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Tunisie Leasing & Factoring lance un emprunt obligataire de 15 millions de dinars

Dans le cadre de sa stratégie de croissance et de diversification de ses sources de financement, Tunisie Leasing & Factoring (TLF) a lancé un emprunt obligataire subordonné d’un montant de 15 millions de dinars.

Cette levée de fonds a pour objectif principal de consolider les fonds propres de l’institution tout en soutenant le développement de ses activités de leasing et de factoring.

Offrant une structure flexible et adaptée aux investisseurs, cet emprunt s’inscrit dans la continuité de la politique proactive de TLF visant à renforcer sa solidité financière et à soutenir sa croissance durable.

À travers cette initiative, Tunisie Leasing & Factoring confirme sa volonté de maintenir un positionnement dynamique sur le marché du financement alternatif, tout en respectant les exigences réglementaires en matière de solvabilité et de gestion prudente des risques.

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Gaspillage alimentaire en Tunisie: un défi économique, social et environnemental

La Tunisie est en tête du classement arabe du gaspillage alimentaire, un problème qui coûte cher au pays chaque année. C’est pour cela que le gouvernement met en place une stratégie pour inverser cette tendance alarmante.

La Tunisie est malheureusement le champion du gaspillage alimentaire dans le monde arabe. En effet, chaque année, chaque Tunisien gaspille en moyenne 172 kg de nourriture, et cela coûte au pays environ 105 millions de dinars, soit près de 35 millions de dollars. Le gaspillage ne se limite pas seulement aux ménages: les entreprises, les grandes surfaces, et même les établissements alimentaires participent à cette perte colossale de ressources.

Le ministère du Commerce et du Développement des exportations a récemment annoncé le lancement d’une stratégie nationale de réduction du gaspillage alimentaire. Ce plan, en collaboration avec l’Institut national de la consommation (INC) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vise à réduire ces pertes tout en sensibilisant la population sur les dangers de ce phénomène.

Pourquoi est-ce un problème urgent?

Le gaspillage alimentaire en Tunisie ne concerne pas seulement la perte de nourriture: il a des conséquences économiques, sociales et environnementales majeures. Non seulement cela met en péril l’économie nationale, mais il épuise aussi les ressources naturelles et contribue au changement climatique en augmentant les émissions de gaz à effet de serre.

Parmi les aliments les plus gaspillés, le pain arrive en tête. En effet, environ 113 000 tonnes de pain sont jetées chaque année, soit l’équivalent de 42 kg par foyer. Cette situation s’aggrave encore durant le mois de Ramadan, où 46% du pain acheté finit à la poubelle, malgré les difficultés économiques que connaît le pays et la crise liée à la pénurie de blé.

La Tunisie doit absolument changer ses habitudes en matière de consommation alimentaire. La mise en place de cette nouvelle stratégie, accompagnée d’un plan d’action clair et d’une campagne de sensibilisation nationale, a pour objectif de changer les comportements, depuis les foyers jusqu’aux entreprises et institutions. Il est essentiel de comprendre que le gaspillage alimentaire n’est pas seulement une question de perte économique, mais qu’il a aussi des impacts sur l’environnement et la société dans son ensemble.

Ainsi, cette initiative pourrait être un tournant dans la gestion des ressources alimentaires en Tunisie. Si chaque Tunisien adopte des gestes responsables, l’impact pourrait être considérable et bénéfique pour l’ensemble du pays.

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Le ministre de l’Économie à Riyad: vers un renforcement des relations économiques avec l’Arabie saoudite

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, représente la Tunisie à la 9e édition de la Conférence de l’Initiative pour l’Avenir de l’Investissement qui se déroule à Riyad, en Arabie saoudite, du 27 au 30 octobre 2025. Cet événement, qui rassemble des leaders mondiaux du secteur économique et industriel, constitue une plateforme stratégique pour discuter des défis de la croissance économique et des opportunités d’investissement globales.

