Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

REMERCIEMENTS ET FARK : M’hamed BEN EZZEDDINE

Nous remercions de tout cœur tous ceux qui se sont associés à notre immense douleur, par leur présence, appels et soutien, suite au décès de notre cher et regretté et bien-aimé père

M’hamed BEN EZZEDDINE

Ses enfants :

Emira Ben Ezzeddine, Mohamed Ben Ezzeddine et Nour Ben Ezzeddine

Leur mère:

Nadia Darragi

Ses gendres et belle-fille:

Omar Khaddar, Sonia Hassine Ben Ezzeddine et Karim Chelly,

Ses petites-filles :

Lina Ben Saïd, Seline Khaddar, Lara et Zyne Ben Ezzeddine, Celia et Lisa Chelly

Sa sœur :

•⁠  ⁠Salwa Ben Ezzeddine, son époux Brahim Trabelsi, leur fille Myriam, son époux Omar El Gharbi et leurs enfants

Son frère :

•⁠  ⁠Fayçal Ben Ezzeddine, son épouse Nebgha Rassâa, leurs fils Ezzeddine et Farouk et sa fille

Ses oncles :

•⁠  ⁠Abdelkarim Ben Ezzeddine et famille

•⁠  ⁠Abdelrahman Ben Ezzeddine et famille

Ahmed Ben Saïd, le père de Lina

Sa gouvernante :

•⁠  ⁠Fatma Hedheli

Les familles parentes et alliées :

Ben Ezzeddine, Darragi, Megdich, Dato, Khaddar, Hassine, Chelly, Ben Saïd, Trabelsi, Rassâa, Maâref Gargouri, Fourati, Hizaoui, Sahli, Boussofara, Fliss, Aloulou, Ksontini, Boukhchina, Atoui, Gharbi, Menekbi, Hedheli et Marhbene,

Vous annoncent que la cérémonie du Fark aura lieu aujourd’hui, lundi 03 novembre, à partir de 16h00, au 23, rue Omar El Mokhtar, Mutuelleville, Tunis.

Que Dieu lui accorde Sa Miséricorde et l’accueille dans Son éternel Paradis.  

The post REMERCIEMENTS ET FARK : M’hamed BEN EZZEDDINE first appeared on La Presse de Tunisie.

REMERCIEMENTS ET FARK : Kais Belkadhi

Sa veuve Amel Fessili

Sa fille Khansa, son époux Sarhane et leurs filles Sofia Baya et Sarah

Son fils Mohamed Chedly

Ses sœurs :

– Emna Belkadhi et ses enfants: Haifa Ben Jazia, son mari et leurs enfants, Haithem Darghouth

– Feu Latifa Belkadhi et ses enfants : Slim Lariani et ses enfants, Rym Dhaouadi son mari Adel et leurs enfants, Chiraz et son mari 

– Feu Moufida Malek et ses enfants, Safouène, Jihène Malek, son mari et leurs enfants, Chawki, sa femme et leur fille, Imed, sa femme et leurs enfants, Fatma, son mari et leurs enfants

Son beau-frère Lassad Fessili, sa femme et leurs enfants 

Ses belles-soeurs Latifa Fessili, Souad Hachicha, Hajer Ben Tarjem, leurs époux et leurs enfants 

Les familles Belkadhi, Darghouth, Fessili, Ben Khedher, Ben Tarjem et les familles parentes et alliées remercient tous ceux qui se sont associés à leur peine et douleur, par leur présence, appels et messages suite au décès de leur très cher   et regretté

Kais Belkadhi

et annoncent que la cérémonie du Fark aura lieu aujourd’hui, lundi 3 novembre 2025, à partir de 15h00, à son domicile sis au 2, rue Laroussi Haddad – La Marsa. 

Que Dieu lui accorde Sa Miséricorde et l’accueille dans Son éternel Paradis.  

The post REMERCIEMENTS ET FARK : Kais Belkadhi first appeared on La Presse de Tunisie.

MEMOIRE : Hadj Hamouda HORCHANI

A la Mémoire de notre Cher et Regretté Père et Grand-Père

Hadj Hamouda HORCHANI

Décédé le 02/11/2008

Voilà déjà 17 ans  depuis que tu nous as quittés pour un monde meilleur où tu reposes en paix. Tu resteras vivant à jamais dans notre mémoire et notre cœur.

