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PME agroalimentaires africaines : la Tunisie au cœur de la transition durable

“Le projet panafricain de renforcement des capacités des PME agroalimentaires pour une transition durable” porté par la Commission Économique pour l’Afrique relevant de l’ONU, a été lancé, lors d’un atelier organisé, les 27 et 28 octobre 2025, à Alger (Algérie), a fait savoir, mardi, l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation (APII).

Cette initiative pilote d’envergure panafricaine, menée conjointement dans trois pays pilotes à savoir la Tunisie, le Sénégal et l’Algérie, vise à promouvoir une croissance inclusive et durable du secteur agroalimentaire en Afrique, à travers le partage d’expériences, la montée en compétences et la mise en place de synergies inter-pays.

La Tunisie y est représentée par les principales institutions d’appui au secteur agroalimentaire relevant du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie à savoir l’APII, point focal du projet en Tunisie, la Direction Générale de l’Industrie Alimentaire, le Centre Technique de l’Agro-alimentaire (CTAA) et le Pôle de Compétitivité de Bizerte.

À travers sa participation active à ce projet structurant, la Tunisie réaffirme son rôle moteur dans la coopération africaine, son engagement pour la durabilité des chaînes de valeur agroalimentaires et sa volonté de renforcer la compétitivité et la résilience de ses PME face aux défis économiques et climatiques actuels.

 

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Tunisie : plus de 210 femmes accompagnées dans le développement local inclusif

Plus de 210 femmes ont bénéficié du projet “leadership transformatif au féminin: pour un développement local inclusif” lancé depuis deux ans par le Centre de la femme arabe pour la formation et la recherche “CAWTAR”, en collaboration avec l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement, a indiqué la coordinatrice des projets au centre “CAWTAR” Mariem Jerbi.

Jerbi a précisé, dans une déclaration à la TAP, en marge de l’atelier de clôture du projet à Tunis, que le programme “leadership transformatif au féminin: pour un développement local inclusif” (2023- 2025) comprend la mise en œuvre de trois initiatives à dimension économique, sociale et environnementale, dans les villes de Gtar et Snad (gouvernorat de Gafsa) et de Béni Ayache (gouvernorat de Nabeul) en vue de renforcer la participation des femmes et leur intégration dans la vie sociale et économique au niveau local.

Elle a ajouté que plus de 70 femmes ont bénéficié d’un accompagnement pour développer leurs capacités et de sessions de formation dans leur domaine d’activité.

Le groupe féminin de la ville de Gtar a mis en place un projet de transformation des déchets organiques et des résidus de palmeraies en compost naturel, alors que le travail du groupe Snad s’est basé sur la valorisation de la laine de mouton.

Le groupe féminin de Béni Ayache vise à recycler les déchets organiques et à les transformer en compost naturel, outre la création d’une coopérative féminine chargée de la gestion du cycle de production.

“Malgré la clôture de ce projet, le Centre “CAWTAR” s’est engagé à garantir la durabilité de ces groupes féminins à travers des partenariats avec certaines structures locales et régionales” a précisé la coordinatrice des projets.

De son côté, la directrice exécutive du Centre “CAWTAR” Soukeina Bouraoui, a affirmé que ce projet a réussi à renforcer le leadership transformatif collectif à travers la participation d’un nombre important de femmes à même de favoriser leur intégration dans la vie sociale et économique à l’échelle locale.

Elle a ajouté que ce projet a permis aux femmes de bénéficier de l’autonomie financière et de nouveaux outils de production, mise à part l’enracinement de la culture environnementale dans les régions.

A cette occasion,  la ministre de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées, Asma Jebri, a salué le projet “leadership transformatif au féminin”, relevant que la gouvernance locale et inclusive des femmes s’inscrit dans le cadre d’une vision nationale visant à mobiliser toutes les capacités nationales en particulier la femme, en tant que vecteur essentiel de l’action économique, sociale et politique.

A noter qu’une exposition collective a été organisée à cette occasion, comportant la production des groupes de femmes soutenus par le Centre “CAWTAR”, notamment des denrées alimentaires, des bijoux et des articles de décoration.

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Amazon : 14 000 postes supprimés pour financer l’intelligence artificielle

Le géant du commerce en ligne Amazon a annoncé, mardi, la suppression d’environ 14 000 postes au sein de ses fonctions support. Cette décision s’inscrit dans une stratégie de réduction des coûts, alors que le groupe investit massivement dans les technologies d’intelligence artificielle (IA).

Selon les chiffres communiqués, Amazon employait à la fin de l’année dernière près de 1,56 million de personnes, dont environ 350 000 dans les fonctions support regroupant les activités administratives.

Des réductions plus larges que prévu

Cette annonce intervient au lendemain d’un article de Reuters évoquant un plan de licenciement pouvant atteindre jusqu’à 30 000 emplois, amorcé à partir de ce mardi. L’objectif serait de rationaliser les dépenses de l’entreprise et de corriger les excès d’embauche observés pendant la pandémie de Covid-19, période marquée par une forte expansion du commerce en ligne.

Restructurations successives dans plusieurs divisions

Depuis plusieurs mois, Amazon procède à une série de restructurations internes. Des suppressions de postes ont déjà touché les divisions livres, appareils électroniques, services et la filiale de podcasts Wondery. Ces ajustements visent à recentrer les activités du groupe sur ses pôles les plus rentables et à préparer l’intégration à grande échelle des outils d’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle au cœur de la transformation

Le directeur général d’Amazon, Andy Jassy, avait indiqué en juin dernier que l’adoption croissante de l’IA générative allait progressivement transformer l’organisation du travail au sein du groupe et réduire ses besoins en main-d’œuvre.
Cette orientation stratégique s’inscrit dans une tendance plus large au sein des grandes entreprises technologiques, qui cherchent à adapter leurs structures à la révolution technologique en cours tout en maîtrisant leurs coûts opérationnels.

