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Gaza : un accord de trêve sous forte influence américaine

GAZA TrumpUn cessez-le-feu est entré en vigueur dans la bande de Gaza, selon la radio de l’armée israélienne, citée dans une vidéo publiée par Alaraby TV News. Cette annonce, à caractère officiel, marque une évolution notable dans un contexte de tensions prolongées entre Israël et le mouvement Hamas.

Une trêve confirmée par les médias militaires

L’information émane directement des médias militaires israéliens, lui conférant un poids institutionnel. Aucun détail n’a toutefois été fourni sur la durée du cessez-le-feu, ni sur les conditions de sa mise en œuvre. La vidéo ne mentionne pas les circonstances exactes de cette décision, mais elle intervient après plusieurs semaines d’escalade et de pressions diplomatiques régionales.

Pressions internationales et rôle américain

Une autre analyse diffusée par Al Jazeera Arabic, intitulée « ما الذي يمنع نتنياهو من العودة إلى الحرب في قطاع غزة؟ », s’intéresse aux facteurs limitant la reprise des hostilités. Les intervenants y soulignent l’influence déterminante des États-Unis sur les décisions israéliennes depuis le 7 octobre.

Washington exercerait une tutelle politique et militaire accrue, via un conseil de guerre placé sous supervision américaine et la présence renforcée du Pentagone à Tel-Aviv.

Contraintes internes pour le gouvernement israélien

Le Premier ministre Benyamin Netanyahou ferait face à des contraintes politiques internes et à une perte d’autonomie décisionnelle. Certaines de ses prérogatives auraient été réduites au profit d’un fonctionnement collectif du cabinet de guerre. Des pressions internes s’ajoutent à celles de partenaires régionaux, notamment le Qatar, l’Égypte et la Turquie, engagés dans la médiation.

Un cessez-le-feu fragile et ambigu

Selon les observations relayées, l’accord en vigueur demeure flou sur ses modalités. Aucun calendrier précis n’a été communiqué pour la réunion du gouvernement israélien chargée de l’entériner. Ce manque de clarté entretient le risque d’une non-application, plutôt qu’une reprise immédiate des combats.

Les échanges prévus incluent la restitution de prisonniers et de dépouilles par le Hamas, en contrepartie de libérations de détenus israéliens. Des difficultés pourraient survenir si certaines identités ou corps restent introuvables.

Une désescalade sous surveillance

L’entrée en vigueur de ce cessez-le-feu constitue un signal de désescalade, mais sa durabilité dépendra des développements politiques et sécuritaires des prochaines heures. Les violations ponctuelles restent possibles, dans un contexte où chaque partie surveille la réaction de l’autre.

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Diplomatie tunisienne : Nafti mise sur un partenariat accru en Afrique de l’Est

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a appelé la mission diplomatique tunisienne au Kenya à redoubler d’efforts pour renforcer les relations de coopération bilatérale entre Tunis et Nairobi, ainsi qu’avec les autres pays dans lesquels la mission est accréditée à savoir le Rwanda, la Tanzanie, l’Ouganda, le Burundi et le Malawi.

Le ministre a rencontré les membres de la mission, en marge de sa participation aux travaux de la 20e réunion des ministres des Affaires étrangères du COMESA et du 24e sommet des chefs d’État et de gouvernement du COMESA, organisés à Nairobi les 8 et 9 octobre courant.

A cette occasion, il a souligné la nécessité d’explorer de nouveaux domaines et horizons de coopération et de partenariat avec les pays d’accréditation, tant sur le plan bilatéral que dans le cadre des regroupements régionaux tels que le COMESA.

Le ministre a, en outre, appelé à renforcer la présence et l’activité de la Tunisie au sein des organisations des Nations unies basées à Nairobi, insistant sur l’importance d’améliorer la qualité des services consulaires au profit des membres de la communauté tunisienne résidant dans les pays concernés.

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Guerre à Gaza : une nouvelle flottille d’aide interceptée, la tension diplomatique monte en Égypte

Flottille GazaLes espoirs d’un couloir humanitaire vers Gaza se heurtent une fois de plus à la force. Ce mercredi matin, plusieurs bateaux de la nouvelle flottille internationale “Global Sumud” ont été interceptés par la marine israélienne au large du territoire palestinien, selon des sources concordantes de la coalition et du ministère israélien des Affaires étrangères.
Les embarcations transportaient environ 110 000 dollars d’aide médicale et nutritionnelle destinée aux hôpitaux de Gaza, où les stocks s’amenuisent dangereusement.