Tu nous as laissé un vide immense que nous ne pouvons combler que par les souvenirs de ton regard, ton sourire, tes réflexions et ta bravoure légendaires.

Notre seule fierté est l’exceptionnelle affection que tu nous as particulièrement manifestée.

Nous resterons à jamais fidèles à tes nobles souhaits, principes et valeurs, et que ceux qui les ont trahis se repentissent un jour auprès de Dieu le tout puissant.

Que ceux qui t’ont connu et estimé et que tu as entourés de ta sensibilité, bonté et générosité récitent la Fatiha à ta mémoire.

Kamel et Haykel HORCHANI

The post MEMOIRE : Hadj Hamouda HORCHANI first appeared on La Presse de Tunisie.

Trois jeunes meurent dans un accident de moto à Sidi Bouzid

Trois jeunes hommes ont perdu la vie dans un accident de moto, survenu dans la soirée de samedi 1er novembre 2025, près d’El Hzamia à Sidi Bouzid.

Les unités de la protection civile et de la garde nationale sont intervenues sur place rapidement mais les jeunes sont morts sur le coup, selon les premières informations, relayées par les témoins.

Les circonstances exactes de ce drame sont méconnues et une enquête a été ouverte à cet effet.

Y. N.

L’article Trois jeunes meurent dans un accident de moto à Sidi Bouzid est apparu en premier sur Kapitalis.

Mahdia | Décès d’un homme après une chute depuis le toit de sa maison

Un drame a secoué la ville de Mahdia en fin de journée de ce jeudi 30 octobre 2025, après le décès d’un homme suite à une chute survenue depuis le toit de sa maison.

La victime est morte sur le coup, indique une source citée par Jawhara FM, en ajoutant que les circonstances exactes de cette chute restent pour l’heure indéterminées.

Suite à ce drame, les autorités compétentes ont rapidement été dépêchées sur les lieux et le corps de la victime a été transféré à l’hôpital Taher Sfar de Mahdia, où une autopsie sera pratiquée dans le cadre de l’enquête ouverte par le procureur afin de déterminer les causes et les circonstances du décès.

Y. N.

L’article Mahdia | Décès d’un homme après une chute depuis le toit de sa maison est apparu en premier sur Kapitalis.

Sousse | L’élève Omar succombe à ses blessures après une chute d’un bus scolaire

L’élève Omar Meddeb, grièvement blessé suite à une chute d’un bus scolaire est décédé ce mercredi 29 octobre 2025 à l’unité de réanimation de l’hôpital universitaire de Sahloul (Sousse).

C’est ce qu’affirme la radio locale, en précisant qu’Omar (13 ans) a succombé à une grave hémorragie après 9 jours d’hospitalisation en réanimation.

Suite à l’annonce de cette triste nouvelle, de nombreux habitants de la région ont exprimé leur douleur et ont appelé à ouvrir une enquête élargie pour déterminer les responsabilités à tous les niveaux dans ce drame, tout en rappelant que l’état du transport scolaire dans la région est pitoyable et manque totalement de sécurité.

Y. N.

L’article Sousse | L’élève Omar succombe à ses blessures après une chute d’un bus scolaire est apparu en premier sur Kapitalis.

Santé publique : En Tunisie, un AVC toutes les trente minutes, un décès toutes les deux heures

La Tunisie fait face à une crise silencieuse mais redoutable : les accidents vasculaires cérébraux (AVC) frappent à un rythme alarmant, avec un nouveau cas toutes les trente minutes et un décès toutes les deux heures. Ces chiffres, révélés ce mercredi par la professeure Amina Gargouri, neurologue, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre l’AVC, mettent en lumière une urgence sanitaire souvent sous-estimée.

Réagir vite pour sauver le cerveau

Invitée sur les ondes de la Radio Nationale, la spécialiste a rappelé que la survie et la récupération des patients dépendent essentiellement de la rapidité de la prise en charge. Dès l’apparition de signes soudains tels qu’une déformation du visage, une faiblesse d’un bras ou des troubles visuels.

Il est vital, selon elle, de se rendre immédiatement à l’hôpital le plus proche. « Chaque minute compte. Plus le traitement est administré tôt, plus les chances de sauver le cerveau sont élevées », a-t-elle insisté.

Lire aussi

Comment prévenir la maladie ?

