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Dopage : l’ANAD tient son 4e congrès sur le thème de l’apport de la data science

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, a inauguré, vendredi 3 octobre, à Tunis, le 4e congrès international de l’Agence nationale antidopage (ANAD), axé sur « la data science au service de la lutte antidopage ».

Réunissant des experts d’Afrique, d’Europe et d’Asie, ainsi que des représentants d’organismes internationaux comme Interpol, l’ITA et le Conseil de l’Europe, le congrès met en lumière le rôle des technologies avancées – big data, IA, biométrie – dans la détection et la prévention du dopage.

Le ministre a souligné l’engagement de la Tunisie pour un sport propre, saluant le rôle de l’ANAD et l’importance de la coopération scientifique et technique. Mondher Gabbouj, directeur de l’ANAD, a rappelé l’objectif de renforcer les capacités des agences antidopage via l’échange d’expertise et l’innovation.

Des ateliers pratiques viendront clôturer l’événement samedi, portant sur la cybersécurité, la protection des lanceurs d’alerte et les applications concrètes de l’IA dans la lutte antidopage.

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Le Conseil des régions et des districts dénonce le projet de loi américain visant la Tunisie

Le Conseil national des régions et des districts a réagi avec fermeté, lundi 8 septembre 2025, aux informations relayées sur l’examen par le Congrès américain d’un projet de loi proposant d’imposer des sanctions à la Tunisie pour ce qui a été présenté comme un « recul démocratique ».

Dans un communiqué officiel, l’institution a dénoncé une initiative portée par deux élus américains — l’un républicain et l’autre démocrate — connus, selon le texte, pour leur « allégeance aux lobbys sionistes ». Le Conseil estime que cette démarche illustre une volonté persistante de certaines sphères d’influence à Washington « d’imposer des politiques de domination aux peuples », tout en fermant les yeux sur des violations commises « au nom des droits humains et de la démocratie ».

Le communiqué établit également un lien entre cette offensive politique et la campagne menée à l’échelle internationale contre la Tunisie, dans laquelle interviendraient, selon le Conseil, des « parties internes » qui auraient perdu leurs privilèges après les changements enclenchés par le 25 juillet 2021.

Réaffirmant que « la souveraineté, l’indépendance de décision et la dignité du peuple tunisien sont des constantes intangibles », le Conseil rappelle que les choix politiques engagés par le président de la République, Kaïs Saïed, traduisent « l’expression sincère de la volonté populaire de s’émanciper de toute tutelle étrangère ».

Le texte souligne par ailleurs que la Tunisie reste attachée au principe de non-ingérence dans les affaires des autres États et entend développer des partenariats diversifiés, sur la base du respect mutuel et de l’intérêt partagé, à l’exception du « l’occupation sioniste », qualifiée de « menace pour l’humanité ».

Enfin, le Conseil appelle les Tunisiens à « resserrer les rangs » et à faire preuve de vigilance face à ce qu’il considère comme une attaque directe contre la souveraineté nationale. Il conclut en saluant la capacité du peuple à « se dresser une nouvelle fois en rempart de la liberté et de la dignité nationale ».

Lire aussi : Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain

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Un parti politique réagit au projet de loi américain sur la démocratie tunisienne

Le Parti républicain a vivement critiqué le projet de loi présenté au Congrès américain sous l’intitulé « Restaurer la démocratie en Tunisie », le qualifiant d’« atteinte flagrante à la souveraineté nationale et d’ingérence inacceptable dans nos affaires intérieures ».

Dans un communiqué, le parti a affirmé que ce texte « révèle une nouvelle fois le double discours américain, qui prétend défendre la démocratie et les droits de l’Homme, alors que son histoire est jalonnée de soutien à la tyrannie et de répression des peuples ».

Le Parti républicain a par ailleurs souligné que « la seule voie pour protéger la Tunisie des ingérences étrangères réside dans l’unité nationale à travers le lancement d’un dialogue inclusif réunissant l’ensemble des forces politiques, sociales et civiles, ainsi qu’une véritable réconciliation nationale ».

Pour rappel, le député républicain Joe Wilson a annoncé, le 5 septembre courant, via la plateforme X, avoir présenté au Congrès, conjointement avec le démocrate Jason Crow, un projet de loi visant à « restaurer la démocratie en Tunisie ».

Selon ses initiateurs, ce texte ambitionne de « soutenir la démocratie en Tunisie et d’imposer des sanctions aux responsables tunisiens impliqués dans des violations des droits humains ».

