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Taux de change du dinar tunisien : légère hausse face à l’euro, recul face au dollar

Taux de change du dinar tunisien : légère hausse face à l’euro, recul face au dollar

Le dinar tunisien poursuit ses variations face aux principales devises étrangères, selon les derniers indicateurs publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT). En date du 10 octobre 2025, la monnaie nationale a affiché une légère appréciation face à l’euro, passant de 3,4139 à 3,4121 dinars pour un euro, tout en enregistrant une légère dépréciation […]

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“Easy Export” : la Poste tunisienne met en place un guichet unique pour booster les exportations des PME

Un nouveau programme national visant à faciliter les exportations pour les petites et moyennes entreprises via le réseau postal “Easy Export ” a été lancé, lundi, a fait savoir la Poste tunisienne.

Ce programme répond, d’après la Poste, aux besoins et aux demandes des petits investisseurs et des artisans désireux de promouvoir leurs produits sur les marchés étrangers.

Il vise à simplifier les procédures liées à l’exportation au profit des petites et moyennes entreprises tunisiennes et à améliorer leur compétitivité sur les marchés mondiaux en leur rapprochant les services, en facilitant les procédures du commerce extérieur et en réduisant les coûts.

Ce projet vise également à exploiter les solutions logistiques et numériques offertes par le réseau postal, en plus des facilités mises en place par la commission nationale chargée de la mise en œuvre du programme. Il s’agit essentiellement du site web www.easyexport.com.tn, qui permet de saisir les données et contient les informations nécessaires sur le programme Easy Export, ses conditions et ses modes d’accès.

Il s’agit également du guichet unique dédié à l’exportation qui rassemble les principaux acteurs concernés, tels que la Poste tunisienne, l’Office National de l’Artisanat Tunisien (ONAT), la Douane tunisienne, et qui permet d’effectuer les différentes procédures liées au processus d’exportation en peu de temps et à moindre coût.

Ces facilités comprennent également une gamme de services à valeur ajoutée liés aux formalités de commerce extérieur et au dédouanement à des prix raisonnables.

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« Achète ta maison depuis Marseille » : la Tunisie lance ses premières Rencontres immobilières pour les Tunisiens de l’étranger

La première édition des Rencontres immobilières destinées à la communauté tunisienne résidant à Marseille se tiendra les 18 et 19 octobre 2025 à la Maison du Tunisien (“Dar Ettounsi”) sous le slogan « Achète ta maison depuis Marseille ».

Organisée sous l’égide du Consulat général de Tunisie à Marseille, cette initiative vise à présenter les offres immobilières disponibles en Tunisie, à rapprocher les services de la diaspora et à accompagner les Tunisiens résidant l’étranger souhaitant investir dans l’immobilier dans leur pays d’origine. Les participants auront également accès à des informations sur les offres bancaires facilitant l’acquisition d’un bien immobilier en Tunisie.

L’événement est porté par la Chambre syndicale nationale des promoteurs immobiliers (CSNPI) et l’Observatoire économique Europe-Afrique, en coordination avec l’association Al-Woujoud et en partenariat avec le centre socio-culturel La Maison du Tunisien, qui a mis gratuitement ses locaux à disposition pour l’occasion.

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Gabès, l’avertissement !

Les évènements qui se déroulent à Gabès, suite à l’intoxication de citoyens par des gaz provenant du complexe chimique et les manifestations qui en ont découlé, sonnent comme un avertissement, non pas seulement au gouvernement actuel, mais surtout à l’Etat et à toute la Nation. Non pas seulement à cause des manifestations, qui somme toute restent cantonnées pour le moment dans cette ville du sud; mais surtout parce qu’un des fleurons de l’industrie tunisienne, acquis de l’Etat de l’Indépendance, risque de disparaître si la question de sa modernisation n’est pas réglée le plus rapidement possible. C’est pour cela que politiser ces évènements et en faire un objet de batailles médiatiques, risque d’occulter le vrai problème, celui de traiter efficacement l’avanie qui vraisemblablement est la cause de ce désastre écologique, parce que c’en est un, pour souffler sur le feu de la discorde qui risque cette fois-ci de s’étendre, si l’affaire n’est pas résolue.

L’on sait que le complexe dit Groupe Chimique Tunisien, a pour rôle de produire à partir du phosphate, extrait dans la région de Gafsa, des produits chimiques dont l’acide phosphorique et des engrais. Le phosphate, une des principales richesses du pays, est géré par la CPG qui occupe une place importante au niveau mondial, et constitue le pilier industriel de L’économie tunisienne. Sans le groupe chimique de Gabès, l’exploitation des dérivées du phosphate serait nulle et constitue une perte sèche pour l’économie nationale.

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Démanteler le complexe chimique ?

