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Algérie–Ouganda : deux forfaits majeurs avant la dernière journée des qualifications

L’équipe nationale d’Algérie devra se passer de deux de ses cadres, Youcef Belaïli et Baghdad Bounedjah, pour affronter l’Ouganda mardi à 17h00, lors de la 10e et dernière journée du groupe G des éliminatoires du Mondial 2026. L’annonce a été faite par la Fédération algérienne de football (FAF) sur son site officiel.

Blessures confirmées pour Belaïli et Bounedjah

Les deux joueurs ont été blessés lors du précédent match contre la Somalie.
Baghdad Bounedjah, attaquant d’Al Shamal (Qatar), souffre d’une lésion au genou. De son côté, Youcef Belaïli, sociétaire de l’Espérance Sportive de Tunis, a contracté une blessure musculaire.

Des examens médicaux réalisés samedi après-midi ont confirmé la gravité de leurs blessures et leur indisponibilité pour le prochain rendez-vous.

Retour dans leurs clubs pour soins

La FAF a précisé que les deux internationaux ont quitté le stage de la sélection pour poursuivre leur rééducation dans leurs clubs respectifs. Aucun remplacement n’a été annoncé pour le moment [à vérifier].

L’Algérie déjà qualifiée pour le Mondial 2026

Les Fennecs ont validé leur ticket pour la Coupe du Monde 2026, organisée aux États-Unis, au Mexique et au Canada, grâce à leur victoire 3-0 contre la Somalie jeudi dernier à Oran.
Il s’agit de la cinquième participation de l’Algérie à un Mondial après les éditions de 1982, 1986, 2010 et 2014, cette dernière marquée par une qualification historique en huitièmes de finale au Brésil.

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Algérie 2026 : Équilibre Fragile entre Déficit, Armée et Diversification

Le Parlement algérien va voter le budget 2026. Le pays fait face à un équilibre délicat. Le gouvernement veut relancer l’économie hors hydrocarbures. Il assume aussi un déficit budgétaire historique et des dépenses militaires record. L’Algérie doit manœuvrer entre ambition et contrainte.

Un Déficit Volontaire

Le projet de loi de finances prévoit un déficit de 40 milliards de dollars. Cela représente 12,4 % du PIB. Le gouvernement assume ce déficit. Il le présente comme un investissement nécessaire pour stimuler la croissance.

Les autorités misent sur l’agriculture, l’industrie et la construction. Elles veulent ainsi diversifier les revenus nationaux. Cette stratégie doit réduire la dépendance au pétrole. Cependant, ce déficit pèse lourdement sur les finances publiques. Il pourrait aussi augmenter la dette si la croissance n’est pas au rendez-vous.

Priorité à la Défense

La défense absorbe une part sans précédent du budget. Elle représente 25 milliards de dollars, soit plus de 20 % des dépenses totales. Ce montant dépasse les budgets combinés de plusieurs ministères civils.

Le gouvernement veut moderniser l’armée. Il agit dans un contexte régional instable. Mais cette priorité budgétaire laisse peu de marge pour d’autres secteurs essentiels. La santé, l’éducation ou les infrastructures manquent de fonds. Ce choix nourrit le débat sur les priorités nationales.

Le Dinar sous Pression

Le dinar algérien souffre sur le front monétaire. Officiellement, un dollar s’échange autour de 129 à 130 dinars. Sur le marché parallèle, le taux dépasse parfois le cours officiel de plus de 60 %.

Cette situation montre une défiance persistante envers la monnaie nationale. Cette différence réduit directement le pouvoir d’achat des ménages. Elle rend aussi l’inflation plus difficile à maîtriser.

L’Énergie comme Levier

Le gouvernement mise sur son atout majeur pour rééquilibrer la balance : l’énergie. Le secteur recevra 60 milliards de dollars d’investissement entre 2025 et 2029. 80 % de cette somme ira à l’exploration et à la production.

L’État veut aussi accélérer la transition vers les énergies renouvelables. Il prévoit 3 200 MW de projets solaires. L’objectif est double. Il vise à renforcer les recettes. Il cherche également à réduire la dépendance au pétrole brut.

Un Équilibre à Trouver

Le budget 2026 reflète les dilemmes de l’économie algérienne. Le pays avance sur une ligne de crête. Il gère un déficit assumé, la pression sur le dinar et de fortes ambitions énergétiques. La diversification offre des perspectives claires. Mais la confiance économique et sociale reste un facteur clé pour réussir ce pari.

