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Plages de Monastir : un projet de 155 millions de dinars pour stopper l’érosion

Le projet de protection des plages de la ville de Monastir contre l’érosion, est actuellement en phase d’appel d’offres.

Ce projet, dont le coût est estimé à environ 155 millions de dinars, a été au centre d’une séance de travail tenue au siège du gouvernorat.

Il repose sur plusieurs composantes, notamment l’alimentation des plages avec de grandes quantités de sable marin, et l’installation de barrières pour réduire la force des courants marins et des vagues qui provoquent l’érosion maritime.

Les travaux seront réalisés en trois tranches, à partir des plages s’étendant de l’Oued Hamdoun (frontières entre les gouvernorats Monastir et Sousse) en passant par la plage de Skanes jusqu’à la plage de Kraiya.

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Hammam Lif : Retrait des brise-lames et retour attendu des courants marins

Les travaux de retrait des amas de pierres ont pris fin sur la plage de Hammam Lif, dans le gouvernorat de Ben Arous, après que l’entreprise chargée du chantier a achevé la suppression des derniers brise-lames installés le long du littoral.

La municipalité de Hammam Lif a annoncé la clôture de ces travaux, lancés en octobre dernier, marquant ainsi la disparition de l’ensemble des brise-lames qui occupaient la plage. Elle a souligné que les courants marins ont commencé à circuler de nouveau naturellement, en attendant le retour progressif de l’équilibre écologique de la zone.

En effet, la pose de huit brise-lames sur une distance de 1 300 mètres, au début des années 1980, destinée à protéger la ville côtière contre l’érosion marine, avait engendré des problèmes environnementaux. Ce dispositif a perturbé la qualité des eaux et détérioré le cadre de vie maritime.

Le ralentissement de la circulation naturelle de la mer avait empêché les herbiers marins, tels que les cymodocées et posidonies, de suivre leur mouvement habituel entre le large et le rivage. Conséquence : la plage est devenue une source de déchets et de mauvaises odeurs.

Le retour attendu des courants marins sur l’ensemble de la plage devrait permettre de réduire les phénomènes de pollution marine et de redonner à la façade maritime sa vitalité naturelle, en attendant l’élimination complète des autres sources de pollution.

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Nettoyage des plages tunisiennes : 80% du programme réalisé

Dans le cadre de l’évaluation à mi-parcours du programme de nettoyage des plages tunisiennes, et jusqu’à la première semaine du mois d’août 2025, des interventions ont été menées sur l’ensemble des plages concernées, avec un taux global d’avancement estimé à 80 %.

Le ministère de l’Environnement a indiqué qu’environ 8 000 m³ de déchets ont été collectés, soit une moyenne de 6 m³ par jour pour chaque plage. Ces quantités varient toutefois d’un site à l’autre, la plus importante ayant été relevée à la plage Rafraf, avec une moyenne de 12 m³ par jour.

Pour 2025, le programme de nettoyage prévoit des interventions sur 133 plages, couvrant 192 km de littoral et une superficie totale d’environ 5 739 hectares, en comptabilisant l’ensemble des opérations.

Elles se répartissent entre les plages relevant des municipalités touristiques (51 plages) et les plages publiques (82 plages). Le programme comprend le ratissage et le tamisage mécanique régulier du sable, ainsi que le nettoyage manuel des dunes et des accès aux plages.

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral, sous la supervision du ministère de l’Environnement, poursuit la mise en œuvre de ce programme, financé conjointement avec le Fonds de protection des zones touristiques et en coordination avec les différentes municipalités côtières. Les travaux de nettoyage ont démarré en mai 2025 et se poursuivront jusqu’en septembre prochain.

Lire aussi : Chaque jour, les plages tunisiennes croulent sous 8 000 m³ de déchets

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Chaque jour, les plages tunisiennes croulent sous 8 000 m³ de déchets

En été, les plages tunisiennes accumulent près de 8 000 mètres cubes de déchets chaque jour. Selon Nabil Mokhtar, chef du programme de nettoyage des plages à l’APAL, 85 % de ces déchets sont en plastique.

Pour y faire face, l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL) mène, en partenariat avec le Fonds de protection des zones touristiques, un vaste programme de nettoyage. Ce dernier concerne 133 plages réparties sur 192 kilomètres de côtes.