Des slogans ont été lancés durant les manifestations appelant au démantèlement du complexe et non seulement à une fermeture provisoire. Sachant qu’il constitue depuis sa création une source de pollution continue par les eaux. Et ce, à cause du gypse phosphorisé déversé dans la mer (14 000 tonnes/an); mais aussi des gaz toxiques tel le dioxyde de souffre et l’ammoniac qui provoquent des asphyxies. Lesquelles ont touché des élèves d’un lycée construit sur le même site que l’usine. De même qu’elles ont conduit à la destruction lente d’une des plus belles oasis d’antan, et surtout des cultures, fruits et légumes qui sont atteint par la pollution.

Or le véritable problème est que le complexe n’a pas été modernisé depuis sa création. Alors pourtant qu’il existe maintenant des solutions techniques pour éviter une telle pollution. Celle-ci s’est accentuée depuis 2017. Ce qui avait poussé le gouvernement de l’époque à vouloir démanteler cette usine, avant de se rétracter. Car il est évident que notre industrie du phosphate allait pâtir de cette fermeture, au moment où les grèves et l’anarchie qui avaient accompagné la supposée révolution avaient mis à genou la fameuse CPG.

Sauf que l’instabilité politique et surtout le manque de vision claire des différents ministres de l’industrie, et ceci dure jusqu’à maintenant, ainsi que la valse des PDG qui dirigeaient la compagnie, ont fait en sorte que la question a été régulièrement ajournée. Car la priorité vraisemblablement était de produire plus de phosphate et de ses dérivées pour pallier au déficit budgétaire continuellement en hausse. Sans parler des problèmes sociaux, puisque l’arrêt va mettre au chômage plus de 2500 employés, techniciens et ingénieurs, et administratifs.

En raison du changement continue des premiers ministres et ministres et de l’absence d’une véritable communication institutionnelle, l’on ne sait pas si la question a été traitée à nouveau ou non. Même maintenant, alors qu’un désastre menace la région, l’administration de tutelle reste muette. Les discours volontaristes du chef de l’Etat, et ses promesses de traiter rapidement et efficacement la question, ne peuvent être entendus par la population, que si des actions concrètes pour écarter le danger sont prises.

L’on ne peut en vouloir à une population, qui depuis des décennies entend des discours, mais qui ne voit rien de concret venir se matérialiser. C’est donc l’absence de l’Etat qui est à mettre en cause. Car c’est l’Etat qui avait décidé la construction de cette usine et la création de ce groupe. Et tout en bénéficiant de ses retombées économiques et sociales, il n’a pas pris en compte la nécessité de moderniser son tissu industriel en lui appliquant les nouvelles technologies qui empêchent une pollution aussi dangereuse. C’est comme si vous construisiez un site nucléaire, sans prendre les mesures nécessaires pour qu’il n’émette pas de la radioactivité, Tchernobyl en exemple, toute proportion gardée, bien sûr !

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Un passé glorieux

Rappelons qu’au départ, c’est-à-dire en 1897, quelques années après la colonisation française, fût crée La Compagnie des phosphates et des chemins de fer de Gafsa pour exploiter les gisements du phosphate dans cette région. A l’Indépendance l’Etat tunisien l’intitule CPG et ce n’est qu’en 1994 qu’elle sera rattachée au Groupe Chimique qui continue de la gérer jusqu’à maintenant.

C’est donc plus d’un siècle et quart que cette industrie constitue la manne de l’économie tunisienne. Et cette industrie, comme toutes les industries minières de par le monde est par définition polluante et toxique. C’est l’histoire des industries minières à travers la planète qui le confirme. Sauf qu’au fur et à mesure que la science et la technologie évoluent, on a trouvé les moyens techniques pour la rendre moins polluante et moins asphyxiante.

Faut-t-il pour autant condamner la création et l’exploitation des mines tunisiennes effectuées par la CPG ? Le progrès est fait d’accidents majeurs dont les victimes sont d’abord celles qui travaillent et les populations qui habitent aux alentours, qui sont souvent les mêmes. Il y a des Germinal partout dans le monde et des Zola pour les dénoncer. Le mouvement écologique est né de la souffrance de ces populations et joue maintenant un rôle clef dans l’exercice des pressions sur les gouvernements, pour les obliger à trouver les solutions et pousser la recherche pour combattre les pollutions produites immanquablement par les industries de toute sorte. Si à chaque fois qu’un problème ou même un désastre se produisait, on fermait les usines; le progrès technique, scientifique et technologique recevrait un coup. C’est comme si pour lutter contre la gangrène qui a frappé un membre, on tue la personne gangrénée.