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A propos de l’accord de coopération militaire entre l’Algérie et la Tunisie

L’Algérie et la Tunisie ont signé, le 7 octobre 2025, un accord conjoint dans le secteur de la défense, à l’issue d’une visite de travail du ministre de la Défense Khaled Sehili à Alger, qui était accompagné de hauts gradés de la marine et des forces terrestres tunisiennes. Cet accord, on n’en connaît pas encore les détails mais qui suscite des réactions prudentes et mitigées, notamment du côté tunisien où certains se méfient de ce qu’ils considèrent comme une «volonté de domination algérienne.»   

Latif Belhedi

Cet accord, annoncé par le ministère algérien de la Défense, constitue une étape importante dans les relations bilatérales et un pas important vers le renforcement de la coopération militaire entre les deux pays, lit-on dans le communiqué officiel algérien.

Au cours de cette visite, précise encore le communiqué, le responsable tunisien a été reçu par le général Saïd Chengriha, ministre délégué auprès du ministère de la Défense nationale et chef d’état-major de l’armée algérienne.

Les deux parties ont examiné les possibilités de coopération et discuté des moyens de renforcer la coordination sur les questions d’intérêt commun, notamment les défis sécuritaires auxquels la région est confrontée, ajoute le communiqué.

Par la suite, le président Abdelmadjid Tebboune a reçu le ministre Sehili, réaffirmant la solidité des relations historiques et stratégiques entre les deux pays.

«Les entretiens préparatoires à cette signature ont porté, selon le ministère algérien de la Défense, sur un renforcement de la coopération militaire et sécuritaire, ainsi que sur l’élargissement du contrôle transfrontalier», rapporte Jeune Afrique.

Précarité de la sécurité régionale

Le journal parisien rappelle le contexte international et régional dans lequel la signature de ce traité est intervenue et évoque les deux attaques de drones ayant visé, début septembre, des bateaux de la flottille pour Gaza ancrés en rade du port tunisien de Sidi Bou Saïd. Attaques qui, selon une enquête de la chaîne américaine CBS News, auraient été approuvées en personne par le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

Selon Jeune Afrique, «ces frappes sur le petit port ont montré toute la précarité de la sécurité tunisienne, d’autant que tout s’est déroulé à quelques centaines de mètres du palais de Carthage et sous les fenêtres de la résidence de l’ambassadeur des États-Unis, qui surplombe le rivage.»

Pour l’Algérie qui, selon les termes de Jeune Afrique, «considère [La Tunisie] souvent comme un poste avancé de son propre territoire», l’accord avec la Tunisie s’inscrit dans une volonté de mieux protéger ses propres frontières.

On ne connaît pas encore les détails de l’accord en question, mais on peut estimer qu’il n’a pu être signé sans l’aval ou sous la dictée du président de la république Kaïs Saïed, chef suprême des forces armées et de l’Etat tunisien, comme l’a fait remarquer le général à la retraite Kamel Akrout dans un poste Facebook, hier soir, jeudi 9 septembre. Lequel a souvent souligné dans ses déclarations ce qu’il appelle «l’unité de destin» entre les deux pays voisins.

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Somalie vs Algérie : Sur quelle chaîne regarder le match en direct et live streaming ?

La Somalie affronte l’Algérie ce jeudi 9 octobre 2025 à l’occasion des qualifications pour la prochaine Coupe du Monde (zone Afrique). Coup d’envoi prévu à 18h00 (heure tunisienne).

Les Fennecs, favoris sur le papier, tenteront de confirmer leur bon début de campagne face à une équipe somalienne en quête de points et d’expérience.

Fiche technique

Match : Algérie – Somalie

Compétition : Qualifications pour la Coupe du Monde 2026 (zone Afrique)

Lieu : Stade d’Oran

Horaire : Coup d’envoi à 17h00 (heure algérienne)

Diffusion TV :
La rencontre sera retransmise en direct sur la Télévision algérienne (TV6 et chaîne terrestre), ainsi que sur L’Équipe Live Foot.

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Sécurité régionale : Tunis et Alger unissent leurs efforts contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière

Lors de son entretien mardi à Alger avec le président de la République algérienne démocratique et populaire, Abdelmadjid Tebboune, le ministre de la Défense nationale, Khaled Shili, a mis l’accent sur les relations historiques profondes entre les deux pays frères et les liens fraternels forts liant leurs deux dirigeants. Il a mis en avant en ce sens, la convergence des positions et des vues sur la plupart des questions régionales et internationales.

Le ministre de la Défense a également transmis au président algérien les salutations fraternelles du président Kaïs Saied, commandant en chef des forces armées, et ses vœux de progrès, de sécurité et de prospérité continus pour l’Algérie, lit-on dans un communiqué publié par le ministère de la Défense.

Dans le cadre de sa visite de travail en Algérie du 6 au 8 octobre, le ministre de la Défense a aussi rencontré le général d’armée Saïd Chanegriha, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’Armée Nationale Populaire Algérienne, en présence de plusieurs hauts responsables militaires des deux pays.