Les équipes interviennent à la fois avec des machines pour cribler le sable, et manuellement dans les zones plus sensibles. Elles couvrent une superficie totale d’environ 5 739 hectares. Pendant la saison estivale, les plages publiques reçoivent entre 9 et 11 interventions. Les sites touristiques, eux, en bénéficient jusqu’à 23 fois. À chaque opération, environ 600 m³ de déchets sont retirés.

Le programme, dont le taux d’avancement atteint 80 %, est financé à hauteur de 1,8 million de dinars. Le Fonds touristique en assure 60 %, tandis que l’APAL prend en charge le reste. Par ailleurs, les autorités démantèlent les constructions illégales et surveillent les concessions en cours. L’objectif est clair : protéger les plages et garantir un accueil de qualité aux visiteurs.

Selon Mokhtar, cette pollution impacte l’environnement marin, mais aussi l’image du pays. Il appelle donc les estivants à ne plus abandonner leurs déchets et à adopter un comportement responsable.

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Tunisie : Mer très agitée et courants marins, la baignade interdite ce lundi

L’ingénieur de l’Institut national de la météorologie, Sabhi Ben Ahmed, a affirmé ce lundi 4 août 2025 que la mer est très agitée aujourd’hui en raison de vents violents, rendant la baignade impossible.

Dans une déclaration à Mosaique FM, il a précisé qu’une dépression atmosphérique s’est installée depuis dimanche, générant de forts courants marins et des vagues croisées qui persistent encore ce lundi.

Selon Sabhi Ben Ahmed, une accalmie du vent est attendue à partir de mardi après-midi. Il appelle toutefois à la prudence lors de la baignade demain et insiste sur le respect des consignes de la protection civile.

En effet, les conditions météorologiques défavorables s’expliquent par un creux dépressionnaire apparu depuis dimanche, qui a généré des courants marins puissants et des vagues croisées.

Ce phénomène rend la mer particulièrement instable, notamment dans les zones exposées.

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Méditerranée envahie ? Les méduses arrivent en masse, la Tunisie n’est pas épargnée

Depuis le début de l’été 2025, les alertes se multiplient sur l’ensemble du littoral méditerranéen : les méduses, en particulier la Pelagia noctiluca, également connue sous le nom de méduse mauve, prolifèrent massivement. Des plages de la Côte d’Azur à celles de la Turquie, en passant par les Baléares ou la Grèce, les signalements se multiplient. Et la Tunisie n’est pas épargnée.

Sur les réseaux sociaux tunisiens et dans certaines zones côtières comme Hammamet, Kelibia ou Mahdia, plusieurs baigneurs ont rapporté la présence visible, parfois abondante, de méduses dès le mois de juin. « On n’avait jamais vu autant de méduses à cette période de l’année », témoigne un habitué de la plage de Gammarth. Une présence perçue comme précoce, qui alimente des inquiétudes, notamment pour la sécurité des enfants et des touristes.

Un phénomène en pleine expansion en Méditerranée

D’après le réseau d’observation Meduseo, spécialisé dans le suivi en temps réel de ces créatures marines, l’arrivée des méduses en Méditerranée occidentale a été plus précoce et plus dense que les années précédentes. En Méditerranée orientale, la situation est encore plus préoccupante : la méduse invasive Rhopilema nomadica, originaire de la mer Rouge, a été observée dès février 2025 sur les côtes turques et israéliennes, entraînant parfois la fermeture de plages.

Cette prolifération des méduses n’est pas un hasard. Les spécialistes évoquent plusieurs facteurs convergents :

  • Le réchauffement des eaux, favorisé par le dérèglement climatique, crée un environnement idéal pour la reproduction des méduses.
  • La surpêche réduit le nombre de leurs prédateurs naturels, comme les thons ou les tortues.
  • La pollution, notamment les eaux riches en nutriments (engrais, rejets domestiques), stimule la croissance du plancton dont se nourrissent les méduses.

Autrement dit, l’activité humaine joue un rôle central dans ce déséquilibre écologique.

Quelles conséquences pour la Tunisie ?

