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Samir Abdelhafidh reçoit la BEI : cap sur une coopération économique renforcée

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh s’est entretenu, jeudi, avec Ulrich Brunnhuber, chef de division “Secteur public – Voisinage méridional” à la Banque européenne d’investissement (BEI), en visite de travail à Tunis.

Cette rencontre a porté sur l’état d’avancement des programmes de coopération financière et technique, ainsi que sur les perspectives et les opportunités disponibles pour renforcer davantage cette coopération dans la période à venir.

A cette occasion, Abdelhafidh a exprimé sa satisfaction quant aux relations privilégiées entre la Tunisie et la BEI, soulignant la volonté de les consolider dans le cadre du plan de développement 2026-2030.

Le ministre a également mis l’accent sur l’importance du dialogue entre les deux parties afin d’apporter plus de flexibilité aux programmes et opérations de financement.

Pour sa part, le responsable européen a évoqué la solidité de la coopération et du partenariat entre la Banque et la Tunisie, exprimant la détermination de les renforcer davantage sur les plans financier et technique au cours de la prochaine période, dans un esprit de respect et de confiance mutuels.

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Tunisie – BEI : Vers un renforcement du partenariat financier et technique

Le ministre tunisien de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a reçu ce jeudi Ulrich Brunnhuber, chef du département du secteur public pour les pays voisins au sein de la Banque européenne d’investissement (BEI). Cette rencontre a été l’occasion d’examiner l’état d’avancement de plusieurs programmes de coopération financière et technique, ainsi que les perspectives d’un renforcement de ce partenariat dans les prochaines étapes.

Dans un communiqué publié par le ministère de l’Économie, Samir Abdelhafidh a exprimé sa satisfaction quant au niveau « exemplaire » des relations entre la Tunisie et la BEI, soulignant la volonté commune de les consolider davantage dans le cadre du plan de développement 2026-2030 et de ses priorités économiques et sociales.

Le ministre a également insisté sur l’importance de maintenir un dialogue continu entre les deux parties afin d’apporter plus de flexibilité aux programmes et aux mécanismes de financement.

Pour sa part, Ulrich Brunnhuber, en visite de travail en Tunisie, a salué la qualité de la coopération existante entre la BEI et la Tunisie. Il a réaffirmé la disponibilité de l’institution européenne à renforcer ce partenariat, tant sur le plan financier que technique, dans un esprit de respect et de confiance mutuels.

Lire aussi : Tunisie – Banque mondiale : Cap sur les réformes et les investissements pour l’emploi

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Elmed | La BEI octroie 12 M€ d’assistance technique à la Tunisie

L’Union européenne (UE) et la Banque européenne d’investissement (BEI) soutiennent la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) par une contribution d’assistance technique d’un montant de 12 millions d’euros (41 millions de dinars).

L’accord de subvention a été signé à Tunis, jeudi 2 octobre 2025, en présence de Dubravka Suica, Commissaire européenne chargée de la Méditerranée, et Ulrich H. Brunnhuber, chef de la division Mena de la BEI, a indiqué l’Union européenne en Tunisie dans un communiqué, soulignant que ce financement soutient le projet Elmed, première interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie.

Le projet Elmed prévoit une connexion par câble sous-marin de 224 km qui assurera une meilleure intégration des énergies renouvelables, une plus grande sécurité énergétique pour la Tunisie et l’Europe, et une réduction des émissions de CO2. D’un coût total de 921 millions d’euros (3,149 milliards de dinars), Elmed rapproche les marchés de l’électricité des deux rives de la Méditerranée et fait de la Tunisie un acteur clé de la transition énergétique régionale.

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STEG-BEI : une convention majeure pour booster le projet ELMED

Un accord de don financé par l’Union européenne, d’une valeur de 12 millions d’euros (environ 41 millions de dinars), a été signé jeudi 2 octobre entre la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) et la Banque européenne d’investissement (BEI).

Cet appui technique s’inscrit dans le cadre de la réalisation du projet d’interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie (ELMED), dont le coût global est estimé à environ 1 milliard d’euros, selon la STEG. Ce projet vise à établir une interconnexion directe entre les réseaux électriques tunisien et italien, à renforcer le réseau national de l’électricité, à encourager l’investissement dans les énergies renouvelables et à contribuer à la sécurité énergétique.

