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Meurtre à la Marsa | Un suspect arrêté et placé en détention

L’enquête ouverte après la découverte du corps sans vie d’un homme, il y a 10 jours, dans le quartier de Bhar Lazreg à la Marsa a permis l’identification et l’arrestation d’un suspect.

Ce dernier a été interpellé chez lui à Jebel Lahmar (Tunis) par la Brigade de lutte contre le crime relevant de la police judiciaire et placé en détention sur ordre du Parquet, indique une source citée par Mosaïque FM, ce vendredi 24 octobre 2025.

Le suspect est passé aux aveux, selon lesquels un conflit a éclaté entre lui et un homme qu’il venait de rencontrer lors d’une soirée arrosée et qu’ils en seraient venus aux mains. Le tueur dit avoir saisi une pierre avec laquelle il a porté un coup à la tête de la victime, ce qui aurait causé sa mort sur le coup.

Il a par ailleurs affirmé qu’il n’avait aucune intention de tuer, ajoute encore la même source.

Le Parquet a ordonné la mise en détention du suspect alors que l’enquête se poursuit.

Y. N.

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Rencontres à Tunis sur l’art et la contestation environnementale

Le Goethe-Institut de Tunis propose un double programme dédié à l’art contemporain, à l’écologie et aux pratiques curatoriales. Trois ateliers sont proposés du 22 au 24 octobre 2025 dans le cadre du projet international «Techno-écologies et corps de la mémoire : l’environnement comme champ de bataille», ainsi qu’une masterclass les 25 et 26 octobre en partenariat avec Archivart à La Marsa.

Ce projet, organisé par Marianna Liosi et initié à Berlin par le Kunstraum Kreuzberg/Bethanien, explore l’environnement comme un «champ de bataille» où se croisent tensions politiques, sociales et écologiques, reliant mémoire, technologie et écologie. Ce thème est d’une grande actualité en Tunisie en pleine crise écologique à Gabès liée aux rejets toxiques des usines du Groupe chimique tunisien (GCT) dans l’atmosphère et la mer Méditerranée.

Le programme satellite en Tunisie reprend les thématiques développées par l’Institut culturel allemand de Berlin avec des projections, des discussions et des ateliers.

Trois ateliers sont programmés à Tunis, tous les jours de 10h à 15h, dans les locaux du Goethe-Institut. Parmi les intervenants figurent l’artiste et pédagogue Bochra Taboubi, l’artiste chercheur et écrivain Dennis Dizon, et la commissaire d’exposition et activiste écologiste Aigerim Kapar. Les thèmes abordés vont de la création spéculative de créatures extrêmophiles à la «mémoire de l’eau» et aux pratiques décoloniales.

Les séances sont gratuites, sur inscription et sous réserve de disponibilité.

Le projet tunisien est développé en collaboration avec eSseda.lab et Mecam – Centre Merian d’études avancées au Maghreb, qui a soutenu la diffusion régionale de l’exposition et de son contenu.

Ce week-end, une masterclass sur les pratiques curatoriales contemporaines aura lieu à Archivart, 11 rue Nelson Mandela, Jinene Eddonia, La Marsa, de 10h à 15h. Cette deuxième édition est animée par l’historienne de l’art et commissaire d’exposition indépendante Charlotte Bank, et met l’accent sur le commissariat transculturel et l’activation des expositions comme espaces de critique sociale et d’émergence de récits oubliés. Cette masterclass s’inscrit dans le cycle «Artistes et commissaires d’exposition : Rencontres sur l’art contemporain», lancé en 2025 par le Goethe-Institut avec des invités tels que Steve Sabella et Charlotte Bank elle-même, et destiné aux artistes, commissaires d’exposition, professionnels et étudiants du domaine.

«Techno-écologies et corps de mémoire» a été inauguré à Berlin à l’été 2025 avec une exposition collaborative, des installations et des événements publics au Kunstraum Kreuzberg/Bethanien.

