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Tunisie – Protection civile : 533 interventions en 24 heures

Tunisie – Protection civile : 533 interventions en 24 heures

Les unités de la protection civile ont effectué 533 interventions au cours des dernières 24 heures dans différentes régions du pays. Parmi elles, 149 interventions ont concerné des opérations de secours et d’assistance sur les routes, a indiqué mercredi le porte-parole de la protection civile sur sa page Facebook. Les autres interventions se répartissent comme […]

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Deux ouvriers meurent sur un chantier de l’autoroute Tunis–Jelma : L’UGTT dénonce un drame évitable

L’ UGTT a lancé un cri d’alarme face à la situation jugée « dramatique » de la santé et de la sécurité professionnelles en Tunisie, après le décès de deux ouvriers et la blessure de trois autres dans un chantier de construction du pont de l’autoroute Tunis–Jelma, au niveau de l’oued Meliane, au sud de Mohammedia (gouvernorat de Ben Arous).

Dans un communiqué émanant du département de la protection sociale et du secteur informel, la centrale syndicale dénonce une « hécatombe silencieuse » où les travailleurs « continuent à payer de leur santé et parfois de leur vie le prix d’un système défaillant ».

« Les ouvriers continuent à offrir leurs corps et leurs vies en sacrifice sur l’autel d’un système de santé et de sécurité professionnelle en ruine », écrit l’UGTT, accusant certains employeurs de « mépriser les droits fondamentaux des travailleurs à un environnement de travail sain et sûr », profitant de la passivité de l’État et du manque de contrôle effectif.

Le syndicat fustige également le ministère des Affaires sociales, qu’il accuse de se contenter d’un « discours de propagande » autour d’une image embellie de la situation, sans véritable mise en œuvre des réformes promises.

Selon l’UGTT, plusieurs engagements internationaux et programmes nationaux restent lettre morte, à l’instar :

  • de l’accord n°187 sur le cadre promotionnel de la santé et de la sécurité au travail, ratifié depuis juillet 2022 ;
  • du programme national SALMA, adopté en octobre 2023 ;
  • et du décret créant le Conseil national de la santé et de la sécurité professionnelles, bloqué depuis juillet 2024.

Le syndicat dénonce en outre la politisation du dossier et « la marginalisation des structures techniques et des partenaires sociaux », notamment au sein de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM), qui demeure sans direction depuis novembre 2023.

Face à cette situation, l’UGTT appelle le ministère des Affaires sociales à assumer pleinement ses responsabilités et à cesser de faire porter aux travailleurs le coût du retard de l’État dans leur protection.

Lire aussi : Tunisie : L’autoroute Tunis–Jelma opérationnelle en 2027

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Tragédie à Lisbonne : Un funiculaire déraille et fait au moins 15 morts

Un drame s’est abattu sur Lisbonne mercredi 3 septembre en fin de journée. Vers 18h, l’“Elevador da Glória”, funiculaire emblématique de la capitale portugaise, a déraillé en pleine heure de pointe avant de s’écraser contre un immeuble. Le bilan est lourd : au moins quinze morts et dix-huit blessés, dont cinq se trouvent dans un état critique. Parmi les victimes figurent des touristes étrangers ainsi qu’un enfant.

Inauguré en 1885, ce funiculaire classé monument national est l’une des attractions les plus populaires de Lisbonne, reliant le quartier Baixa à Bairro Alto et transportant chaque année près de trois millions de passagers.

Les premières investigations évoquent la rupture d’un câble de traction, ce qui aurait entraîné la perte de contrôle du cabin. L’opérateur Carris affirme avoir respecté le programme d’entretien régulier, mais des syndicats avaient déjà alerté sur des failles dans la maintenance assurée par l’entreprise externe MAIN – Maintenance Engineering.