A notre avis, il est plus qu’évident que le groupe chimique constitue un acquis national, un des plus importants même. La vision de l’Etat tunisien à l’époque ne voyait dans le problème de pollution qu’un mal nécessaire. Or cette vision, partagée à l’époque par l’immense majorité des Etats, est dépassée. L’existence d’une industrie propre est possible, comme pour les énergies propres. L’on sait que la tendance mondiale est pour le remplacement des énergies fossiles, par le nucléaire, en partie. Faut-t-il pour autant condamner nos rares puits de pétrole ou de gaz ?

Les experts diront qu’il y a des solutions techniques et qu’il faut construire ces industries à risque dans des zones, peu habitées. Ce qui pose un problème social. En effet, que feront alors les autorités pour les employés habitant à Gabès, si le site chimique est transféré ailleurs ? Plus de 2000 familles se trouveraient sans ressources et d’autres activités économiques qui dépendent de ce complexe cesseraient d’exister ! Une catastrophe économique et sociale se déclarerait. Les solutions simplistes peuvent couter très cher, non seulement aux Gabésiens, mais aussi à l’Etat et à la Nation.

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Ne pas céder à la provocation

Devant cette situation particulièrement dangereuse, tout gouvernement a le devoir de garder la tête froide et d’agir efficacement pour traiter les causes de cette colère légitime des habitants de Gabès. Les erreurs du passé concernant la gestion de ce complexe doivent donc nous guider pour trouver la solution la plus appropriée. Mais la contestation des habitants est plus que légitime et les Gabésiens sont connus pour leur patriotisme, le mouvement national en témoigne. Des figures comme Taher Lasoued, Sassi Lasoued, Jallouli Farès, Mohammed Ali El Hammi, et d’autres illustres militants ont joué un rôle de premier plan dans la lutte pour l’indépendance. D’autres cadres des différentes villes du gouvernorat ont été les bâtisseurs de l’Etat de l’indépendance. Il existe une élite qui est capable de participer à la recherche d’une solution.

Des appels à la dissidence provenant de la fille de Rached Ghannouchi et de son époux, bien installés à Londres, certainement dans la villa de papa, visent à transformer cette contestation légitime en « révolution ». Ils pensent que c’est l’occasion rêvée pour eux de revenir au pouvoir. Sachant qu’ils sont tous les deux originaires de cette région. Bien que ces appels ne risquent pas de trouver un écho chez les jeunes protestataires, il convient de savoir traiter politiquement et sereinement la situation et de ne pas tomber dans le piège.

Ainsi, le discours politique du pouvoir doit trouver la bonne mesure, ainsi que ceux qui prétendent le représenter, car la situation est grave ! Il faut commencer par communiquer et informer le peuple sur la réalité des choses. A commencer par les ministères concernés. La gestion de crise n’est pas à la portée de tout chroniqueur qui ne fait que vociférer. On ne cède pas à une provocation, on l’ignore et on va directement aux sources du problème.

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Ligue 2 de football : le programme complet de la 5e journée

La 5e journée du championnat de Ligue 2 se jouera les 18 et 19 octobre 2025. Toutes les rencontres débuteront à 15h, réparties entre les deux poules A et B.

Poule A : sept affiches au programme samedi

Sept matchs sont programmés pour la journée du samedi 18 octobre dans la Poule A.
À Mégrine, l’AS Mégrine recevra ESH Sousse.
À Boualem, US Bousalem affrontera EM Mahdia.
De son côté, CS Msaken accueillera CSH Lif à Msaken.
Le CS Chebba sera opposé à US Tataouine sur sa pelouse, tandis que BS Bouhajla défiera SC Ben Arous à Chebika.
À Sfax, le Sfax RS croisera le fer avec CO Kerkennah dans l’enceinte du stade du 2 Mars.
Enfin, à Agareb, AS Agareb recevra SAM Bourguiba.

Poule B : une journée répartie entre samedi et dimanche

Dans la Poule B, un seul match se disputera samedi 18 octobre. Le CS Sakiet Eddaier accueillera ES Bouchemma.

La suite du programme se jouera dimanche 19 octobre avec six rencontres.
À Kalaa Soghra, Kalaa Sport affrontera SC Moknine.
À Ksour Essef, US Ksour Essef recevra CS Korba.
Le AS Jelma sera opposé à O Sidi Bouzid à Jelma.
À Kasserine, le AS Kasserine rencontrera EGS Gafsa.
À Gabès, S Gabésien défiera AS Ariana, tandis qu’à Redaief, le CS Redaief accueillera Jendouba Sport pour clôturer la 5e journée.

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Faut-il craindre une nouvelle dépréciation du dinar tunisien ?