Durant sa participation, Abdelhafidh a pris part à plusieurs tables rondes consacrées à des thématiques cruciales pour le développement économique et technologique, telles que la collaboration entre le secteur privé et le secteur public, et les enjeux mondiaux en matière d’innovation. Ces discussions ont permis de soulever des questions essentielles concernant les priorités économiques mondiales, tout en mettant en lumière le rôle central de l’Arabie saoudite dans la réorientation des flux d’investissement à l’échelle internationale.

Au-delà des panels, le ministre tunisien a profité de cette occasion pour tenir des réunions bilatérales avec des responsables saoudiens, avec un focus particulier sur le renforcement des relations économiques entre les deux nations. Il a ainsi rencontré Bandar bin Ibrahim Al-Khorayef, ministre saoudien de l’Industrie et des Richesses minérales. Cette rencontre a été un moment clé pour réaffirmer la solidité des relations bilatérales et la volonté commune de les approfondir dans tous les domaines, qu’il s’agisse du commerce, de l’industrie ou des investissements.

Un des points marquants de cette visite a été la préparation de la Commission mixte tuniso-saoudienne, qui se tiendra fin décembre 2025 à Riyad. Les deux ministres ont souligné l’importance de bien préparer cet événement, afin de garantir une coopération mutuellement bénéfique.

Le ministre Abdelhafidh a également rencontré Sultan Al-Murshid, directeur exécutif du Fonds saoudien pour le développement, avec qui il a abordé l’état d’avancement des projets financés par le Fonds en Tunisie. Cette discussion a permis de clarifier les modalités d’une collaboration renforcée dans le cadre du plan de développement 2026-2030 de la Tunisie, avec un accent particulier sur les secteurs stratégiques tels que les infrastructures, les énergies renouvelables et la gestion des ressources en eau.

Enfin, en marge de la conférence, le ministre a échangé avec des cadres tunisiens travaillant dans de grandes entreprises internationales. Ces rencontres ont permis de discuter de l’environnement d’investissement en Tunisie et de définir des stratégies pour rendre le pays plus attractif dans les domaines de l’innovation technologique et des infrastructures.

Cette participation active de la Tunisie à la Conférence de l’Initiative pour l’Avenir de l’Investissement s’inscrit dans une démarche globale visant à renforcer les partenariats économiques internationaux et à ouvrir de nouvelles perspectives pour le développement du pays.

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Cybersécurité des enfants: un enjeu essentiel pour l’avenir

La protection des enfants en ligne est devenue une priorité absolue, selon le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi. Lors du premier Forum national sur la protection des enfants en ligne à Ben Arous, il a souligné l’importance de sécuriser l’espace numérique pour les jeunes, dans un monde de plus en plus connecté où l’intelligence artificielle progresse rapidement.

Le ministre a appelé à une vigilance accrue face aux dangers qui menacent les enfants sur Internet, notamment la perte de repères culturels, l’impact sur leur comportement et leur identité. Pour cela, il a insisté sur la nécessité de travailler ensemble, à la fois entre institutions et acteurs sociaux, pour prévenir ces risques.

Yassine Jemil, directeur de l’Agence nationale de la cybersécurité (ANCS), a expliqué que son agence met en place des programmes de sensibilisation et de formation pour les éducateurs, les médias et les institutions, afin de promouvoir une meilleure culture de la cybersécurité et d’encourager une utilisation responsable des technologies.

Il a aussi insisté sur l’importance de discuter régulièrement avec les enfants, de leur apprendre à être critiques face aux contenus en ligne et de créer des systèmes de contrôle parental efficaces, alliant outils numériques, accompagnement éducatif et suivi psychologique.

Les discussions lors du forum ont permis de souligner plusieurs priorités: renforcer la sécurité numérique dans les écoles, prévenir la violence et l’exploitation en ligne, et mettre en avant le rôle clé des médias et des structures éducatives pour protéger les mineurs dans le cyberespace.

