Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Salon de l’Économie Verte | L’avenir durable se conjugue au féminin

La deuxième édition du Salon de l’Économie Verte, de la Finance Responsable et du Développement Durable, se tiendra les 16 et 17 octobre 2025 au Centre international des congrès de l’UTICA, à Tunis.

Sous le thème « Entrepreneuriat féminin, inclusion financière et économie durable en Tunisie », ce salon se positionne comme le carrefour incontournable pour les acteurs du changement, les innovateurs et tous ceux qui s’engagent pour un avenir plus vert et plus juste en Tunisie.

Cet évènement permettra de rencontrer les acteurs du changement, pour un partage d’idées et la découverte des innovations durables qui façonnent l’avenir.

L’article Salon de l’Économie Verte | L’avenir durable se conjugue au féminin est apparu en premier sur Kapitalis.

Tunisie–Norvège : création du Conseil d’affaires tuniso-norvégien pour booster les échanges économiques

Une délégation de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), conduite par son président, Samir Majoul, a participé, jeudi, à Oslo (Norvège), à la cérémonie de signature d’un protocole d’accord portant création du Conseil d’affaires tuniso-norvégien, en présence du directeur général de la Confédération des entreprises norvégiennes (NHO), Ole Erik Almid.

D’aprés un communiqué de l’UTICA, Majoul a, à cette occasion, souligné que la création de ce Conseil d’affaires permettra d’impulser les relations économiques, ainsi que de renforcer les échanges commerciaux et les investissements bilatéraux, entre les deux pays.

Ce conseil servira de plateforme permanente pour la promotion des affaires, l’échange d’expertise et le lancement de projets communs entre les deux pays », a-t-il déclaré.

Il a, également, estimé que les relations solides entre les deux organisations patronales, l’UTICA et la NHO, sont fondées sur la confiance, le dialogue, l’échange d’expériences, et les contributions conjointes au renforcement des capacités, au soutien de l’entrepreneuriat et à la promotion de la gouvernance et de la durabilité.

De son côté, Ole Erik Almid a affirmé que la coopération entre les deux organisations, qui date de l’année 2016, a favorisé l’amélioration de l’environnement des affaires en Tunisie, rappelant que le programme « Female Future » de la NHO, lancé en Tunisie en 2019, a réussi à former plus de 100 femmes aux compétences en leadership et à la bonne gouvernance.

Il convient de noter que des rencontres d’affaires ont été organisées, en marge de la visite de la délégation de l’UTICA, avec des professionnels affiliés à la NHO.

Par ailleurs, la délégation tunisienne a participé au Sommet d’affaires nordique-africain (Nordic-African Business Summit), organisé par l’Association d’entreprises afro-norvégienne (NABA), afin de renforcer la coopération économique entre les pays scandinaves et africains.

L’article Tunisie–Norvège : création du Conseil d’affaires tuniso-norvégien pour booster les échanges économiques est apparu en premier sur WMC.

Création d’une conseil d’affaires tuniso-norvégien

Une délégation de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), conduite par son président, Samir Majoul, a participé, jeudi 9 octobre à Oslo (Norvège), à la cérémonie de signature d’un protocole d’accord portant création du Conseil d’affaires tuniso-norvégien, en présence du directeur général de la Confédération des entreprises norvégiennes (NHO), Ole Erik Almid.

Samir Majoul pense que la création de ce Conseil d’affaires permettra d’impulser les relations économiques, ainsi que de renforcer les échanges commerciaux et les investissements bilatéraux, entre les deux pays, lit-on dans un communiqué de presse de la centrale patronale.

Ce conseil servira de plateforme permanente pour la promotion des affaires, l’échange d’expertise et le lancement de projets communs entre les deux pays, a-t-il déclaré.

 

 

Il rappellera que les relations solides entre les deux organisations patronales, l’UTICA et la NHO, sont fondées sur la confiance, le dialogue, l’échange d’expériences, et les contributions conjointes au renforcement des capacités, au soutien de l’entrepreneuriat et à la promotion de la gouvernance et de la durabilité.