L’économiste tunisien Larbi Benbouhali, directeur dans une banque d’investissement en Australie, a tiré la sonnette d’alarme sur la persistance d’un taux d’inflation jugé trop élevé en Tunisie, malgré une stabilisation officielle autour de 5 %. Dans une analyse publiée sur sa page Facebook, il explique que cette moyenne masque une hausse bien plus marquée des …

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Tennis: Moez Echargui ouvre le tournoi d’Olbia face à Edas Butvilas

Le tennisman tunisien Moez Echargui participera la semaine prochaine au tournoi d’Olbia, en Italie. Cette compétition fait partie du Challenger Tour et se joue sur surface dure, avec un prize money total de 181 250 euros.

Un premier tour déjà connu

Le tirage au sort a opposé Echargui, 145e joueur mondial, au Lituanien Edas Butvilas, classé 291e. Le match est prévu lundi. Les deux joueurs se sont déjà affrontés en quart de finale du Challenger de Porto, début août, où Echargui l’avait emporté 2 sets à 1.

Une année riche en succès

Moez Echargui a connu plusieurs succès en 2025. Il a remporté le Challenger d’Hersonissos en Grèce, le Challenger de Porto au Portugal, ainsi que le tournoi Future international de Monastir. Ces performances soulignent sa montée régulière dans le classement mondial et son retour en forme sur les surfaces dures.

Objectifs et enjeux

Le tournoi d’Olbia constitue une étape importante pour Echargui dans le circuit Challenger, lui permettant de consolider son classement et d’engranger de nouvelles expériences face à des adversaires européens. Ce match contre Butvilas sera une première étape cruciale pour ses ambitions cette saison.

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Quelles réponses de l’Etat aux exigences légitimes des habitants de Gabès ?

Le président Kaïs Saïed a ordonné le déploiement d’une équipe à l’usine d’acide phosphorique du Groupe chimique Tunisien (GCT) à Gabès «afin de remédier au plus vite aux problèmes», par allusion aux rejets toxiques de cette usine dont se plaignent depuis plusieurs années les habitants de la région, plaintes qui ont pris récemment la forme de sit-in et marches de protestation.

Latif Belhedi

Cette décision a été annoncée lors de la rencontre du chef de l’Etat avec la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, et le ministre de l’Environnement, Habib Abid, samedi 11 octobre 2025, au palais de Carthage.

On ne sait pas ce que les deux responsables vont pouvoir décider ou annoncer, puisqu’on ne les a pas entendus jusque-là parler du drame qui se déroule à Gabès, mais ce qu’on a compris, c’est que l’équipe conjointe des deux ministères qui va être dépêchée à Gabès doit «remédier au plus vite aux problèmes», selon l’expression du président.

Ils devront mettre en œuvre d’urgence un plan stratégique qui mette un terme définitif aux catastrophes environnementales, inspiré du plan élaboré par les jeunes de Gabès il y a plus de dix ans, a ajouté le président de la république.

Une baguette magique

Comment ces responsables vont-ils parvenir à mettre un terme définitif à la catastrophe environnementale à Gabès sans ordonner l’arrêt des machines de l’usine pollueuse ? Par quelle baguette magique vont-ils pouvoir changer une situation qu’on a laissé pourrir pendant deux ou trois décennies et qui s’est transformée, au fil des ans, en un drame sanitaire et humain qui nous explose aujourd’hui à la figure ?

On n’aimerait pas être à la place de ces responsables, car leur tâche ne sera pas de tout repos, mais on aimerait savoir de quels moyens et de quelle marge de manœuvre ils disposent pour pouvoir répondre aux attentes des habitants de Chatt Essalem et Ghannouch. Car entre les espérances des uns et les capacités de réponse des autres, il y a un énorme fossé que seul l’argent peut combler. Or, c’est l’argent qui manque le plus aujourd’hui dans les caisses de l’Etat, et il va falloir faire preuve d’une grande ingéniosité pour espérer débloquer les fonds nécessaires à l’opération de sauvetage de l’environnement à Gabès, qui plus est, dans un délai raisonnable et acceptable par la population.  

Kaïs Saïed, qui dit suivre de près la situation, a noté, selon un communiqué de la présidence, que «de nombreuses irrégularités ont été détectées dans le fonctionnement de l’usine, notamment dans les procédures de maintenance et d’entretien des équipements par des spécialistes accrédités, entraînant les fuites de gaz» qui ont causé l’asphyxie de nombreux enfants transportés en urgence à l’hôpital.

Le président a également souligné qu’il n’y aura aucune tolérance pour quiconque a failli à ses devoirs, en avertissant contre toute tentative d’exploitation du mécontentement de la population de Gabès, à l’intérieur ou à l’extérieur du pays, en agitant, comme à son habitude, le spectre de vagues comploteurs qui chercheraient à attiser les tensions à Gabès pour s’attaquer à son régime, au risque de politiser une poussée de fièvre sociale amplement justifiée.