La neurologue a également insisté sur la prévention, qu’elle qualifie d’« arme la plus efficace » contre l’AVC. Un mode de vie sain, explique-t-elle, réduit considérablement les risques : faire de l’exercice régulièrement, adopter une alimentation équilibrée, éviter le tabac et limiter la consommation d’alcool figurent parmi les recommandations essentielles. « Le maintien d’un corps sain a un effet direct sur la santé du cerveau et contribue à le préserver », a-t-elle ajouté.

Des unités spécialisées et des traitements à distance

Sur le plan médical, la Tunisie a réalisé des progrès notables dans la prise en charge de cette pathologie. Des unités spécialisées ont été mises en place dans plusieurs hôpitaux universitaires ainsi que dans certaines cliniques privées, permettant un traitement plus rapide et adapté des cas d’urgence.

Par ailleurs, deux centres de télémédecine ont été déployés pour assurer un suivi à distance : celui de Sfax, qui prend en charge les patients de Tozeur, et celui de Sousse, qui suit les cas de Jendouba. Ces unités utilisent des équipements et des protocoles reconnus au niveau international, offrant ainsi aux patients des soins conformes aux standards modernes.

Lire aussi

Mais malgré ces avancées, les défis restent nombreux. Le manque d’information, les retards dans l’arrivée aux urgences et l’insuffisance d’unités spécialisées dans certaines régions continuent de compromettre la survie de centaines de patients chaque année. La professeure Gargouri appelle à une mobilisation nationale, alliant sensibilisation, prévention et renforcement des infrastructures hospitalières.

La lutte contre les AVC, rappelle-t-elle, ne se joue pas seulement dans les hôpitaux, mais aussi dans le quotidien de chaque citoyen. Adopter une hygiène de vie saine, reconnaître les symptômes à temps et agir vite : autant de réflexes simples qui peuvent, littéralement, sauver une vie.

L’article Santé publique : En Tunisie, un AVC toutes les trente minutes, un décès toutes les deux heures est apparu en premier sur webdo.

Cérémonie funéraire en hommage à Mohamed Tata au siège du SNJT

Une cérémonie funéraire a été organisée ce jeudi 23 octobre 2024 au siège du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) à Tunis, en hommage au journaliste photographe Mohamed Tata.

La profession a rendu hommage à un homme dont la carrière fut synonyme de rigueur, d’engagement et de professionnalisme sans faille, lit-on dans le communiqué du SNJT, qui affirme que Mohammed Tata était de ceux qui ont fait de la photo de presse non pas un simple agrément, mais une preuve, un document et un témoignage du réel.

Journaliste photographe passionné, il a travaillé pour plusieurs chaînes tunisiennes et étrangères ainsi que pour de nombreux sites médiatiques, rappelle encore la même source.

Le Syndicat a également souligné les qualités humaines du regretté Mohamed Tata, en commentant : « Il ne cherchait ni la célébrité ni les projecteurs, mais uniquement l’accomplissement de son devoir avec la plus grande exactitude et le respect des règles de l’art… Sa courtoisie et son sens du relationnel étaient unanimement appréciés… la famille de la presse perd un des visages calmes et sincères ».

Y. N.

L’article Cérémonie funéraire en hommage à Mohamed Tata au siège du SNJT est apparu en premier sur Kapitalis.

Zaghouan | Décès du délégué régional de l’Éducation Idriss Mhamdi

La communauté éducative de Zaghouan est en deuil suite à la disparition du délégué régional de l’Éducation, Idriss Mhamdi, ce mercredi 22 octobre 2025, des suites d’une crise cardiaque alors qu’il était hospitalisé.

La nouvelle, accueillie avec une profonde tristesse a été officialisée par la délégation régionale de l’Éducation de Zaghouan dans un communiqué.

Le personnel de la Délégation, ainsi que l’ensemble de la famille éducative de la région, ont exprimé leurs sincères condoléances à la famille du regretté.

Plusieurs éducateurs des différentes régions du pays ont aussi rendu hommage à Idriss Mhamdi, le décrivant comme «un brave qui a consacré sa vie à l’éducation et qui a travaillé avec engagement et passion » et « un homme humble, altruiste, aimé et aimant »…

Idriss Mhamdi sera accompagné à sa dernière demeure demain, jeudi, après la prière d’El-Dhohr au cimetière de Sidi Omar situé à Sbeïba.