Outre le risque de piqûres douloureuses, la présence massive de méduses peut impacter le tourisme balnéaire, déjà fragilisé par d’autres facteurs, et poser des problèmes à la pêche artisanale, lorsque les filets sont encombrés de méduses. Si les épisodes restent pour l’instant modérés en Tunisie, les scientifiques appellent à mieux surveiller la situation et à sensibiliser les citoyens.

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C’est tendance depuis quelques années : Passer toute la nuit à la plage

De la Goulette à la Marsa, de nombreuses familles s’installent de nuit sur les plages de la banlieue.

La tendance se généralise peu à peu et les bains de minuit se transforment en nuits à la belle étoile. Des plages comme celles du Kram sont littéralement prises d’assaut par des centaines de baigneurs qui s’y installent durablement en quête de fraîcheur.

Ce phénomène est observable un peu partout et concerne les habitants des quartiers ouest de la banlieue nord qui fuient la chaleur de leurs foyers et font le choix de se baigner jour et nuit. Surtout par temps de canicule.

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Tunisie : Un projet de loi visant à protéger les estivants

La députée à l’Assemblée des représentants du peuple, Asma Eddarouiche, a révélé ce dimanche que la recrudescence des noyades et des blessures survenues récemment dans les plages non surveillées, en l’absence d’un cadre légal, a poussé 26 députés à soumettre une proposition de loi visant à protéger les estivants et à garantir la sécurité de la baignade dans les plages et espaces aquatiques. Le texte comporte 14 articles.

S’exprimant sur les ondes de Mosaique FM, la députée a souligné, dans son intervention, le manque d’équipements et de moyens de sauvetage sur les plages non touristiques, ainsi que la multiplication de comportements dangereux, en plus de la baignade dans les oueds et les lacs.

Elle a précisé que la proposition de loi aborde plusieurs aspects, notamment : la délimitation des zones de baignade, l’obligation de la présence d’équipes de secours sur les plages, la fixation des conditions de surveillance, l’équipement des plages en matériel nécessaire, l’organisation de l’usage des espaces aquatiques, la définition des responsabilités légales, ainsi que l’imposition de sanctions financières en cas d’infractions.

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Tunisie : Le choc thermique en mer fait deux victimes

La Protection civile tunisienne a mis en garde ce vendredi 4 juillet 2025 contre les risques de choc thermique en mer, un phénomène potentiellement mortel qui résulte du contraste entre la chaleur extérieure et la fraîcheur de l’eau.

Dans une alerte publiée sur sa page Facebook, le porte-parole de la Protection civile a expliqué que ce choc thermique peut entraîner une perte de connaissance soudaine, menant au risque de noyade, notamment lorsque l’écart entre la température de l’air et celle de l’eau est important.

Deux décès ont récemment été signalés à la suite de ce phénomène, l’un survenu sur la plage d’El Hmari à Rafraf (gouvernorat de Bizerte) et l’autre sur la plage de La Marsa (banlieue nord de Tunis). Les victimes auraient plongé directement dans la mer après avoir pratiqué une activité sportive sous un soleil brûlant, ce qui aurait déclenché le choc thermique fatal.

La Protection civile a détaillé les symptômes possibles : crampes musculaires, frissons, troubles de l’audition ou de la vision, démangeaisons cutanées, fatigue intense ou malaise général.

Face à une situation de ce type, les autorités recommandent de sortir immédiatement de l’eau, de réchauffer le corps, bouger les bras et surtout de demander de l’aide sans délai.

En cette période estivale, les vacanciers sont donc appelés à la prudence et à éviter les baignades brutales après une exposition prolongée au soleil.

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Fausse alerte : les plages tunisiennes au cœur d’une vague de rumeurs

Depuis quelques jours, un climat de peur gagne les estivants sur les plages tunisiennes. Vidéos alarmistes, messages vocaux non vérifiés et publications virales sur les réseaux sociaux évoquant des courants marins dangereux, des risques de tsunami ou encore un séisme sous-marin ont provoqué une véritable psychose collective, notamment après le décès tragique de la petite Mariem, récemment emportée par la mer.


Tout est parti de la diffusion de fausses alertes circulant sur Facebook, TikTok , relayées à grande vitesse. Certains messages font état de « mouvements inhabituels de la mer », d’autres parlent d’une « alerte tsunami » imminente ou d’un séisme marin ressenti dans certaines zones du littoral, sans aucune confirmation des autorités. L’origine de ces rumeurs reste floue, mais leur impact est réel : baignades annulées, et un climat d’angoisse palpable, en particulier dans les zones côtières très fréquentées comme Hammamet, Kélibia ou Sousse.

