Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Cybersécurité : protéger nos enfants, c’est protéger le futur (Hemissi)

Le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi, a souligné, mercredi 29 octobre à Ben Arous, que la protection des enfants dans l’espace cybernétique constitue un impératif stratégique pour la préservation des générations futures.

Lors de la clôture du premier Forum national sur la protection des enfants en ligne, organisé au complexe culturel et de la jeunesse de Ben Arous sur le thème, Hemissi a appelé à une vigilance accrue face à la montée des risques numériques dans un contexte marqué par la généralisation des usages connectés et l’essor rapide de l’intelligence artificielle..

Il a insisté sur l’importance de coordonner les efforts des différents acteurs institutionnels et sociétaux afin de prévenir les dérives susceptibles d’affecter l’identité, les comportements et les repères culturels des nouvelles générations.

De son côté, le directeur général de l’Agence nationale de la cybersécurité (ANCS), Yassine Jemil, a précisé que l’agence déploie des programmes de sensibilisation et de formation destinés aux intervenants éducatifs, médiatiques et institutionnels, en vue de consolider la culture de la cybersécurité et de promouvoir un usage responsable des technologies numériques.

Il a souligné, à cet égard, la nécessité d’instaurer un dialogue permanent avec les enfants, de développer leur esprit critique face aux contenus numériques et de mettre en place un dispositif intégré de contrôle parental alliant outils technologiques, accompagnement éducatif et suivi psychologique.

Les travaux du forum ont permis d’examiner plusieurs axes prioritaires, notamment la sécurité numérique dans les établissements scolaires, la prévention de la violence et de l’exploitation en ligne, ainsi que le rôle des médias et des structures éducatives dans le renforcement de la culture numérique et de la protection des mineurs dans l’espace cybernétique.

L’article Cybersécurité : protéger nos enfants, c’est protéger le futur (Hemissi) est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Khaled Nouri reçoit l’ambassadeur d’Égypte pour consolider la coopération sécuritaire tuniso-égyptienne

Le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, a reçu, mardi, au siège de son département, l’ambassadeur d’Égypte en Tunisie, Bassem Yahia Hassan.

L’entretien a porté sur les relations de coopération bilatérale entre les ministères de l’Intérieur des deux pays et sur les moyens de les consolider davantage dans l’intérêt commun des deux peuples frères.

L’article Khaled Nouri reçoit l’ambassadeur d’Égypte pour consolider la coopération sécuritaire tuniso-égyptienne est apparu en premier sur WMC.

Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

Alors que s’ouvre à Tunis la 11ème édition du Forum International des DSI, les dirigeants IT africains se réunissent autour d’un enjeu central : conjuguer innovation et sécurité numérique dans un monde où les menaces évoluent plus vite que les technologies. Sur un continent en pleine transformation numérique, la cybersécurité se réfléchit sous sa forme proactive et s’impose comme un moteur de performance et de compétitivité.

Un nouveau rôle stratégique pour les DSI

Longtemps perçue comme une fonction défensive, la cybersécurité a changé de dimension. Les DSI et RSSI ne se contentent plus de protéger leurs systèmes : ils doivent anticiper, détecter et neutraliser les menaces avant qu’elles ne perturbent la continuité des activités de leur organisation. Cette mutation reflète une évolution culturelle majeure.

« Anticiper, en termes de cybersécurité, repose sur la maitrise de son environnement IT, tout autant que celui des métiers. L’objectif est de détecter les signaux faibles et d’intégrer la prévention dans la stratégie globale de l’entreprise ». C’est ce qu’explique Benoît Grunemwald, expert en cybersécurité chez ESET Afrique Francophone. « Cette approche permet non seulement de maitriser ses risques, mais d’assurer la continuité opérationnelle de l’organisation. »

Avec la généralisation des applications et de l’usage du cloud, la montée en puissance du télétravail et l’hybridation des infrastructures, les entreprises africaines se trouvent face à une surface d’exposition sans précédent. Dans ce contexte, la cybersécurité ne peut pas être abordée d’un point de vue technique. Elle doit être prise en compte dans la gouvernance générale de l’organisation.

De la sécurité à la confiance numérique

Facteur clef de différenciation, la performance passe désormais par la confiance numérique. Les entreprises qui parviennent à sécuriser leurs données et leurs échanges, inspirent davantage leurs clients, partenaires et investisseurs. À l’inverse, une faille ou une attaque fragilise durablement la crédibilité.