Des humanitaires arrêtés en mer

Les bateaux, parmi lesquels figuraient ceux des organisations “Freedom Flotilla Coalition” et “Thousand Madleens to Gaza”, ont été arraisonnés alors qu’ils se trouvaient dans les eaux internationales, selon les organisateurs.

Parmi les passagers se trouvaient des médecins, des humanitaires et des journalistes venus du monde entier.

Leur détention par l’armée israélienne, dans des conditions encore inconnues, a suscité de vives condamnations de la part d’associations et de collectifs de défense des droits humains, qui dénoncent une “violation du droit international maritime”.

Pressions diplomatiques au Caire

Pendant ce temps, les négociations diplomatiques se poursuivent au Caire, où des représentants qataris, turcs et américains tentent de relancer un cessez-le-feu et d’obtenir la libération des otages israéliens.

Parmi eux figurent Steve Witkoff, émissaire du président Donald Trump, et Jared Kushner, gendre du président américain, attendus pour renforcer les discussions.

La coalition humanitaire appelle les ambassades et gouvernements à intervenir pour exiger la libération des participants arrêtés et dénoncer le blocus imposé à Gaza, qui continue de provoquer une crise humanitaire majeure.

Lire aussi : Global Sumud Flotilla 

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Diplomatie régionale : Après le ministre saoudien, l’Iran en visite à Tunis

La Tunisie s’apprête à accueillir demain le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, dont la visite a été annoncée par le porte-parole du ministère iranien, Esmaeil Baqaei. Cette tournée, qui inclut également l’Égypte, s’inscrit dans le cadre du dialogue continu de l’Iran avec les pays de la région et les nations islamiques, visant à renforcer les liens bilatéraux et à échanger sur les évolutions régionales et internationales.

La venue d’Araghchi intervient un jour seulement après la visite du ministre saoudien des Affaires étrangères à Tunis, soulignant le rôle stratégique de la Tunisie comme plateforme de consultations diplomatiques régionales.

Une succession de visites diplomatiques stratégiques

La proximité temporelle des deux visites traduit la volonté de la Tunisie de maintenir une position neutre et constructive au sein des discussions régionales. Alors que le ministre saoudien a abordé les questions de sécurité et de coopération économique régionale, la visite d’Araghchi permettra de compléter cette dynamique en incluant des dossiers sensibles tels que la coopération nucléaire iranienne et la sécurité régionale.

Enjeux et objectifs de la visite iranienne

Selon le porte-parole du ministère iranien Esmaeil Baqaei, la tournée d’Araghchi s’inscrit dans le cadre d’un dialogue continu avec les pays de la région et les nations islamiques, visant à renforcer les relations bilatérales et à échanger sur les évolutions régionales et internationales.

Lors de son escale au Caire, le ministre doit rencontrer le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi et le Directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, pour finaliser un nouveau cadre de coopération technique et nucléaire.

Ce cadre, en phase finale après trois rounds de discussions, prend en compte les engagements iraniens tout en considérant les attaques illégales de l’État israélien et des États-Unis contre ses installations nucléaires, ainsi que les décisions du Conseil suprême de sécurité nationale iranien.

Implications pour la Tunisie

Pour Tunis, accueillir successivement les ministres saoudien et iranien illustre son rôle de médiateur et de facilitateur de dialogue dans une région complexe. Cette séquence de visites renforce la visibilité diplomatique de la Tunisie et souligne sa capacité à servir de plateforme pour des échanges stratégiques entre acteurs majeurs du Moyen-Orient et du monde arabe.

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Tunis condamne fermement les propos de Netanyahu sur le “Grand Israël”

La Tunisie a vivement dénoncé les déclarations du Premier ministre de l’occupation israélienne au sujet de ce qu’il a appelé la “vision du Grand Israël”. Dans un communiqué officiel, Tunis a fustigé des propos qualifiés de provocation à l’égard des pays arabes et d’atteinte à leur souveraineté, y voyant une violation flagrante du droit international et des principes de la légalité internationale, dans un contexte d’impuissance mondiale à mettre fin à ce qu’elle qualifie “d’arrogance” israélienne.