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L’euro en hausse : la BCE alerte sur les risques pour l’économie européenne

L’appréciation de l’euro met en péril la compétitivité des produits européens sur les marchés internationaux. Fabio Panetta, membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) et gouverneur de la Banque d’Italie, a tiré la sonnette d’alarme mardi lors d’une conférence financière à Rome. Selon lui, la hausse de la monnaie unique érode la compétitivité-prix des exportations européennes à un moment où la concurrence mondiale s’intensifie.

Une réorientation du commerce mondial vers l’Europe

Panetta a souligné que la récente baisse des exportations chinoises vers les États-Unis, conjuguée à une hausse vers l’Union européenne, illustre une « réorientation générale » de la production chinoise vers les marchés européens. Cette évolution pourrait accentuer la pression sur les entreprises européennes, déjà confrontées à la vigueur de l’euro et à la hausse des coûts de production.

Tensions commerciales entre Washington et Pékin

Dans ce contexte, les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine se ravivent. Le président américain Donald Trump a menacé d’imposer, dès le 1er novembre, des droits de douane de 100 % sur les importations chinoises. Cette décision serait une riposte aux restrictions décidées par Pékin sur les exportations de terres rares, des matériaux essentiels à de nombreux secteurs industriels.

Vers un apaisement possible ?

Malgré cette escalade verbale, Donald Trump a affiché un ton plus conciliant lors de sa tournée en Asie, notamment au Japon. Il s’est dit confiant dans la conclusion d’un accord avec le président chinois Xi Jinping, qu’il doit rencontrer jeudi. L’issue de cet entretien pourrait influencer la dynamique des échanges commerciaux mondiaux et, indirectement, l’évolution de la devise européenne.

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Kef : une journée d’information pour optimiser le choix des semences et les pratiques agricoles

De nombreux agriculteurs au gouvernorat du Kef ont pris connaissance, lors d’une journée d’information tenue lundi au Centre de formation professionnelle agricole de Boulifa, des mécanismes de sélection des variétés de semences adaptées au climat et au sol de la région ainsi qu’aux bonnes pratiques techniques liées à l’utilisation des équipements agricole tout au long de la saison.

L’ingénieur et formateur au Centre sectoriel de formation professionnelle agricole en machinisme agricole de Jougar (Zaghouan), Moez Ben Mansour a souligné, à l’Agence TAP, l’importance de cette journée d’information visant à familiariser les agriculteurs avec les variétés de blé et d’orge les plus adaptées aux conditions pédoclimatiques (climat du sol) dans la région du Kef.

Il a également insisté sur la bonne utilisation du matériel agricole, notamment lors des opérations de labour et de semis, afin d’assurer une croissance homogène et rapide des plantes, de réduire l’usage des engrais chimiques durant la saison et de garantir un bon rendement.

Cette journée a aussi permis de répondre aux interrogations des agriculteurs concernant les nouveautés du secteur céréalier et les moyens d’en tirer profit, dans le but d’améliorer la production de céréales dans la région du Kef.

À noter qu’environ 228 mille hectares sont consacrés aux grandes cultures dans le gouvernorat du Kef lors de la nouvelle campagne agricole, dont 200 mille hectares dédiés aux céréales, le reste étant réparti entre les cultures fourragères et les légumineuses.

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ECOMONDO 2025 : Le développement durable de l’Afrique au coeur de l’Afirca Green Growth. Le Plan Mattei, Moteur de la coopération Euro-Africaine

  • La cinquième édition du Forum se tiendra jeudi 6 novembre au Parc des Expositions de Rimini de l’Italian Exhibition Group (IEG).
  • Avec la participation de la Structure missionnée pour la mise en œuvre du Plan Mattei de la Présidence du Conseil des Ministres, du Ministère de l’Environnement et de la Sécurité Énergétique, du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, de Confindustria Assafrica & Mediterraneo et de RES4Africa.
  • La rencontre rassemblera des institutions et des entreprises pour échanger sur les stratégies communes de développement durable en Afrique, dans le cadre du Plan Mattei et du programme « Mission 300 ».

Rimini 28/10/2025  – L’Afrique sera au cœur d’Ecomondo 2025, la manifestation internationale d’Italian Exhibition Group (IEG) consacrée à l’économie verte, bleue et circulaire, au Parc des Expositions de Rimini du 4 au 7 novembre.

Jeudi 6 novembre à 14h00 aura lieu la cinquième édition de l’Africa Green Growth Forum, organisé par Ecomondo avec la participation de la Structure missionnée pour la mise en œuvre du Plan Mattei de la Présidence du Conseil des Ministres, du Ministère de l’Environnement et de la Sécurité Énergétique, du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, par Confindustria Assafrica & Mediterraneo et par RES4Africa.

UN FORUM POUR L’AFRIQUE

Le Forum Africa Green Growth – « Le Plan Mattei : dialogue entre les institutions et le secteur privé pour le développement durable de l’Afrique » – est le plus important événement consacré à l’Afrique dans le cadre du programme de conférences d’Ecomondo.

La cinquième édition mettra en lumière les initiatives d’accès à une énergie propre et durable en Afrique, promues dans le cadre du Plan Mattei et du Programme « Mission 300 », un programme multilatéral mené par la Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement qui vise à fournir une électricité propre et fiable à 300 millions de personnes en Afrique subsaharienne d’ici 2030. Le Forum s’attachera à montrer comment des investissements publics et privés coordonnés peuvent débloquer de nouvelles opportunités de développement durable sur le continent africain, améliorer les conditions de vie, réduire la pauvreté et promouvoir une croissance économique inclusive.

La conférence « Projets stratégiques de Recherche & Innovation en faveur de la transition verte dans le bassin méditerranéen et en Afrique », organisée par le Comité technique et scientifique d’Ecomondo et par l’APRE, offrira également d’importants éléments de réflexion. Cette conférence, qui se tiendra vendredi 7 novembre à 10h30, montrera comment la recherche et l’innovation peuvent jeter un pont entre l’Europe, l’Afrique et le bassin méditerranéen et comment ces efforts peuvent contribuer à la mise en œuvre du Plan Mattei.

START-UP LOCALES ET PROJETS DE COLLABORATION

Au sein du District de l’Innovation d’Ecomondo 2025, sera présent un groupe de start-up marocaines et tunisiennes sélectionnées dans le cadre du projet ICE Lab Innova for Africa « Luca Attanasio », opérant dans les secteurs de l’économie verte et circulaire.

