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Zelensky appelle Trump à étendre la paix de Gaza à l’Ukraine

Deux jours après l’annonce d’un cessez-le-feu historique à Gaza, le président ukrainien Volodymyr Zelensky multiplie les gestes diplomatiques. Dans un appel téléphonique avec Donald Trump, il a exhorté le président américain à « faire pression sur Vladimir Poutine » pour engager des pourparlers et mettre fin à la guerre qui ravage l’Ukraine depuis plus de trois ans.

« Si une guerre peut être arrêtée au Moyen-Orient, d’autres peuvent l’être aussi », a déclaré Zelensky, saluant le rôle « exceptionnel » de Trump dans la médiation entre Israël et le Hamas. L’appel intervient au lendemain d’une attaque massive russe contre le réseau énergétique ukrainien, plongeant Kyiv et plusieurs régions dans le noir avant un rétablissement partiel du courant.

Depuis plusieurs semaines, l’attention internationale s’est déplacée vers le conflit israélo-palestinien, reléguant le front ukrainien à l’arrière-plan. Kiev redoute que cette focalisation mondiale n’offre à Moscou un espace stratégique pour intensifier ses frappes, notamment sur les infrastructures civiles.

Trump, désormais auréolé d’un succès diplomatique inattendu au Moyen-Orient, a déjà rencontré Vladimir Poutine en août sans parvenir à une percée en Europe. Mais la donne pourrait changer : selon Zelensky, « les mêmes leviers de pression » peuvent désormais s’appliquer au Kremlin.

Pendant ce temps, la guerre continue de frapper les civils. Cinq personnes ont été tuées samedi, dont deux dans une église bombardée à Kostyantynivka. À Odessa, les coupures d’électricité se multiplient, tandis que l’entreprise DTEK annonce « un rétablissement partiel » du réseau.

Dans son allocution nocturne, Zelensky a dénoncé « l’opportunisme russe » profitant d’un monde « absorbé par la paix au Moyen-Orient » et appelé à utiliser les « avoirs russes gelés » pour renforcer la défense ukrainienne.
Son appel à Trump, empreint d’espoir autant que de réalisme, résume l’état d’esprit d’un pays épuisé : si la paix est possible à Gaza, pourquoi resterait-elle impossible à Kyiv ?

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Mondial 2026 : classement et résultats du groupe D après France – Azerbaïdjan et Islande – Ukraine

Mondial 2026 : classement et résultats du groupe D après France – Azerbaïdjan et Islande – Ukraine

Point du Groupe D des qualifications de la zone Europe pour la Coupe du monde 2026, à l’issue des matches joués vendredi: Vendredi 10 octobre France – Azerbaïdjan 3 – 0 Islande – Ukraine 3 – 5 Classement: Pts J G N P Bp Bc Dif 1. France 9 3 3 0 0 7 1 […]

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Russie – Ukraine | Angela Merkel et la mauvaise foi de l’Occident 

L’ancienne chancelière allemande Angela Merkel a attribué une part de responsabilité à la Pologne et aux pays baltes dans l’invasion russe de l’Ukraine. Une véritable onde de choc politique à travers toute l’Europe de l’Est, qui tient de la falsification éhontée de l’histoire et d’une reprise mot pour mot du scénario du Kremlin, selon les pays concernés.

Habib Glenza

Dans un entretien accordé au média hongrois en ligne Partizán et publié le 6 octobre 2025, Merkel a livré sa vision des événements ayant conduit à la guerre en Ukraine. Selon elle, une opportunité diplomatique cruciale à l’été 2021 aurait pu empêcher l’invasion. Elle a confié avoir senti, à l’époque, «que les accords de Minsk n’étaient plus pris au sérieux» par Vladimir Poutine. Ceux-ci, conclus en 2014, visaient à mettre fin aux combats dans les régions séparatistes de l’est de l’Ukraine, soutenues par Moscou. Mais ce projet n’a jamais vu le jour. La raison, selon Merkel, c’était l’opposition des nations d’Europe de l’Est. «Certains ne soutenaient pas cette idée», a-t-elle affirmé. «Il s’agissait principalement des pays baltes, mais aussi de la Pologne, qui craignaient que nous n’ayons plus de politique commune vis-à-vis de la Russie», a-t-elle expliqué, et de conclure de façon aussi simpliste que sévère : «Quoi qu’il en soit, cela ne s’est pas fait. Puis j’ai quitté mes fonctions, et c’est alors que l’agression de Poutine a débuté.»