Ainsi, adopter une posture proactive permet de transformer la sécurité en avantage compétitif. En anticipant les risques, les DSI garantissent la stabilité de leur environnement, améliorent la productivité des équipes et créent les conditions d’une innovation sereine. La cybersécurité devient ainsi un vecteur de confiance, de fiabilité et de performance durable.

Une approche intégrée : technologie, culture et anticipation

La cybersécurité proactive ne se limite pas à la mise en œuvre d’outils technologiques. Elle suppose une approche globale intégrant la sensibilisation, la formation et la collaboration entre tous les acteurs de l’entreprise. Pour Benoît Grunemwald, « la technologie seule ne suffit pas. La clé réside dans la combinaison entre des outils performants, l’intelligence humaine et une véritable culture de la vigilance. L’objectif étant la robustesse. »
Cette vision holistique ouvre la voie à une cybersécurité intégrée à l’objectif global de performance de l’organisation. Elle place l’humain au cœur de la défense numérique et fait de la prévention un réflexe collectif.

Anticiper pour avancer

Le Forum DSI 2025 de Tunis, où la résilience numérique figurera parmi les thèmes majeurs, la question de la cybersécurité proactive prend une résonance particulière. Les DSI savent qu’ils doivent désormais passer de la réaction à l’anticipation. En agissant avant la crise, ils protègent non seulement les systèmes, mais aussi la réputation, la confiance et la performance de leur entreprise.
L’Afrique numérique se construira sur cette capacité à transformer la vigilance en force et la prévention en opportunité. C’est là que se jouera, dans les années à venir, la véritable compétitivité du continent.

D’après communiqué

L’article Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

Alors que s’ouvre à Tunis la 11ème édition du Forum International des DSI, les dirigeants IT africains se réunissent autour d’un enjeu central : conjuguer innovation et sécurité numérique dans un monde où les menaces évoluent plus vite que les technologies. Sur un continent en pleine transformation numérique, la cybersécurité se réfléchit sous sa forme proactive, et s’impose comme un moteur de performance et de compétitivité.

Un nouveau rôle stratégique pour les DSI

Longtemps perçue comme une fonction défensive, la cybersécurité a changé de dimension. Les DSI et RSSI ne se contentent plus de protéger leurs systèmes : ils doivent anticiper, détecter et neutraliser les menaces avant qu’elles ne perturbent la continuité des activités de leur organisation. Cette mutation reflète une évolution culturelle majeure.

« Anticiper, en termes de cybersécurité, repose sur la maitrise de son environnement IT, tout autant que celui des métiers. L’objectif est de détecter les signaux faibles et d’intégrer la prévention dans la stratégie globale de l’entreprise », explique Benoît Grunemwald, expert en cybersécurité chez ESET Afrique Francophone. « Cette approche permet non seulement de maitriser ses risques, mais d’assurer la continuité opérationnelle de l’organisation. »

Avec la généralisation des applications et de l’usage du cloud, la montée en puissance du télétravail et l’hybridation des infrastructures, les entreprises africaines se trouvent face à une surface d’exposition sans précédent. Dans ce contexte, la cybersécurité ne pas être abordée d’un point de vue technique, elle doit être prise en compte dans la gouvernance générale de l’organisation.

De la sécurité à la confiance numérique

Facteur clef de différenciation, la performance passe désormais par la confiance numérique. Les entreprises qui parviennent à sécuriser leurs données et leurs échanges, inspirent davantage leurs clients, partenaires et investisseurs. À l’inverse, une faille ou une attaque fragilise durablement la crédibilité.

Ainsi, adopter une posture proactive permet de transformer la sécurité en avantage compétitif. En anticipant les risques, les DSI garantissent la stabilité de leur environnement, améliorent la productivité des équipes et créent les conditions d’une innovation sereine. La cybersécurité devient ainsi un vecteur de confiance, de fiabilité et de performance durable.

Une approche intégrée : technologie, culture et anticipation

La cybersécurité proactive ne se limite pas à la mise en œuvre d’outils technologiques. Elle suppose une approche globale intégrant la sensibilisation, la formation et la collaboration entre tous les acteurs de l’entreprise. Pour Benoît Grunemwald, « la technologie seule ne suffit pas. La clé réside dans la combinaison entre des outils performants, l’intelligence humaine et une véritable culture de la vigilance. L’objectif étant la robustesse. »

Cette vision holistique ouvre la voie à une cybersécurité intégrée à l’objectif global de performance de l’organisation. Elle place l’humain au cœur de la défense numérique et fait de la prévention un réflexe collectif.