L’Afrique et le bassin méditerranéen seront au centre des stratégies de croissance internationale d’Ecomondo, pour faire émerger des opportunités de développement pour les entreprises italiennes dans les secteurs de l’eau, de l’énergie, de l’agroalimentaire et de la bioéconomie circulaire. Depuis 2017, la manifestation d’IEG promeut des initiatives dédiées au climat, à la décontamination et à la restauration des écosystèmes dans le bassin méditerranéen et en Afrique du Nord, en collaboration avec la Commission européenne, avec les initiatives BLUEMED et WestMED, et avec l’Union pour la Méditerranée (UfM).

Dans le sillage des développements du Plan Mattei, Ecomondo 2025 renforce le dialogue entre les parties prenantes, ouvrant de nouvelles voies au développement durable sur le continent africain.

LES PARTENAIRES INSTITUTIONNELS

Ecomondo 2025 est organisé par Italian Exhibition Group avec la collaboration de : Commission européenne ; UNIDO ITPO ; Ministère de l’Environnement et de la Sécurité Énergétique ; MAECI (Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération Institutionnelles) ; Ministère des Entreprises et du Made in Italy ; Agence ICE – Agence italienne pour le commerce et l’investissement ; Région Émilie-Romagne ; Ville de Rimini ; ANCI (Association nationale des communes italiennes) ; ANFIA (Association nationale de la filière de l’industrie automobile) ; ART-ER ; CIB (Consortium italien du biogaz) ; CIC (Consortium italien de compostage) ; CONAI (Consortium national de l’emballage) ; ENEA ; Assoambiente ; Fondation pour le développement durable ; ISPRA (Institut Supérieur de la Protection et de la Recherche environnementale) ; Legambiente ; UNICIRCULAR (section Assoambiente) ; UNACEA (Union Nationale des constructeurs d’équipements et matériels de construction) ; UTILITALIA ; CIHEAM (Centre international d’études agronomiques avancées méditerranéennes) ; CBE JU (Engagement commune pour une Europe circulaire bio-sourcée) ; EBA (Association européenne du biogaz) ; Agence européenne pour l’environnement ; ISWA (Association internationale des déchets solides) ; WBA (Association mondiale du biogaz) ; Water Europe.

À PROPOS D’ECOMONDO 2025

Statut : Salon international ; Organisation : Italian Exhibition Group S.p.A. ; Fréquence : annuelle ; Édition : 28ème ; Date : 4-7 novembre 2025 ; adresse mail : ecomondo@iegexpo.it ; Internet : http://www.ecomondo.com/www.ecomondo.com ; Facebook : www.facebook.com/EcomondoRimini ; LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/ecomondo-the-green-technologies-expo/

 

 

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ECOMONDO 2025 : Le Think Tank Global pour la Transition Ecologique

  • Du 4 au 7 novembre au Parc des expositions de Rimini, se tiendra la 28e édition de l’événement international de l’Italian Exhibition Group (IEG) sur l’économie verte, bleue et circulaire.
  • Plus de 350 acheteurs internationaux en provenance de 66 pays sont attendus, l’Europe de l’Est, les Balkans, l’Asie et l’Afrique étant de plus en plus représentés, et plus de 30 délégations grâce à la collaboration avec l’Agence ICE et le Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale (MAECI).

Rimini 28/10/2025  – Ecomondo étend sa renommée internationale. Pour sa 28e édition, l’événement organisé par Italian Exhibition Group (IEG) – qui se tiendra du 4 au 7 novembre 2025 au Parc des Expositions de Rimini – fait un nouveau pas en avant, en consolidant sa dimension mondiale et en s’affirmant comme un important hub pour les professionnels, les entreprises et les institutions impliquées dans les secteurs de l’économie verte, bleue et circulaire.

Plus de 350 acheteurs internationaux invités en provenance de 66 pays de tous les continents, sont attendus à Ecomondo 2025. Les principaux marchés sont l’Égypte, l’Algérie, l’Espagne, la Bulgarie, l’Irak, la Tunisie, le Sénégal, le Canada, la Turquie, la Serbie, la Bosnie-et-Herzégovine et la Jordanie, ce qui confirme la capacité de l’événement à attirer des interlocuteurs de haut niveau issus de régions clés pour la transition écologique. 31 % des acheteurs viennent d’Europe de l’Est, des Balkans et d’Asie centrale, 15 % du Moyen-Orient et d’Asie, 15 % d’Afrique du Nord, tandis que 13 % viennent à la fois d’Afrique centrale et subsaharienne et d’Europe occidentale. Viennent ensuite l’Amérique latine (6 %), l’Amérique du Nord et l’Australie (5 %) et l’Extrême-Orient (2 %). Environ 90 associations internationales impliquées et plus de 30 délégations officielles venant de 30 pays complètent ce tableau.

UN RÉSEAU MONDIAL

Grâce à la synergie avec l’Agence ICE et le Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale (MAECI), Ecomondo s’est imposé comme un lieu incontournable de rencontre pour les acteurs internationaux de la transition écologique. Les délégations couvrent en effet la quasi-totalité du globe : de l’Europe à l’Asie, de l’Amérique latine à l’Afrique. Une attention particulière est accordée aux marchés les plus dynamiques, consolidant le rôle d’Ecomondo en tant que plateforme commerciale privilégiée pour mettre en relation l’offre et la demande de technologies vertes. La présence qualifiée d’acheteurs témoigne de l’attrait croissant de l’événement et de sa capacité à mettre en relation les acteurs clés des filières environnementales à l’échelle mondiale.

CONFÉRENCES INTERNATIONALES À NE PAS MANQUER

Le programme de conférences constitue un véritable « Think Tank international », avec plus de 200 conférences et ateliers auxquels prendront part plus de 800 experts. Les débats porteront sur des sujets transversaux et cruciaux tels que le financement vert, la numérisation, l’atténuation du changement climatique et la régénération de l’environnement. Il sera également question d’éco-conception, de pratiques de prévention des déchets et de communication environnementale, offrant ainsi un programme complet et actualisé à quiconque souhaite maîtriser et mener efficacement la transition écologique.