Entre espoir et incrédulité

«Notre peuple à Gabès, comme partout ailleurs dans la République, aura tous ses droits, car il est la véritable richesse, celui qui construira la Tunisie nouvelle comme il l’entend, une Tunisie verte, débarrassée de toute forme de pollution et de tous les pollueurs pollués», a déclaré le chef de l’Etat en recevant les deux ministres, sauf que les mots ne suffisent pas pour calmer les maux d’une population qui se sent abandonnée depuis très longtemps et qui est animée par un lancinant sentiment d’injustice.

C’est pourquoi, les habitants de Gabès, et tous les Tunisiens qui sont solidaires avec eux, attendent avec un mélange d’espoir et d’incrédulité l’annonce des remèdes miracles qui seront trouvés par la fameuse équipe dépêchée à leur chevet au cours des prochains jours.

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Crise environnementale à Gabès | Appels à des solutions radicales

Plusieurs organisations et association ont dénoncé la situation environnementale à Gabès, où la pollution industrielle chronique est devenu un véritable problème sanitaire.

Ils ont notamment appelé à démanteler les unités polluantes du Groupe chimique tunisien en rappelant que les fuites et les émissions nocives continuent de menacer la vie des habitants en affirmant que la vie à Gabès est devenue impossible à cause de cette catastrophe environnementale.

Les jeunes de la ville, ont pour leur part à nouveau manifesté ce samedi 11 octobre 2025, pour faire face à cette crise écologique en appelant les autorités à leur communiqué des délais transparents quant au démantèlement des unités polluantes.

Les manifestants ont aussi appelé à éviter toute récupération politique de cette affaire, en affirmant que les habitants souffrent de cette situation qui dure depuis des années et qui a impacté la santé des habitants estimant de ce fait qu’il est temps de trouver une solution radicale pour une véritable justice environnementale.

Y. N.

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Al-Soumoud rappelle que le Tunisien Ali Kniss est toujours détenu par Israël

Le comité de la flottille Soumoud a rappelé que le Tunisien Ali Kniss est toujours détenu par Israël avec 46 autres militants internationaux qui ont refusé de signer une « demande de départ immédiat ».

La même source rappelle que 98 participants ont déjà été rapatriés ces derniers jours dont les militants tunisiens et ce notamment via Istanbul mais que 47 autres participants à la flottille Soumoud demeurent incarcérées dans les prisons de l’Occupation.

Parmi eux, on compte le militant tunisien Ali Kniss, membre de la Coordination de l’action commune pour la Palestine en Tunisie, qui était à bord du navire « Dhamir » (Conscience).

« Son maintien en détention, comme celui de ses 46 compagnons, souligne la détermination des autorités à user de tous les moyens pour sanctionner les tentatives visant à briser le siège de Gaza », déplore le comité en affirmant que les efforts diplomatiques et militants se poursuivent pour obtenir la libération immédiate et inconditionnelle des derniers détenus, alors que le compte à rebours avant l’expiration du délai légal de détention (dimanche) touche à sa fin.

Y. N.

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Tunisie | Les habitants de Gabès veulent seulement respirer

Les marches de protestation qui se succèdent depuis quelques jours à Chatt Essalam, à Gabès, contre la pollution de l’air et de l’eau provoquée par les rejets toxiques de l’usine du Groupe chimique tunisien (GCT), et qui drainent des citoyens de toutes conditions, notamment des femmes et des enfants, doit tous nous interpeller : décideurs politiques, acteurs de la société civiles et citoyens.

Latif Belhedi

On ne peut reprocher aux habitants de la région, quelque 400 000 âmes, qui souffrent de cette pollution s’aggravant d’année en année, sans qu’aucune mesure concrète n’est prise par les autorités pour en atténuer l’impact sur l’environnement et la santé, de protester devant l’usine du GCT, désormais gardée comme une caserne, et de crier leur ras-le-bol.

On sait que la transformation du phosphate en engrais émet des gaz toxiques tels que le dioxyde de soufre et l’ammoniac.

Le principal déchet solide produit est le phosphogypse, que l’usine rejette dans la mer. Elle contient du radium qui se désintègre en radon, un gaz radioactif cancérigène.

Cela fait au moins une décennie – depuis que les Tunisiens se sont débarrassés de la peur et ont repris leur liberté de parole – que les acteurs de la société civile alertent les autorités régionales et nationales, organisent des meetings, frappent aux portes des responsables, à Gabès et à Tunis, pour attirer leur attention sur une situation qui ne saurait plus durer sans mettre gravement en danger la vie de dizaines de milliers de citoyens complètement désarmés face à l’ogre de la pollution. Mais, au-delà des paroles, des promesses et des inchallahs, rien ne se fait concrètement sur le terrain, et l’usine du GCT, dont les équipements sont obsolètes, continue de rejeter ses poisons dans la nature, empestant l’air, la mer, la terre et l’unique oasis maritime au monde, qui aurait pu attirer beaucoup de visiteurs à Gabès, mais qui se meurt jour après jour, dans l’indifférence générale.