L’accord a été signé par le PDG de la STEG, Faycel Trifa, le chef de division de la BEI pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ulrich Brunnhube. Et ce, en présence de l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Giuseppe Perrone, de la commissaire européenne pour la Méditerranée, Dubravka Suica, du directeur du bureau de la BEI, Jean-Luc Revereault, ainsi que de représentants de la délégation de l’UE à Tunis, du bureau de la BEI, du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie et de la STEG.

Avec TAP

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PME, énergie, mobilité : ce que la BEI veut financer en Tunisie

Dans une interview accordée à l’agence TAP, Jean-Luc Revéreault, représentant de la Banque européenne d’investissement (BEI) en Tunisie, a confirmé la volonté de son institution d’accompagner le pays sur plusieurs fronts stratégiques. Qu’il s’agisse de renforcer la compétitivité des PME, de moderniser les réseaux ferroviaires ou d’optimiser la gestion de l’eau et de l’énergie, la BEI se dit prête à financer des projets structurants. À une condition : être sollicitée officiellement par les autorités tunisiennes.

« Nous sommes prêts à financer, mais c’est au gouvernement tunisien de solliciter ces projets », insiste Jean-Luc Revéreault.

Énergie : sobriété d’abord, attractivité ensuite

Premier axe prioritaire pour la BEI : l’efficacité énergétique. Face à la pression sur les ressources et au coût élevé des importations, la banque plaide pour des investissements massifs dans la sobriété énergétique, au même titre que dans les renouvelables.

Un projet est en cours de négociation avec les autorités tunisiennes. Objectif : permettre au pays d’économiser ses ressources, tout en améliorant son attractivité auprès d’investisseurs énergivores, comme les data centers.

« On sous-estime trop souvent les gains liés à l’économie d’énergie, alors qu’ils sont aussi décisifs que la production elle-même », note Revéreault.

La BEI travaille également sur des projets d’infrastructure énergétique : liaison électrique Tunisie-Italie (cofinancée par l’UE à hauteur de 307 M€), modernisation des réseaux, et stockage par pompage à Tabarka.

Eau potable : limiter les pertes, prioriser les villes sensibles

Autre chantier critique : la lutte contre la déperdition d’eau potable. En collaboration avec la SONEDE, la BEI envisage un vaste programme de modernisation des réseaux de distribution, incluant l’installation de compteurs intelligents.

Ce projet vise en priorité les zones desservies par des usines de dessalement, où la moindre fuite représente une double perte – technique et financière.

Les études sont prêtes, et les projections de rentabilité sont solides. Il ne manque que l’activation politique.

Mobilité : relancer le rail, désenclaver les régions

La BEI est également engagée dans un dialogue avec la SNCFT autour d’un projet de réhabilitation des lignes ferroviaires abandonnées et d’amélioration de celles en service.

L’objectif : renforcer la mobilité interrégionale, fluidifier le transport de marchandises, et soutenir la transition vers des modes de transport moins polluants.

La banque participe déjà au financement de plusieurs infrastructures : le RFR, le TGM, les routes GP13 et RR27… mais estime que le rail reste un levier sous-exploité pour la relance économique.

PME tunisiennes : un appui conditionné à la compétitivité

Si la BEI s’engage à hauteur de 170 millions d’euros pour soutenir les PME et entreprises de taille intermédiaire, elle souligne que le principal frein à leur internationalisation n’est pas l’accès au financement, mais leur manque de compétitivité.

Une enquête réalisée dans le cadre du programme « Trade and Competitiveness Programme » (TCP) révèle que beaucoup d’entreprises tunisiennes ne sont pas préparées aux normes environnementales européennes, telles que le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières.

Pour y remédier, la BEI prévoit :

  • Une ligne de crédit de 170 M€ déployée via des banques locales ;
  • Une ligne de garantie de 8 M€ (BH Bank et UBCI) pour couvrir les risques ;
  • Un appui technique ciblé dans trois secteurs clés : agriculture, textile, automobile.

Le message est clair : à la Tunisie de déclencher le financement

La BEI ne cache pas sa volonté de faire plus. Mais sans validation politique, les projets resteront en attente. Et au-delà des financements, c’est le climat général des affaires qui freine encore la transformation.

« Le parcours du chef d’entreprise tunisien est encore trop compliqué. Alléger les contraintes administratives, fiscales et logistiques devient essentiel.

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