Les perspectives de la coopération militaire entre les deux pays et les moyens de développer et de diversifier ses domaines d’intervention ont été au cœur de l’entretien entre le ministre de la Défense nationale et le général d’armée Saïd Chanegriha.

Les deux parties ont discuté des moyens de faire progresser la coordination bilatérale afin de faire face aux défis sécuritaires et aux menaces à la stabilité régionale, tels que le terrorisme, la traite des êtres humains, la migration irrégulière, la contrebande et la criminalité organisée transfrontalière.

A cette occasion, ils ont souligné l’importance du suivi des conclusions des comités sectoriels dans le domaine de la coopération militaire.

Le ministre de la Défense Khaled Shili a, pour sa part, souligné la volonté de la Tunisie de promouvoir davantage la coopération militaire entre les deux pays et de la porter au plus haut niveau, de manière à répondre aux aspirations des deux peuples et à assurer la sécurité et la stabilité dans la région.

De son côté, le général de l’armée Saïd Chanegriha a souligné l’importance de l’accord de défense conclu entre les deux parties pour le développement de la coopération militaire et son rôle essentiel dans la stabilité et la sécurité dans la région.

Cette visite a été couronnée par la signature d’un accord de coopération en matière de défense entre les deux parties, portant sur plusieurs domaines militaires, tels que la formation, l’échange d’informations et d’expertise, l’intensification de la coordination bilatérale et le renforcement des actions conjointes et de la coopération sur le terrain en matière de sécurité aux frontières.

Cet accord complète celui signé en 2001. Il renforce de ce fait le partenariat militaire stratégique entre les deux pays fondé sur la confiance et le respect mutuels et ouvre de nouvelles perspectives de coopération bilatérale pour faire face aux répercussions et aux menaces qui pèsent sur la région.

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La Tunisie et l’Algérie signent un accord de coopération militaire

En visite à Alger, du 6 au 8 octobre, le ministre de la Défense nationale, Khaled Shili, s’est entretenu avec le président algérien, Abdelmadjid Tebboune. A cette occasion, le ministre a mis l’accent sur les relations historiques profondes entre les deux pays. Il a mis en avant en ce sens, la convergence des positions et des vues sur la plupart des questions régionales et internationales entre le président Kaïs Saïed et son homologue algérien.

Le ministre de la Défense a également transmis au président algérien les salutations fraternelles du président Kaïs Saïed, commandant en chef des forces armées, et ses vœux de progrès, de sécurité et de prospérité continus pour l’Algérie, lit-on dans un communiqué publié par le ministère de la Défense.

Dans le cadre de sa visite de travail en Algérie, du 6 au 8 octobre, le ministre de la Défense a  aussi rencontré le général d’armée Saïd Chanegriha, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’Armée Nationale Populaire Algérienne, en présence de plusieurs hauts responsables militaires des deux pays.

Coopération militaire…

Les perspectives de la coopération militaire entre les deux pays et les moyens de développer et de diversifier ses domaines d’intervention ont été au cœur de l’entretien entre le ministre de la Défense nationale et le général d’armée Saïd Chanegriha.

Les deux parties ont discuté des moyens de faire progresser la coordination bilatérale afin de faire face aux défis sécuritaires et aux menaces à la stabilité régionale, tels que le terrorisme, la traite des êtres humains, la migration irrégulière, la contrebande et la criminalité organisée transfrontalière.

A cette occasion, ils ont souligné l’importance du suivi des conclusions des comités sectoriels dans le domaine de la coopération militaire.

Le ministre de la Défense, Khaled Shili, a souligné la volonté de la Tunisie de promouvoir davantage la coopération militaire entre les deux pays et de la porter au plus haut niveau, de manière à répondre aux aspirations des deux peuples et à assurer la sécurité et la stabilité dans la région.

De son côté, le général de l’armée Saïd Chanegriha a souligné l’importance de l’accord de défense conclu entre les deux parties pour le développement de la coopération militaire et son rôle essentiel dans la stabilité et la sécurité dans la région.

Cet accord complète celui signé en 2001. Il renforce de ce fait le partenariat militaire stratégique entre les deux pays fondé sur la confiance et le respect mutuels et ouvre de nouvelles perspectives de coopération bilatérale pour faire face aux répercussions et aux menaces qui pèsent sur la région.

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Tunisie–Algérie : Un accord d’envergure pour renforcer la coopération en matière de défense

Un tournant stratégique dans les relations tuniso-algériennes. Ce mardi 7 octobre, le ministre tunisien de la Défense nationale, Khalil Shili et le général d’armée Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire et ministre délégué auprès du ministre algérien de la Défense, ont signé à Alger un accord gouvernemental conjoint de coopération dans le domaine de la défense.