De son côté, Ole Erik Almid a affirmé que la coopération entre les deux organisations, qui date de l’année 2016, a favorisé l’amélioration de l’environnement des affaires en Tunisie, rappelant que le programme « Female Future » de la NHO, lancé en Tunisie en 2019, a réussi à former plus de 100 femmes aux compétences en leadership et à la bonne gouvernance.

Il convient de noter que des rencontres d’affaires ont été organisées, en marge de la visite de la délégation de l’UTICA, avec des professionnels affiliés à la NHO.

Par ailleurs, la délégation tunisienne a participé au Sommet d’affaires nordique-africain (Nordic-African Business Summit), organisé par l’Association d’entreprises afro-norvégienne (NABA), afin de renforcer la coopération économique entre les pays scandinaves et africains.

L’article Création d’une conseil d’affaires tuniso-norvégien est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Marokko – Dänisches Frachtschiff mit Waffen für Israel soll Tankstopp in Casablanca gemacht haben.

FrachtschiffPro-palästinensische Proteste führen zur Kursänderung eines Waffentransports – Marokko wird zum Ausweichhafen vor der Durchfahrt durch die Straße von Gibraltar. Casablanca – Ein unter dänischer Flagge fahrendes Frachtschiff mit mutmaßlich Waffen für Israel hat nach internationalen Protesten seinen Kurs geändert und Casablanca in Marokko als Tankstopp gewählt. Laut einem Bericht der andalusischen Zeitung Europa Sur […]

Der Beitrag Marokko – Dänisches Frachtschiff mit Waffen für Israel soll Tankstopp in Casablanca gemacht haben. erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Ooredoo Tunisie obtient la certification ISO 22301:2019

Premier opérateur en Tunisie à recevoir cette reconnaissance internationale en continuité d’activité

Ooredoo Tunisie est fière d’annoncer l’obtention de la certification ISO 22301:2019, la norme internationale de référence en matière de système de management de la continuité d’activité (SMCA).

Avec cette distinction, Ooredoo devient le premier opérateur télécom en Tunisie à obtenir cette reconnaissance internationale, confirmant son engagement envers la résilience opérationnelle, la gestion proactive des risques et la garantie d’un service de qualité ininterrompu pour ses clients.

La norme ISO 22301:2019 établit les exigences permettant aux organisations de planifier, mettre en œuvre, surveiller et améliorer un SMCA. Elle aide à anticiper et gérer efficacement les perturbations majeures tout en assurant la continuité des activités critiques.

Cette certification s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue et vient consolider les engagements de Ooredoo en matière de gouvernance, sécurité et fiabilité. Elle illustre la capacité de l’entreprise à protéger ses infrastructures essentielles et à maintenir la disponibilité de ses services même en période de crise.

À cette occasion, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « L’obtention de la certification ISO 22301:2019 est une étape majeure qui reflète notre détermination à rester à la pointe de l’excellence opérationnelle et de la gestion des risques. Elle confirme notre rôle de leader technologique et réaffirme notre responsabilité envers nos clients, nos partenaires et l’ensemble de l’écosystème numérique tunisien. Chez Ooredoo, nous nous engageons à garantir une connectivité fiable et sécurisée, quelles que soient les circonstances. »

Cette reconnaissance internationale vient renforcer les nombreuses initiatives stratégiques de Ooredoo visant à consolider sa position de leader sur le marché tunisien et régional, tout en adoptant les meilleures pratiques mondiales en matière de sécurité, qualité et résilience.

Site web : Ooredoo

L’article Ooredoo Tunisie obtient la certification ISO 22301:2019 est apparu en premier sur WMC.

Club Africain : le milieu libyen Oussama Cherimi enfin qualifié

Le Club Africain a annoncé, mardi soir, la qualification officielle du milieu de terrain libyen Oussama Cherimi, désormais éligible pour prendre part aux prochaines rencontres de l’équipe.

Le joueur de 24 ans avait rejoint le club de Bab Jedid fin juillet, en provenance du Al-Swehly SC (Libye), dans le cadre d’un transfert libre portant sur deux saisons.