Parmi les événements internationaux les plus pertinents organisés par le comité technique et scientifique d’Ecomondo, la conférence « Solutions technologiques de récupération des ressources issues de produits et matériaux en fin de vie dans le bassin méditerranéen », qui se tiendra le 4 novembre, examinera les nouvelles technologies susceptibles d’accroître la circularité des ressources et les avantages environnementaux dans divers secteurs économiques. Le jour de l’ouverture, le débat « Projets européens et méditerranéens d’initiatives numériques et cyberphysiques basées sur la nature pour innover dans la gestion de l’eau » se concentre sur les initiatives qui intègrent des solutions basées sur la nature, numériques et/ou cyber-physiques afin d’améliorer la gestion de l’eau. À signaler également « BlueMissionMed : Renforcement de la mission UE Océan et eaux en Méditerranée », organisé par le Comité technique et scientifique d’Ecomondo, par le Consortium BlueMissionMed CSA et par la Commission Européenne.  L’événement marque le lancement officiel de l’initiative annuelle Mediterranean Lighthouse de la mission UE intitulée « Restaurer nos océans et nos eaux d’ici 2030 », avec une attention particulière accordée aux actions entreprises dans le contexte politique actuel en Méditerranée ; il proposera des conférences et des ateliers d’approfondissement pendant les quatre journées d’Ecomondo.

Les évolutions de la bioéconomie et l’observation et le monitorage de la planète seront abordés par les conférences au programme mercredi 5 novembre, « Quelle bioéconomie pour la prochaine génération ? L’éducation, l’innovation et les opportunités d’entreprenariat dans le bassin méditerranéen et en Afrique » et « Du ciel à la terre : L’observation de la planète pour une gestion durable des matières premières critiques », promues par le Comité technique et scientifique d’Ecomondo et, respectivement, le cluster italien de la Bioéconomie circulaire et l’Institut Polytechnique de Turin en collaboration avec le CINECA. Au cours de la même journée, se tiendra l’événement « Réglementation sur les transferts de déchets et leur impact sur le marché mondial des textiles post-consommation », organisé par Ecomondo et UNIRAU, avec un débat où il sera question de la mise en œuvre du règlement, en particulier, en ce qui concerne la promotion de la circularité sur le marché mondial du textile et la garantie de pratiques d’exportation transparentes et conformes.

La journée du 6 novembre proposera « RÉUTILISATION, RÉPARATION et ÉCO-CONCEPTION ». Les cercles ’magiques’ de l’Économie circulaire », organisé par le Comité technique et scientifique d’Ecomondo. Cette conférence, subdivisée en deux sessions, mettra en lumière les approches les plus « nobles » de l’économie circulaire : la réutilisation, la durabilité, la réparabilité et l’éco-conception, avec des témoignages et des études de cas illustrant leur faisabilité dans l’industrie manufacturière.

LES ÉTATS GÉNÉRAUX DE L’ÉCONOMIE VERTE

Comme chaque année, se tiendront les États généraux de l’Économie verte, organisés par la Fondation pour le Développement durable en collaboration avec le Ministère de l’Environnement et de la Sécurité Énergétique et promus par le Conseil National pour l’Économie verte, composé de 66 organisations d’entreprises. La Session plénière internationale, qui aura lieu dans le courant de la matinée du 5 novembre, analysera les perspectives, les stratégies et les politiques de l’économie verte dans le cadre du débat mondial.

 LE FORUM AFRICA GREEN GROWTH

Un espace spécial sera réservé au continent africain avec la cinquième édition de l’Africa Green Growth Forum, organisé par Ecomondo avec la participation de la Structure missionnée pour la mise en œuvre du Plan Mattei de la Présidence du Conseil des Ministres, du Ministère de l’Environnement et de la Sécurité Énergétique, du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, par Confindustria Assafrica & Mediterraneo et par RES4Africa.
La nouvelle édition du Forum mettra en lumière les initiatives pour l’accès à l’énergie propre et durable en Afrique promues dans le cadre du Plan Mattei et du Programme « Mission 300 », en s’attachant au rôle stratégique des investissements publics et privés coordonnés dans la poursuite des objectifs de croissance et de résilience climatique sur le continent.

Les conférences consacrées à la coopération internationale, prévues pendant Ecomondo 2025, s’attacheront aux synergies mondiales, renforcées par les éditions Ecomondo Mexico et Ecomondo China et les tournées de présentation déjà organisées en Serbie, en Pologne et en Égypte pour promouvoir des pratiques durables partagées. La présence de visiteurs étrangers a été facilitée par la mise en place de vols charters LuxWing qui achemineront les visiteurs directement à Rimini depuis les deux hubs stratégiques que sont les aéroports de Munich et de Rome Fiumicino.

Grâce à un programme de visites thématiques consacrées à l’eau, aux plastiques et à d’autres filières, Ecomondo 2025 est un événement incontournable pour les professionnels de l’industrie qui souhaitent impulser le changement et trouver des partenaires commerciaux pour la transition écologique à l’échelle internationale.

 LES PARTENAIRES INSTITUTIONNELS

Ecomondo 2025 est organisé par Italian Exhibition Group avec la collaboration de : Commission européenne ; UNIDO ITPO ; Ministère de l’Environnement et de la Sécurité Énergétique ; MAECI (Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération Institutionnelles) ; Ministère des Entreprises et du Made in Italy ; Agence ICE – Agence italienne pour le commerce et l’investissement ; Région Émilie-Romagne ; Ville de Rimini ; ANCI (Association nationale des communes italiennes) ; ANFIA (Association nationale de la filière de l’industrie automobile) ; ART-ER ; CIB (Consortium italien du biogaz) ; CIC (Consortium italien de compostage) ; CONAI (Consortium national de l’emballage) ; ENEA ; Assoambiente ; Fondation pour le développement durable ; ISPRA (Institut Supérieur de la Protection et de la Recherche environnementale) ; Legambiente ; UNICIRCULAR (section Assoambiente) ; UNACEA (Union Nationale des constructeurs d’équipements et matériels de construction) ; UTILITALIA ; CIHEAM (Centre international d’études agronomiques avancées méditerranéennes) ; CBE JU (Engagement commune pour une Europe circulaire bio-sourcée) ; EBA (Association européenne du biogaz) ; Agence européenne pour l’environnement ; ISWA (Association internationale des déchets solides) ; WBA (Association mondiale du biogaz) ; Water Europe.