La mauvaise foi d’Angela

Dans une interview antérieure accordée au journal allemand Die Zeit le 7 décembre 2022, l’ancienne chancelière avouait pourtant que les accords de Minsk de 2014 avaient été «une tentative de donner du temps à l’Ukraine de se renforcer militairement en vue d’une confrontation future avec la Russie ?» Cet aveu a une valeur «historique», faisait remarquer, à juste titre, le président serbe Alexandre Vucic, sachant que ces accords avaient été conclus avec pour objectif officiel de rétablir la paix entre Kiev et les Républiques du Donbass.

Cet aveu a d’ailleurs suscité une vive réaction de la part du président Poutine, alors que Moscou a, à de multiples reprises, déploré la non-application de ces accords censés entériner la fin des hostilités entre les forces ukrainiennes et les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk, qui avaient fait sécession après le coup d’Etat de 2014 en Ukraine. 

Les accords de Minsk, dont la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande et le président russe Vladimir Poutine étaient les garants, visaient officiellement une paix durable entre le gouvernement ukrainien formé par les ultra-nationalistes et les séparatistes du Donbass. Or, ils n’étaient en réalité qu’une «duperie» à l’égard de la Russie et traduisaient la mauvaise foi de l’Occident, qui préparait la guerre contre Moscou depuis 2014.

Le «russian bashing»

L’intervention de la Russie en Ukraine serait donc la conséquence ou la réaction à la mauvaise foi de l’Occident et à la rhétorique mensongère de ses médias, qui relayent encore aujourd’hui les mêmes mensonges sur les accords de Minsk.  

Mme Merkel avait eu l’occasion, dès 2014, d’empêcher le déclenchement du conflit russo-ukrainien, insensé et couteux en vies humaines, malheureusement, elle n’a pu rien faire, elle et l’Union européenne (UE), pour prévenir le carnage parce qu’ils étaient soumis aux diktats des Américains. La suite, on la connaît, mais le «russian bashing», qui caractérise les médias occidentaux, ne saurait tenir lieu de vérité historique.

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Donald Trump demande à l’Ukraine de renoncer à la Crimée et à l’Otan

Avant sa rencontre avec Volodymyr Zelensky à Washington, prévue cet après-midi, le président américain Donald Trump a exigé de l’Ukraine qu’elle abandonne ses ambitions de récupérer la Crimée et d’adhérer à l’OTAN. Une position qui vise à pousser Kiev vers un accord de paix avec Moscou, après avoir reçu Vladimir Poutine en Alaska.

Lundi, Donald Trump a posé de nouvelles conditions à l’Ukraine : accepter de renoncer à la Crimée, annexée par la Russie en 2014, et mettre de côté son projet d’intégrer l’OTAN. Ces exigences interviennent avant une série de rencontres prévues à Washington : d’abord avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, puis avec les dirigeants du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de la France, de l’Italie, de la Finlande, ainsi que des représentants de l’Union européenne et de l’OTAN.

L’Europe solidaire avec Kiev

Vendredi dernier, Trump avait déjà déroulé le tapis rouge au président russe Vladimir Poutine en Alaska, affirmant sa volonté de mettre fin à la guerre en Europe, la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale.

Les dirigeants européens, attendus à Washington, affichent leur solidarité avec Kiev. Ils entendent exiger de fortes garanties de sécurité pour l’Ukraine, face à une proposition américaine perçue comme une concession majeure à Moscou.

La Crimée, une ligne rouge

Depuis février 2022, la guerre en Ukraine a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué des millions de déplacés. La question de la Crimée reste une ligne rouge pour Kiev, qui refuse toute négociation impliquant l’abandon de ses territoires. L’adhésion à l’OTAN est quant à elle considérée comme une garantie existentielle de sécurité.

La position américaine risque de tendre les discussions à Washington et de fragiliser l’unité occidentale face à la Russie.

L’avenir de l’Ukraine sera discuté cet après-midi, lundi 18 août, à Washington lors d’une réunion exceptionnelle entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens. Cette rencontre intervient moins de trois jours après le sommet entre le président américain et Vladimir Poutine, vendredi à Anchorage, en Alaska.

Les deux présidents seront ensuite rejoints par le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le chancelier allemand, Friedrich Merz, le premier ministre britannique, Keir Starmer, le président français, Emmanuel Macron, la première ministre italienne, Giorgia Meloni, et le président finlandais, Alexander Stubb.

