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Football: Le sélectionneur serbe Dragan Stojkovic démissionne

L’entraîneur de la sélection serbe de football, Dragan Stojkovic, a annoncé samedi soir sa démission à la suite de la défaite de son équipe face à l’Albanie (0-1), lors des éliminatoires du Mondial 2026.

Une défaite lourde de conséquences

La rencontre, disputée à Leskovac dans le sud du pays, s’est soldée par un revers inattendu pour les Serbes, actuellement troisièmes du groupe K derrière l’Angleterre et l’Albanie. Un résultat qui compromet leurs chances de qualification directe pour la Coupe du monde prévue aux États-Unis, au Canada et au Mexique.

En conférence de presse, Stojkovic n’a pas cherché d’excuses. « Cette défaite n’aurait pas dû se produire, et j’en accepte la responsabilité », a-t-il déclaré, visiblement affecté. « Je suis ici pour faire face aux conséquences », a-t-il ajouté.

Une décision immédiate

Le technicien de 60 ans a précisé avoir présenté sa démission au président et au secrétaire général de la Fédération serbe de football. Il a également confirmé qu’il ne dirigera pas l’équipe lors du prochain déplacement en Andorre.
« Le résultat est vraiment mauvais, je ne m’y attendais pas », a-t-il reconnu, avant de quitter la salle sans autre commentaire.

Un parcours marqué par l’expérience

Ancien international yougoslave connu sous le surnom de Piksi, Dragan Stojkovic avait pris les commandes de la sélection en 2021. Avant cette nomination, il avait dirigé plusieurs clubs à l’étranger, notamment Nagoya Grampus (Japon) et Canton R&F (Chine), ainsi qu’un court passage à l’Étoile rouge de Belgrade.

Sous sa direction, la Serbie avait obtenu des résultats contrastés, alternant de belles performances avec des contre-performances marquées. Sa démission ouvre désormais une période d’incertitude pour l’équipe nationale, en quête d’un nouvel élan à mi-parcours des éliminatoires.

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Crise politique en France : A peine nommé, Sébastien Lecornu démissionne

Moins de 24 heures après avoir dévoilé la composition de son gouvernement, le Premier ministre français Sébastien Lecornu a remis sa démission au président Emmanuel Macron, qui l’a immédiatement acceptée. Cet événement marque un tournant majeur dans la crise politique que traverse la France.

Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre il y a quelques jours seulement, détient désormais le record de la plus courte durée à la tête du gouvernement sous la Ve République. La décision de démissionner intervient après de vives critiques concernant la composition de son équipe.

Dimanche 5 octobre, Lecornu avait présenté un gouvernement de 18 ministres, dont 13 reconduits de l’administration précédente. Cette annonce a suscité un tollé politique :

  • À droite, le parti Les Républicains, par la voix de Bruno Retailleau, a jugé que la nouvelle équipe ne respectait pas la « rupture promise ».
  • À gauche, certaines formations politiques ont évoqué des motions de censure, tandis que le Rassemblement national a appelé à la dissolution de l’Assemblée nationale.

Les coulisses d’une crise

La démission exprime la fragilité du gouvernement actuel et la difficulté pour Emmanuel Macron de composer avec une majorité éclatée et une opposition déterminée. La rapidité de ce départ souligne également les tensions internes au sein de l’exécutif et le poids des critiques dès l’annonce de la nouvelle équipe gouvernementale.

Les discussions sur une éventuelle dissolution de l’Assemblée nationale sont désormais au cœur des débats politiques, et la scène politique française reste en alerte.

Avec cette démission, le président Macron doit rapidement nommer un nouveau Premier ministre capable de stabiliser la situation et de négocier avec une majorité parlementaire fragmentée. La communauté politique et les citoyens attendent désormais des annonces sur la composition d’un gouvernement capable de répondre aux attentes et de relancer l’action gouvernementale.

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Tunisie – ARP : Syrine Mrabet présente sa démission

La députée Syrine Mrabet a présenté ce mercredi 16 juillet 2025, sa démission de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Dans sa lettre présentée au chef du parlement l’élue de la circonscription de Sijoumi–Ezzouhour a invoqué des « raisons strictement personnelles » pour justifier sa décision.

Membre du bloc Al-Ahrar et assesseur chargée de la communication au sein du bureau de l’ARP, Syrine Mrabet s’était distinguée ces derniers mois par ses positions sur plusieurs sujets sensibles, allant de la réforme de la loi électorale à l’accès des femmes à la cryoconservation d’ovocytes. Son départ intervient alors qu’elle occupait également un siège actif au sein de la commission de la législation.

Ancienne présidente du Club Olympique des Transports, première femme à avoir dirigé ce club historique, elle avait entamé son mandat parlementaire en 2023 avec une visibilité croissante, notamment grâce à ses prises de parole médiatisées.

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Tunisie – ARP : Fatma Mseddi claque la porte de la Commission des droits et libertés

La députée de Sfax, Fatma Mseddi, a annoncé sa démission de la Commission des droits et libertés de l’Assemblée des représentants du peuple, dénonçant le blocage de sa proposition de loi sur les associations et le manque d’efficacité des travaux parlementaires.

C’est un geste fort et symbolique qu’a posé ce lundi la députée Fatma Mseddi, en adressant une lettre de démission à la présidence de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).

L’élue de Sfax se retire officiellement de la Commission des droits et libertés, évoquant un climat d’inaction et un déficit de volonté politique autour d’un dossier qu’elle juge stratégique : la réforme du secteur associatif.

Dans sa lettre adressée au président de l’ARP, Mseddi pointe du doigt le blocage persistant de l’examen de sa proposition de loi, déposée depuis octobre 2023, et visant à encadrer davantage le fonctionnement des associations.

Une réforme qu’elle considère essentielle pour protéger la sécurité nationale et restaurer la transparence dans ce secteur. Selon elle, l’inaction de la commission et l’absence de débat sérieux ont sapé la dynamique nécessaire à toute réforme d’envergure.

« Je choisis de me retirer pour préserver la clarté de mes positions et m’engager dans des espaces parlementaires plus efficaces », écrit-elle, dénonçant l’inertie actuelle de la commission et la paralysie de ses travaux, qui compromettraient son rôle de veille législative et de contrôle.

Cette démission intervient alors que le débat autour de la régulation des associations revient régulièrement sur le devant de la scène politique, dans un contexte de suspicion croissante à l’égard de certains financements étrangers ou activités jugées opaques.

Connue pour ses prises de position tranchées, Fatma Mseddi appelle, à travers ce geste, à une révision urgente du fonctionnement des commissions parlementaires, et à un retour à une culture de débat productif au sein de l’ARP.

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