Son inscription avait toutefois été retardée en raison du non-transfert de sa carte internationale, le club libyen refusant initialement de valider son départ, estimant que Cherimi était encore lié par un contrat en cours.

Désormais qualifié, le milieu de terrain devrait être mis à la disposition du staff technique dès le prochain match, apportant une nouvelle option dans l’entrejeu clubiste.

L’article Club Africain : le milieu libyen Oussama Cherimi enfin qualifié est apparu en premier sur WMC.

Tunisie – UE | Promouvoir les mécanismes de migration régulière

En recevant, jeudi 2 octobre 2025, la commissaire européenne chargée de la Méditerranée, Dubravka Suica, en visite officielle en Tunisie, le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, a souligné l’importance que la Tunisie attache au renforcement de son partenariat stratégique avec l’Union européenne, fondé sur l’égalité, le dialogue constructif, le respect mutuel des choix des citoyens et le principe de souveraineté nationale.   

«Les discussions ont permis de passer en revue l’ensemble des relations tuniso-européennes et d’explorer les moyens de renforcer davantage la coopération, notamment en prévision de la prochaine session du Conseil d’association Tunisie-Europe, en cette année qui marque le 30e anniversaire de l’accord d’association de 1995», a souligné le ministère dans un communiqué.

Pour M. Nafti, la prochaine réunion du Conseil doit être considérée «comme une nouvelle étape dans la renaissance du partenariat tuniso-européen, ouvrant de nouvelles perspectives aux deux parties et garantissant un meilleur alignement sur les priorités et les choix nationaux».

La réunion a également été l’occasion d’échanger sur le nouveau Pacte pour la Méditerranée, destiné à promouvoir la création d’un espace commun de paix, de prospérité et de stabilité dans la région.

À cet égard, M. Nafti a souligné la nécessité pour ce nouvel instrument régional de fournir un cadre de partenariat inclusif et partagé aux peuples et aux pays du bassin méditerranéen, appelant à une approche unifiée et multidimensionnelle capable d’apporter des réponses collectives aux défis communs.

Concernant la mobilité et la migration, la ministre a plaidé pour une région méditerranéenne qui valorise la dimension humaine et promeut des mécanismes de migration régulière grâce à une meilleure gouvernance des flux migratoires. Une telle approche permettrait d’éviter de nouvelles tragédies humaines dans la région et de lui permettre d’exploiter pleinement les opportunités offertes, notamment en matière de développement durable, de lutte contre le changement climatique et de transition numérique et écologique.

De son côté, Mme Suica a salué la contribution et le potentiel de la Tunisie dans le renforcement de la coopération euro-méditerranéenne, tout en exprimant sa détermination à approfondir davantage le partenariat stratégique unissant la Tunisie et l’UE dans divers domaines, sur la base des principes consacrés par la politique étrangère de la Tunisie.

Elle a rappelé que le Pacte pour la Méditerranée se veut multidimensionnel et flexible, abordant diverses questions telles que l’union des peuples, l’investissement et la mobilité. Ce nouvel instrument, a-t-elle souligné, vise à renouveler le cadre des relations euro-méditerranéennes et à leur conférer une valeur ajoutée, en ouvrant de nouvelles perspectives d’échanges universitaires et en apportant des réponses innovantes et coordonnées aux défis régionaux.

L’article Tunisie – UE | Promouvoir les mécanismes de migration régulière est apparu en premier sur Kapitalis.

Elmed | La BEI octroie 12 M€ d’assistance technique à la Tunisie

L’Union européenne (UE) et la Banque européenne d’investissement (BEI) soutiennent la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) par une contribution d’assistance technique d’un montant de 12 millions d’euros (41 millions de dinars).

L’accord de subvention a été signé à Tunis, jeudi 2 octobre 2025, en présence de Dubravka Suica, Commissaire européenne chargée de la Méditerranée, et Ulrich H. Brunnhuber, chef de la division Mena de la BEI, a indiqué l’Union européenne en Tunisie dans un communiqué, soulignant que ce financement soutient le projet Elmed, première interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie.