À PROPOS D’ECOMONDO 2025

Statut : Salon international ; Organisation : Italian Exhibition Group S.p.A. ; Fréquence : annuelle ; Édition : 28ème ; Date : 4-7 novembre 2025 ; adresse mail : ecomondo@iegexpo.it ; Site Internet : www.ecomondo.com ; Facebook : www.facebook.com/EcomondoRimini ; LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/ecomondo-the-green-technologies-expo/ 

 

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Tunisie – Emploi : vers une refonte du système d’évaluation et de gouvernance de la formation professionnelle

Une séance de travail s’est tenue hier, lundi, au siège du ministère de l’emploi et de la formation professionnelle, consacrée à l’élaboration d’une conception pour l’instance nationale d’évaluation et d’assurance qualité dans la formation professionnelle,  le renforcement de la coordination pour l’évaluation périodique du système de formation professionnelle, ainsi que l’insertion des modifications et des réformes nécessaires, selon un communiqué du ministère.

Au cours de cette réunion, à laquelle a pris part le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaouad et plusieurs cadres du ministère, il a été convenu d’organiser un atelier de travail en novembre 2025 pour élaborer une conception unifiée de l’instance, simplifier les procédures administratives et établir la coordination des projets y afférents, en veillant à respecter les délais d’exécution du programme de travail afin d’assurer l’efficacité des réformes et la rapidité de leur mise en œuvre.

Le ministre de l’emploi a souligné, à cette occasion, que l’instance constitue un outil de référence pour la gouvernance du système de formation professionnelle, qui contribue à l’insertion économique et sociale des diplômés.

Il a appelé à adopter une nouvelle approche nationale basée sur des plans flexibles dans le domaine de l’évaluation, de renforcer les ressources humaines et d’assurer la coordination avec le  le conseil supérieur de l’éducation.

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Tunisie : vers un nouveau cadre législatif pour la protection des animaux

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Ibrahim Bouderbala, a reçu, mardi au Palais du Bardo, une délégation de l’Association Zahra pour les amis des animaux, conduite par sa présidente Monia Mellah.

Cette rencontre a été consacrée à la présentation des activités et objectifs de l’association, qui œuvre à la protection des animaux domestiques et à la sensibilisation du public à la bienveillance et au respect des animaux.

Une association engagée sur le terrain

L’Association Zahra mène plusieurs actions concrètes, notamment en matière de soins, d’hébergement, de vaccination et d’adoption, tout en luttant activement contre la maltraitance et la négligence des animaux.

Ses représentantes ont mis en avant la nécessité de renforcer le cadre législatif existant, saluant le projet de loi sur la protection animale actuellement à l’étude au Parlement. Elles ont également exprimé leur souhait de participer aux travaux des commissions concernées pour y présenter leurs propositions.

Appel à une coopération nationale

La délégation a évoqué les difficultés structurelles rencontrées par l’association, appelant à une coopération accrue entre les citoyens, la société civile, les municipalités et les ministères concernés.

Elle a plaidé pour un soutien matériel et logistique renforcé, notamment à travers la création de centres régionaux de vaccination et de stérilisation des animaux, afin de réduire le nombre de chiens errants et d’éviter le recours à leur abattage.

Le Parlement favorable à la concertation

Pour sa part, Ibrahim Bouderbala a salué le travail humanitaire mené par l’association, qu’il a qualifié de démarche contribuant à bâtir une société équilibrée fondée sur les valeurs d’humanité et de respect du vivant.

Le président de l’Assemblée a également affirmé la disposition du Parlement à associer l’Association Zahra aux discussions législatives relatives à la protection animale.

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Recettes fiscales en hausse, déficit maîtrisé : les chiffres clés du budget 2025

Les recettes du budget de l’Etat au titre de l’exercice 2025 devraient enregistrer une hausse de 4,4% en comparaison avec les résultats de l’année précédente, pour atteindre 49 090 millions de dinars (MD),  contre des prévisions préliminaires de 50 028 MD.

Le ministère de Finances a expliqué cette hausse par l’augmentation prévue des recettes fiscales de l’année 2025 de 6,6 %, pour atteindre 44 523 MD par rapport à l’année 2024, et contre des prévisions préliminaires de 45 249 MD, compte tenu de l’évolution des impôts directs et indirects, selon le projet du budget de l’Etat 2026.

S’agissant des recettes du budget de l’Etat de 2026, elles devront augmenter de 52 560 MD, soit une hausse de 7,1 % ou 3 470 MD,  en comparaison avec les prévisions de 2025.

Les ressources propres représentent  66% du total des ressources de l’Etat au titre de l’année 2026.

Les recettes du budget 2026 se répartissent entre des recettes fiscales de 47 773 MD, représentant 90,9% des recettes du budget, ainsi que des recettes non fiscales de 4437 MD, représentant 8,4% des recettes du budget, en plus des dons de l’ordre de 350 MD , qui représentent 0,7 % des recettes du budget.

Revenant aux prévisions de l’année 2025, les recettes non fiscales devraient  atteindre 4 217 MD, contre 4 632 MD enregistrés en 2024,  soit une baisse de 15 MD.

Compte tenu des résultats prévus d’exécution des ressources et des dépenses du budget de l’année 2025, le déficit du budget de l’Etat devrait s’élever, sans les dons et les revenus de confiscation, à 9641 MD contre 10150 MD prévus dans la loi de finances initiale de 2025.

De ce fait, le budget de l’Etat de 2025 atteindra 76 632 MD contre 78231 MD prévus dans la loi de finances 2025. Il sera financé par des ressources propres de 49 090 MD, des ressources d’endettement et une trésorerie nette de 27 542 MD.