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La Tunisie consacrée Centre d’excellence Kaizen en Afrique: une reconnaissance internationale de son savoir-faire industriel

La Tunisie vient d’être désignée centre d’excellence Kaizen au niveau africain, lors de la conférence continentale “Africa Kaizen 2025” tenue les 27 et 28 octobre à Johannesburg (Afrique du Sud). Cette consécration, attribuée par l’Agence japonaise de coopération internationale et l’agence de développement de l’Union africaine, positionne la Tunisie parmi les quatre pays africains aux côtés de l’Afrique du Sud, de l’Éthiopie et de l’île Maurice  reconnus pour leur engagement exemplaire en matière d’amélioration continue et de compétitivité industrielle.

La Tunisie était représentée par Slim Ferchichi, chargé de la direction générale de l’innovation et du développement technologique au ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, qui pilote le programme national d’amélioration de la qualité et de la productivité. Il était accompagné de ‏Noureddine Guizani, directeur général du Centre technique des industries mécaniques et électriques, ainsi que d’experts tunisiens spécialisés dans la méthodologie Kaizen.

Cette distinction internationale vient couronner plusieurs années de coopération étroite entre les services du ministère et les huit centres techniques industriels du pays. Le nouveau centre d’excellence Kaizen de Tunisie aura pour mission de promouvoir la culture Kaizen fondée sur l’amélioration continue et de renforcer la compétitivité des entreprises tunisiennes et africaines à travers le transfert de compétences, la formation et l’innovation organisationnelle.

Outre cette reconnaissance institutionnelle, deux entreprises tunisiennes se sont distinguées lors de cette édition 2025 du forum Kaizen Afrique:

  • Leoni Wiring Systems, spécialisée dans les composants automobiles, a remporté le premier prix “Africa Kaizen Outstanding”, saluant son excellence en matière de performance industrielle.
  • Sopal, leader dans la fabrication d’équipements sanitaires et de robinetterie, s’est vu décerner le deuxième prix “Excellent”.

Les trophées ont été remis par la ministre sud-africaine du Travail et de l’Emploi lors de la cérémonie de clôture, soulignant la place croissante de la Tunisie sur la carte africaine de l’excellence industrielle.

Cette nomination confirme la maturité du tissu industriel tunisien et la pertinence de sa stratégie d’amélioration continue, fondée sur la qualité, la productivité et l’innovation. En devenant pôle africain du Kaizen, la Tunisie consolide son rôle de leader régional dans la promotion d’une industrie performante, durable et compétitive.

 

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L’essor de l’IA en Afrique: les startups lèvent plus de 1,2 milliard de dollars

L’Afrique confirme son entrée dans la course mondiale à l’intelligence artificielle (IA). Selon un rapport publié le 1er septembre 2025 par Heirs Technologies, les startups africaines spécialisées dans l’IA ont levé 1,25 milliard de dollars entre janvier 2019 et mars 2025.

Ces jeunes entreprises développent des solutions dans des domaines clés comme la santé, la finance, la logistique, l’agriculture ou encore l’énergie, prouvant que la technologie peut répondre aux besoins locaux tout en créant de nouvelles opportunités économiques.

Les quatre plus grands écosystèmes technologiques du continent — l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Kenya et l’Égypte — concentrent à eux seuls plus de 86% des fonds levés, soit environ 1,08 milliard de dollars.

· Afrique du Sud: 495,5 millions $

· Nigeria: 226,1 millions $

· Kenya: 197,1 millions $

· Égypte: 161,1 millions $

Ces pays bénéficient d’infrastructures plus solides, de politiques publiques favorables à l’innovation et d’un bon accès aux investisseurs.