Selon la diplomatie tunisienne, ces déclarations ne font que refléter “la mentalité coloniale, expansionniste et raciste” d’un État “hors-la-loi”, accusé de crimes de génocide, de crimes de guerre et de purification ethnique contre le peuple palestinien.

Tunis y voit également une nouvelle tentative de liquider la cause palestinienne et de déstabiliser la région.

Réaffirmant sa solidarité totale avec les pays arabes visés, la Tunisie appelle la communauté internationale, et en particulier le Conseil de sécurité de l’ONU, à assumer ses responsabilités et à agir de manière urgente pour contrer ces “politiques agressives” qu’elle considère comme une menace directe pour la sécurité nationale arabe, la paix et la sécurité internationales.

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Visas et gratuité de biens, l’Algérie riposte à la France

La tension entre Alger et Paris franchit un nouveau palier. En réaction à la suspension par la France de l’accord de 2013 permettant aux détenteurs de passeports diplomatiques ou officiels algériens d’entrer sans visa, l’Algérie a annoncé la fin immédiate de cette exemption pour les diplomates français.

Cette mesure s’accompagne d’une suppression des privilèges logistiques accordés jusque-là aux représentants français dans les ports et aéroports algériens. Alger dénonce également les restrictions imposées par Paris à ses diplomates dans les zones sécurisées des aéroports français, qu’elle considère comme contraires à la Convention de Vienne.

La riposte ne s’arrête pas là : l’Algérie a retiré la mise à disposition gratuite de biens immobiliers à la mission diplomatique française et a averti qu’elle continuerait à appliquer le principe de réciprocité « à chaque mesure hostile ».

Cette crise, l’une des plus sérieuses depuis des décennies, est nourrie par une accumulation de différends : tensions sur la question migratoire, refus d’Alger de reprendre certains ressortissants expulsés, divergences politiques sur le Sahara occidental et expulsions de diplomates.

Face à ce climat de défiance, les deux capitales semblent engagées dans une spirale de représailles où chaque geste de l’un entraîne une réponse immédiate de l’autre. Une dynamique qui éloigne encore un peu plus la perspective d’un apaisement rapide.

Lire aussi : France–Algérie : La rupture est en marche !

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France–Algérie : La rupture est en marche !

Dans un geste fort, le président français Emmanuel Macron a exigé « une grande fermeté » vis-à-vis de l’Algérie. Cette déclaration intervient alors que les relations entre Paris et Alger connaissent un nouvel accès de tension, marqué par des différends diplomatiques persistants et un climat de défiance mutuelle.

Dans une note adressée à son Premier ministre, le chef de l’État francais appelle à « une posture claire, sans ambigüité » et déclare que « la France doit se faire respecter, y compris par ses partenaires historiques ». Une formule qui vise directement les autorités algériennes, accusées de multiplier les provocations, tout en refusant de coopérer pleinement sur certains dossiers sensibles, notamment les expulsions de ressortissants en situation irrégulière.

Parmi les mesures concrètes envisagées, Emmanuel Macron demande la suspension immédiate de l’accord de 2013, qui permettait aux titulaires de passeports diplomatiques algériens de bénéficier d’exemptions de visa. Cette suspension devrait s’accompagner de l’activation d’un mécanisme de réduction des visas délivrés, une carte déjà utilisée par le passé pour faire pression sur Alger.

Le président va encore plus loin en réclamant une concertation avec les autres pays de l’espace Schengen, afin d’éviter que les sanctions françaises ne soient contournées par des demandes déposées ailleurs en Europe. Une coordination diplomatique qui traduit la volonté de Paris de durcir le ton au niveau continental.

Un climat de défiance installé

Les relations franco-algériennes traversent une zone de turbulence depuis plusieurs mois. À l’origine : des désaccords sur les reconduites à la frontière, la question mémorielle toujours sensible, mais aussi des incidents diplomatiques à répétition. Le cas de l’écrivain Boualem Sansal ou celui de journalistes entravés en Algérie ont tendu encore davantage les échanges entre les deux capitales.

Cette fermeté affichée par Macron marque une inflexion stratégique. Longtemps prudent dans ses rapports avec Alger, le président français semble désormais opter pour une ligne plus dure. Derrière ce virage : un double objectif. D’un côté, réaffirmer l’autorité de la France sur la scène internationale. De l’autre, envoyer un signal clair à l’électorat intérieur, dans un contexte de crispation autour des questions migratoires.