Le projet est ensuite étendu à d’autres villes, dont Tunis, grâce à des programmes satellites. Sa direction artistique est assurée par Marianna Liosi et s’appuie sur le cadre conceptuel de l’«environnement contesté» et sur les liens entre corps, territoires et technologies.

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La Marsa : Un homme tué à coups de pierres derrière un hôpital

Le ministère public du tribunal de première instance de Tunis a ordonné, avant-hier, l’ouverture d’une enquête après la découverte du corps d’un homme retrouvé mort derrière un hôpital de La Marsa, vraisemblablement assassiné. Le corps a été transféré aux services de médecine légale pour déterminer avec précision les causes du décès. Selon une source sécuritaire …

Source

Snapshot – La Marsa : Il faut sauver Qobbet El Hawa

Monument emblématique de la Marsa, Qobbet El Hawa est en danger. Bâti sur pilotis, l’édifice est fragilisé et le manque d’entretien aggrave la situation.

Après avoir servi de kiosque de bain à la famille beylicale, Qobbet El Hawa est désormais une propriété privée. Toutefois, en l’état actuel de la situation de l’édifice, il serait bien difficile à un privé de financer la restauration voire le sauvetage.

Pourtant, un mécanisme de sauvegarde avait été identifié en concertation entre les propriétaires, le Conseil municipal avant sa dissolution et l’agence de protection du littoral qui compte parmi les parties prenantes du dossier.

Toutefois, rien n’a bougé depuis plusieurs années : Qobbet El Hawa reste portes closes et continue à se détériorer à vue d’œil.

Une solution est à trouver d’urgence pour sauver ce lieu de mémoire iconique de la Marsa.

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Snapshot – La Marsa : El Abdellia, ce monument qui ne sert à presque rien

Datant de la lointaine époque hafside, le palais El Abdellia est non seulement l’un des plus importants monuments de la Marsa mais aussi l’unique édifice du onzième siècle demeuré en l’état.

Mine d’or pour les chercheurs, palais ayant connu plusieurs époques, El Abdellia est d’une beauté et d’un dépouillement incomparables dans l’architecture palatiale tunisienne.

Censé accueillir un centre culturel international relevant du ministère des Affaires culturelles, ce palais n’a en réalité aucune activité publique ni calendrier d’événements. Ainsi, il reste techniquement fermé et ne reçoit presque pas de visiteurs.

Sans la municipalité de la Marsa, les espaces verts du palais seraient en friche alors que l’ensemble pourrait à merveille être reconverti en musée.

Jusqu’à quand ce palais sera-t-il délaissé par ceux qui en ont la gestion ? Une question pour le moment sans réponse.

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La Marsa – Paroisse Saint-Cyprien : La quatrième église catholique du grand Tunis

Aujourd’hui, la communauté catholique de Tunisie célèbre Saint-Cyprien de Carthage, saint-patron du diocèse et de l’église d’Afrique du nord.

À cette occasion, nous invitons nos lecteurs à une découverte en photos de la paroisse dédiée à Saint-Cyprien à la Marsa.

Installée dans l’ancien archevêché, cette paroisse rayonne sur la banlieue nord et entre Carthage, Sidi Bou Said et la Marsa, rassemble les catholiques.

Dans cette paroisse Saint-Cyprien, il existe une église et plusieurs chapelles et autels disséminés dans un vaste jardin. Discret et silencieux, un monastère se trouve également dans le périmètre de ce qui fut également le petit séminaire.

Avec la cathédrale de Tunis, l’église Jeanne d’Arc et l’église de la Goulette, la paroisse Saint-Cyprien complète les lieux de culte catholique à Tunis.

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Snapshot – La Marsa : Le mystère de Qobbet El Hawa

Fermée, l’accès bouché, Qobbet El Hawa attend une solution depuis plusieurs années durant lesquelles l’eau continuent à saper les pilotis qui portent cet édifice sans lequel la Marsa ne serait plus tout à fait la même.