Y. N.

L’article Zaghouan | Décès du délégué régional de l’Éducation Idriss Mhamdi est apparu en premier sur Kapitalis.

Migration | Quarante morts, dont des bébés, dans un naufrage à Salakta

Suite au naufrage d’une embarcation de fortune qui tentait une traversée clandestine vers l’Europe, 40 migrants subsahariens, dont des nourrissons sont morts.

Ce nouveau drame de la migration a été enregistré à l’aube de ce mercredi 22 octobre 2025, au large de Salakta dans le gouvernorat de Mahdia.

Trente autre personnes ont été secourues par les unités de la garde marine, a annoncé Walid Chatrbi, porte-parole du tribunal de première instance de Mahdia, dans une déclaration aux médias.

La même source a ajouté qu’une enquête a été ouverte sur ordre du ministère public près le tribunal de première instance de Mahdia, pour « constitution d’une entente en vue d’aider autrui à franchir illicitement les frontières maritimes ayant entraîné la mort » et pour « trafic d’êtres humains ».

Y. N.

L’article Migration | Quarante morts, dont des bébés, dans un naufrage à Salakta est apparu en premier sur Kapitalis.

Décès de la professeure Saïda Ben Becher, figure emblématique de la pédiatrie tunisienne

Le monde médical tunisien est en deuil. La professeure Saïda Ben Bchir, l’une des plus grandes figures de la pédiatrie en Tunisie, est décédée ce mardi 7 octobre 2025, a annoncé la Société tunisienne de pédiatrie dans un communiqué.

Ancienne présidente de la Société tunisienne de pédiatrie pendant six ans, la défunte a également dirigé le service d’urgences pédiatriques de l’Hôpital d’enfants de Tunis jusqu’à sa mise à la retraite.

Durant toute sa carrière, Saïda Ben Bchir s’est distinguée par son dévouement exemplaire envers la santé des enfants, son engagement dans le développement de l’enseignement médical et sa contribution à la formation de plusieurs générations de pédiatres tunisiens.

La Société tunisienne de pédiatrie a salué la mémoire d’une femme « modèle de rigueur, d’humanité et de don de soi », adressant ses condoléances les plus sincères à sa famille, à ses collègues et à ses anciens étudiants.

L’article Décès de la professeure Saïda Ben Becher, figure emblématique de la pédiatrie tunisienne est apparu en premier sur webdo.

Claudia Cardinale : Une légende du cinéma née sous le ciel de Tunis s’éteint à 86 ans

Claudia Cardinale, née le 15 avril 1938 à Tunis, s’est éteinte à l’âge de 86 ans, laissant derrière elle un héritage cinématographique inégalé et une empreinte durable dans le cœur de ses admirateurs à travers le monde. Fille d’immigrés siciliens, elle grandit dans le quartier cosmopolite de La Goulette, un lieu où se mêlaient cultures arabe, juive et européenne, forgeant son identité méditerranéenne unique. Ses premiers souvenirs sont marqués par les ruelles colorées, les marchés animés et la mer Méditerranée qui baignait sa ville natale, autant d’éléments qui nourriront plus tard son sens de l’esthétique et sa sensibilité artistique.

Son premier contact avec le septième art survient en 1956, lorsqu’elle participe avec ses camarades de classe au court-métrage du réalisateur français René Vautier, Les Anneaux d’or, sur le thème de l’indépendance économique et sociale de la Tunisie. Le film est présenté à la Berlinale 1958, où il remporte l’Ours d’argent. Son unique gros plan dans le rôle d’une petite Arabe suffit à la faire connaître localement et attire l’attention de Jacques Baratier, qui lui offre un rôle aux côtés d’Omar Sharif dans Goha, une coproduction franco-tunisienne. Goha est présenté en sélection officielle au Festival de Cannes 1958, où il reçoit le prix « Le Premier Regard – Un Certain Regard » ex-æquo avec Visages de bronze de Bernard Taisant. Claudia retournera à Cannes en 2013 avec ce même film restauré, présenté dans la section Cannes Classics, témoignant du caractère intemporel de ses débuts.

