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Verdict choc : 5 ans de prison pour l’ancien magistrat Ahmed Souab

La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près le tribunal de première instance de Tunis a condamné, vendredi 31 octobre, l’avocat et ancien juge administratif, Ahmed Souab, à cinq ans de prison et à trois ans de surveillance administrative, indique une source judiciaire citée par l’agence TAP.

Selon le jugement prononcé par le TPI (Tribunal première instance), l’avocat Ahmed Souab a été condamné à quatre ans de prison « pour avoir mis en danger des personnes sous protection en divulguant sciemment des informations susceptibles de compromettre leurs vies » et à un an de prison pour avoir « proféré une menace passible d’une sanction pénale liée à une infraction terroriste ».

L’audience d’aujourd’hui a été boycottée par le comité de défense de l’avocat Souab pour motif de « violations de procédure », dont notamment la non-comparution de l’accusé et le refus du déroulement du procès à distance.

Arrêté le 21 avril 2025, l’avocat Ahmed Souab a été placé en garde à vue sur fond de ses déclarations devant le siège de la maison de l’avocat à Tunis suite à une audience dans l’affaire dite « complot contre la sûreté de l’État ».

La porte-parole du pôle judiciaire antiterroriste avait déclaré que le parquet près la cour d’appel de Tunis a ordonné une information judiciaire contre Ahmed Souab sur fond des « chefs d’accusation terroristes et d’infractions de droit commun connexes », citant en exemple la menace de commettre des infractions terroristes dans le but de contraindre une personne à agir ou à s’y abstenir ou de mettre en danger la vie d’une personne sous protection, un agissement passible d’une sanction pénale.

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L’ancien président de la Cour de Cassation, Taïeb Rached, condamné à 30 ans de prison

La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière du Tribunal de première instance de Tunis a rendu, lundi, un verdict lourd à l’encontre de Taïeb Rached, ancien premier président de la Cour de Cassation, le condamnant à 30 ans de prison.

Outre Taïeb Rached, deux hommes d’affaires, Nejib Ben Ismail et Fethi Jenayeh, ont été condamnés respectivement à 27 et 30 ans de prison. Un magistrat révoqué a également écopé d’une peine de 20 ans, rapporte Mosaique fm.

Ces condamnations interviennent dans le cadre d’une vaste affaire mêlant entente criminelle, blanchiment d’argent, corruption, falsification et usage de faux, selon l’acte d’accusation.

Les quatre accusés avaient été déférés devant la Chambre criminelle par la Chambre d’accusation spécialisée de la Cour d’appel de Tunis, à l’issue d’une enquête approfondie sur des flux financiers suspects et des transactions illégales.

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Tunisie : Cinq ans de prison pour un ex-président d’un club sportif de la capitale

La sixième chambre correctionnelle bis, spécialisée dans les affaires de corruption financière au tribunal de première instance de Tunis, a condamné par contumace un ancien président d’une association sportive de la capitale à cinq ans de prison, assortis d’amendes financières.

Selon les éléments du dossier, le ministère public près du pôle judiciaire économique et financier avait décidé de poursuivre le responsable sportif pour des accusations liées à la constitution d’avoirs à l’étranger sans autorisation de la Banque Centrale de Tunisie, ainsi que pour infractions au code des changes.

Le dossier a ensuite été transmis à la chambre correctionnelle spécialisée, qui a rendu son jugement ce vendredi.

Cette condamnation s’inscrit dans la série de dossiers traités par la justice tunisienne concernant des infractions économiques et financières impliquant des personnalités issues du milieu sportif.

L’identité du prévenu n’a pas été officiellement révélée, l’affaire étant encore susceptible d’appel.

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Tunisie : Afif Frigui condamné à trois ans de prison pour corruption

La Chambre criminelle près le Tribunal de première instance de Tunis a prononcé, mardi, une peine de trois ans de prison ferme contre Afif Frigui, ancien président de l’Association tunisienne de la prévention routière. Il était poursuivi pour des affaires de corruption financière et administrative liées à la gestion de l’organisation, rapporte Mosaique fm.

Selon les premiers éléments, l’affaire concerne des irrégularités financières et des abus de gestion au sein de l’association. La décision de justice confirme la gravité des accusations retenues contre Frigui, qui a longtemps dirigé la structure avant d’être écarté.

Afif Frigui a été arrêté le 1er juillet 2024 par les agents de la sous-direction des affaires criminelles d’El Gorjani en exécution du mandat de dépôt émis à son encontre par la Chambre d’accusation 32 du Pôle  judiciaire économique et financier, pour corruption financière et administrative dans la gestion d’une association publique, escroquerie, détention et usage d’un document frauduleux, création d’un certificat de faux et un certain nombre de charges financières.

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Nicolas Sarkozy condamné à cinq ans de prison ferme, une première pour un ex-président français

L’ancien chef de l’État a été condamné à cinq ans de prison ferme pour « association de malfaiteurs » dans le cadre de l’affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne de 2007. Nicolas Sarkozy connaîtra ses conditions de détention le 13 octobre, date à laquelle il pourrait être incarcéré, marquant un précédent historique sous la Ve République.

Une condamnation inédite dans l’histoire française

Le tribunal correctionnel de Paris a rendu un jugement lourd : cinq ans de prison ferme pour Nicolas Sarkozy. L’ancien président, qui clame son innocence, a dénoncé un verdict d’« une gravité extrême pour l’État de droit ». S’il est encore libre pour le moment, il devra rencontrer un magistrat de l’exécution des peines le 13 octobre. Ce rendez-vous fixera son lieu et ses modalités de détention, après quoi il devra se présenter en prison.

Huit établissements d’Île-de-France sont susceptibles d’accueillir l’ex-président. Selon plusieurs médias, la prison de la Santé, dans le 14e arrondissement de Paris, est l’option la plus probable. Une cellule y serait déjà prête dans le quartier pour personnes vulnérables (QPV), une aile sécurisée accueillant d’anciens responsables politiques et des détenus médiatisés.

Des conditions de détention strictes, sans privilège

Le QPV, rénové il y a cinq ans, offre des cellules individuelles de 10 à 12 m² avec douche. Toutefois, Nicolas Sarkozy ne bénéficierait pas d’avantages particuliers : nombre de parloirs, appels téléphoniques et accès à la cantine seront identiques à ceux des autres détenus.

À 70 ans, il pourra rapidement déposer une demande d’aménagement de peine ou de remise en liberté sous contrôle judiciaire, en vertu de l’article 729 du code de procédure pénale. La chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris disposera de dix jours pour statuer.

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Tunis : Six mois de prison pour avoir braqué un faux pistolet sur des policiers

Un tribunal de Tunis a condamné, vendredi 19 septembre, un jeune homme à six mois de prison ferme pour avoir braqué une arme factice en direction d’une patrouille de police à Sidi Bou Saïd. L’affaire, largement relayée sur les réseaux sociaux, a suscité de vifs débats sur la responsabilité pénale face aux actes de provocation.

Les faits filmés et diffusés en ligne

Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent le jeune homme pointer un faux pistolet vers une patrouille sécuritaire à Sidi Bou Saïd, en marge des activités de la « Caravane de la Flottille de la liberté ». Dans une autre séquence, il apparaît en train de protester vivement contre un agent de la police de la circulation.

Interpellé peu après la diffusion des enregistrements, le suspect a été placé en détention avant d’être déféré devant la chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tunis. La justice a statué ce vendredi, prononçant une peine de six mois de prison ferme.

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