En effet, Qobbet El Hawa fait partie intégrante du paysage, de l’histoire et du patrimoine de la Marsa. Et pourtant rien n’est fait pour préserver cet édifice rare et précieux, une propriété privée de la famille Berrachid.

Depuis des années, on peine à trouver une solution avec la municipalité de la ville de la Marsa et l’Agence en charge du littoral qui est compétente en la matière. En attendant, le bâtiment continue à souffrir et se détériorer.

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Interruption du trafic TGM dimanche entre Kheireddine et La Marsa Plage

La Société des Transports de Tunis (Transtu) a annoncé, vendredi, que la circulation de la ligne TGM sera interrompue dimanche 7 septembre 2025 entre les stations « Kheireddine » et « La Marsa Plage » en raison de travaux d’installation des appuis du pont de Carthage Hannibal.

Les travaux, programmés au point kilométrique 15.990, nécessitent une suspension partielle du trafic entre 7h00 et 19h00. Le service des trains se poursuivra normalement sur le reste du parcours, entre « Tunis Marine » et « La Goulette Casino ».

Mesures de substitution

Pour pallier cette interruption, Transtu annonce un renforcement de la ligne de bus n°347, avec des dessertes plus fréquentes, notamment aux heures de pointe, entre « Tunis Marine » et « Sidi Bou Saïd ».

Circulation routière

La route sera également fermée au niveau du pont Hannibal entre 6h00 et 13h00.

Les véhicules venant de Sidi Bou Saïd devront emprunter le pont Amilcar puis l’avenue Habib Bourguiba.

Ceux venant de La Goulette en direction de La Marsa devront également passer par le pont Amilcar.

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Snapshot : Rodéo à moto sur la route de la Marsa

Mercredi en début de soirée, la route de la Marsa, malgré une circulation automobile assez dense, a été le théâtre d’un spectaculaire rallye à moto avec le rassemblement d’une centaine de véhicules.

Prise au niveau de Carrefour, notre photo montre les motos sur le dernier tronçon menant à la Maria. Cette célébration vrombissante avait lieu à l’occasion d’un mariage et selon toute évidence, le cortège était accompagné par cette haie d’honneur pétaradante.

Une nouvelle tradition en voie d’être consolidée ?

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Tunisie : Autoroute de La Marsa, un danger public en pleine capitale !

Un terrible accident est survenu hier, mardi 30 juillet 2025, sur l’autoroute de La Marsa (route nationale 9), au niveau de Sidi Daoud. Un véhicule a percuté violemment l’un des piliers du pont piétonnier, causant la mort d’au moins une personne sur le coup, selon les premiers éléments disponibles.

Les images étaient tellement choquantes que les témoins sur place fondaient en larmes. Les secours sont intervenus rapidement, mais n’ont pu que constater les dégâts humains et matériels. Une enquête est en cours.

Cet énième drame relance les débats sur la dangerosité extrême de cet axe routier pourtant situé en plein cœur de la banlieue huppée de Tunis. Car depuis plusieurs années, l’autoroute de La Marsa s’est imposée comme un théâtre quotidien d’accidents, de dépassements de vitesse et de comportements à hauts risques.

Une autoroute à haut risque

L’autoroute de La Marsa, officiellement la RN9, relie la capitale tunisienne à la banlieue nord en traversant des zones très densément peuplées : Sidi Daoud, El Aouina… jusqu’à La Marsa. Si elle a fait l’objet d’importants travaux de modernisation ces dernières années, avec l’élargissement à plusieurs voies et la construction de ponts piétonniers, cela n’a pas suffi à endiguer l’insécurité chronique qui y règne.