Le projet Elmed prévoit une connexion par câble sous-marin de 224 km qui assurera une meilleure intégration des énergies renouvelables, une plus grande sécurité énergétique pour la Tunisie et l’Europe, et une réduction des émissions de CO2. D’un coût total de 921 millions d’euros (3,149 milliards de dinars), Elmed rapproche les marchés de l’électricité des deux rives de la Méditerranée et fait de la Tunisie un acteur clé de la transition énergétique régionale.

L’article Elmed | La BEI octroie 12 M€ d’assistance technique à la Tunisie est apparu en premier sur Kapitalis.

2ème édition du Salon de l’économie verte : un tremplin pour la finance durable

La deuxième édition du Salon de l’économie verte, intitulée « Entrepreneuriat féminin, finance inclusive et économie durable », se tiendra les 16 et 17 octobre 2025 à l’UTICA. Elle vise à valoriser le rôle de l’entrepreneuriat féminin et à encourager les femmes chefs d’entreprise ainsi que les jeunes diplômés à s’engager dans l’auto-entrepreneuriat.

En rassemblant étudiants, femmes entrepreneurs, institutions financières, universités et autres chercheurs tunisiens et internationaux, le Salon de l’économie verte ambitionne de fédérer un écosystème dédié aux objectifs de développement durable et à l’agenda 2030. Tout en facilitant l’accès au financement, à l’accompagnement, à la communication et au leadership.

Nadia Mansour est docteure en finance durable et commissaire générale de la deuxième édition du Salon de l’économie verte. Elle précise que cet événement ambitionne de réunir un large éventail d’acteurs pour renforcer l’écosystème autour de l’entrepreneuriat féminin, de la finance inclusive et de l’économie durable.

Elle souligne dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com que le salon cible plusieurs publics clés : étudiants, femmes entrepreneurs, institutions financières, ainsi que les laboratoires de recherche et universités tunisiennes; sans oublier la participation de chercheurs tunisiens et étrangers, afin de croiser savoirs et expériences. D’ailleurs, selon les derniers chiffres, 24 % des femmes sont à la tête des entreprises.

Elle insiste sur l’importance de valoriser le rôle des femmes dans l’économie tunisienne. Tout en expliquant que l’entrepreneuriat féminin représente un pilier capable de réaliser des progrès significatifs dans la croissance économique et la création d’emplois durables.

Pour sa part, Mhamed Zaouaoui, membre du comité du pilotage du Salon de l’économie verte, et consultant senior en Rénovation Managériale et Amélioration des Performances chez Nova Performance Consulting, a mis l’accent sur l’importance d’encourager et d’accompagner les femmes porteuses de projets, en leur offrant un environnement propice à la concrétisation de leurs idées.

Concernant la présence des jeunes diplômés, Mhamed Zouaoui, met en avant la nécessité d’inciter ces derniers à se tourner vers l’auto-entrepreneuriat. Et ce, en facilitant l’accès au financement et en leur proposant un accompagnement global qui intègre également la formation en communication et leadership. Il décrit cette approche comme un levier pour dynamiser l’innovation et la création de valeur au sein de la jeunesse tunisienne.

Enfin, il rappelle que cette dynamique s’inscrit pleinement dans les engagements nationaux de la Tunisie à atteindre les objectifs de développement durable fixés par l’Agenda 2030. Pour lui le salon doit être avant tout un catalyseur d’initiatives et d’échanges qui favorisent une économie plus verte, inclusive et résiliente.

L’article 2ème édition du Salon de l’économie verte : un tremplin pour la finance durable est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Marokko – Proteste der Jugendbewegung stoßen auf Grenzen des reformierten Streikrechts

CasablancaZwischen sozialen Forderungen und globaler Wahrnehmung: Demonstrationen für Bildung und Gesundheit treffen auf harte Sicherheitsmaßnahmen und internationale Schlagzeilen über die WM 2030 Rabat – Ende September 2025 haben in mehreren marokkanischen Städten Demonstrationen und Sitzblockaden für Aufmerksamkeit gesorgt. Hinter den Aktionen steht die Jugendbewegung GenZ212, die über Plattformen wie Discord Proteste organisiert. Ihre Forderungen sind […]

Der Beitrag Marokko – Proteste der Jugendbewegung stoßen auf Grenzen des reformierten Streikrechts erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Atelier en Tunisie pour harmoniser les lois sur le commerce numérique en Afrique

La Zone de libre échange continental africaine (Zleca) a lancé, lundi 29 septembre 2025, un atelier en Tunisie pour l’harmonisation des lois sur le commerce numérique. Ce programme de cinq jours vise à aider les pays d’Afrique du Nord à intégrer le protocole à mesure que l’intégration du commerce numérique progresse.