D’autres pays commencent aussi à se faire remarquer, comme le Maroc, la Tunisie, le Ghana ou le Zimbabwe, où émergent des startups prometteuses. Des entreprises comme InstaDeep (Tunisie), Xolani Health (Nigeria), NeedEnergy (Zimbabwe) ou Plentify (Afrique du Sud) développent des technologies qui vont des diagnostics médicaux prédictifs aux systèmes énergétiques intelligents, en passant par la robotique et les modèles linguistiques africains.

Le plus grand succès africain reste celui d’InstaDeep, rachetée par la société allemande BioNTech en janvier 2023 pour plus de 550 millions de dollars. Fondée en 2014 par Karim Beguir et Zohra Slim, cette startup tunisienne a développé un système d’alerte précoce pour détecter les nouveaux variants du coronavirus, démontrant le potentiel mondial des innovations africaines.

Le développement de ces startups est soutenu par des investisseurs internationaux tels que Google Ventures, Norrsken ou Techstars, mais aussi par des fonds africains comme Launch Africa, Future Africa, AfricInvest et 54 Collective. Cette diversité d’acteurs témoigne d’un intérêt croissant pour les solutions technologiques africaines.

Le marché africain de l’IA est estimé à 4,5 milliards de dollars en 2025, soit 1,85% du marché mondial. Cette part pourrait rapidement augmenter, car plus de 20 pays africains ont déjà adopté des stratégies nationales d’IA. Les petits modèles linguistiques (SLM), plus légers et moins coûteux, ouvrent aussi la voie à des applications concrètes dans la santé, l’agriculture et l’éducation.

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Masse salariale publique: plus de 51 000 postes régularisés et des salaires en hausse en 2026

Le gouvernement tunisien prévoit de consacrer 25,267 milliards de dinars à la masse salariale en 2026, soit une hausse de 3,6% par rapport à 2025. Cette augmentation s’accompagne de la régularisation de plus de 51 000 postes et d’un programme d’augmentation des salaires dans la fonction publique.

En effet, la masse salariale devrait se stabiliser à 13,4% du produit intérieur brut (PIB) en 2026, contre 14,1% en 2025 et 13,9% en 2024, selon le ministère des Finances. Cette légère baisse du ratio reflète une volonté de contrôle des dépenses tout en poursuivant la régularisation des situations précaires.

L’augmentation des crédits alloués s’explique par l’intégration et la régularisation de 51 878 postes, dont 22 523 nouveaux recrutements prévus pour 2026. Parmi les mesures prioritaires:

-La régularisation d’environ 12 942 ouvriers de chantiers;

-L’intégration de 13 837 enseignants et instituteurs suppléants;

-L’insertion de 2 601 titulaires de licences appliquées;

-La régularisation de 1 066 professeurs d’éducation physique;

-L’intégration de 1 226 conseillers, surveillants et techniciens de laboratoire contractuels.

Par ailleurs, 1 350 postes seront réservés aux docteurs, dont 740 pour l’enseignement supérieur, 54 pour l’enseignement supérieur agricole, 56 pour l’enseignement supérieur militaire et 500 pour d’autres ministères.

Le gouvernement prévoit également un programme d’augmentation des salaires dans la fonction publique sur la période 2026-2028. Pour mieux gérer la masse salariale, des mesures de mobilité interne, de réaffectation des fonctionnaires selon les besoins des administrations et de congés pour création d’entreprise seront encouragées.

Avec ces mesures, la Tunisie vise à stabiliser ses dépenses publiques tout en soutenant l’emploi et les salaires dans le secteur public, un équilibre crucial pour l’économie nationale.

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La Tunisie gagne 28 places en un an dans le classement mondial des cryptomonnaies

Malgré l’interdiction des cryptomonnaies depuis 2018, leur utilisation explose en Tunisie. Le pays gagne 28 places en un an et se classe désormais 52ᵉ mondialement, figurant parmi les dix premiers pays africains pour l’adoption des cryptos, selon le rapport 2025 de Chainalysis.