Selon un communiqué du ministère algérien de la Défense nationale, cet accord constitue « une étape marquante dans l’histoire des relations entre la Tunisie et l’Algérie », soulignant qu’il ouvre la voie à une coopération militaire accrue, à l’échange d’expertises et à la coordination dans les domaines de la formation, de la sécurité frontalière et de la lutte contre le terrorisme.

Cette signature intervient dans un contexte régional marqué par des défis sécuritaires communs, notamment à la frontière tuniso-algérienne, où les deux armées mènent régulièrement des opérations conjointes contre les groupes armés retranchés dans les zones montagneuses.

Pour Tunis comme pour Alger, cet accord vient institutionnaliser une coopération déjà active et renforcer la confiance stratégique entre les deux pays voisins, unis par des liens historiques, politiques et sécuritaires.

Le ministre tunisien de la Défense effectue à cette occasion une visite de travail à Alger à la tête d’une délégation militaire de haut niveau, destinée à approfondir le dialogue sur les questions de défense et à tracer les perspectives d’un partenariat durable au service de la stabilité régionale.

Lire aussi : Entretien Kaïs Saïed – Abdelmadjid Tebboune à Alger

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Flottille Soumoud | 15 autres Tunisiens libérés par Israël, en route pour Tunis

Les quinze militants tunisiens, qui étaient détenus par Israël, après l’interception, jeudi dernier, des membres de la flottille Soumoud pour la levée du blocus contre Gaza, sont arrivés, ce matin, mardi 7 octobre 2025, en Jordanie, à travers le poste frontalier du Roi Hussein. Ils sont en route vers la Tunisie.

Il s’agit de Sirine Gherairi, Fidaa Othmani, Mouheb Snoussi, Mazen Abdellaoui, Louay Cherni, Khalil Lahbibi, Achref Khouja, Jihed Ferjani, Nabil Chennoufi, Mohamed Amine Hamzaoui, Yassine Gaïdi, Wael Naouar, Ghassen Henchiri et Mohamed Ali.

Ils devront rentrer bientôt à Tunis et s’ajouteront aux 10 autres membres tunisiens de la flottille arrivés à l’aéroport de Tunis-Carthage avant-hier par avion via la Turquie.

D’autres militants d’Algérie, du Maroc, du Koweït, de Libye, de Jordanie, du Pakistan, du Bahreïn, de Turquie et d’Oman ont également été transférés à la frontière jordanienne. 

I. B.

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Décès de l’homme politique algérien Dr Ahmed Taleb Ibrahimi

Le Dr Ahmed Taleb Ibrahimi, qui a occupé plusieurs fonctions ministérielles de 1965 à 1988 en Algérie, dont les Affaires étrangères de 1982 à 1988, et a été président du parti Wafa non agréé et candidat à la présidentielle de 1999, s’est éteint ce dimanche 5 octobre 2025, à l’âge de 93 ans. Médecin de formation, il a consacré sa vie à la réflexion, à l’écriture et à la transmission de la mémoire nationale.

Tout au long de son parcours, le Dr Taleb Ibrahimi a insisté sur l’importance de documenter et de transmettre l’histoire, particulièrement à travers ses écrits. Avant sa disparition, il a pris soin de rédiger ses mémoires, éclairant ainsi non seulement sa propre vie mais aussi l’héritage intellectuel et spirituel de son père, le cheikh Mohamed Bachir Ibrahimi, figure éminente du mouvement national et de la pensée algérienne.

Son œuvre témoigne d’un engagement profond pour la culture, la mémoire et l’éducation, et constitue un repère pour les générations présentes et futures.

Le Dr Taleb Ibrahimi laisse derrière lui une empreinte durable dans le paysage intellectuel algérien, marquée par le souci du savoir, du questionnement et du partage des expériences.

Que Dieu l’accueille en Sa miséricorde et accorde à sa famille et à ses proches patience et réconfort.

Djamal Guettala

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Réunion à Tunis des chefs d’état-major des armées de la Méditerranée occidentale

Le 17e Sommet des chefs d’état-major des armées des pays membres de l’Initiative «5+5 Défense» s’est tenu jeudi 2 octobre 2025 à Tunis, sous la présidence tunisienne, avec la participation des chefs militaires des pays partenaires et d’une délégation d’officiers supérieurs.

Le groupe 5+5 est composé de l’Italie, de la France, de l’Espagne, du Portugal et de Malte pour la rive européenne de la Méditerranée, et de la Tunisie, de l’Algérie, du Maroc, de la Libye et de la Mauritanie pour la rive nord-africaine.