La Tunisie est le dernier pays africain en date à bénéficier d’un soutien ciblé pour la mise en œuvre de l’ambitieux cadre commercial numérique du continent. Le secrétariat de la Zleca) a lancé à Tunis un atelier de renforcement des capacités, en collaboration avec les responsables du gouvernement tunisien, afin d’aligner les structures juridiques du pays sur les normes continentales en matière de commerce numérique.

Un travail d’harmonisation

Cet atelier s’inscrit dans une démarche plus large visant à garantir que les États membres puissent concrétiser ce qui paraît prometteur sur le papier. Le Protocole sur le commerce numérique de la Zleca a été adopté en février 2024, créant un cadre réglementaire unifié destiné à régir tous les aspects, du commerce électronique à la fintech, dans les 54 pays africains. Cependant, l’adoption et la mise en œuvre sont deux choses totalement différentes, d’où l’importance de ces ateliers.

Le programme de Tunis rassemble des décideurs politiques, des régulateurs et des acteurs du secteur pour aborder les défis pratiques liés à l’harmonisation de la législation nationale tunisienne avec les exigences de la Zleca en matière de commerce numérique. Il s’agit notamment de simplifier la réglementation relative à la gouvernance des données, aux paiements numériques et à la protection des consommateurs pour les transactions en ligne, domaines dans lesquels l’incohérence des règles crée actuellement des frictions pour les entreprises souhaitant opérer au-delà des frontières.

Un environnement transparent et sécurisé

Le protocole vise à établir des règles harmonisées et des principes communs pour faciliter le commerce numérique en Afrique, en mettant l’accent sur la coopération entre les États membres et en créant un environnement numérique transparent et sécurisé.

Pour la Tunisie, dont le secteur technologique est relativement développé par rapport à de nombreux pays africains, cela représente à la fois une opportunité et un défi. L’opportunité réside dans la possibilité d’accéder plus facilement aux marchés du continent. Le défi consiste à adapter les cadres existants sans perturber l’innovation nationale.

L’engagement de la Tunisie est important en raison de sa position en Afrique du Nord. Si des pays comme le Ghana, le Nigéria et la Namibie ont été les premiers à mettre en œuvre le protocole sur le commerce numérique, la participation de l’Afrique du Nord a été un peu plus lente. La participation de la Tunisie aux efforts de renforcement des capacités suggère que le protocole gagne du terrain au-delà des clivages régionaux qui fragmentent parfois les initiatives économiques africaines.

L’orientation technique de l’atelier reflète la complexité de la domestication du commerce numérique. Il ne suffit pas que les pays signent des accords : ils doivent réviser la réglementation des télécommunications, actualiser les lois sur la protection des données, réformer les procédures douanières pour les biens numériques et créer des mécanismes d’application pour les litiges numériques transfrontaliers. Cela nécessite une coordination entre de multiples agences gouvernementales qui ne travaillent pas toujours en parfaite harmonie.

L’économie numérique tunisienne devrait bénéficier considérablement d’une mise en œuvre réussie. Le pays compte des entreprises fintech émergentes, un secteur du e-commerce en pleine expansion et des startups technologiques qui pourraient se développer à l’échelle régionale grâce à des règles plus claires.

Cependant, ces entreprises sont freinées par les mêmes problèmes de fragmentation que ceux qui touchent les entreprises dans toute l’Afrique : systèmes de paiement différents, normes de données incompatibles et incertitude réglementaire quant à la légalité des transactions.