Le maire de Lisbonne, Carlos Moedas, a parlé d’un “jour tragique pour notre ville”. Le président Marcelo Rebelo de Sousa a exprimé sa profonde émotion et présenté ses condoléances aux familles des victimes. Le gouvernement portugais a décrété un jour de deuil national, tandis que la municipalité de Lisbonne a prolongé le deuil sur trois jours. Toutes les lignes de funiculaire de la capitale ont été suspendues pour inspection.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l’accident. Ce drame survient dans un contexte de forte affluence touristique, et risque de ternir l’image de Lisbonne, alors même que la ville se présente comme une destination phare en Europe.

L’“Elevador da Glória” avait déjà connu un incident en 2018, sans victimes. Cette fois, la tragédie marque un tournant : la sécurité des infrastructures historiques portugaises est désormais au cœur du débat public.

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Algérie : suspension de quatre chaînes après l’accident de l’Oued El Harrach

Vendredi 15 août, un bus de transport de voyageurs est tombé d’un pont dans l’Oued El Harrach, à Alger, faisant 18 morts et 24 blessés. La tragédie a profondément marqué la population et a été largement couverte par les médias. L’Autorité nationale indépendante de régulation de l’audiovisuel (ANIRA) a sanctionné quatre chaînes de télévision privées pour leur traitement de l’événement. Elle leur reproche d’avoir diffusé des images et interviews jugées sensationnalistes et irrespectueuses envers les victimes et leurs familles.

Une couverture médiatique jugée sensationnaliste

Immédiatement après l’accident, les chaînes El Bilad TV, El Wataniya TV, El Hayat TV et Echorouk TV ont diffusé des images de blessés à l’hôpital et de familles en deuil. Certains contenus ont été partagés sans avertissement préalable.

Selon l’ANIRA, ces pratiques visaient à maximiser l’audience et l’interaction sur les réseaux sociaux, au détriment de la dignité et de la vie privée des citoyens.

Suspension de quatre chaînes

Samedi 16 août à 22h30, l’ANIRA a suspendu les quatre chaînes pour 48 heures. La décision concerne la diffusion satellitaire et numérique en direct. Les chaînes doivent également retirer tous les contenus jugés non conformes de leurs plateformes en ligne.

La mesure s’appuie sur la loi 23-20 relative à l’activité audiovisuelle et le décret exécutif 24-250, qui fixent les obligations des services de communication audiovisuelle. L’ANIRA a demandé à l’Établissement public de télédiffusion (TDA) de faire appliquer la suspension immédiatement.

Débat sur la déontologie des médias

Cette décision relance le débat en Algérie sur la couverture des accidents. Certains estiment que la diffusion d’images crues sensibilise le public aux dangers routiers. D’autres dénoncent une intrusion dans la douleur des victimes et des familles, jugée irrespectueuse.

L’ANIRA rappelle aux médias l’importance de respecter la déontologie et la dignité humaine, surtout lors de tragédies collectives.

Lire aussi : Algérie en deuil après la tragédie d’un bus dans Oued El Harrach

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Tunisie : Kaïs Saïed présente ses condoléances à Abdelmadjid Tebboune après l’accident d’El Harrach

Le président de la République Kaïs Saïed s’est entretenu, samedi 16 août, avec son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune. Cet échange fait suite au drame survenu la veille dans la commune de El Harrach, à l’est d’Alger.

Vendredi 15 août, un bus transportant de nombreux passagers a quitté sa trajectoire sur un pont avant de plonger dans l’oued. La Protection civile a confirmé un bilan lourd : 18 morts et 24 blessés, dont plusieurs dans un état grave. L’intervention des secours a débuté vers 17 h 45, peu après la chute du véhicule, mobilisant d’importants moyens pour évacuer les victimes et sécuriser la zone.

Au cours de l’échange téléphonique, Kaïs Saïed a présenté, en son nom et au nom du peuple tunisien, ses plus sincères condoléances aux familles endeuillées. Il a exprimé sa profonde solidarité envers l’ensemble du peuple algérien et souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Il a également prié pour que les proches des disparus trouvent la force et la patience nécessaires pour traverser cette épreuve.

Le président tunisien a réaffirmé la proximité et la fraternité qui lient la Tunisie à l’Algérie. Il a insisté sur l’importance des valeurs communes de solidarité et de soutien mutuel entre les deux pays voisins.