Anticiper pour avancer

Le Forum DSI 2025 de Tunis, où la résilience numérique figurera parmi les thèmes majeurs, la question de la cybersécurité proactive prend une résonance particulière. Les DSI savent qu’ils doivent désormais passer de la réaction à l’anticipation. En agissant avant la crise, ils protègent non seulement les systèmes, mais aussi la réputation, la confiance et la performance de leur entreprise.

L’Afrique numérique se construira sur cette capacité à transformer la vigilance en force et la prévention en opportunité. C’est là que se jouera, dans les années à venir, la véritable compétitivité du continent.

L’article Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI est apparu en premier sur WMC.

Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

Alors que s’ouvre à Tunis la 11ème édition du Forum International des DSI, les dirigeants IT africains se réunissent autour d’un enjeu central : conjuguer innovation et sécurité numérique dans un monde où les menaces évoluent plus vite que les technologies. Sur un continent en pleine transformation numérique, la cybersécurité se réfléchit sous sa forme […]

The post Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI first appeared on Directinfo.

Tunis accueille le 11e Forum international des DSI

La 11e édition du Forum international des DSI se déroulera les 29 et 30 octobre 2025 au Regency Gammarth les sur le thème «Reinventing the CIO at the Age of AI», afin de souligner les défis majeurs auxquels font face les directeurs des systèmes d’information (DSI) dans un monde en pleine mutation numérique.

Face aux évolutions technologiques rapides et aux profondes transformations numériques mondiales, le besoin de rôles de leadership capables d’accompagner ces changements et de repenser la fonction professionnelle des gestionnaires des systèmes d’information s’impose avec force. D’où le thème choisi pour le 11e Forum international des DSI, qui constitue une plateforme stratégique essentielle réunissant décideurs et experts d’Afrique et d’Europe pour échanger idées, expériences et définir l’avenir de la transformation digitale. L’organisation de cette 11ᵉ édition à Tunis confirme la place de la Tunisie comme hub régional d’innovation numérique.

Après dix années de succès et d’échanges fructueux à Hammamet, le forum marque une étape majeure en s’installant pour la première fois dans la capitale tunisienne.

Organisé par l’International Future Network (IFN) en partenariat avec le Club DSI Tunisie, il rassemblera plus de 600 participants parmi les leaders IT et experts en transformation digitale venant d’Afrique et d’Europe. L’Union des Comores sera honorée en tant qu’invitée spéciale.

Au fil de son histoire, ce forum est passé d’un simple rendez-vous annuel à un événement stratégique influent façonnant l’avenir des systèmes d’information en Afrique. À travers son expérience et ses partenariats solides, il offre une plate-forme idéale pour partager des idées novatrices, renforcer la coopération et lancer des initiatives technologiques qui accélèrent la transformation digitale.

Accompagner les bouleversements numériques

Le programme riche du forum 2025 inclut la présentation des résultats de la dernière édition de l’indice de maturité digitale en Afrique permettant d’évaluer la capacité d’adaptation des institutions africaines; des conférences plénières animées par des experts internationaux sur les tendances et applications de l’intelligence artificielle; des  ateliers spécialisés visant à renforcer les compétences techniques (tech skills) et managériales (soft skills); une session DSI Talk dédiée à l’échange d’expériences et d’innovations entre directeurs IT; des débats stratégiques sur l’IA, l’inclusion financière, la cyber sécurité et l’innovation numérique; et un espace d’exposition pour les startups et partenaires technologiques présentant les derniers développements.

Ce forum affirme la position centrale de la Tunisie comme un pôle d’excellence régionale en transformation digitale, offrant un espace de dialogue collectif pour anticiper et façonner l’évolution professionnelle des métiers IT face au bouleversement numérique.

Grâce à cet événement, Tunis reste une plateforme centrale d’échanges, d’innovation et de transformation dans le secteur des technologies de l’information.

Communiqué.

L’article Tunis accueille le 11e Forum international des DSI est apparu en premier sur Kapitalis.

Tunisie : La prison pour plusieurs anciens dirigeants du syndicat de la sécurité intérieure

La justice tunisienne a condamné ce mardi plusieurs anciens membres du bureau exécutif du Syndicat national des forces de sécurité intérieure ainsi qu’un propriétaire d’imprimerie privée à des peines de prison allant de trois à six ans pour des affaires de corruption financière.