Claudia cardinale
Tunisie
Hassiba Rochdi et Claudia Cardinale dans le film « Goha »

En 1957, un an après l’indépendance de la Tunisie, Claudia est élue « la plus belle Italienne de Tunisie ». Ce titre lui vaut un voyage à la Mostra de Venise, où elle découvre l’effervescence du cinéma international. Ce déplacement marque un tournant décisif dans sa vie : elle rencontre Franco Cristaldi, futur mentor et époux, qui reconnaît immédiatement son potentiel et l’aide à obtenir ses premiers contrats en Italie. Ces premières opportunités ouvrent la voie à une carrière internationale exceptionnelle, propulsant Claudia vers les plateaux de Rome, Paris, Los Angeles et au-delà.

Dans les années 1960 et 1970, Claudia Cardinale devient l’une des actrices européennes les plus emblématiques. Sa collaboration avec Luchino Visconti dans Le Guépard (1963), où elle incarne Concetta, lui vaut une reconnaissance immédiate pour sa capacité à incarner la noblesse italienne en pleine mutation. Federico Fellini l’intègre dans (1963), et elle y contribue par son élégance naturelle à l’univers surréaliste du réalisateur. Son rôle de Jill McBain dans le western spaghetti Il était une fois dans l’Ouest (1968) de Sergio Leone devient mythique, oscillant entre fragilité et force intérieure, tandis que sa collaboration avec Jean-Luc Godard (Une femme est une femme, 1961) et Michelangelo Antonioni (Le désert rouge, 1964) montre sa capacité à porter des rôles profondément introspectifs et psychologiquement complexes. Elle travaille également avec Pier Paolo Pasolini dans Théorème (1968), où sa présence magnétique bouleverse le récit et laisse une empreinte durable sur le cinéma européen. Ces films lui apportent de multiples distinctions et l’installation comme une figure incontournable du cinéma mondial.

Après les années 1970, Claudia Cardinale continue d’enrichir sa filmographie, explorant de nouveaux genres et collaborant avec des réalisateurs émergents. Elle participe à des productions italiennes, françaises et américaines, où elle interprète des personnages de femmes indépendantes, complexes et nuancées. Sa participation à Once Upon a Time in America (1984) de Sergio Leone témoigne de son engagement à rester au cœur de projets ambitieux, tout en portant toujours une attention particulière à la profondeur psychologique de ses rôles. Chaque nouveau film est pour elle l’occasion de montrer une facette différente de son talent, allant de la comédie légère au drame intense, sans jamais perdre sa singularité et son élégance naturelle.

Son lien avec la Tunisie reste central tout au long de sa vie. Elle retourne régulièrement sur les lieux de son enfance et participe à des films emblématiques du cinéma tunisien, notamment Un été à La Goulette de Ferid Boughdir, qui rend hommage à la vie multiculturelle de sa ville natale et aux traditions de la communauté locale. Elle joue également dans Le Fil de Mehdi Ben Attia en 2009, un film contemporain qui traite des tensions sociales et affectives en Tunisie, et dans L’Île du pardon de Ridha Béhi en 2022, confirmant son attachement indéfectible à son pays natal et à la valorisation du cinéma tunisien sur la scène internationale. Par un curieux destin, son premier film tourné en Tunisie, Les Anneaux d’or, et son dernier, L’Île du pardon, encadrent sa carrière et témoignent de son lien indéfectible avec son pays natal et le cinéma tunisien.

Claudia Cardinale partage également son amour pour la Tunisie à travers son livre Ma Tunisie, dans lequel elle évoque ses souvenirs d’enfance à La Goulette et à Tunis, ses promenades sur les plages de Carthage, ses visites dans les ruelles pittoresques de Sidi Bou Saïd et ses découvertes dans les marchés animés. Ce récit intime révèle une artiste profondément attachée à ses racines, consciente de la richesse culturelle et historique de son pays. En mai 2022, la municipalité de La Goulette inaugure une rue à son nom, un hommage symbolique célébrant sa carrière et son attachement à sa ville natale. Son portrait géant figure également sur un mur de sa ville, un témoignage visuel de son influence et de l’admiration que lui portent les habitants.

Claudia cardinale Tunisie
Rue Claudia Cardinale

Claudia cardinale Tunisie
Portrait de Claudia Cardinale à La Goulette

Au-delà du cinéma, Claudia Cardinale s’est illustrée par son engagement social et humanitaire. Défenseuse des droits des femmes et attentive aux causes humanitaires, elle a su utiliser sa notoriété pour soutenir des initiatives de solidarité et encourager l’égalité et la justice sociale. Son charisme, son élégance et sa générosité ont marqué ses contemporains et continuent d’inspirer les nouvelles générations.

