La startup française Qovery, fondée en 2020 par Romaric Philogène, spécialisée dans l’automatisation DevOps, a levé 13 millions de dollars lors de sa Série A. Ce financement vise à accélérer son expansion aux États-Unis et à renforcer sa plateforme alimentée par l’IA.

L’objectif de Qovery est de combiner la simplicité d’un Platform as a Service avec la flexibilité d’un contrôle total sur les environnements cloud. Grâce à cette approche innovante, Qovery se positionne comme un acteur clé pour réinventer l’automatisation DevOps en Europe, aux États-Unis, et au-delà.

Qovery simplifie la gestion des infrastructures et des déploiements d’applications. Sa plateforme automatise tout le cycle de déploiement, que ce soit sur le cloud public ou local, et permet une installation en seulement 5 minutes, réduisant ainsi les délais de plusieurs mois à un jour. Avec une croissance de 115% par an, Qovery s’impose déjà aux États-Unis, qui représentent désormais 50% de son activité. Des clients comme Talkspace et RxVantage font confiance à sa solution. Le financement sera utilisé pour accélérer son expansion américaine, renforcer ses équipes et perfectionner sa plateforme d’automatisation IA.

Avec un financement solide et une offre répondant à des besoins croissants en matière d’automatisation des déploiements cloud et DevOps, Qovery se place comme une solution incontournable pour les entreprises cherchant à simplifier leurs opérations tout en maîtrisant les coûts et la complexité.

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Lors de l’événement organisé par Ooredoo Tunisie le 29 septembre 2025, le PDG du groupe, Mansoor Al-Khater, a partagé sa vision ambitieuse pour l’avenir numérique du pays. Il a décrit 2025 comme une année déterminante, marquée par l’intégration de la 5G et l’essor de l’intelligence artificielle (IA). Pour lui, la Tunisie représente un terreau fertile pour la transformation numérique, grâce à ses talents et sa position stratégique en Afrique et en Méditerranée.

Sous la direction de Mansoor Al-Khater, Ooredoo a noué un partenariat clé avec Nvidia, apportant des technologies avancées aux secteurs tunisiens de la santé, de l’éducation et de la banque. Il a souligné l’importance de l’innovation pour soutenir l’économie numérique locale, tout en ouvrant de nouvelles voies pour la formation des jeunes talents grâce à des initiatives comme le premier hackathon IA en Tunisie.

Dans son discours, Mansoor Al-Khater a également évoqué l’importance de préparer la Tunisie à la prochaine étape de la révolution technologique, avec la 5G déjà déployée et la 6G en préparation. Son leadership visionnaire et son engagement à soutenir les initiatives nationales font de lui un acteur clé de la transformation numérique en Tunisie et dans la région.

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Le 29 septembre 2025, Ooredoo Tunisie a marqué un tournant dans la transformation numérique du pays en organisant un événement clé à Tunis. Le PDG du groupe, Mansoor Al-Khater, a souligné l’importance de 2025 comme année pivot, avec le déploiement de la 5G et les opportunités offertes par l’intelligence artificielle (IA). Grâce à son partenariat stratégique avec Nvidia, Ooredoo introduit des technologies de pointe pour moderniser des secteurs essentiels tels que la santé, l’éducation et la banque.

La Tunisie est désormais le troisième pays, après l’Indonésie et le Qatar, à bénéficier de ces solutions avancées. Le gouvernement tunisien a, lui aussi, lancé une stratégie nationale pour intégrer l’IA dans les secteurs clés, tout en soulignant les défis culturels et sociaux liés à cette évolution.

Ooredoo ne se contente pas de déployer des infrastructures de 5G; l’entreprise s’engage également dans la formation des talents locaux et prévoit de lancer un centre d’appels intelligent basé sur l’IA en 2026. L’objectif est d’intégrer la Tunisie dans l’économie numérique mondiale et de faire de ce pays un hub technologique majeur en Afrique et en Méditerranée.

Ooredoo, partenaire stratégique de Nvidia, transforme l’avenir technologique de la Tunisie tout en soutenant l’ambition de l’État tunisien pour un développement numérique durable.

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La Chine a récemment pris la décision de renoncer au traitement spécial et différencié qui lui était accordé en tant que pays en développement au sein de l’OMC. Ce choix marque un tournant important dans son rôle d’acteur économique mondial. En abandonnant ses privilèges, la Chine affirme son statut d’économie avancée et se soumet désormais aux mêmes règles que les grandes puissances économiques. Cette décision soulève des questions sur la pertinence des classifications traditionnelles dans le commerce international, notamment l’incapacité du système actuel à refléter les nouvelles réalités économiques, telles que l’ascension des grandes économies émergentes comme la Chine.

Cette renonciation aura un impact direct sur les négociations commerciales. En adoptant des normes similaires à celles des pays développés, Pékin pourrait renforcer sa crédibilité sur la scène internationale et modifier les dynamiques des discussions commerciales bilatérales et multilatérales. Elle met également en évidence la nécessité de repenser les critères de classification des pays à l’OMC et d’adapter les règles commerciales mondiales aux enjeux contemporains.

En renonçant à ses avantages historiques, la Chine s’engage à respecter des normes plus strictes, ce qui pourrait améliorer ses relations économiques internationales. Ce choix renforce son image d’acteur clé du commerce global, capable de se conformer aux exigences des grandes économies développées et d’influencer les réformes nécessaires à l’échelle mondiale. Cette décision pourrait inaugurer une nouvelle ère de négociations commerciales plus adaptées à la réalité des puissances économiques actuelles.

