un montant total de 1083,6 MD, confirmant la montée en puissance de ce secteur stratégique.

Les investissements déclarés devraient générer environ 74 111 opportunités d’emploi, soit une progression de 17,8 % par rapport à la même période de l’année précédente.

Les opérations de création demeurent prédominantes. Durant les neuf premiers mois de 2025, les opérations de création ont représenté 77 % des investissements déclarés, soit 4573,3 MD et vont générer 84% des emplois déclarés (62 573 postes).

Le secteur industriel reste leader

Durant les neuf premiers mois de 2025, les investissements déclarés se répartissent à raison de 30% pour le secteur industriel, 28% pour le secteur des énergies renouvelables, 17% pour les services, 15% pour l’agriculture et 10% pour le tourisme.

Contribuant à hauteur de 30 % aux investissements déclarés et de 36 % aux emplois à créer, le secteur industriel confirme son rôle clé dans l’économie tunisienne durant les neuf premiers mois de 2025. Néanmoins, sur la même période, il enregistre un repli de 17,6 % des montants investis et de 15,3 % des emplois prévus par rapport à l’année précédente.

Avec 1 660,2 MD, soit 28 % du total des investissements déclarés, le secteur des énergies renouvelables se classe au deuxième rang national, confirmant son rôle clé dans la stratégie de transition énergétique de la Tunisie à l’horizon 2035.

Le secteur des services se place en troisième position, avec 1 038,7 MD d’investissements (17 % du total) et 39 050 emplois à créer (53 % du total).Ces chiffres traduisent une hausse de 41,7 % des investissements et de 53% des emplois par rapport à la même période de 2024.

Le secteur agricole occupe la quatrième place avec 911,3 MD d’investissements (15% du total), générant 7007 postes d’emplois. Ce résultat marque un recul de 14,5% par rapport à la même période 2024.

Avec 587,4 MD d’investissements déclarés durant la période janvier-septembre 2025, le secteur du tourisme se classe en dernière position, représentant 10% du total des investissements déclarés, ce qui va permettre la création de 1350 postes d’emploi.

La TIA a précisé que les projets d’investissement dont le montant dépasse 600 MD ne sont pas pris en compte dans ces statistiques.

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