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Code du travail : quand la protection des salariés fragilise les PME

Emploi temporaire - InterimDerrière l’objectif affiché de mieux protéger les travailleurs, la nouvelle décision du ministère des Affaires sociales pourrait asphyxier les petites entreprises et fragiliser un marché déjà tendu. En imposant aux prestataires une garantie bancaire de 20 % de la valeur du contrat, le gouvernement place les PME devant une contrainte financière sans précédent.

Une réforme ambitieuse, mais au coût élevé

Promulgué en mai 2025, le nouveau Code du travail tunisien marque une refonte profonde de la législation sociale. Plusieurs articles (6-2, 6-3, 6-4, 17 et le premier alinéa de 94-2) ont été abrogés et remplacés par de nouvelles dispositions, selon un processus que beaucoup jugent complexe et incertain.

L’objectif, noble sur le papier, est de lutter contre la précarité et d’assurer un emploi stable et décent. Mais cette réforme inquiète fortement le secteur privé, notamment les PME industrielles et de services, déjà fragilisées par un accès au crédit limité, un faible autofinancement et une grande exposition aux chocs économiques.

L’arrêté du 23 septembre : une obligation jugée insoutenable

Le 23 septembre 2025, le ministère des Affaires sociales a publié un arrêté d’application du chapitre 30 de la loi n°9 du 21 mai 2025. Ce texte impose à toutes les entreprises sous-traitantes de déposer une garantie financière auprès d’une banque, destinée à couvrir le paiement des salaires et des cotisations sociales en cas de défaillance.

Le montant de cette caution est fixé à 20 % de la valeur totale du contrat, à déposer dans les trois jours suivant la signature. Une mesure jugée irréaliste par de nombreux observateurs.

« Aucune PME ne peut immobiliser une telle somme sur la durée d’un contrat », alerte un expert en droit du travail.

Avec des taux d’intérêt élevés, des garanties bancaires exigeantes et peu de dispositifs d’appui, cette disposition risque de fermer l’accès au marché à une grande partie des petites structures.

« Avec une caution de 20 %, les petites entreprises ne peuvent plus rivaliser dans les appels d’offres, faute de moyens financiers suffisants. »

Un dispositif en décalage avec les pratiques internationales

La Tunisie se démarque ici par une exigence inhabituelle. Dans la plupart des pays, la garantie financière pour les marchés publics ou privés varie entre 3 et 5 %, rarement au-delà de 10 %.

En fixant un seuil de 20 %, Tunis s’isole de la norme mondiale et suscite des interrogations économiques et juridiques. D’autres législations préfèrent des dispositifs proportionnels à la masse salariale ou à un mois de rémunération, afin d’éviter de pénaliser la trésorerie des entreprises.

Une distorsion de concurrence au profit des grands groupes

Au-delà du choc financier, cette mesure pourrait transformer la structure concurrentielle du marché. Les grandes entreprises, mieux capitalisées, absorberont facilement cette contrainte. Les PME, elles, devront revoir leurs prix à la hausse ou renoncer à des contrats.

Ce déséquilibre favorisera la concentration du marché, réduira la diversité des acteurs économiques et transformera une mesure sociale en barrière à l’entrée. Plusieurs experts craignent aussi que les grands donneurs d’ordre exploitent ce rapport de force pour imposer des conditions abusives aux petits prestataires.

« Les grandes structures absorberont facilement cette charge, au détriment des PME, exclues d’une partie du marché. »

Les banques, gagnantes de la réforme

Paradoxalement, les principaux bénéficiaires de cette disposition pourraient être les banques. Leur rôle dans la gestion des garanties leur procure une source de revenus supplémentaire, sans prise de risque réelle.

Les PME se retrouvent ainsi prises en étau entre exigences bancaires et délais administratifs, alors même que l’intention initiale du texte était de sécuriser les salariés.

Vers une nécessaire révision du dispositif

Face aux critiques, plusieurs pistes de réajustement émergent. Des experts suggèrent de lier la garantie à la masse salariale plutôt qu’à la valeur du contrat, ou de plafonner le taux à 5 % pour les PME.

D’autres préconisent la mise en place d’un fonds de garantie sectoriel, mutualisé entre entreprises, pour concilier protection sociale et viabilité économique.

« Le défi du gouvernement est de garantir les droits des salariés tout en préservant la compétitivité des PME. »

Trouver le juste équilibre

En voulant protéger les travailleurs, l’État risque de fragiliser le tissu entrepreneurial. L’arrêté du 23 septembre 2025, louable dans son intention, semble déconnecté de la réalité économique tunisienne.

Sans ajustement, il pourrait affaiblir la compétitivité nationale, accentuer la concentration des marchés et freiner l’initiative privée, notamment celle des jeunes entrepreneurs.

Protéger les salariés et préserver les entreprises ne sont pas des objectifs opposés. Encore faut-il que la réglementation sache, selon la formule de Winston Churchill, reconnaître dans l’entrepreneur non pas « une vache à traire », mais « le cheval qui tire le char ».

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Le nouveau Code du travail impose une garantie bancaire de 20 % pour les sous-traitants.
  • Objectif : sécuriser le paiement des salaires en cas de défaillance.
  • Les PME dénoncent une contrainte financière insoutenable.
  • Le taux dépasse largement les standards internationaux (3 à 10 %).
  • Les banques et les grands groupes en sortiraient gagnants, au détriment du tissu entrepreneurial.
  • Les experts appellent à une révision rapide du dispositif.

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Tunisie : l’APIA obtient l’accréditation du Fonds Vert pour le Climat

L’Agence de promotion des investissements agricoles (APIA), relevant du ministère de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche, a obtenu l’accréditation du Fonds Vert pour le Climat (FVC).

Cette reconnaissance internationale vient d’être annoncée par le FVC à l’occasion de la 43ème réunion du Conseil du Fonds qui se tient, du 27 au 30 octobre 2025, à Songdo, en Corée du Sud.

Il convient de noter que le FVC mobilise le financement du climat en travaillant avec un large éventail d’organisations.