Claudia Cardinale laisse derrière elle une filmographie impressionnante et diversifiée, un parcours unique qui traverse continents et décennies, et un attachement sincère à ses origines méditerranéennes. Son talent, son humanité et son amour pour la Tunisie resteront gravés dans la mémoire collective, faisant d’elle non seulement une légende du cinéma, mais également une véritable ambassadrice de sa terre natale. Chaque film, chaque rôle, chaque souvenir qu’elle partageait témoignait de sa passion pour l’art et de son attachement à ses racines, et c’est cette continuité entre ses expériences personnelles et artistiques qui définit son héritage exceptionnel.

Neïla Driss

L’article Claudia Cardinale : Une légende du cinéma née sous le ciel de Tunis s’éteint à 86 ans est apparu en premier sur webdo.

Manouba : Deux frères périssent noyés en tentant de sauver leur chienne

Les agents de la protection civile de Manouba sont parvenus, samedi 20 septembre, à repêcher les corps de deux frères âgés de 15 et 17 ans, morts noyés la veille dans le canal de la Medjerda (Cap Bon), au niveau de la localité d’El Habibia, délégation de Djedeida. L’information a été confirmée par le directeur régional de la protection civile, Salem Youssfi, à l’agence TAP.

Dès l’alerte donnée par les unités de la Garde nationale, une équipe de la protection civile appuyée par des plongeurs s’est rendue sur place pour lancer les recherches. Les deux corps ont été retrouvés successivement, emportés par le courant loin du lieu de l’accident.

Le parquet a procédé au constat et ordonné le transfert des dépouilles vers le service de médecine légale de l’hôpital Charles Nicolle à Tunis pour déterminer les causes exactes du décès. Une enquête a été ouverte par la brigade de recherches et d’investigations de la Garde nationale de Tebourba.

Selon des témoignages concordants, les deux adolescents auraient plongé dans le canal pour tenter de sauver leur chienne tombée à l’eau, mais n’ont pas réussi à se sortir du courant. Leur disparition tragique a plongé dans le deuil leur quartier ainsi que leur collège où ils étaient tous deux scolarisés.

L’article Manouba : Deux frères périssent noyés en tentant de sauver leur chienne est apparu en premier sur webdo.

Radhouane Ben Salah: une icône de la FTH s’en est allée

ben-salah-radhouane-hotel-saphir

L’hôtellerie tunisienne frappée une nouvelle fois par le deuil cette semaine avec la mort de Radhouane Ben Salah.

Radhouane Ben Salah s’est éteint aujourd’hui. Président du groupe Saphir, à la fois réceptif et hôtelier, il a marqué de son empreinte le secteur touristique tunisien. Son parcours, entamé à l’administration du tourisme avant qu’il ne se lance dans le privé, s’est distingué notamment à la tête de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH), qu’il a présidée une première fois de 1996 à 2002, puis de 2013 à 2016.

Véritable figure de référence du tourisme et de l’hôtellerie, le défunt s’était investi avec rigueur, intégrité et clairvoyance pour défendre la voix des hôteliers, particulièrement durant les périodes les plus critiques qu’a connues le secteur. Visionnaire et rassembleur, il a su fédérer les énergies et incarner les espoirs d’une profession en quête de reconnaissance et de modernisation.

Son nom restera associé à la défense inlassable des intérêts du tourisme tunisien, et ses convictions comme son engagement demeureront gravés en lettres d’or dans la mémoire de toute une profession.

Qu’il repose en paix.

Dans nos archives, les interviews qu’il avait accordée à notre journal:

2017: Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie: passage de témoin générationnel

2016: Radhouane Ben Salah, président de la FTH : «Signer des contrats en devises, solution bloquée par la BCT»

2016: « L’hôtellerie tunisienne victime d’une vraie cabale », estime Radhouane Ben Salah

1997: Radhouane Ben Salah, président de la FTH: « La clientèle du All Inclusive est plus aisée que celle dite « classique »

L’article Radhouane Ben Salah: une icône de la FTH s’en est allée est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Robert Redford, légende d’Hollywood, s’éteint à 89 ans

Le cinéma américain est en deuil. Robert Redford, acteur, réalisateur et producteur iconique, est décédé ce mardi 16 septembre 2025 à l’âge de 89 ans. Symbole du Nouvel Hollywood, il a marqué l’histoire du 7e art par des rôles devenus cultes et par son engagement en faveur du cinéma indépendant et de l’écologie.