Lire aussi : Tunisie–Algérie : Diplomatie active et solidarité africaine au menu

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La Tunisie ouvre un consulat général à Benghazi, en Libye

Un décret gouvernemental n°385 de l’année 2025, daté du 4 août 2025, a été publié au Journal officiel de la République tunisienne, portant sur la création d’un consulat général de la République tunisienne dans la ville de Benghazi, en Libye.

Cette décision, désormais officielle, prend effet dès sa publication au Journal officiel. Elle marque un tournant diplomatique important dans les relations tuniso-libyennes, en particulier avec l’Est libyen, dont Benghazi est la principale métropole.

L’ouverture de cette représentation consulaire vise à renforcer la présence diplomatique tunisienne en Libye, faciliter les démarches administratives des ressortissants tunisiens vivant ou travaillant dans cette région, et accompagner les entreprises tunisiennes qui cherchent à investir ou à opérer dans l’Est libyen.

Cette décision intervient également dans un contexte de stabilisation progressive en Libye, où les relations bilatérales avec la Tunisie se renforcent, tant sur le plan politique qu’économique.

Lire aussi : Mohamed Ali Nafti au Caire pour une réunion clé sur la crise libyenne

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Diplomatie : Entre les lignes, Saïed dit à Trump que la Tunisie change de cap

Lors d’une rencontre tenue ce mardi 22 juillet 2025 au palais de Carthage avec Mossad Boulos, haut conseiller du président américain Donald Trump pour les affaires arabes, du Moyen-Orient et de l’Afrique, le président tunisien Kaïs Saïed a adressé un message clair à Washington, et plus largement à l’Occident : la Tunisie entend désormais élargir ses partenariats stratégiques dans une logique d’indépendance nationale et de souveraineté assumée.

Si la réunion a porté sur plusieurs dossiers sensibles, notamment la situation dramatique en Palestine, les menaces terroristes et les tensions régionales dans le monde arabe, c’est surtout la déclaration finale du président tunisien qui a retenu l’attention. Kaïs Saïed a affirmé que « la Tunisie a fait le choix d’élargir ses partenariats stratégiques, dans l’intérêt de son peuple et en réponse à ses attentes ». Une position qui, dans le contexte international actuel, traduit une inflexion géopolitique de plus en plus visible, et qui porte notamment sur un positionnement tournée vers la Chine.

Un virage diplomatique assumé

Depuis plusieurs mois, la diplomatie tunisienne multiplie les signaux d’un rapprochement progressif avec des puissances non occidentales comme la Chine, la Russie ou encore l’Iran. Ces relations s’intensifient à travers des projets économiques, des échanges politiques et des initiatives multilatérales. Si la Tunisie a longtemps été perçue comme un partenaire traditionnel de l’Europe et des États-Unis, l’administration Saïed semble désormais chercher à redéfinir les équilibres.

Ce basculement ne signifie pas une rupture formelle avec les partenaires occidentaux, mais une volonté affirmée de sortir d’une dépendance perçue comme asymétrique. Le choix de renforcer les liens avec Pékin, Moscou ou Téhéran traduit aussi une lecture plus pragmatique des rapports de force mondiaux, dans un contexte de recomposition accélérée de l’ordre international.

En optant pour une diversification de ses alliances, la Tunisie semble s’inscrire dans une logique de « neutralité active », inspirée par des principes de souveraineté et de non-ingérence.

Conclusion : vers un nouvel équilibre tunisien

Ce positionnement, bien que risqué dans un environnement international polarisé, vise aussi à redonner de la marge de manœuvre à une diplomatie tunisienne longtemps perçue comme en retrait. Il pourrait permettre au pays de tirer parti d’opportunités économiques alternatives, notamment dans les domaines des infrastructures, de l’énergie ou de la sécurité.

Le message de Carthage est limpide : la Tunisie cherche à sortir du tête-à-tête exclusif avec l’Occident et à affirmer sa voix sur la scène internationale. Ce tournant géostratégique, s’il se confirme, nécessitera toutefois une gestion fine des équilibres, pour éviter l’isolement ou des frictions avec ses partenaires historiques. Mais pour Kaïs Saïed, c’est désormais un choix assumé, dicté par les intérêts du peuple tunisien.

Lire aussi : Diplomatie : La Tunisie face à la tentation iranienne ?

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