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L’intérêt de la Chine pour le GNL russe reste intact malgré les sanctions

L’intérêt de Pékin pour les approvisionnements énergétiques de Moscou semble intact, malgré les efforts de l’Occident pour les « limiter ».

Une cargaison de gaz naturel liquéfié russe est arrivée à un terminal chinois pour la première fois depuis que le Royaume-Uni a imposé des sanctions sur les installations portuaires, rapporte Bloomberg vendredi 17 octobre.

L’Arctic Mulan LNG 2, transportant du carburant provenant de l’usine russe, déjà inscrite sur la « liste noire », est arrivé vendredi au terminal GNL de Beihai, selon les données de suivi des navires compilées par Bloomberg…

Cette décision intervient alors que Washington est en proie à une guerre commerciale croissante avec Pékin, et que Donald Trump tente de négocier un accord de paix avec la Russie concernant la guerre en Ukraine…

Bien que les sanctions prévoient une période de retrait progressif jusqu’au 13 novembre, au moins une cargaison apparemment en route depuis l’Arctique vers le sud de la Chine pourrait arriver après cette date, signe que Pékin ne devrait pas ralentir ses échanges commerciaux avec la Russie…

La Russie et la Chine avaient anticipé d’éventuelles représailles occidentales contre Beihai. Le pays asiatique a désigné le terminal comme point d’entrée unique pour les cargaisons d’Arctic LNG 2, un projet russe déjà approuvé par les États-Unis et le Royaume-Uni…

Selon les données de suivi des navires, l’Arctic Mulan a chargé début octobre une cargaison de GNL depuis un entrepôt flottant situé dans l’est de la Russie…

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UE : Des sanctions contre Israël mais l’adoption reste incertaine

La Commission européenne a annoncé mercredi 17 septembre 2025 un ensemble de sanctions politiques et commerciales contre Israël, en réponse aux récentes opérations à Gaza. Mais leur mise en œuvre reste incertaine, car l’approbation requiert un large consensus parmi les États membres.

Parmi les mesures prévues figurent l’augmentation des taxes douanières sur les produits israéliens et des sanctions visant deux ministres du gouvernement israélien, Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich. La cheffe de la diplomatie de l’UE, Kaja Kallas, a précisé : « L’objectif n’est pas de punir Israël. Il s’agit d’améliorer la situation humanitaire à Gaza ». La taxe douanière seule pourrait coûter 227 millions d’euros à l’État hébreu.

Des obstacles à l’adoption

Pour entrer en vigueur, ces sanctions doivent être approuvées par une majorité qualifiée pour les droits de douane et à l’unanimité pour les sanctions individuelles contre des ministres. Or, certains États membres comme l’Allemagne, l’Autriche, l’Italie et la Hongrie ont déjà bloqué des mesures similaires par le passé. Le soutien de pays comme l’Espagne, la Slovénie ou les Pays-Bas pourrait ne pas suffire à surmonter ces blocages.

À Tel-Aviv, ces annonces ont été accueillies avec scepticisme. Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a déclaré dans une lettre à Ursula von der Leyen : « La pression par des sanctions ne fonctionnera pas ». Du côté européen, Kaja Kallas reconnaît que l’adoption des mesures sera difficile malgré l’initiative de la Commission.

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L’UE adopte un 18e train de sanctions contre la Russie

L’Union européenne a approuvé un nouveau train de sanctions contre la Russie, le 18e depuis le début de l’invasion de l’Ukraine. Ce nouveau paquet, présenté comme l’un des plus sévères à ce jour, vise principalement les secteurs pétrolier et énergétique russes.

Parmi les mesures phares, figure la réduction du plafond du prix du pétrole russe exporté, désormais fixé à 47,6 dollars le baril, selon des diplomates cités par l’agence Reuters. Ce plafond avait été initialement instauré par les pays du G7 pour limiter les revenus énergétiques de Moscou.

« L’UE vient d’approuver l’un de ses trains de sanctions les plus sévères contre la Russie à ce jour », a affirmé Kaja Kallas, haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères. Elle a réaffirmé la volonté européenne de maintenir la pression : « Nous continuerons à augmenter les coûts, de sorte que l’arrêt de l’agression devienne la seule option pour Moscou ».

L’adoption de ce nouveau volet de sanctions a toutefois été retardée par la Slovaquie. Bratislava réclamait des garanties de la part de Bruxelles concernant un projet visant à réduire progressivement les importations de gaz russe, avec un objectif d’arrêt complet d’ici au 1er janvier 2028. Une exigence à laquelle l’UE a finalement répondu pour obtenir l’unanimité nécessaire.

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