Des peines pour malversations et blanchiment d’argent

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière de la Cour de première instance de Tunis a rendu son jugement ce matin. Parmi les condamnés figurent l’ancien secrétaire général du syndicat et plusieurs autres membres de son bureau exécutif.

Ils ont été reconnus coupables de « trahison caractérisée », de participation à cette trahison, de blanchiment d’argent et d’autres infractions à caractère financier, rapporte Mosaique fm.

Le propriétaire d’une imprimerie privée, impliqué dans certaines transactions financières irrégulières, a également été condamné. Les peines prononcées vont de trois à six ans de prison ferme.

Ces décisions interviennent après que la chambre d’accusation spécialisée de la Cour d’appel a renvoyé les prévenus, placés en état d’arrestation, devant la chambre criminelle pour corruption financière. Les accusations portaient sur des faits de détournement de fonds, de blanchiment d’argent et de complicité dans des malversations financières au sein du syndicat.

Lire aussi

L’article Tunisie : La prison pour plusieurs anciens dirigeants du syndicat de la sécurité intérieure est apparu en premier sur webdo.

Cybersécurité en Tunisie : Plus de 57.000 attaques recensées au premier semestre 2025

Le spécialiste international en cybersécurité, Ali Laaribi, a tiré la sonnette d’alarme sur la recrudescence des attaques informatiques visant la Tunisie et sur les défis persistants que pose la sécurité numérique à l’échelle nationale.

Selon les données de l’Agence nationale de la sécurité informatique (ANSI), la Tunisie a enregistré 57.430 attaques cybernétiques durant les six premiers mois de 2025. Ce chiffre, confirmé par Ali Laaribi, témoigne d’une intensification préoccupante des menaces visant aussi bien les institutions publiques que les entreprises privées.

Le spécialiste a rappelé qu’en 2023, le pays avait déjà subi près de 150.000 attaques, soulignant la vulnérabilité croissante des infrastructures critiques telles que les réseaux d’électricité, d’eau et de télécommunications.

Un déficit mondial de compétences

Laaribi a également mis en exergue la pénurie de ressources humaines qualifiées dans le domaine de la cybersécurité, évoquant un déficit mondial estimé à 3,5 millions d’experts selon un rapport international couvrant l’année 2023.

« Les mêmes défis se posent en Tunisie, où le manque de spécialistes freine la mise en œuvre d’une stratégie efficace de protection numérique », a-t-il affirmé dans une déclaration à Mosaïque FM.

L’urgence d’une stratégie nationale claire

Le chercheur a insisté sur la nécessité de mettre à jour la législation relative à la sécurité numérique et d’intégrer la cybersécurité dans les politiques d’importation et d’acquisition de matériel technologique.

Il a également appelé à réaliser un inventaire complet des installations stratégiques du pays et à renforcer leur protection, estimant que toute attaque contre ces infrastructures « représente une menace directe pour la sécurité nationale et la vie des citoyens ».

D’ici 2030, le nombre d’appareils connectés à Internet dans le monde pourrait atteindre 32 milliards, selon Laaribi – un contexte technologique qui multipliera mécaniquement les risques d’intrusion et d’espionnage.

L’article Cybersécurité en Tunisie : Plus de 57.000 attaques recensées au premier semestre 2025 est apparu en premier sur webdo.

Tunisie Telecom : Un acteur de confiance au service de la cybersécurité et de la souveraineté numérique

Dans un monde où la transformation digitale s’accélère et où les cybermenaces se multiplient, la protection des données et la souveraineté numérique sont devenues des priorités pour les entreprises, les institutions et les citoyens. Consciente de ces enjeux, Tunisie Telecom réaffirme son rôle de partenaire stratégique en bâtissant un écosystème numérique sûr, fiable et aligné sur les standards internationaux.

Des certifications internationales gages de confiance

Ces derniers mois, l’opérateur a obtenu plusieurs distinctions de référence qui attestent de la solidité de ses infrastructures et de la qualité de ses services :

  • Le Data Center Carthage a été certifié ISO 27001, ISO 27701 et ISO 9001, garantissant sécurité des données, protection de la vie privée et excellence opérationnelle.
  • La Direction de la Relation Clients (DRC) a décroché la certification ISO/IEC 27001:2022 pour son Système de Management de la Sécurité de l’Information, confirmant la protection rigoureuse des données sensibles.
  • Le Customer Network Operation Center (CNOC) a mis en place un Système de Management de la Qualité conforme à la norme ISO 9001:2015, assurant une surveillance proactive et continue des services.