Le silence des autorités est inacceptable

Lorsque des élèves sont asphyxiés, transportés à l’hôpital dans un état critique et que leurs parents s’alarment et descendent protester dans la rue, on ne peut plus fermer les yeux ou tenir des propos soporifiques qui n’endorment plus personne. Il faut agir. Parler, oui, expliquer, oui, essayer de calmer les esprits, oui. Mais agir, surtout, montrer que l’on est réactif, qu’on est conscient de la gravité de la situation et qu’on fait quelque chose pour essayer d’atténuer les impacts de la pollution chimique sur la santé et l’environnement. Aussi, le silence dans lequel semblent se réfugier les responsables régionaux et nationaux est-il inacceptable.

On comprend la gêne des responsables : le GCT est un fleuron de l’industrie nationale, sa production est exportée et elle rapporte des sommes conséquences aux caisses de l’Etat. L’arrêt de ses usines est impensable. D’autant que la Tunisie, qui était autrefois le cinquième producteur mondial d’engrais à partir du phosphate, a chuté à la dixième place au cours des quinze dernières années. Sauf que, ne rien faire, alors que des enfants voient leur santé mise en danger par les rejets toxiques de ces mêmes usines, est tout aussi impensable.

Pollution chimique à la plage Chatt Essalam, Gabès.

On sait aussi que les finances publiques sont exsangues et que des solutions au problème de la pollution industrielle à Gabès, et ailleurs, à Sfax ou dans le bassin minier de Gafsa, sont très couteuses et ne sauraient être mises en œuvre demain la veille.

On a perdu beaucoup de temps. On a longtemps reporté la solution des problèmes quand ils ont commencé à se poser, et voilà que nous nous trouvons aujourd’hui complètement démunis et impuissants et que, nous nous réfugions «très courageusement» dans le silence, en renvoyant la patate chaude aux forces de sécurité désormais appelées à remettre de l’ordre à Gabès. Mais que peuvent-elles faire ? Tout au plus calmer momentanément les esprits échauffés, mais tant que le problème n’a pas commencé à être réellement résolu, il y aura de la tension à Gabès, mais aussi, ailleurs, dans les autres hotspots, qui ne manquent pas dans notre.

«Respirer et vivre avec moins de tumeurs»

Evoquant ce qu’il a appelé le «harak de Gabès», un Gabésien a écrit que les habitants de la ville et de la région «veulent seulement respirer et vivre avec moins de tumeurs», par illusion à la prolifération des atteintes de cancer parmi eux. Dénonçant la duplicité des autorités dont «les actes et les paroles sont complètement déconnectés», il a ajouté : «L’Etat est visiblement incapable de mener une politique industrielle qui ne tue pas l’être humain ou de traiter les problèmes sanitaires qui en découlent et qui provoquent une mort lente et certaine». Et d’avertir que la région est en train de se transformer en «un champ de mines risquant d’exploser à tout moment».

Gabès panse ses blessures, s’interroge, crie, interpelle, et attend des réponses de la part des responsables politiques qui devraient commencer par aller à la rencontre des populations, pour les écouter, recueillir leurs doléances et apporter des débuts de réponses à leurs questions. Mais où sont passés ces responsables ? Pourquoi ne les entendons-nous pas ? N’ont-ils pas de solutions à nos problèmes ?    

  

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5e journée du championnat Pro A de basket-ball : le programme complet

La 5e journée du championnat Pro A de basket-ball se déroulera ce week-end, avec six rencontres prévues entre vendredi 10 et samedi 11 octobre. Les matchs se répartissent entre les deux poules du championnat et se joueront dans différentes salles du pays.

Poule B : Trois confrontations vendredi

Salle Bir Chellouf
S. Nabeulien accueille l’AS Hammamet dans un duel attendu par les supporters locaux.

Salle Mzali, Monastir
L’US Monastir affrontera l’US Ansar pour consolider sa position au classement.

Salle Bouhima, Radès
L’ES Radès reçoit la JS Kairouan, une rencontre qui pourrait redistribuer les cartes au sommet de la poule.

Poule A : Trois matchs samedi

Salle Gorjani
Le Club Africain se mesurera au BC Mahdia, dans un affrontement entre deux équipes en quête de points.

Salle de Grombalia
DS Grombalia accueillera la JS Manazeh pour une rencontre cruciale dans la course au maintien.

Salle de Sousse
L’ES Sahel affrontera l’ES Goulette dans ce qui s’annonce comme l’un des matchs les plus suivis du week-end.

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L’Institut français de Tunisie rend hommage à Claudia Cardinale

L’Institut français de Tunisie (IFT) rend hommage à Claudia Cardinale et à son parcours exceptionnel, qui a profondément marqué l’histoire du cinéma tunisien, méditerranéen et international.