Le contexte général est important ici. Le protocole commercial numérique de la Zleca est salué comme une révolution pour le commerce intra-africain, les experts soulignant qu’il vise à réduire les interactions physiques et à évoluer vers des marchés numériques afin de réduire les coûts et les risques. Cette vision est convaincante, mais sa réalisation dépend de la mise en œuvre effective des dispositions du protocole par les pays au niveau national.

L’atelier organisé en Tunisie s’inscrit dans le cadre d’une série de programmes déployés dans les États membres. Chaque pays est confronté à des défis spécifiques, liés à ses cadres juridiques existants, à ses capacités institutionnelles et à la maturité de ses infrastructures numériques. Le secrétariat de la Zleca semble avoir reconnu l’échec d’une approche universelle, d’où la mise en place de programmes sur mesure.

La durée de cinq jours suggère un engagement intensif plutôt qu’un aperçu superficiel. Les participants examineront vraisemblablement des projets de loi spécifiques, identifieront les lacunes réglementaires et élaboreront des feuilles de route de mise en œuvre que la Tunisie pourra suivre après la clôture de l’atelier. La traduction de ces feuilles de route en changements politiques concrets dépend de la volonté politique et du suivi bureaucratique, domaines où les bonnes intentions butent souvent.

Une fois que les 22 États membres de la Zleca auront ratifié le Protocole sur le commerce numérique, celui-ci entrera en vigueur pour ces pays. Ce seuil n’a pas encore été atteint, ce qui signifie que des pays comme la Tunisie préparent efficacement les infrastructures d’un système qui n’est pas encore pleinement opérationnel. C’est un peu comme construire des gares avant l’ouverture du chemin de fer : une étape nécessaire, mais qui exige la confiance que le réseau complet finira par se concrétiser.

L’intégration de 1,4 milliard de personnes dans un marché numérique unique, dont le PIB combiné dépasse 3 500 milliards de dollars, représente un potentiel extraordinaire. Cependant, potentiel et réalité divergent souvent dans les projets d’intégration continentale. L’Union européenne a passé des décennies à harmoniser les règles du commerce numérique, et elle travaille encore sur les questions de souveraineté des données et d’application transfrontalière. L’Afrique tente quelque chose de tout aussi complexe avec moins de ressources et des points de départ plus divers.
Pour les entreprises ghanéennes qui observent les progrès de la Tunisie, les implications sont évidentes. Plus les pays qui réussissent à domestiquer le protocole sur le commerce numérique sont nombreux, plus le commerce numérique transfrontalier devient viable. Si la Tunisie simplifie sa réglementation en matière de paiements numériques et de gouvernance des données, il devient plus facile pour une fintech ghanéenne d’y opérer. À l’inverse, si la mise en œuvre stagne, la fragmentation du marché persiste. La volonté du secrétariat de la Zleca d’investir des ressources dans le renforcement des capacités de chaque pays témoigne de la reconnaissance du fait que l’adoption du protocole à elle seule ne suffit pas sans un soutien à sa mise en œuvre. C’est un enseignement tiré des précédents efforts d’intégration africaine, qui semblaient impressionnants sur le papier, mais ont échoué dans la pratique faute d’attention suffisante portée à la mise en œuvre au niveau national. L’issue de cet atelier déterminera s’il s’agit d’un véritable progrès ou d’une simple conférence s’enchaînant sur des rapports qui s’épuisent. Le test aura lieu lorsque la Tunisie soumettra effectivement sa législation révisée, lorsque les organismes de réglementation commenceront à appliquer de nouvelles normes et lorsque les entreprises constateront des changements tangibles dans leurs modalités d’exploitation transfrontalière.

Pour l’instant, la Tunisie a manifesté son engagement à participer à l’intégration numérique de l’Afrique. Il reste à voir si cet engagement survivra aux réalités complexes de la réforme législative et de la coordination bureaucratique. Mais au moins, les discussions ont lieu dans des espaces où les décisions peuvent réellement être prises.

Traduit de l’anglais.

Source : News Ghana.

L’article Atelier en Tunisie pour harmoniser les lois sur le commerce numérique en Afrique est apparu en premier sur Kapitalis.