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Alaska : Trump et Poutine se rencontrent, l’Ukraine attendra

Attendu comme un possible tournant dans la guerre en Ukraine, le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine s’est conclu vendredi sans accord concret. Si les deux dirigeants ont affiché un ton cordial, la rencontre n’a pas permis d’arracher le cessez-le-feu espéré.

Une rencontre écourtée, sans questions des journalistes

Annoncée pour durer sept heures, la réunion n’a finalement pas dépassé les trois. Après un accueil protocolaire fastueux – tapis rouge, poignée de main prolongée et survol de chasseurs américains – Trump et Poutine ont livré de brèves déclarations, sans prendre de questions.

Poutine a assuré vouloir « mettre fin au conflit » mais en traitant ses « causes profondes », avertissant Kiev et l’Union européenne contre toute « provocation ». Trump, plus mesuré, a salué une rencontre « extrêmement productive », estimant qu’il y avait « de très bonnes chances » d’aboutir à un cessez-le-feu, tout en reconnaissant des blocages « significatifs » avec Moscou.

« Il n’y a pas d’accord tant qu’il n’y a pas d’accord », a-t-il insisté.

Une victoire d’image pour Poutine

Isolé sur la scène occidentale depuis 2022, le président russe a trouvé en Alaska une scène diplomatique inattendue. Acclamations, limousine présidentielle « The Beast », et compliments appuyés de Trump ont marqué la journée. Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a ironisé sur Telegram : « On parlait d’isolement, et aujourd’hui on voit le tapis rouge à Washington. »

Des échanges économiques malgré les annonces

Trump avait promis qu’aucune discussion économique n’aurait lieu avant des avancées sur l’Ukraine. Pourtant, Poutine a évoqué une coopération possible en matière de technologie, d’espace, et d’exploration de l’Arctique, mettant en avant le potentiel des échanges commerciaux et des ressources rares russes.

Prochain rendez-vous : Moscou ?

En quittant la scène, Poutine a lancé en anglais : « Next time, in Moscow ». Trump, conscient des réactions que cela pourrait susciter, n’a pas écarté l’idée. Le président américain souhaite désormais organiser un sommet trilatéral avec Volodymyr Zelensky et des représentants de l’OTAN.

Interrogé par Fox News, Trump a noté la rencontre « 10 sur 10 », tout en renvoyant la responsabilité de l’accord à Kiev : « C’est à Zelensky de conclure. »

Lire aussi: Trump rencontre Poutine, la paix en Ukraine suspendue à des concessions territoriales

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Tribune: Gaza pour Israël, l’est de l’Ukraine pour la Russie ? Un duel tacite entre grandes puissances

On pourrait se demander si, derrière le rideau diplomatique, un marchandage discret ne serait pas en train de s’esquisser : un feu vert tacite donné à Israël pour écraser Gaza, en échange d’une reconnaissance implicite de l’occupation russe dans l’est — mais aussi dans le sud-est — de l’Ukraine. Bien sûr, aucune preuve tangible n’a encore fuité, aucun accord officiel n’a été signé sur ce papier glacé qu’on appelle le droit international. Mais entre les lignes, à l’ombre des sommets et des conférences de presse bien orchestrées, la logique d’un donnant-donnant pourrait bien dicter les décisions des puissants.

Israël, armé jusqu’aux dents, bénéficie d’un soutien inébranlable de la part de Washington, prêt à fermer les yeux sur la dévastation dans Gaza sous couvert de lutte antiterroriste. En parallèle, on voit Donald Trump et Vladimir Poutine échanger en Alaska, évoquant à demi-mot la possibilité d’un partage territorial en Ukraine. L’un écrase, l’autre grignote, et les grandes puissances regarderaient ailleurs, acceptant tacitement cette recomposition forcée des cartes.

On imagine volontiers que dans les coulisses du pouvoir, un genre de « deal » informel circulerait : vous, Israël, vous avez le champ libre à Gaza, et vous, Russie, vous conservez vos acquis dans l’est et le sud-est de l’Ukraine. Chacun y gagne, pourvu que les grands équilibres géopolitiques soient respectés. Ce serait un scénario cynique, mais pas invraisemblable, dans un monde où les droits des peuples s’effacent devant les intérêts stratégiques et économiques des superpuissances.