Les organisations ayant des capacités spécialisées dans la conduite de l’action climatique peuvent demander à devenir des entités accréditées du FVC. Ils peuvent être des organismes privés, publics, non gouvernementaux, sous-nationaux, nationaux, régionaux ou internationaux, lit-on sur le portail du FVC.

Ils devraient avoir des projets ou des programmes clairs, détaillés et actionnables pour le changement climatique pour présenter au FVC une atténuation et une adaptation progressives. Ils doivent également respecter les normes du FVC en fonction des normes financières, des garanties environnementales et sociales et du genre.

Les entités accréditées élaborent des propositions de financement pour être examinées par le Fonds et supervisent, gèrent et surveillent leurs projets et programmes approuvés par le FVC.

A la date du 28 octobre 2025, le nombre total des entités accréditées s’élève à 158, dont 106 entités à accès direct.

 

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Siliana : 200 000 ha dédiés aux grandes cultures pour la saison agricole 2025-2026

Les superficies consacrées aux grandes cultures au gouvernorat de Siliana, durant la saison agricole 2025-2026, ont atteint 200 mille ha réparties entre 155 mille ha de blé, 37 mille ha de fourrages, 5800 ha de légumineuses et 1000 ha de colza.

La cheffe de service de la production végétale au Commissariat régional au développement agricole, Noura Zouari a indiqué à l’Agence TAP que les opérations de semis dans les zones dédiées à la culture d’orge et de fourrage ont été entamées dans la région.

Elle a ajouté que 26 mille quintaux de semences sélectionnées sont disponibles, soit 35% du quota réservé à la région, et 25 mille de semences ordinaires dont 3 mille quintaux sont mises à disposition des agriculteurs.

Pour les engrais, 13 mille quintaux de super 45 et 9500 quintaux de DAP ont été fournis aux producteurs de la région, selon la même source.

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Creative Lab à Sidi Bou Ali : jeux vidéo, podcasts et création numérique pour les jeunes tunisiens

Sous l’égide du ministère des affaires culturelles et de la Délégation régionale des affaires culturelles de Sousse, la Maison de la Culture Sidi Bou Ali se dote d’un Creative Lab, un nouvel espace entièrement consacré à l’expérimentation artistique et à la créativité. Ce laboratoire dont le lancement est prévu le 29 octobre 2025 se veut un espace où passion, créativité et innovation se rencontrent en offrant aux jeunes une opportunité d’apprentissage, d’expression et d’innovation. Ainsi les jeunes passionnés y trouveront un cadre propice pour développer leurs talents et compétences dans la création de jeux vidéo, la production de contenus et le podcast, des secteurs en plein essor en Tunisie et dans le monde.

Ce projet a vu le jour dans le cadre d’un partenariat entre le ministère des affaires culturelles, représenté par la Direction Générale de l’Action Culturelle (DGAC), et Hilfswerk International en charge de la mise en œuvre du projet financé par l’Union européenne.

A cette occasion, et trois jours durant (29-31 octobre 2025), jeunes participants et experts partageront un espace d’expérimentation dédié aux nouvelles pratiques artistiques et numériques.

La journée du mercredi 29 octobre s’ouvrira à 10h00 avec la présentation du projet du Creative Lab, suivie à 10h30 par la projection du premier épisode de “Helma”, une production du podcast club. A 11h00, un exposé sera présenté sur les perspectives de l’industrie des jeux vidéo et son rôle dans le renforcement des compétences des jeunes, en particulier dans la lutte contre la migration irrégulière, avec la présentation du Hub mobile “Madad” du Centre international de Tunis pour l’économie culturelle numérique (TICDCE).

L’après-midi et les deux journées suivantes (30 et 31 octobre) seront réservées aux ateliers portant sur la création de podcasts, du storyboard, de la création musicale pour le podcast, ainsi que sur le développement de jeux vidéo. Le programme se clôturera vendredi à 17h00 par une présentation publique des productions réalisées au cours des différents ateliers.

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Tunisie : Mohamed Dahmani Fathallah explique comment l’innovation peut devenir un levier de richesse nationale

“Ecosystème de l’innovation et du transfert de technologie: le savoir comme levier de la souveraineté économique” est l’intitulé d’une conférence qui sera donnée par le professeur Mohamed Dahmani Fathallah le jeudi 30 octobre 2025 (15H00) à Beit al-Hikma.

La conférence s’adresse à un public large et diversifié notamment les chercheurs et universitaires qui souhaitent valoriser leurs travaux, les chefs d’entreprise et entrepreneurs intéressés par le transfert de technologies ou de partenariats R&D, les investisseurs intéressés par les start-up technologiques ainsi que les décideurs politiques et représentants des institutions qui façonnent l’environnement réglementaire et financier, sans oublier les étudiants et jeunes professionnels qui sont les innovateurs de demain.

Cette conférence, lit-on dans la note d’intention, devrait permettre au public de se familiariser avec les concepts de base de l’innovation et du transfert de technologie. Elle pourrait aussi servir de catalyseur pour sensibiliser ce public a l’importance du savoir comme levier de la souveraineté et de la richesse et accroitre son intérêt pour les métiers et les pratiques de l’innovation et du transfert de technologie.

La souveraineté économique est présentée comme un enjeu majeur qui ne peut plus être acquise uniquement par la puissance industrielle ou la richesse en ressources naturelles, mais de plus en plus par la capacité d’une nation à créer, maîtriser et exploiter son propre savoir et ses technologies. C’est ici que l’écosystème de l’innovation et du transfert de technologie prend tout son sens. La plupart des pays du monde ont développé leur propre écosystème que l’OCDE appelle le Système National d’innovation [SNI/NSI]. Ce système complexe repose généralement sur plusieurs structures différentes et fait intervenir des acteurs venus de différents horizons avec des compétences variées. Le défi pour la création d’un écosystème performant est de réussir à intégrer toutes ses structures dans une même logique et de créer une synergie entre les différents acteurs pour réussir à utiliser le savoir comme un levier de souveraineté et de richesse.