La startup française Vocca lève 4,7 M€ pour un assistant IA dédié au secteur médical

Plus que la moitié des rendez-vous médicaux en France se prennent encore par téléphone, souvent avec des lignes saturées. Donc, pour faciliter cela, la startup Vocca a créé une réceptionniste vocale intelligente, disponible 24h/24, qui gère les appels et les rendez-vous en se connectant aux logiciels des médecins.

Vocca a levé 4,7 millions d’euros grâce à des investisseurs tels que Speedinvest et Firstminute, afin d’accélérer le développement de sa solution. Sa technologie utilise des logiciels très développés et innovants qui contiennent un vocabulaire médical spécifique comme OpenAI,

Aujourd’hui elle utilise plusieurs agents IA pour comprendre les demandes et identifier les noms, assurant ainsi une grande précision.

D’un autre côté, Vocca vise à équiper 10 000 professionnels de santé d’ici fin 2026 et à adapter sa solution à chaque spécialité médicale.

On peut dire que la startup Vocca se distingue des assistants vocaux généralistes en se concentrant uniquement sur la santé et en intégrant étroitement les outils professionnels, répondant ainsi mieux aux besoins des praticiens et des patients.

 

 

L’article La startup française Vocca lève 4,7 M€ pour un assistant IA dédié au secteur médical est apparu en premier sur Managers.

Marokko – Mega – Eisenbahnprojekte für Casablanca durch König gestartet.

Mohammed VI.König Mohammed VI. gibt persönlich den Startschuss für milliardenschwere Schieneninvestitionen. Während ehrgeizige Ziele und moderne Infrastruktur im Vordergrund stehen, stellen sich angesichts enger Zeitpläne und zahlreicher paralleler Großprojekte Fragen zur Umsetzung. Am 24. September 2025 eröffnete König Mohammed VI. in Casablanca offiziell ein großangelegtes Eisenbahnprogramm. Wie die staatliche Nachrichtenagentur MAP berichtet, umfasst die erste Phase […]

Der Beitrag Marokko – Mega – Eisenbahnprojekte für Casablanca durch König gestartet. erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Marokko – Neue Werft in Casablanca soll Schifffahrtsindustrie stärken

WerftGroßprojekt am Atlantik zielt auf Wettbewerbsfähigkeit, Investitionen und internationale Positionierung Casablanca – In Casablanca ist eine neue Werft offiziell eröffnet worden. Das Projekt wurde von König Mohammed VI. eingeweiht und gilt laut der staatlichen Nachrichtenagentur MAP als bedeutender Schritt zur Stärkung des Hafens und der maritimen Industrie des Landes. Die Anlage umfasst ein 240 Meter […]

Der Beitrag Marokko – Neue Werft in Casablanca soll Schifffahrtsindustrie stärken erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Marokko – Neues Kreuzfahrtterminal in Casablanca soll Tourismus und Wirtschaft stärken

HafenkaiMit einer Investition von 720 Millionen MAD setzt die Hafenstadt Casablanca auf Kreuzfahrttourismus – Regierung erwartet jährliche Kapazität von bis zu 450.000 Passagieren. Casablanca – Am gestrigen 18. September 2025 hat König Mohammed VI. offiziell das neue Kreuzfahrtterminal im Hafen von Casablanca eingeweiht. Die Anlage gilt laut der staatlichen Nachrichtenagentur MAP als ein Projekt von […]

Der Beitrag Marokko – Neues Kreuzfahrtterminal in Casablanca soll Tourismus und Wirtschaft stärken erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Marokko – König Mohammed VI. weiht milliardenschwere Hafenprojekte in Casablanca ein

KönigNeue Infrastruktur in Casablanca soll wirtschaftliche Stärke, Tourismus u. Schifffahrt nachhaltig fördern. Casablanca – Casablanca hat am 18. September 2025 ein klares Signal zur Stärkung seiner Rolle als wirtschaftliches Zentrum des Maghreb gesetzt. König Mohammed VI. eröffnete und besichtigte mehrere Großprojekte im Hafenkomplex der Metropole, die Teil eines umfassenden Programms zur Modernisierung und Neustrukturierung sind. […]