Cette progression remarquable reflète surtout l’usage informel des cryptomonnaies, via des plateformes peer-to-peer ou d’autres échanges non officiels. Sur le plan légal, l’usage reste interdit et non régulé, mais cela n’empêche pas les particuliers et certaines institutions d’effectuer des transactions.

Dans le détail des sous-indices, la Tunisie se classe 43ᵉ pour les particuliers utilisant des services centralisés, 53ᵉ pour les services centralisés en général, 67ᵉ pour la finance décentralisée et 61ᵉ pour l’implication des institutions. À l’échelle africaine, le Nigeria domine le continent, suivi de l’Éthiopie et du Maroc, tandis que l’Algérie, où les cryptos sont aussi interdites, occupe la 47ᵉ place.

Au niveau mondial, l’Inde, les États-Unis, le Pakistan, le Vietnam et le Brésil sont en tête du classement. La Tunisie illustre ainsi la persistance de l’adoption des cryptomonnaies malgré les restrictions légales et montre l’importance croissante des transactions informelles dans le pays.

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La Tunisie parmi les pays africains les mieux protégés contre la fraude numérique

Face à la montée mondiale des fraudes en ligne, la Tunisie tire son épingle du jeu. D’après un rapport publié le 9 octobre 2025 par la plateforme Sumsub en collaboration avec Statista, le pays se classe 4ᵉ en Afrique et 67ᵉ dans le monde sur 112 pays évalués pour leur niveau de protection contre la fraude numérique.

L’étude repose sur plus d’un million de vérifications quotidiennes et sur des données issues d’organisations comme la Banque mondiale. Le classement s’appuie sur le modèle du «triangle de la fraude», qui combine trois facteurs: la pression, l’opportunité et la rationalisation.

Quatre grands indicateurs composent le score global: Activités frauduleuses (50%), Accessibilité des ressources (20%), Intervention gouvernementale (20%), Santé économique (10%).

En Afrique, l’île Maurice arrive en tête (22ᵉ mondiale, 1,8 point), suivie du Botswana (46ᵉ) et du Maroc (50ᵉ). La Tunisie, avec son 67ᵉ rang mondial, précède plusieurs grandes économies africaines telles que l’Afrique du Sud (74ᵉ), l’Égypte (79ᵉ) et l’Algérie (90ᵉ).

Ce classement souligne la résilience numérique tunisienne, portée par une vigilance institutionnelle croissante malgré des moyens matériels limités.

À l’échelle régionale, le score moyen africain s’élève à 3,84 points, contre 2,79 points pour la moyenne mondiale, ce qui montre que le continent reste le plus exposé à la fraude numérique.

Les pays les mieux protégés au monde sont européens: le Luxembourg, le Danemark, la Finlande, la Norvège et les Pays-Bas occupent les premières places du classement.

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La Cotunace fête ses 40 ans et dévoile une nouvelle identité visuelle

La Compagnie tunisienne pour l’assurance du commerce extérieur (Cotunace) célèbre cette année ses 40 ans d’existence. Depuis sa création, la Cotunace s’est imposée comme l’assureur-crédit de référence en Tunisie, accompagnant les entreprises tunisiennes dans leurs échanges commerciaux et contribuant au développement de l’économie nationale.

À l’occasion de cet anniversaire marquant, la compagnie a dévoilé sa nouvelle identité visuelle, symbole fort de modernisation et de renouveau stratégique. Ce changement traduit la volonté de la Cotunace de consolider sa position de leader tout en affirmant son ambition de s’adapter aux nouveaux défis du marché et aux besoins évolutifs de ses clients.

Une identité qui allie héritage et modernité

Le nouveau logo de la Cotunace incarne les valeurs et la mission de la compagnie:

· Le demi-cercle bleu représente la lettre «C» de Cotunace et évoque la protection offerte à ses assurés.