Le drame de Mariem, déclencheur émotionnel

La mort de Mariem, une fillette emportée par les vagues alors qu’elle se baignait avec sa famille, a profondément bouleversé l’opinion publique. Ce drame a sans doute été le point de bascule émotionnel qui a intensifié les inquiétudes. Bien que de telles noyades surviennent chaque été, l’émotion suscitée par cette affaire a favorisé l’émergence d’un discours alarmiste et parfois irrationnel, nourri par les réseaux sociaux.


Face à cette montée de panique, les services de la protection civile, les garde-côtes et l’Institut national de météorologie ont formellement démenti toute alerte sismique ou tsunami en cours. Ils rappellent qu’aucun changement anormal n’a été enregistré dans les mouvements marins et que la mer Méditerranée reste, à ce jour, une zone à faible risque tsunami. La protection civile insiste toutefois sur l’importance de la vigilance, particulièrement lors des baignades en zones non surveillées, et appelle à ne pas relayer d’informations non vérifiées.


Il est essentiel de rappeler que la mer comporte des dangers réels, notamment en cas de forts courants, de changements météorologiques brusques ou de baignade hors zones autorisées. Mais ces dangers doivent être traités par la prévention, l’éducation et les secours, non par la peur et la rumeur. La multiplication des fausses informations n’aide ni à sauver des vies ni à sécuriser les estivants ; elle ne fait que nourrir l’anxiété collective et détourner l’attention des véritables enjeux.

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Transtu : 10 lignes estivales vers les plages à tarif unique

Dans le cadre de sa programmation estivale, la société Transport de Tunis annonce, dans un communiqué publié ce jeudi 3 juillet 2025, l’exploitation de dix lignes de bus spéciales vers les plages à partir du dimanche 6 juillet 2025.

Voici le détail des itinéraires selon les destinations :

Vers la plage de La Goulette

  • Une ligne au départ de Borj Chakir, passant par Jayara, l’avenue du 13-Août, l’avenue Taha Hussein, Moncef Bey et Tunis Marine, jusqu’à la plage de La Goulette.
    Tarif unique : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés, avec deux trajets : un départ à 8h00 et un retour à 18h00.
  • Une ligne au départ de Borj Ennour et Borj El Amri, via Mornaguia et Djéyara, jusqu’à la plage de La Goulette.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 7h00, retour à 18h00.
  • Une ligne au départ de Mohamedia vers La Goulette.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec deux départs, à 7h00 et 9h00, et deux retours à 18h00.
  • Une ligne reliant Nfaydh Drajat à La Goulette via Mornaguia et Djéyara.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec deux trajets : départ à 7h00 et retour à 18h00.

Vers la plage de Sidi Bou Saïd

  • Une ligne entre Zayatine et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec un départ à 8h00 et un retour à 18h00.
  • Une ligne entre Bardo et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 18h00.
  • Une ligne entre Manouba et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 18h00.
  • Une ligne entre le quartier Hay Ettahrir et la plage de Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec deux trajets : départ à 8h00, retour à 18h00.
  • Une ligne entre El Omrane El Ala (Omran supérieur) et Sidi Bou Saïd, via Tunis Marine.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 18h00.

Vers la plage de Kalaat El Andalous

  • Une ligne locale entre la ville de Kalaat El Andalous et la plage locale.
    Tarif : 500 millimes.
    Elle fonctionne tous les jours avec un départ toutes les 90 minutes dans les deux sens, de 7h00 à 18h00.
  • Une ligne entre Oued Ellil (Cité El Ward) et la plage de Kalaat El Andalous, via Snahja, Oued Ellil, Sidi Thabet et Kalaat El Andalous.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Service les dimanches et jours fériés : départ à 8h00, retour à 17h00.
  • Une ligne entre Bsatine et la plage de Kalaat El Andalous, via Sbala Ben Ammar.
    Tarif : 1 500 millimes.
    Elle fonctionne les dimanches et jours fériés avec un départ à 8h00 et un retour à 17h00.

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