Dans le communiqué final adopté à l’issue de la réunion, les pays membres ont réaffirmé leur «engagement à soutenir les mécanismes conjoints de coopération militaire», leur volonté de «créer de nouveaux outils de travail pour renforcer les partenariats institutionnels» et de «construire un climat de confiance mutuelle et durable dans l’espace euro-maghrébin». Ils ont également réaffirmé «l’importance du respect des valeurs universelles et de la solidarité dans la gestion des crises régionales».

Dans son discours d’ouverture, le général Habib Dhif, directeur général du renseignement et de la sécurité au ministère tunisien de la Défense, a souligné le rôle de l’Initiative de défense 5+5 comme un «mécanisme flexible et efficace de coopération, notamment dans la gestion des crises et la lutte contre les menaces sécuritaires croissantes».

Il a également souligné la nécessité de «renforcer la coordination dans des domaines clés tels que la lutte contre le terrorisme, la criminalité transnationale organisée, la migration irrégulière et la protection des routes maritimes en Méditerranée occidentale».

La Tunisie, en tant que présidente de l’Initiative cette année, a réaffirmé sa détermination à «développer davantage les mécanismes de coopération et à consolider l’intégration entre les pays membres».

Les chefs d’état-major participants ont, pour leur part, salué le rôle de la Tunisie dans la revitalisation de l’Initiative, soulignant l’importance d’une approche globale et concertée pour relever les défis communs. Ils ont également appelé à un «partenariat renforcé et à un dialogue responsable, afin de servir les intérêts des peuples de la région et de répondre à leurs aspirations à la sécurité et à la stabilité».

En conclusion de la réunion, M. Dhif a réitéré l’engagement de la Tunisie à poursuivre ses travaux dans un esprit de partenariat et de coordination, soulignant que la responsabilité partagée et le collectif resteront des facteurs clés du succès de l’Initiative «Défense 5+5», au service d’un avenir plus sûr et plus stable pour la Méditerranée occidentale et les générations futures.

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Gazoduc TransMed – Entre opportunité budgétaire et incertitude…

Le gazoduc TransMed, qui relie l’Algérie à l’Italie à travers la Tunisie, a vu son importance augmenter ces dernières années. Sur les trois premiers mois de l’année, 51,5 MDT ont été encaissés contre 80,7 MDT sur la même période en 2024.

Néanmoins, et sauf surprise et des éléments qui nous échappent, il y aura du rattrapage dans les chiffres d’ici la fin de l’année. Dans la loi de finances 2025, les recettes attendues pour l’ensemble de l’exercice sont de 1 250 MDT.

Une aubaine pour la Tunisie

Les estimations statistiques du ministère italien de l’Environnement et de la Sécurité énergétique ont révélé une hausse des livraisons de gaz naturel algérien par gazoduc. Durant la période allant de janvier à fin juillet 2025, elles ont atteint un niveau de 12,519 milliards de mètres cubes, contre 12,469 milliards de mètres cubes en 2024, soit un taux de croissance estimé à environ 0,4 %.

En contrepartie des 400 kilomètres de pipeline qui traversent son territoire, la Tunisie perçoit une redevance de 5,25 % sur le gaz transporté, sous forme de dollars ou de gaz.

 

Algérie

 

La Tunisie a bien profité de l’accord qui a été signé entre l’Italie et l’Algérie, et qui a consisté en un accroissement des volumes de gaz transporté via TransMed de 9 milliards de mètres cubes supplémentaires par an en 2023-2024. Les deux pays ont profité de la capacité de transport additionnelle offerte par le gazoduc dont la capacité annuelle peut aller jusqu’à 32 milliards de mètres cubes. Ainsi, sur la période 2022-2024, la Tunisie a pu percevoir un total de 5 589,5 MDT, dont 1 930,2 MDT sous la forme de flux financiers et 3 659,3 MDT en nature.

Flux en nature plutôt que financiers

Pour 2025, les estimations tunisiennes sont basées sur des attentes à ce que 21 milliards de mètres cubes transitent par le gazoduc l’année prochaine. Ces chiffres sont réalistes surtout que les marchés internationaux tablent sur une baisse du prix du GNL, avec des réserves européennes pleines pour l’hiver. Nous pourrons, toutefois, bénéficier d’un effet volume, surtout avec les bonnes relations entre Alger et Rome.

Reste à préciser que les autorités tunisiennes pourraient préférer obtenir des quantités de gaz plutôt que des devises, au vu du grand besoin de GNL. Une pression maîtrisée sur la balance des paiements renforce l’hypothèse de flux en nature.