Son dernier film, « L’Île du pardon » sera projeté à l’IFT le 13 octobre à 18h en guise de témoignage vibrant de son talent, en présence du réalisateur Ridha Behi.

Grand ami de Claudia Cardinale, il partagera avec le public souvenirs marquants, moments sincères et histoires qui garderont vivante la mémoire d’une artiste d’exception.

L’entrée est libre dans la limite des places disponibles

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Spectacle “La Camarette” de l’Orchestre Symphonique tunisien à la Cité de la Culture

Sous la direction du maestro Shady Garfi, l’Orchestre Symphonique tunisien donnera, le mercredi 15 octobre, à 19 h, au Théâtre des régions à la Cité de la Culture, un spectacle musical intitulé “La Camarette”.

Des œuvres de Mozart, Béla Bartók, Ennio Morricone et Vittorio Monti sont au programme de la soirée. Les solistes Ghalia Ben Halima au Oud et Ahmed Letyem au Nay sont également à l’affiche de ce spectacle organisé par le Pôle Musique et Opéra au Théâtre de l’Opéra de Tunis.

Ce rendez-vous est la première étape dans un cycle de représentations placée sous le signe de la musique de chambre, a annoncé le Théâtre de l’Opéra.

“La Camarette” est le premier spectacle musical de la saison 2025-2026 au Théâtre de l’Opéra de Tunis qui a été inaugurée par « Carmen Dansé » suivi par la semaine de Sortie au Théâtre.

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L’ambassade Suisse célèbre le cinéma tunisien et les droits humains avec le film « Aicha »

L’ambassade Suisse en Tunisie a organisé la projection du film « Aicha » de Mehdi M. Barsaoui: Une magnifique soirée dans les jardins de la Résidence suisse placée sous le signe des droits humains !

À l’occasion de la traditionnelle soirée en plein air célébrant les productions tunisiennes qui brillent en Suisse, l’Ambassadeur Josef Renggli a eu le plaisir d’accueillir hier soir un public issu des milieux culturels, médiatiques et associatifs pour la projection du film « Aicha ».

Un moment de partage et d’échanges avec l’équipe de ce long métrage tunisien, récompensé en avril dernier lors de la 7e édition du Festival du film arabe de Zurich.

Synopsis

Aya, la vingtaine, vit encore chez ses parents dans le sud de la Tunisie et se sent prisonnière d’une vie sans perspectives. Un jour, le minibus dans lequel elle fait la navette entre sa ville et l’hôtel où elle travaille s’écrase. Seule survivante de l’accident, elle réalise que c’est peut-être sa chance de commencer une nouvelle vie. Elle se réfugie à Tunis sous une nouvelle identité, mais tout est bientôt compromis lorsqu’elle devient le principal témoin d’une bavure policière.

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Octobre Rose | Dépistage gratuit par le dépistage le CRT

À l’occasion d’Octobre Rose, le Croissant Rouge Tunisien – Comité Local Ariana Médina organise une journée de dépistage gratuit du cancer du sein.

L’évènement sera organisé ce dimanche 12 octobre 2025 à partir de 9h à l’école primaire Farhat Hached à l’Ariana (au nord de Tunis).

« Venez nombreuses et nombreux : un geste simple peut faire toute la différence. Ensemble, diffusons l’espoir et la solidarité », indiquent les organisateurs, en rappelant que « le dépistage précoce sauve des vies ! ».

Y. N.

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Handball – Championnat Élite : L’Espérance et le Club Africain confortent leur place de leaders

L’Espérance Sportive de Tunis (EST) et le Club Africain (CA) ont remporté, mercredi, leurs matches en retard de la 6ᵉ journée du championnat Élite de handball. Les deux clubs tunisois poursuivent ainsi leur domination en tête du classement avec le même nombre de points.

À la salle Zouaoui, l’Espérance ST n’a laissé aucune chance au CS Ksour Essef, s’imposant sur un large score de 43 à 23. Les « Sang et Or » ont maîtrisé la rencontre du début à la fin, confirmant leur statut de référence dans la compétition.

De son côté, le Club Africain a pris le dessus sur le CHB Jammel à la salle Cherif Bellamine (33-26). Grâce à une défense solide et à une attaque bien organisée, les coéquipiers ont su faire la différence en deuxième période pour sécuriser la victoire.

Un duel serré en haut du tableau

Avec ces succès, l’Espérance ST et le Club Africain se partagent la première place du classement, totalisant chacun 22 points en huit matches. L’Étoile Sportive du Sahel (ESS) suit de près avec 21 points, maintenant la pression sur les deux leaders.