L’un des objectifs de cette conférence est d’expliquer comment créer la synergie indispensable entre les différents acteurs : chercheurs, entrepreneurs, investisseurs, décideurs politiques et favoriser de nouvelles collaborations et le partage d’expériences et de définir ce qu’est une bonne stratégie pour réussir une innovation ou un transfert de technologie et formuler des recommandations concrètes pour que le savoir devienne une source de richesse durable et un pilier de souveraineté économique.

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Tunisie : vers une plateforme électronique pour digitaliser les certificats d’origine ZLECAf

Le ministère du Commerce et du développement des exportations œuvre à la mise en place d’une plateforme électronique pour digitaliser la délivrance des certificats d’origine pour l’exportation de produits locaux vers plusieurs pays africains, dans le cadre de l’accord de la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), a fait savoir le ministre du Commerce, Samir Abid.

Intervenant lors de la Journée des exportateurs tunisiens ZLECAF, organisée lundi 27 octobre 2025 à Tunis, le ministre a souligné que 350 opérations commerciales certifiées dans le cadre de la ZLECAf ont été réalisées. Il a rappelé dans ce cadre que le premier certificat d’origine ZLECAf a été délivré le 17 mai 2023.

Par ailleurs, le ministre a fait savoir, que des comités de réflexion seront créés au sein du ministère, avec la participation des Chambres de Commerce et d’Industrie, afin de tirer parti du potentiel, des initiatives et des propositions aux niveaux régional et des districts pour soutenir davantage le processus de complémentarité et d’intégration en Afrique.

Et d’ajouter que toutes les parties intervenantes doivent être une force de proposition pour donner à la coopération africaine la place qu’elle mérite et faire de ces partenariats un véritable levier de développement commun.

Abid a souligné, à cette occasion, que le continent africain constitue une orientation stratégique pour l’État, compte tenu de la place importante qu’occupe l’Afrique dans les politiques économiques et la stratégie nationale d’exportation.

L’Afrique constitue également un marché prometteur contribuant à la prospérité économique et favorisant des perspectives importantes aux entreprises tunisiennes.

Cette journée s’est tenue en présence du directeur général du Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), des directeurs généraux des Chambres de Commerce et d’Industrie, des représentants de structures publiques et des ministères concernés, du secteur privé, de l’agence allemande de coopération internationale (GIZ) et des entreprises tunisiennes exportatrices dans le cadre de la ZLECAf.

Elle se veut une occasion permettant aux entreprises exportatrices dans le cadre de la ZLECAf d’exposer leurs préoccupations et les difficultés auxquelles font face, afin de favoriser leur résolution à travers le débat et l’échange de vues entre les différentes parties prenantes et les institutions publiques et privées, a encore précisé Abid.

L’objectif est d’aider les entreprises en question à s’implanter d’une manière efficace en Afrique, à développer les échanges commerciaux entre la Tunisie et le continent, à conquérir de nouveaux marchés et à renforcer la présence de leurs produits et services sur ce marché prometteur, a-t-il avancé.

La rencontre se veut aussi une occasion pour prendre connaissance de l’expérience de ces entreprises et de savoir dans quelle mesure elles bénéficient des avantages accordés par l’accord, outre des mécanismes et programmes développés mis en place par le ministère, a-t-il ajouté.

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Le Centre africain d’excellence pour les marchés inclusifs lance ses activités en Tunisie

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, lundi à Tunis, le Directeur exécutif du Centre africain d’excellence pour les marchés inclusifs (AIMEC), Youssef Ahmed Al-Kurdfani, à l’occasion du lancement des activités de cette institution en Tunisie.

Le Chef de la diplomatie tunisienne a réaffirmé le soutien de la Tunisie à cette institution émergente, considérant le Centre comme un “atout majeur pour le continent” pour promouvoir le commerce intra-africain, renforcer le secteur privé et accélérer l’intégration régionale. Il a exprimé la détermination de la Tunisie à lui offrir “toutes les facilités nécessaires” pour démarrer ses activités et mettre en œuvre ses programmes.

Cette installation en Tunisie s’inscrit dans le “choix stratégique” du pays d’établir un partenariat solide avec l’Union africaine et de renforcer ses liens avec les institutions régionales, conformément aux objectifs de l’Agenda 2063.

De son côté, Al-Kurdfani a exprimé sa gratitude pour la coopération des autorités tunisiennes, estimant que le choix de la Tunisie pour abriter le siège était “judicieux” en raison de sa position géographique stratégique et de la qualité de ses ressources humaines.

Les deux parties ont examiné les missions, les programmes et les projets futurs du Centre.

Plusieurs institutions financières se sont, par ailleurs, dites disposées à financer ses programmes pour favoriser l’intégration économique africaine.

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Tunisie–Nigéria : vers un partenariat renforcé dans le domaine culturel et artistique

La Tunisie et le Nigéria ont entamé des discussions en vue renforcer leur coopération bilatérale dans le secteur culturel et artistique, a indiqué lundi, le ministère des Affaires culturelles.

Une réunion préparatoire s’est tenue au siège du ministère, en présence de la chargée d’affaires à l’ambassade du Nigéria en Tunisie, Belinda Elfo Lawrence, et du directeur général du Corps d’aide technique nigérian (Nigerian Technical Aid Corps – NTAC), Yusuf Buba Yakub.

Créée en 1987, la NTAC est une organisation gouvernementale nigériane qui œuvre à la promotion de la coopération Sud-Sud.

La rencontre a notamment porté sur les perspectives de coopération dans les domaines de l’audiovisuel, de la restauration et de la valorisation du patrimoine matériel et immatériel.

Selon le ministère, la partie nigériane a notamment proposé la mise en place d’un programme de coopération technique et culturelle entre les deux pays dont les détails seront définis ultérieurement par les services de la coopération internationale.

Le Nigeria, pays anglophone d’Afrique de l’ouest, est connu pour sa diversité linguistique et culturelle ainsi que la vitalité de son industrie culturelle, notamment la musique et le cinéma.

Souvent appelé « Nollywood », le cinéma nigérian est l’une des plus grandes industries cinématographiques du monde- aux côtés de Hollywood, aux Etats unis, et Bollywood, en Inde.

Né en 1990, Nollywood produit des œuvres cinématographiques contemporaines avec des récits enracinés dans la culture et la société nigérianes.

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