· Le demi-cercle orange symbolise la maîtrise du risque et l’énergie d’un acteur toujours en mouvement.

· Les cinq griffes rappellent les cinq continents, traduisant la dimension internationale et la volonté d’ouverture de la Cotunace vers de nouveaux horizons.

Ce pas est considéré comme important pour l’avenir et surtout pour le long terme.

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La Tunisie renforce son plan contre la grippe saisonnière et les maladies respiratoires

Le ministère de la Santé a activé un plan national pour prévenir la grippe saisonnière et les infections respiratoires, alors que les cas augmentent dans plusieurs pays. Sous la direction du ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, la commission technique chargée de la prévention contre la grippe et les maladies respiratoires aiguës s’est réunie pour faire le point sur la situation en Tunisie et dans le monde.

La commission a décidé de renforcer la surveillance dans les hôpitaux et les laboratoires afin de détecter rapidement les cas de grippe, y compris les formes importées ou liées à la grippe aviaire. Elle prévoit également d’élargir la campagne de vaccination, notamment pour les personnes les plus vulnérables.

Le ministère a annoncé que le personnel médical recevra une formation pour mieux diagnostiquer et répondre aux cas sur le terrain.

Enfin, des campagnes de sensibilisation seront lancées pour rappeler les gestes de prévention: se laver régulièrement les mains, porter un masque en cas de symptômes et éviter les endroits surpeuplés.

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Dette publique: la ministre des Finances précise les chiffres réels

La ministre des Finances, Michket Slama Khaldi, a annoncé mardi 28 octobre 2025 que la Tunisie a remboursé 19 532 millions de dinars (Mtnd) au titre de sa dette publique cette année. Cela comprend 8 725 Mtnd de dette extérieure et 10 808 Mtnd de dette intérieure.

Sur ce montant, 14 861 Mtnd concernent le remboursement du principal et 4 671 Mtnd les intérêts. Ces chiffres ont été communiqués lors d’une séance conjointe des commissions des finances et du budget, consacrée au suivi de l’exécution du budget 2025. Selon la ministre, le taux de réalisation du budget atteint 79,1% par rapport aux prévisions.

Cette clarification intervient après une polémique récente autour du remboursement de la dette extérieure, qui avait été présenté par certains médias comme dépassant 100%, ce que plusieurs économistes avaient qualifié d’inexact.

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Tunisie: les subventions énergétiques vont baisser de 13% en 2026

La Tunisie entend rationaliser ses subventions énergétiques l’année prochaine. Selon le projet de loi de finances 2026, les aides à l’électricité et aux produits pétroliers devraient passer de 5 719 millions de dinars en 2025 à 4 993 millions, soit une baisse de 13%. Cette réduction permettra au budget de réaliser une économie d’environ 726 millions de dinars.

Les subventions seront réparties entre la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg), qui recevra 3 138 millions de dinars, et la Société tunisienne des industries de raffinage (Stir), qui bénéficiera de 1 855 millions de dinars. Le gouvernement prévoit plusieurs mesures pour atteindre ces objectifs: améliorer la performance des entreprises publiques, maîtriser la consommation énergétique et mieux contrôler la distribution des bonbonnes de gaz domestique.

Le budget repose sur des hypothèses prudentes, notamment un prix moyen du baril de Brent à 63,3 dollars, la stabilité du taux de change et une hausse de la consommation nationale estimée à 6% pour les produits pétroliers et 3% pour l’électricité. Par ailleurs, une partie des dettes accumulées par la Stir et la Steg sur plusieurs années sera régularisée, à hauteur de 670 millions de dinars au total.

Malgré cette réduction des subventions, le gouvernement insiste sur le soutien aux ménages. Le taux moyen de subvention pour les produits pétroliers restera de 27%, tandis que les bonbonnes de gaz domestique bénéficieront du taux le plus élevé, à 71%, afin de protéger surtout les familles à revenus faibles et moyens.