Il faut rappeler enfin que s’il y a des études pour évaluer l’augmentation de la capacité de TransMed à 40 milliards de mètres cubes par an, une autre est également en cours. Elle concerne la réalisation d’un gazoduc direct entre l’Algérie et la Sicile, sans passer par la Tunisie, avec des infrastructures prêtes à accueillir l’hydrogène vert. Il faudra bien tenir compte de ce second scénario.

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La Tunisie écartée : L’Algérie rafle un projet chinois à 1,6 Md$, selon Houssem Saad

Selon un post publié sur sa page Facebook par Houssem Saad, membre de l’association Alert, le groupe chinois Asia Potash International Investment a finalement choisi l’Algérie pour développer un complexe industriel intégré d’un montant de 1,6 milliard de dollars, destiné à exploiter des phosphates et produire de l’ammoniac, de l’urée et des engrais composés.

Le projet reposera principalement sur le gaz naturel pour ses opérations industrielles et s’inscrit dans la stratégie algérienne de diversification économique au-delà des hydrocarbures, exploitant les vastes réserves locales estimées à plus de 4 milliards de tonnes.

Selon Houssem Saad, la Tunisie avait été approchée dès avril 2025, lors d’une visite exploratoire de la délégation chinoise. La communication officielle et médiatique tunisienne avait alors présenté cette visite comme un futur investissement d’environ 800 millions de dollars dans le phosphate de Sraouartan. Saad avait alors relativisé cette annonce dans une intervention radio : « Ce n’est pas le moment de célébrer, c’est un moment de travail. Exprimer un intérêt n’est pas un investissement. »

Trois mois plus tard, en juillet 2025, la délégation chinoise est revenue en Tunisie et a constaté que peu de mesures concrètes avaient été prises pour avancer le projet. Selon Houssem Saad, plusieurs facteurs expliquent pourquoi la Tunisie a été dépassée :

  • Lenteur administrative et absence d’actions concrètes pour concrétiser l’intérêt initial.
  • Communication triomphaliste et médiatisation prématurée, qui ont présenté un succès symbolique sans résultats tangibles.
  • Compétition internationale et rapidité dans le secteur de l’investissement direct étranger, où le pragmatisme prime sur les annonces.
  • Importance du concret et du travail sur le terrain, car les slogans et déclarations symboliques ne suffisent pas à sécuriser un projet industriel majeur.

Ces constats ont conduit la délégation chinoise à finaliser son choix en Algérie, où le projet avance rapidement avec une coordination technique entre le groupe et les autorités locales.

Cette affaire illustre un défi structurel pour la Tunisie : la lenteur et la communication symbolique peuvent faire perdre des projets stratégiques à haute valeur ajoutée, au profit de pays voisins mieux préparés et plus efficaces.

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Algérie | Le procès de Fethi Ghares reporté au 7 octobre

L’opposant et militant politique Fethi Ghares, figure connue de la scène démocratique algérienne, a été placé sous contrôle judiciaire. Son procès, initialement prévu mardi 30 septembre 2025, a été renvoyé au 7 octobre. Il est poursuivi pour «outrage à corps constitué» et «diffusion de fausses informations de nature à porter atteinte à l’ordre public».

Selon ses proches, cette nouvelle affaire judiciaire s’inscrit dans un climat marqué par la multiplication des poursuites visant les militants, journalistes et défenseurs des droits humains. Le collectif de défense de Fethi Ghares, composé des avocats Fetta Sadat, Mustapha Bouchachi, Nourredine Ahmine et Abdelghani Badi, a dénoncé des accusations «dépourvues de fondement» et rappelé que leur client ne fait qu’exercer sa liberté d’opinion et d’expression, garanties par la Constitution.

Lors de l’audience de ce mardi, plusieurs sympathisants et militants étaient présents pour marquer leur solidarité. Des messages de soutien se sont également multipliés sur les réseaux sociaux et au sein de la société civile, rappelant l’engagement de Fethi Ghares pour la démocratie et les libertés.

«Nous remercions les avocats de la défense, ainsi que toutes celles et ceux qui étaient présents au tribunal et qui nous ont témoigné leur soutien, quelle qu’en soit la forme», ont déclaré ses proches à l’issue de l’audience.

Les organisations de défense des droits humains, en Algérie comme à l’international, rappellent régulièrement que les poursuites pour «outrage» ou «diffusion de fausses nouvelles» sont devenues des instruments récurrents pour restreindre la liberté d’expression.

Le prochain rendez-vous judiciaire est fixé au 7 octobre 2025. En attendant, ses soutiens réaffirment leur mot d’ordre : «Liberté pour les détenus d’opinion, liberté pour tous les opprimés.»

D. D.

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En 2025, l’Algérie en tête du classement économique maghrébin en 2025

En 2025, l’Algérie se positionne en tête du classement économique du Maghreb, devant le Maroc et la Tunisie. Cette performance résulte d’une forte dynamique économique et d’une politique de diversification réussie. Le pays a progressé de 3,5 points dans le Global Attractiveness Index (GAI), attirant ainsi plus d’investissements étrangers.