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Algérie en deuil après la tragédie d’un bus dans Oued El Harrach

L’Algérie est en deuil. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décrété que le drapeau national serait mis en berne après un dramatique accident survenu vendredi 15 août à Oued El Harrach, dans la banlieue d’Alger.

Un bus transportant de nombreux passagers a quitté sa trajectoire sur un pont avant de plonger dans l’oued. La Protection civile a confirmé un bilan très lourd : 18 morts et 24 blessés, dont plusieurs dans un état grave. L’intervention des secours a commencé vers 17 h 45, peu après la chute du véhicule.

Oued El Harrach, connu pour ses eaux polluées et ses mauvaises odeurs, fait actuellement l’objet d’un projet de dépollution encore en cours.

Selon des témoignages rapportés par TSA Algérie, le bus, reliant Réghaïa au centre d’Alger, aurait heurté la barrière de sécurité du pont avant de tomber dans l’oued. Le chauffeur, employé de l’entreprise ExtraNet et travaillant ponctuellement comme chauffeur de bus, a expliqué que la direction du véhicule s’est bloquée alors que le bus était surchargé de passagers. « J’ai essayé de sauver des passagers, mais je ne pouvais pas à cause de ma blessure », a-t-il précisé devant les autorités présentes sur les lieux.

Des témoins ont également raconté leurs tentatives héroïques de sauvetage. Nazim, présent avec des amis, explique : « J’étais au téléphone avec mon ami lorsque le chauffeur a crié. Le bus a percuté la barrière et est tombé dans l’oued. Nous nous sommes jetés à l’eau pour aider les survivants. » Il se souvient particulièrement de deux jeunes filles qui refusaient de quitter l’eau, leur mère ayant péri dans l’accident.

Le ministre des Transports, Saïd Sayoud, a dénoncé la vitesse excessive des bus en Algérie, rappelant que 90 % des accidents routiers sont liés à l’excès de vitesse. Il a également souligné l’urgence de renouveler le parc de bus, estimant que 84 000 véhicules doivent être remplacés pour garantir la sécurité des voyageurs.

Cet accident dramatique relance les débats sur la sécurité routière et l’état du transport public en Algérie, tandis que la nation pleure ses victimes.

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Bizerte : Un camion lourd dérape, trois morts et plusieurs blessés

Un camion lourd a dérapé dans une pente sur la route nationale n°8 reliant Tunis à Bizerte, au niveau de la région d’Al-Houidh dans la délégation d’Utique gouvernorat de Bizerte.

Ce drame a causé la mort de trois personnes, tandis que plusieurs blessés ont été transportés à l’hôpital.

Le camion transportait des produits agricoles lorsqu’il a renversé une voiture stationnée devant un kiosque vendant des sandwichs. Cet accident a entraîné la mort de deux clients du kiosque ainsi que de son propriétaire. Plusieurs autres personnes ont été blessées et évacuées vers l’hôpital.

Les équipes de la Garde nationale et de la Protection civile sont intervenues pour porter secours aux blessés, effectuer les constatations et prendre les mesures nécessaires. Le chauffeur du camion a été retenu et les corps des victimes transférés à l’hôpital, selon la même source.

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Tunisie : Autoroute de La Marsa, un danger public en pleine capitale !

Un terrible accident est survenu hier, mardi 30 juillet 2025, sur l’autoroute de La Marsa (route nationale 9), au niveau de Sidi Daoud. Un véhicule a percuté violemment l’un des piliers du pont piétonnier, causant la mort d’au moins une personne sur le coup, selon les premiers éléments disponibles.

Les images étaient tellement choquantes que les témoins sur place fondaient en larmes. Les secours sont intervenus rapidement, mais n’ont pu que constater les dégâts humains et matériels. Une enquête est en cours.

Cet énième drame relance les débats sur la dangerosité extrême de cet axe routier pourtant situé en plein cœur de la banlieue huppée de Tunis. Car depuis plusieurs années, l’autoroute de La Marsa s’est imposée comme un théâtre quotidien d’accidents, de dépassements de vitesse et de comportements à hauts risques.