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22 entreprises chinoises déjà installées en Tunisie: plus de 1 100 emplois créés

Selon les dernières données de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (Fipa), 22 entreprises chinoises sont aujourd’hui implantées en Tunisie, avec plus de 31 millions de dinars d’investissements directs et la création de plus de 1 100 emplois.

Cette présence croissante témoigne du renforcement des relations économiques entre la Tunisie et la Chine, à un moment où Pékin multiplie les visites d’investisseurs et d’entreprises publiques pour explorer de nouvelles opportunités.

Lors d’une récente rencontre avec le directeur général de la Fipa, Jalel Tebib, Li Xi, haut responsable du Parti communiste chinois, a souligné que la Tunisie occupe une place stratégique dans la politique économique chinoise, grâce à sa position géographique avantageuse, sa main-d’œuvre qualifiée et son ouverture sur les marchés africains et européens.

Il a rappelé que le pays fait désormais partie de l’initiative mondiale “la Ceinture et la Route”, connue sous le nom de “Nouvelle Route de la soie”, qui vise à renforcer les échanges entre la Chine et ses partenaires. Les discussions entre les deux parties ont permis d’identifier plusieurs secteurs prometteurs pour les investissements chinois, notamment l’industrie automobile, les infrastructures, les industries chimiques, les énergies renouvelables et le tourisme.

Jalel Tebib a réaffirmé la volonté de la Tunisie de poursuivre une coopération économique solide et équilibrée avec la Chine, fondée sur un partenariat mutuellement bénéfique.

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Ouverture, à Tunis, du séminaire des entreprises exportatrices dans le cadre de la Zlecaf

Le ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid, a ouvert, lundi 27 octobre, à Tunis, le séminaire des entreprises tunisiennes exportatrices dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), qui a porté sur les opportunités offertes par les marchés africains et les moyens de renforcer la présence tunisienne sur le continent.

La rencontre s’est tenue en présence de représentants du Cepex, des Chambres de commerce et d’industrie, de la GIZ et de nombreuses entreprises exportatrices.

Dans son intervention, le ministre a souligné que l’Afrique représente un axe stratégique pour la Tunisie, offrant de nouvelles perspectives économiques. Il a annoncé la création d’une plateforme numérique pour la délivrance des certificats d’origine, rappelant que plus de 350 certificats Zlecaf ont déjà été émis depuis mai 2023.

Abid a également fait savoir que des comités de réflexion seront mis en place pour encourager l’intégration africaine et soutenir les entreprises exportatrices.

À la fin du séminaire, plusieurs entreprises tunisiennes ayant réussi leurs exportations dans le cadre de la Zlecaf ont été honorées pour leurs performances.

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Location-accession: un nouveau souffle pour le logement social en Tunisie

Le ministre de l’Équipement, Salah Zouari, a annoncé, lundi 27 octobre, le lancement d’un nouveau programme de logements sociaux basé sur le principe de la location-accession, inscrit dans le projet de loi de finances 2026.

Ce mécanisme permettra à de nombreux salariés, surtout ceux à revenus modestes, d’accéder à la propriété après une période de location.

L’État a réservé une enveloppe initiale de 25 millions de dinars pour démarrer le programme, un budget appelé à augmenter selon l’avancement des travaux. Les terrains destinés à la construction sont déjà prêts et seront cédés à un dinar symbolique, afin de faciliter le démarrage rapide du projet.

Le système de location-accession repose sur un principe simple: le locataire verse chaque mois un loyer, dont une partie sera déduite du prix total du logement. À la fin de la période prévue, le bien devient sa propriété.

Ce dispositif vise à offrir une solution concrète à la crise du logement, en particulier pour les travailleurs percevant le salaire minimum garanti.