Au-delà des labels, une stratégie nationale

Ces certifications vont bien au-delà d’une reconnaissance formelle. Elles renforcent la confiance des clients et soulignent la volonté de Tunisie Telecom de contribuer à la souveraineté numérique du pays grâce à des infrastructures locales certifiées et sécurisées.

Innovation, sécurité et transformation digitale

En multipliant ces initiatives, Tunisie Telecom consolide sa position d’opérateur de confiance et de partenaire clé de la transformation digitale. L’entreprise se distingue non seulement par la qualité de ses services, mais aussi par son engagement à accompagner l’innovation et à répondre aux besoins croissants d’une société connectée.

Fidèle à sa mission d’entreprise citoyenne, Tunisie Telecom place ainsi la cybersécurité et la qualité au cœur de sa stratégie, au service d’une Tunisie numérique, compétitive et souveraine.

L’article Tunisie Telecom : Un acteur de confiance au service de la cybersécurité et de la souveraineté numérique est apparu en premier sur webdo.

Veto US au Conseil de sécurité : Un projet de cessez-le-feu à Gaza rejeté malgré 14 voix favorables

Jeudi 18 septembre 2025, les États-Unis ont opposé leur veto à un projet de résolution du Conseil de sécurité de l’ONU exigeant un cessez-le-feu immédiat et permanent dans la bande de Gaza, ainsi que la levée des restrictions israéliennes sur l’aide humanitaire. Le texte, soutenu par 14 des 15 membres du Conseil, prévoyait aussi la libération des otages retenus par le Hamas.

Un soutien quasi unanime, bloqué par Washington

Le projet, rédigé par les dix membres non permanents du Conseil, a obtenu un large consensus, avec 14 votes favorables. Mais le veto américain a suffi à bloquer son adoption. C’est la sixième fois que Washington utilise ce droit depuis le déclenchement du conflit à Gaza, il y a près de deux ans, pour protéger son allié israélien.

Une urgence humanitaire dénoncée

Avant le vote, plusieurs ambassadeurs ont tiré la sonnette d’alarme. L’ambassadrice du Danemark, Christina Markus Lassen, a rappelé que « la famine a été confirmée à Gaza », dénonçant une situation « catastrophique » aggravée par l’intensification de l’offensive militaire israélienne dans la ville de Gaza.

L’article Veto US au Conseil de sécurité : Un projet de cessez-le-feu à Gaza rejeté malgré 14 voix favorables est apparu en premier sur webdo.

Sécurité et innovation : les grandes nouveautés de la rentrée scolaire 2025 en Tunisie

À l’approche de la rentrée, le ministère de l’Éducation a annoncé une série de mesures allant de la création d’infrastructures et d’espaces pédagogiques supplémentaires à l’introduction d’équipements modernes et de dispositifs de sécurité, afin d’améliorer les conditions d’apprentissage et de protéger les élèves.

Ce qui a changé cette année

Anis Kouki, directeur général des constructions et de l’équipement au ministère de l’Éducation, a indiqué que :

« 17 nouveaux établissements scolaires ont été créés et 336 nouveaux espaces (salles de cours, laboratoires, espaces sportifs, etc.) ajoutés. En outre 325 établissements ont bénéficié d’un programme de réhabilitation complète (peinture, menuiserie, réseaux électriques, évacuation des eaux pluviales). Plus de 85 000 tables doubles et divers équipements ont été fournis, couvrant à 100 % les besoins de 5 700 espaces pédagogiques ».

Sécurité et protection des élèves

Kouki a également révélé qu’en matière de sécurité et d’autoprotection des établissements scolaires, un nouveau programme a été lancé l’année dernière avec l’installation de caméras de surveillance dans les collèges et lycées. Cette année, l’expérience a été généralisée aux écoles primaires, couvrant environ 590 établissements scolaires.

Ce programme vise principalement à sécuriser l’environnement scolaire, à l’intérieur comme à l’extérieur, contre tout comportement à risque pouvant le menacer.

Un saut numérique et scientifique

S’agissant des équipements informatiques destinés aux laboratoires, le directeur général des constructions et de l’équipement a annoncé que le ministère a fourni plus de 17 000 ordinateurs de bureau, en plus de 2 260 laboratoires mobiles destinés aux collèges et lycées, dont la distribution a commencé et sera achevée début septembre 2025.