Une chronologie des initiatives au Congrès

  • 15 juin 2023 : dépôt du projet S.2006 par les sénateurs Jim Risch et Bob Menendez.
  • 25 juillet 2023 : adoption en commission sénatoriale et inscription au calendrier législatif.
  • Juillet 2023 : la Chambre des représentants adopte une résolution (H.Res.613) exprimant un soutien symbolique aux valeurs démocratiques en Tunisie, tout en soulignant les inquiétudes liées à l’arrestation d’opposants et à la restriction des libertés.
  • 26 juin 2025 : une nouvelle résolution (S.Res.310) est introduite au Sénat, confirmant la vigilance américaine vis-à-vis de la situation en Tunisie.

Lire aussi : Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain

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Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain

La démocratie tunisienne est de plus en plus observée à l’international. Au Congrès américain, plusieurs initiatives législatives ont vu le jour depuis 2023, traduisant l’inquiétude de Washington face à ce qu’elle appelle reculs démocratiques constatés en Tunisie. Le texte le plus emblématique est le Safeguarding Tunisian Democracy Act (S.2006), introduit au Sénat en juin 2023.

Son objectif eest de conditionner une partie de l’aide américaine à des progrès démocratiques concrets en Tunisie, tout en soutenant la société civile et en créant un fonds dédié au renforcement des institutions.

De quoi s’agit-il exactement ?

Le projet de loi S.2006 prévoit deux volets majeurs :

  • Un volet restrictif : réduction de 25 % de l’aide américaine gérée par le Département d’État destinée à la Tunisie (y compris une partie de l’assistance sécuritaire), tant que certaines conditions ne sont pas remplies.
  • Un volet incitatif : création d’un fonds annuel de 100 millions de dollars (2024–2025) pour soutenir la démocratie tunisienne, notamment le parlement, la justice indépendante, les médias libres et les ONG.

Pour que ces fonds soient débloqués, le Secrétaire d’État américain doit certifier que la Tunisie a accompli des progrès crédibles en matière de libertés, d’État de droit et de gouvernance.

Une chronologie des initiatives au Congrès

  • 15 juin 2023 : dépôt du projet S.2006 par les sénateurs Jim Risch et Bob Menendez.
  • 25 juillet 2023 : adoption en commission sénatoriale et inscription au calendrier législatif.
  • Juillet 2023 : la Chambre des représentants adopte une résolution (H.Res.613) exprimant un soutien symbolique aux valeurs démocratiques en Tunisie, tout en soulignant les inquiétudes liées à l’arrestation d’opposants et à la restriction des libertés.
  • 26 juin 2025 : une nouvelle résolution (S.Res.310) est introduite au Sénat, confirmant la vigilance américaine vis-à-vis de la situation en Tunisie.

Quelles implications pour la Tunisie ?

Ce projet n’est pas anodin. Trois implications majeures peuvent être dégagées :

  1. Un signal politique fort : le Congrès place la Tunisie dans la catégorie des pays sous surveillance démocratique. Cela fragilise l’image internationale d’un pays longtemps présenté comme l’exception démocratique du monde arabe.
  2. Un impact financier potentiel : si les conditions ne sont pas respectées, Tunis risque de perdre une partie de l’aide américaine, notamment en matière de sécurité et de développement.
  3. Une opportunité de réformes : la création d’un fonds dédié pourrait au contraire encourager le renforcement des institutions démocratiques, à condition que les autorités tunisiennes saisissent cette chance.

Lire aussi : La Tunisie parmi les 69 pays visés par les nouvelles taxes douanières américaines

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Tunisie : Nafti reçoit une délégation du Congrès américain

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a appelé à développer davantage les échanges commerciaux avec les États-Unis et à lever les obstacles qui pourraient les entraver, afin de tirer parti des opportunités disponibles dans les deux pays et d’ouvrir de nouvelles perspectives d’investissement conjoint.

En recevant, ce jeudi 28 août 2025, une délégation du Congrès américain conduite par Mike Lawler, président de la sous-commission du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord relevant de la Commission des affaires étrangères et membre du groupe d’amitié avec la Tunisie, et comprenant également Ritchie Torres, membre de la Commission des services financiers, ainsi que plusieurs de leurs collaborateurs, dans le cadre d’une visite d’amitié et de travail en Tunisie, les deux parties ont réaffirmé la profondeur et la solidité des relations d’amitié historiques qui lient les deux pays depuis la signature du Traité de paix et d’amitié en 1797, dont ils célèbrent aujourd’hui le 228e anniversaire.

Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a indiqué que Mohamed Ali Nafti a réitéré la volonté de la Tunisie d’élever encore le niveau des relations bilatérales à travers l’intensification et l’élargissement des domaines de coopération, sur la base du respect mutuel et des valeurs communes qui fondent ces relations, conformément aux intérêts partagés des deux peuples amis.

Les deux parties ont passé en revue les secteurs prioritaires, tels que la sécurité, le développement durable, les énergies renouvelables et l’agriculture, qui demeurent des axes d’intérêt commun, en plus de la coopération académique, technologique et scientifique, considérés comme des piliers essentiels du rapprochement humain entre les deux pays, au service des intérêts mutuels et du renforcement des liens d’amitié entre les peuples tunisien et américain.

De son côté, la délégation américaine a salué la solidité des liens d’amitié unissant les deux nations, soulignant l’attention particulière que le Congrès accorde à la stabilité sécuritaire et économique de la Tunisie et au renforcement des relations tuniso-américaines, avec la volonté d’y apporter son appui parlementaire dans divers domaines.

Elle a également mis en avant l’importance de créer des passerelles entre les acteurs économiques du secteur privé, afin de soutenir les opportunités d’investissement américain en Tunisie et d’encourager la coopération dans l’ensemble des secteurs porteurs.

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Tunisie : Huit candidats en lice pour le bâtonnat de l’Ordre des avocats

L’Ordre national des avocats de Tunisie a validé huit candidatures pour le poste de bâtonnier. L’élection aura lieu les 12 et 13 septembre 2025 à la Cité de la Culture à Tunis, en marge du congrès de la profession. Initialement annoncés à neuf, les postulants ne sont finalement que huit après retrait d’un candidat.

La liste officielle des candidats

L’Ordre des avocats a publié la liste définitive des candidats qui brigueront le poste de bâtonnier pour le mandat 2025-2028 :

  • Me Najla Triki
  • Me Abderraouf Ayadi
  • Me Hassen Toukabri
  • Me Mohamed Hedfi
  • Me Nidhal Kraiem
  • Me Mohamed Mahjoub
  • Me Badreddine Mhiri
  • Me Boubaker Bethabet

Un processus encadré et rigoureux

Le dépôt des candidatures a eu lieu début août. Une première communication faisait état de neuf postulants, mais le retrait d’un candidat (Abdelwahed Chtioui) ont conduit à la liste finale de huit noms. Par ailleurs, 42 avocats se sont portés candidats pour intégrer le Conseil de l’Ordre national des avocats.

Le bâtonnier sortant, Hatem Mziou, avait rappelé que « la liste définitive des candidatures sera publiée après vérification de la conformité des dossiers », ce qui explique la correction apportée au chiffre initial.

Le rendez-vous de septembre

Le Congrès national des avocats se tiendra les 12 et 13 septembre 2025 à la Cité de la Culture (Tunis). Seuls les avocats en exercice depuis au moins un an auront le droit de vote, tandis que les avocats retraités ou honoraires pourront assister sans participer au scrutin.

Le bâtonnier et le Conseil de l’Ordre seront renouvelés lors de ce congrès. Environ 9000 avocats sont attendus aux urnes, avec une participation qui avoisine habituellement les 40%.

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Tunisie : 9 candidats pour le poste de bâtonnier de l’Ordre des avocats

Le congrès national des avocats se tiendra les 12 et 13 septembre 2025 à la Cité de la Culture. Selon le bâtonnier de l’Ordre des avocats Hatem Meziou, neuf candidatures ont été déposées pour la fonction de bâtonnier, dont une femme, tandis que 42 candidats se sont portés pour le Conseil de l’Ordre national des avocats.

Le bâtonnier a précisé, dans une déclaration à Mosaique fm, que :

La liste définitive des candidatures, tant pour la fonction de bâtonnier que pour le conseil, sera publiée dans les deux prochains jours, après vérification de la conformité des demandes avec les conditions prévues par le décret de la profession d’avocat ».

Conditions

Tous les avocats exerçant ont le droit d’assister à l’assemblée générale ordinaire et de voter, à l’exception des avocats retraités ou honoraires, qui peuvent seulement assister.

Seuls les avocats exerçant la profession depuis au moins un an peuvent voter lors de l’élection du bâtonnier et des membres du conseil.

Participation attendue

Le bâtonnier Hatem Meziou estime le nombre total de participants à près de 9 000 avocats. Pour référence, lors des congrès précédents, la participation avait été d’environ 40 % des avocats ayant droit de vote.

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