Révélé dans les années 1960, Robert Redford a connu une ascension fulgurante avec Butch Cassidy and the Sundance Kid (1969). Suivront des succès planétaires comme The Candidate (1972), Jeremiah Johnson (1972), The Sting (1973), qui décroche sept Oscars, ou encore All the President’s Men (1976) et Out of Africa (1985). Son élégance et son intensité de jeu ont fait de lui l’un des visages les plus marquants de sa génération.

De l’acteur au réalisateur visionnaire

Au début des années 1980, Redford passe derrière la caméra. Son premier film, Ordinary People (1980), lui vaut l’Oscar du meilleur réalisateur en 1981. Quelques années plus tard, il fonde le festival de Sundance, qui deviendra une vitrine incontournable pour le cinéma indépendant mondial, révélant de nouvelles générations de cinéastes.

Distinctions et engagement personnel

Tout au long de sa carrière, il a accumulé les récompenses : deux Oscars (dont un d’honneur en 2002), six Golden Globes et trois prix à la Mostra de Venise. Parallèlement, il s’est illustré comme un militant écologiste engagé et un soutien fidèle du Parti démocrate, liant son image publique à des causes sociales et environnementales.

L’article Robert Redford, légende d’Hollywood, s’éteint à 89 ans est apparu en premier sur webdo.

Disparition de Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal

laamouri-hasdrubal

Le secteur hôtelier tunisien a perdu aujourd’hui l’une de ses figures pionnières. Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal, s’est éteint, laissant derrière lui une empreinte indélébile dans le paysage du tourisme national.

Visionnaire, il fut parmi les quelques rares précurseurs à défendre l’idée que la Tunisie devait miser sur le luxe pour se distinguer et attirer une clientèle internationale exigeante. À une époque où le pari pouvait sembler audacieux, il s’est engagé avec conviction à développer une offre haut de gamme, posant ainsi les jalons d’un tourisme différent, fondé sur l’excellence et le raffinement.

Son héritage se lit aujourd’hui dans les établissements qu’il a fondés à Hammamet, Sousse et Djerba, devenus des références dans l’hôtellerie tunisienne et méditerranéenne.

Avec sa disparition, la Tunisie perd un entrepreneur qui a contribué à redéfinir les contours de la destination, mais son œuvre continuera de vivre à travers les hôtels Hasdrubal, symboles de son audace et de sa vision.

L’équipe de Destination Tunisie présente ses condoléances les plus attristées à ses enfants mais également à tous ses collaborateurs.

Qu’il repose en paix.

L’article Disparition de Mohamed Laamouri, fondateur de la chaîne Hasdrubal est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Un mineur tunisien décède dans une prison italienne

Un drame a secoué la communauté tunisienne en Italie. Selon l’ancien député résidant en Italie, Majdi Karbai, un jeune Tunisien connu sous le nom de Danilo Riahi, âgé de 17 ans, est décédé à l’hôpital après avoir tenté de se suicider dans une prison italienne située dans la région de Trévise.

D’après le témoignage de Karbai, publié sur Facebook, le jeune homme aurait été retrouvé dans sa cellule, dans la nuit de dimanche à lundi, pendu à l’aide d’un pantalon en jean. Les autorités italiennes indiquent que l’adolescent avait été arrêté quelques jours plus tôt à Vicenza.

Alertés à temps, les gardiens et un médecin de l’établissement avaient réussi à le ranimer, permettant son transfert en urgence à l’hôpital. Placé sous surveillance médicale en soins intensifs, Danilo Riahi n’a pas survécu : il est décédé moins de 48 heures après l’incident, malgré les efforts du corps médical.

Les circonstances exactes de son arrestation et de sa détention restent encore floues. Ce décès soulève de nouvelles interrogations sur les conditions de détention des mineurs en Italie et sur l’accompagnement psychologique dans les établissements pénitentiaires.

Les proches du défunt et des membres de la communauté tunisienne réclament des éclaircissements et, le cas échéant, l’ouverture d’une enquête indépendante.

L’article Un mineur tunisien décède dans une prison italienne est apparu en premier sur webdo.