Evacuation des substances dangereuses des laboratoires

Il a ajouté que, pour la première fois dans l’histoire du ministère de l’Éducation, un contrat a été conclu avec une société spécialisée, en coopération avec l’Agence nationale de gestion des déchets, pour l’évacuation des substances dangereuses et chimiques présentes dans les établissements scolaires.

L’opération d’évacuation a effectivement démarré, avec le traitement de 7,5 tonnes de substances dangereuses dans 8 délégations régionales, en attendant de finaliser le reste.

L’article Sécurité et innovation : les grandes nouveautés de la rentrée scolaire 2025 en Tunisie est apparu en premier sur webdo.

Quand un mégot peut tout brûler : chronique d’un incendie évité, et d’un mal profond

Ce devait être une journée paisible, une journée d’été comme tant d’autres. Le sable chaud, les rires des enfants, le clapotis des vagues. Et puis, tout à coup, les cris : « Au feu ! ». En quelques instants, la panique. Une cabane au toit de paille venait de s’enflammer.

La scène s’est déroulée en pleine journée, sur une plage tunisienne. Très vite, les employés du site — gardiens, agents de sécurité, serveurs — ont accouru, armés d’extincteurs. Leur sang-froid et leur efficacité ont permis de contenir les flammes, d’éviter le pire. Les pompiers ont ensuite pris le relais. Bilan : des dégâts matériels. Pas de blessés. Mais une colère profonde, tenace, qui ne s’éteindra pas aussi facilement que le feu.

Cet incendie aurait pu avoir des conséquences bien plus graves. Car cette cabane est située juste à côté d’un abri de voiture. Que se serait-il passé si une voiture avait été touchée ? Si son réservoir d’essence avait explosé ? À quelques mètres de là se trouve aussi un accès direct à la plage, souvent emprunté par des familles, des enfants, des personnes âgées. Une seule étincelle de plus, et la tragédie était à portée de souffle.

D’après l’enquête préliminaire de la Protection civile, l’incendie aurait été provoqué par un simple mégot de cigarette, jeté par-dessus un mur peut-être par un client ou un employé d’un restaurant voisin, également construit en paille. Un geste anodin, négligent, irresponsable. Et pourtant, potentiellement meurtrier.

Ce n’est qu’un fait divers, diront certains. Mais il est révélateur d’un mal bien plus profond : l’incivilité banalisée, la négligence élevée au rang de norme, le refus d’assumer la moindre responsabilité collective.

Dans le cas présent, ce mégot a déclenché un feu. Mais combien d’autres mégots sont simplement enfoncés dans le sable ? Combien jonchent nos plages, au milieu des coquillages et des jouets d’enfants ? Combien de bébés, de tout-petits, risquent chaque jour de mettre un de ces déchets toxiques à la bouche, faute d’attention, faute de civisme ?

Et ce n’est pas faute d’infrastructures : des cendriers sont installés sur toutes les tables, les poubelles sont visibles, accessibles. Il suffirait de faire deux pas, ou de tendre la main. Mais non. Il est tellement plus facile de se débarrasser de son mégot dans le sable, comme on se débarrasse de sa responsabilité.

Chaque jour, par des gestes aussi simples qu’un jet de mégot ou qu’un sachet plastique laissé sur le sol, nous signons notre défaite. Mais faut-il s’y résigner ? Que faire ? D’abord, dire STOP. Dénoncer ces comportements. Exiger des amendes, des sanctions, des campagnes de sensibilisation sérieuses. Éduquer dès l’école, mais aussi rappeler aux adultes qu’ils n’ont pas le droit de polluer, de dégrader, de mettre en danger les autres. Multiplier les cendriers, oui. Mais aussi exiger leur usage.

Surtout, il est urgent de redonner de la valeur à l’espace collectif. Une plage n’est pas un dépotoir. Une rue n’est pas un cendrier géant. Et si nous ne réapprenons pas à respecter ce qui est à tous, alors plus rien ne nous distinguera d’une société en décomposition.

Un mégot a failli tout brûler. Ce jour-là, le feu a été éteint. Mais la braise, elle, est encore là — invisible, insidieuse. Et elle nous consume lentement.

Neïla Driss

L’article Quand un mégot peut tout brûler : chronique d’un incendie évité, et d’un mal profond est apparu en premier sur webdo.

❌