Cette hypothèse, évidemment, dénonce la faillite de la communauté internationale à imposer un minimum de justice et d’équité. Elle met en lumière le rôle ambigu, voire complice, des grandes démocraties qui préfèrent négocier à huis clos plutôt que de défendre clairement les principes qu’elles prétendent incarner. Dans ce théâtre d’ombres, les victimes, palestiniennes ou ukrainiennes, ne sont que des pions sacrifiés sur l’autel des arrangements secrets.

Alors oui, tout cela n’est que supposition, mais les faits et les coïncidences alimentent ce soupçon : la diplomatie du silence et du compromis ferait primer le pragmatisme froid sur la morale et la légalité. Et pendant que ces tractations invisibles se déroulent, la réalité sur le terrain s’écrit dans le sang et la douleur.

À nous, citoyens vigilants, de dénoncer ce jeu d’échecs cruel et de rappeler que derrière chaque transaction géopolitique, il y a des vies humaines, des espoirs brisés, et une urgence criante à redéfinir un ordre mondial plus juste.

Par Issa Ben Hmida

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L’UE adopte un 18e train de sanctions contre la Russie

L’Union européenne a approuvé un nouveau train de sanctions contre la Russie, le 18e depuis le début de l’invasion de l’Ukraine. Ce nouveau paquet, présenté comme l’un des plus sévères à ce jour, vise principalement les secteurs pétrolier et énergétique russes.

Parmi les mesures phares, figure la réduction du plafond du prix du pétrole russe exporté, désormais fixé à 47,6 dollars le baril, selon des diplomates cités par l’agence Reuters. Ce plafond avait été initialement instauré par les pays du G7 pour limiter les revenus énergétiques de Moscou.

« L’UE vient d’approuver l’un de ses trains de sanctions les plus sévères contre la Russie à ce jour », a affirmé Kaja Kallas, haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères. Elle a réaffirmé la volonté européenne de maintenir la pression : « Nous continuerons à augmenter les coûts, de sorte que l’arrêt de l’agression devienne la seule option pour Moscou ».

L’adoption de ce nouveau volet de sanctions a toutefois été retardée par la Slovaquie. Bratislava réclamait des garanties de la part de Bruxelles concernant un projet visant à réduire progressivement les importations de gaz russe, avec un objectif d’arrêt complet d’ici au 1er janvier 2028. Une exigence à laquelle l’UE a finalement répondu pour obtenir l’unanimité nécessaire.

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Ukraine : Poutine rejette l’ultimatum de Trump

La Russie a balayé, mercredi 16 juillet, l’ultimatum lancé par Donald Trump concernant un cessez-le-feu en Ukraine. Moscou dénonce une pression inacceptable et assure que son opération militaire se poursuivra en l’absence de solution diplomatique.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a déclaré que la Russie rejetait l’ultimatum de 50 jours lancé par Donald Trump pour parvenir à un cessez-le-feu en Ukraine. Il a également qualifié d’inacceptables les menaces du président américain d’imposer des droits de douane sévères.

La position de Moscou inébranlable

Tout en affirmant que Moscou privilégiait la diplomatie, M. Riabkov a insisté : « Si nous ne parvenons pas à atteindre nos objectifs par voie diplomatique, l’opération militaire spéciale se poursuivra. » Il a appelé Washington et l’OTAN à prendre la position russe « au sérieux ».

Mardi, Donald Trump a démenti avoir incité Kiev à frapper le territoire russe, assurant ne pas prendre parti dans le conflit. Il a même conseillé à l’Ukraine de « ne pas cibler Moscou » avec des armes de longue portée.

Pourtant, la veille, il avait affirmé que les États-Unis livreraient de nouveaux armements via l’OTAN, dont des missiles Patriot attendus « dans les prochains jours », et imposerait des sanctions douanières à la Russie si aucun accord n’était trouvé dans les 50 jours.

Réactions

Le ministère russe des Affaires étrangères a condamné l’annonce des livraisons d’armes, dénonçant une preuve supplémentaire que l’OTAN ne souhaite pas la paix.

De son côté, le ministre américain du Commerce, Howard Lutnick, a confirmé que les « droits de douane secondaires » évoqués par Trump pourraient atteindre 100%, ce qui équivaudrait à de nouvelles sanctions économiques.

Diplomatie et pression militaire sur fond d’escalade économique

L’ultimatum de Donald Trump s’inscrit dans un contexte où l’administration américaine cherche à accélérer une sortie diplomatique du conflit, tout en maintenant une pression économique et militaire sur Moscou.

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