Hamadi Ben Saad, figure de la peinture tunisienne, s’est éteint à 77 ans

Le peintre tunisien Hamadi Ben Saad est décédé vendredi 25 juillet à l’âge de 77 ans, jour anniversaire de la proclamation de la République. Sa disparition marque la perte d’un artiste engagé, peu médiatisé mais profondément respecté dans les cercles culturels tunisiens.

Autodidacte, il était d’abord instituteur avant de se consacrer pleinement à l’art et à l’éducation esthétique. Convaincu que la sensibilité s’éduque dès l’enfance, il a animé pendant plusieurs décennies des clubs de peinture destinés aux plus jeunes, défendant l’idée d’un art formateur, ancré dans la vie quotidienne.

Né en 1948 à Tunis, Hamadi Ben Saad développe une œuvre personnelle, loin des tendances dominantes, à la fois expressive et enracinée. Il passe trois années à la Cité internationale des arts de Paris, où il découvre les grands courants de l’abstraction et affine son langage plastique. Ce séjour marque un tournant dans sa trajectoire, renforçant son ouverture artistique sans l’éloigner de ses repères identitaires.

Il a participé à plusieurs expositions collectives majeures, notamment au sein de l’École de Tunis, tout en présentant ses œuvres en France, en Italie, en Suisse ou au Danemark. Son style, caractérisé par une densité émotionnelle et une palette sobre, a été salué par la critique comme une contribution significative à la peinture contemporaine tunisienne.

Sa mort intervient quelques mois après celle de son ami et confrère Lamine Sassi, avec qui il partageait la même discrétion et le même attachement à une vision humaniste de l’art.

Le ministère des affaires culturelles et l’Union des artistes plasticiens lui ont rendu hommage, saluant un « pilier de l’art plastique » et un « passeur de beauté ».

Hamadi Ben Saad laisse derrière lui une œuvre sincère, exigeante et trop peu valorisée. Elle mérite aujourd’hui d’être relue à la lumière de son engagement : celui d’un artiste pour qui peindre relevait d’un acte de transmission, plus que d’une quête de reconnaissance.

L’article Hamadi Ben Saad, figure de la peinture tunisienne, s’est éteint à 77 ans est apparu en premier sur webdo.

Tunisie : Polémique suite au décès d’une jeune à l’hôpital de Gafsa

Le drame a secoué la région de Gafsa. Une jeune femme de 21 ans est décédée à l’hôpital régional « Houcine Bouzayen » après la rupture de son appendice, dans des circonstances jugées troublantes par sa famille. Cette dernière pointe du doigt des négligences graves au sein de l’établissement hospitalier.

La tante de la défunte a livré un témoignage poignant sur les ondes de Jawhara FM. Elle a raconté que sa nièce avait commencé à ressentir de fortes douleurs dimanche. Transportée aussitôt à l’hôpital régional, elle aurait été refusée à l’admission par le personnel de l’accueil, au motif que son nom n’était pas inscrit sur sa carte de soins. Il lui aurait été demandé de régulariser la situation ou de payer des frais d’enregistrement avant de pouvoir accéder aux soins.

Face à ce refus, le père de la jeune femme aurait dû la ramener chez elle, puis régulariser sa situation le lendemain matin (lundi) avant de la reconduire à l’hôpital. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle a pu bénéficier d’une première prise en charge médicale et d’examens urgents.

Selon sa tante, l’état de la jeune patiente s’était déjà gravement détérioré à ce stade : son appendice avait explosé. La médecin de garde aurait immédiatement ordonné une intervention chirurgicale en urgence. Toutefois, l’opération aurait été retardée de quatre heures car la patiente avait bu de l’eau, une contre-indication avant une anesthésie.

Sortie du bloc opératoire environ deux heures plus tard, elle était dans un état critique, ce qui a nécessité son transfert immédiat en soins intensifs. Elle y a finalement rendu l’âme.

Le décès a provoqué une onde de choc parmi les proches, qui exigent que toute la lumière soit faite sur les responsabilités médicales et administratives. L’affaire relance le débat sur les défaillances du système de santé public et les obstacles bureaucratiques qui peuvent, parfois, coûter la vie.

L’article Tunisie : Polémique suite au décès d’une jeune à l’hôpital de Gafsa est apparu en premier sur webdo.

❌