Le CS Sakiet Ezzit se positionne à la 4ᵉ place avec 19 points, tandis que le SC Moknine et le BS Béni Khiar comptent chacun 17 points, confirmant leur bon début de saison.

En milieu de tableau, le Stade Tunisien et le CS Ksour Essef affichent 14 points, devant EM Mahdia et CHB Jammel (13 points). En bas du classement, AS Hammamet (12 points) et AS Teboulba (8 points) ferment la marche.

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« Les Saisons de la Création » : colloques, spectacles et Agora des saisons au festival TNT 2025

La troisième édition du Festival National du Théâtre Tunisien (TNT) “Les Saisons de la Création’’ démarre à Tozeur le 25 octobre et se poursuivra jusqu’au 7 novembre 2025, une initiative du Théâtre National Tunisien (TNT) en partenariat avec la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA) pour la création théâtrale, la direction du festival souhaitant désormais ancrer la voie de la décentralisation culturelle.

Cette édition marque un premier pas dans une démarche visant à élargir le rayonnement de l’action théâtrale à l’ensemble du territoire tunisien, soutenir la création théâtrale nationale et à s’ouvrir davantage aux régions la direction du festival souhaitant désormais ancrer sur la voie de la décentralisation culturelle, expliquent les organisateurs.

Les activités prévues dans la région se dérouleront du 25 au 30 octobre 2025, avec des représentations théâtrales dans six délégations du gouvernorat, en collaboration avec le Centre des arts dramatiques et scéniques de Tozeur, ainsi qu’un colloque et un spectacle d’ouverture musical et chorégraphique réunissant différentes expressions artistiques.

Le programme prévu comporte un colloque organisé en partenariat avec l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts -Beit al-Hikma-, les 25 et 26 octobre 2025 qui abordera les enjeux du théâtre tunisien et sa place dans le paysage culturel, avec la participation d’une vingtaine de chercheurs et penseurs tunisiens. A l’issue de cette rencontre, Beit al-Hikma publiera un numéro spécial rassemblant les actes et interventions présentées lors du colloque.

Une nouveauté dans cette édition est la création d’un espace de dialogue intitulé “Agora des saisons”, ouvert aux échanges entre professionnels du théâtre autour des principales questions liées à la pratique théâtrale en Tunisie : législation, organisation, conditions professionnelles et créativité, en vue d’élaborer une feuille de route regroupant les propositions et recommandations issues de ces discussions, dans une perspective de développement et d’adaptation du secteur théâtral national aux mutations actuelles.

Le programme comporte également une exposition d’arts plastiques, organisée en partenariat avec le Musée national d’art moderne et contemporain de Tunis (MACAM), et dédiée à la mémoire de l’artiste plasticien disparu Adel Megdiche, figure emblématique de la scène artistique tunisienne.

Le programme officiel et les spectacles en compétition seront dévoilés lors de la conférence de presse prévue le 21 octobre 2025 à la salle Le 4ème Art à Tunis.

Les spectacles en compétition officielle seront présentés dans deux espaces : la salle Le 4ème Art et l’auditorium du Palais du Théâtre-Halfaouine. Le lieu de représentation sera fixé par le comité d’organisation, en fonction des besoins techniques et artistiques de chaque production.

Le Festival décerne, sur décision d’un Jury-composé d’artistes et de professionnels de théâtre reconnus, les Prix suivants :

Prix individuels :
– Prix de la Mise en scène (10 000 DT),
– Prix du texte dramatique (10 000 DT),
– Prix de la scénographie (10 000 DT),
– Prix de la meilleure interprétation féminine (10 000 DT),
– Prix de la meilleure interprétation masculine (10 000 DT).

Prix collectif:

Le Grand Prix de la création théâtrale tunisienne : (30 000 DT)

Prix d’encouragement :

– Prix de la meilleure photo pour le théâtre (1 500 DT),
– Prix de la meilleure vidéo pour le théâtre (1 500 DT),
– Prix du meilleur article de critique théâtrale (1 500 DT).

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Inflation réelle en Tunisie : ce que montrent les chiffres derrière les 5 % officiels

Inflation Prix
image ChatGPT

Officiellement, l’inflation en Tunisie s’établit à 5 % en septembre, un taux déjà préoccupant pour les économistes. Pourtant, dans les marchés, les familles ont l’impression que les prix flambent beaucoup plus vite. Et pour cause : les hausses réelles sur les produits de base dépassent largement les moyennes nationales.

Entre la progression à deux chiffres des prix agricoles, le pouvoir de fixation des grands groupes, la stagnation des salaires et la pression fiscale, l’inflation “ressentie” des ménages tunisiens s’approche davantage de 10 à 12 %. Une distorsion qui traduit les déséquilibres profonds du système économique et la difficulté du pays à maîtriser ses coûts structurels, écrit Larbi Bouhali dans un Post sur Linkedin.

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