Le leadership économique de l’Algérie est renforcé par sa capacité à s’adapter rapidement aux évolutions mondiales, grâce notamment à la politique menée par le président Abdelmadjid Tebboune. Celle-ci a permis d’ouvrir l’économie à de nouveaux secteurs, stimulant ainsi sa croissance et son attractivité.

Les critères avec lesquels le GAI a évalué sont: l’ouverture économique, l’innovation et les ressources naturelles. Et ce qui distingue particulièrement l’Algérie, c’est sa politique proactive en matière d’innovation et de réforme économique, qui lui permet de se positionner comme un acteur clé dans le contexte mondial.

On peut dire qu’avec ces réformes et sa forte attractivité, l’Algérie semble bien partie pour attirer encore davantage d’investissements étrangers, renforçant ainsi son influence sur la scène économique mondiale dans les années à venir.

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Décès du comédien algérien Faouzi Saichi

L’Office national de diffusion et d’audiovisuel (Onda) a annoncé ce lundi 29 septembre 2025 le décès du comédien Faouzi Saichi, figure emblématique du cinéma et du théâtre algériens. L’artiste s’est éteint dans la matinée, plongeant le monde de la culture dans une grande tristesse.

Né le 9 avril 1951 à Aïn Sefra, dans la wilaya de Naâma, Faouzi Saichi avait rejoint Alger dès son enfance, où il s’initia aux arts dramatiques. Sa carrière débute véritablement au cinéma avec ‘‘Leïla et les autres’’ (1977) de Sid Ali Mazif, mais c’est avec ‘‘Un toit, une famille’’ (1982) de Rabah Laradji qu’il se révèle au grand public, décrochant le prix de la meilleure interprétation masculine aux Journées Cinématographiques de Carthage.

Tout au long de son parcours, il multiplie les rôles marquants au cinéma et à la télévision. On le retrouve notamment dans ‘‘Les Folles Années du Twist’’ (1986), ‘‘De Hollywood à Tamanrasset’’ (1991), ‘‘Beur Blanc Rouge’’ (2006), ou encore ‘‘La Route d’Istanbul’’ (2016) de Rachid Bouchareb. Sa présence charismatique et son talent d’interprétation lui ouvrent également les portes du petit écran, où il est apprécié du grand public à travers la série humoristique ‘‘Nass Mlah City’’.

Avec sa voix reconnaissable et son jeu toujours juste, Faouzi Saichi laisse une empreinte indélébile dans le paysage artistique algérien. Son décès suscite d’ores et déjà une vague d’hommages, de la part de ses pairs comme de ses admirateurs, qui saluent la mémoire d’un artiste généreux et profondément attaché à son métier 

Djamal Guettala

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Une voiture 100% africaine ? Tunis et Alger en rêvent ensemble

En marge de la 4ᵉ Foire commerciale intra-africaine (IATF), organisée du 4 au 10 septembre à Alger, la Tunisie a réaffirmé son ambition de jouer un rôle moteur dans l’intégration économique du continent. Le haut responsable du ministère du Commerce, Lazhar Bennour, a notamment lancé l’idée d’une coopération tuniso-algérienne dans l’automobile pour produire une voiture « 100% africaine ».

Lors d’une intervention en marge du salon, Lazhar Bennour, directeur général de la coopération économique et commerciale, a souligné l’importance de la présence tunisienne à l’IATF 2025. La délégation rassemble ministères, agences publiques, PME, startups et exportateurs, un signal fort de l’engagement du pays à contribuer activement au marché unique africain.

Une coopération stratégique avec l’Algérie

Saluant l’organisation et l’accueil algériens, Bennour a mis en avant la relation stratégique entre Tunis et Alger. Selon lui, la complémentarité entre les deux pays doit se traduire par des initiatives concrètes. Le secteur automobile illustre cette ambition :

« Grâce au principe de l’accumulation d’origine continentale, nous pouvons produire une voiture 100 % africaine, pourquoi pas tuniso-algérienne », a-t-il déclaré.

La Tunisie, riche d’une expertise exportatrice et créatrice d’emplois qualifiés, entend mettre son savoir-faire au service de ce projet.

Intégration logistique et financière

Bennour a plaidé pour un renforcement de la logistique continentale afin de faciliter les échanges par voie terrestre, aérienne et ferroviaire. Il a également évoqué l’adhésion prochaine des banques tunisiennes au PAPSS (Pan-African Payment and Settlement System), permettant des transactions en monnaies locales et réduisant la dépendance au système financier international.

