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Solidarité Palestine | Mouheb Snoussi, une histoire de bravoure

Arrêté pour sa participation à la flottille Soumoud, le militant tunisien Mouheb Snoussi a été violenté par la police israélienne au port d’Ashdod, après avoir brandi un drapeau palestinien.

Mouheb Snoussi militant dans l’âme et depuis son jeune âge, élevé notamment dans les rangs du Watad aurpès du militant historique Chokri Belaïd ( assassiné le 6 février 2013 par des terroristes à El Menzah VI) ,a brandi le drapeau palestinien, qu’il avait caché entre ses vêtements lors de son arrestation sur le navire.

Il a pu le ressortir au port alors que le ministre de la sécurité nationale de l’entité sioniste, l’extrémiste Itamar Ben Gvir, proférait des menaces contre tous les participants à cette flottille humanitaire en les taxant de … terroristes !

Selon le comité juridique de la Flottille mondiale Al Soumoud, Mouheb Snoussi, bien que violemment agressé par la police israélienne, a le moral au zénith, lui qui depuis jeune âge a toujours été engagé pour la cause Palestinienne. Au départ de la flottille, il avait par ailleurs décrit son départ pour Gaza comme un rêve d’enfance et s’est dit chanceux de pouvoir participer à cet élan humain et de pouvoir faire face à l’entité sioniste.

Mouheb Snoussi, juriste de formation et fils de Me Nizar Snoussi, membre du comité de défense de Belaïd, a par l’intermédiaire de son avocat, adressé ses salutations au peuple tunisien et à toutes les nations libres, sans oublier d’appeler à poursuivre la pression internationale pour obtenir la libération de tous les participants de la Flottille Al Soumoud et pour mettre fin au génocide commis par Israël contre le peuple palestinien.

Y. N.

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Le militant Georges Abdallah libéré après 40 ans de prison

Le militant libanais Georges Ibrahim Abdallah a quitté la prison de Lannemezan (Hautes-Pyrénées) ce vendredi 25 juillet. Il était détenu en France depuis plus de quarante ans. Condamné dans les années 1980 pour complicité dans l’assassinat de deux diplomates un Américain et un Israélien, bien qu’il ait toujours clamé son innocence. Il s’envole désormais pour le Liban. La cour d’appel de Paris a ordonné sa libération sous condition qu’il ne revienne pas en France.

De la prison à l’exil

Escorté par la police dès 3h30 du matin, Abdallah a quitté la prison de Lannemezan (Hautes-Pyrénées). À 74 ans, il a pris un vol de Tarbes à Paris, puis un autre vers Beyrouth. Son avocat a souligné sa joie malgré la situation difficile au Moyen-Orient. Il a aussi salué le respect dont il a bénéficié en détention. Devant la prison, environ 200 personnes manifestaient en son soutien.

Un retour attendu au Liban

Les proches d’Abdallah espèrent un accueil officiel et populaire à son arrivée. Malgré l’opposition du parquet général et des États-Unis, la justice française a maintenu sa décision. Ses soutiens considèrent cette libération comme une victoire politique majeure.

Les racines d’un conflit ancien

Condamné pour des faits liés à la guerre civile libanaise et à l’invasion israélienne du Sud-Liban, Abdallah était chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), un groupe marxiste dissous. Il a toujours nié toute implication directe dans ces assassinats. Il a aussi refusé de condamner ce qu’il qualifiait de résistance contre Israël et les États-Unis. Bien qu’éligible à une libération conditionnelle depuis 1999, ses demandes avaient été rejetées jusqu’à récemment.

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