Der Beitrag Marokko – König Mohammed VI. weiht milliardenschwere Hafenprojekte in Casablanca ein erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Algerien – Duell mit Guinea in Casablanca entscheidet über FIFA-WM-Qualifikation 2026

AlgerienCasablanca statt Conakry – Die Begegnung findet in Marokkos größter Stadt statt, da Guinea nicht über Stadien verfügt, die den Anforderungen von CAF und FIFA entsprechen. Casablanca – Algeriens Fußballnationalmannschaft ist an diesem Wochenende in das benachbarte Königreich Marokko gereist. Am heutigen Montag (17:00 Uhr Ortszeit) trifft die algerische Fußballnationalmannschaft in Casablanca auf Guinea. Es […]

Der Beitrag Algerien – Duell mit Guinea in Casablanca entscheidet über FIFA-WM-Qualifikation 2026 erschien zuerst auf Maghreb-Post.

Combien de voyageurs par voie aérienne en Tunisie en 2024: tous les chiffres par aéroport

Alors que la destination a enregistré une année record avec 10,2 millions d’entrées de non-résidents estimés, les aéroports confirment la tendance à la hausse de l’exercice 2024.

Les aéroports en Tunisie ont totalisé plus de 12 millions de passagers au cours de l’exercice 2024, en progression de 13,46 % par rapport à 2023. Ce chiffre inclut la totalité des aéroports du pays, ceux à la fois gérés par l’opérateur public OACA (Office de l’aviation civile et des aéroports) et ceux de l’opérateur franco-turc TAV (Enfidha et Monastir).

La croissance enregistrée sur les différentes plates-formes semble être allée de pair avec l’augmentation du nombre de non-résidents arrivés par voie aérienne dans le pays.

Ce qu’il faut retenir

-L’augmentation du trafic sur Enfidha a certes été très perceptible en 2024 par rapport à 2023. Cependant, ses réalisations sont restées en deçà de celles de 2019 avec toujours -11%. 

-La croissance à deux chiffres des arrivées constatée à l’aéroport de Tozeur est soutenue par le vol bi-hebdomadaire opéré par la compagnie française Transavia au départ de Paris.

-La baisse de trafic sur l’aéroport de Sfax par rapport à l’exercice 2023 est consécutif à la suppression, d’une part de la base de Nouvelair qui a déprogrammé ses dessertes de Paris et d’Istanbul et, d’autre part, par Tunisair Express qui a également suspendu sa ligne Tunis-Sfax et sa continuation vers Tripoli-Mîtiga.

-Les réalisations de l’aéroport de Tabarka sont essentiellement le résultat de vols de rapatriements en provenance d’Italie.

-Les chiffres présentés concernent tous types de vols: réguliers, supplémentaires, charters, Omra et Haj ainsi que vols particuliers et spéciaux.

Nombre de passagers (entrées et sorties):

Tunis-Carthage: 7 249 701 (+8,8%)

Djerba-Zarzis: 2 203 957 (+12,8%)

Monastir-Habib Bourguiba: 1 634 374 (+10%)

Enfidha-Hammamet: 1 290 699 (+56%)

Sfax-Thyna: 157 350 (-10,1%)

Tozeur-Nefta: 32 108 (+76,5%)

Tabarka-Aïn Draham: 2 679 (+1,6%)

Total tous aéroports confondus:  12 572 022 passagers

Part de marché OACA: 76,74%

Part de marché TAV: 23,26%

Nombre de mouvements d’avions (décollages et atterrissages):

Tunis-Carthage: 58 690 (+4,7%)

Djerba-Zarzis: 16 339 (+8,6%)

Monastir-Habib Bourguiba: 11 516 (+9%)

Enfidha-Hammamet: 8 223 (+53%)

Sfax-Thyna: 3 473 (-6,2%)

Tozeur-Nefta: 462 (+ 36,3%)

Tabarka-Aïn Draham: 183 (+6,4%)

© Destination Tunisie

L’article Combien de voyageurs par voie aérienne en Tunisie en 2024: tous les chiffres par aéroport est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

❌