S’inspirant du message du président Kaïs Saïed lors de l’ouverture de l’IATF, Bennour a insisté sur la nécessité pour l’Afrique de transformer localement ses ressources naturelles et de définir ses propres chaînes de valeur. La mutation mondiale vers les véhicules électriques, dont l’Afrique possède les matières premières, représente selon lui une opportunité à saisir.

Projets stratégiques tunisiens

Il a également mis en avant le projet de zone franche de Ben Guerdane, appelé à devenir un hub commercial et logistique reliant l’Afrique du Nord aux pays enclavés. Les travaux extérieurs étant presque achevés, des investisseurs africains sont activement recherchés. Enfin, Bennour a annoncé que la Tunisie prépare déjà sa participation à la prochaine édition de l’IATF au Nigeria.

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Des médias français se déchaînent sur la Tunisie : « algérianisation » et restrictions de visas

Le 2 septembre 2025, un ressortissant tunisien a été abattu par la police à Marseille après avoir blessé cinq personnes à l’arme blanche. Si la légitimité de l’intervention est reconnue par le procureur de Marseille, ce sont désormais les réactions médiatiques françaises qui dominent le traitement de l’affaire.

La réaction officielle tunisienne

Le ministère tunisien des Affaires étrangères a qualifié l’acte de « meurtre injustifié », convoquant le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis et demandant une enquête rapide et rigoureuse. Cette démarche a surpris de nombreux observateurs français.

Lire aussi: Affaire de Marseille : Tunis hausse le ton diplomatique face à Paris

Aucune déclaration officielle française n’a été publiée, laissant un vide diplomatique et renforçant l’attention médiatique sur l’affaire.

Europe 1 : un parallèle avec l’Algérie

Dans l’émission Christine Kelly et vous, la journaliste Gabrielle Cluzel a commenté la réaction tunisienne comme ressemblant à celle de l’Algérie, soulignant un modèle de contestation publique de la France : (Voir la vidéo)

« On a l’impression qu’il y a une forme de contagion, habitude éprise d’humilier la France […] le parcours de cet individu […] nous amène à penser que la Tunisie, dans le même état d’esprit que l’Algérie, est proprement stupéfiant et surtout très inquiétant. »

Europe 1 insiste sur la dimension diplomatique et symbolique, dépassant largement Marseille.

CNews : algérianisation et débats sur les visas

Sur CNews, le traitement médiatique a été plus politisé :

  • Éric Tegnér, journaliste et militant politique d’extrême droite, a évoqué la possibilité de restreindre les visas pour les Tunisiens et Algériens.
  • Éric Revelle a commenté ces propos, nuançant sa position, et précisant que la critique vise uniquement l’intervention tunisienne, pas l’ensemble des Tunisiens en France :

« La déclaration est scandaleuse, j’espère. Moi, je vais jusqu’à remettre en cause les relations diplomatiques avec les Tunisiens. […] Je pense aussi aux Tunisiens qui, dans les années 60-70, ont travaillé chez Renault et ailleurs, ont consacré toute leur vie, ne les mettez pas dans le même panier. »

  • Georges Fenech, magistrat et homme politique français né à Sousse (Tunisie), a ajouté : (Voir la vidéo)

« Il y a une « algérianisation » de la Tunisie, ce n’est plus un modèle de démocratie ».

Ces interventions montrent comment les médias français transforment un incident local en débat diplomatique et politique, en insistant sur la dimension symbolique et sur les implications sur les visas.

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Entretien Kaïs Saïed – Abdelmadjid Tebboune à Alger

Le président de la République, Kaïs Saïed, a eu, mercredi soir, un entretien avec son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune, au salon d’honneur de l’aéroport Houari Boumediene à Alger.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la visite officielle du chef de l’État tunisien en Algérie, où il participe à la 4ᵉ édition du Salon africain du commerce intra-africain, organisé du 4 au 10 septembre sous le slogan « La porte d’accès vers de nouvelles opportunités ».

Au-delà du caractère protocolaire, l’entretien a permis d’évoquer les liens historiques entre la Tunisie et l’Algérie, deux pays voisins unis par des intérêts stratégiques communs. Les discussions ont porté sur le renforcement de la coopération bilatérale, notamment dans les domaines du commerce, de l’énergie et du transport, à un moment où les deux pays cherchent à consolider leur rôle de passerelle vers les marchés africains.

La participation de Kaïs Saïed à ce rendez-vous continental traduit surtout l’intérêt de la Tunisie à s’inscrire plus activement dans la dynamique de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

Pour Tunis comme pour Alger, ce salon constitue une plateforme privilégiée pour multiplier les partenariats économiques, attirer des investissements et promouvoir l’exportation de leurs produits et services vers l’ensemble du continent.

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