La première phase du programme prévoit la construction de 1 000 logements dès 2026, répartis dans plusieurs gouvernorats. La priorité sera donnée aux salariés à faibles revenus. Le ministre a affirmé la volonté du gouvernement d’étendre progressivement le projet dans toutes les régions afin de répondre aux besoins croissants en logements abordables.

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La STB lance sa plateforme “RSE by STB” pour un engagement durable et collectif

La Société tunisienne de banque (STB) vient de franchir une nouvelle étape dans sa démarche responsable avec le lancement officiel de sa nouvelle plateforme digitale «RSE by STB», un espace entièrement dédié à la responsabilité sociétale de l’entreprise.

Dans un monde où les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) prennent de plus en plus d’importance, la STB affirme sa volonté d’agir concrètement pour un développement durable et transparent.

Cette nouvelle plateforme a pour mission de regrouper toutes les initiatives RSE de la banque en un seul endroit. Elle offre à la fois un espace d’information et de communication sur les projets durables menés par la STB, mais aussi un outil pédagogique pour sensibiliser collaborateurs, clients et partenaires aux questions de durabilité.

Accessible à tous, “RSE by STB” permet de suivre les actions menées dans les trois grands domaines de la responsabilité sociétale: l’environnement, le social et la gouvernance.

Avec “RSE by STB”, la banque ne se contente pas de communiquer sur ses actions: elle invite tous ses collaborateurs et partenaires à participer activement à cette démarche responsable.

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Coopération financière et technique entre la Tunisie et la BERD

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a rencontré, lundi 27 octobre, une délégation de conseillers du conseil d’administration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), actuellement en visite de travail en Tunisie.

La réunion a porté principalement sur la coopération financière et technique existant entre la Tunisie et la BERD, ainsi que sur les perspectives de son renforcement au cours de la prochaine phase.

En présence de Nodira Mansurova, directrice du bureau de la BERD en Tunisie, Abdelhafidh a exprimé sa satisfaction quant au niveau des relations entre les deux parties et a souligné la volonté du gouvernement tunisien de consolider et de diversifier davantage les domaines de coopération, dans le cadre du Plan de développement 2026-2030.

Pour sa part, Emily Keenan, cheffe de la délégation, a indiqué que cette visite vise à approfondir l’examen de l’évolution des différents pôles et programmes de coopération entre la BERD et la Tunisie, ainsi qu’à mieux cerner les priorités et orientations de développement du pays. Ces échanges permettront, selon elle, de mieux coordonner la préparation des futurs programmes de travail communs.

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Tunisie: un plan national pour protéger les enfants contre la rougeole

Le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a présidé, le 27 octobre, une réunion visant à mettre en œuvre le plan national de prévention de l’inflammation défectueuse chez l’enfant et le nourrisson.

Ce plan national est principalement axé sur plusieurs actions clés pour garantir la protection de la santé des enfants et des nourrissons face à la rougeole et autres maladies infectieuses. Parmi les mesures prévues, on retrouve:

– Sensibilisation et prévention: informer les familles et les professionnels de santé sur les bonnes pratiques de prévention à adopter, aussi bien à domicile qu’au sein des centres de santé.

– Formation des acteurs de santé: offrir une formation adéquate aux aides soignants en suivant un protocole scientifique unifié.

– Renforcement des équipements: fournir aux départements de santé des équipements modernes pour faciliter le diagnostic et le traitement des enfants.

– Suivi des indicateurs de santé: créer une base de données solide afin de suivre en temps réel les indicateurs de santé et de pouvoir réagir rapidement en cas d’urgence.

Dans son discours, le ministre a rappelé l’importance de cette initiative en soulignant que la santé des enfants est une responsabilité collective. Il a insisté sur la nécessité d’un travail commun et dynamique pour offrir des soins préventifs efficaces et réduire les risques de complications respiratoires graves.

Ce plan ambitieux marque un tournant dans la gestion de la santé infantile en Tunisie et s’inscrit dans la volonté de protéger les générations futures contre les menaces sanitaires majeures.

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