Une autoroute à haut risque

L’autoroute de La Marsa, officiellement la RN9, relie la capitale tunisienne à la banlieue nord en traversant des zones très densément peuplées : Sidi Daoud, El Aouina… jusqu’à La Marsa. Si elle a fait l’objet d’importants travaux de modernisation ces dernières années, avec l’élargissement à plusieurs voies et la construction de ponts piétonniers, cela n’a pas suffi à endiguer l’insécurité chronique qui y règne.

Chaque jour, cette autoroute voit défiler des milliers de véhicules, mais aussi de nombreux piétons imprudents qui traversent en dehors des passages sécurisés, malgré la présence de ponts piétons à Carrefour et Sidi Daoud. Beaucoup de passants, notamment des ouvriers et étudiants, continuent à défier le danger, faute de transports en commun fiables ou de trottoirs aménagés.

Vitesse, taxis collectifs et rodéos nocturnes

Mais les piétons ne sont pas les seuls en cause. La vitesse excessive sur la RN9 est devenue un fléau, en particulier sur les tronçons dépourvus de radars fixes surtout fonctionnels. La nuit, l’autoroute devient une véritable piste de course pour motos et voitures sportives, dans une ambiance digne de Fast & Furious. Aucun contrôle sérieux n’est exercé.

Les taxis collectifs, omniprésents sur cet axe, aggravent la situation par leurs arrêts intempestifs, leurs changements de voie brutaux, et leur indifférence au code de la route. Quant aux véhicules particuliers, les comportements agressifs sont monnaie courante.

Une autoroute de la mort qui inquiète

Depuis son aménagement en voie express dans les années 2010, l’autoroute de La Marsa était censée fluidifier le trafic entre la capitale et sa banlieue huppée. Mais avec la croissance urbaine non maîtrisée, le nombre exponentiel de véhicules, et l’absence de plan sérieux de sécurité routière, cette infrastructure s’est transformée en cauchemar quotidien pour les usagers.

Selon des chiffres non officiels, plusieurs dizaines d’accidents graves y ont lieu chaque année, faisant des morts et des blessés graves, sans compter les embouteillages monstres qui paralysent parfois tout l’est de Tunis.

Des solutions qui tardent à venir

Face à cette situation, plusieurs pistes peuvent être envisagées :

  • Renforcement des radars fixes et mobiles, en particulier aux points noirs (Carrefour, Sidi Daoud, El Aouina).
  • Installation de caméras de surveillance intelligentes pour verbaliser les infractions (dépassements, vitesse, franchissements interdits).
  • Encadrement strict des taxis collectifs, avec des points d’arrêt délimités et des amendes dissuasives.
  • Campagnes de sensibilisation ciblées pour les piétons, notamment dans les zones industrielles et scolaires.
  • Aménagement de voies pour deux-roues, afin d’éviter les conflits entre motos et voitures.
  • Surveillance accrue de nuit, pour prévenir les rodéos illégaux.

Une urgence nationale

L’accident de mardi n’est malheureusement qu’un écho de la tragédie quotidienne vécue sur la RN9. Il est temps que les autorités agissent fermement pour transformer cette autoroute, aujourd’hui perçue comme une trappe mortelle, en un axe sécurisé à la hauteur de son importance stratégique.

Sans volonté politique forte, la RN9 continuera de porter le triste surnom d’autoroute de la mort… en plein cœur de la capitale.

Lire aussi : Tunisie : Cinq morts dans un grave accident à Kasserine

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Tunisie : Cinq morts dans un grave accident à Kasserine

Un grave accident de la route a coûté la vie à cinq personnes ce mercredi 30 juillet 2025, sur la route reliant les gouvernorats de Sidi Bouzid et de Kasserine, selon des sources concordantes citées par Mosaïque FM.