Chaque jour, cette autoroute voit défiler des milliers de véhicules, mais aussi de nombreux piétons imprudents qui traversent en dehors des passages sécurisés, malgré la présence de ponts piétons à Carrefour et Sidi Daoud. Beaucoup de passants, notamment des ouvriers et étudiants, continuent à défier le danger, faute de transports en commun fiables ou de trottoirs aménagés.

Vitesse, taxis collectifs et rodéos nocturnes

Mais les piétons ne sont pas les seuls en cause. La vitesse excessive sur la RN9 est devenue un fléau, en particulier sur les tronçons dépourvus de radars fixes surtout fonctionnels. La nuit, l’autoroute devient une véritable piste de course pour motos et voitures sportives, dans une ambiance digne de Fast & Furious. Aucun contrôle sérieux n’est exercé.

Les taxis collectifs, omniprésents sur cet axe, aggravent la situation par leurs arrêts intempestifs, leurs changements de voie brutaux, et leur indifférence au code de la route. Quant aux véhicules particuliers, les comportements agressifs sont monnaie courante.

Une autoroute de la mort qui inquiète

Depuis son aménagement en voie express dans les années 2010, l’autoroute de La Marsa était censée fluidifier le trafic entre la capitale et sa banlieue huppée. Mais avec la croissance urbaine non maîtrisée, le nombre exponentiel de véhicules, et l’absence de plan sérieux de sécurité routière, cette infrastructure s’est transformée en cauchemar quotidien pour les usagers.

Selon des chiffres non officiels, plusieurs dizaines d’accidents graves y ont lieu chaque année, faisant des morts et des blessés graves, sans compter les embouteillages monstres qui paralysent parfois tout l’est de Tunis.

Des solutions qui tardent à venir

Face à cette situation, plusieurs pistes peuvent être envisagées :

  • Renforcement des radars fixes et mobiles, en particulier aux points noirs (Carrefour, Sidi Daoud, El Aouina).
  • Installation de caméras de surveillance intelligentes pour verbaliser les infractions (dépassements, vitesse, franchissements interdits).
  • Encadrement strict des taxis collectifs, avec des points d’arrêt délimités et des amendes dissuasives.
  • Campagnes de sensibilisation ciblées pour les piétons, notamment dans les zones industrielles et scolaires.
  • Aménagement de voies pour deux-roues, afin d’éviter les conflits entre motos et voitures.
  • Surveillance accrue de nuit, pour prévenir les rodéos illégaux.

Une urgence nationale

L’accident de mardi n’est malheureusement qu’un écho de la tragédie quotidienne vécue sur la RN9. Il est temps que les autorités agissent fermement pour transformer cette autoroute, aujourd’hui perçue comme une trappe mortelle, en un axe sécurisé à la hauteur de son importance stratégique.

Sans volonté politique forte, la RN9 continuera de porter le triste surnom d’autoroute de la mort… en plein cœur de la capitale.

Lire aussi : Tunisie : Cinq morts dans un grave accident à Kasserine

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Skander, gourmet, gourmand, bio et écolo

Que celui qui ne connaîtrait pas le Coin Nature de Skander Ben Ezzeddine me jette la première pierre ! Après quelques années à Carthage, cet amoureux de la nature, des produits frais et des terroirs paysans, s’est installé à La Marsa.

C’est là, dans son nouveau Coin Nature qu’il fait redécouvrir à ses amis et désormais disciples, les vertus et les saveurs d’une nourriture saine.

Entre fraises de Ouchtata, légumes bio et œufs de ferme, il décline aussi tous les effluves de la bsissa, des fines herbes et du miel pur.

Si maître Skander produit tous nos miels classiques, il faut aussi découvrir ses miels aromatisés. Les uns composés de miel au curcuma et poivre de Jamaïque, les autres saveur gingembre et citron ou encore à la cannelle et aux noix.

Dans ce Coin Nature ouvert à tous, c’est une fête de tous les sens qui se joue en permanence. Avec souvent des nostalgies de madeleines éternelles et des saveurs inaltérables toujours recommencées.

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