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Le recensement général de la population et de l’habitat offre un aperçu complet des flux migratoires internes et internationaux en Tunisie, mettant en lumière des tendances importantes et des changements significatifs dans les déplacements de la population.

La mobilité interne a concerné 928 924 personnes entre 2019 et 2024. Parmi elles, 42 096 personnes ont changé de délégation, tandis que les autres ont déménagé au sein de la même région. La migration inter-gouvernorat a touché 228 458 personnes, soit une baisse notable par rapport aux 430 553 migrants enregistrés entre 2009 et 2014.

En matière de migration de retour, 20 683 Tunisiens sont rentrés de l’étranger entre 2019 et 2024. Parmi eux, 59,5 % sont des hommes et 40,5 % des femmes. La plupart des migrants de retour sont âgés de 25 à 44 ans, souvent motivés par des raisons professionnelles ou familiales. Un autre pic apparaît après 60 ans, souvent pour des motifs liés à la retraite ou au regroupement familial.

Ce recensement de 2024 révèle ainsi des tendances migratoires marquées par des recompositions démographiques, économiques et sociales en Tunisie.

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Selon l’Institut national de la statistique, en 2024, les jeunes de 15 à 34 ans représentent environ 3,2 millions de personnes. Bien que leur part dans la population ait légèrement diminué ces dernières années, leur nombre reste important, ce qui rend crucial le fait de s’intéresser à leurs enjeux, notamment l’éducation, l’emploi et la santé.

La répartition par âge montre une majorité de jeunes de 15 à 19 ans, tandis que le groupe des 20-29 ans a diminué en raison de la baisse de la natalité. Cette tendance se stabilise ensuite avec un nombre significatif de jeunes de 30 à 34 ans.

Concernant le statut marital, 79% des jeunes sont célibataires, avec un écart notable entre hommes 89% et femmes 69%. Les femmes se marient plus jeunes, ce qui a des impacts sur leur parcours professionnel et familial.

En termes de lieu de vie, la majorité des jeunes résident en milieu urbain, surtout dans le district 2, fortement urbanisé. Le district 3 présente un mélange d’urbanisation et de population rurale. Les autres districts montrent un équilibre entre zones urbaines et rurales.

Cette statistique montre aussi que 32,5% des jeunes ne sont ni en emploi, ni en formation.

Pour les diplômés âgés entre 21 et 34 ans, on trouve que les hommes dominent dans les diplômes d’ingénieur et de technicien, tandis que les femmes sont plus présentes dans les diplômes de licence, maîtrise et master. Cela met en lumière des différences de parcours éducatifs et de choix de filières entre les sexes.

En conclusion, notons que les jeunes de 15 à 34 ans jouent un rôle crucial dans la société, mais ils font face à de multiples défis. La société doit continuer à adapter ses politiques pour répondre à leurs besoins en matière d’éducation, d’emploi et de santé, tout en tenant compte de l’évolution démographique et des spécificités de chaque région.

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En 2025, l’Algérie se positionne en tête du classement économique du Maghreb, devant le Maroc et la Tunisie. Cette performance résulte d’une forte dynamique économique et d’une politique de diversification réussie. Le pays a progressé de 3,5 points dans le Global Attractiveness Index (GAI), attirant ainsi plus d’investissements étrangers.

Le leadership économique de l’Algérie est renforcé par sa capacité à s’adapter rapidement aux évolutions mondiales, grâce notamment à la politique menée par le président Abdelmadjid Tebboune. Celle-ci a permis d’ouvrir l’économie à de nouveaux secteurs, stimulant ainsi sa croissance et son attractivité.

Les critères avec lesquels le GAI a évalué sont: l’ouverture économique, l’innovation et les ressources naturelles. Et ce qui distingue particulièrement l’Algérie, c’est sa politique proactive en matière d’innovation et de réforme économique, qui lui permet de se positionner comme un acteur clé dans le contexte mondial.

On peut dire qu’avec ces réformes et sa forte attractivité, l’Algérie semble bien partie pour attirer encore davantage d’investissements étrangers, renforçant ainsi son influence sur la scène économique mondiale dans les années à venir.

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D’ici fin 2028, la Tunisie deviendra un acteur clé de la transition énergétique entre l’Afrique et l’Europe grâce au projet Elmed. Ce projet ambitieux prévoit la construction d’un câble électrique sous-marin reliant le Cap Bon tunisien à la Sicile, en Italie. Il s’agira de la première interconnexion directe entre les deux continents, positionnant la Tunisie comme un hub énergétique stratégique en Méditerranée.

Ce projet bénéficie d’une enveloppe globale de 1 milliard d’euros, dont 460 millions d’euros seront alloués à la construction du câble électrique, confiée à la société italienne Prysmian, sélectionnée après un appel d’offres mené par Terna (Italie) et la Steg (Tunisie).

Elmed s’inscrit dans la volonté de renforcer la transition énergétique entre la Tunisie, l’Afrique du Nord et l’Europe. Il vise à améliorer la sécurité énergétique, créer un corridor vert pour l’hydrogène et les énergies propres, atteindre les objectifs climatiques et générer des emplois durables. Ce projet fait partie aussi du programme Global Gateway de l’Union européenne, qui prévoit d’investir 300 milliards d’euros d’ici à 2027.

Elmed est un exemple fort de coopération verte entre l’Europe et l’Afrique, et marque le début d’un avenir plus vert, plus sûr et plus solidaire pour les deux rives de la Méditerranée.

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