Le drame s’est produit à la suite d’une collision violente entre une voiture de transport rural de type « louage » et un camion poids lourd. En plus des cinq décès, cinq autres passagers ont été blessés à des degrés divers et ont été rapidement transportés vers l’hôpital local de Sbeïtla pour recevoir les soins nécessaires.

Les unités de la protection civile relevant de la direction régionale de Kasserine sont intervenues pour secourir les blessés et remettre les dépouilles aux autorités compétentes, en l’occurrence la Garde nationale de Sidi Bouzid, la zone de l’accident relevant administrativement de ce gouvernorat.

Cet accident remet en lumière la dangerosité de certains axes routiers dans les zones de l’intérieur du pays, souvent mal entretenus et à fort trafic de véhicules utilitaires. La route entre Sidi Bouzid et Kasserine est régulièrement le théâtre de drames similaires, posant à nouveau la question de la sécurité du transport public rural, notamment les véhicules de type « louage », souvent surchargés et mal encadrés.

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Festival de Monastir : Deux musiciens blessés par la chute de projecteurs

Samedi soir, au Ribat de Monastir, le spectacle « Le Ribat chante 2 » s’est achevé sur un incident. Des projecteurs sont tombés sur scène à cause de fortes rafales de vent, blessant deux musiciens. Le comité du festival assure que leur état n’est pas préoccupant.

Vive émotion

A la fin du spectacle « Le Ribat chante 2 », présenté le samedi 26 juillet 2025 dans le cadre de la 52e édition du Festival international de Monastir, des projecteurs d’éclairage se sont effondrés sur la scène en plein Ribat. Deux musiciens ont été blessés par la chute du matériel.

L’incident, survenu alors que le spectacle touchait à sa fin, a provoqué une vive émotion parmi les artistes et le public. Selon les premières constatations, c’est la violence soudaine du vent qui a entraîné la chute des équipements.

Dans un communiqué publié dimanche 27 juillet, le comité d’organisation du festival a tenu à rassurer les spectateurs et les familles des artistes : les deux musiciens blessés ont été immédiatement transférés à l’hôpital universitaire Fattouma Bourguiba de Monastir. Placés sous surveillance médicale, ils ont pu regagner leur domicile quelques heures plus tard, sans séquelles.

Conditions climatiques imprévisibles

La direction du festival insiste sur le fait que l’accident n’est pas dû à un défaut d’installation ou à une négligence technique, mais bien à des conditions climatiques imprévisibles.

Le Festival international de Monastir, qui fête cette année sa 52e édition, se tient dans un cadre prestigieux : l’historique Ribat de Monastir. Organisé en plein air, il reste exposé aux aléas météorologiques, comme l’ont déjà montré certaines éditions précédentes où des spectacles avaient été reportés pour cause de vent ou de pluie.

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Diogo Jota, star de Liverpool et du Portugal, meurt dans un accident de voiture

L’attaquant international portugais Diogo Jota est décédé dans un accident de la route en Espagne dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025. Agé de 28 ans, le joueur de Liverpool venait tout juste de se marier. Son frère André, également footballeur, a perdu la vie à ses côtés.

Le monde du football est frappé par une terrible nouvelle. Diogo Jota, attaquant de Liverpool et cadre de la sélection portugaise, est décédé dans un accident de voiture survenu dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025 près de Zamora, en Espagne. Son frère cadet, André Jota, joueur du club portugais de Penafiel, a également péri dans l’accident.

Selon les premiers éléments rapportés par les autorités locales et les médias espagnols, le véhicule aurait quitté la route à grande vitesse après l’éclatement d’un pneu avant de s’embraser. Les secours arrivés sur place n’ont pu que constater les décès.

Diogo Jota, âgé de 28 ans, venait tout juste de célébrer son mariage le 22 juin avec Rute Cardoso, avec qui il avait trois enfants. Sa disparition brutale laisse sa famille, ses coéquipiers et ses supporters dans une immense douleur.

Jota avait rejoint Liverpool en 2020. Avec les Reds, il avait marqué 65 buts en 182 matchs. En sélection, il comptait 49 apparitions sous le maillot du Portugal et avait participé à l’Euro 2024.

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